Une histoire de guérison ou comment réussir sa vie malgré l’épreuve

Comment réussir sa vie malgré la maladie?


Le mois dernier j’ai organisé une Croisée des Blogs sur le thème « histoires de guérisons » où il était question du dépassement de soi et de comment réussir sa vie.


J’ai reçu pour mon événement inter-blogueurs, l’article de Laurence.


J’en publie ici l’essentiel et je vous retrouve à la fin de son récit afin de regarder les symptômes qu’elle décrit sous l’angle du décodage biologique.


Je laisse la parole à Laurence: j’aime les histoires avec une » happy end » où malgré les épreuves, il est possible de répondre à la question: comment réussir sa vie.


« Pour faire court, je dirais que mes problèmes de santé ont véritablement démarré alors que j’étais enceinte de sept mois de mon premier enfant. 


En effet, pile deux mois avant la naissance de celui-ci, lors d’un anniversaire dans la famille, une énorme dispute s’est déclarée entre le compagnon de ma mère et moi-même. 


Le compagnon de ma mère ayant une grosse tendance à forcer sur l’alcool fichait systématiquement chaque fête de famille en l’air depuis des années et, ce jour là, j’ai riposté ! 


Ce fut le début d’une bonne dépression post-natale arrivée plus vite que prévu.

Aussi, très rapidement après l’accouchement, constatant que j’avais des pensées qui me donnaient envie d’en finir avec la vie et parce je voulais donner le meilleur de moi-même à mon enfant, j’ai décidé d’aller voir un médecin en lui demandant l’adresse d’un psychothérapeute.


En fait, j’ai toujours trouvé qu’une douleur/blessure psychique est bien plus difficile à guérir qu’une douleur blessure physique.


Lorsqu’on a une blessure physique, dès qu’elle est refermée, il ne reste que la cicatrice.  C’est facile.  Mais sur le plan psychique, ça ne marche pas comme ça.


J’ai alors entamé une psychothérapie qui allait durer un an, à raison de deux fois par semaine les six premiers mois et puis une fois par semaine pendant les six mois suivants. 


Au début, je sortais de chez le psy en pleurs et puis, petit à petit, des déclics se sont produits. J’ai compris, entre autres, que je n’étais pas responsable des malheurs de ma mère.


Elle vivait avec quelqu’un avec qui elle était malheureuse, s’en plaignait auprès de moi, mais ne le quittait pas… chose que je n’arrivais pas à comprendre ni à accepter. 


Un an après la fin de la psychothérapie, j’ai été enceinte de mon second enfant.  Et là, tout allait bien, jusqu’au cinquième mois de grossesse où j’ai attrapé une bronchite. 


Le hic, c’est que vu que j’étais enceinte, on ne pouvait pas me donner d’antibiotiques.  J’ai donc traîné cette bronchite pendant plusieurs semaines sans pouvoir véritablement me soigner. 


Ensuite, j’ai commencé à attraper des sinusites à répétition.  Mon second enfant est né et les sinusites sont devenues chroniques.


Lorsque que mon second fils avait deux ans, j’ai fait une pneumonie et puis à peine remise de ma pneumonie, environ un mois plus tard, j’ai fait une méningite virale.


Suite à cela, j’ai enchainé avec une lymphangite, et puis j’ai eu des maladies respiratoires chroniques avec seulement une semaine de répit entre chaque nouvelle infection. 


Cela a duré pendant plusieurs années avant que je finisse par trouver, enfin, un médecin compétent, capable d’une écoute attentive et de prendre les mesures nécessaires pour trouver d’où venait le problème.


Après s’être rendu compte que mon immunité était complètement à plat et il a commencé par me faire des injections de gammaglobulines. 


J’ai continué comme ça cahin-caha, jusqu’au moment où j’ai commencé à avoir de très grosses contractures musculaires et la nuque raide (au point de devoir porter une minerve).


Vinrent ensuite des acouphènes, des maux de tête invalidants, des vertiges, des démangeaisons sur les cuisses, et des moments où je n’arrivais même plus à réfléchir ni même me concentrer pour lire ou regarder la télé. 


La lumière et le bruit devinrent des agressions et mon état s’est sérieusement aggravé.


Mon médecin traitant m’a alors envoyé en revalidation pendant trois semaines.  Là, j’ai appris que, de nature hyperactive, j’avais toujours forcé et qu’il fallait que j’apprenne à reconnaître et accepter mes limites. 


Les spécialistes m’ont appris à détecter les signes avant-coureur de mon état de fatigue en m’apprenant à les écouter et à me reposer lorsqu’ils se faisaient jour pour ne plus arriver à l’épuisement total.


Dans la foulée, on s’est rendu compte que je souffrais du syndrome de fatigue chronique (maladie neuro-immune avec une activité anormale des cellule NK « natural killers »).


J’étais aussi atteinte de fibromyalgie secondaire (atteinte douloureuse des tissus mous : muscles, tendons, etc.).  Cette maladie ne se guérit pas totalement.


Un spécialiste a prouvé le diagnostic via une prise de sang et j’ai commencé à me poser beaucoup de questions sur les raisons pour lesquelles ça m’était tombé dessus. 


J’avais 33 ans et je trouvais cela très injuste.


J’ai eu alors, intuitivement, cette drôle d’impression que c’était comme si mes douleurs psychiques, en disparaissant, s’étaient transformées en douleurs physiques.


C’était comme si elles s’étaient glissées de mon esprit dans mon corps en pensant à « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme » comme le disait Anaxagore de Clazomène.


Un beau jour, alors que je racontais à un ami, la manière dont j’avais été questionnée par le médecin conseil par des questions très perverses, il m’a dit : « Mais pourquoi n’écrirais-tu pas ton histoire ? ».


J’ai trouvé cela une excellente idée et je me suis mise à l’écrire.  Ça m’a fait un bien fou car j’ai eu cette drôle d’impression que ça me faisait le même effet que lorsqu’on vide le contenu de son ordinateur pour l’archiver sur une disquette. 


Je me suis rendu compte que j’avais peur d’oublier mon passé et mes douleurs passées, parce que j’avais peur qu’en les « oubliant », je risquais de reproduire certaines erreurs de mes parents.



Il n’était absolument pas question que je fasse cela à mes enfants. Maintenant que j’avais tout mis par écrit, je pouvais enfin « oublier ».


Parallèlement à cela, j’ai aussi eu une antibiothérapie de deux ans, et j’ai été mise en invalidité par mon employeur. 


Mon rythme de vie a donc complètement changé; au début, je faisais un peu de ménage, puis je prenais une demi-heure de repos, puis je faisais les courses, puis repos, etc. 


En fait, ne travaillant plus, je voulais me sentir utile à la société et je voulais aussi que mon mari et mes enfants n’aient pas à rougir de moi. 


En me dirigeant vers le côté artistique de ma personnalité, je me disais qu’à défaut de faire de la politique (milieu dans lequel j’ai travaillé et qui m’a aussi dégoûtée), l’art était un bon moyen de faire ouvrir les yeux de son prochain. 


Par la beauté, on peut dénoncer des choses et faire réfléchir.  Et en plus, dans notre monde contemporain si oppressant, les gens ont besoin de Beauté.


Je sais en tous les cas que je ne serais pas celle que je suis aujourd’hui si je n’étais pas passée par tous ces problèmes de santé et de souffrances… même si, plus d’une fois, il m’est arrivé de penser que c’était beaucoup pour une seule personne » .



Par la suite, Laurence s’est mise au violon, à des cours d’histoire de l’art. Elle a aussi exposé ses œuvres en céramique.



Elle s’est aussi rendue utile en écrivant gratuitement des lettres juridiques pour ceux qui ne savent pas se défendre.


Grâce à l’art, l’écriture, la lecture et la musique, Laurence a commencé à changer de rythme et à aller mieux.


L’histoire de Laurence vue par le décodage biologique


Si je retrace l’historique de Laurence, je m’aperçois que tous ses symptômes ont commencé pendant la vie intra-utérine de ses enfants et au moment où elle décide de s’attaquer à un monument: comment réussir sa vie en ne reproduisant pas le schéma familial.


J’ai déjà l’information que c’est sans doute là que s’enracinent ses difficultés. En devenant mère, c’est son rapport à sa propre mère que son inconscient lui révèle.


Qu’est-ce que j’apprends du comportement de sa mère? Qu’elle laisse faire un compagnon alcoolique (sans doute violent sous alcool) qui gâche les fêtes de famille. Je suppose qu’il ne gâche pas que les fêtes mais le quotidien aussi.



Qu’elle se plaint à sa fille en l’utilisant comme confidente (abus d’un enfant qui ne peut pas répondre à la demande d’un adulte).


J’en déduis tout de suite qu’il n’y a aucune protection dans cette famille. L’enfant qu’elle était a du faire face toute seule aux situations violentes et être responsable de sa propre sécurité.


La violence est symbolisée par la lumière et le bruit qui deviennent des agressions.


La lumière et le bruit ne sont des agressions que pour un bébé qui dort et qu’on réveille ou un enfant de qui on ne respecte pas les besoins et les rythmes.


Si on se réfère aux symptômes récurrents de Laurence, il est question d’une grosse fatigue, d’un épuisement total, immunité à plat, syndrome de fatigue chronique, suspicion de mononucléose.


Ces symptômes corroborent le non respect des rythmes et du sommeil de l’enfant qu’elle était. On retrouve chez Laurence adulte un aspect hyperactif qui consume son énergie sans qu’elle pense à reposer son corps.


Je peux aussi en conclure que son organisme (qui choisit la réponse la plus appropriée pour sa survie) lui ordonne de ne pas avoir d’énergie afin de lui faire modifier son rythme et ralentir son organisme.


Ainsi, ne pas avoir d’énergie c’est ne pas riposter, et donc ne pas avoir la capacité de se défendre. Comprenez bien: de son point de vue, sa fatigue est un handicap. Du point de vue de son corps c’est une survie.


