Pourquoi et comment sortir de sa zone de confort: 10 raisons de partir au Népal

Sortir de sa zone de confort, chacun son truc
L’enthousiasme est monté d’un cran lorsque nous avons décidé de retourner au Népal cet automne.
Un trekking reste exigeant en matière d’endurance, alors comment se fait-il que malgré l’effort demandé, rien que l’évocation d’y retourner puisse me mettre en joie ?
- Parce que c’est l’aventure.
- Parce que tout est à inventer (sauf le parcours)
- Parce que c’est loin
- Parce qu’octobre !
- Parce ce que c’est la montagne la plus mythique.
Pourquoi octobre, quand tout le monde est de retour au travail et pourquoi pas comme tout le monde pendant les vacances d’été ?
Simplement parce que la mousson sévit au Népal, ce qui laisse comme opportunité de trekking le printemps ou l’automne, saison où la clarté est à son apogée.
Vous comprenez maintenant pourquoi ce fut ma première destination lorsque j’ai pris congé de l’éducation nationale.
Cette année, nous avons choisi les abords de l’Everest. Après l’Annapurna, symbole de la bonne mère, nous voici bientôt sur les balcons du plus haut sommet du monde.
Le Népal, c’est aussi la vallée de Katmandou
Partir au Népal, ce n’est pas un marathon, c’est aussi profiter du dépaysement total qu’est Katmandou, c’est à dire un savoureux mélange d’Inde et de Tibet.
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Cette ville mythique qui bat des records de pollution reste cependant une étape clé de la route de la soie.
Dans cette ville marchande millénaire, il fait bon déambuler. L’atmosphère y est chaleureuse et la joyeuse effervescence qui règne donne envie de s’attarder près des étals d’artisanat tibétain.
Par souci pour nos bronches, nous avons déniché un petit hôtel bien étoilé dans la montagne à une quinzaine de kilomètres qui permet de se ressourcer dans un cadre presque « british ».
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Sortir de sa zone de confort et marcher
Bien que le mot trekking fasse peur, marcher au Népal reste à la portée de tous. Vous n’avez pas besoin d’être sur-entraîné pour y prendre du plaisir.
L’endurance est une qualité qui se développe au fil des jours. Le nombre de villages d’accueil est suffisant pour raccourcir les étapes quand la fatigue se fait sentir.
En général, la marche s’arrête au déjeuner. Le reste de l’après-midi est destiné à se détendre, se centrer et partir en quête de nouveauté et d’insolite.
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Dépassement de soi au Népal et méditation.
Contrairement à l’idée reçue, la méditation peut tout à fait se faire dans l’action. Au Népal, il est difficile de marcher vite, le corps devant s’habituer tous les jours à une nouvelle altitude.
Méditer se fait en marchant. Prendre conscience de la terre sous chaque pied et de toute la chaîne musculaire que la marche active, focalise l’attention et permet au mental de ne pas vagabonder.
Sortir de sa zone de confort et lâcher prise
Dans la vie ordinaire, vous passez beaucoup de temps à remâcher des problèmes à résoudre, à vouloir améliorer des situations, à chercher des stratégies gagnantes pour obtenir ce que vous désirez.
Dans un trek au Népal, parfois, votre seul souci est d’avancer un pas devant l’autre. Voici une petite histoire qui illustre cela à sa façon:
Un moine qui cherchait à devenir disciple vint un jour demander au maître de l’accepter dans son ermitage. Il trouva le maître qui cheminait tranquillement le long d’une rivière. Comme le soleil chauffait fort, le maître lui proposa d’aller prendre un bain dans la rivière.
Il s’éloignent de la rive et au milieu de rivière, le maître appuie sur la tête de l’apprenti sous l’eau, l’empêchant ainsi de respirer.
Après quelques longues secondes d’horreur, le moine réussit à s’échapper, traitant le maître de tous les noms d’oiseau qu’il connaissait.
-mais vous êtes devenu complètement fou s’offusque l’apprenti
– Lorsque tu voudras l’éveil aussi fort que tu voulais l’air tout à l’heure, tu reviendras me faire ta demande, répondit le maître.
