Suis-je maso? Ma petite histoire de decodage biologique

Le décodage biologique, un état d’esprit face à la maladie
Les ponts du mois de mai sont un moment idéal pour se connecter à sa profondeur. C’est ce que je fais en ce moment et comme vous l’avez vu, j’ai ralenti mon rythme d’écriture (de marche aussi ;-)).
Rassurez-vous je ne suis pas juste partie en vacances perpétuelles… je suis aussi à fond sur le projet des couleurs dont je vous ai déjà touché quelques mots avec une vidéo haute en couleurs cet hiver.
De plus, j’ai une excellente nouvelle, je viens d’avoir la réponse de mon éditeur à propos de mon nouveau livre sur Ho’oponopono, vous pouvez voir sa présentation en cliquant ici. Vous en saurez plus très bientôt.
Faire du neuf mobilise une énergie colossale pour s’extirper du petit train-train, gagner sa vie-se détendre-traiter la matière…
C’est ce qui se passe en ce moment pour moi et beaucoup de gens que j’accompagne, créer du nouveau demande du temps, de la disponibilité et de l’énergie.
Une énergie nouvelle qui passe par un petit accident
Tout a commencé avant mon départ en Thaïlande, lorsque je suis partie sur deux béquilles. Je me suis fêlé le pied juste avant de partir sans compter l’arrachement des ligaments, bref la totale.
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Vous comprenez que j’ai eu besoin du décodage biologique pour y voir plus clair dans cet accident. C’est ce que je vais vous expliquer dans cet article.
Vous trouverez aussi 3 techniques infaillibles (et inédites) pour tous vos bobos au niveau des membres inférieurs à la fin de cet article.
Décodage biologique: à quoi sert la maladie?
J’ai expérimenté le périple avion en chaise roulante, et j’avoue que me laisser conduire a été une expérience plutôt satisfaisante.
Vous vous doutez bien que je ne me suis pas contentée de vivre cette expérience de ne plus pouvoir me servir de mes appuis terrestres sans interroger la situation.
Tout d’abord, il faut savoir que lorsque le corps parle, c’est que vous êtes mur pour regarder un important dossier émotionnel à l’intérieur de vous.
Même si vous ne le savez pas, lorsque cela arrive c’est que vous vous interrogez et que vous êtes en quête d’une réponse ou d’une solution.
Ce qui est toujours passionnant dans cette aventure, même si parfois c’est un peu douloureux, c’est que non seulement le symptôme fait du sens mais en plus il vient à votre secours pour élucider votre problème.
Il n’y a pas d’erreur ni de symptôme aléatoire, la façon dont le corps se comporte traduit un message. N’oubliez pas qu’il y a dans votre corps assez de virus et de bactéries pour vous tuer en 24 heures.
Cela signifie que si la biologie décide de laisser passer une bactérie dans le sang pour atteindre un organe, elle sait ce qu’elle fait ! Si une fracture arrive, c’est aussi qu’il y a une raison.
Je vous ai raconté l’histoire du docteur Hamer qui avait fait un cancer des testicules après la mort de son fils pendant que sa femme développait elle aussi un cancer des ovaires.
Le corps cherchait, par la prolifération des cellules, à accélérer la capacité des gonades à refaire un nouvel enfant pour compenser la perte. Vu sous cet angle, la réponse du corps est d’une grande logique.
Comme chaque organe ou partie du corps a une fonction biologique, il est possible de faire des analogies avec l’émotion (ou le ressenti) qui cherche à se libérer.
Ainsi:
- Tout ce qui est indigeste dans votre vie se portera plutôt sur l’estomac
- Tout qui est considéré comme « dégueulasse » se portera sur le colon
- Tout ce qui est vécu comme un effondrement se portera sur les reins
- Tout ce qui est vécu comme déstructurant, dévalorisant ou comme un manque d’appui solide se portera sur les os.
Ainsi, ce qui est choqué en vous et qui continue à générer des émotions se transforme en symptôme.
D’une façon générale, dans le décodage biologique, 4 choses importantes sont à considérer pour faire du sens avec la maladie :
1°) Quelle est la question que vous vous posez en ce moment par rapport à votre vie ?
2°) Dans quel contexte est ce que la maladie (ou l’accident) arrive ?
3°) Quel est l’organe ou le membre touché ?
