Prendre soin de soi: 5 façons de ne pas atteindre ses objectifs!

Ne pas atteindre ses objectifs, c’est vendeur? 


Mon histoire est un anti-manuel en matière de santé et prendre soin de soi.


Ne vous y trompez pas, les anti-héros courent les rues et le web, peut-être y en a t-il un pas loin de chez vous, ou chez vous?


Je me suis formatée, petite, à l’art de la guerre. J’étais persuadée qu’il ne pouvait pas y avoir de victoire sans se battre pour l’obtenir.


J’aimais les jeux de garçons et je trouvais leur approche beaucoup plus saine et directe pour régler les problèmes.


J’ai longtemps fait de la compétition à l’échelle nationale et les exploits à accomplir ne manquaient pas.


J’ai le goût du risque, j’aime me lancer des défis depuis la nuit des temps et cela me stimule. Je prends les examens comme un tremplin et j’y mets toute mon énergie. Je vous parle en fin d’article de Booster-Gala!


Cet article est écrit pour la croisée des blogs, édition de mars, c’est Dominique du blog  Projet changer de vie qui l’organise sur développement personnel.org.


Pour moi, le guerrier représentait toutes mes valeurs : le code d’honneur, le courage, la loyauté, la force et la puissance.


Un seul petit problème au tableau : je suis née femme et l’énergie de la guerrière, même si elle est passionnante, n’est pas le plus court chemin pour parvenir à la féminité.

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Atteindre ses objectifs ? No problem


Tant que j’avais des échelons à gravir, des médailles à remporter et des examens à réussir, il n’y avait pas de problème, je suis sortie 1 ère du concours à l’éducation nationale.


Lorsque j’ai cherché à prendre soin de moi et que j’ai voulu m’attaquer à ma santé, j’ai compris que les lois du succès qui m’avaient porté n’étaient plus d’actualité.


Je souffre d’insomnies depuis le début de mon adolescence. Je ne vais pas vous faire le détail du nombre d’années que cela représente.


Vous comprendrez quand même que ne pas dormir pendant près de 40 ans, ça avait de quoi m’énergétiser !


Atteindre ses objectifs en matière de bien-être et santé ne s’obtient pas à la force du poignet. Votre volonté ne vous est d’aucun secours.


Il n’est pas question de stratégie ni de bien suivre les traitements à la lettre en respectant les doses pour guérir. Les bons conseils non plus. Vous êtes aux prises avec un Léviathan!


Les processus en 12 étapes ne fonctionnent pas non plus. Vous êtes face à un mystère sans mode d’emploi parce que vous n’êtes pas qu’un corps à soigner, vous êtes aussi un tout avec une organisation psychique assez compliquée, une usine à gaz comme dit Alain.


Ne sachant pas comment on fait pour atteindre ses objectifs quand on ne dort pas, je me suis servi des outils que j’avais à ma disposition à l’époque. (cet article est la suite de « apprendre à se défendre« )


1°) Chercher un coupable pour atteindre ses objectifs


Tant que c’est la faute de quelque chose ou de quelqu’un, la solution est toute trouvée, il suffit de l’éliminer, élémentaire, non?


C’est le meilleur système de défense qui existe, breveté par tous les contextes historiques: lorsque vous avez un problème, transférez-le sur une race, une religion, un pays et déclarez-lui la guerre.


Projeter son problème sur un autre est extrêmement commode. Ainsi, vous pouvez le diaboliser à souhait au lieu de vous interroger sur votre propre mental qui juge.


Vous pouvez justifier tous vos petits dérapages et vos colères en ignorant ainsi toute l’artillerie défensive que vous avez adoptée. De par mes études psy, je n’avais pas à chercher bien loin un coupable: c’était nécessairement mon passé.


En général, un être humain honnêtement défensif, décide de l’éliminer: « du passé, faisons table rase ». Moi j’ai fait l’inverse.


C’est très commode d’être psy: tous les problèmes viennent du passé. C’est sans doute vrai à un certain niveau mais ce que la psy ne dit pas toujours c’est en quoi vous êtes identifié à votre passé et en quoi vous le réactualisez tous les jours.


Par exemple, imaginez que vous ayez eu un parent autoritaire lorsque vous étiez enfant. Nul doute que vous avez souffert d’un manque d’attention, de patience et que vos besoins d’amour et d’acceptation n’ont pas été satisfaits.