En quoi est-ce une survie de ne pas pouvoir se défendre ? Faire le mort, est une stratégie du cerveau reptilien qui, en cas d’agression, permet d’avoir la vie sauve.



Revenons aux symptômes de Laurence : Malgré ses stratégies de survie à ne pas prendre de risque, avant la naissance de son premier enfant, elle en a pris un qui allait à l’encontre de ses mémoires cellulaires : elle a riposté.


Du point de vue cellulaire, elle s’est exposée en se confrontant à un adulte considéré (par Laurence petite ) comme dangereux.


Un conflit intérieur a alors éclaté en elle qui s’est soldé par une dépression. A la lumière de ce que nous avons vu dans le précédent article, la dépression pourrait bien être le symptôme d’un début de guérison.


En effet, c’est à partir de là qu’elle a commencé à chercher des solutions pour guérir l’enfant blessée qu’elle était.


Après les deux ans de son second fils, les ennuis physiques ont commencé faisant suite à une bronchite sans fin pendant sa deuxième grossesse.


Toutes les infections sont reliées à la colère, la rage (légitime d’enfant refoulé bien sur) et la frustration. Dans les bronchites, on retrouve:


  • Émotions refoulées de l’enfance où on a peur de dire
  • Situation étouffante où ses droits ne sont pas respectés




En décodage biologique, la pneumonie est symbole de :


  • Révolte face à la vie (colère de l’impuissance et la soumission)
  • Étouffement par les responsabilités (parents dépendants et infantiles)
  • Confusion dans les relations (mère et beau-père abusifs)
  • Tout prendre sur ses épaules (pas d’aide, ne peut compter que sur elle-même)
  • Difficulté à trouver une raison de vivre. ( hyperactivité au travail ou à la maison)


La lymphangite nous ramène à plusieurs conflits:


  • Tout ce qui touche à la lymphe nous laisse sans protection face aux virus et bactéries
  • Tout devient une agression.
  • Si je me défends, je meurs.


Pour ce qui est de la méningite, il y a:


  • Impossibilité de lutter contre les pressions extérieures.
  • Obligation de se préserver des coups (même s’ils ne sont pas physiques).
  • Révolte due à l’hyper-responsabilité
  • Incapacité à s’auto-protéger (conflit car il le faut pourtant et pas d’adultes dans son entourage)


Enfin la fibromyalgie parle de:


Déséquilibre du système nerveux faisant suite à un choc émotif ou accident. Pour lutter contre la douleur psychique, les personnes qui en sont atteintes deviennent perfectionnistes, hyper exigeantes et loin de leurs besoins profonds.


Elles sont en général plutôt gentilles et généreuses mais dans une immense dévalorisation (Laurence ne voulait pas que sa famille ait honte de son inactivité).


Pour en arriver à ce point de souffrance, il faut souvent avoir été en contact prolongé avec de grands manipulateurs qui utilisent la violence, souvent verbale.


Comme cette maladie ne présente aucun symptôme extérieur visible, la personne souffre sans pouvoir prouver sa souffrance comme c’est le cas des enfants abusés.


Laurence raconte à un moment sa rencontre avec un médecin du travail qui ne veut pas la croire et qui recrée chez elle l’environnement à tendance « perverse » de son enfance.


En règle générale, un amoncellement de maladies comme c’est son cas, trouve sa cause dans l’arbre généalogique. Les blessures non résolues de l’arbre cherchent à être guéries au travers d’un descendant.


Ces blessures non dénoncées de l’arbre peuvent être des tortures (époques de guerre) ou de séquestration… comme cela pouvait être le cas pour une femme enceinte qui ne doit pas déshonorer sa famille en étant fille-mère.


Cet indice est important car les problèmes de Laurence ont souvent commencé avec les grossesses.


Je ne peux rien prouver mais lorsqu’on vit des horreurs pareilles, la cause est souvent antérieure à notre propre naissance. Voir mon article sur les maladies d’enfants.


En dehors du décodage biologique, quelques indices laissés par le récit:


En analysant des mots pris ça et là dans le texte, je retiens :


« Dégoûtée du milieu dans lequel je travaillais » ce qui est une transposition du climat familial, par opposition au besoin de beauté absent dans la famille.


« Il faut dénoncer des choses » , cela parle encore du climat familial et de l’abus infantile. « Notre monde contemporain oppressant » reste une projection du milieu familial de l’enfance.


« Rougir de moi » montre une dévalorisation d’elle-même si elle n’est pas utile. La dévalorisation est un réflexe défensif qui permet de récupérer du pouvoir, je m’explique :


Pendant que je crois que je pourrais faire mieux, je ne me confronte pas à la réalité de mes parents qui n’assurent pas et me laissent dans l’impuissance totale du à mon statut d’enfant.


Je peux faire mieux à l’école à dix ans mais est-ce que je peux faire mieux à trois mois?


Comment réussir sa vie dans l’épreuve?


En conclusion, tout ce qui vous arrive adulte est la répétition de votre bain d’enfant afin que vous puissiez le ramener à la conscience et le libérer.


Parfois, vous êtes aussi amenés à vivre des mémoires trangénérationnelles pour les mêmes raisons.


Tant que vous vivez dans ce schéma et n’êtes pas conscients des mémoires à l’oeuvre, le stress alimente les maladies qui ne sont là que pour tirer la sonnette d’alarme.


Rien n’arrive par hasard. La grande fatigue liée aux symptômes empêchait Laurence de se révolter car il y avait un danger. La colère de l’impuissance continuait à faire rage dans son corps sous forme d’infection.


Laurence a choisi inconsciemment de faire tout ce travail en passant par le corps car dans sa croyance, « on guérit mieux d’une maladie que d’une blessure psychique ».


Or, on s’aperçoit que, au travers de toutes ses maladies (mal à dit), c’est toute la blessure psychique qui a défilé dans son corps.


Dans le cas de Laurence, le surplus de souffrances vécues trouve son origine dans des causes karmiques, c’est à dire au-delà de sa propre enfance ou dans un schéma familial sur plusieurs générations.


C’est souvent un des aspects de la fibromyalgie.


Si Laurence réussit à mettre du cœur sur cette terrible histoire et accepte par cela même d’avoir été celle qui réhabilite ses ancêtres, alors la branche de son arbre généalogique est guérie.



Ne pas rester bloquée dans l’injustice est un véritable tour de force et la preuve du travail intérieur accompli.


Un grand merci à Laurence qui a prêté un épisode de sa vie à l’analyse par le décodage biologique. la réponse à comment réussir sa vie est l’oeuvre de toute une vie.


Seuls le climat sain dans sa nouvelle famille, l’arrêt du travail alimentaire et la créativité lui ont permis d’être elle-même enfin et de commencer à guérir.


L’histoire de Laurence vous touche, vous fait réagir, vous interroge? Laissez un commentaire!

 

 

 


Hannah

96 commentaires

  1. Arnaud le 26 décembre 2012 à 18 h 33 min

    Bonsoir Hannah,

    Un petit mot juste pour remercier Laurence de ce partage.
    Raconter son histoire aux autres est vraiment très aidant.

    Je me souviens de la période 24 – 30 ans ( 24 ans c’est l’ age ou le déclic à eu lieu pour moi en matière de travail sur soi ) ou je considère que les livres m’ont sauvé la vie.
    Les livres c’est comme une rencontre.
    Je me souviens les sensations extrèmements fortes du genre:  » ah bon!! quelqu’un d’autre que moi pense ca!!!  »
    Merci Laurence
    et bien sur merci Hannah pour ce décriptage d’expert.
    Arnaud



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 36 min

      Bonsoir Arnaud ,
      J’espère que Noël s’est bien passé pour toi.
      En Thaïlande, le travail intérieur continue
      et la pleine lune de ce soir est costaud!
      Savoir que d’autres sont sur le chemin de la
      conscience et la guérison aide. Chez les
      bouddhistes, la « Sangha » ou communauté est
      un pilier important vers l’éveil.



      • Arnaud le 27 décembre 2012 à 17 h 17 min

        Bonsoir Hannah ,

        j’ai fais un Noel insolite!

        Je suis parti de nuit vers 18h00 ( lampe frontale,quoique pas besoin la lune était présente) avec mon amie Lise ,son chérie et son chien et nous avons grimpé la sainte Victoire ( environ 600m de dénivellé).
        Arrivé la haut , un magnifique refuge nous attendait ainsi qu’un couple ,qui avait l’air hyper surpris de nous voir débarqué en pleine nuit et hyper embarrassé car en train de faire un gros calin hi hi!!.

        Ils avaient préparé un bon feu de bois.
        C’était la tempete ( au moins 100 kms heure de Mistral ).
        Température autour de zéro car la fumée sortait de nos bouches.
        Petit repas préparés à l’avance chez le traiteur et bouteilles de champagnes.
        J’ai adoré cette soirée.

        Le lendemain départ 10h et marche jusqu’a la tombé de la nuit.
        Voilà Hannah j’aurais pu etre seul!! Et bien la vie a dit non!
        Je vous imagine en Thailande et je paierais cher ( avec des billets de Monopoly) pour etre avec vous et sentir la lune costaud! Bon je crois qu’ici à Gap c’est la meme .

        Je t’embrasse fort

        Arnaud



        • Hannah le 30 décembre 2012 à 5 h 37 min

          Bonjour Arnaud,
          Cela s’appelle l’ajustement créateur.
          Il va falloir aussi se laisser inspirer pour
          le prochain réveillon!



          • Arnaud le 30 décembre 2012 à 7 h 22 min

            Bonjour Hannah,

            oui c’est cela! J’adore l’ajustement créateur.
            A vrai dire je n’ai pratiqué que cela dans ma vie mais sans conscience avant.

            A propos du prochain réveillon!
            Au moment ou je vous écris il est 14h20 en Thailande je crois? 8h20 à Gap.
            Vous arrivez Quand? Si je peux faire quelque chose ?