4°) Quelles sont les conséquences dans votre vie: ce que cela vous oblige à faire ou vous empêche d’accomplir ?
Et si vous vous posez la question: est-il nécessaire de se faire mal pour comprendre quelque chose d’important dans sa vie ?
La réponse peut être oui, surtout si le dossier que vous investiguez est lié à une forte souffrance émotionnelle comme vous le verrez plus loin.
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Je ne fais pas l’apologie de la souffrance mais souvent une douleur physique est un moyen d’entrer en contact avec une souffrance psychique. Parfois c’est la seule façon même si c’est temporaire.
Ma réponse aux 4 questions du décodage biologique
1°) La question que je me pose en ce moment.
J’ai remarqué, à deux reprises lors d’un travail intérieur l’existence en moi d’une émotion un peu foudroyante qui me prend dans la gorge, m’empêche de parler et semble anéantir tout mon être. Même TIPI me paraissait insuffisant .
Comme toute expression d’un trauma, ce type d’émotion est difficile à sentir parce que protégé par une forme d’immunité psychique.
Pour y avoir accès, je dirais qu’il faut le demander. C’est ce que j’ai fait. J’avais demandé le matin même (en faisant un reiki) à pouvoir travailler cette émotion profonde inaccessible.
Savoir à qui demander dépend de chacun, c’est peut être:
- Une autre partie de vous dans d’autres dimensions
- Votre idée de l’Esprit
- Votre idée de la Source
- Votre idée d’une transcendance
- Un ange, un Dieu, un prophète, un maître
Bref, quelque chose de plus grand que votre petit moi terrestre.
Pour en revenir à mon histoire, j’ai la chance de savoir quelle question je me posais au moment où tout cela est arrivé.
Je pourrais la résumer ainsi: comment faire pour nettoyer ce foyer émotionnel dont j’ignore tout ? Oui, je sais, pourquoi aller chercher les problèmes tant qu’ils ne sont pas la (d’où le titre de l’article) ?
Parce que je sais que les émotions liées à des traumas minent l’énergie, entravent la créativité et empêchent de se sentir heureux.
Ces émotions limitent aussi vos capacités surtout lorsque vous voulez vous lancer dans quelque chose de nouveau.
C’est un peu comme si votre territoire psychique était limité à certaines expériences qui ne « craignent rien ». Toute innovation est exclue.
Le mental n’aime pas les changements (il ne reproduit que du connu) et votre cerveau est programmé pour que vous ne vous approchiez pas du trauma.
En effet, s’en approcher c’est augmenter votre niveau de stress alors que le cerveau passe son temps à calculer la meilleure façon de vous maintenir en vie.
Pour résumer, si vous savez ou sentez qu’une expérience traumatique est enfermée depuis l’enfance, il faut le demander afin de vous en dégager.
En effet, c’est vous qui, de façon très inconsciente, avez bâti autour de cette expérience, tout un système inhibant qui vous empêche d’être totalement vous-mêmes. C’était mon cas et j’étais totalement volontaire pour mettre le nez dedans.
2°) Le contexte dans lequel l’évènement est arrivé:
Pour les accidents, le contexte est instantané. Pour les petits bobos, chercher la source émotionnelle en remontant à un ou deux jours avant l’apparition du symptôme.
Dans le cas de maladies plus graves, pour trouver le contexte il faut remonter entre six mois et deux ans en arrière pour tomber sur l’évènement traumatique qui entraîne une réponse de la biologie.
Dans mon histoire, j’étais élève dans un stage et nous étions en train de travailler sur les différents cerveaux et l’évolution de l’humanité.
Nous étions donc absorbés dans un exercice pour retrouver en nous l’expérience « mammifère » de la chasse en groupe (comme les lionnes ou les guépards)
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Tant que j’étais une proie, tout allait bien, ma structure n’était pas menacée. Par contre lorsqu’il a fallu que je sois l’attaquante, le pied a cédé.
Mon cerveau n’a pas laissé faire cette descente volontaire dans une forme de violence archaïque.
3°) Quel membre est touché?
Dans mon cas, c’est le pied, la connexion avec la terre/mère, l’appui de base qui tient toute la structure. Les ligaments, de leur côté, ont pour fonction de relier.
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4°) Quelles conséquences dans ma vie ?:
- Immobilité relative,
- Obligation de me faire aider,
- Nécessité de ralentir,
- Lever le pied au sens propre comme au figuré.
