Technique Tipi et stress au travail : en quoi c’est moi qui crée tout cela ?

Stress au travail et responsabilité
Le stress au travail, voilà un sujet que je traite peu mais je profite de la Croisée des Blogs organisée par Pierre Cocheteux et son blog pour me pencher sur la question.
Du point de vue purement 3D (3ème dimension), les conditions difficiles dans le milieu du travail sont une réalité.
Même si je m’intéresse aux dégâts causés chez les travailleurs, mon article ne va pas porter sur la dénonciation des facteurs aggravants sur les lieux de travail.
Je vais vous montrer la face cachée de tout ce que vous pouvez vivre au travail et que vous prenez pour des limitations auxquelles vous êtes soumis.
Je ne crois pas que nous soyons de pauvres créatures et que nous subissions de terribles épreuves au travail qui n’ont aucun sens, juste la faute à pas de chance.
Je suis pour améliorer les conditions de travail mais je suis aussi persuadée que nous avons une responsabilité dans tout ce qui nous arrive.
Je sais que cette notion est difficile à encaisser : si vous réussissez, vous acceptez de dire que vous êtes responsable de votre réussite.
Si vous échouez, vous aurez tendance à trouver des justificatifs à l’extérieur pour prouver que c’est un peu la faute des autres ou des circonstances.
Cela est un premier niveau de responsabilité. Si cela est acceptable, passons au deuxième degré qui, lui, l’est beaucoup moins !
Il est facile de se sentir responsable d’attirer à soi des problèmes : imaginez que vous arriviez systématiquement en retard.
Vous prenez un avertissement ou un blâme. Il y a une vraie relation de cause à effet entre vos agissements et le résultat.
Si je vous dis que vous êtes aussi responsable d’avoir un patron qui ne veut pas vous payer vos heures « sup », vous allez moins m’aimer !
Tout a l’air d’être de sa faute n’est ce pas et il est raisonnable de partir en guerre pour faire changer cet enf… de patron.
Parmi les quelques horreurs recensées voici les plus courantes :
- Pression sur les rythmes de travail
- Agressions et violences
- Harcèlement
- Menaces de licenciement
- Sous-utilisation des compétences
- Conflits
- Manque d’autonomie
- Autorité abusive
- Flou à propos des responsabilités
- Objectifs contradictoires
Le fait que ces difficultés aient été répertoriées sous l’appellation RPS (Risques Psycho-sociaux) montre au moins que la société en est consciente.
Ces conditions extrêmes peuvent entrainer des conséquences physiques et psychologiques chez les travailleurs, c’est du moins ce qu’en dit l’Express:
« Les cadres n’ont pas le moral. Pire, leur travail nuirait gravement à leur vie: pour la moitié d’entre eux, il génère des troubles du sommeil et déstabilise les relations conjugales d’un cadre sur trois. Enfin, 9% auraient des pensées suicidaires à cause de leur vie professionnelle ».
Vous sentez venir le fait que je ne suis pas d’accord avec ce qui se raconte dans les journaux! Pour la Tribune,c’est plutôt:
62% des salariés ressentent un niveau de stress élevé et trois personnes sur dix estiment que leur travail est susceptible de leur causer de graves problèmes psychologiques.
Je sais que, pour vous, cela paraît normal, mais je vous assure que vos graves problèmes psychologiques ont d’autres causes que votre travail, je vous explique cela plus loin.
Ce qui est certain par contre, c’est qu’une situation difficile au travail peut raviver de vieilles mémoires et déclencher en vous:
- stress chronique
- pensées suicidaires
- dépression
- burn out
- Peurs angoisses paniques
Pour en revenir à mon propos, jusqu’où êtes-vous prêt à aller pour accepter que tout ce que vous attirez dans votre vie (bien qu’inconscient) est votre responsabilité ?
Stress au travail, c’est aussi vous le problème
Même si le problème a l’air de venir de l’extérieur comme un patron intransigeant ou une collègue qui veut votre place, c’est aussi vous le problème!
La question n’est pas quel est le problème au bureau mais en quoi cela vous touche personnellement ? Cela n’arrive pas à tous les employés, n’est ce pas?
Et tout aussi important : qu’est ce qui en moi a attiré cette situation ? Tant que vous ne pourrez pas répondre à ces deux questions, vous serrez soumis éternellement à la même difficulté.
C’est à dire que vous pourrez changer de travail, vous trouverez toujours un patron intransigeant et un collègue intriguant contre vous.
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Stress au travail: vous êtes touché à cause de vos blessures
Revenons à cette première question, en quoi ce qui arrive vous touche personnellement ?
Avez-vous déjà fait cette prise de conscience avec votre enfant ou un animal, qu’il est possible de faire mal à un petit être vulnérable ?
-Pourquoi est-ce possible ?
-Parce qu’un bébé ne se protège pas.
-Pourquoi ne se protège t-il pas ?
-Parce qu’il n’a pas peur.
-Pourquoi n’a t-il pas peur ?
-Parce que rien de fâcheux ne lui est encore arrivé.
Si vous prenez un enfant plus âgé qui a eu l’habitude de se prendre des coups, il lèvera la main pour se protéger dès que vous vous approcherez de lui.
Il en est de même pour vous. Vous ne pouvez pas réagir de façon dramatique si vous ne portez pas déjà en vous une blessure.
Si vous regardez un film et que vous réagissez dès qu’il y a une séparation ou une rupture, ce n’est pas parce que le film est triste.
Vous réagissez malgré vous et si vous ne retrouvez pas instantanément vos esprits, c’est que vous vous êtes projeté dans la séparation.
Quelque chose d’inconscient en vous accroche le concept de la séparation parce qu’une blessure est encore active.
Si vous ne vous en occupez pas, vous allez pleurer à chaque séparation et cela ne signifie pas que vous êtes sensible.
Votre inconscient profite du fait que vous n’êtes pas dans le contrôle habituel pour vous montrer quelque chose de non résolu.
Tous les enfants ne sont pas marqués à vie par la mort de la mère de Bambi tuée par les chasseurs!