            • Hannah le 30 décembre 2012 à 13 h 43 min

              Bonsoir Arnaud.
              certains rentrent dans la journée du 31 mais nous rentrons
              dans la journée du 1er. Il y a bien quelque chose que tu pourrais faire
              pour nous afin que nous puissions chercher Henya dans la foulée mais
              cela t’obligerait à faire de la route.
              Si jamais tu es valide après le réveillon, nous t’embaucherions bien
              pour venir nous chercher à Nice car notre voiture est à Marignane.
              Tiens nous au courant si c’est jouable pour toi de te déplacer à Nice
              dans la matinée du 1er de l’an.



    • Laurence le 7 janvier 2013 à 13 h 05 min

      Bonjour Arnaud,

      Voici juste un petit mot pour vous remercier aussi car… vous êtes en partie responsable de mon envie de participer à la rédaction d’un texte sur la guérison qui a finalement abouti à cet excellent article de décodage biologique par Hannah.

      J’ai été touchée par ce que vous m’avez répondu lors de mon intervention sur le « Karma » et du coup, quand s’est présentée l’occasion de parler de guérison, ça m’a donné envie d’en dire plus dans l’espoir que cela puisse en aider d’autres…

      Pour le reste, je vous rejoins à 100% sur ce que vous dites au sujet des livres… à moi aussi, ils sont absolument indispensables.

      A bientôt. 😉

      Laurence



      • Hannah le 7 janvier 2013 à 14 h 15 min

        Je transmets les remerciements…



      • Arnaud le 8 janvier 2013 à 10 h 04 min

        Bonjour Laurence ,

        Bien heureux d’avoir contribué à ce fait.

        Je pense que nos ecris nous touche l’un l autre car probablement des grandes similitudes dans les violences de nos enfances.
        C’est formidable de transformer comme vous le faites.
        Votre recit me donne envie moi aussi d ‘écrire mon passé.
        D’ailleurs au début de ma thérapie Alain et Hannah m’avait fait lire : »gueule cassé  » de Tim Guenard , et je m’étais dis que je devrais écrire un livre moi aussi tellement ce livre ressemblait à ma vie.Peut etre le ferais je un jour! Quoique l’essentiel pour moi est d’etre vivant la tout de suite.Mais bon la guérisson peut aussi passer par l’écrire cette saloperie d’enfance.

        Nous avons un livre de chevet en commun : Le manuel du guerrier

        De tout mon coeur je vous souhaite une très belle année 2013 Laurence …

        Arnaud



        • Hannah le 8 janvier 2013 à 10 h 36 min

          Bonjour Arnaud,
          Je n’ai pas lu celui que tu nommes mais j’ai lu
          « Plus fort que la haine » de Tim Guénard



          • Arnaud le 8 janvier 2013 à 10 h 53 min

            oups!!! c’est une erreur effectivement , le livre que vous m’aviez conseillé était bien « plus fort que la haine »
            Je ne sais pas ou je suis allé chercher ce titre de Gueule cassé!!! c’est peut etre un passage du livre!!



        • Laurence le 8 janvier 2013 à 13 h 20 min

          Bonjour Arnaud,

          Vous me dites :  » Votre recit me donne envie moi aussi d‘écrire mon passé. », ce qui me donne envie de vous répondre : « Faites-le ! ».

          Je pense qu’il est très important de suivre ce que notre petite voix intérieure nous dicte car elle se trompe rarement. 😉

          Concernant cette « saloperie » d’enfance, je ne dirais pas cela car quiconque a envie d’avancer, trouvera les moyens de surmonter les souffrances qu’elle nous a fait endurer. Et une fois surmontées, c’est parce qu’on a eu une telle enfance et pas une autre, et qu’on a réussi à la surmonter, que nous pouvons ouvrir notre esprit et nous rapprocher de nous-mêmes et des autres.

          Aussi étonnant que cela puisse paraître, au final, on en arrive même à se dire qu’on a eu une forme de chance d’en avoir « bavé » car cela nous a appris à nous fortifier dans le bon sens du terme, c’est-à-dire pas « fortifié » dans le sens de devenir insensible en ayant crée une carapace d’acier autour de notre coeur, mais dans le sens d’avoir appris à prendre le meilleur dans toute « tuile » qui nous tombe dessus afin de mieux la gérer.

          Dans notre monde « matériel », toute chose a son opposé : yin/yang; grand/petit; bon/méchant; etc. Donc, forcément, lorsqu’on a un ennui, il nous apporte aussi quelque chose de positif, le tout est d’arriver à faire face pour faire disparaître la tuile, tout en arrivant à détecter ce qu’elle nous a apporté de positif. 😉

          Les alchimistes disent qu’on atteint la légèreté et qu’on se rapproche de la « perfection » après être mort plusieurs fois (ou après avoir été « distillé » et « aggloméré » plusieurs fois) et après avoir réussi à renaître de ses cendres. C’est de ça qu’il s’agit en fait lorsqu’on parle de la transformation du plomb en or. Il s’agit bien plus de la transformation de l’âme plutôt que de celle du métal.

          Tiens, au fait, j’ai bien aimé la façon dont vous avez passé le réveillon (et puis le coup des amoureux dérangés, ça m’a bien fait rire). Voilà un bel exemple de liberté. Etre dans la montagne à l’air libre, quand tout le monde se force à faire la fête ou se morfond d’être tout seul chez lui un jour qui DOIT être de fête comme le veut la tradition, alors que si on relativise un peu, c’est un jour comme un autre et tous les jours sont l’occasion de faire la fête ou de se faire plaisir. ;-))

          Pour en revenir aux livres, je n’en ai lu aucun de Tim Guenard, que je ne connais pas d’ailleurs. Par contre, le manuel du guerrier de la lumière, c’est vrai qu’il est très beau. De Coelho, il y en a trois autres qui m’ont beaucoup plûs, c’est « Brida », « Le Zahir » et « Onze minutes ». Ce sont, définitivement, mes livres préférés.

          Après, il y en a plein d’autres dont je pourrais vous parler, mais ce serait bien trop long ici. 😉

          A vous aussi, je souhaite une magnifique année 2013.

          Laurence



          • Arnaud le 8 janvier 2013 à 17 h 20 min

            Oui Laurence vous avez raison je vais le faire .

            J’ai toujours su que c’était important pour moi et aussi pour aider certains qui liront que c’est possible de revenir de l’enfer. Je crois que c’est maintenant.J ‘ai installé une discipline dans ma vie qui fait que je ne fais plus que les choses essentielles pour ma vie donc je vais prendre le temps et peut etre qu’un jour je vous remercierai d’etre en partie responsable de cette envie 😉

            Je suis d’accord à 100 pour 100 sur la chance d’en avoir bavé.Probablement que vu que je n’ai pas encore transformé concretement dans ma réalite il me reste de l’amertume.Mais je sais que c’est une histoire de patience et de courage et un jour oui je dirais que tout a été comme il fallait.Je pense que le réel pardon est possible quand on a basculé dans 51pour 100 de satisfaction dans sa vie (comme dirait Hannah)

            Oui le coup des amoureux c’était rigolo.
            Par rapport au convention de société, je peux dire que dans mon malheur d’avoir du me faire tout seul j’ai pu bénéficier de cette liberté. Aucune éducation à aussi quelques petits avantages.Toute ma vie je me suis autorisé des bizzareries tout simplement car je suivais mes envies.

            Concernant Noel précisement , depuis l’age de 17 ans , moment du départ avec sac à dos de mon cauchemar familial , il s’est passé 24 Noel tous plus différent les uns que les autres.
            Dans divers horizons , dans divers familles « d’accueil « . Dans divers états psychiques , certains tristes.
            Je me souviens là de celui de 2001.
            Je rentrais d’Inde et de ma rencontre avec Sathya Sai Baba.
            Là bas j’avais rencontré , dans l’ashram , une femme qui habitait sur Paris .
            A mon retour , vu que je me laissais porté par le vent car completement perdu , je me suis dis : »allez Paris pourquoi pas! »
            J’ai donc retrouvé cette charmante personne qui m’a présenté sa famille.Il se trouvait que ses parents dirigeaient une association de bienfaisance « Noel aux halles »si ma mémoire est bonne.

            Il s’agissait d’offrir un diner spectacle pour les personnes SDF à la bourse du Commerce.

            Au court d’un diner préparatoire de cet évènement se posa un problème.

            Il n’y avait pas de présentateur pour les artistes ( de grands talents d’ailleurs , genre qui allaient au plus grand cabaret du monde de Patrick Sébastien).
            Le moment était grave car Noel approchait et les 600 convives de ce diner seraient trop décus si nous ne trouvions pas la solution.
            Dans ma petite tete à commencé à germer un truc dingue.Je me disais « Arnaud tu as fais 3 ans partie d’une troupe de théatre , tu étais bon , allez fonces proposes toi » .
            Ce que j’ai fais.
            Quand j’ai ouvert la bouche pour annoncer :  » Je suis votre homme » Tout le monde s’est retourné stupéfait et heureux! Je leur ai explique mon parcours et ils ont accepté.
            J’étais mort de trouille mais je n’ai pas regretté car le moment fut incroyable.
            Je garde cette expérience dans mon coeur pour toujours.Je ne vous raconte pas la soirée car trop long mais c’était fou!
            Ha si juste une chose.
            Ce soir là un artiste ‘ » l’homme au cou de taureau  » je crois.Il portait sur son menton des meubles, machine à laver etc etc..vint me voir avant le debut du spectacle pour me demander un service.
            Il avait besoin d’un cobaye pour s’allonger au sol tandis qu’il portait en équilibre un sabre sur la pointe d’un petit couteau tenu dans ses dents.
            Bien sur j’ai accepté (j’étais fou).Il à été jusqu’à laissé tombé le sabre pour faire frémir le public et le rattraper au vol avant qu’il ne me transperce.
            Je garde un souvenir incroyable de ce Noel avec tout ces artistes qui m’appelaient par mon prénom, j’étais leur Michel Drucker hi hi! ca crée des liens.