En règle générale, toute entorse, comme son nom l’indique, est une « entorse » à un règlement intérieur auquel vous obéissez même si vous n’en êtes pas conscient.
De toute évidence, dans mon règlement intérieur, il est dit « surtout pas d’actes de violence » sans doute pour ne pas raviver des mémoires de l’enfance.
Ce que j’ai revécu pendant cet accident c’était beaucoup de peur, voire de terreurs totalement inconnues.
Lorsqu’une ostéopathe m’a touché le pied, alors toute l’émotion s’est libérée, beaucoup de tristesse dont j’ignorais la cause. C’était incroyable de voir que mon pied contenait toute cette tristesse.
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Si je décode mon entorse, voilà ce que ça donne:
- Dans un contexte de violence (même si c’était un jeu), j’ai retouché des émotions de la toute petite enfance associées à la peur de mourir et en lien avec un conflit à la mère qui empêche d’être soi.
- Le fait que l’os soit fêlé indique un conflit de dévalorisation. C’est souvent le cas pour les enfants qui vivent une relation difficile ou distante avec la mère dans les premiers mois.
C’est un peu comme s’il se disait : « si la mère ne veut pas de moi, c’est que je ne suis pas assez bien ».
- L’arrachement de ligaments indique une fixation sur « quoi que je fasse, je n’y arriverai pas ».
Ceci est une croyance profonde que développe un enfant qui pense devoir se débrouiller tout seul en toutes circonstances puisque se parents ne sont pas là pour le soutenir.
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Alors, à la question, « suis-je maso », je peux répondre que, sans cet accident, ces émotions étaient totalement impossibles à sentir.
Parfois l’accident arrive juste au bon moment pour vous libérer d’une émotion profonde ou d’une mémoire et la pathologie est là pour vous y aider. Reste à savoir décoder…
Autres significations possibles en décodage biologique
Si vous avez ou avez eu aussi une quelconque blessure à la jambe, sachez qu’il y a d’autres interprétations possibles comme:
- Ne pas pouvoir plier devant une situation (si les genoux sont touchés)
- Ne pas savoir sur quel pied danser, ou quelle décision prendre
- Se préparer à changer de vie ou de direction
- Sentir le manque d’appui parental dans l’enfance
- Impuissance à terminer ce qu’on veut faire
- Avoir besoin de lever le pied, de s’immobiliser ou au moins ralentir
- Retrouver une phase traumatique de la toute petite enfance
- Revisiter la période de dépendance entre 0 et 2 ans (celle où on ne marche pas encore bien)
- Besoin d’accepter une situation avant d’aller de l’avant.
- Difficulté à rester flexible par rapport à un changement de situation
- Besoin de se détacher de la mère parce que trop présente ou trop absente
- Culpabilité de faire ce qu’on faisait lorsqu’on s’est fait mal
- Problématique à résoudre entre rester ou partir (changement professionnel par exemple)
- Faire un travail en psychogénéalogie sur la lignée maternelle.
- Conflit de dévalorisation, ne pas arriver à la cheville de quelqu’un
- Ne pas se sentir à la hauteur pour réaliser un projet
- Apprendre à se détacher de quelqu’un sur qui on projetait la mère
Après cela, libre à vous d’imaginer que vous vous êtes fait une entorse par hasard…
Lorsque je suis arrivée en Thaïlande, même si c’était un bonheur d’être au soleil, c’était tout de même l’enfer avec les béquilles.
Aucune autonomie pour les petits plaisir de la vie, peu de mobilité pour les déplacements, c’est fou ce que l’immobilité fait apprécier l’usage de ses jambes!
Rencontre insolite dans les Îles thaïlandaises
C’est là où l’histoire devient intéressante. Parce que j’étais en difficulté, j’ai attiré à moi un guérisseur Philippin.
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Les îles thaïlandaises attirent de nombreux Philippins qui cherchent un petit boulot et chantent le soir pour les touristes. De là à imaginer qu’il se trouvait parmi eux un guérisseur…
Cela me montre que la vie est beaucoup plus créative que tout ce que je pourrais imaginer.
Pour décrire la première séance, je ne peux que me référer à l’enseigne d’un tatoueur sur cette même île qui affiche en enseigne: « of course it hurts » traduction: Bien sur ça fait mal !