En trekking, il y a un peu de ça: marcher, respirer, garder le rythme deviennent votre activité principale. Penser est un luxe.
C’est ainsi que, libéré des facéties du mental ordinaire, vous pouvez sentir un profond lâcher prise.
Dépassement de soi en trek pour sortir de ses conditionnements.
Lorsque vous vivez quelques semaines à l’étranger, vous ne faites pas que changer de décor en effectuant vos gestes quotidiens.
Il vous faut vous adapter à une autre langue, d’autres peuples, d’autres coutumes et rituels.
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Vous rencontrez littéralement un nouveau monde et vos interactions avec d’autres humains laissent une trace en vous qui vous pousse à vous transformer.
Chaque jour, ce sont des expériences inédites et des émotions insoupçonnées. C’est à vous de vous fondre dans le décor et d’oublier vos réflexes conditionnés.
Cette immersion crée une grande ouverture que vous conservez au retour lorsque vous rentrez chez vous.
Sortir de sa zone de confort avec des paysages à couper le souffle
Impossible de s’ennuyer dans un trekking dans l’Himalaya. Au détour du chemin, vous vous trouvez nez à nez avec un colosse de plus de 4000m devant vous.
Ce n’est pas l’altitude qui vous coupe de souffle mais la beauté majestueuse de la montagne devant vous.
Parfois c’est une rizière qui vous chatouille l’œil. Pour moi qui suis spécialiste des couleurs, je me fais un bain de vert. C’est la couleur du centre énergétique du cœur.
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Le groupe, zone de confort ou dépassement de soi ?
Un trekking est aussi une aventure humaine. Nous choisissons de préférence des petits groupes où chacun a l’espace de s’exprimer.
Le groupe est la plupart du temps vécu comme un soutien. Échanger, rencontrer des personnes qui partagent la même passion pour les voyages et le développement personnel est un atout sur le chemin.
Certains viennent en couple, d’autres avec un ami, d’autres encore s’aventurent seuls. Les liens qui se tissent lors d’un voyage sont souvent un grand réconfort.
Pour ceux que la collectivité confronte, ils peuvent utiliser les espaces de travail intérieur pour se libérer de leurs émotions.
Trekking , dépassement de soi et santé
Quand est-il du mal de l’altitude ? Vaste question, bien sûr qui dépend de la physiologie de chacun.
L’important est de respecter les paliers d’altitude. L’hôtel à Katmandou est à 1500 m, l’aéroport de Lukla à 2800m.
A chaque palier vous restez 48 heures. La marche est très progressive et vous apprenez à gérer le souffle en fonction de vos pas.
En coordonnant votre respiration à votre marche vous trouvez ce qu’on appelle un « deuxième souffle « .
Cette respiration vous propulse dans un état méditatif au point que vous n’avez plus l’impression de faire d’efforts.
Au Tibet, il est dit que les moines ont ainsi l’air de voler sur les chemins !
Lors de notre dernier trekking autour des Annapurnas, plusieurs personnes ont commencé à développer des symptômes liés à l’altitude, fatigue, dérangement intestinal, etc.
Il s’est avéré, après travail approfondi que leur état était aussi lié à des émotions. Nous avons utilisé la technique Tipi pour les dégager. (voir mon précédent article)
Celle-ci, accompagnée des précautions d’usage en pareil cas, a permis à tout le monde de passer un col à 5416m ! Et ce n’étaient pas des montagnards chevronnés.
Sortir de sa zone de confort et oser.
Il est des moments dans votre vie où vous sentez que vous devriez vous lancer, (modification dans le travail, nouvelle relation, etc.) mais votre mental s’y oppose.
Il craint le changement et l’inconnu. Il se base sur le passé pour vous rappeler des expériences difficiles et vous consigne à l’ordinaire pour ne pas souffrir .
Marcher en itinérance vous oblige à changer tous les jours. Vous êtes obligé de vivre au présent sans faire référence à votre passé. L’inconnu est votre quotidien.
Vous prenez l’habitude d’agir sans l’habituelle confusion. Le fait de ne pas revenir sur vos pas le jour même oblige votre psychisme à aller de l’avant.
Lorsque vous dépassez le seuil des sommets européens, vous sentez qu’une nouvelle limite vient de lâcher.