            Et toutes ces personnes en difficultés si heureuses de tant de chaleur d’un soir.

            Voilà chère Laurence vous m’avez donné envie d’écrire un petit peu

            Cordialement

            Arnaud



  2. Patrick le 27 décembre 2012 à 6 h 28 min

    Bravo Laurence,
    c’est une belle description libératrice d’un chemin douloureux mais courageux.
    Parvenir à aller au delà de soi dans des moments clés, c’est un exemple, un modèle pour tous ceux qui souffrent mais en acceptent la responsabilité.
    Bonne continuation sur votre route éclairée de justesse de vue.



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 23 min

      Bonsoir Patrick et merci de ton commentaire
      Oui ce sont des parcours de vie qui demandent force et détermination.
      Comprendre aide aussi à accepter.



  3. Micheline le 27 décembre 2012 à 6 h 39 min

    Les enfants aiment qu’on leur raconte des histoires…. et moi, adulte, j’aime encore et toujours çà !
    Elles font rêver, touchent, émeuvent et nous font réfléchir.
    Dans la plupart des histoires de guérison que j’ai l’occasion de lire, une phrase, situation, réflexion..résonne en moi. Cela guide vers ma conscience mes propres comportements inconscients.

    Merci donc pour ce beau travail de diffusion !

    Heureuses fêtes à vous et à ceux que vous aimez.

    Micheline



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 22 min

      Merci Micheline.
      Il me reste encore une histoire de guérison à raconter
      pour boucler le festival, ce sera pour janvier sur
      anorexie et boulimie.



      • Denise le 28 décembre 2012 à 0 h 51 min

        Bonjour Hannah,

        Je viens de lire le vécu de Laurence et comme dans chaque cas vécu je vois un peu de moi et parfois beaucoup. Je suis une battante et une gagnante parce que j’y ai mis beaucoup d’efforts tout au long de ma vie pour me sortir autant de blessures physiques que psychiques.

        En lisant cette histoire je me demandais s’il était possible pour toi de nous parler d’un fait vécu concernant mon problème de poids. C’est le bout où, jusqu’à maintenant, je n’ai pu réussir à guérir et ce, autant en travaillant sur le psychique qu’en posant des gestes concrets au niveau physique.

        Et voilà que je vois ton message annonçant l’histoire pour janvier Anorexie et boulimie. C’est le ciel qui t’envoi. Merci pour ton superbe travail et merci d’aider ceux qui veulent être aidé.

        Bonne fin de voyage et Joyeuses Fêtes.
        Denise



        • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 32 min

          Bonjour Denise,
          Les problèmes de poids peuvent aussi avoir un lien avec
          l’arbre généalogique comme c’est sans doute le cas pour
          Laurence, c’est aussi parfois un problème karmique mais
          je vais développer dans mon prochain article. Tous les sujets
          dont je parle sont sensibles chez moi aussi et le fruit de
          mes recherches perso!



  4. Jonathan le 27 décembre 2012 à 7 h 32 min

    Salut Hannah,

    J’ai trouvé cet article intéressant avec tous ces indices qu’on ne voyait pas aux premiers abord. Tu fais un vrai travail de détective !
    De mon intuition sans être avoir étudié tout ce que tu expliques, ça me parait très juste. Nous sommes des grands enfants qui revivons le passé jusqu’à être en paix et libéré de ce qui remonte à la surface.

    Bonnes fêtes de fin d’année ! A+



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 20 min

      Merci Jonathan.
      J’ai demandé confirmation à Laurence avant de
      publier l’article. Le côté enquête t détective
      privé du décodage biologique me passionne car
      j’ai de nombreuses preuves que ça fonctionne.



  5. zenie le 27 décembre 2012 à 7 h 44 min

    Bonjour Hannah, merci pour cette histoire et pour son décodage. Si j’ai bien compris, on vient guérir des branches de nos arbres généalogiques et ce faisant, on trouve notre véritable voie.

    Bonne fin d’année sous le soleil !

    zenie



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 17 min

      Oui Zénie, c’est exactement cela.
      Une des raisons pour lesquelles nous venons
      sur terre est le nettoyage (Ho’oponopono)
      mais nous nettoyons aussi nos ancêtres qui
      n’ont pas eu la chance de vivre à une époque
      où plus de liberté et plus de conscience sont
      possibles.



  6. patricia pierron le 27 décembre 2012 à 8 h 55 min

    BONJOUR
    Très beau récit et merci beaucoup à Laurence d’avoir extériorisé et su mettre des mots à ses maux.
    C’est un très beau cadeau qu’elle nous fait en se dévoilant et me permet de comprendre mieux la formation que j’ai suivi sur Paris.
    Très beau cadeau pour avancer dans notre vie et décoder notre façon de fonctionner
    Mille merci
    Très bonnes fêtes de fin d ‘année
    Cordialement
    Patricia



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 16 min

      Bonsoir Patricia et merci de ce partage.
      Le décodage biologique fait des petits
      miracles lorsque la problématique s’incarne
      en maladie.



  7. Monique le 27 décembre 2012 à 9 h 39 min

    coucou Hannah,
    Merci de cet article, un peu long, mais fort intéressant.
    Bien sûr travailler, et retravailler ses mémoires… cela prend des années. Je m’en sors, enfin !
    « Réussir sa vie » comme tu dis dans le titre, est une tâche trop lourde et un concept vague, sans savoir si on y est arrivé 😉 Je suis assez contente de réussir des projets dans ma vie.. c’est simple, efficace, et on en voit les résultats immédiats.
    Bonne journée
    Et bonnes fêtes de fin d’année !



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 48 min

      Bonsoir Monique,
      Bonnes fêtes à toi aussi.
      Réussir ses projets c’est aussi cela réussir sa vie.
      Pour moi, c’est se sentir bien et enthousiaste.
      Faire ce qu’on est venu faire quoi!
      Etre au milieu du courant pas sur la berge à
      regarder les autres passer. La maladie est un
      vrai défi pour cela.



      • Monique le 28 décembre 2012 à 11 h 14 min

        Oui Hannah, merci pour ta réponse.
        La maladie est un vrai défi. J’en sais quelque chose. Pendant 8 mois. Là où j’ai été « sur la berge ». Heureusement, je suis revenue dans le courant, autrement bien sûr. Mon aide la plus précieuse : la vibration.
        J’ai découvert le violoncelle. Révélation : je joue depuis septembre, et hier, grande joie, un cours de 4 heures. Le temps n’avait plus de prise sur le déchiffrage et la mise en commun. Magnifique. Du pur bonheur.
        Dans ces moments-là, je suis dans le « réussir sa vie ». La maladie apprend aussi à savourer les petits moments de réussite, qu’on repère après, car il y en a d’autres, des multitudes, des petits, des forts, des beaux. Réussir sa vie, c’est savoir aller les chercher et les accueillir.
        à bientôt
        Bonnes Fêtes 🙂



        • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 25 min

          Bonjour Monique,
          C’est formidable d’être guidée par son intuition
          et de découvrir ses dons, potentiels et ressources.
          C’est la porte des autres dimensions qui s’ouvre
          sur de nouveaux espaces.



  8. celine le 27 décembre 2012 à 11 h 03 min

    bonjour Hannah

    merci pour ce partage de l’histoire de laurence qui est très interessante, effectivement il y a un décodage a comprendre.
    pas facile a compendre mais vrai il faut un travail sur le depassement de soi pour avancer et sortir grandi

    céline



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 14 min

      Bonsoir Céline,
      Comprendre ne fait pas tout mais aide à accepter
      surtout quand les mémoires ne sont pas faciles à
      traverser.



  9. Suz le 27 décembre 2012 à 13 h 21 min

    Bonjour Hannah. Bonjour à tous
    Merci à Laurence pour son courage et sa confiance qui contribuent à la guérison définitive.
    Le partage des expériences peut nous conduire à ouvrir notre coeur davantage et à constater que les autres vivent des histoires similaires dans le fond.
    Je retrouve dans le témoignage de Laurence des similitudes quant à ma propre histoire, avec beaucoup moins de maladies.
    Je sais aujourd’hui que c’est mon ouverture à la psychologie et la spiritualité qui m’ont conduit à la guérison, pas encore totale. L’est-elle jamais ?
    Je m’engage à m’intéresser sérieusement à la psycho-bio-généalogie.
    Drôle de coïncidence car hier, j’ai tenté de prendre un RV pour ma fille chez un tel médecin (un psycho-bio-généalogiste), chez nous, en Guadeloupe. Le hasard n’existe vraiment pas, car ma fille à 7 mois de grossesse et des souffrances qui surgissent depuis quelques jours.
    Je suis confiante et j’écoute mon âme, ma petite voix, car elle est là pour moi et prend soin de moi constamment. C’est elle qui me permet de guider ma fille vers des personnes qui pourraient l’aider à transformer sa propre vie.
    1000 MERCI



    • Hannah le 27 décembre 2012 à 15 h 13 min

      Bonsoir Suz et merci pour le commentaire.
      La grossesse ramène beaucoup de mémoires
      de la lignée maternelle.
      La bio-psychogénéalogie est un outil intéressant
      pour aborder les mémoires transgénérationnelles.
      C’est super d’avoir trouvé un thérapeute en
      Guadeloupe, je crois vraiment que le hasard n’existe
      pas.



