Voyage dans les Annapurnas, du rêve à la réalité

Du rêve à la réalité avec le voyage dans les Annapurnas
Mes rêves éveillés ont souvent été teintés d’un désir de liberté ou plutôt de libération.
Il me semblait que j’étais engluée dans une purée invisible qui m’empêchait de vivre ma vie avec des émotions satisfaisantes comme l’amour, la paix, la joie…
Petit à petit, je me suis aperçue que je n’étais pas seule dans ce cas et j’ai découvert qu’il ne servait à rien de rêver de liberté, il fallait plutôt apprendre à se libérer.
C’est devenu mon métier et pour être bien certaine de savoir l’enseigner aux autres, je le pratique sur moi-même !
J’avais aussi des rêves moins urgents comme celui de voyager. J’y ai pris goût très jeune en allant vivre au Canada pour y faire mes études et je gardai les vacances scolaires pour aller en Asie.
Cet article participe à l’évènement « Que faites-vous de vos rêves? » par Danièle Galicia du blog « Forme et bien-être »
Il m’a fallu beaucoup de temps pour passer de la peur au rêve en ce qui concerne le Népal et le voyage dans les Annapurnas.
Non, je n’avais pas peur du trekking, de l’altitude, des plus hautes montagnes du monde ou d’un voyage en Asie.
J’avais peur de ne pas pouvoir faire ce qu’il fallait faire pour pouvoir partir à la saison du trekking au Népal, c’est à dire Octobre.
Bien sur, on peut marcher à Pâques mais l’air n’est pas aussi pur qu’à l’automne.
L’été, la mousson sévit et sous des trombes d’eau, il n’y a pas moyen de marcher dans les Annapurnas.
J’étais enseignante à l’époque et donc je choisissais des destinations moins pluvieuses pour pouvoir partir l’été, pendant les vacances.
Partir au Népal aurait signifier arrêter l’éducation nationale et cela ne fait que 4 ans que j’ai pris cette décision que tout m’encourageait à ne pas prendre.
Le mental, en dehors de son bavardage incessant, a longtemps cherché à me protéger de dangers qu’il pensait encore valides en me maintenant à l’école.
Il me susurrait donc de ne pas prendre le risque de me mettre en insécurité en quittant le fonctionnariat pour me lancer dans le libéral et dans le métier de thérapeute que je fais à plein temps aujourd’hui.
Être thérapeute et vivre de son art n’est pas toujours aisé. Toujours est-il que je l’ai fait et que pas une seule seconde je ne l’ai regretté depuis.
Sans travail sur moi, je n’aurais jamais quitté l’immense sécurité que ce métier représentait.
Déesse et voyage dans les Annapurnas
Mon premier acte psycho-magique de l’époque fut de partir immédiatement au Népal et de faire mon premier voyage dans les Annapurnas.
Pourquoi les Annapurnas ? Parce que ceci déjà (voir la photo ci-dessous)! 8091 m dont 5kms de dénivelé sous vos yeux ébahis !
Ensuite, Annapurna est le nom de la déesse Parvati dans sa fonction « maternante » et nourrissante. C’est aussi la déesse de la moisson.
Cette notion de récolte est, pour moi, une étape que j’ai souvent zappé dans ma vie : je sème, je sème, je lance des tas de nouvelles approches et puis, par un phénomène très inconscient, je ne suis plus là au moment de la récolte.
Je suis ravie que d’autres puissent récolter mais j’aimerais aujourd’hui goûter le fruit de mon travail.
Le message du pasteur de Koh Samui (où nous sommes ce mois-ci) pour Pâques était : donnez des fruits toute l’année.
Cela signifie: continuez à développer des qualités (ou vertus) pas seulement quand le ciel est bleu et que tout va bien mais aussi dans l’adversité.
Pour moi, c’est un peu en contrepied que je prends ce message : dans l’adversité, je sais faire, mon métier m’a appris à rester présente même au cœur des pires tempêtes.
Je sais, dans des états de régression, me souvenir de l’adulte que je suis pour ne pas me laisser emporter par un flot d’émotions et ne pas poser des actes que je regretterai.
C’est sans doute ce qui me permet d’accompagner les autres au cœur de leurs tempêtes.
Ce que je sais moins faire, paradoxalement, c’est profiter des fruits quand tout va bien !
J’ai toujours un projet qui bout dans la marmite mais ne rien faire n’est pas chose aisée pour moi.
M’installer dans une chaise longue pour profiter de la vie, c’est un peu un film de science fiction.
C’est donc une des raisons pour lesquelles j’adore travailler en Thaïlande, c’est parce qu’il n’est pas possible de travailler constamment.
Entre la chaleur, la sollicitation d’une eau très chaude et accueillante (37° cette année), le plaisir de la vie douce et facile, mon bosseur intérieur se détend vraiment.