Au-delà de 4800m, votre mental ne connaît pas ! Il apprend à s’habituer à l’inconnu sans anticiper. Chaque jour vous propulse un peu plus haut et un peu plus loin.
Je peux vous assurer qu’au retour, tout ce que vous considérez comme une épreuve vous paraît facile.
Infrastructure pendant le trek et zone de confort
Contrairement à ce qui se passe d’ordinaire, faire un trekking au Népal n’est pas un voyage « à la dure ».
Pour avoir parcouru pas mal de montagnes dans le monde, je peux vous assurer que dormir dans une chambre avec un lit jusqu’à 5000 m d’altitude est un véritable luxe !
Être accueilli en « lodge » avec des repas chauds est une des raisons qui me fait préférer le Népal à tout autre pays pour y faire du trekking.
Mieux encore, les sacs sont portés par des sherpas (dont c’est le vrai métier). Il ne vous reste que vos affaires personnelles pour la journée à porter.
Ça n’a l’air de rien, surtout si vous avez 20 ans, mais l’âge aidant un brin de confort n’est pas négligeable!
En résumé, des voyages pas comme les autres où l’objectif n’est pas juste le tourisme ou la marche.
Au fil des jours se tisse en chacun de vous une trame intérieure, une profonde contemplation de votre vie et de là où vous en êtes aujourd’hui.
Les deux voyages (intérieur et extérieur) s’harmonisent ensemble afin de vous porter vers l’étape suivante de votre vie.
Vous ne revenez jamais tout à fait le (la)-même d’une pareille expédition, c’est ce qui en fait tout le charme.
Pour plus de renseignements à propos du prochain départ, cliquez sur le lien bleu.
Et vous, que faites-vous pour sortir de votre zone de confort? Connaissez-vous le Népal? Avez-vous déjà été tenté? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah, pour le moment , les voyages ne m’attirent pas. Pour sortir de ma zone de confort, je cherche à agir différemment de ce que je faisais avant. Avant quand j’avais un soucis avec quelqu’un, je prenais la fuite, c’était plus simple à gérer. Maintenant, je rentre dans une démarche de paix alors j’essaie de mettre les choses à plat de façon la plus neutre possible pour trouver une autre façon de gérer la chose.
zenie
Bonjour Zénie,
Les relations ne font pas vraiment partie de notre
zone de confort, tu as raison de t’y engager de
nouveau plutôt que de les fuir quand elles créent
des mémoires!
Bonjour Hannah,
Tu veux vraiment que l’on se dise : « Et moi j’y vais quand ? »
En tous cas je ne suis pas loin de déjà programmer la chose !
Tout ce que tu décris sur les bénéfices de la marche en si haute altitude et du contact avec un monde si radicalement étranger est tellement vrai, et tellement enthousiasmant, au sens premier du terme.
J’ai toujours autant que j’ai pu circuler de par le monde avec mon cher sac à dos, et les Alpes françaises ou autrichiennes m’ont fait sentir par obligation ce second souffle.
Et puis le niveau de confort au Népal n’a rien à voir avec les refuges classiques de haute montagne…Ca fait rêver.
Vivez bien cette merveilleuse liberté. Et merci de nous en donner une petite part.
Amicalement.
Marie.
Bonjour Marie,
Merci pour ton témoignage.
Pour moi, c’est la loi d’attraction qui a fonctionné.
de tous temps, j’ai voulu faire un trek au Népal et
mon ancien boulot me l’interdisait.
Donc, je sais qu’en s’imprégnant du désir de partir,
on crée les conditions pour y aller!.
cette année j ‘ai mis un poster de 1 m de large dans
ma cuisine fait à partir d’une de mes photos de plage
en Thaïlande.
Résultat, à force de l’avoir sous les yeux tous les jours
et de contempler les cocotiers, j’y retourne pour la troisième fois cette
année!
J’ai découvert le second souffle par hasard au Ladakh lors
de mon premier trek il y a 25 ans! C’était mon premier col au-
dessus de 5000m. J’ai vite compris que si je ne trouvais pas
une technique miraculeuse, je ne passerais pas le col!