Il n’empêche qu’en une séance je posais enfin le pied par terre !
Finalement, j’ai fait appel à lui plusieurs fois pendant le séjour. Si je vous dis « racler les os » cela vous donnera une faible idée de sa technique !
Le plus étonnant c’est qu’en travaillant sur ma cheville, il a trouvé d’anciennes blessures de fractures pourtant bien consolidées.
En fait, la charge émotionnelle qui avait causé mes anciennes fractures était encore intacte, même si la mécanique s’était remise à fonctionner.
J’ai vraiment eu une preuve de plus que tout ce qui s’imprime dans le corps a une résonance émotionnelle qui, en général, n’est pas travaillée !
Grâce à cet accident, j’ai pu libérer d’anciens foyers émotionnels enkystés depuis plus de 40 ans!
Alors si vous aussi, vous avez ou avez eu des accidents impliquant les membres inférieurs, retrouvez le contexte dans lequel ces accidents sont survenus et vous découvrirez sans doute que la charge émotionnelle est toujours présente.
3 secrets pour réduire les entorses
Si vous n’avez pas de guérisseur Philippin sous la main, je vous propose de réaliser un cataplasme et de travailler sur votre visage les points de réflexologie qui peuvent vous aider à récupérer facilement de la mobilité.
a) Cataplasme de gingembre.
C’est sa recette secrète valable aussi pour l’arthrose, le mal de dos et toute inflammation articulaire.
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- Prenez une racine de gingembre frais. Coupez-la en deux . Striez la pulpe de façon à ce qu’elle soit très aplatie.
- Faites chauffer avec un briquet la pulpe et positionnez le gingembre coupé en deux à l’endroit de la douleur.
- Entourez d’une bande ou d’un film plastique pendant 20 minutes. Jetez ensuite le cataplasme de gingembre et massez doucement.
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b) Potion miracle en énergétique chinoise
Si vous n’êtes pas très doué pour les cataplasmes ou si vous n’avez pas de gingembre frais sous la main, testez la potion chinoise Zheng gu shui (liniment).
Elle vous sera précieuse pour toute blessure entorse, fracture, luxation. Cette formule aide à la circulation du sang, diminue l’inflammation, stoppe la douleur, aide à la régénération des tissus et accélère la guérison des fractures. Non elle ne fait pas le café…
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C) Reflexologie faciale Dien’ Chan’
Le Dien’ Chan’ est une technique vietnamienne de réflexologie faciale qui est d’une grande efficacité et peut se pratiquer sans danger.
Vous verrez sur l’image ci-dessous la façon dont le corps est représenté sur le visage. Ainsi, vous voyez que les pieds se situent au niveau du menton.
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Il existe d’autres points à stimuler avec vos doigts (en pliant la première phalange) ou avec un stylet. Vous trouverez les points à stimuler sur l’image ci dessous:
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Point 1 : stimuler de haut en bas verticalement
Point 2 : vous pouvez balayer le menton pour couvrir les deux zones
Point 3 :(le plus important) situé au bas de la joue sur le maxillaire, stimulez vigoureusement
Point 4 :seulement à droite du visage, soulevez un peu la joue pour le trouver
Point 5: stimulez des deux côtés du visage par petites touches appuyées le long du sourcil en remontant à partir de sa racine en suivant le rebord orbital.
Point 6 et 7 stimulez -les avec un mouvement de balayage du haut vers le bas.
Et vous, vous amusez-vous à décoder vos petits bobos? Vous arrive t-il de faire des demandes pour avancer? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah, Je suis très heureux d’avoir de vos nouvelles,qui à priori ne sont pas excellentes.Mais ce sont les aléas de la vie.Quel beau voyage vous avez dû faire.la Thailande que je connais bien y ayant séjourné.Je vous souhaite un prompt rétablissement et vous dis à bientôt; Bernard
Merci Bernard,
Détrompez-vous, ce sont d’excellentes nouvelles car,malgré le désagrément,
j’ai fait une grande avancée dans la libération d’un émotion très enfouie.
Merci Hannah, j’aime beaucoup vous lire, belle expérience de la douleur!
à bientôt
Bonjour,
Étonnante association de mots que « belle » et « douleur »
mais cela résume très bien mon expérience.
Bonjour Hannah,
Merci de partager avec nous ce décodage biologique.
Ces interprétations peuvent nous servir à tout moment.
