Puis-je regler un probleme physique avec la méthode Ho’oponopono ?

La méthode Ho’oponopono à l’ordre du jour
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La méthode Ho’oponopono, c’était le thème de la conférence que j’ai donnée à Annecy vendredi dernier devant une salle nombreuse face à laquelle je me suis régalée.
J’ai adoré transmettre oralement plutôt que par écrit et je me suis aperçue que les connexions se font plus naturellement lorsque je ne m’occupe pas de mon texte.
Nous avons été mis dans le bain tout de suite car toutes les places étaient réservées et lorsque des personnes du blog se sont présentées à la porte, il n’y avait pas moyen de les faire rentrer.
Je suis allée les voir à la caisse et je leur donné les petites phrases (dont je parlerai plus tard dans l’article) de Ho’oponopono en leur disant :« Faites Ho’oponopono sur la mémoire du rejet ou le fait de ne pas être attendu et si vous obtenez une place alors que ce n’est pas possible, alors vous viendrez témoigner de la puissance de la méthode Ho’oponopono. »
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Ainsi fut fait et les 5 personnes en attente ont pu assister à la conférence ! Cet article participe à l’évènement « Le calendrier de l’Avent : sur le Chemin du Bien-être« , organisé par Katibel du blog Forme et bien-être.
Aujourd’hui est un grand jour car le 15 décembre 2014 est le jour du 6 ème carré uranus/Pluton. Même si cela vous paraît du chinois, je vais vous expliquer en deux mots ce que cela peut signifier pour vous.
Depuis 2012, nous subissons un angle (90°) particulièrement stressant entre ces deux planètes mais ce « carré » est aussi facteur de grandes transformations. Uranus étant le grand ciseau cosmique, et Pluton le symbole de la transformation en profondeur des mémoires transgénérationnelles, il était inévitable que ces 2 dernières années soient associées à un état de crise.
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Une crise n’est pas forcément une épreuve, c’est parfois une goutte d’eau qui fait déborder le vase, la libération d’une situation intenable ou l’obligation de remettre en question certains domaines de votre vie.
Prendre des décisions, s’engager dans une transformation profonde, modifier votre façon de vivre les relations, l’argent, le travail, c’est ce qui vous a été proposé ces deux dernières années.
Si vous avez eu l’impression de vivre un grand coup d’accélérateur ou un grand coup de pied au C.., alors c’est que vous avez été sensible à ces influences planétaires.
Ceci est d’autant plus vrai pour toutes les personnes nées de fin 1962 à 1966 (lors de la dernière conjonction Uranus/Pluton) ou pour ceux et celles qui ont des planètes de naissance dans les signes bélier/balance, cancer et capricorne. Cela fait beaucoup de monde concerné…
Aujourd’hui est donc le jour du 6 ème carré, le dernier étant le 17 mars 2015, date de fin de ces remous planétaires. Attendez-vous à beaucoup de changements d’ici le printemps !
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Mais revenons à la méthode Ho’oponopono et les problèmes de santé.
Il existe toutes sortes de techniques pour venir à bout des problèmes physiques. Je vous ai souvent parlé du décodage biologique car je suis admirative de l’intelligence que le corps développe pour régler ce que vous vivez comme un stress.
Et même si la solution est une maladie, ce n’est jamais une erreur mais une fantastique opportunité de réguler ce qui vous fait souffrir. Je distingue plusieurs sortes de problèmes physiques.
1°) Les petits bobos ponctuels et la méthode Ho’oponopono
Ce sont les petits dysfonctionnements de votre vie courante que le corps (aidé du cerveau) régule à sa façon, comme par exemple, ce rhume insolite que j’ai attrapé au Népal afin de gérer l’altitude que le corps avait enregistré comme une menace.
C’est aussi le bouton de fièvre ou l’herpès qui pointe au coin de la lèvre chaque fois que vous vous êtes senti isolé ou déprécié. C’est aussi une otite ponctuelle si ce que vous avez entendu vous a écorché l’oreille, des douleurs aux épaules si vous avez l’habitude de tout prendre sur vous, ou un mal de gorge si vous avez omis de dire et ravalé vos paroles.
Il suffit de comprendre le message du corps et tout rendre dans l’ordre. Utiliser la méthode Ho’oponopono sur un petit bobo accélère le processus de guérison, surtout lorsque vous avez conscience de l’enjeu du problème.
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2°) Les pathologies plus lourdes mais pas dangereuses avec la méthode Ho’oponopono
Je veux parler ici des symptômes qui n’accusent pas de gravité particulière mais qui savent pourrir la vie, du point de vue du mental bien sur. Le corps, de son côté, sait parfaitement ce qu’il fait : aucun symptôme n’est là par hasard et il est passionnant de se pencher sur l’aspect symbolique de la pathologie.
Je ne considère pas ce type de pathologie comme des évènements ponctuels. Lorsqu’un symptôme dure plus de 10 ans, vous appelez cela maladie chronique mais la méthode Ho’oponopono appelle cela une mémoire.
Pour mieux comprendre ce qu’est une mémoire, je vous propose de cliquer sur le lien bleu. Sachez simplement qu’une mémoire selon la méthode ho’oponopono est quelque chose que vous portez en vous.
Vous n’êtes pas responsable d’avoir amené cette mémoire dans votre vie mais vous êtes responsable de la porter. Vous comprenez la différence ? Il n’y a pas quelque chose que vous n’auriez pas fait ou mal fait, le symptôme est là mais vous ne l’avez pas nécessairement créé par votre comportement.
C’est important pour moi de distinguer ce type de problème des bobos passagers parce que, par méconnaissance, certains encouragent, au travers du décodage biologique systématique, un fort sentiment de culpabilité qui n’aide pas à la guérison.
Cela reviendrait aussi à dire que vous êtes à la source de tout et donc que vous pouvez tout maîtriser à partir du moment où vous comprenez ce qui se passe en vous. Je l’ai pensé un moment, cela m’arrangeait de croire que je pouvais tout maitriser (surtout les dangers).
Aujourd’hui, je suis plus tempérée. Lorsque vous portez une mémoire qui se manifeste sous la forme d’un problème physique, c’est surtout le rappel qu’il y a nécessité de la nettoyer.
Vous pouvez chercher à vous soigner mais si vous n’identifiez pas la mémoire à l’origine de la pathologie, vous allez voir que rien ne semble fonctionner sur le long terme . Vous ne pouvez pas savoir d’où vient cette mémoire. Souvent, elle a même commencé dans l’enfance, à la fin de l’adolescence ou même dans la vie intra-utérine.
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Et cela n’a rien à voir avec quelque chose que vous auriez raté, mal fait ou pas compris. C’est ainsi. La mémoire n’est pas forcément à vous mais à votre arbre généalogique (ou passé karmique en fonction de vos croyances).