Bonsoir Hannah,
Bonne idée ce poster au mur, je n’y aurais pas songé.
Il me reste à en trouver un qui représente le Népal. Pas facile.
Je n’ai jamais passé les 5000m mais je veux bien te croire que sans le fameux second souffle on retourne au refuge !
Je vais chercher sur ton site si tu parles ailleurs de ce trek au Népal…
A bientôt.
Marie.
Bonjour Marie,
Voici trois articles où je parle du Népal
https://www.new.forme-sante-ideale.com/depassement-de-soi-tour-des-annapurnas/
https://www.new.forme-sante-ideale.com/comment-jai-passe-col-avec-technique-tipi/
https://www.new.forme-sante-ideale.com/marre-de-viande/
Le nouveau trek n’est pas celui que je décris dans le tour des Annapurnas.
il faut varier les plaisirs, cette année c’est de l’Everest dont nous allons
nous approcher.
Bonjour Hannah,
Merci d’avoir fait la recherche pour moi !
Un article viendra j’imagine après le trek de cette année.
Bon séjour en attendant.
A bientôt.
Marie.
C’est pour octobre!
Bonjour Hannah,
Quel beau projet, j’espère que cette occasion se reproduira, j’aimerais beaucoup y participer, mais pour cette année, ça me semble compromis…
Je garde cette information.
Merci pour tout ce que tu donnes à travers ton blog.
Bien amicalement,
Christine
Bonjour Christine,
Les occasions ne manquent pas de partir.
Le jour où ce sera le moment pour toi, je
ravie de t’accueillir. Il y a des destinations
plus « soft » comme Bali ou la Thaïlande!
cher Hannah
c`est très bon ce que vous faite vous avez brisée les chaines de la peur et sa donne a moi de réfléchir
de briser les chaine de ma peur qu est le confort illusoire.
Merci encor pour tout et très très bonne séjour.
Merci Djamel pour votre commentaire.
Je peux dire que c’est grâce à TIPI
que j’ai pu traverser bon nombre de peurs et
m’en décoller définitivement.
Bonjour Hannah
Ce qui est formidable dans cet article (enfin en premier) c’est ton enthousiasme
Sortir de sa zone de confort permet effectivement 1 de l’agrandir et 2 partir à l’aventure et trouver d’autres centres d’intérêt, de nouveaux amis,de nouvelles cultures enfin de nouvelles choses
Comme j’ai eu la chance d’avoir des parents qui très jeune m’ont fait partir en voyage à l’étranger(depuis les années 55 ce qui était quelque chose à l’époque je ne peux que leur dire merci car je me rends compte aujourd’hui combien ils m’ont permis d’élargir mes horizons.
Bon voyage
Bonjour Sylviane,
Franchement, tu avais des parents très avant-gardistes!
Tu as gardé le goût pour l’étranger puisque tu y vis encore
aujourd!hui!
Bonjour Hannah,
J’adore voyager, j’adore marcher, et j’adorerais participer à ce trek. Pas sûr cette année, mais j’espère qu’il aura lieu l’année prochaine! En tout cas, ce voyage est très bien mis en valeur dans cet article.
Amicalement
Françoise
Bonjour Françoise,
Nous t’accueillerons avec joie. Je ne sais pas s’il sera
reprogrammé pour l’année prochaine, nous décidons
en fonction de notre enthousiasme et de la demande.
Il nous a fallu deux ans pour intégrer totalement le tour
des Annapurnas mais c’était beaucoup plis long que
ce trek, il y avait 11 jours de marche.
Bonjour Hannah,
Ma zone de confort? cet article m’interroge et en même temps réponds à d’autres questions posées, il y a 5 mois environ. je viens de passer 2h sur ton tes articles Je suis quelques liens et je reviens sur ma zone de confort.
Etrange quel beau voyage, quelle richesse, oui je suis très tentée par ce voyage d’Octobre. Je ne réponds pas à la 1ère condition physique. J’attends que tu proposes un voyage vers soi, dans des conditions plus accessibles pour moi.
Merci pour cet excellent article qui m’a fait voyager.
Amicalement
Charlotte
Bonjour Charlotte,
Il y a des destinations plus tranquilles comme la Thaïlande.