Hier, pour la première fois de ma vie je crois, j’ai vu une mère jouer avec son bébé nouveau-né dans l’eau de la mer.
C’était un spectacle assez hallucinant. Dans mon dernier souvenir de moi bébé dans l’eau, je hurle parce que les eaux bretonnes ne sont pas exactement la panacée pour un bébé qui ne supporte pas de prendre un bain sans les 37 degrés règlementaires.
Eh bien en Thaïlande, c’est possible. J’en entends déjà quelques uns qui disent, 37 degrés c’est trop chaud.
Pour vous peut-être, pour votre bébé intérieur, c’est la détente qu’il n’a peut-être jamais sentie !
Une des piscines de l’hôtel est exposée en plein soleil toute la journée…elle est donc elle aussi à 37 degrés.
Je ne sais pas si vous avez déjà pris un bain dans une baignoire de 47 mètres de long, eh bien je vous assure que c’est une expérience presque mystique.
Pour en revenir aux Annapurnas, cette charmante déesse tient dans sa main un plat de riz, dans l’autre une cuiller pour nourrir les dévots (et Shiva).
Sur la photo, c’est Shiva qui a demandé à être nourri pour trouver l’énergie de la sagesse et l’illumination. On est loin du bouddha squelettique dont je vous avais parlé dans un ancien article.
Anna signifie « nourriture » et « purna » entier, total, grande quantité, complet, rassasié, satisfait(e).
Annapurna est donc le symbole du soin qui nourrit, une façon d’incarner l’Esprit dans la nourriture et la matière en général.
Il y a pire comme nom ! L’idée d’aller travailler la satisfaction au Népal me plait particulièrement. Ce ne sera bien sur pas la même que celle qu’on trouve en Thaïlande.
Pour cela, il faut veiller à ne pas en faire trop au niveau sportif. Les 11 jours du dernier Trek du Tour des Annapurnas m’ont rendue sage !
Le bébé intérieur n’aime pas le froid et la marche poussée ! Cette fin d’année 2014, nous allons donc y aller piano, qui va piano va sano….
Nous allons prendre le meilleur de toutes nos expériences passées dans ce pays afin de rendre le voyage le plus « nourrissant » possible.
D’abord prendre soin de la peur…
Voyage dans les Annapunas et la peur
Cela fait quatre fois que nous allons au Népal, presque une fois par an et le plaisir y est toujours intact.
Grâce à nos clients, j’ai découvert que le mal d’altitude pouvait en fait cacher beaucoup de peurs et d’états émotionnels inconscients.
Nous avons, donc, avec la technique Tipi , réussi à démanteler une bonne partie des peurs qui auraient pu en pousser quelques uns à redescendre plutôt que de passer le col du Thorong à 5416m
Je raconte l’histoire avec happy ending de Shanti et de ses problèmes de santé pendant le trek ici.
Pourquoi le mental s’affole t-il dès qu’il dépasse une certaine hauteur ? Parce que c’est l’inconnu.
Une peur peut affecter le corps et créer des symptômes mais nous nous sommes vite aperçus qu’en utilisant la technique Tipi, nous pouvions débrancher la plupart des états émotionnels donc, par voie de conséquence, physiques de nos clients.
La peur est inévitable chaque fois que vous mettez un pied hors de votre zone de confort.
Vous traversez une barrière invisible qui fait tinter toutes les sonnettes d’alarme de votre système sécuritaire qui vous garde bien au chaud mais parfois
- dans l’ennui
- dans l’étroitesse
- dans la survie
- dans le manque de créativité
- la non prise de risque relationnelle
- le connu
- le pas trop désagréable
- le supportable
- le bof
Mon mental à moi me parlait de précarité de l’emploi et de retraite pour me maintenir dans la zone de confort du fonctionnariat.
Et vous que vous raconte t-il ? Si vous deviez partir, savez vous à quelle peur votre mental essaierait de vous manger ?
- Pas assez entraîné ?
- Trop vieux ?
- Pas assez de souffle ?
- Peur du groupe ?
- Pas assez de confort ?
- Insécurité liée à l’altitude ?
- Peur de ne pas être assez encadré ?
- Peur de l’inconnu ?
- Peur de mourir en route ?
- Peur d’avoir froid, faim ?
- Peur d’être malade ?
- Peur de prendre des risques ?
- Peur d’être loin de votre famille ?
- Peur de l’échec ?
- Peur de ne pas y arriver ?
- Pas prêt ? Plus tard ?
Heureusement il y a ….non pas ce que vous alliez chanter mais Tipi !
Les Annapurnas pour faire monter le taux vibratoire.
Tout le monde n’est pas sensible à l’énergie de la montagne. Avant, nous habitions sur la côte d’Azur, là où habitent ceux qui sont plutôt « mer ».