  10. Anne-Marie le 27 décembre 2012 à 22 h 20 min

    Bonsoir Hannah et vous tous,
    J’ai trouvé cet article fort intéressant, et l’histoire de Laurence très émouvante, surtout que je retrouve quelques similitudes : tout comme elle, j’ai dû intervenir vers l’âge de 15 ans, pour que mon père cesse de battre maman … ce qu’il a fait, mais il a pris ensuite mon frère comme victime…
    J’ai l’impression d’être « née » déprimée et mes souffrances ne sont que psy, mis à part des douleurs lombaires et articulaires au niveau des mains surtout, une dermatose séborrhéique apparue au décès de mon père, et maintenant, depuis 4 mois, je crois que je suis « en dépression », et je cherche des solutions, mais pas chez les médecins, plutôt dans la spiritualité et les thérapeutes holistiques et autres (je suis de la partie puisque secrétaire médicale).
    Bref je ne vais pas raconter mon histoire ici, ce n’est pas le sujet, mais je voulais te féliciter Hannah pour tes « interprétations » qui nous aident à comprendre, en fait depuis enfant je me débrouille seule, et je sais que j’arrive à « LA SOLUTION », vite je l’espère.
    Je viens de temps à autre lire certains de tes articles qui me touchent, et quand j’arrive à me concentrer…
    Un grand merci
    Anne-Marie



    • Hannah le 30 décembre 2012 à 5 h 46 min

      Bonjour Anne-Marie,
      Je vais peut-être être un peu rude mais en même temps cela peut
      ouvrir des pistes.
      La dépression n’est pas une maladie, c’est un peu comme l’alcool,
      elle sert à cacher certaines blessures profondes et non conscientes.
      Elle isole mais ne fait pas avancer vers la résolution, un peu comme
      l’alcool qui noie le chagrin mais ne le résout pas.
      Tu (je tutoie j’espère que c’est ok) connais ta souffrance de voir
      ton père molester ta mère mais aujourd’hui il faut descendre plus profond
      à la rencontre de la petite fille qui n’a pas eu de mère. Tu connais l’ado
      qui a cherché à la sauver mais pas la toute petite qui a besoin d’attention
      et qui, à cause des querelles parentales, se retrouve seule à gérer sa
      solitude.



      • Anne-Marie le 30 décembre 2012 à 9 h 30 min

        Bonjour Hannah,
        Je suis une personne ouverte et donc le tutoiement est conseillé, je préfère en fait, merci.
        Non tu n’es pas rude du tout, et c’est en lisant tes articles que j’avance un peu plus : je viens de comprendre effectivement que j’ai vécu avec des parents « infantiles » et que j’ai du toute ma vie durant gérer SEULE, tout contrôler, jusqu’à mon compagnon (parti à ce jour, et tout ça pour éviter de me « regarder », de m’occuper de moi-même), mais me voilà arrivée au bout, il m’est nécessaire de LACHER PRISE et c’est là qu’intervient la « dépression », qui je suis d’accord avec toi, n’est pas une maladie, mais un « refuge » pour moi…
        Alors que dois-je faire maintenant de concret pour sortir définitivement de là ? te contacter, et tu m’as déjà répondu concernant la méthode TIPI (je crois) ; je suis une toute petite fille encore et personne ne fait attention à moi, tu as vu juste, je suis toute SEULE à gérer ma SOLITUDE (et j’attire ma propre enfant, ado, elle-même, dans la spirale ???
        Avec 2013 les décisions sont là…
        Merci Hannah, j’aime bcp ce que tu fais, ce que tu es… comment m’aimer à présent ? pour enfin être LIBEREE

        Bonnes fêtes de fin d’année Hannah, à tous et toutes dans l’amour, paix dans les coeurs …

        Anne-Marie



        • Hannah le 30 décembre 2012 à 13 h 32 min

          Bonsoir Anne-Marie,
          La solitude est toujours une solitude d’enfant.
          un adulte n’a aucun problème à gérer le fait d’être
          seul, c’est le rappel de la solitude refoulée de l’enfance
          qui fait mal.
          Dans la dépression, contrairement à ce que pense le mental,
          il y a des hauts et des bas, pas juste un marasme global.
          On peut la travailler avec Tipi par exemple mais en prenant
          les moments de la journée qui sont difficiles. Ils doivent être identifiés.
          les interactions avec les humains qui posent problème doivent
          être précieusement notées afin de définir ce qui déclenche
          le mal être au quotidien.
          Une fois que les déclencheurs sont repérés, on peut les
          déprogrammer avec Tipi.



  11. Nicole le 28 décembre 2012 à 7 h 40 min

    Merci Hannah,
    Les articles de ton blog me ravissent,
    car tu diffuses des évidences pour moi,
    et participe à la prise de conscience d’un plus grand nombre qui attend cela.
    Je suis également heureuse de voir que l’expression artistique
    participe à la guérison des conflits de l’arbre généalogique!
    Elle peut même servir à découvrir des piste intéressantes.
    Bonne année 2013, je penserai à toi la nuit de la St sylvestre, là haut dans le ciel!



    • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 26 min

      Bonjour Nicole,
      Dans le cas de Laurence, je crois que l’art a eu un grand
      impact sur le droit à l’expression qui était une des causes
      de la maladie.
      Le travail sur l’arbre généalogique est une ressource là
      où tout a échoué en matière de guérison.



  12. yannick le 28 décembre 2012 à 14 h 12 min

    Bonjour,

    Très bon article !! Riche en enseignement.

    A bientôt
    Yannick



    • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 23 min

      Merci Yannick, je me demandais justement si
      il y avait des actions à poser l’hiver pour
      préparer sa terre.



      • marhthine le 31 décembre 2012 à 13 h 20 min

        Bonjour Joyeuse Lumière 🙂
         » Cultiver son jardin » , 🙂 , personnellement je dirai que l’action à poser l’hiver pour préparer « sa terre » , c’est de la couvrir 🙂 , non pas pour la protéger du froid , mais pour qu’elle garde de l’humidité ( qu’elle fasse de l’humus) . car l’hiver , ça continue à travailler « en dessous » 🙂 hein ! ça abrite les vers de terre , et favorise leur transformation en luciole 🙂 , quelle que soit la terre dont on parle 🙂 .
        Bon vol de retour chère Hannah . Fini le maillot de bain , enfile la doudoune 🙂 . A très vite . Love XXX



        • Hannah le 31 décembre 2012 à 13 h 42 min

          Coucou
          Merci de me rappeler que la terre se prépare
          L’hiver, j’avais oublié le froid et la neige…
          Dans la chaleur, on se détend et les aspects
          Du travail intérieur habituellement maîtrisés se
          Montrent sous un nouveau jour. C’était un voyage
          Pas comme d’hab. Tous les participants ont creusé en
          Profondeur malgré la piscine et les cocotiers,



          • Hannah le 11 janvier 2013 à 13 h 05 min

            Et les résultats sont visibles pour chacun!



  13. Nathalie - Passion Huiles Essentielles le 28 décembre 2012 à 14 h 54 min

    Bonjour Hannah,

    C’est une très belle histoire de guérison et je remercie Laurence pour l’avoir partager avec nous.

    Je pense que je traîne moi aussi pas mal de choses de l’enfance… et que tout n’est pas encore résolu mais en bonne voie 🙂

    Le décodage biologique est vraiment quelque chose de très intéressant… Est-ce-que tu penses que l’écriture peut-être un biais pour « s’auto-guérir » ? Je me dis que lorsque l’on couche les choses sur le papier, elles paraissent souvent plus évidentes mais est-ce suffisant pour faire une sorte de « bilan » soi-même et aller mieux ensuite ?

    J’en profite pour te souhaite mes meilleurs voeux pour l’année qui s’annonce. Que tes voeux les plus chers se réalisent ! 🙂

    A bientôt



    • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 19 min

      Bonjour Nathalie,
      Ton intuition est bonne, écrire ses souffrances sur papier
      ne suffit pas. Par contre c’est une façon de les dénoncer
      et c’est une étape importante dans le processus de guérison.
      Pour les traumas profonds, je ne connais rien de plus efficace que
      les thérapies, surtout les thérapies quantiques qui éclosent
      un peu partout. Elles sont plus rapides et terriblement efficaces.



  14. Jean-Louis le 28 décembre 2012 à 15 h 06 min

    Bonjour Hannah et Laurence,

    Cela semble effectivement très puissant pour régler les opportunités que nous avons dans notre vie.

    On en viendrait à se poser la question, comment faire pour que ce dépistage devienne naturel et habituel dés les premiers signes plutôt que d’attendre les aggravations successives.
    D’autant plus que c’est encore une méthode relativement confidentielle, et que trouver la personne à même de vous aider dans ce jeu de piste, est aussi parfois un exercice en soi.

    Merci à vous deux, et bonne continuation sur les chemins de nouvelles découvertes.



    • Hannah le 30 décembre 2012 à 3 h 16 min

      Bonjour jean-Louis,
      Tu as raison, le maître du décodage, le Dr Hamer a
      quand même passé une partie de sa vie en prison pour
      avoir dérogé à la médecine traditionnelle.
      J.J.Crévecoeur qui a fait un film sur lui s’est vu
      interdire la diffusion de son film, voir la fin de mon article:
      https://www.new.forme-sante-ideale.com/trouver-la-paix-langage-des-couleurs/
      je comprends très bien ton terme « confidentiel »!



  15. Giammugnani/Tereszkiewicz le 28 décembre 2012 à 19 h 57 min

    Le corps dit aime toi ….
    Merci Hannah et bon bout d’An dans la Paix et la Lumiére
    Nelly



    • Hannah le 29 décembre 2012 à 17 h 11 min

      Merci Nelly.
      Ce passage de l’année se fera dans l’avion mais
      ça n’exclut pas la paix et la lumière!



  16. Dorian le 29 décembre 2012 à 16 h 29 min

    Bonjour Hannah,

    Hyper intéressant tout ça. L’accumulation des maladies est frappantes. Elle a su prendre les choses en main, c’est bien mais comme elle le dit, guérir une blessure psychologique est bien plus difficile qu’une blessure physique.