On fait un travail intérieur mais on se détend. Je ne connais
pas de pays au monde où je trouve autant de détente. C’est
sans doute pour cela qu’il a été programmé plusieurs fois
cette année.
Bonjour Hannah,
Cet article m’a tout de suite fait penser à l’un de mes tout premiers voyages quand j’étais allé à Cuzco en altitude. Je retrouve ce que tu décris, le mental n’existe plus trop en altitude dans un environnement tout neuf. A l’époque, je ne m’intéressais ni à la méditation, ni au développement personnel et pourtant tout me semblait bien plus léger et plus simple à mon retour en France.
Cela n’a pas duré par la suite avec les habitudes de vie qui reprennent le dessus. Mais je rejoins tout à fait ce que tu expliques, ce genre d’expérience transforme et en vaut vraiment la peine. L’inconnu n’est pas très rassurant au départ puis on est ravi à la fin de l’avoir fait.
Pour l’instant, je ne connais ni le Népal, ni l’Inde. Je découvre ces pays à travers tes articles. La vie m’y emménera un jour si c’est nécessaire. Je suis plus branché sur le Japon jusqu’à maintenant.
Bonne semaine !
Bonjour Jonathan,
C’est vrai que tu es aussi un grand voyageur.
Habiter au Japon, ce n’est pas rien. Tu dois en plus
y avoir des racines karmiques!
Je ne suis jamais allée en Amérique du Sud à part
quelques incursions à la frontière mexicaine.
Par contre j’ai eu Cuzco dans mes rêves avant même
de savoir où c’était.
C’est un manque pour le moment qui trouvera
peut-être une résolution si je le mets dans mes
buts à travailler avec la loi d’attraction!
Bonjour Hannah,
Je confirme, le voyage forme la jeunesse. Je suis moins Fans que Jonathan par rapport au Japon mais pour avoir visité l’Irlande, la Thailande, San Francisco, l’Espagne, Eindhoven et bien évidemment le Japon, je trouve que Voyager permet de savoir apprécier plein de choses que l’on apprécierait pas si l’on restait chez soit ou dans la même région toute sa vie.
Maintenant, on habite à Malte, expérience sympa…
Bref, mon frère me parle souvent de toi, clairement, tes propos ont pu changer mon esprit…Je vois le monde différemment et j’enlève petit à petit mes peurs…avec tout le vacarne que l’on a dans sa tête…
Bref, merci pour ce super blog.
Bonjour Maxence,
C’est vraiment une famille de voyageurs!
Je ne connais pas Malte. Entre voyager et
habiter il y a un monde!
Si je m’écoutais, je ferais un mi-temps avec la
Thaïlande mais pour cela il faudrait vivre en
partie du blog, ce qui n’est pas le cas!
Je vois que tu as un blog aussi, de quoi parle t-il?
Bonjour,
Mon blog est sur la course à pied : http://www.blog-course-a-pied.com/ et j’en ai un autre sur les paris sportifs : http://www.gagner-de-largent-grace-aux-paris-sportifs.fr/
Sinon, je t’invite vraiment à lancer un produit sur ton blog, tu ferais un carnage et aiderait beaucoup de personnes.
Un lancement pour la rentrée de septembre par exemple. 😉
Etre blogueur Pro, ce serait sympa pour être tranquille dans un hamac à Ko Samui, hein ? 😉
Bonjour Hannah
Cet article sur ce voyage au Népal et sortir de la zone de confort, est vraiment très intéressant, avec de belles photos sur les gens, les paysages. ça devait être passionnant
pour le trek, mon mari et moi qui aimons marcher, je ne sais pas si nous pourrions le faire.
mais nous avons fait quelques voyages et nous essayons de marcher le plus possible, nous aimons beaucoup la nature, et rencontrer des personnes dans leurs pays est toujours très enrichissants, partage de la langue, des traditions, ….
bonjour à votre mari
cordialement
jacqueline
Bonjour Jonathan,
C’est vrai que tu es aussi un grand voyageur.
Habiter au Japon, ce n’est pas rien. Tu dois en plus
y avoir des racines karmiques!
Je ne suis jamais allée en Amérique du Sud à part
quelques incursions à la frontière mexicaine.