Bien sur la température était clémente mais le taux vibratoire n’était pas facile à maintenir.
C’est un peu comme si notre énergie se dispersait. C’est une des raisons pour lesquelles nous avons choisi d’habiter dans les montagnes en France.
L’air et l’énergie y sont incomparables, selon nos standards bien entendu. Au Népal, imaginez devant vos yeux 5000 m de forteresse de roche et de neige.
Lorsque les peurs sont travaillées, elles font place à l’émerveillement.
Bien que les voitures commencent à coloniser un peu cet espace, l’eau, la terre et le ciel sont d’une rare pureté dans les Annapurnas.
Il est possible de ressentir cette qualité de la nature jusque dans vos cellules pour vous laisser régénérer.
J’en profite pour vous rappeler les expériences de Masaru Emoto et les cristaux de l’eau.
Taux vibratoire et cristaux de l’eau
C’est en travaillant sur les fluctuations ondulatoires de l’eau que M.Emoto a découvert que l’eau avait de multiples façons de s’exprimer.
Il a pris des échantillons d’eau de provenances différentes, en a analysé les cristaux lors de leur congélation puis a pris des photos de ses résultats.
Sa première remarque a été que les eaux pures et vives forment de magnifiques cristaux à figures géométriques.
A l’inverse, là où les eaux stagnent ou sont polluées, elles ne forment pas de cristaux ou alors ils sont incomplets voire « disharmonieux ».
Tout le monde sait que la qualité nutritionnelle de l’eau est affectée par l’environnement mais là c’est sa qualité énergétique.
La beauté et l’harmonie ne sont pas forcément des qualité mesurables et les cristaux sont invisibles à l’oeil nu.
Sachant que nous sommes fabriqués à 90 % d’eau (plus encore dans la vie intra-utérine), nous nous imprégnons de manière inconsciente des qualités de l’environnement.
Au contact des Annapurnas, c’est toutes vos cellules qui se mettent à vibrer. Lorsque vous vibrez à la majesté, la paix, la beauté et l’harmonie, c’est aussi toute votre vie qui se met à vibrer ces qualités.
Voici quelques exemples de photos prises par M.Emoto.
Il a poussé un peu plus loin l’aventure avec son équipe et à découvert que l’eau (et sa formation de cristaux) était aussi sensible à l’émission de pensées, de paroles, même écrites.
Ainsi les mots « haine » ou « amour » collés sur une bouteille modifient la structure des cristaux de l’eau.
Différents styles de musique modifient eux aussi la forme des cristaux de l’eau exposée à ces sons.
Le monde extérieur modifie ainsi la structure de l’eau qui compose votre corps et imprime les sensations qui vont avec.
C’est un peu comme si les montagnes s’adressaient directement à vous. Impossible aussi de continuer à croire par exemple, que vous êtes seul à vous débrouiller avec tout, vous avez la preuve en face de vous que le plus Grand existe.
Vous n’êtes pas tout seul non plus avec vos petits bras musclés censés vous amener à tout réussir tout sans aide et sans soutien dans votre coin.
Voyage dans les Annapurnas et clarté intérieure.
La montagne ne fait pas que modifier votre énergie, elle vous permet d’incarner en vous ses propre qualités.
Vous imprimez en vous la magie de la grandeur et de la puissance après avoir côtoyé pendant quelques jours ces fantastiques colosses que sont les Annapurnas.
Ainsi la clarté extérieure ouvre vos horizons intérieurs. La lumière que vous absorbez dehors s’imprime aussi en vous.
Cela permet en passant de voir s’il reste de la poussière à déblayer et cela fait partie de notre job que de vous aider.
Parce que vous envoyez un spot lumineux au fond de votre être, vous commencez à voir ce qui ne vous était pas accessible jusqu’à présent.
Si votre objectif est la détente, peut-on vraiment se détendre dans un trek ?
Cette année pourquoi pas? Contrairement aux autres années, nous allons emprunter la route nouvellement construite entre Bhulbhule et Manang, vous pouvez la voir sur la carte.
Pas de longue marche d’approche mais la possibilité de s’acclimater tranquillement à l’altitude là où un vol d’avion trop brutal pourrait mettre votre corps à rude épreuve pour atteindre 3500m.
Les étapes sont assez raccourcies, pas plus de 4 ou 5 heures de marche lente par jour.
Les nuits dans les lodges vous permettent de bénéficier d’un toit, d’une chambre à 2 avec un matelas, sans compter les copieux petits déjeuners… le grand luxe par rapport à ceux qui campent.
Nous serons quasiment un mois plus tôt que d’habitude sur les sentiers donc il fera plus chaud en altitude, enfin moins froid.
La dernière marche jusqu’au col est facultative, vous pouvez même louer un cheval pour faire une partie du trajet sans vous fatiguer.