J’ai toujours été très fâchée à mes débuts avec l’astrologie védique parce que je trouvais qu’elle était enfermante. Je n’avais pas du tout envie d’entendre que j’aurais un problème pendant 25 ans ou que mon thème disait que je n’aurais pas d’enfants.
Je ne voyais pas qui pouvait se permettre de connaître l’avenir à l’avance et j’avais vraiment besoin, à l’époque, de croire au total libre arbitre.
Je crois aussi que c’est très sain à 20 ans d’envisager que tout est possible pour sa vie, que toutes les limitations se dépassent et que les obstacles sont faits pour être surmontés.
Plus de trente plus tard, il est aussi normal de modifier son point de vue. La réalité, c’est que je n’ai réellement pas eu d’enfants. Et ce n’est pas une programmation personnelle.
J’ai posé la question à un guérisseur avec qui nous avions passé une semaine en Malaisie et il m’avait répondu évasivement que si j’en voulais, il faudrait vraiment beaucoup, beaucoup de prières…
C’est cela que j’entends par mémoires… ce sont des limitations obligatoires liées la plupart du temps à l’arbre généalogiques et dont vous héritez à la naissance.
J’en ai déjà parlé mais il n’est pas possible d’imaginer hériter de la couleur des yeux de vos ancêtres ainsi que de leur fortune et de leur niveau de vie sans prendre aussi leurs dettes et leurs conflits physiques, matériels, spirituels et psychologiques.
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Ma mémoire au sommeil et la méthode Ho’oponopono
C’est de cela dont je parle quand je dis que vous êtes responsable de porter la mémoire, pas de l’avoir créée. Ainsi, pour moi, le symptôme porteur de mémoire le plus flagrant est le sommeil chaotique.
Cela fait plus de 40 ans que cela dure. Tant que je cherchais à guérir, rien ne se passait. J’étais totalement identifiée à « je suis quelqu’un qui ne peut pas dormir normalement ». J’étais tendue dans quelque chose qui s’apparente à « je ne veux pas de ce symptôme, c’est injuste, c’est un handicap de chaque jour. »
Je voulais, à tous prix, connaître les causes pour les enrayer. Plus je m’acharnais, plus le symptôme redoublait d’ardeur. Il jouait avec moi. J’ai fini par lâcher prise. J’ai accepté de ne pas dormir, je me suis occupée à faire des pratiques dans mon lit au lieu de dormir et cela a considérablement diminué ma tension. J’ai lâché l’idée de vouloir guérir du mauvais sommeil.
Avec les thérapies quantiques, mon sommeil s’est amélioré parfois même jusqu’à disparaître pendant des semaines. A ce moment précis, quelque chose en moi a dit : « ça y est, c’est réglé une bonne fois pour toutes. » je n’avais donc pas lâché l’idée de guérir…
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Le lendemain c’était reparti pour les insomnies. Le véritable lâcher prise est long… En fait, même si vouloir guérir est légitime, le « une bonne fois pour toutes » est une façon de refuser de porter une mémoire ou de refuser une leçon de vie.
C’est là qu’intervient Ho’oponopono. La méthode Ho’oponopono vous propose de nettoyer la mémoire sans la pression du résultat. Lorsque vous nettoyez une mémoire, vous le faites pour vous, pour l’arbre et pour toute l’humanité.
Lorsque j’ai commencé à nettoyer mon mauvais sommeil avec Ho’oponopono, je pensais secrètement que ça allait régler le problème même si j’insiste pour dire que la méthode Ho’oponopono n’est pas là pour nous débarrasser des problèmes.
Elle est là pour rectifier mais vous ne savez pas toujours ce qui n’est pas droit derrière le symptôme ! Je pouvais croire que j’avais affaire à un problème de sommeil. Pourtant, plus je nettoie et plus je m’aperçois que, grâce à ce symptôme j’apprends à lâcher prise sur « c’est moi qui fais ».
La réalité d’une mémoire, c’est que vous ne pouvez que la nettoyer. Seul le Divin ou votre partie divine peut effacer la mémoire. Encore faut-il imaginer (ou expérimenter) qu’elle existe…qu’elle se soucie assez de vous pour entendre vos prières.
De plus, c’est à vous de mettre la main à la pâte pour nettoyer la mémoire qui est logée dans votre subconscient au lieu de tout attendre de la part du divin. Le divin ne peut rien pour vos problèmes émotionnels….c’est à vous de vous en occuper et de les nettoyer !
Il peut effacer les mémoires lorsque vous les avez nettoyées et que vous avez cessé de vous identifier à elles. Pour en revenir au sommeil, tout va mieux depuis que je me définis moins comme quelqu’un qui ne dort pas.
Désormais, je ne fais que porter une mémoire de mauvais sommeil, cela n’a rien à voir avec moi. Je ne dors pas forcément mieux, il y a des hauts et des bas puisque c’est la première chose qui se dérègle chez moi mais ce n’est plus un problème.
Lorsque je me réveille, je nettoie avec les 4 petites phrases qui s’adressent particulièrement à la mémoire:
- Je suis désolée
- S’il te plait pardonne-moi
- Je te remercie
- Je t’aime
Je m’excuse de ne pas l’avoir juste pris pour une mémoire et donc d’avoir plutôt cherché des solutions plutôt que de la nettoyer. Je n’avais pas compris que le nettoyage des mémoires fait partie de ce que j’ai à faire sur terre.
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Et si ce sont les problèmes de sommeil qui m’aident à lâcher prise sur ma volonté et qui me ramènent la notion du divin, alors je peux remercier la mémoire et lui dire que je l’aime.
Tant que vous ne savez pas à quoi vous sert la mémoire, il n’est pas facile de l’aimer ! Et même lorsque vous croyez connaître la mémoire, vous vous apercevez que vous étiez loin du compte.
Je vous propose une courte vidéo que j’ai faite où j’explique comment nous avons travaillé, une cliente et moi, sur ses problèmes physiques avec Ho’oponopono. Ce sont mes premières vidéos donc la technique n’est pas encore en place mais vous aurez une idée de comment formuler une « ordonnance-ho’oponopono » adaptée à votre symptôme.
C’est le thème central du livre que je viens d’écrire et qui sera publié sous peu, j’espère. Vous trouverez en-dessous la transcription (en grisé) si vous avez des problèmes pour télécharger la vidéo.
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Bonjour je suis Hannah Sembely de forme santé idéale et j’aimerais vous parler aujourd’hui de Ho’oponopono parce que vous savez que, avec cette technique ou cette méthode, il n’y a pas lieu de le connaître la mémoire qu’on nettoie.
Il suffit de nettoyer.
Je me suis aperçu, par la pratique, que c’est juste mais il peut être intéressant aussi de savoir ce qu’on nettoie parce qu’il est beaucoup plus difficile de lâcher quand on ne sait pas ce qu’on tient.