Par contre j’ai eu Cuzco dans mes rêves avant même
de savoir où c’était.
C’est un manque pour le moment qui trouvera
peut-être une résolution si je le mets dans mes
buts à travailler avec la loi d’attraction!
Bonjour Jacqueline,
Tu sais, il n’y a pas besoin d’être spécialiste pour faire un trek.
Seules les pathologies respiratoires sont rédhibitoires au-dessus
de 5000m.
Il faut faire quelques marches en montagnes avant de partir c’est tout.
J’espère qu’un jour je pourrai vous compter parmi nous!
Bonjour Hannah !
Déjà que j’aime voyager, marcher et découvrir, et aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur.
En lisant ton article, j’ai le sentiment que c’est vraiment l’une des meilleures façons d’avancer, de se délester des poids inutiles que l’on continue à porter et d’y voir enfin clair.
Tu rends limpide la pratique des moines taoïstes dont le principe est : « plus on marche, plus on avance vers l’éveil » !
Merci beaucoup à toi. Bises.
Eric
Bonjour Eric,
Un petit coucou de Bali.
C’est plutôt cool marcher dans les rizières. Très méditatif et rien à voir avec
l’altitude mais quel plaisir!
Avec ce que j’ai pu marcher dans ma vie l’Eveil est proche alors!
Merci pour ce partage aidant a la reflexion interieure…
my pleasure
J’ai un petit coup de coeur pour ce blog que je consulte quotidiennement, c’est un vrai plaisir que de lire vos articles, ça change beaucoup les idées, ça permet de s’évader, ça donne envie de s’intéresser à certaines pratiques de plus près comme Ho’oponopono, et je me mets comme challenge que je ferai l’un de vos voyages que vous organisez en Asie.
Bonne continuation à vous
Wendy
Merci Wendy pour votre retour.
A bientôt alors pour un voyage!
Il va falloir mettre en pratique ce
qui est dit dans les articles sur la loi
d’attraction!
Bonjour Hannah,
C’est captivant ce que tu racontes. C’est comme si je sentais juste à la lecture de ton article que mon mental s’apaisait juste à penser que je serais dans l’inconnu seconde après seconde, minute après minute. Les autres pensées (compulsives pour la plupart) n’auraient pas le temps de tournoyer dans ma tête comme d’habitude.
Le seul hic est que je ne voyage à aucun endroit où il faut des vaccins et/ou des précautions particulières au niveau de la santé, car j’ai des restrictions à ce niveau. Mais si je devais faire ce voyage, je le ferais avec toi! 😉
Et la lecture de ton article tombe à pic. Hier, j’ai appris qu’une québécoise est en train de traverser l’Atlantique en solitaire dans une embarcation à rames. Elle rame seule, sans moteur, ni voile… J’en ai des frissons juste à y penser. Si c’est pas sortir de sa zone ce confort ça, je ne sais pas ce que c’est. Heureusement, elle a une équipe au sol qui la suit et on peut voir sa position en temps réel sur une carte sur son blog. Elle en est à son 14e jour de traversée et prévoit arriver à Lorient en France en octobre… WOW!
Amicalement,
Sco! 🙂
Bonjour Sco!
Moi non plus, je ne voyage plus à des endroits où il faut
un vaccin, mon corps les supporte mal.
En altitude, les microbes ont froid donc on est assez tranquille
sur ce plan là.
Sco, j’espère qu’un jour tu seras de la partie, voyager et faire un
travail en même temps est, à mon goût un cocktail époustouflant.
Tout fait sens, les interactions, les rencontres, les expériences
avec les locaux, le marchandage dans les rues. Tout s’imbrique
dans un tout cohérent qui permet de savoir à chaque instant où
on est, ce qui se joue et ce qui se travaille en profondeur.
Quant à la traversée à la rame, je ne suis pas prête.
C’est un sacré défi mais je sens que j’ai vécu toutes les expériences
en solitaire que j’avais besoin de vivre. Aujourd’hui, j’ai le goùt
des interactions avec les humains!
et puis la mer… ça dépend comment on l’écrit!