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Faites le test en repassant le film à vos enfants ou vos petits enfants!
Si vous sentez quelque chose qui s’agite en vous lorsque vous regardez un dessin animé, il est est bien clair que dans votre univers, vous avez été blessé par la distance de la mère ou par la perte de la proximité avec elle.
C’est encore le petit en vous qui réagit, cela n’a rien à avoir avec votre sensibilité d’adulte.
Cette blessure à l’intérieur de votre inconscient attire à elle des expériences de même nature qui se manifestent dans votre vie de tous les jours.
Alors, de la même façon, si vous vous retrouvez dans cette entreprise avec « ce » patron et « cette » collègue, c’est surement votre inconscient qui les a aimantés.
Stress au travail inversez la formule!
Ainsi vous pouvez renverser ce que dit l’Express : ce n’est pas forcément les conditions de travail qui génèrent votre stress, votre burn out ou votre pathologie.
C’est exactement l’inverse : votre mal-être non conscient attire à vous des conditions déplorables de travail qui vous poussent au burn out.
Alors sans renier le fait qu’il y a toujours des actes à poser en 3D lorsqu’il y a de vraies injustices, il est possible d’envisager une nouvelle dimension.
Vous pourriez l’appeler la 4D, où c’est à vous de travailler intérieurement en accueillant ce qui se passe afin de pouvoir modifier l’extérieur dans la douceur.
Posez-vous la question chère à la méthode Ho’oponopono : qu’est ce qui en moi crée cela ?
Quelle est cette mémoire qui revient sous la forme de mon patron et que j’ai à nettoyer ?
C’est bien l’intérieur qui crée la forme que prend la réalité extérieure. Changez la réalité intérieure et votre vie va se modifier.
Le militantisme anti-injustices au travail portera ses fruits plus rapidement si vous vous engagez dans un travail sur soi lorsque vous êtes confronté à une difficulté.
Stress au travail, la face cachée de vos difficultés
- Alors que se cache t-il derrière un patron intransigeant qui vous fait travailler sans vous récompenser ?
Sans doute un parent ou un éducateur. Ne pas être payé pour vos heures « sup » vous met dans le même état que lorsque, enfant, vous deviez faire des devoirs de vacances.
Beaucoup de contraintes scolaires pour peu d’amour et d’affection en échange. Remplacez amour par argent et vous comprendrez.
- Si vous souffrez d’un manque de bien-être au travail, il est peut être temps de vous souvenir du mal-être que vous viviez enfant au lieu de croire que vous avez eu une enfance de rêve.
- Si c’est un(e) collègue qui vous cherche la misère ou qui veut votre place, pensez à ce que vous avez ressenti lorsque votre petit frère ou votre petite sœur est née !
Cessez de croire qu’un enfant de moins de 3 ans accueille à bras ouverts un nouveau venu qui lui pique la place au sein de sa mère!
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- Si vous êtes harcelé, souvenez-vous des grands dans la cour d’école où vous ne vous sentiez pas protégé et à vos parents qui n’ont pas pris votre souffrance au sérieux.
- Si vous n’avez plus de temps pour votre vie affective, c’est peut être le moment de mesurer à quel point vous n’en aviez pas enfant.
- Si votre patron ne vous forme pas au nouveau travail qu’il vous impose, sachez que vous avez grandi en vous débrouillant tout seul et sans beaucoup d’appuis.
- Si votre boîte menace de vous licencier, regardez dans votre enfance si votre famille n’a pas vécu un grand drame entre votre conception et vos 3 ans.
- Si vous avez peur d’être à la rue et de ne plus pouvoir nourrir vos enfants, cherchez l’origine de la peur de manquer dans les 6 premiers mois de votre vie où vous étirez totalement dépendant d’un seul humain pour vivre.
- Si vous pestez parce que vous devez former gratuitement des subalternes, demandez-vous s’il ne vous reste pas des traces d’avoir pris en charge vos frères et sœurs.
- Si votre patronne s’appuie sur vous comme un bras doit et vous paye comme un vulgaire employé, demandez-vous si vous n’avez pas été un peu un parent pour vos parents lorsque vous étiez enfant.
- Si vous êtes victime d’une réelle injustice au travail, cherchez en vous une injustice plus ancienne à laquelle vous avez été confrontée et qui n’a jamais été dénoncée.
- Si vous perdez votre job, cherchez à quel moment vous avez eu la sensation de perdre votre place dans la famille.
Vous avez peut-être été confié à une grand-mère parce que votre mère est retournée travailler ou vous avez mal vécu que votre petit frère (toujours le même) soit resté à la maison pendant que vous alliez à l’école.
Stress au travail, la paix passe par le travail intérieur
Si vous ne voyez pas que l’histoire se rejoue pour vous, vous aurez du mal à faire du sens avec les épreuves que vous vivez au travail.
Vous allez rejoindre la masse des révoltés silencieux qui se plaignent que la vie est difficile et injuste alors qu’elle vous présente sur un plateau l’occasion enfin de revisiter vos blessures pour les soigner ou les nettoyer.
Plus vous accepterez comme un travail intérieur et personnel ce qui vous est présenté, plus vite vous en sortirez grandi et apaisé même si cela passe par quitter votre job!
La vie a tout son temps, elle n’est ni belle ni injuste, elle EST. A vous de décrypter ses messages lorsqu’elle a l’air de s’adresser à vous personnellement.
Connaître le sens de vos expériences de vie ramène la paix instantanément puisqu’il n’y a plus d’erreur, juste un travail sur soi à faire avant de se battre !
Je peux vous assurer que faire un procès à une entreprise en étant en paix n’amène pas les mêmes résultats que faire un procès en étant en colère !
C’est sans doute ce qui poussait Mère Thérésa à dire :
Ne comptez pas sur moi pour défiler contre la guerre. Mais invitez moi si vous défilez pour la paix. Mère Thérésa
Santé au travail, des solutions?
Concrètement, que peut-on faire lorsqu’on est confronté à de réelles difficultés au travail ?
Je pourrais vous proposer quelques exercices de respiration et des techniques pour gérer votre mal-être au travail mais cela ne serait que de la gestion.