Je vous donne un exemple:
J’ai une cliente qui est venue me voir parce qu’elle était très embêtée quand elle faisait des massages. Elle avait les mains moites, les pieds aussi mais ça ne l’embêtait pas autant que les mains moites pour masser.
Nous avons travaillé dessus et c’est sûr que elle aurait très bien pu (et je pense qu’elle avait déjà fait) travailler sur les mains moites et donc réciter les quatre petites phrases de guérison de Ho’oponopono sur le problème des mains moites.
- Je suis désolée
- S’il te plait, pardonne-moi,
- Je te remercie
- Je t’aime
Mais cela n’avait eu aucun résultat et c’est dommage parce que lorsqu’on fait cela, on se décourage, on pense que Ho’oponopono, c’est les petits oiseaux, ça ne fonctionne pas.
C’est pour cela que je trouve que aller un petit peu plus en profondeur avant de nettoyer cible mieux ceux qui est à nettoyer. Donc je lui ai simplement posé la question » dans quel état cela la mettait d’avoir les mains moites au moment de masser ».
Elle me dit : « eh bien ça renforce la mauvaise image que j’ai de moi et du coup je perds confiance. Déjà que je n’ai pas beaucoup confiance en moi parce que je n’ai pas connu mon père.
Donc là, je l’ai arrêté.
On a parlé un petit peu de ce qui se passait par rapport à sa naissance… est ce qu’elle connaissait son père finalement ou est que ce qu’elle ne le connaissait pas ? Je savais qu’elle ne l’avait jamais rencontré et sa mère n’a jamais voulu lui dire qui était son père.
Donc je lui ai proposé de faire Ho’oponopono, plutôt en incluant cette mémoire. En fait derrière un problème physique, on ne sait jamais ce qui se cache. Avec l’histoire de son père manquant, on est plus au clair par rapport à la souffrance et la blessure liées à la mémoire.
Alors, je lui ai donné ce que j’appelle une ordonnance-Ho’oponopono, c’est à dire 4 petites phrases plus ciblées pour que vraiment l’enfant à l’intérieur de vous entende que l’on s’adresse vraiment à lui.
Quand vous dites « je suis désolé », vous parlez à votre subconscient, celui qui porte les mémoires, c’est un peu l’enfant en vous. Et voilà ce que ça donnait pour cette situation :
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- Je suis désolée
Je ne savais pas à quel point tu souffrais de ne pas avoir eu de père
et de ne pas l’avoir connu…
et puis surtout de ne pas avoir eu ce sentiment d’appartenance de se savoir
la fille de quelqu’un.
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- S’il te plait, pardonne-moi
Pardonne-moi de ne pas avoir pris au sérieux tes émotions et tes difficultés que tu me montrais sous la forme des mains moites.
Je croyais vraiment qu’il suffisait de vivre sa vie, de se sentir bien et de
faire en sorte d’arranger le présent.
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- Je te remercie
Je te remercie de me montrer au travers de mes mains moites
tout ce que j’ai à travailler.
Sans toi, je n’aurais jamais eu l’idée de nettoyer ma naissance sans père.
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- Je t’aime
Vous voyez là, à l’intérieur, il y a vraiment un petit ou une petite qui sent qu’on s’adresse à lui et le nettoyage va commencé vraiment à être efficace. Alors ça ne veut pas dire qu’elle va cesser d’avoir les mains moites du jour au lendemain mais pour moi elle a le fil conducteur et elle nettoie sur les causes.
Il est possible bien sûr qu’à un moment donné (mais on ne peut pas savoir à quel moment) cela finisse par régler ses mains moites.
3°) Mon dernier sujet, ce sont les pathologies graves et la méthode Ho’oponopono
Elles génèrent un stress supplémentaire car elles sont associées à l’idée de la mort. Il y a un timing qui vous oblige à prendre rapidement une nouvelle direction ou régler un stress dont vous n’aviez pas mesuré la gravité.
Ces maladies sont aussi des mémoires. Je vous renvoie au fantastique film avec Cameron Diaz « my sister’s keeper ». Il est très clair que l’enfant porte une mémoire qui ouvre le cœur de toute la famille même s’il s’agit d’une maladie mortelle .
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Ces grandes maladies ne sont pas des erreurs de parcours non plus, mais des passages obligés destinés à vous faire grandir. Il n’est pas rare que la maladie rassemble la famille et répare ainsi des ancêtres qui auraient été isolés, pestiférés ou exclus.
Ce qui est certain, c’est que la maladie oblige à changer de point de vue et au lieu de voir en elle, un obstacle, il est possible de l’envisager sous l’angle du bénéfice. En quoi cette maladie m’a t-elle fait évoluer, m’a ouvert le cœur ou m’a appris une leçon essentielle ? Que ce soit du point de vue du malade ou des personnes proches.
Il y a certaines maladies dont vous ne pouvez pas venir à bout et qui nécessitent vraiment que l’on se relie au divin pour demander un coup de pouce. La méthode Ho’oponopono est aussi d’un grand secours car elle aide à nettoyer tout ce qui retient la mémoire, tous les attachements non conscients et les blessures jusque là invisibles et pourtant bien réelles.
La maladie est un catalyseur de vérité. Elle permet de recycler les émotions inaccessibles. J’ai déjà beaucoup écrit sur Ho’oponopono mais lors de cette première conférence, j’ai eu l’impression que c’était moi qui avais besoin d’aller plus en profondeur dans ma pratique.
En exhortant le public à arrêter de s’identifier aux problèmes et à juste les considérer comme des mémoires, c’est bien à moi que je parlais. Alors, à la question « peut-on régler un problème physique avec la méthode Ho’oponopono? », je crois que vous avez quelques éléments de réponse.
Vous allez nettoyer les mémoires à l’œuvre ainsi que votre attachement à vouloir vous débarrasser de la maladie en évitant, du coup, d’en retirer une leçon précieuse pour la suite de votre cheminement.
Et si le fameux « carré astrologique » vous en a fait voir de toutes les couleurs ces derniers temps, sachez que vous tenez, avec la méthode Ho’oponopono, un outil précieux dont vous pouvez largement abuser.
Pour ceux qui seraient « fan » de la méthode ou tout simplement curieux, sachez que j’organise un stage Ho’oponopono à Annecy le samedi 31 janvier et dimanche 1 er février, vous trouverez toutes les informations sur l’onglet « stages » cliquez.
Et vous, avez vous testé la méthode Ho’oponopono ? Est ce un outil pour vous ? Laissez un commentaire !

Bonsoir Hannah,
Donc nettoyer une mémoire c’est s’en détacher, se déconnecter d’elle, même si elle demeure en nous ?
Etre indifférent à sa présence ?
En quoi est-ce que c’est différent de se relier au divin en cas de maladie très grave ?