Coucou Hannah,
Pour aller au Népal, il ne faut pas de vaccins? Ni en Thaïlande? Eh ben, dis donc! Je suis surprise!
Sco!
Tu sais que l’hygiène est quasiment mieux respectée
en Thaïlande qu’en France! Ils se sont aussi mis
à l’eau filtrée donc plus jamais de problèmes
intestinaux!
« Au fil des jours se tisse en chacun de vous une trame intérieure, une profonde contemplation de votre vie et de là où vous en êtes aujourd’hui », ça fait rêver
y a plus qu’à !
Une remarque concernant le recour aux porteurs népalais. Leur réputation est bien justifiée: le poids que peuvent porter ces gens est tout simplement stupéfiant. Mais plus incroyable encore est le poids que les touristes leur font porter…Pour être embauché, le porteur sera prêt à assumer une charge colossale, mais rappelez-vous que ces gens le font parce qu’ils ont besoin d’argent, mais ils ne sont pas invincibles, et ne vivent généralement pas très vieux… Alors relativisez les choses, et comparez un peu vos niveaux de vie: un porteur népalais vous coutera approximativement 15 francs par jour, alors pourquoi ne pas en embaucher un de plus pour répartir des charges sinon excessives? Pour 15 f. par jour, vous pourrez trekker avec la conscience de ceux qui savent respecter leurs hotes, pensez-y !
Bonjour Estella,
Ce que vous soulevez là est effectivement un problème
d’éthique au Népal. Aujourd’hui les porteurs sont payés
autour de 15 euros par jour. C’est peu pour nous, c’est acceptable
pour eux.
Il y a eu depuis quelques années des lois en leur faveur.
le poids maximal qu’il portent aujourd’hui est de 25 kilos.
C’est beaucoup pour nous, acceptable pour eux.
Un touriste qui décide de porter son sac ne fait pas nécessairement
de bien aux sherpas.
Il les prive aussi d’un salaire.
La responsabilité du trekkeurs est de passer directement commande
à un porteur ou par une agence en veillant à ce que les porteurs
soient bien traités.
Porter au Népal est un métier noble. Certains étudiants n’hésitent pas
à se faire un peu d’argent en accompagnant les trekkeurs l’été afin de
payer leurs études.
Vivre au Népal une aventure c’est aussi faire appel aux personnes locales
et partager avec elles. C’est ce que nous faisons avec l’équipe des
porteurs quand nous partons.
Hannah bonjour
Quel bel article, vivre en Lozère après avoir connu la Gironde, là aussi le fait de marcher prend une autre tournure – Le travail sur soi permet aussi de changer ses zones de confort, de créer de nouvelles habitudes – de voir la vie autrement, de faire tomber des barrières afin de mieux franchir les obstacles de la vie – la vie est un beau cadeau du moment où tu vis en bonne santé – voyage pour une trekking pourquoi pas – le faire en France où je me sens bien – aller à l’étranger, au Népal, pour le moment ne me tente pas – très beau voyage au Népal
Cordialement
Patricia
Bonjour Patricia,
La marche ouvre des horizons intérieurs.
En fait, peu importe où on marche. Nous avons aussi
de belles montagnes en Europe.
Bonjour,
Hannah a déjà répondu à propos des porteurs, mais je vais ajouter mon grain de sel …
Nous avons une éthique de respect maximum des Êtres vivants, des lieux, des coutumes et des cultures.
C’est pourquoi nous nous adressons toujours à des agences locales dont nous vérifions le fonctionnement.
C’est le cas aussi bien quand nous allons marcher dans le désert que lorsque nous parcourons l’Asie, sauf en Thaïlande où nous sommes autonomes.
Pour le Népal nous avons eu la « chance » de rencontrer Amir, directeur d’une agence de Kathmandou. Il est francophone et très efficace. Nous avons pu vérifier que les guides et les porteurs qu’il engage sont non seulement correctement payés, mais en plus jouissent d’une protection sociale (santé,retraite). De plus nous payons en plus pour avoir un guide devant et un guide derrière en sécurité avec un porteur de plus -au cas ou …
Ceci dit, au Népal, tous les cas de figure existent.