Mais penses-tu qu’il soit possible de libérer ces violences engrammées dans la douceur et non dans la douleur ?
Est ce que les accidents n´arrivent pas quand la prise de conscience ne s’est pas faite lors d’évènements plus « cool » surviennent pour nous indiquer le travail à faire ?
Bon rétablissement
Jean-luc
Bonjour Jean-Luc,
Bien entendu, en général, je préfère sans douleur mais lorsque
la souffrance est enfermée depuis les premiers mois de vie, la
souffrance étant plus intense, il est aussi normal que la douleur
vienne à son secours pour lui permettre de s’exprimer.
Bonjour Hannah,
Je suis ravie de ces bonnes nouvelles (la sortie du livre et la formation en ligne couleur)! Egoïstement, j’attendais cette sortie avec impatience et le e-learning est parfait pour les voyageurs 😉
Les articles sur le décodage biologique sont passionnant et ta façon d’aborder les choses toujours très ludiques et instructifs.
Du coup, oserais-je dire merci à ce pied cassé?!
Pensées.
Bien à toi et Alain,
Magalie
Bonjour Magalie,
OUi tout cela avance, le livre c’est une question de mois, la formation une
question de une ou deux semaines, c’est juste la technique qui me
retarde…as usual!
bonjour hannah encore un sujet tres interessant ,désolée pour votre pieds prenez soin de vous bon rétablissement ,amitié,,genevieve
Merci, le guérisseur a fait du bon boulot, avec ma
participation évidemment!
oui, il m’est arrivé à 2 reprises de me casser la cheville ‘droite puis gauche’
la première fois , j’avais à mon domicile ma maman, agée, en hospitalisation à domicile
en même temps je travaillais et je trouvais cela très éprouvant psychologiquement car les journées étaient épuisantes dans tous les sens, mes enfants encore jeunes…et je me sentais très fatiguée et cette chute m’a contrainte à accepter un arrêt de travail pour ralentir
la deuxième chute il me semble que c’était besoin de faire un break et un peu de dévalorisation qui faisait que j’avais besoin de me secouer..
pouvez vous donner les points correspondants à quelle partie du corps sur le visage comme le menton=pieds
merci à vous pour tous ces conseils et bon rétablissement
Bonjour Danielle,
Sur l’avant dernière photo de l’article, vous avez un visage
avec un corps dessiné dessus, c’est cela qui vous permet
de savoir quelle zone stimuler pour quelle partie du corps.
Avez-vous un membre en particulier sur lequel vous avez besoin
de travailler?
Hannah,
Votre absence du blog bien que ressentie est toujours un bon présage car vous nous revenez toujours avec quelque chose de nouveau à partager qui dépasse toute attente. Tout d’abord félicitations pour la toute prochaine publication de votre livre. Je m’en réjouis d’avance.
Votre article m’a inspiré une petite visite dans le passé, lorsque je me suis cassée la clavicule gauche dans un accident de vélo lorsque j’avais 11 ans. Après avoir lu Martel et Flèche sur le sujet, je réalise le message de mon corps à cette époque. En effet, mon père m’avait fait signer un contrat comme quoi je poursuivrais des études de musique (celles dont il rêvait) jusqu’à ce que j’aie atteint un niveau supérieur et je pourrai alors considérer avoir remboursé le vélo qu’il m’avait acheté en échange et avec lequel j’ai eu l’accident! Martel écrit à propos de la clavicule: « Je vais casser sous le poids de cette responsabilité et cela me révolte. J’ai envie de prendre la clé des champs. » La clavicule, la clé d’une solution que je n’avais pas mais que je cherchais inconsciemment. J’ai d’ailleurs essayé de me sortir de ce contrat dès la première visite de mon père à l’hôpital comptant sur mon état de santé pour faire appel à sa pitié et à sa compassion. Il a refusé. C’est à l’hôpital que j’ai alors développé ce qui est devenu chronique par la suite, mes douleurs dans le milieu du dos qui réapparaissent régulièrement.