Sur le lieu de travail, vous pouvez utiliser quelques exercices de sophrologie, ils vous aideront à tenir jusqu’au soir.
Cependant, cela ne génèrera qu’un moment de répit qui sera suivi d’une autre attaque de stress.
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Rien ne se soigne vraiment par la gestion du stress, comme son nom l’indique, il ne fait que gérer.
Un peu à la façon d’un colérique qui vient de se défouler sur quelqu’un, vous serez soulagé quelques temps puis vous recommencerez le lendemain pour les mêmes raisons.
La technique Tipi pour en finir avec l’origine du stress
Pour toucher en profondeur à la racine de vos émotions, vous pouvez tester la technique Tipi.
Cette technique quantique vous permet de désamorcer l’enfilade de mémoires que vous avez empilées sur un même sujet.
Vous pouvez apprendre à l’utiliser en autonomie ou vous faire aider pour travailler sur les situations génératrices de stress en différé.
Vous serez surpris de la rapidité avec laquelle vous pouvez débrancher une peur, un moment de panique, une rage, une impuissance, voire même une inhibition à agir.
Une fois la technique Tipi intégrée, vous développez un réflexe conditionné : au lieu de vous torturer dans la colère, l’impuissance ou la terreur, vous vous souvenez que vous avez l’arme secrète pour tout débrancher.
Si vous ne travaillez pas vos situations stressantes, elles s’amoncellent et finissent par vous empêcher littéralement de vivre.
Évidemment, pour moi, il n’y a aucune différence entre le stress au travail et le stress à la maison.
Vous avez vu que, si on creuse un peu les dessous de l’affaire du stress au travail, on tombe immanquablement sur des blessures affectives d’enfant.
Chaque situation problématique qui vient percuter vos blessures, les réactive et vous ramène à un âge où vous n’êtes plus en état de fonctionner correctement.
Pas étonnant que vous tombiez dans une spirale infernale de stress au travail si vous ne faites rien que subir.
Pour finir sur une note drôle ce sujet un peu sérieux, je ne résiste pas à vous repasser une situation très stressante de Muriel Robin qui en perd son latin.
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Dommage qu’elle n’ait pas eu la technique Tipi pour se remettre de sa conversation avec sa fille !
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Technique Tipi et stress au travail: en quoi c’est moi qui crée tout cela?
Et vous avez-vous conscience que derrière vos problèmes au travail pourrait se cacher un enfant malmené ? En avez-vous fait l’expérience ? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah
J’ai vécu de façon répétitive des situations de stress au travail . J’ai compris que le problème c’était moi en fait mais je n’ai pas su detecter son origine ; je n’ai pas pensé me faire aider par un thérapeute ; bref , j’ai ‘mijoté dans mon jus’ jusqu’au bout sans aucune aide et j’en garde des souvenirs vraiment traumatisants
Ma vie professionnelle aurait sans doute été différente si j’avais trouvé sur ma route une thérapeute telle que toi !
Amitiés
Janine
Bonjour Janine,
C’est cela qui est terrible, souffrir dans son coin quand il y a des solutions.
Il y a aussi un manque d’informations sur les lieux de travail. On pense au
harcèlement mais pas au travail thérapeutique nécessaire pour comprendre
pourquoi on est sujet au harcèlement!
Bonjour Hannah, j’ai bien connu certains travers dans l’entreprise que tu décris dans cet article et je suis d’accord que la gestion du stress est juste un petit confort par rapport à la source du problème. Problème qui rejaillit dans tous les domaines de la vie, si on ne trouve pas le sens de ce qui nous arrive….
Je vais m’intéresser de plus près à la méthode TIPI !
Bonne journée
Dominique
Bonjour Dominique,
Oui c’est cela qui met la puce à l’oreille quand
on s’aperçoit qu’on vit le même problème dans
tous les domaines de sa vie.
Bonjour Hannah, Ho’oponopono a fait évoluer mes relations de travail et le stress que j’avais parfois par rapport à certaines situations.
zenie
Bonjour Zénie,
Ho’oponopono fait des petits miracles.
Parfois ça ne remplace pas la thérapie mais
pour les situations ponctuelles c’est magique!
Pour prendre conscience de notre responsabilité dans tout ce qui nous arrive il faut déjà avoir fait un sacré boulot personnel.
Acceptez d’être soi même la cause de ce que nous ressentons, waouu, c’est pas rien.
Sans doute nos comportements bien ancrés ont-ils été acquis pour nous adapter à des situations délicates de notre jeunesse, de nos apprentissages.
Tipi, c’est bizarre. Une fois centré sur notre douleur, le corps réagit parfois de façons désordonnées. Les soubresauts de nos cellules nous surprennent. Je les laisse faire et déjà certaines choses vont mieux.
Bonjour Patrick,
Les soubresauts sont des court-circuits
électriques destinés à nous empêcher d’accéder
à nos émotions.
Prendre la responsabilité de tout est un exercice de haut
vol. Chaque année l’idée de la responsabilité s’ancre un peu plus.
Bonjour, Larousse annonce « activité de l’homme appliqué à la production », une définition glaciale même si « la création » vient s’y rattacher. Bien plus terrible, « travail » vient du latin « trepalium, instrument de torture ». Et encore plus précisément, un instrument de torture à trois pieux, qui servait à entraver les chevaux ou les esclaves récalcitrants. Voilà les casseroles que traînent tous les citoyens de culture latine. Le stress multi millénaire de la torture romaine, si bien perpétué par … la Sainte Inquisition, et la longue liste des raffinements de l’Eglise. Corneille nous avait pourtant mis en garde: « Rome unique objet de mon ressentiment ».
Mais l’humanisme français préfère les bons conseils de Rousseau, qui a abandonné tous ses enfants à la naissance, ou Voltaire qui, vivant très grassement de ses rentes des compagnies coloniales, a contribué largement à anéantir les ancêtres de Mme Taubira (mais pas tous).
La question que j’adresse à l’occident cadavérique: Vous allez où ?