J’aurais pensé que c’était en fait la même démarche de dépassement du mental.
Si tu peux m’éclairer…!
Marie.
Bonjour Marie,
La différence avec Ho’oponopono, c’est qu’en s’adressant au subconscient, on
s’adresse au cerveau émotionnel. La guérison d’une maladie peut rarement
se faire si on ne passe pas par l’émotion qui perturbe le système.
Lorsqu’on a travail toute la partie émotionnelle, on peut demander au divin de
nous aider à effacer la mémoire mais pas avant.
Sinon ce serait juste reconnaître que la maladie est une erreur or il n’en est
rien, c’est un chmin dans lequel nous avons aussi un travail à faire.e
Bonjour hannah,
J ai assisté a votre conférence à Annecy, après avoir découvert la méthode d’hooponopono il y’a un mois environ. Je faus depuis longtemps du développement personnel et j ai même travaillé sur mes lignées familiales , et la methode d’Hooponopono a été une révélation et une continuité évidente..
Je voulais vous remercier car j ai trouve votre intervention passionnante et je suis impatiente de suivre votre stage le 31 janvier pour lequel je me suis inscrite bien sûr.
Je vois plein de choses changées ces dernières semaines mais je n ai pas encore assez de recul pour voir les résultats mais je m en sers au quotidien , c est fascinant et sécurisant et cela change notre manière de voir notre réalité.
Merci
Kate
Bonjour Kate et merci de votre appréciation.
Vous avez raison, Ho’oponopono est une petite révolution même
pour les thérapeutes aguerris au travail personnel!
Bonsoir Hannah,
Merci pour cet excellent article qui tombe comme toujours à pic. J’apprend à chaque fois en te lisant. J’ai souvent testé la méthode Ho’oponopono et elle fait des miracles. C’est un changement de paradigme complet que tu nous amène à découvrir comme il n’y a plus de problèmes, simplement des mémoires à nettoyer. Je nettoie mes mémoires par rapport à l’argent et la peur de manquer pour que cela ne soit plus un problème comme dans ton exemple avec le sommeil. La vie est plus agréable qu’en se battant pour forcer les choses contre ces mémoires qui sont là pour être nettoyées.
Au plaisir de lire ton livre quand ce sera le moment de sa sortie. A plus.
Bonjour Jonathan,
Les problèmes d’argent et de manque sont la plupart du temps transgénérationnel…
il y en a qui traitent la mémoire dans une boulimie à l’argent 😉 d’autres dans le
manque mais c’est la même mémoire.
Elle est bien au-delà de nos capacités à en venir à bout avec des techniques de
confiance en soi et de développement personnel comme tu t’en es aperçu.
Elle nous accompagne un certain temps car elle est garante de notre évolution et
surtout de notre créativité pour en sortir!
Merci Hannah
pour ce partage toujours en évolution, toujours vivant.
Je vis le réveil d’une mémoire qui prend la forme
« je suis amoureuse » ou
« j’ai déjà vécu un éveil d' »amour qui ne peut aboutir »
parce qu’il est illicite au temps présent (personne pas libre)
mais aussi parce que son univers et le mien sont fondés sur
des visions qui se heurtent.
Des sanglots, du chagrin, jaillissent quand une
personne par exemple me raconte son histoire
avec son homme qu’elle a attendu 10 ans avant
qu’il soit complètement installé chez elle. Cela
s’est fait progressivement. Elle l’apprécie malgré
les différences, le prend comme il est avec son
beau et bon coeur, stable, sécurisant. Elle sait ce qu’il
lui apporte comme équilibre dans sa vie.
Cet homme aussi est un homme de la terre
et même un chasseur (c’est dire pour moi)
A l’évocation de son parcours, le réveil de cette
souffrance a surgi. Elle m’a dit : « mais tu es amoureuse! »
Les larmes qui montent et une envie de pleurer
profonde, un vrai chagrin inconsolable semble
sourdre des profondeurs.
Je prends conscience de l’histoire que j’ai vécu en
1979 où j’ai dû quitter une relation car l’homme
en fait, il s’est avéré qu’il avait une femme, un foyer.
Que de pleurs étaient sortis de mon corps
à cette courte période.
Et la jeune fille que j’étais avait repris son chemin.
A ce moment là, l’homme avait la vision de la vie
en harmonie avec la mienne.
Cet homme actuel m’aide tellement dans cette période
de ma vie où tout s’effondre pour un mieux, mais
tout est à reconstruire … il est positif, aidant.
de plus en plus je sens le côté « usurpation » il a une « épouse »
et si il était libre : big problème, la peur me saisit.
Son mode de vie est basé sur le travail dehors, du
petit jour jusqu’à la nuit, rude avec les méthodes
traditionnelles.
Je me tourne vers l’intérieur
qu’est ce qui se vit en moi ?
J’aime sentir cette grande sensibilité en moi étant restée
15 ans sans amour et plus. Je ne sais pas si c’est toxique
de ressentir ces flots de chagrin ou si cela libère.
Je préfère sentir tout ça que de rester comme stérile,
anesthésiée, ne pas ressentir.
Cette situation me fait ressentir des choses blessantes
car tout doit être caché …
je solutionne en m’ouvrant à des relations au travers
de stages qui sont sur mon chemin de vie et me mettent
et vont me mettre en relation avec d’autres personnes
plus en harmonie à la base je pense, avec ma vision de la vie et mes
centres d’intérêt qui font partie de mon travail aussi.
Je me sens dans le nouveau monde – si vous me comprenez.
Quand j’étais petite, jusqu’à il n’y a pas longtemps
j’avais très peur de mon père très sévère pour moi.
J’ai fait un parcours de réconciliation qui me semble abouti.
(Mon père n’est plus de ce monde depuis 1990.)
Dans ce que tu m’apportes aujourd’hui, j’apprécie
que tu prends en compte le « qui » souffre et que c’est
à lui, à cet enfant intérieur que l’on s’adresse, que je
m’adresse.
Cela m’ouvre une porte pour un dialogue de coeur.
On nest pas des robots sous formules.
On peut se tromper de cible ou il y en a plusieurs à
considérer, c’est ce que je ressens dans mon cas présent.
Merci pour apporter cette note chaleureuse à l’ho’oponopono
car c’est l’amour qui libère, je le crois sûrement.
J’ai plaisir à te voir en plus de t’écouter !
Bonjour Elisabeth, Aujourd’hui plus qu’avant, Ho’oponopono nous révèle
que la plupart de nos mémoires sont transgénérationnelles, c’est à dire
qu’elles trainent dans l’arbre depuis un bon bout de temps et personne ne
les a nettoyées.
Donc ces terribles souffrances parfois ne sont même pas à nous, même
si notre enfance les a ravivées.
Nettoyer une mémoire c’est arrêter de s’tdentifier à elle et de faire des projets de futur,
il reste un présent qui nous guide pour savoir si c’est viable, constructif
ou souffrant.