Et curieusement, récemment j’ai ressenti des douleurs à la clavicule gauche que j’ai toujours associées au temps car on m’avait dit que je développerais sans doute de l’arthrose. L’arthrose, la notion de fatalité face de la vie selon Flèche. Mais en fait, les douleurs sont apparues lors d’un travail intérieur sur cette notion de contrat. J’en ai signé plus que d’un avec mon père. Ce sont en fait des promesses que j’ai dûes faire tout au long de ma vie d’enfant pour soulager les douleurs de mes deux parents et qui sont prêtes à être nettoyées. Et j’avais demandé de l’aide pour nettoyer cette mémoire et ce sont des crampes musculaires au milieu du dos qui sont venues me reparler. Réflexion et travail intérieur à poursuivre…
Ceci dit, c’est grâce à cet accident de vélo que j’ai fait ma première experience d’existence en dehors du corps et de la redescente de la conscience dans l’enveloppe phsysique lorsque j’ai repris connaissance après 20 minutes de perte de conscience. En fait, c’était une perte de conscience au niveau physique et un gain de conscience au niveau spirituel. C’était mon premier voyage astral….. un grand cadeau, donc pas de masochisme…..
Merci Hannah
Merci Louise pour ce témoignage. Beaucoup de personnes en ce moment
sont en train de revisiter leur relation au père, pas celle qu’on se raconte une fois qu’il
est mort mais ce qu’on a vécu de pas facile avec lui lorsqu’il était vivant car il
semblerait que tout le paysage soit teinté de la relation qu’on avant avec lui!
Bonjour Hannah
je suis très heureuse de te lire à nouveau
un article très intéressant sur la douleur, et le lien avec les émotions qui sont en nous
comme toujours tout est lié et s’explique, et fait resurgir des blessures profondes, des sentiments, des émotions
je te souhaite un prompt rétablissement et bravo pour ton livre
amicalement
Jacqueline
Bonjour Jacqueline,
Merci pour les encouragements, ce petit break dans l’écriture m’a vraiment
permis de recentrer les priorités et là où je veux aller (cheville droite).
Merci pour les astuces c`est tres soulageant
j`aimerai savoir est ce que le bavardage interieure qui est souvent negative et il degage des emotions douleurante il a un rapport avec la liberation des emotions du corps ?
Bonjour Djamel,
Oui il y a un lien. Le bavardage intérieur peut entrainer des émotions
et des sensations désagréables dans le corps.
Pourtant il n’est pas à éliminer car il donne des indications sur des croyances
et des expériences traumatiques plus profondes auxquelles on est encore
attaché et qui créent ces pensées négatives.
Parfois ces pensées ne sont même pas à nous mais à quelqu’un d’autre dans la famille ou
l’arbre familial, on a juste le problème de les entendre, il n’est pas nécessaire de les
prendre pour des créations personnelles.
Bonjour Hannah
Précieux votre article
Tres concernée car fracture d’un orteil et une Maman tres toxique qui me coupe de mes filles et petits fils
Et au bout de 58 ans j’ai enfin dit STOP et n’alimente plus
J’ai coupé tout contact
Mais c’est difficile et douloureux
J’ai une arthrose de hanche et de l’arthrose,
Pourtant je suis thérapeute et j’ai des résultats bluffants sur les autres
Pas sur moi
Si quelqu’un pense pouvoir m’aider?
Merci d’avance
Lauren
Bonjour Lauren,
L’arthrose parle tout d’abord d’un conflit de dévalorisation non conscient
Ce type de symptôme reflète une attitude de pas arriver à surmonter un
problème qui nous dépasse et dont nous n’avons pas la solution.
la hanche est reliée à la force et la fermeté.
il y a donc une situation contraignante contre laquelle on se bat mais
on sait qu’on n’a pas la force pour combattre car l’autre est plus fort.
C’est bien sur une vision d’enfant qui se voit oter sa liberté de mouvement.
Lorsqu’on ne peut pas lâcher, c’est qu’il ya un trop fort enjeu affectif qui empêche de renoncer
vraiment. D’ailleurs il n’est pas question de renoncer mais plutôt de sentir à quel point
c’est le combat d’une petite fille, pas d’une femme de 58 ans.
Bonjour ! CEla faisait longtemps que je n’avais pas reçu de message m’alertant d’un nouvel article.
Pour moi, après l’homéopathie, le Reiki, je règle tous mes problèmes avec la PNL et l’auto-hypnose. Et puis aussi avec l’alimentation.
Essayez de supprimer le sucre, les féculents, les céréales, le lait, les aliments industriels et préparés et cela ira beaucoup mieux.
Bonjour Michel,
Effectivement l’alimentation est bon départ.