La planète soumise au même stress « trepalien », détruite par un déséquilibré » travailleur », a-t-elle mérité ce sort ? Avec humour Hubert Reeves a dit de la maladie qui l’accable, « l’humanite »: T’en fais pas, ça part tout seul !
A notre époque les bébés naissent de plus en plus chargés de stress dans un monde soumis à toutes les tensions et toutes les folies, l’enveloppe maternelle n’étant pas un blindage, bien au contraire. Et l’étape qui lui permet de venir au monde ne s’appelle t-elle pas » travail » ? Yves
Bonjour Yves,
Assez terrible l’étymologie du mot travail.
Ceci dit considérer que le travail extérieur
est une forme visible du travail intérieur aide
à ne pas le prendre comme une corvée mais
plutôt comme une participation active à l’évolution
des autres et de soi.
Tout est aussi une question de point de vue. Aller travailler
dans la conscience de l’injustice ne porte pas les mêmes fruits
qu’aller travailler dans la conscience d’être responsable
de ce qu’on attire. Il existe des boulots qui entretiennent les
injustices et d’autres non. Toute la question est de savoir
pourquoi on se retrouve dans l’un ou dans l’autre!
Bonjour
Je suis actuellement arrêter professionnellement dû au stress et le médecin que j’ai vu m’a effectivement parler d’une blessure d’enfance d’une injustice à régler. tout comme dans votre article.Je vais m’attarder sur cette technique tipi ne voulant pas m’attarder sur une psychothérapie à rallonge.
Merci de tout coeur
Bonjour Carmen,
Oui il est important de regarder pourquoi cela vous arrive.
Vous résoudrez plus facilement vos difficultés.
Bonjour Hannah,
houlà que ça me parle cet article!
Je suis persuadé que j’ai choisi d ‘être fonctionnaire à cause de ma peur du rejet, alors que le fonctionnariat n’a rien à voir avec moi. Mais ça donne une sécurité, même mauvais, on ne vire pas un prof ou alors pour faute très grave.
Mais ça ne m’a pas empêché de me retrouver confronté à d’autres inconvénients de ce type de travail, que tu décris bien: Conflits, Manque d’autonomie,Flou à propos des responsabilités,Objectifs contradictoires.
Et j’en ai bcp souffert, j’ai même haï mon métier par moment.
J’aurais dû faire un travail sur moi et aller vers autre chose comme tu l’as fait. Quelque part, la maladie m’a « offert » cette seconde chance, mais je m’en serais bien passé aussi!
Bonsoir Daniel,
On a tous une mauvaise raison pour devenir fonctionnaire!
Le travail sur toi tu le fais au moment où la vie te le présente.
J’ai peu travaillé avec la maladie mais je compte sur toi pour
nous expliquer comment on avance avec.
Article tout à fait réaliste en core une fois Hannah ! Je regrette de ne pas t’avoir connue avant, ainsi que toutes ces techniques « à débrancher » les émotions. Cela aurait simplifié, et amélioré surtout, mon parcours professionnel !! Maintenant, grâce à Ho’ponopono principalement, je gère nettement mieux le stress que j’avais en permanence en moi, à la maison comme au travail et je me sens commen qui dirait plus légère et détachée face à certaines situations compliquées. Amitiés
Bonjour Christine,
Je n’ai pas toujours eu Tipi quand j’étais à l’éducation
nationale non plus!
Ho’oponopono est la solution immédiate pour accepter
les situations qui se présentent.
Lorsque les attachements sont profonds, d’autres techniques
prennent le relai.
Merci pour ce bel article. J’ai pratiquement toujours eu de bon employeur. J’en devenais amie avec. C’est très important de travailler dans une magnifique ambiance. Je sais que ce n’est pas le cas de tout le monde et je trouve ça bien malheureux parce que le travail prend une grosse partie de notre vie.
Merci et bonne journée
Line
Bonjour Line,
C’est agréable de ne pas projeter ses ombres au travail.
ceci dit, c’est un bon sujet de travail intérieur donc du moment
que cela sert l’évolution de la personne…
Salut Hannah,
Devinez la solution que j’ai trouvé pour éviter tous les problèmes de stress au travail?
Je me suis rappelé de l’époque où j’étais même pas encore en maternel.
Quand c’est que je foutais rien.
Et zou, je me suis rendu compte que c’était foutrement bien.
Donc, j’ai arrêté de travailler.
Et bien, ça va vachement mieux.
Bon, je dis pas que point de vie confort de vie ce soit la meilleure solution.
Mais ne soyons pas bassement matérialiste.
C’est un choix.
@+
Christian.
je crois que c’est la solution la plus radicale
qui existe…arrêter de travailler, tu devrais faire
breveter!
Enfin une opportunité de gagner en faisant du blogging (en ne faisant rien quoi).
@+
Si tu savais comment ne rien faire en blogging prend un temps fou!
C’est ce que je vis en ce moment. pas d’augmentation, heures sup pas payées donc résultat demande de rupture conventionnelle. j’ai toujours travaillé en compta et ai déjà vécu plusieurs ruptures de contrats soit par licenciement, démission ou cessation d’activité. J’ai compris que je devais sûrement faire autre chose mais face au vide je commence par où ? plus facile à dire qu’à faire. comment s’y retrouver dans tout ça ? un doute s’installe et s’amplifie. J’aimerai être accompagnée………. Annie
Bonjour Annie,
Il est bien possible que tu soies fatiguée de travailler avec ton cerveau
gauche, les chiffres, la compta.
C’est peut être le moment de t’intéresser à des choses plus créatives,
cerveau droit où ton aspect féminin est plus sollicité.
Pour quelles raisons as tu décidé d’être comptable?
bonjour Hannah
votre article est tres interessant sur le stress au travail et je viens de comprendre pourquoi j’ai fait une depression il y a un an et demi et qui m’a valu un arret de un an
je viens de m’apercevoir qu’il y avait beaucoup de choses non reglées de mon enfance, cela va demander un gros travail sur soi, pour avancer et ne pas retomber dans ce mauvais fonctionnement
bonjour Céline,
Cela peut aller vite à partir du moment
où on est conscient de la difficulté et
qu’on sait ce qu’on tient.
il faut prendre les difficultés et les identifications
une par une.