    Bravo pour cette analyse détaillée ! J’ai appris des choses 🙂

    A bientôt.
    Dorian



    • Hannah le 29 décembre 2012 à 17 h 10 min

      Merci Dorian,
      Je suis perplexe à propos des blessures. de part mon métier, je
      m’occupe plus des blessures psychiques et quand je vois des gens
      comme D.Servan Schreiber se battre avec la maladie, je me dis
      que ce n’est pas simple non plus.



  17. BOITARD Lysiane le 30 décembre 2012 à 22 h 32 min

    Bonsoir Hannah
    Merci Laurence pour ce récit dans lequel vous relatez tant de souffrances… Il a fait écho en moi, car la douleur est quotidienne et invalidante. La fibromyalgie entre autre, fait aussi partie de ma vie, et je comprends bien ce qu’il faut essayer de faire pour tenir le coup ! Mais il est vrai que les blessures psychiques sont difficiles à guérir, et pour l’instant je ne sais pas encore ! Le travail de décodage biologique m’intéresse énormément car s’il amène sur le chemin de la guérison, c’est formidable ! Pardonnez mon ignorance, mais comment fait-on pour passer de la compréhension de sa position ou de celles de ses ancêtres, dans l’arbre géologique à la guérison ? C’est tout un travail, je suppose, et je ne suis pas surprise, Hannah, que vous parliez de passion pour ce travail, car c’est ce qu’intuitivement, je ressens ! Cet article tombe à point nommé, juste au moment où mes douleurs se sont tellement aggravées depuis quelques mois, vous parlez de guérison ! Et juste au moment où j’ai envie de passer au décodage biologique, vous écrivez cet article ! Belle synchronicité ! Et il y en a eu d’autres avec certains de vos sujets… J’espère que cela fera un bon déclencheur pour moi et pour tous ceux qui peuvent se reconnaitre sur le chemin difficile, même quand on fait des efforts, de la guérison… La maladie un défi ? Peut-être… Comment faire alors pour découvrir ses dons, pour faire des projets et les réaliser quand on est restreinte dans les gestes de tous les jours et que les pensées qui ne sont pas que positives, viennent entraver les résolutions que l’on prend à chaque fois qu’on sort d’une crise ? Lâcher-prise, je sais, c’est ce qu’il faudrait…. Mais hélas ! Je ne sais pas bien faire ! Ce n’est pas faute de travailler sur moi depuis des années, pourtant… Pour réussir sa vie, malgré la maladie, il faut constamment être forte, et cela m’épuise. Je me retrouve ainsi aujourd’hui et ne trouve plus de sens réel à ma vie… Peut-être que je n’écoute pas assez mon intuition… Si tout ce que vous expliquez peut me donner l’enthousiasme dont vous parlez, je suis preneuse ! La joie est un moteur, qui chez moi, s’est mis en panne… Merci Hannah, pour tout et pour ce décryptage hyper intéressant que vous faites, d’autant que l’on y sent un véritable intérêt, tant pour le travail que pour les personnes à qui vous vous adressez ! Je n’avais pas encore osé vous écrire, voilà qui est fait… J’apprécie beaucoup ce que vous faites !
    Je vous souhaite à tous, et plus particulièrement à vous Hannah que je lis depuis peu et que je ne connais pas encore, un beau passage vers 2013, avec la paix dans l’âme…
    Lili



    • Hannah le 31 décembre 2012 à 2 h 08 min

      Bonjour Lili,
      Merci de votre témoignage.
      La première chose à faire est d’analyser votre situation affective, financière etc
      car les mémoires transgénérationelles ont tendance à recréer des climats identiques
      même plusieurs génération plus tard: par exemple, pour les mémoires de cap de concentration
      dans l’arbre, un descendant peut se sentir cloitré ou séquestré dans une vie trop étriquée.
      Dans le ca sde Laurence, on pressent que dans sa mémoire, il y a eu une humiliation publique.
      Une fois cette compréhension acquise de la mémoire, il faut inspecter sa vie pour voir
      si des ingrédients générateurs de stress sont encore présents comme la critique, le jugement
      ou l’utilisation. Le but étant de ne plus être exploité par une personne, une famille ou
      un système.
      A partir de là, la reconstruction est lente mais possible. Le plaisir de vivre est au bout
      du chemin et l’expérience acquise permet d’aider d’autres personnes dans la même situation.
      Une recherche dans l’arbre permet aussi d’en guérir les blessures.



      • Lili le 1 janvier 2013 à 0 h 38 min

        Merci Hannah pour votre réponse. J’ai déjà analysé ma situation sous ses différents angles et avec des
        regards extérieurs. Il me reste à trouver la réponse à comment s’y prendre pour vivre mieux… Ce n’est pas
        toujours aisé de ne pas vouloir blesser les autres… Mais je pense comme vous, que la reconstruction est possible. Quant à aider les autres, je sais mettre mes soucis de côté, et grâce à ma propre expérience, je fais de mon mieux pour les aider, et j’espère bien continuer…
        Belle année à vous.
        Lili



      • Laurence le 7 janvier 2013 à 12 h 58 min

        Bonjour Hannah,

        « Dans le cas de Laurence, on pressent que dans sa mémoire, il y a eu une humiliation publique »

        Décidément, vous êtes TROP FORTE !

        En lisant cette remarque, je n’ai pas pu résister à l’envie de confirmer ce que vous pressentez.

        Dans ma branche d’arbre généalogique, il y a eu, en effet, un personnage qui se voulait « libre » et pourtant considéré comme « scandaleux » à son époque, à savoir le 19ème siècle.

        Il s’agit de mon arrière grand-mère paternelle qui a fait un enfant toute seule… avec un manouche, un gitan dont elle était tombée follement amoureuse, mais dont elle a toujours refusé de dire le nom à ma grand-mère. Lorsqu’à la boucherie on l’accueillait par un « Bonjour Madame », voyant qu’elle avait un enfant, elle rétorquait : « Bonjour Mademoiselle, je vous prie ! » pour bien marquer son état de femme non mariée.

        Ensuite, lorsque ma grand-mère avait sept ans, mon arrière grand-mère s’est mise en ménage avec… une femme.

        Donc, oui, je pense bien qu’on puisse parler « d’humiliation publique » vu l’époque où cela s’est passé. 😉

        Laurence



        • Hannah le 7 janvier 2013 à 14 h 17 min

          Bonjour Laurence,
          J’ai une petite tendance à voir plus loin que les yeux ordinaires.
          L’intuition est ce qui me permet de lire les couleurs et d’aider
          les autres à développer la leur.



    • Patrick le 31 décembre 2012 à 8 h 48 min

      Bonne chance Lysiane dans vos découvertes sur vous et ce qui vous entoure.
      J’ai eu cette envie de vous saluer dans votre démarche, alors je n’ai pas longtemps résisté.
      Oui, accepter ce qui vient naturellement évite de dépenser trop d’énergie à encore défendre ce qui nous brise petit à petit.
      Je vous souhaite aussi un magnifique renouveau dès à présent, dès le début de cette année porte-bonheur.



      • Hannah le 31 décembre 2012 à 13 h 46 min

        Maintenant que le calendrier maya est terminé
        Cette année a venir ne peut être que du renouveau!



      • Lili le 1 janvier 2013 à 0 h 49 min

        Merci Patrick pour vos vœux de chance. Que les vôtres soient exaucés également ! L’acceptation, c’est ce qu’il y a au bout de mon regard,, mais pas encore dans mon cœur… J’ai du chemin encore à faire. ! Cela éviterait bien de l’énergie mal utilisée… Si le renouveau vient frapper à ma porte, elle lui sera ouverte… Je vous souhaite une superbe continuité sur votre route du bonheur pour cette nouvelle année.
        Lili



  18. Philippe le 30 décembre 2012 à 22 h 50 min

    Bonjour Hannah,

    Merci pour cet article, pour Laurence qui a accepté que son cas soit exposé, et pour toute l’analyse profonde que tu en fais.
    Au regard de cette histoire, et de comment Laurence a pu surmonter tout cela, ce qui est encourageant, c’est ce que j’appelle « l’alchimiste » qui est ne chacun de nous, cette capacité de transformer le plomb en or, la douleur en espoir puis en forces…. encore faut-il le laisser s’exprimer, ce qu’a fait Laurence !
    Bravo et Bonne année 2013!
    A bientôt

    Philippe



    • Hannah le 31 décembre 2012 à 1 h 56 min

      Bonjour Philippe,
      je crois en effet qu’il ne nous est jamais donné
      d’épreuves insurmontables.
      Ça reste de sales quarts d’heures à passer jusqu’à
      ce qu’on puisse comprendre et trouver un intérêt à
      surmonter les épreuves.



  19. sylviane le 31 décembre 2012 à 14 h 17 min

    Bonjour Hannah et merci à Laurence d’avoir acceptée de raconter son histoire qui, sûrement, a fait écho avec beaucoup de tes lecteurs

    « Ce qui ne nous tue pas nous fortifie  » disait un grand philosophe allemand et je crois sincèrement, pour avoir traversé de grandes tempêtes au cours de ma vie, que tout ce qui nous est envoyé l’est pour nous faire grandir et vient juste à propos au moment où nous sommes capables de les supporter et les surmonter

    Guérir ses lignées est un travail essentiel aussi pour éviter les fantômes qui se glissent dans nos vies et les perturbent ô combien

    Bonne année à toi



    • Hannah le 1 janvier 2013 à 19 h 53 min

      Merci Sylviane,
      Je sais que la psychogénéalogie est un sujet qui te tient
      à coeur. Dans les cas comme ça où la maladie s’acharne,
      c’est souvent une cause majeure.



  20. Sco!@couple routine le 31 décembre 2012 à 19 h 01 min

    Bonjour Hannah,

    Il y a beaucoup d’éléments dans cet article mais ça revient toujours au fait de prendre conscience des schémas répétitifs pour les éliminer. Ce sont des schémas qui nous viennent de nos parents et de nos ancêtres et que nous sommes venus travailler pour en guérir.