Vous avez reçu critiques et humiliations là où vous auriez eu besoin que l’on vous prenne par la main. C’est un fait, on ne peut pas revenir la-dessus, ce passé est bel et bien arrivé.


Idendification au problème


Lorsqu’en 2013, vous ne rendez pas votre dossier dans les temps, que vous arrivez en retard au boulot ou que vous vous faites arrêter pour excès de vitesse, vous n’êtes plus un enfant.


Pourtant, vous allez recevoir le même traitement de votre patron ou du gendarme : une critique suivi d’une menace, voire d’une sanction.


Ce n’est plus la faute de votre passé et du parent persécuteur… c’est bien votre identification à ce schéma qui vous fait reproduire des actes où vous allez être sanctionné.


Vous voyez bien la différence entre une blessure et une identification à une blessure ?


Pour en revenir à mes insomnies, elles étaient dues à mon passé et j’ai pensé qu’il suffisait de travailler les émotions que générait le manque de sommeil pour en venir à bout et dormir comme un bébé.


Vous avez remarqué, j’ai dit « mes insomnies », comme si elles m’appartenaient, c’est cela l’identification. Résultat des processus thérapeutiques, une bonne nuit par mois, maigre butin! Ma foi dans le travail intérieur en a pris un coup.


Vous pouvez deviner la suite logique mais je vais vous la dire si vous donnez votre langue au chat. Je suis passée sans transition à la défense suivante : la distorsion de l’image de soi.


2°) La dévalorisation pour atteindre ses objectifs


Oui je sais, ça paraît totalement contradictoire et ce n’est pas vendeur non plus. N’allez cependant pas vous imaginer que la dévalorisation est nécessairement un problème.


C’est aussi un magnifique système de défense d’une redoutable efficacité.


Si vous aimez les séminaires sur la confiance en soi, vous n’allez pas aimer la suite. Et si, tout au fond de votre système de croyances, la faible estime de soi était une ressource et non un problème ?


J’en entends quelques uns rugir…je m’essssplique.


Imaginez que vous êtes petit. Vous cohabitez avec un parent qui vous paraît violent. Lorsqu’il s’en prend à vous, vous êtes totalement impuissant et sans défense.


Cet être qui devrait vous aimer et vous faciliter la vie vous fait vivre un enfer. Cela ne fait aucun sens dans une tête d’enfant. Il ne peut pas concevoir qu’un adulte agisse sans amour.


Il n’a pas les fonctions neuronales appropriées pour juger son parent ou relativiser sa souffrance. Sa soumission est totale et son désespoir incommensurable.


Dès qu’il le peut, en grandissant, il va chercher à récupérer du pouvoir et sortir de sa prison. Au lieu de juger ses parents, (c’est toujours impensable qu’on le fasse souffrir), il décide que c’est lui qui ne va pas et que c’est pour cela qu’il n’est pas aimé.


S’améliorer devient un objectif, il se dit que s’il fait ce qu’il faut et s’il fait plaisir à ses parents, il va être aimé. Ternir l’image et l’estime de soi est ainsi une solution défensive pour ne pas ressentir le désespoir.


Il a enfin une piste, redorer son blason. Il croit qu’ainsi, il a la possibilité de faire changer l’attitude de ses parents. Il se défend ainsi de l’impuissance et de la souffrance de ne pas être aimé comme il le souhaite.


C’est ainsi que j’ai récupéré du pouvoir pour atteindre mes objectifs


Pour en revenir à nos moutons (sans jeu de mots), je suis rentrée dans la pensée que, j’étais nulle et inefficace.


Que tout le travail que j’avais fait sur moi ne servait à rien, que rien ne fonctionnerait jamais, que j’allais souffrir éternellement etc…


Et comment allais-je pouvoir aider les autres si je n’étais moi-même pas capable de me guérir de mes insomnies ?


C’était une autre façon de me donner de nouveaux objectifs…prouver que j’étais capable de réussir à guérir par le travail intérieur.


Ce jour là, j’ai enfin décidé que j’avais un vrai problème, un pur, un dur: je ne dormais pas et il fallait à tout prix et rapidement que je le règle pour être enfin heureuse.