Bonjour Hannah
ton article est très intéressant, j’essaie au quotidien dans mon travail de gérer les situations parfois délicates, difficiles avec les collègues ou toute autre personne. par ex en respirant profondément devant un imprévu ou une situation qui me met mal à l’aise, mais c’est une solution ponctuelle
quand une personne souffre de stress au travail, il faut sans doute se remettre en question, analyser, et changer.
Du coup je suis allée sur le lien exercices de sophrologie, et j’ai encore appris quelque chose.
merci pour ta façon d’expliquer les choses simplement
à bientôt
Jacqueline
Bonjour Jacqueline,
Respirer est vraiment un réflexe qui sauve de bien
des difficultés. Lorsqu’une blessure est activée, il
est important de s’en occuper faute de quoi elle
resurgira à la première occasion.
Gérer le stress demande beaucoup d’énergie et de résistance
à ce qui est alors qu’une fois qu’on est libre de la blessure, c’est
la vie qui vient à nous.
bonjour hannah,
comment utiliser TIPI seul ? et à part toi connais tu des thérapeutes qui utilisent cela dans le nord de la france?
Je voulais te demander, si nous attirons ce que nous sommes, comment expliques tu les phénomènes comme la Shoah ou l’esclavage ? Les victimes créent ils cette situation ? Ca me semble surprenant.
Merci
bonjour Célia,
Oui on peut apprendre à faire Tipi tout seul.
cela prend à peu près trois séances pour
intégrer le processus et confronter ses expériences.
Cela peut se faire aussi par skype.
Toutes les personnes qui pratiquent Tipi ne sont pas
toujours thérapeutes.
Les guerres intérieures qu’entretiennent les humains
prennent parfois la forme d’une guerre extérieure.
Le manque de conscience de l’humanité prend parfois
cette direction.
Pour moi, à part quelques personnes totalement blindées,
tout le monde est potentiellement une victime, qu’elle
soit obligée de s’enrôler ou qu’elle finisse enfermée.
L’humanité crée des horreurs et doit trouver une autre issue
que celles qui ont été trouvées par le passé.
Je ne minimise pas ce qui s’est passé.
Les personnes qui ont survécu sont celles qui ne se sont pas prises
pour des victimes mais ont continué à vivre malgré cela.
Celles qui se sont prises pour des victimes, qui n’ont pas supporté
l’injustice qui était faite n’ont pas résisté.
On ne parle jamais de personnes qui ont trouvé l’Éveil
dans les camps de concentration et pourtant nous avons
des écrits à ce sujet.
Il y a les horreurs et il y a ce que nous vivons. Souvent ça n’a
aucun rapport!
merci pour cette reponse
😉
Bonjour Hannah,
Ton article me parle beaucoup comme toujours. C’est exactement ce qui se passe pour moi et j’utilise quand j’en ai conscience la méthode TIPI comme tu me l’as apprises. C’est vraiment très simple et ça marche assez bien. Comme pour le reste, le plus dur est d’avoir le rélexe de le faire comme ce n’est pas notre habitude.
A+ et merci de tes conseils avisés comme trop de monde ne nous montre les choses sous cet angle.
Bonjour Jonathan,
J’ai des clients qui se dessinent un petit tipi
sur le dos de la main pour se souvenir que quand
ça ne va pas, il faut faire quelque chose pour
se dégager!
Bonjour Hannah,
La première fois que j’ai entendu quelqu’un me dire que j’étais responsable de ce qui m’arrivait, je n’ai pas réagi très positivement. Mais la graine était semée et, depuis, elle a germé, fleuri et se resème à son tour…
En fait, ce que j’aime le plus dans cette vision des événements, c’est que je ne laisse plus le contrôle de ma vie aux autres…
Mais il est plus facile, au moment de l’épreuve, de se réfugier dans le rôle de victime ! Les méthodes pour guérir sont alors bienvenues…
A bientôt !
Bonjour Bernadette,
C’est vrai que dire à quelqu’un qui souffre qu’il a une
part de responsabilité est un gros risque de se prendre
un pain dans la figure! Avec le temps on s’y fait et on finit
même par apprécier le pouvoir que cela nous donne.
Bonjour Hannah,
En effet nous sommes sur la même longueur d’onde avec nos articles. 🙂
Entièrement d’accord avec toi quand à notre responsabilité au travail et dans toutes les situations de la vie d’ailleurs. En revanche, même en ayant conscience de cela et en cherchant toujours à adapter son point de vue dans chaque situation de façon positive et constructive et à ne pas réagir en se laissant submerger par les émotions, il est souvent difficile de trouver la raison précise dans l’enfance.
Merci pour cette vidéo de Muriel Robin, je ne m’en lasse pas. :-)))
Bien amicalement,
Christine
Bonjour Christine,
Oui pour connaitre les raisons profondes de
nos difficultés au travail, il est bon de faire
un petit travail sur soi!
Bonjour Hannah
Alors 100% d’accord avec toi
J’ai connu un tel stress au travail que j’en ai fait une sérieuse dépression nerveuse qui m’a cloué chez moi pendant de longs mois.
Ma responsable était totalement déséquilibré ça c sûr puisqu’un jour elle a lancé dans ma direction une machine à écrire avec grand chariot qui s’est cassé bien sûr et le lendemain elle de s’écrier : »je ne comprends pas ce qui lui est arrivé » bon , on a compris qu’elle avait un grain et moi de penser « ah ma pauvre Sylviane, comme tu n’as pas de chance de travailler avec une folle pareille » et pauvre de moi, pauvre de moi, qu’est-ce que je me plaignais enterrée jusqu’au cou dans ma victimite …
Puis au bout de 9 mois (eh oui une gestation) je suis repartie travailler et ai décidé que j’allais m’entendre avec elle et ne plus me laisser stresser par elle, j’ai finalement réussi mon coup si j’ose dire et quand elle est partie elle m’a remerciée d’avoir été si gentille avec elle (sic) car personne ne l’avait été avec elle
Depuis et après un long travail personnel à travers des thérapies et des lectures je SAIS que nous avons toujours une part de responsabilité dans ce qui nous arrive, rien n’arrive par hasard et la méthode Ho’oponopono et ses résultats spectaculaires sur notre environnement est là pour le prouver
Belle transformation.