    Ce qui me «console», c’est que je ne laisserai pas à mes descendants le soin de travailler mes manques, mes faiblesses et mes incompétences quels qu’ils soient, puisque je n’ai pas d’enfants.

    Pour le moment, je me retrousse les manches et je fais du mieux que je peux avec ce que j’ai reçu de mes ancêtres, de mes parents et ce que je suis.

    J’ajouterais ceci: je crois qu’il n’est pas possible de «se battre» contre une maladie. D’ailleurs, je déteste cette expression. La maladie fait partie de nous. Nous devons l’accepter, l’apprivoiser, la remercier pour ce qu’elle a à nous apprendre et nous pardonner (Ho’oponopono) de l’avoir «invitée» en nous.

    Et sur une note plus joyeuse :

    Joyeux réveillon de la Saint-Sylvestre et une merveilleuse année 2013 à tous!

    Sco!



    • Hannah le 1 janvier 2013 à 19 h 58 min

      Bonsoir Sco!
      Je suis d’accord avec le fait que se battre contre une maladie
      n’est pas la bonne piste puisque la maladie est la réponse
      optimum du corps pour nous maintenir en vie malgré notre
      stress.
      Le réveillon s’est fait à 30000 pieds entre le Vietnam et l’Inde.
      Je ne sais pas si cela présage de mon année 2013!
      Une très bonne année à toi aussi.



  21. Ivann le 1 janvier 2013 à 20 h 38 min

    Vraiment intéressant cet article !

    Première fois que je lis ce blog je pense revenir souvent !

    Bonnée année à toi hannah

    Ivann



    • Hannah le 2 janvier 2013 à 12 h 24 min

      Merci pour ton commentaire Yvan,
      je vois que nous surfons sur les
      mêmes thèmes.



  22. Luc mister-no-stress le 1 janvier 2013 à 22 h 22 min

    Bonjour Hannah,
    J’ai été très ému par le témoignage que tu as publié, et j’en retiens principalement la puissance thérapeutique de l’art…
    Je n’utilise pas personnellement l’art thérapie, mais je la recommande souvent aux personnes qui ont brimé leur côté artistique.
    Merci pour ce bel article, bon retour en France, et je te souhaite une merveilleuse année 2013 !
    Prends soin de toi
    Luc Mister No Stress



    • Hannah le 2 janvier 2013 à 12 h 23 min

      Bonjour Luc,
      Je te souhaite aussi une excellente année 2013,
      Je crois que pour Laurence, c’est aussi la diversité
      des approches où on se donne le droit d’être soi-
      même qui a concouru à sa transformation.



  23. Muriel le 2 janvier 2013 à 8 h 29 min

    Bonjour Hannah,

    Je me suis retrouvée dans « nouvelle famille, arrêt travail alimentaire et trouver sa créativité », j’en suis à trouver ma créativité et j’



  24. Muriel le 2 janvier 2013 à 8 h 42 min

    Bonjour Hannah,

    Je me suis retrouvée dans les termes à la fin de ton blog « nouvelle famille, arrêt de travail alimentaire et trouver sa créativité… » j’ai traversé ces étapes depuis septembre 2011 et j’en suis actuellement à trouver ma créativité même si ça passe par reprendre un peu de travail alimentaire en ce début 2013. Fin 2012 mon médecin m’a diagnostiqué la maladie d’Hashimoto qui symbolise pour moi une maladie de guérison. Cette maladie qui touche la thyroïde me montre dans quel conflit je vis dans mon corps depuis certainement le décès de mon père. J’ai appris que je pouvais peut-être par homéopathie contrôler les variations de débordements émotifs qui me mènent la vie si dure parfois, je peine à croire que j’étais en quelque sorte « manipulée » par ma biologie et cela me semble si simple d’en venir à bout aujourd’hui… je crois que je suis encore sous l’effet de surprise et j’attends avec une certaine impatience mon rdv de fin de mois pour commencer mon traitement. La révélation de l’existence de cette maladie au lieu de m’accabler m’a ouvert de nouvelles perspectives, mon mental n’y comprend rien il voudrait que j’ai peur alors que je ressens un nouveau départ au fond de moi… La fin 2012 a été en effet la mort de quelque chose, je craignais la mort physique mais c’est une partie de mon mental qui est mort…
    Que cette année 2013 soit aussi « intéressante » que possible et je pèse mes mots!
    Merci Hannah



    • Hannah le 2 janvier 2013 à 10 h 03 min

      Bonjour Muriel,
      C’est le mieux qu’on puisse souhaiter à quelqu’un qui découvre
      qu’il a une maladie:se sentir mieux avec une bonne base de
      guidage grâce à la maladie et le désir de trouver les ressources
      pour guérir ou atténuer les effets invalidants.
      Cette maladie se déclare souvent à l’adolescence donc je miserais
      sur le fait que cela fait longtemps que tu la portes.
      Une maladie n’est jamais un ennemi. C’est une réponse appropriée
      du corps pour gérer le stress.
      Une année 5 est plus qu’intéressante, elle est passionnante!



  25. Laurence le 7 janvier 2013 à 13 h 14 min

    Bonjour Hannah et tous les autres intervenants,

    Voici juste un petit mot pour vous remercier tous… de vos remerciements. 😉

    Et un remerciement particulier à Hannah qui, par ce décodage très juste et qui m’a appris encore des choses intéressantes auxquelles je n’avais pas pensé, a pu donner des pistes aux lecteurs de son blog.

    Personnellement, ça me rend joyeuse de voir que le partage de mon histoire a pu réconforter les uns, donner des forces/de l’espoir aux autres et/ou donner des pistes à d’autres encore.

    C’est donc avec grand plaisir que j’ai partagé mon vécu avec vous.

    Je vous souhaite à tous une bonne et heureuse année 2013 et qu’elle puisse vous aider à aller de plus en plus loin à la rencontre de vous-mêmes et de la liberté.

    Bizzz

    Laurence



    • Hannah le 7 janvier 2013 à 14 h 08 min

      Merci Laurence de ce petit partage, il ne manquait
      que toi dans les commentaires.



  26. Nutrition sportive le 10 janvier 2013 à 10 h 22 min

    Bonjour Hannah,
    Je vous remercie pour cet article et je remercie la personne qui a accepter de raconter son histoire, mais ce que je veux ajouter c’est que si nous racontons nos histoires aussi vous allez voir comment notre vie est compliquée, malheureusement il y’a des choses que nous ne pouvons pas les raconter sur internet.
    Merci



    • Hannah le 11 janvier 2013 à 12 h 59 min

      Tout est racontable sur internet à partir du moment où c’est dit avec la conscience des
      schémas et en reprenant la responsabilité de tout ce qui arrive.
      Même les histoires douloureuses comme celles racontées dans certains commentaires
      peuvent être dévoilées si ce n’est pas dans la plainte. Parfois mieux comprendre aide à accepter.



  27. Daniel le 15 janvier 2013 à 16 h 26 min

    Bonjour Hannah, quel dommage que je n’ai pas vu ce festival « histoires de guérison » avant, j’aurais bien aimé témoigner.
    Je suis heureux de découvrir ce blog où on parle de décodage biologique, d’analyse transgénérationnelle, et de maladies qui sont plus des amies que des ennemies. Je me sens moins seul!
    Je me suis beaucoup servi du décodage biologique pour comprendre ce qui m’avait amené à déclencher un cancer de la moelle osseuse, mais pas que.
    Je pense que la guérison vient d’un ensemble de choses (conception holistique… tu connais visiblement), soigner les démarches inconscientes est essentiel mais n’est pas suffisant, et c’est une des thèses que je développe dans un livre qui relate l’histoire de ma guérison.
    Je suis intéressé pour découvrir mes mémoires karmiques, mais je ne sais pas trop qui contacter.
    Je pense que je vais revenir souvent ici
    à bientôt
    Daniel



    • Hannah le 16 janvier 2013 à 10 h 14 min

      Bonjour Daniel,
      Je vais t’offrir un scoop….mon ebook n’est pas encore
      prêt , celui qui résume tous les articles de la Croisée donc…
      tu peux encore me l’envoyer.



      • Daniel le 16 janvier 2013 à 12 h 43 min

        Bonjour Hannah,
        génial!
        Je m’attelle à la tâche dès aujourd’hui.



        • Hannah le 16 janvier 2013 à 20 h 11 min

          Ok, Daniel, j’attends ton histoire.



          • Daniel le 20 janvier 2013 à 14 h 23 min

            Bonjour Hannah,

            ça y est, mon article est prêt à déchaîner encore une tempête…
            De la provocation , du suspense, mais un happy end!
            Bonne fin de dimanche
            Daniel



            • Hannah le 20 janvier 2013 à 19 h 45 min

              J’ai lu les commentaires, c’était chaud!
              Je l’ajouterai à l’ebook.
              Je ne l’ai pas encore lu mais je vais
              m’y mettre.



  28. Céline le 20 janvier 2013 à 11 h 33 min

    Bonjour Hannah, sachez que je suis restée bouche bée en lisant cet article..
    Je n’ai que 25 ans mais cela fait tant d’années que j’ai arrêté de vivre. A 8 ans j’ai commencé à faire de l’asthme avec crises aiguës (encore assez présent aujourd’hui), avec bronchites à répétition. Cela s’est empiré après le décès de mon oncle ds un accident de la route. Une pneumonie à 16 ans. Et depuis quelques années rien de grave heureusement mais une fatigue énorme, des maux de dos, nerf sciatique qui se coince etc. En fait depuis que mon père a des soucis de santé surtout.
    Quand j’étais enfant mes parents ne s’entendaient plus, disputes sur disputes, et ma mère venait tous les soirs se confier à moi, je ne savais pas quoi dire !… Je culpabilisais parce que j’étais très (trop) proche de ma mère, j’avais presque pris la place de mon père ..le pauvre ..
    Aujourd’hui, à 25 ans j’ai le corps d’une jeune femme, mais l’esprit d’une enfant de 10 ans. Je n’ai jamais connu l’amour, les relations m’effraient, je ne sors plus, je colle encore ma mère (j’ai honte d’écrire ça), j’ai perdu tous mes amis, je suis au chômage et j’ai peur de la vie.