Nous redescendons par le même chemin, ce qui vous permet de profiter des Annapurnas tout le temps et surtout de nous attendre si vous désirez faire une halte.
Comme les étapes sont courtes, il reste du temps pour profiter de recentrages, temps de parole, d’écoute, libérations en cas de fortes émotions.
.
Enfin et non des moindres, si nous sommes en nombre suffisant, il est possible d’affréter un petit avion pour faire le trajet retour Manang/Pokhara.
Survoler l’Himalaya est aussi une expérience inoubliable, sans compter l’économie des deux jours de route !
Je ne pense pas qu’il soit possible de rendre le trek plus abordable, selon notre expérience !
Voyage dans les Annapurnas et une rencontre insolite.
Je ne peux pas vous parler du Népal sans vous présenter Sanjay Sai Baba.
Sanjay Sai baba est une réincanation (ou émanation) de Shirdi Sai baba tout comme l’était Sathya, celui qui est mort en 2011.
Il a aujourd’hui un peu plus de 25 ans. Il a été découvert très jeune grâce à une de ses particularités : il matérialise .
Un vrai magicien en quelque sorte et sans trucage. Son don a été découvert alors qu’il était encore enfant.
Contrôler la matière et manifester directement à partir de l’invisible n’est pas donné à tout le monde .
C’est la marque de fabrique des Sai Baba, une sorte de miracle qui oblige les humains à se poser la question de leur véritable nature.
Sanjay Sai n’est pas que cela bien sur, il délivre un message sur l’existence d’un Dieu unique (un exploit chez les hindous!).
La première chose qui frappe dans sa présence, c’est la joie communicative et la simplicité extrême.
Bien que le cadre hindouiste implique un protocole pour assister un « avatar » considéré comme un divinité, Sanjay Sai est un être qui s’adresse directement à vous.
Vous trouverez dans cet article l’anecdote qui fait que nous l’avons rencontré par « hasard ».
Pour ceux qui sont sensibles au taux vibratoire, je vous invite à venir le rencontrer, c’est une expérience unique.
La particularité des avatars (rien à voir avec le film) c’est qu’ils incarnent l’Esprit divin dans un corps matériel.
Vous aussi bien sur mais vous avez (comme moi) du mal à reconnaître votre véritable nature alors que lui le vit.
Les avatars sont, pour les hindous, comme un phare au sein de l’humanité afin de les guider vers la libération et l’amour.
Leur particularité est souvent de connaître les écritures saintes sans les avoir apprises et de transmettre un message qui unit toutes les religions du monde.
On comprend très vite que la vie terrestre de Sanjay Sai ne lui appartient plus, elle est dédiée à l’humanité dans un amour inconditionnel.
Cette rencontre avec un être unique est toujours la cerise sur le gâteau de toutes nos pérégrinations népalaises.
Cette aventure est donc pour vous si:
- Si vous avez besoin d’un changement d’air et d’énergie dans votre vie
- Si vous êtes mur(e) pour l’aventure (sécurisée)
- Si vous avez formulé le rêve d’aller dans l’Himalaya
- Si vous avez besoin de sortir de vos limites et de vos conditionnements
- Si faire un voyage extérieur et un voyage au cœur de vous-mêmes vous tente.
- Si vous désirez vivre un périple en conscience
- Si vous voulez découvrir et partager avec un groupe de chercheurs (et trouveurs) de conscience
- Si vous avez besoin de construire un Chorten ou stuppa (voir explication dans un de mes articles) pour aborder un gros projet dans votre vie
- Si votre intuition vous y pousse
Pour avoir plus de renseignements sur ce voyage qui aura lieu du 27 octobre et 14 novembre 2014, cliquez ici . (ou m’écrire) Pour vous inscrire, cliquer ici.
Et vous, avez-vous un rêve que vous aimeriez voir se réaliser sous peu? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah
J’ai beaucoup aimé cet article sur les « Annapurnas », ce voyage que tu proposes doit être magique, et plein de richesse, de dépaysement, de connaissance de soi et des autres, de rencontres, de richesse.
Au jour d’aujourd’hui, je ne pense pas être encore au moment pour le faire. Ça fait seulement que quelques mois que j’ai découvert cette « approche » nouvelle pour moi (je parles de ton site et de tes articles). J »ai découvert avec un praticien ayurveda près de mon domicile ce qu’est l’ayurveda qui se rapproche dans bien des domaines à ce que tu nous enseignes, Hannah. C’est vrai que je fais le rêve de pouvoir aller un jour en Asie (dans le Kerala en Inde, Thailande, …) mais ce n’est pas forcément réalisable tout de suite. Il faut parfois être patient dans notre vie et les rencontres, les opportunités arrivent sans qu’on le demande vraiment.