Pour ma part, je crois que j’aurais fait une thérapie
avant d’y retourner 😉
Merci ne suffit pas pour vous remercier pour ces articles d’inspiration et de réconfort!
merci de votre retour
Comme d’hab tu poses de bonnes questions Hannah 🙂
Et je suis tout pour l’introspection et l’auto-responsabilité que je trouve très libératrice (puisque = je suis en charge) 🙂
J’ai connu le stress « au travail » parce que je ne savais pas dire non, ni déléguer. Besoin d’amour par manque d’amour propre, et l’habitude en effet d’avoir dû être très vite autonome à l’adolescence. Un travail perso a réglé tout ça 🙂
Et si aujourd’hui un « stress » monte, je me demande aussi: qu’est-ce que ceci réveille en moi. cela aide à relativiser et lâcher-prise. Mais ça devient exceptionnel.
Bonjour Héloïse,
Je connais peu de gens qui n’ont pas vécu de stress
au boulot, moi la première!
Le lieu de travail est l’endroit privilégié pour
travailler sa relation au père, à la mère et à l’autorité
en général, parfois doublés de la relation avec les collègues
« frères et soeurs »…
Sans travail sur soi, il est difficile de développer de bonnes
habitudes d’introspection et de libération!
Coucou Hannah
C’est vrai. Pour moi ça a été la relation à l’autorité, au père. Je voyais toujours mon boss comme un père. Celui qui me manquait donc.
Ps: envoie-moi un mail, j’ai vu une image de chat et je te l’ai téléchargée, c’est génial!
bonjour Heloise,
Le travail est vraiment le lieu idéal pour retrouver son bazar parental et retrouver ses mémoires d’enfant!
Bonjour Hannah,
Quand tout va bien c’est grâce à nous, sinon on cherche les causes à l’extérieur. Oui, c’est assez général.
Et ce que tu dis là me fait penser à ces parents qui sont si fiers de ce qu’ils ont transmis à leurs enfants…quand ceux-là réussissent d’une manière ou d’une autre.
Mais qui rejettent la responsabilité des bêtises et défauts des mêmes enfants, sur le conjoint, ou l’école, la société etc. Là, les pauvres petits ne leur ressemblent plus du tout !!
Je sais bien ce qui en nous génère notre réalité extérieure. Je n’en doute pas.
Mais j’aimerais que tu me donnes ton avis sur une situation qui me préoccupe depuis longtemps.
Imaginons une voiture accidentée avec quatre personnes dedans, qui ne vivent rien en commun, qui ne sont réunies que par hasard.
Le mal-être intérieur qui explique cet « accident » doit concerner les quatre, pour qu’accident il y ait ?
Ou bien un seul peut-il entraîner la réalité que les trois autres seront contraints de vivre?
Je ne sais pas si je suis bien claire…
Merci !
Amicalement.
Marie.
Bonjour Marie,
Est ce une situation réelle à laquelle tu es liée?
La vie dans toutes ses dimensions est comme un
gigantesque ordinateur. Les personnes qui sont dans une
même voiture ont certainement quelque chose en commun
même si cela n’est pas apparent à l’oeil nu.
Je ne crois pas que la réalité d’une personne puisse
à ce point influencer celle d’une autre.
En d’autres termes, personne ne te fera mourir si ce
n’est pas ton heure.
J’imagine que tu questionnes l’influence que l’on
peut avoir ou subir des autres?
Bonjour,
Plusieurs commentaires ont la thérapie comme sujet.
Je reprend une phrase d’un des commentaires :
« Pour prendre conscience de notre responsabilité dans tout ce qui nous arrive il faut déjà avoir fait un sacré boulot personnel »
Non !
c’est exactement le contraire.
Le point de départ de tout travail sur soi productif de transformations souhaitées est justement de considérer que JE suis responsable et créateur de TOUT ce qui m’arrive dans ma vie, que j’en sois conscient ou pas. Que j’identifie le point de départ ou la cause, ou pas.
Ce qui ne veut en rien dire que je sois coupable.
Et donc si je suis capable de créer des m..des dans ma vie et que j’en sois l’auteur (même involontaire), il n’y a pas de raisons pour que je ne sois pas capable de créer ce qui m’intéresse de vivre.
Considérer que s’il y a un problème, c’est moi qui est un problème (ce qui n’empêche pas que l’autre(s) ait le sien) m’amène à entrer dans le processus de questionnement sur comment je m’y prends, quel est le lien avec quelque chose de mon histoire qui n’est pas regardé, pas réglé, pas pacifié, qui crée cette situation qui ne me convient pas.
Si vous comprenez et acceptez que vous êtes le seul créateur de votre vie, vous êtes prêt à la faire à votre idée, une fois débarrassé des séquelles des expériences de vos 0/3ans et des conclusions erronées que vous en avez tiré.
Le seul frein est votre peur de souffrir, or vous ne souffrirez jamais autant et aussi longtemps que vous avez déjà souffert quand vous acceptez de regarder en face comment vous vous y prenez pour continuer à souffrir.
C’est tout le contraire.
Aujourd’hui une thérapie n’est pas une entrée dans un processus long et couteux. Les outils modernes existent et vont rapidement à l’essentiel.
Heureusement tout évolue et les thérapies aussi.
En ce moment elle rejoignent aussi les voies spirituelles
et peuvent apprendre l’une de l’autre.
Bonsoir Hannah,
Il y a toujours la bonne vieille expression : Si ton travail nuit à tes loisirs, quitte ton travail…
Je ne sais pas si quelqu’un a osé cela dans son commentaire, mais tant pis si c’est le cas.