Un amour impossible est véritablement une des causes karmiques les plus
connues pour se ré-incarner pour ceux dont c’est la croyance.
Pour les autres, une vie suffit mais que fait-on avec ces personnes que l’on rencontre
et on sait qu’on les connait déjà d’avant!
Bonjour Hannah,
Merci pour ce magnifique article de conscience,
Je trouve merveilleux la manière dont tu amènes à parler de la sagesse du corps, c’est tellement important de comprendre que les mémoires ne sont pas là pour nous embêter, mais au contraire sont de précieux indicateurs pour nous aider à nous épanouir. Si déjà nous arrivions à accepter pleinement cela, il y aurait certainement beaucoup moins de souffrance sur Terre.
Bravo pour ta première intervention en conférence ainsi que pour ta première vidéo,
ça donne envie de te rencontrer en vrai!
Plein de succès à toi sur ton chemin
Bastien
Merci pour ce chaleureux commentaire, Bastien.
ça m’a pris du temps pour en arriver à la conclusion
que, au niveau du corps, tout est toujours parfait
et aligné, même si la perfection du moment est une
maladie qui bouscule et oblige à lâcher des grosses
identifications.
Bravo Hannah,
une vidéo bien explicite et convaincante sur la méthode et savoir comment exprimer sa douleur et son espoir.
J’aime bien les intonations de ta voix.
Moi, je cherche encore mes mots pour me réconcilier avec mon enfant meurtri. Mais la quête continue, juste à trouver comment vivre avec.
Bien cordialement, Patrick.
Bonjour Patrick,
Merci pour ton commentaire. Ho’oponopono prête les mots
justement pour s’adresser à l’enfant (ou les enfants) qui souffrent
encore en nous.
Bon matin,
J’apprécie au plus haut point tes écrits.
Je te remercie du cadeau que tu viens de m’offrir.
Tout comme toi, j’ai ce trouble du sommeil qui m’accompagne,
depuis l’enfance et j’ai 61 ans.
Que j’en ai dépensé des sous et de l’énergie, pour régler mes
insomnies.
J’utilise fréquemment, presqu’au quotidien la méthode
d’Ho’ponomono et l’appliquer pour ce problème, en jaser avec
ma « petite fille intérieure », m’est pas venue à l’esprit.
Dès maintenant, je me formulerai un écrit et je le réciterai,
afin de calmer et nettoyer cette mémoire.
Ta vidéo est réussis. Bravo!
Passe de joyeuses fêtes et que le meilleur, pour toi.
Bonjour Sylvie,
Ravie de pouvoir amener un autre éclairage sur l’insomnie.
C’est un sujet que je connais bien et pour lequel j’avais
tout essayé avant de comprendre que c’est une mémoire.
Bonjour Hannah,
Toujours un régal de lire tes articles, et en plus quand d il s’agit de la méthode Hoopopono pour laquelle je suis adepte à 100 % !!! j’aimerais tant venir te voir en conférence un jour sur ce sujet, mais je positive j’y arriverai un jour !!
Hooponopono m’a beaucoup aidée dans cette période où je me suis retrouvée seule suite à mon divorce, j’ai nettoyé beaucoup de mémoires négatives de mon passé et je continue, inlassablement, car il y a en a des couches à libérer !! c’est le moyen le plus efficace pour se libérer de toutes les mauvaises ondes qui nous pourissent la vie et nous empêchent de profiter de la vie de lumière à laquelle nous étions destinés à notre arrivée sur terre.
J’attends avec impatience la parution de ton livre j »espère que tu trouveras un éditeur bientôt !!
Amitiés Hannah
Merci Christine pour tes encouragements,
Je n’ai pas de doute quant à son édition mais je ne
sais pas encore quand. Il me semble que ho’oponopono
est dans l’air du temps car il ramène une profondeur
que le New Age avait tendance à négliger.
C’est une voie d’Eveil en même temps qu’un gros nettoyage émotionnel.
Merci pour cet article très intéressant, comme toujours.
je suis aux prises avec une difficulté complexe. j’ai des vertiges.
je connais la méthode ho’ponopono et je l’ai déjà utilisée pour les vertiges mais sans résultats mais je ne désespère pas de trouver la mémoire qui est concernée.
amitié
jacqueline
Bonjour Jacqueline,
Lorsque Ho’oponopono ne semble pas fonctionner c’est effectivement
parce que mémoire ‘est pas assez ciclée.
Quand la mémoire a t-elle commencé?
Qu’est ce qu’elle t’oblige et t’empêche de faire sont déjà
des éléments de réponse lorsqu’on a écarté un problème
de cristaux de l’oreille.
Bonjour Hannah
ton article est très intéressant et explique vraiment bien la façon de nettoyer nos mémoires cellulaires
je ne savais pas bien comment m’y prendre pour nettoyer et là tu m’éclaires vraiment bien
comme toi je n’ai pas pu avoir d’enfants, et je me suis longtemps demander pourquoi ? qu’est ce que j’ai fait ou pas fait ? j’ai longtemps culpabilisé
je me suis mariée et pour moi à cette époque nous aurions 2 enfants ou même 1
eh bien NON
Tu m’en apprends davantage sur moi à chacun de tes articles et je t’en remercie
amicalement
Jacqueline
Bonjour Jacqueline,
le fait d’avoir ou non des enfants est aussi une mémoire de l’arbre.
Parfois, en n’ayant pas d’enfant soi-même, on répare la mémoire
de femmes dans l’arbre qui n’avaient pas le choix ou qui sont mortes
en couche, créant de grands dégâts émotionnels dans la famille;
C’est un peu comme si cela les rassurait de savoir qu’à un moment dans la lignée, des
femmes seront capables de ne pas avoir d’enfants et donc d’être à l’abri
de toutes ces souffrances.
Merci pour ce magnifique article plein de générosité.
Je fais partie de ceux qui ont vécu des choses très intenses depuis 2012. Un véritable chaos intérieur, suivi d’un effritement progressif de l’ego avec ses certitudes et ses principes rigides non remis en question jusqu’ici.
Le nettoyage continue. Je sens et comprends de plus en plus qu’il s’agit de mémoires.
Mais là, tout devient un peu complexe quand on se rend compte que l’on fait des projections : on s’aperçoit que nos comportements avec certaines personnes sont ceux que l’on avait avec son père ou sa mère. Et c’est interactif car eux aussi font des projections sur nous, des projections qui peuvent ne pas nous plaire, etc…
C’est un réseau de fausses croyances projetées sur les fausses personnes, si je puis dire.
La solution est d’en parler ensemble mais il y a encore des mémoires qui nous empêchent de le faire : honte, gêne, culpabilité, colère, rancune…
Pour trouver l’origine de ces mémoires, ce n’est pas facile non plus, surtout si elles sont intra-utérines . Autant dire qu’elles sont karmiques.