Merci pour tes articles, et depuis que je te suis sur ton site, j’ai appris beaucoup de choses sur moi, sur les autres, sur la vie, sur l’univers, …. et ça me fait beaucoup de bien. Il y a des années en arrière, je n’aurais pas imaginer vivre cela aujour’hui et pouvoir changer des choses, des émotions, des comportements, des visions, etc dans ma vie.
Jacqueline
bonjour Jacqueline,
Merci de ton commentaire.
Oui, chaque chose en son temps.
L’Inde est la destination après le Népal!
J’ai toujour svoyagé parce que cela fait partie
de ma nature et de mon style de vie, même
quand je n’avais pas un sou.
Aujourd’hui je combine travail et voyage et c’est
toujours un immense plaisir.
Bonjour Hannah,
J’ai découvert ce secteur du monde avec le romain de Maurice Herzog « Annapurna premier 8000 » et je dois dire que j’ai trouvé cela fascinant.
C’est un voyage que je ferai peut-être un jour !
A bientôt
Gabrielle
Bonjour Gabrielle,
Ce qui es certain, c’est que 5400 c’est largement suffisant
pour nos petits poumons.
Le 8000 m c’est toute une équipée et ça franchement je ne
pense pas le faire dans cette vie!
Bonjour Hannah,
Oui il est certain que 8 000 mètres, c’est vraiment quelque chose… je ne pense pas le faire dans cette vie non plus 😉
5400, j’imagine que c’est déjà tellement impressionnant !
Gabrielle
Bonjour Hannah,
Merci de nous offrir ce rêve, qui ne deviendra pas réalité pour moi, la période ne m’autorisant pas de vacances.
Sinon…les autres conditions sont remplies !
Mais un jour elles le seront.
Le besoin d’un niveau vibratoire élevé du lieu de vie nous a fait choisir plutôt le bord de mer, mais une mer « forte », celle du Nord Finistère !
Un peu l’enfer climatique le plus souvent, mais la vibration y est, en plus de l’exceptionnelle beauté du rivage.
Tu trouves que pour y vivre à l’année, la montagne vers Gap a plus d’atouts de ce point de vue que la mer (pas la Méditerranée, on est d’accord) ?
Continue bien d’imprimer en toi la clarté et la grandeur !
Amitiés.
Marie.
Bonsoir Marie,
J’aime beaucoup l’énergie de la Bretagne.
Elle est dans mes racines donc je m’y sens bien
dès que j’y mets les pieds. La vibration y est, y a pas
de souci.
Elle est aussi dans les montagnes et c’est vrai que, depuis le Népal,
nous aimons ouvrir la fenêtre de la terrasse sur la chaîne de montagnes!
Gap est notre petit Népal!
Encore moi Hannah, pour te dire que le clic « ici » ne clique pas en fin d’article.
Du moins chez moi.
Marie.
Bonjour Marie,
Voici le lien :
http://www.sophrologie-pratique.com/annapurnaoctnov2014.html
Merci Hannah !
Marie.
37 degrés la piscine… n’est- ce pas la température du corps humain ?
Pour le reste je partage ta passion des voyages, mais peut être un peu lus bas que les 5416 mètres !
Enjoy hannah, enjoy…
Bonjour Jean-Luc,
Si….c’est la raison pour laquelle nous avons
décidé de faire un travail en eau chaude sur la
reconnexion avec le bébé…les circonstances
s’y prêtent.
C’est assez déroutant une piscine à 37° et une mer
à 35°!
Déroutant mais…cela donne (sacrément) envie Hannah !
C’est la première fois que c’est comme ça en Thaïlande,
je confirme que c’est fantastique!
Bonsoir Hannah !
et bien, je suis justement rentrée fin mars de l' »Annapurna Trek Circuit » – douze jours + deux en jeep après Muktinath.
C’était superbe, même si c’est dangereux à cette période de l’année, et j’ai eu plusieurs sueurs froides 🙂
Pas de guide, ni de porteur, c’était un challenge, sans préméditation, puisque je me suis décidée à l’aéroport suite à la rencontre avec deux trekkers.
Mon intuition a décidé pour moi, qui vit au bord de la mer, ne trekke jamais et qui ne va jamais en montagne…J’ai foncé, car j’ai senti que c’était ma place : pour une meilleure réception d’ondes 😉 ?!
Enfin, il est sûr qu’à Thorong La Pass, on oublie vite le mal de tête ! Profitez bien !
Merci Gabrielle pour ce témoignage.
Sans guide et sans porteur, une véritable aventure!
C’est certainement un des plus beaux treks du monde
grâce à la présence imposante des Annapurnas.
nous avons testé le Népal sans faire de trek et nous
nous sommes aperçus que nous étions quand même totalement
aimantés par les montagnes.
Salut Hannah,
Merci pour cet article qui nous fait voyager et découvrir un lieu magique. Cela donne envie d’y aller pour vivre l’aventure.