Ce n’est pas une si mauvaise idée de laisser son travail, car combien de gens ont laissé une carrière qui leur rapportait un bon revenu pour faire autre chose qui leur ressemblait davantage? Plus d’une personne. Mais il faut du courage pour se lancer dans cette aventure car, qui dit changement de carrière pour faire ce qui nous plaît, suppose souvent diminution de revenu, du moins au début. Je sais : il ne faut pas s’attendre au négatif si l’on veut du positif.
Amicalement,
Sco!
Bonjour sco!
Tes commentaires me font toujours pouffer 😀
N’hésite pas à oser; moi aussi je connais un
nombre grandissant de personnes qui ont lâché
leur job bien payé pour arrêter d’y laisser
leur âme mais la reconversion est lente!
ça va c’est positif, lente…?
En fait, je me suis aperçue que lorsque j’étais
à l’éduc nat, j’étais payée quelles que soient
mes performances.
Maintenant en indépendante, chaque parole
compte. J’ai les clients que mon taux vibratoire me permet…
très très exigent comme métier.
C’est vrai que dans une relation y’a toujours deux personnes donc deux responsables et on a tendance à l’oublier en voyant en le patron le grand méchant loup, le dictateur, le bourreau alors que derrière il y a un coeur qui bat aussi 🙂 Non sans rire je ne voudrais pas être à sa place car si pour moi il n’y a que lui qui me stresse il est vrai que lui il a 40 personnes qui le stressent alors pour un patron zen adoptons la méthode tipi ! Merci pour l’information à appliquer dès demain.
Je suis d’accord PARTIELLEMENT avec cet article, en effet, je suis persuadée que certaines personnes ne laissent pas un harcèlement morale, sexuel s’installé car en étant forte de leur personne, de leur droit, font peur directement au grand méchant loup..
OU par ruse, dénoue facilement chaque situation où on est au pied du mur.
Personnellement, j’ai réussi pas mal de fois, jusqu’à ce que ma chef, qui enrageait contre moi pr des motifs de bonnes femmes , ne réussissent à mettre la hiérarchie contre moi, elle qui se fichait pas mal de moi jusque là.
Il faut pas oublier que le grade que l’on est la chose essentielle sur laquelle repose notre vulnérabilité.. Ainsi, hors du travail, je n’aurais JAMAIS subi le harcèlement d’un vieux porc assez tranquille de son systeme pour me harceler tout etant marié.. Quid de ma guenon de chef, je n’ai jamais relevé ses bassesses dc pourquoi ne s’est elle jamais calmé, je l’ai finalement ignoré, elle m’a écarté du travail essentiel, et je m’en fichais.. je fus coincé plus tard, par le hasard car mon collègue masculin, qu’elle chérissait, allait se casser pr un autre boulot, la hiérarchie a commencé à se mêler de la chose trop tard.
La personne avant moi a été un kleenex, et bien d’autres personnes ont déjà subi cette guenon complexée.. dc suis sure que nous avons tous eu des cicatrices réouvertes pendant le harcelement, il n’empêche que le schéma du harcelement c’est qqchose d’assez bien rodé, certaines méthodes de mannagement confinent d’ailleurs au harcelement, et catégorisent déjà les employés pour leur rapport à la hiérarchie.
Responsabiliser le salarié encore plus, alors qu’ils sont tous à penser au suicide, est grave quand meme.. il faut quand meme bien formuler les choses, car je trouve l’article pas clair dans le propos vers lequel il veut amener.
Le propos reste intéressant, mais ne peut etre la clé définitive.. Y a la socio,la psy, et bien d’autres, aucune n’a la clé universelle pour expliquer les relations humaines et les dénouer, ce sont à chaque fois des pistes, intéressantes, idéales pr pas mal de de personnes mais malheureusement pas universelles.
Je suis néanmoins à 100% d’accord pour remettre la valeur du travail à sa place, et il doit y avoir un pb de culture aussi, une américaine m expliquait qu’en France, les enseignants responsabilisaient les gamins dans leur résultats et me, disaient qu’aux usa, c’est le travail qui était qualifié et non la personne..
Bonsoir,
Beaucoup de choses ont été dites sur les problèmes au travail et
fort heureusement les lois s’affinent même pour des harcèlements
qui passent inaperçus aux yeux des autres.
C’est bien que la société évolue vers pouvoir entendre les victimes
et les aider.
Mon propos est d’offrir aussi des pistes qui ouvrent le coeur afin de
pouvoir régler la situation en étant plus apaisé parce que, dans notre
histoire, cela fait aussi sens, ce qui nous arrive.
Ce n’est pas qu’une question de malchance et de tomber dans la mauvaise
entreprise.
La vie nous pousse parfois à vivre des choses difficiles pour nous faire
grandir ou devenir plus aimants.
Je ne fais que donner des pistes aux personnes qui auraient besoin aussi de cette
approche, elle n’a pas pour ambition de répondre à tout.
Bonjour et merci pour cet article !
Je te rejoins pour dire que nous générons par nos attitudes la plupart des situations qui nous entourent, ce qui engage notre responsabilité. Mais de là à dire que nous sommes responsables de tout ?
Pour reprendre ton exemple : où est la responsabilité de l’enfant que l’on frappe ? ou encore : où est la responsabilité de la personne harcelée sexuellement, sur son lieu de travail ou autre ?
En tant que victimes objectives d’une situation subie, ces personnes ne sont pas responsables de la situation elle-même à mon sens.
En revanche, nous avons toujours le choix de notre réaction face aux événements et là, pour moi, se situe notre vraie responsabilité. Toujours en reprenant le même exemple : comment réagir si mon patron me harcèle ? Outre le dépôt d’une plainte auprès d’instances juridiques et la mise à l’abri immédiate pour veiller à une intégrité physique et morale avant tout autre chose, je peux choisir ensuite de ne pas me laisser aller à la colère, mais de cultiver des sentiments d’empathie ou de compassion envers la personne qui m’agresse.
C’est là, je pense, qu’intervient Ho’oponopono, pour résoudre énergétiquement la situation dans laquelle nous sommes engagé-e-s.