3°) Vouloir régler un problème pour atteindre son objectif


Ne rêvez pas, nous sommes toujours dans une défense! Je me suis attelée à régler mon problème : j’ai tout essayé, tout testé.


Je vous ai parlé de mon efficacité: pas une plante sur le marché de l’insomnie ne m’a échappé. Du tilleul à la valériane, de l’huile essentielle sur l’oreiller à l’Atarax et au Stillnox, rien ne m’a échappé.


L’hypnose, le magnétisme, d’autres trucs encore plus bizarre dont j’oserais à peine parler…quand on cherche, on trouve absolument tout. Tout mais rien qui ne fonctionne pour moi à long terme.


La relaxation et la méditation m’ont fait gagner quelques minutes de précieux sommeil mais pas en qualité de sommeil profond.


Les résultats sur des années et des milliers d’euros plus tard?


Une nuit acceptable tous les 15 jours suivie d’une rechute régulière des insomnies.


S’attaquer au problème est parfois un processus élaboré qui vous permet de lutter efficacement contre des réalités émotionnelles ou des angoisses douloureuses et pénibles (non conscientes).


Dans le refoulement inconscient, vous ne savez pas ce que vous essayez de fuir à l’intérieur et vous ne savez pas non plus que vous vous en défendez.


Vous voulez régler le problème plutôt que de sentir ce que cela vous fait. Apprendre à sentir, c’est tout l’objectif du travail sur soi.


Décider qu’on a un problème, c’est déployer une incroyable énergie dans l’univers. Comme en physique, si vous imprimez une force dans un sens, l’univers qui tend à s’équilibrer va imprimer une force en sens inverse.


C’est ainsi qu’en cherchant de toutes vos forces à résoudre un problème, vous vous enlisez dedans ou vous obtenez l’inverse de vos efforts.


Ne réussissant toujours pas à régler le problème, j’ai cherché une nouvelle issue, une nouvelle défense. J’ai voulu comprendre.


4°) Chercher à comprendre pour atteindre ses objectifs


En connaissez-vous de ces personnes qui savent tout et ont tout compris sur leur problème ? Et alors, est ce que ça le règle pour autant ? La compréhension vous offre un os à ronger et le mental se régale .


Comprendre et justifier sont de véritables systèmes de défense pour ne pas sentir. Je pense souvent à une cliente dont le père avait failli se noyer sous les yeux de sa mère.


Il avait été sauvé in extrémis par un maître nageur. Quand je lui ai demandé pourquoi sa mère n’était pas intervenue, elle m’avait répondu : Elle ne pouvait pas, elle avait ses règles.


Il n’y a rien de répréhensible à vouloir comprendre mais devant l’incongruité de sa réponse, on devine tout un système de refoulement pour ne pas sentir la détresse de l’enfant qu’elle était face à l’inhibition de sa mère.


Dans mon cas, j’ai cherché à connaître toutes les phases du sommeil. Comprendre les mécanismes du cerveau, le rôle de la glande pinéale dans le sommeil, les règles du sommeil paradoxal… oui et alors ?


Une fois que j’ai eu tout compris, je suis véritablement passée à l’action, j’ai ainsi nourri deux grands dieux: contrôle et anticipation.


5°) Contrôle et anticipation pour atteindre ses objectifs


J’étais encore dans les recettes pour faire fructifier une entreprise. J’ai cherché à tout contrôler: les bruits dans la maison, les lumières, les ronflements.


Mon bébé intérieur est devenu tyrannique à force de vouloir de bonnes conditions de sommeil. Plus personne n’avait le droit de respirer un peu fort dans la maison.


J’étais en colère contre le chat qui miaulait et que je ne pouvais pas contrôler. Contre le chien qui veut sortir aux petites heures du matin.


J’ai retiré le café, le poivre, les épices, tous les excitants du soir qui empêchent le sommeil. J’ai fait ainsi table rase de tout ce qui pouvait se mettre entre mon sommeil et moi.


Résultat, une légère amélioration pendant quelques jours puis retour à la case départ.

 

Je n’avais pas compris qu’en cherchant à résoudre un problème, j’étais en train de m’accrocher de toutes mes forces au problème en même temps que je cherchais la solution. C’est cela l’attachement et l’identification.