J’avais 2 grands rêves à mon arrivée à Tokyo, trouver l’âme soeur et entrer dans l’abondance financière pour être totalement libre et vivre comme je le souhaite. Le premier est réalisé, le deuxième est en route !
Je sais que c’est en route comme j’élimine en ce moment pas mal de peurs et de barrières inconscientes (qui créent par défaut ma vie plus vite que je ne pourrais jamais le contrôler). J’ai aussi ton stage au mois de juin pour encore avancer. Cela va être intéressant de voir comment tout cela va se dénouer. L’univers va faire des merveilles comme avec Yoko (la dernière fois que je t’avais eu sur Skype, je n’aurais jamais pu l’imaginer et c’est pourtant bien arrivé !).
Au plaisir et merci pour cet article qui nous a emmenés dans un des plus beaux lieux de la planète !
Merci pour tes nouvelles de Tokyo,
La vie avance vite pour toi, c’est super!
A très bientôt pour parler d’argent
mais surtout d’attachements!
Coucou
Dommage que tu n’aies pas mis un lien vers ton article de la
Croisée…
Bonjour,
C’est toujours faire le premier pas qui est le plus difficile dans toute chose. On se pose des questions qui au fond ne sont dictées que par la peur! Content pour toi et quel très beau voyage! Réaliser ses rêves c’est vraiment bénéfiques même un seul et on a qu’une seule vie!
Bonsoir,
J’espère que vous réalisez les vôtres aussi!
FABULEUX ! Te lire Hannah m’a provoqué un réel pétillement de rozana intérieure 😀 . Fut un temps où je serais allée te chercher la lune ( j’irais encore d’ailleurs) mais un voyage réel serait plus approprié . Juste là , à l’intérieur ça dit « OUI ». Je peux sentir que accompagnée par vous 2 serait une aide bénéfique . J’ ai une part tellement pantouflarde , une autre qui voyage par procuration , et une autre qui voudrait nourrir son besoin d’aventure . Cette dernière part a grandement besoin d’audace aussi et en même temps , cette part a peur de na pas être assez entraînée, peur de ne pas y arriver, peur de manquer de souffle ,peur de tomber malade, et peur que son genou ne tienne pas le coup . Je vais donc aller dialoguer avec cette part pour l’aider à faire un choix . La vie n’est pas si longue que ça , le temps nous est même compté 🙂 . Je pense que cette part va prendre le risque et on en parle à la fin du mois . 🙂 <3 . D'ici là , je garde le plein d'énergie de cet article et je t'embrasse fort . <3
Coucou
Cela fait beaucoup de petits « moi ».
Je vois que tu maîtrises bien la panoplie des peurs.
Ce que je peux te dire, c’est que c’est sans doute le trek
le plus soft que nous ayons jamais fait.
Grâce au fait que nous revenons sur nos pas, il n’y a pas
besoin de pousser trop fort si on s’aperçoit que c’est trop
difficile.
On attend une journée sur la terrasse face aux Annapurnas…
y a pire comme attente!
Pour les genoux, il faut s’aider de bâtons de marche, deux
c’est le top, ça libère la pression exercée sur les genoux.
Après ça, les peurs sont un peu anticipatoires.
Avec Tipi, on prend les peurs au moment où elles se présentent,
elle se libèrent plus facilement.
J’ai hâte de connaître le résultat de ton conseil de famille avec
tous les petits »moi »!
Attention, c’est la fin du mois aujourdhui 😉
Annapur-moi!
Le déménagement sera mon basecamp, le col, une étape, Sai Baba, le sommet!
Hannah, avec toi
Bise
Katia
Joli commentaire…
Je découvre le verbe « annapurer »
Tu as raison, c’est à inventer, c’est totalement indéfinissable
ce qui se passe dans un trek (pèpère) comme celui-là.
Bonjour Hannah,
Gérer nos failles,nos erreurs représente beaucoup d’énergie,dompter nos émotions destructrices demande de nombreux efforts. Ce sont des expériences sur notre chemin.On peut se rappeler que c’est à travers une faille que jaillit la lumière. Irait-on chercher cette lumière si notre parcours était lisse , sans aspérité? A travers tes expérience, c’est me semble t-il la prise de conscience qui permet de réagir à ces conditionnements quotidiens,mais pour chacun c’est un choix . Ce choix , tu l’as décidé et tu nous le fait partager. Merci pour la confiance que tu nous fait. Personne ne peut trahir cette sincérité.
A bientôt, Dominique.
Bonjour Dominique,
Oui le chemin est parsemé d’embuches…celui des Annapurnas
aussi parfois.
La dernière fois, nous avons passé le col très tard car Sanjai Sai
fêtait son anniversaire et nous voulions être là.