Mais c’est également à ce moment que les techniques de « gestion du stress » prennent aussi tout leur sens : bien sûr qu’elles ne peuvent que « gérer » le stress puisque par définition, le stress est une adaptation du corps à des facteurs extérieurs donc non contrôlables directement.
Cependant, « gérer le stress » permet de conserver un esprit suffisamment clair et lucide et de dégager les ressources personnelles nécessaires au fameux travail sur soi dont tu parles.
En tout cas, un grand merci pour cet article et la réflexion qu’il a suscité en moi !
Bonjour Laurence,
Merci pour ces questionnements, tout le monde se les pose.
Cette histoire de responsabilité n’est facile à transmettre.
Il n’y a rien que nous ayons fait ou pas fait qui nous rend responsable
de ce qui arrive.
Ce qui est difficile dans un premier temps c’est d’accepter que ce soit
arrivé.
En fait nous passons un temps infini à nous battre avec la réalité: nous
ne voulons pas que cela soit arrivé, c’est un scandale, inadmissible,
impensable etc… tout mais ne pas regarder que c’est arrivé et qu’il va falloir
le traiter.
Un enfant qui se fait frapper est tombé dans une famille où son propre parent
a été frappé sinon ça ne lui viendrait pas à l’idée.
Lui en tant qu’enfant n’a rien fait pour mériter cela. Il n’est pas responsable.
Dans le monde 3D matériel, c’est vrai, il n’y a aucune responsabilité à être
pris dans une violence.
Pour quelqu’un qui se fait agresser une fois adulte, à priori on pourrait dire
que c’est pareil.
De façon conscicente il n’y a aucune responsabilité.
par contre, si cette personne fait un travail sur elle, il y a 90 chances
sur cents qu’elle trouve des traces d’abus (même si ce n’est pas sexuel) ou
d’agression dans son enfance, même si elle ne s’en souvenait pas.
Il y a donc un phénomène de répétition. Elle n’est pas responsable de façon consciente
mais son inconscient a programmé la situation de façon à ce qu’elle se souvienne
des autres abus et qu’elle s’en libère.
Revenons à l’enfant. Cette situation est incompréhensible, juste la faute à pas
de chance d’être tombé dans cette famille.
Pour faire du sens, et être capable de traverser ce trauma et s’en libérer, il
va falloir faire appel à d’autres visions de la vie.
S’il n’y a qu’une vie alors c’est sur, ce n’est qu’une injustice.
Si nous nous incarnons avec la conscience de ce que nous venons faire
sur terre, alors vivre des souffrances dans l’enfance peut avoir un sens.
Peut-être que nous sommes appelés à aider les autres et pour cela, nous
avons besoin d’expérimenter la souffrance pour être capable d’empathie.
Peut-être que dans notre arbre généalogique, il y a des souffrances d’enfant
battu que nous sommes venus libérer en acceptant de repasser par le même
trauma mais en y trouvant une autre issue que l’injustice.
Peut-être que les vies antérieures existent et que nous avons été un
enfant pendant la révolution tué par balle.
Aujourd »hui nous revisitons l’enfance avec un autre regard que la haine
l’incompréhension et l’injustice.
Nous comprenons que ces mémoires traumatiques appartiennent à l’humanité
et que nous pouvons amener notre pierre et alléger ce fardeau en vivant ce trauma et
en étant capable de nous en libérer.
Ainsi nous libérons la mémoire dans l’humanité.
C’est un peu le principe de Ho’oponopono.
Chacun est libre de ne pas trouver d’issue ou d’en trouver une.
Pour ce qui est de la gestion du stress, elle est effectivement très
utile au travail, il n’est pas question d’inculquer la conscience
à coup de marteau à notre patron.
par contre une fois rentré chez nous, nous pouvons aller plus loin
que la seule gestion du stress.
Votre article consacré au Stress au travail et à la responsabilité de chacun dans ses propres problèmes et les commentaires, que j’ai tous lus, sont très rafraichissants. Je perçois particulièrement ce que vous montrez dans le domaine du travail que je connais bien, notamment pour avoir été DRH. Votre article éclaire beaucoup de situations et de comportements, aussi bien pour ce qui me concerne que pour ce que j’ai pu observer chez les autres. Combien de salariés faisant l’objet d’un licenciement, notamment pour faute grave, nient avec une forte part de sincérité, même contre toute évidence, leur responsabilité dans ce qui leur arrive ? Au mieux, le patron ou la hiérarchie exagère, selon eux.
Si au lieu que chacun se pose, au travail (et ailleurs), en victime de la faute des autres, chacun se posait la question de savoir ce qui vient de soi et de sa propre responsabilité dans sa propre situation et ce que l’on reproche aux autres, beaucoup de chose irait sans doute mieux. Si chacun faisait l’effort de se demander ce qui en soi provoque ce que l’on rencontre de négatif, ou même simplement que l’on reçoit comme tel, l’on pourrait progresser et, sans doute, éviter bien du stress et des licenciements pour motif personnel. Et même, si cette démarche était largement partagée des licenciements économiques pourraient aussi être évités, car si chacun faisait l’effort sur soi que tout aille mieux, les choses iraient mieux.
Malheureusement, je pense que personne ne fait suffisamment d’effort sur lui-même et que très nombreux sont ceux qui n’en font pas du tout. Est-ce plus le cas pour les Français que pour les autres nationalités ? Je ne sais pas, mais je me pose la question. Si oui cela pourrait, au moins en partie, expliquer pourquoi les Français sont plus dépressifs que presque toutes les autres nationalités du monde et pourquoi nous sommes moins que beaucoup d’autres peuples capables de nous réformer. Ce que vous montrez très bien au niveau individuel, est probablement vrai au niveau collectif.
Je voudrais ajouter, pour conclure, que ce que professez devrait être enseigné à l’école pour le bien de chacun et celui des communautés auxquelles nous appartenons.
Bonjour Pierre,
Il faut un certain niveau de conscience pour
accepter sa responsabilité.
Les entreprises ne sont ni bonnes ni mauvaises,
elles sont juste là pour refléter le travail
intérieur que nous avons à faire.
cela n’exclue pas bien sur qu’elles soient elles-
aussi 100% responsables 😉