Vous m’ouvrez une piste intéressante en disant qu’on ne peut pas prendre les bienfaits et les avantages familiaux sans en prendre les problèmes et les dettes. Cela explique beaucoup de choses pour moi qui ai souvent tendance à ne voir que le douloureux et le négatif dans l’héritage familial, et à prendre le positif comme normal et naturel. Je vais me pencher plus sur le pardon et la gratitude.
Et puis, il y a ces mémoires collectives terrestres aussi : la peur du lendemain, le pessimisme, le catastrophisme… J’identifie peu à peu tout ça, et je m’entraîne à penser que cela ne m’appartient pas, que c’est une mémoire générale, et qu’en arrivant à la nettoyer, non seulement je me libère moi-même mais je contribue à libérer aussi l’humanité.
Je ne suis pas encore familiarisée avec la méthode ho’oponopono. Je ne sais pas trop comment l’adapter à ma problématique mais ça viendra !
Merci encore pour votre travail qui sort de l’ordinaire. Vous ne vous érigez pas en maître absolu, vous mettez vos connaissance au service de tous et vous nous montrez comment vous évoluez en même temps que nous. C’est une grande preuve d’honnêteté morale et de respect que j’apprécie beaucoup.
Bonsoir MC
Votre témoignage tombe bien, ma prochaine vidéo sera sur la gratitude,
je la publierai sur ma chaine Utube, elle parle très précisément de ne
pas reconnaitre ce qui va…
J’ai terminé mon livre sur Ho’oponopono où je répertorie une quarantaine de
problématiques différentes avec une adaptation des petites phrases à chaque
cas, cela pourrait peur-être vous faciliter la tâche quand il sera publié!
Bonjour,
Votre travail m’intéresse et j’habite Gap… pas de conférence de prévue dans cette ville ?
Merci à vous
Maryline
Bonjour Maryline,
Si j’ai prévu une conférence à la clé d’Ankh le jeudi 5 février 2015!
Bonjour Hannah
Ho’oponopono fait partie de mon quotidien, même lorsque je me réveille la nuit, ces 4 phrases reviennent automatiquement.
Cet article correspond exactement à ce que je règle aujourd’hui. J’ai bien compris qu’il fallait aller plus en profondeur pour régler ces mémoires et en être libéré.
La vidéo reprends bien ce que tu m’a expliqué hier. Je mets en pratique .
Je t’informerais des résultats.
Merci pour ton aide.
Je t’embrasse
Brigitte
Merci Brigitte de ton commentaire.
Si les résultats tardent, c’est juste que la mémoire était
pus « costaud » que ce que tu croyais.
merci annah pour tous tes articles et particulièrement celui ci.
je pratique cette méthode depuis quelques années déjà et c’est vrai qu’elle me calme beaucoup
par rapport à mon problème avec ma fille qui me culpabilise depuis mon divorce d’avec son père.
crois tu que je puisse l’inclure dans mes pratiques pour qu’elle comprenne enfin que je l’aime plus que tout
même si elle ne le voit pas?
merci
bonjour Mell,
L’inclure dans tes pratiques signifie nettoyer en toi ce qui fait
dire cela à ta fille. Elle n’est sans doute que le porte parole d’une mémoire
familiale où on ne doit pas divorcer et certainement la voix d’une petite
fille à l’intérieur de toi qui avait projeté un parent sur ton ex…on ne divorce pas
d’un parent, tu comprends…
Bonjour Hannah,
c’est incroyable comme tes articles tombent toujours au bon moment.
J’avais un peu abandonné l’idée de me soucier de mes mains moites, j’ai la même maladie
que la femme dont tu parles dans l’article, l’hyperhidrose palmo plantaire. Et je suis tellement
contente que tu en parles ! C’est plutôt assez peu abordé comme problème je trouve.
Après avoir consulté une kinésiologue en début d’année, ça allait mieux et j’ai décidé de ne plus m’en
préoccuper ça s’est fait tout seul. (même si je n’étais pas satisfaite des réponses qu’elle m’avait apporté: bcp de mauvaise énergie due à une accumulation ça c’est vrai mais elle parlait d’un evenement qui m’était arrivé vers l’âge de 2 ans, je ne me sentais pas assez impliquée, mais ca ne me dit rien…)
Malheureusement il faut croire que ça a une place importante dans ma vie car ça me gêne j’y fais beaucoup plus attention en ce moment car j’aimerais énormément faire du théâtre
et la transpiration me bloque!!
ça me rend triste de ‘m’empêcher de faire quelque chose à cause de ça, surtout que je n’ai pas de talent particulier en sport ou musique, mais beaucoup de personnes dans mon entourage me disent qu’elles me verraient bien en faire, et j’adorerais ça. Mais j’ai très peur car je peux être amener à donner la main à quelqu’un et je n’y arriverai pas du tout.
Donc ça me bloque beaucoup, je pense essayer ta méthode même si j’aimerais bcp savoir ce qui se cache derrière cette mémoire. Tu as demandé à cette femme ce qu’elle ressent lorsqu’elle transpire, moi je ressens de la honte, de la colère aussi et ça me plombe le moral très rapidement.
J’ai l’impression qu’il y a un blocage, qui m’empêche d’aller vers les autres je n’aime pas trop le contact physique et les mains moites n’arrangent rien, mais c’est un cercle vicieux : je sue je ne veux approcher personne, je n’approche personne je sue…
Bref, je pense aller consulter une femme spécialisée en médecine chinoise qu’en penses tu ?
Merci pour tes conseils, tu me fais beaucoup réfléchir et depuis que je connais ton site j’ai appris énormément de choses sur moi-même et sur la guérison, je comprends que cette transpiration m’amène à régler quelque chose qui ne va pas et j’ai accepté l’idée que ça fasse partie de moi (mais bon pas totalement puisque je veux que cela cesse).
Voilà ! 🙂
Bonjour Célia,
Oui j’ai pensé à toi quand j’écrivais cet article.
Je vois une correspondance avec cette femme dont je parle:
cela la gène à l’endroit où elle s’éclate et où elle est certainement
très compétente et efficace.
La vie a donc un plan derrière cette pathologie.
ce qu’on sait c’est que la honte est souvent relié à des humiliations
transgénérationnelles…ou quelqu’un dans l’arbre qui a eu un enfant
pas toujours issu de sa bonne volonté si tu vois ce que je veux dire avec un père
qui représente un interdit social, religieux ou autres.
Deuxième chose, avec les mains moites, on ne peut pas tenir quoi que
ce soit donc…on peut s’échapper…donc le corps prend cela comme une
qualité nécessaire et indispensable de pouvoir se sauver à n’importe quel moment.