Il nous avait assuré que nous passerions le col sans encombre
et c’est ce qui s’est passé.
Ceux qui sont passés quelques jours avant ont eu de la neige
et nous un soleil éclatant sans un flocon.
C’était fin novembre, cette fois-ci, nous limitons les failles et les
embuches en passant un mois plus tôt mais comme tu le dis,
les aspérités nous font grandir.
Merci de tout coeur Hannah pour ce voyage merveilleux que je viens de faire à travers toi! J’ai adoré connaître Sanjay Sai baba qui me donne grandement envie d’en savoir plus car il est réellement fascinant. J’ai adoré aussi l’histoire touchante de Shanti qui réussit à s’épanouir enfin après avoir surmonté tant de blocages inconnus, c’est réellement impressionnant! Le tipi m’intéresse beaucoup après tout ce que je viens de lire.
Je parcours donc ton site avec grand plaisir et tous mes sens en éveil.
Merci pour ces moments d’éveil et d’évasion
Cat
Bonjour Cat
Sanjai Sai ne se prend pas pour quelqu’un de fascinant
ni même pour quelqu’un tout court mais tu as raison,
fascinant, il l’est.
Déroutant aussi pour le mental qui a du mal à comprendre ce
qu’il voit lorsqu’il matérialise.
C’est pour moi une rencontre aussi importante que celle d’Amma,
sauf qu’il faut de déplacer pour le voir, le sentir et le respirer!
Bonjour Hannah,
Ta passion est palpable et les arguments que tu détailles sont très convaincants. Je comprends ce dont tu parles en termes de vibrations en comparant la mer et la montagne. Je suis née à 2000 m d’altitude et je sais l’impact que cette donnée a eu dans ma vie et a toujours, d’ailleurs.
Par contre, je ne ressens pas du tout l’appel de l’escalade ou du trekking. Trop paresseuse sans doute. Mais faire un voyage eau cœur de moi-même me tente en permanence. Pour le moment, je cherche à la faire chez moi, dans ce petit coin de pays où je me suis retrouvée « par hasard » !
Ma vie a été faite de voyage et mes rêves ont changé…
De tout coeur, je te souhaite une magnifique quête et des découvertes exceptionnelles. Comment ce voyage pourrait-il être différent ?
A bientôt !
Bonjour Bernadette,
Ce n’est pas toujours l’heure de l’aventure dans nos vies.
D’ailleurs, par ce voyage, je suis moi-même en train de
quitter l’efficacité à tous prix, l’effort et la performance.
passer le col sur un petit cheval de l’Himalaya me parait cette
année une bonne façon de ne pas faire comme d’habitude.
Quand j’ai rencontre Alain, il voyageait lui aussi de son côté et
donc nous avons gardé cette passion à deux.
Bonjour Hannah
Aujourd’hui le voyage qui m’intéresse le plus c’est le voyage intérieur. Ainsi j’ai moins envie que par le passé d’aller voir notre planète. Ma peur donc, serait de vérifier de voyager sans que le besoin soit profond ou utile. Pourtant, en ayant vu sur internet la faculté des Russes à vivre l’émotion, cela me donne envie de les rencontrer. La peur dans ce cas, est de devoir apprendre le Russe :-).
Bises
Bonjour Didier,
Je te rassure tout de suite, pas besoin d’aller en Russie
pour rencontrer les Russes, ils sont tous à Koh Samui…
et ils parlent anglais ;-D
Je ne vais peut être rien t’apprendre mais le voyage
intérieur qui se vit lorsqu’on est à l’étranger loin
des sécurités intérieures habituelles est d’une profondeur
inégalée…c’est pour cela d’ailleurs que nous choisissons
d’aller faire nos stages loin.
Après cela, c’est vrai que le voyage intérieur se fait partout…
Coucou Hannah,
Ce ne sont pas les situations extérieures qui nous ou me manquent pour mieux entendre l’inconscient. Si l’on regarde bien le voyage est à chacun de ses pas, bien sûr nous pouvons argumenter « je ne sais pas » :-). Maintenant, c’est sûr que loin de ses habitudes, nous pouvons être amener à une confrontation plus franche je crois que c’est juste une histoire d’état d’esprit. Bises DT
Coucou Hannah,
C’est formidable que tu aies réalisé ton rêve 🙂
Et j’aime bien ton histoire de semer sans récolter. C’est plus fréquent qu’on ne le croit finalement.
Le voyage 2013 a l’air génial en tout cas. Un peu moins « hard » que les précédents. Je transmettrai aux personnes susceptibles d’être intéressées.