Chacun voit ce à quoi il vibre. ceux qui travaillent
intérieurement les injustices, vont en voir partout,
c’est d’ailleurs la vue de l’injustice et de ce que cela
remue en soi qui nous permet de savoir que nous avons
encore des mémoires à l’injustice.
Pas besoin d’aller au Népal pour cela!
Faire du trekking, c’est effectuer une longue randonnée à pied. C’est partir à l’aventure. On trouve au Népal des jungles tropicales, de vastes bassins agricoles, des forêts de feuillus, de bambous, de rhododendrons et de conifères, des steppes, des déserts de haute altitude et enfin les neiges éternelles recouvrant les plus hauts sommets de la terre. Le rhinocéros unicorne, l’éléphant d’Asie, le tigre royal du Bengale habitent ses jungles tandis que ses hauteurs sont fréquentées par le léopard des neiges, plusieurs variétés de chèvres, l’ours himalayen et qui sait… peut-être même le yeti !
Pour ce qui est du yéti, je l’ai croisé sous forme d’une compagnie aérienne.
On trouve au Népal des noms sympas comme
buddha airlines
Tara airlines
Yéti airlines….
Bonjour Hannah,
Merci pour cet article. J’avais énormément de mal à me sortir de ma zone de confort ! Maintenant je me motive et fonce !
La vie est trop courte !
Paul
Bonjour Paul,
Et que fais tu concrètement quand tu décides de sortir de ta zone de confort?;-)
Bonjour Hannah,
Tu nous l’as bien vendu avec cet article, l’expérience me tente pour le défi physique et mental, les paysages, et de se dire ‘ »je l’ai fait ».
Par contre, pb: je n’aime pas la vie en communauté, je n’ai jamais le même rythme que les autres, j’ai horreur de me lever tôt surtout pour marcher, j’aime trop le confort (le camping et la cuisine au bleuet ,très peu pour moi), et je serais incapable de méditer sans être seul.
Je sens que tu vas me dire de travailler sur mes mémoires…
En tout cas, ce serait vraiment sortir de ma zone de confort. Pourtant je l’ai fait bien des fois en étant prof pendant plus de 20 ans alors que je déteste parler en public, en relevant des défis insensés dans ma vie comme ouvrir une discothèque au Brésil, driver un cheval de course, lutté contre mes peurs en faisant des descentes en rappel de 50m ou des sauts de plus de 10m au canyoning alors que je souffre de vertige, surfé du « gros » alors que j’ai peur de la mer quand ça secoue trop…
Mais là le défi me parait trop dur à relever!
bonjour Daniel,
Ah ça, pour être un défi c’en est un!
cela reste un trekking confort, je n’ai plus 20 ans
donc le camping bleuet et le mal au dos ce n’est plus
pour moi.
Les chambres sont rustiques mais à 5000m, on est moins
exigeant!Il y a des auberges tout le long pour manger
et dormir , c’est ce qui fait le charme du Népal.
Par contre ne pas se lever le matin est un problème…
mais sachant qu’il y a 5 heures de décalage et que parfois
le soir on se couche à 20H30, parce qu’il fait noir et
qu’à 5000m les distractions sont rares, le corps y perd son
latin, il ne sait plus si c’est le matin…
la discothèque au Brésil me paraît plus risquée qu’un
trekking au Népal!
Au Népal, le mot trekking prend toute sa signification. Imaginez un petit royaume montagneux, où la population se déplace exclusivement à pied… Des paysages étagés d’une grande diversité s’ouvrent sous vos yeux : rizières, gorges, villages, belles forêts, solitudes glaciaires et sommets prestigieux. Vous êtes au cœur des grands paysages himalayens ! Au fil des chemins, rythmés par de nombreuses manifestations de la vie religieuse (moulins, murs, drapeaux à prières, monastères…), vous rencontrez la population népalaise. Depuis des siècles, paysans, écoliers, moines, empruntent ces itinéraires très fréquentés jusqu’aux derniers villages habités. Que vous soyez passionné de culture, ou que vous souhaitiez gravir des sommets mythiques, le sanctuaire du trekking vous réserve bien des surprises ! !
Je vois que j’ai affaire à un spécialiste!
C’est effectivement l’endroit idéal à tester une
fois dans sa vie!