C’est un peu cela les mémoires transgénérationnelles, un ancêtre vit une
forme d’agression ordinaire pour l’époque et ce sont les descendants qui
peuvent y échapper de cette façon, d’où un gros nettoyage obligatoire car, dans l’arbre être « moite » et insaisissable est une qualité.
Coucou Hannah
c’est tout à fait ça vouloir s’échapper, toujours.
Je ne sais pas pourquoi…
Voilà merci beaucoup je pense aller voir une femme qui pratique la médecine chinoise…
bonnes fêtes de fin d’année à toi en espèrant que cette nouvelle année t’apporte beaucoup… !
Bisous
Bonjour Hannah
Pour moi aussi cet article arrive à point nommé souffrant d’insomnie depuis une dizaine de jours et vraiment je n’aurais pas pensé faire Ho’oponopono alors que je suis une fan inconditionnelle de la méthode
Dès que j’ai fini d’écrire, je mets en pratique Joyeuses fêtes de fin d’année pour toi et ta famille
Bonjour Sylviane,
Reviens nous donner les effets de Ho’oponopono…
tu sais que, en ce moment, les carrés astrologiques entre
Uranus et Pluton ne font pas de cadeaux et ravivent un bon
nombre de mémoires!
Je ne suis pas encore fan de Ho’oponopono 🙂 pcq je suis au début de la découverte et en même temps je suis fan de toi depuis des années et donc j’aurai de la joie à tenter l’expérience <3 .
Je peux tout à fait me relier à ce que tu exprimes de la maladie grave en disant qu'elle " oblige à changer de point de vue et qu' au lieu de voir en elle, un obstacle, il est possible de l’envisager sous l’angle du bénéfice" . Expérimentant dans mon présent un cancer du sein je ne peux encore aujourd'hui mesurer le bénéfice de l'expérience, mais je peux voir et envisager le chemin de conscience et de croissance qui se profile ainsi que l'éventuel élément déclencheur de mon histoire et de ma relation maternelle
Ceci étant dit je veux bien aussi tenter l'expérience Ho’oponopono 🙂 , j'ai peut être tout à y gagner aussi , et comment le savoir si ce n'est pratiquer 🙂
Merci Hannah pour ce bel article qui nourrit une fois de plus un besoin de compréhension où je peux me relier à ton élan de contribution au développement de la conscience .
Je te joins un lien intéressant en rapport avec la dernière image de l'univers , sur ce post .
https://www.youtube.com/watch?v=0jHsq36_NTU&feature=youtu.be
LOVE XXXXXX
Bonjour Marhthine,
Bien sur que tu étais dans mes pensées lorsque j’écrivais l’article…
Ce que je sais c’est lorsqu’on traverse une mémoire de ce genre, c’est
toute la vie qui est révolutionnée après, elle nous réaligne en quelque
sorte par rapport aux objectifs de notre partie divine.
Et même si cela passe par une chirurgie, parfois c’est le seul moyen
d’en finir avec certaines mémoires, ça m’est arrivé donc c’était vraiment
le cas pour moi.
Je suis allée voir un bio-psycho-généalogiste qui m’a annoncé (sans
connaître mon âge) qu’une tranche de vie allait s’arrêter à tel âge.
Un peu comme s’il fallait presque mourir à une vie pour rentrer
véritablement dans la sienne.
C’est exactement ce qui venait de m’arriver. Je me suis dit que j’avais bien fait de ne pas le consulter
plus jeune, je ne crois pas que j’aurais aimé recevoir cette info avant la
maladie!
bonjour, j’ai un problème d’épaule que je n’arrive pas à résoudre aussi je vais voir avec la méthode Ho’oponopono si c’est en relation avec une mémoire Je ne connaissais pas cette méthode je l’ai découverte récemment et en essayant de comprendre mon problème je suis persuadée qu’il s’agit de mémoire ancienne et que la solution viendra sans doute quand j’aurai identifiée cette mémoire qui me perturbe autant J’ai lu et écouté vos explications dans un premier temps je vais l’appliquer à mon bras et ensuite je chercherai plus dans le passé Je vous tiendrai informée de la suite
merci de votre partage
Arlette
Bonjour Arlette,
Entre autres symboles, l’épaule droite et gauche n’ont pas la même signification.
ce qui les réunit c’est un conflit de ne pas avoir retenu sous son aile quelqu’un de
proche, les os étant relié à un sentiment de dévalorisation.
Bonjour Hannah
Est ce que c’est possible de connaître à l’avance vos dates de conférence
et de stages, j’aimerais bien ne pas rater la prochaine, ça me parait passionnant.
bonjour Jenny,
En général je poste mes stages sur l’onglet « stages » du blog.
Pour les conférences la prochaine sur les couleurs est à Gap
le jeudi 5 février sur les couleurs et en le vendredi 23 octobre
à Annecy.
Bonjour Hannah,
Je ne connais pas Ho’oponopono alors je vais m’y intéresser de près
car tous les commentaires me touchent.
Bonjour Lison,
Vous trouverez dans l’onglet « articles » une dizaine d’articles
sur ce sujet, vous n’aurez plus qu’à tester et revenir faire
un commentaire sur vos impressions.
Bonjour Hannah, 🙂
Il me parle ton article parce que Hopo, ça me turlupine depuis quelques années…
Oui on porte plein de boulets qui ne sont pas les nôtres, qu’on a accepté de recevoir en connaissance de cause, mais qu’il est possible de transmuter… Après par rapport à notre plan de vie, établi selon notre âme avant de venir sur terre, on ne peut pas y échapper… Le libre arbitre j’y ai aussi cru pendant longtemps, envie d’être en contrôle de ma vie, mais j’ai dû constater qu’il était plus sage de s’en remettre à cette dimension de nous qui sait… et au final pour le meilleur.
Le avoir des enfants ou pas, ça me parle aussi ;-)… c’est clair qu’il y a des choses décidées d’avance, je n’ai pas d’enfants et je n’en aurai pas…En fait je me suis même jamais posé la question, parce que j’ai autre chose à accomplir dans cette vie. Je suis persuadée que si j’avais décidée d’avoir des enfants pour faire plaisir et faire comme tout le monde, ça n’aurait pas marché…
J’ai ce besoin de comprendre le pourquoi de ce que je vis, et je trouve que quand on est bloqué une prise de conscience des raisons de ce que l’on vit permet de poursuivre sa route.
Avec l’Hoponopono je suis super mitigée, 😉 personnellement je ne peux pas utiliser cette technique, même si j’entends qu’elle fonctionne bien. Je me demande si je suis la seule d’ailleurs ? Ou si ça marche pour tout le monde ?