Quand tu écris « La particularité des avatars (rien à voir avec le film) c’est qu’ils incarnent l’Esprit divin dans un corps matériel. » Je suis confuse… à moins que l’on comprenne l’Esprit divin différemment, pour moi, il est présent en chacun d’entre nous. Je suis un être infini, spirituel, incarné/matérialisé dans un corps humain. Je crée ma réalité comme chacun. OK je n’en suis pas encore au stade de manifester devant moi de l’encens ou une orange 😉 Si je veux manifester quelque chose de précis, ça prend en général quelques temps, même si parfois ça arrive dans l’heure. Mais veux-tu dire que là-bas Sanjay Sai est considéré comme « à part », comme un « dieu » que l’on ne serait pas? Ce serait dommage si le peuple le vénère et ne voit pas en lui une part d’eux-mêmes. Je suis curieuse sur cette croyance…
Merci 😉
Bonjour Héloïse
Oui je comprends ton interrogations. j’ai écrit dans la phrase
suivante, « vous aussi bien sur » car je ne me sens pas différente
sur ce point là.
Sa particularité c’est d’être conscient en permanence de sa
véritable nature, là où nous le savons mais ne l’incarnons
pas toujours.,
les hindous ont une tendance à déifier les êtres peu ordinaires
mais lui ne se prend certainement pas pour un Dieu.
Son degré de maîtrise de la créativité est plutôt source d’espoir
pour les hommes car il nous prouve par là que nos capacités,
comme les siennes, sont infinies.
Parfois, nous avons besoin d’un exemple sous les yeux pour avoir
la preuve que c’est possible et je crois que c’est là son rôle de phare.
Je ne sais plus qui me racontait l’histoire d’un garçon qui avait vécu
ses premières années dans la marre à côté de chez lui à observer
les grenouilles.
Personne ne lui avait jamais appris que les humains sont différents des grenouilles.
Ainsi, lorsqu’une de ses jambes a été arrachée, on raconte qu’il l’a faite repousser…
Merci Hannah.
C’était surtout par curiosité et perplexité vis-à-vis des croyances hindoues.
Je me demandais si c’est ce que eux pensent.
En effet, il ne me laisse pas du tout l’impression de quelqu’un qui se prend pour un dieu; même s’il en est à part entière comme nous tous.
Tout à fait! Et c’est une belle Source d’inspiration!
Nous avons besoin de croire pour voir. Mais parfois aussi de voir pour croire 😉
Pour un tel voyage, il est prudent de s’y prendre suffisamment à l’avance.
Au fur et à mesure les billets d’avion deviennent plus cher.
Enfin une préparation physique est de bon conseil.
Par exemple, 2 heures de marche, si possible avec des déclivités, au moins une fois par semaine.
Puis un peu plus pour finir à une heure de marche par jour, ce qui reste recommandé par tous les acteurs de monde tant médical que sportif pour assurer une hygiène de vie correcte.
Le vélo est très bien aussi, ou n’importe quelle activité physique, ça sera très bien et suffisant.
Bonne préparation à ceux qui sont déjà dans les starting-blocks
Une année, nous avons tenté de nous préparer en faisant
du stepper…inutile ça n’a rien donné, un peu de marche est
suffisant ou monter celles de la Tour Eiffel 😉
Le sentiers du Népal sont remplis de marches!
Le Népal c’est mon rêve mais je ne suis pas
prête cette année. Est ce que c’est un voyage que vous
reprogrammerez?
Bonjour Gabrielle,
Pour le moment non , c’est plutôt la Thaïlande
et l’Inde mais on ne sait jamais. En tous cas,
si nous le programmons ce sera aux alentours
des mêmes dates.
Bonjour Hannah,
Je partage ton article et ta page de l’offre sur les réseaux sociaux.
Que j’aimerais faire partie du voyage….
Bien amicalement,
Christine
Bonjour Hannah,
Je ne connaissais pas du tout la signification d’Annapurnas ! Merci !
J’avais déjà terriblement envie d’aller découvrir le Népal, maintenant j’ai carrément hâte 🙂
Ce sera une nouvelle rencontre « au sommet » avec la Mère Divine puisqu’il s’agit de Parvati !
A part ça, j’ai bien rit en lisant la description de toi-même à l’aise dans la tempête mais pas trop dans la chaise longue et la récolte des fruits !!!! Je me suis bien reconnu en tant qu’hyperactif contrôlant à l’aise dans les situations les plus dures ! Et surtout lorsqu’il s’agit d’y aider les autres ! Mais comme toi, j’apprends à me poser et à profiter du moment et de l’environnement sans intervenir ! Qu’est-ce que ça fait du bien d’y goûter à cette sérénité !!!
Un grand merci à toi pour tout ce que tu es et pour tout ce que tu transmets <3
Je t'embrasse.
Eric
Bonjour Eric,
J’apprends aussi la chaise longue, surtout quand je suis
en Thaîlande.;-)
Plus je me détends, plus je suis productive pour mon prochain livre.
Dès que nous rentrons ici, on se remet à trop travailler et on court
après le temps!