    Je n’ai pas pour habitude de raconter ma vie et surtout je ne veux pas vous ennuyer avec ça, mais je souhaitais juste vous dire tout ça pour que vous imaginiez à quel point l’histoire de Laurence et votre décodage biologique m’ont bouleversée.
    Je fais de la peinture depuis 2 ans, cela me fait beaucoup de bien mais je sens que ce n’est pas suffisant pour tourner la page de mon passé. J’ai plusieurs fois tenté d’écrire mon histoire également, mais est-ce que cela doit rester secret ou être absolument publié ? Certains détails sont très difficiles à « avouer », même si je reste anonyme. A vrai dire, ca fait plusieurs années que je ressens l’envie de tout écrire, (j’ai essayé sans être allé jusqu’au bout, c’était difficile comme quand on se confie à quelqu’un) mais je ne sais pas du tout comment m’y prendre..
    En tous les cas, je tiens sincèrement à vous remercier Hannah ainsi que Laurence pour son témoignage, c’est parfois grâce à ça qu’on a un déclic qui nous permet de nous en sortir, et il n’y a rien de plus beau que de vouloir aider ceux qui se sont arrêtés de vivre !

    Merci de m’avoir lu jusqu’au bout ..



    • Hannah le 20 janvier 2013 à 20 h 03 min

      Bonsoir Céline pour ce témoignage.
      je suis d’accord avec vous, être créative aide
      mais ne libère pas nécessairement du passé.
      Écrire est important pour que vous fassiez bien
      une différence entre vous et ce que vous avez vécu.
      Vous êtes beaucoup plus que votre histoire.
      Vous n’avez pas besoin de le publier c’est l’extraire
      de vous qui est important.
      Pour la suite, je crois qu’une aide ne serait
      pas superflue pour vous aider à vous libérer.
      Être jeune n’est pas toujours un avantage, les
      blessures sont à vif. Heureusement vieillir a du bon,
      même si vous avez l’impression de ne pas être encore
      dans votre vraie vie, cela signifie qu’elle est à venir.
      N’hésitez pas à faire appel à des professionnels,
      vous avez vraiment tout à gagner à demander de l’aide.



      • Céline le 20 janvier 2013 à 21 h 33 min

        Il est vrai qu’une aide extérieure m’aidera aussi sûrement beaucoup. Mais en attendant je vais me lancer dans l’écriture, du moins retenter. Surtout que certains passages ont été oubliés par mon cerveau, voire même transformés !
        Je suis vraiment contente d’être tombée par hasard sur votre article, je serais ravie de vous tenir au courant si je m’en sors, merci encore !



        • Hannah le 20 janvier 2013 à 22 h 47 min

          Bonsoir Céline,
          Si vous entamez un travail sur vous-mêmes,
          la mémoire va vous revenir petit à petit .
          Il est bon d’être accompagné à ce moment là
          car l’amnésie nous protège un peu des ressentis
          douloureux de l’enfance.



    • Arnaud le 20 janvier 2013 à 22 h 29 min

      Bonsoir Céline ,

      Je ne suis pas insensible à votre témoignage alors j’ose vous envoyer un petit mot d’encouragement.

      J’y suis sensible notamment car vous avez 25 ans.
      Ca me rappelle que c’est quasiment l’age ou pour moi tout à commencer.
      J’ai « pété un cable » à l’age de 24 ans en une fraction de seconde avec une petite goutte d’eau qui a fait déborder mon vase.
      Je ne le savais pas mais c’était le début d’un changement radical dans ma vie.
      Je ne saurais que trop vous conseiller de suivre le conseil d’Hannah.
      Demander de l’aide est un acte difficile à poser mais vraiment ca vaut le coup.

      Pour ma part j’ai commencé à comprendre à l’age de 17 ans que l’enfance que j’avais eu n’était pas celle de tout les enfants.
      Mais comprendre n’a pas suffit donc ca m’a emmener jusqu’a ce fameux « pétage de cable »!
      Dépression , premier psy etc etc etc…
      Aujourd’hui j’ai 41 ans et je suis heureux de vivre.
      Le chemin est semé d’embuches mais si je n’avais pas demandé de l’aide il n’aurait probablement pas continuer.
      Vous dites que votre vie s’est arrétée il y a très longtemps.Quand je vous lis je dirais qu’elle n’a pas commencé!! c’est une bonne nouvelle! le meilleur est a venir….

      Bon courage
      Cordialement
      Arnaud



      • Hannah le 20 janvier 2013 à 22 h 44 min

        Oui ton témoignage est plein d’espoir, ça ne serait
        pas normal de ne pas pouvoir être heureux sous
        prétexte qu’on a vécu une enfance douloureuse ou
        alors la vie serait mal faite et je ne le crois
        pas. Nous avons les épreuves à la hauteur de nos capacités
        c’est juste que parfois on se sous-estime.



      • Céline le 20 janvier 2013 à 23 h 26 min

        Bonsoir Arnaud,

        Votre message d’encouragement me va droit au cœur, ça me fait tellement de bien d’être soutenue. Je comprends tout à fait que le fait de réaliser ce qui s’est passé dans notre enfance ne suffit pas. J’ai été suivie il y a 5 ans, après 1 an de séances, il ne me restait plus qu’à agir. Et c’est le travail le plus difficile, que je n’ai jamais su faire ..
        Effectivement pour moi la vie s’est arrêtée puisque je ne suis pas heureuse, je ne vis plus et ça fait tellement longtemps que ça dure que parfois je ne vois pas pourquoi ça changerait demain.

        Je trouve ça super que vous soyez enfin heureux, bravo ! Vous avez dû sacrément vous battre. Ca me donne de l’espoir, bien que pour le moment, il est trop difficile pour moi de me rendre chez un psy. Je n’ai aucune motivation pour sortir de chez moi. Je n’arrive pas à me forcer.

        Continuez de profiter comme vous le faite,

        Céline



        • Arnaud le 21 janvier 2013 à 14 h 57 min

          Bonjour Céline,
          Si je vous ai touché au coeur alors mon objectif est atteint.
          Le coeur est le chemin pour s’en sortir comme on dit.
          Sentir son coeur n’est pas chose aisé!

          Pour l’instand j’ai la sensation que vous etes spectatrice de ce qu’il vous arrive.
          C’est une étape , vivez là et sentez ce que ca vous fait.

          Le jour viendra ou vous aurez envie d’etre l’actrice de votre vie et là!! vous allez découvrir tout un monde.

          Vous allez découvrir que vous avez tout le pouvoir en vous pour changez et créer votre vie.
          Je ne connais pas d’autre moyen que de se faire aider par un thérapeute qui sait exactement ce que vous traversé car il l’a traversé lui aussi.

          Le jour viendra ou vous serez non pas  » suivie  » mais ou vous passerez un contrat moral avec un thérapeute qui s’engagera envers vous et qui vous demandera la reciprocité .
          Il s’engagera à vous faire bénéficier de toutes ses compétences et son amour et vous vous engagerez à faire le travail de transformation pour vous.
          Le jour viendra ou vous allez créer dans votre vie un thérapeute à qui vous allez décider de donner votre confiance.
          Voilà Céline , je pourrais vous en écrire des pages sur la relation client – thérapeute , mais je pense que le principal de mon message est passé.
          Ce que je vous écris là n’est pas appris dans les livres, c’est tout simplement mon vecu .
          La decision de faire quelque chose pour moi m’a sauvé la vie .

          Je vous souhaite de devenir qui vous voulez devenir…
          Avec tout mon coeur
          Arnaud



          • Céline le 21 janvier 2013 à 22 h 29 min

            Bonsoir Arnaud,
            Ce que vous dites est tout à fait vrai, je suis spectatrice de ma vie.. Et j’espère réellement suivre le même chemin que vous avez suivi, vos messages sont en tout cas plein d’espoir, cela me fait énormément de bien surtout en ce moment. Je suis hypersensible, ce qui fait que j’absorbe les émotions des autres ainsi que les douleurs, alors avec mon père souffrant à côté de moi, je suis dans un sale état physiquement et psychologiquement !…



        • Hannah le 21 janvier 2013 à 22 h 18 min

          Bonsoir Céline,
          Avec le web aujourd’hui, vous pouvez même
          ne pas avoir à vous déplacer pour vous faire aider.



          • Céline le 21 janvier 2013 à 22 h 24 min

            Bonsoir Hannah,
            Le problème est aussi d’ordre financier malheureusement …



  29. Arnaud le 21 janvier 2013 à 9 h 21 min

    Bonjour Hannah,

    Oui d’ailleurs ton commentaire me fait penser à cette image dont tu parles souvent de la grenouille au fond de son puits qui n’imagine meme pas que la haute mer existe.

    Des bas fonds d’ou je viens evidemment que je ne pouvais pas imaginer mieux pour moi que cette misère.
    Il m’a suffit de m’extirper définitivement (physiquement)de mon milieu d’origine en prenant mon sac à dos à l’age de 17 ans pour découvrir que d’autres mondes existent.

    Alors oui la sous -estimation est permanente mais pas après pas je me suis rendu compte de mon potentiel.Par exemple en passant le bac à l’age de 30 ans réussi avec mention.

    Je sais que je suis encore très loin d’avoir accompli tout ce que je pourrais mais l’intention est là et bien sur le bonheur n’est pas l’objectif mais bien le chemin pour l’atteindre.



    • Hannah le 21 janvier 2013 à 22 h 17 min

      Oui en gros, pour atteindre l’objectif d’être heureux,
      il faut déjà l’être, c’est là tout le paradoxe.