Pour les trauma des premiers mois de vie, ça ne
suffira pas mais fort heureusement tous les
humains n’ont pas subi un traumatisme.
Salut Hannah
Je n’ai pas de problème au pied, mais à l’épaule gauche dans le dos, quelque chose qui ressemble à un clou enfoncé dans l’épaule en dessous du trapèze, ou un couteau, une douleur très ciblée, large comme un pouce par ex, on va dire le nord ouest du dos, pour qui me regarde dans le dos
tu as une idée ? même grossière ?
je vais essayer de trouver le médoc chinois, sinon j’attends la sortie de ton bouquin ho’opo….
cordialement
Bonjour Antoine,
L’épaule a une signification très affective:
être une mère poule
penser qu’on ne protège pas assez les siens
croire qu’on n’a pas assez protégé quelqu’un dont on était responsable
ce qui cache bien sur des émotions relatives au fait qu’on n’a pas eu une mère
qui protège
qui s’est sentie responsable de nous avec toute la dévalorisation non consciente
que cela entraîne.
Ho’oponopono peut aider bien sur mais l’émotion est aussi à travailler!
Bonjour Hannah,
Excellent article ! J’ai publié une histoire il y a pas longtemps qui montrait que l’on a toujours le choix d’évoluer par la manière douce ou la manière forte. La manière douce étant d’avoir conscience que chaque situation est là pour nous aider. Donc non, je ne te trouve pas maso au contraire ! Tu te diriges consciemment vers la guérison. D’autres choisissent de tout refuter ou ignorer et prennent des grosses claques de la vie. Ceci est la manière forte.
Pendant une période, je me faisais toujours mal, souvent aux chevilles. Depuis, j’ai arrêté le basket qui me causait ces problèmes-là mais ma vie a tellement changé que je pense avoir réglé certains troubles en moi liés à un certain inconfort entre mes projets personnels et ce à quoi ma vie ressemblait.
En tout cas, hyper intéressante ton histoire et ces guérisseurs m’intriguent toujours énormément !
Profites bien de tes voyages et au plaisir !
Dorian
Bonjour Dorian,
Les guérisseurs philippins ont la faculté d’opérer à mains nues
dans les corps et d’en extraire des substances toxiques sans
chirurgie.
C’est ce qui s’est passé, il m’a retiré de petits bouts d’os enkystés
depuis ma première fracture qu’il prenait pour du sable.
Si ça se trouve c’était vraiment du sable car c’est dans le sable que
‘ai eu ma première fracture à 15 ans, ça il ne pouvait pas le deviner!
Bonjour Hannah,
Quelle belle aventure, je n’aurais jamais pu imaginer
dire cela à propos d’une fracture!
Bonsoir Aline,
Oui quand on ne se débat plus avec « comment la vie
devrait être », tout est acceptable, même les tuiles et
difficultés.
Les scénarios sont tellement bien ficelés qu’on ne
peut que s’extasier devant tant de perfection!
Bonjour Hannah,
J’espère pouvoir un jour vous accompagner faire ce voyage
en Thaïlande que vous proposez, ça va me demander un peu
de préparation et d’organisation!
Bonjour Céline,
Vous ne croyez pas si bien dire.
Vous trouverez sur cette page la liste des
prochains voyages. Attention, pour celui de
mars/avril, il sera précédé d’une semaine en
Indonésie pour ceux qui le désirent.
https://www.new.forme-sante-ideale.com/stages/
Bonjour Hannah,
J’ai du mal à comprendre cette histoire de dévalorisation.
Je ne me sens pas dévalorisée et j’ai pourtant eu plusieurs accidents
aux membres inférieurs.
Bonsoir Sylvie,
Vous avez raison, la dévalorisation n’est pas toujours consciente.
En fait c’est un véritable système de défense plus qu’un problème en soi.
En effet, pendant qu’un enfant se demande ce qu’il a bien pu faire pour être
mal aimé ou mal traité, il trouve un petit pouvoir, celui de s’améliorer.
Sentir que ce sont ses parents qui ne sont pas en capacité de l’aimer
n’est pas concevable à son âge et pourtant c’est le cas.
Bonjour Hannah,
Je suis allée voir votre livre sur le site de l’éditeur, c’est formidable.
J’ai hâte de le voir imprimé, depuis le temps que je lis vos articles
sur Ho’oponopono!