Il y a certaines épreuves dans ma vie où je n’ai pas peu dire merci avant d’en comprendre la raison. J’aurais été contre moi de dire merci, désolée aussi je ne peux pas, et dire pardonne moi, pour moi ça veut dire j’ai fait faut… De dire ces mots j’ai la gorge serrée, la nausée… Après voilà chacun son ressenti…
J’ai dû trouver une autre solution. Comme d’interroger mon âme pour savoir quelle est la source du problème, ensuite ça m’aide à me positionner, à accepter ce qui doit être et transmuter et ce qui n’a pu sa raison d’être..
Mais chacun sa technique, ses ressentis et ses besoins….
Bonjour Ophélie,
Ho’oponopono ne sert pas qu’à remercier.
Moi aussi j’ai besoin de comprendre parfois
c’est pourquoi j’ai écrit un livre sur la face cachée de Ho’oponopono.
Lorsque je ne comprends pas ce qui se passe, je fais ho’oponopono pour
m’aider à comprendre et me relier à l’enfant/subconscient.
C’est ainsi que les infos remontent dans le cosncient.
A partir de ce moment là, il est possible d’aimer l’enfant et la
mémoire en nous.
Bonjour Hannah,
Je suis ravie que tu aies choisi Ho’oponopono pour participer à mon évènement.
J’ai un peu de mal avec cette pratique car il faut être persévérant et que je ne trouve pas le moment de le faire chaque jour.
Le yoga et la relaxation que j’ai repris depuis quelques semaines m’apportent un tel bien physique et mental que je n’éprouve pas le besoin de faire autre chose.
J’ai peut-être tort…
Belle et douce journée.
Danièle
Bonjour Danièle,
C’est super que tu aies ton outil qui fonctionne.
Ho’oponopono peut se faire en même temps qu’une action,
c’est pourquoi je en le trouve pas contraignant.
Bonsoir Hannah,
Mais quelle mémoire ai-je donc en moi ?
J’ai lu ton article dans son entier et je me demande ce qui peux bien « freiner », voir stopper ma repousse de cheveux depuis maintenant…. heu… 22 ans. Waouh… le temps passe !
Sans doute que je n’applique pas correctement la méthode hooponopono.
Pas grave tout cela car depuis bien longtemps, j’ai appris à vivre avec ce que je suis.
Je ne pense pas que nous pouvons maitriser tout ce qui nous arrive.
Le mieux est d’accepter ce que la vie nous offre est d’en faire une force qui nous est propre.
Merci pour cet article qui me pousse à réfléchir… c’est le but 😉 , non ?
Bonjour Hélène,
De toute évidence, tout ce qui dure 22 ans est effectivement une mémoire.
Il est cependant possible de nettoyer avec Ho’oponopono chaque fois
qu’émerge une pensée à propos des cheveux ou un jugement ou une
fascination pour la super chevelure de quelqu’un.
J’ai aussi d’autres outils pour accélérer les processus car, dans les mémoires
transgénérationnelles, une pathologie est parfois une guérison.
je te donne un exemple, un avortement aujourd’hui peut réparer les femmes
de l’arbre qui n’avaient pas la possibilité de choisir de garder ou non les
enfants.
Ce serait intéressant de se poser la question de « en quoi ne pas avoir de cheveux peut-il
m’être utile?
Bonjour Hannah,
Je bénis chaque jour le ciel d’avoir croisé ta route car depuis que de découverte et aussi une certaine forme de paix. Dur d’entendre que des choses se sont décidées bien avant notre naissance, que l’on a pas un libre arbitre totale. C’est ce que je touche en ce moment.
Quant au carré, je dois vraiment être influencé par celle-ci même si à priori je n’ai pas le profil car je me reconnais complètement dans ce que tu mentionnes.
Magalie
PS: Tu rends très bien à la caméra!
Bonjour Magalie,
Je crois tout le monde s’est un peu pris le carré dans la figure…
heureusement le dernier est en mars.
D’ici là sans doute beaucoup de mémoires à nettoyer!
Bonjour Hannah,
C’est passionnant de voir comment tu arrives à voir le pourquoi des maladies. Et de faire des liens de cause à effet.
Quand tu parles des jeunes de 20 ans qui croient que tout est possible (c’est marrant je me sens visé :p), je pense que c’est le cas. Cela ne signifie pas pour autant que l’on ne vient pas avec des bagages plus ou moins lourds avec soi que l’on se doit de nottoyer. Cela ne signifie pas non plus que l’on pas pouvoir tout faire en cette vie. Ce dernier argument est plus difficile à placer puisque l’on n’a pas tous les mêmes croyances. Ce qui est certain, c’est que tout est possible pour chacun à partir du moment où l’on est aligné entre qui l’on est et ce que l’on souhaite faire avec le coeur. Car ce n’est autre que la voie qu’on est venue cheminer en cette vie. Et elle peut être longue et tortueuse, à nous ensuite d’adapter nos réactions face aux différents événements.
Merci en tout cas pour ce bel article.
Bien amicalement,
Dorian
Bonsoir Dorian,
Parfaitement d’accord avec toi pour le chemin de coeur que nous avons
programmé pour cette vie, même si parfois cela passe par une maladie ou
une épreuve. Dans ce cas, ce n’est pas une erreur, juste une étape.
Bonjour Hannah,
Merci pour cet article très complet et profond, j’ai découvert Ho’oponopono il y a quelques années en lisant un livre de Joe VITAL, j’avoue que ça ne m’avait pas spécialement emballé jusqu’à aujourd’hui :
J’avais du mal à croire qu’on répétant plusieurs fois par jour ces quatre phrases, que j’allais régler tous mes problèmes.
J’ai essayé, très vite je me sentais bête de répéter ces phrases.
Je suis désolée
S’il te plait, pardonne-moi,
Je te remercie
Je t’aime
Pourtant, aujourd’hui je me reconnais même dans ce que tu décris avec ta cliente, je n’ai pas les mêmes symptômes, mais d’autres problèmes qui empoisonnent ma vie et qui sont récurrents, je ne vais pas les décrire ici, mais comme ta cliente
je n’ai pas connu mon père, il est décédé j’étais encore bébé, je ne sais même pas le visage qu’il avait, même pas une photo de lui, les seules choses que je connais de lui, c’est ce que ma mère m’a raconté.
Jusqu’à présent je n’avais jamais fait le rapprochement avec l’absence de mon père.
Des questions me traversent l’esprit :
Je sais, ça n’a peut-être rien à voir avec Ho’oponopono, ni les souffrances d’aujourd’hui :
Tu parles ici de mémoires, des mémoires que l’on traînent et qui ne sont parfois même pas à nous :
Pour ceux qui croient à la ré-incarnation, par exemple : Je connais une personne qui raconte des moments de ses vies antérieures comme si elle y était encore aujourd’hui et elle en souffre encore.
Mes questions :
Quelle est la différence entre les mémoires dont tu parles ici et la ré-incarnation ?
Y’a t’il un rapport entre nos souffrances d’aujourd’hui avec nos vies antérieures ?