Bonjour Elise,
Ce fut aussi une grande joie pour moi que de le voir » à paraître ».
ce projet me tient à coeur depuis un bout de temps déjà et c’est
un sympathique couronnement.
Bonjour Hannah,
J’ai regardé à Noël votre vidéo passionnante sur les couleurs, est ce que vous pourriez me redonner le lien?
Votre formation m’intéresse, j’ai peu de temps pour me déplacer et la formule e-learning me paraît
la plus appropriée pour moi.
Bonsoir Fred,
C’est en préparation et le lancement est prévu dans deux semaines.
Vous trouverez la vidéo sur l’importance de connaître les couleurs qui
révèlent notre âme ici:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/psychologie-des-couleurs-reussir-sa-vie/
Moi aussi je me suis cassé le pied récemment.
J’ai cherché dans les dictionnaires symboliques ce que cela pouvait
signifier et je crois, d’après vos explications, que l’obligation de
lever le pie serait la formule la plus appropriée!
Bonjour Marie,
C’est au sens propre comme au figuré…(lever le pied)
Il faut aussi regarder les mois qui suivent la fracture, il y a
généralement une nouvelle orientation de la vie.
Bonjour Hannah,
J’ai beaucoup d’histoires de famille qui remontent en ce moment
et moi aussi je sors d’une fracture, il me semble qu’une consultation
pourrait m’aider à y voir plus clair. En attendant je savoure votre article!
Bonsoir Hélène,
Je crois sincèrement qu’en ce moment tout le monde a de quoi
regarder dans sa vie en matière de mémoires.
Même lorsque cela fait longtemps qu’on travaille sur soi, il reste
des zones d’ombre qui continuent à vouloir être éclairées.
Bonsoir Hannah,
Pour avoir partagé une grande partie de ce dont tu parles à Thaïlande ton article m’a fait repartir quelques instants sur cette expérience hallucinante du sable que le Guérisseur sortait de ta cheville, je l’ai touché pour être sure!!!
Bon nous repartons quand? :))
bonne soirée,
Bonsoir Muriel,
C’est pour bientôt. C’est le problème avec les iles thaïlandaises,
un fois qu’on y a goûté, on manque d’imagination pour le reste
du monde…ceci dit une petite surprise en bas de cette page:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/stages/
Bonjour Hannah,
Je me disais aussi qu’il devait y avoir un couic car sans article à se mettre sous la dent ! depuis quelque temps. En te lisant je me disais encore une fois que i mon parcours thérapeutique recommençait question formation je prendrai le décodage biologique que je ,trouve fascinant mais à mon âge je pense que ce sera pour une autre vie j’espère ne pas l’oublier quand je passerai de l’autre côté.
Tout fait sens et je trouve encore incroyable qu’après tellement de travail sur nous-mêmes on rettrouve encore des trucs vieux de 40 ans.
Bises de Lisbonne
Bonjour Sylviane,
Oui, quelques mémoires à traiter de mon démarrage de vie.
ça m’a donné du temps pour préparer ma formation couleurs!
Le décodage, ça peut être ponctuel, juste pour cibler
l’émotion que cache le symptôme.
Merci Hannah pour votre article.
Avez-vous des techniques à utiliser pour les membres supérieurs tel les poignets. j’ai eu une sorte de tendinite au poignet gauche suite à une posture de yoga mal effectuée. la douleur est passée mais j’ai gardé une faiblesse au poignet. je ne peux plus appuyer dessus comme auparavant.
j’espère que dorénavant vos articles seront plus réguliers. Je les attends toujours avec impatience.
bonjour. Deux déconnexions cardiaques de quelques secondes au levée Et tous les examens médicaux :scanner cerveau et thorax bons électrocardiogramme bons. ?? Alerte de mon corps ? stop au surmenage ? Vouloir tout faire au mieux ,fini? Je comprends bien quand mes filles me disent Maman Écoutes ton corps : mais on ne peut pas arrêter de penser Même si je baisse mon activité Sera t il suffisant de baisser simplement d activité ?de réfléchir sur l Essentiel ? Qu’est-ce que mon corps veut me dire en s arrêtant brusquement?si c’est cette réponse de baisse d activité physique et mentale c est trop « simple »,non? Si quelqu’un pouvait m’éclairer Grand merci je n ose plus conduire et garder mes petits enfants.