C’est la raison principale pour laquelle bon nombre de thérapies ne débouchent pas sur « être heureux« . On cherche, on creuse, et finalement, on passe beaucoup de temps dans la cave de l’inconscient à comprendre au lieu d’aller profiter du grand air et de la vie en général. C’est une psy qui le dit !

 

Où j’en suis aujourd’hui de mon objectif récupération du sommeil?


Chaque fois que le fantôme de l’efficacité refait surface, que je me sens fière d’avoir dormi, je suis certaine de retrouver mes les insomnies la nuit suivante.


J’ai peu de marge mais je dors mieux. Pas comme un bébé… car c’est sans doute à cet âge-là qu’il reste quelques attachements.


Je suis obligée d’être une bonne mère pour moi, m’offrir des conditions optimum pour favoriser le sommeil sans tomber dans l’intégrisme.


Mon sommeil a vraiment commencé à se modifier lorsque j’ai accepté de ne pas dormir. J’ai, en fait,  accepté de laisser les insomnies m’accompagner le temps qu’il faudrait.


La qualité de mon sommeil a continué à s’améliorer avec les thérapies quantiques, la technique Tipi (technique d’identification des Peurs Inconscientes) et l’EFT.


Rien avant cela n’avait duré. Lorsque le corps est touché au niveau de la mémoire cellulaire, les remèdes ordinaires ne fonctionnent pas.


Ce n’est pas une petite pathologie de surface, c’est tout l’Être qui est concerné. J’ai fini par saisir que réguler mon sommeil n’était pas mon objectif à atteindre! Je n’avais plus à me battre avec.


Ce problème d’insomnies était en fait l’alarme du détecteur de fumée. Vous viendrait-il à l’idée de dégommer le détecteur de fumée sous prétexte qu’il fait trop de bruit quand il se déclenche?


N’y a t-il rien de mieux à faire en cas d’incendie ? Trouver et éteindre le feu bien sûr. Croire que j’avais un problème de sommeil au présent, c’était vouloir ignorer le feu.

 

Ma mémoire cellulaire me parle certainement d’un âge où ma vie était en jeu. D’un âge où il est facile de mourir si mes besoins sont ignorés. Parfois même, tout cela s’origine avant la naissance.


Avec la thérapie quantique, j’apprends à sentir ce que je tiens, ce à quoi je suis accrochée et identifiée. Comment lâcher prise si on ne sait pas ce qu’on tient?


Apprendre à  laisser exister ce qu’on tient sans l’étiqueter, tout en retrouvant sa dimension de l’Être, celle où il est possible d’être heureux.


Et vous, vous est-il arrivé de vous battre avec un problème insoluble? laissez un commentaire!


Quelques infos de dernière minute sur Booster-Gala


C’est aujourd’hui que commence la première émission.


Nous avons passé de longues heures ensemble à Paris pour vous préparer cet événement inédit sur la blogosphère.


En plus de la prestation des blogueurs (dont moi bien sûr), vous allez découvrir 6 spécialistes hors-pairs, qui diffusent généreusement leurs conseils avisés.


Booster-Gala, c’est une mine d’or entièrement gratuite pour qui s’intéresse à monter un site, un blog, au marketing et aux nouvelles tendances du web. Cliquez ici pour les recevoir.

Voici une petite miniature de l’apparence du plateau de Booster-Gala. Vous allez être surpris du rendu fait par Pascal et ses petites mains expertes!

 


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Hannah

88 commentaires

  1. Marhthine le 28 février 2013 à 14 h 17 min

    L U M I N E U S E la douche de cet article Hannah 🙂 Cause ( extérieure ) qui déclenche un état heureux en moi 🙂 .
    A propos de :  » Imaginez que vous êtes petit. Vous cohabitez avec un parent qui vous paraît violent. Lorsqu’il s’en prend à vous, vous êtes totalement impuissant et sans défense.
    Cet être qui devrait vous aimer et vous faciliter la vie vous fait vivre un enfer. Cela ne fait aucun sens dans une tête d’enfant. Il ne peut pas concevoir qu’un adulte agisse sans amour. »
    – Est ce que ça pourrait déclencher tout bêtement une peur de l’amour ? Traitable par tipi ?
    Un grand merci 🙂 je trace sur booster tv 🙂



    • Hannah le 28 février 2013 à 19 h 48 min

      Bonsoir Marhthine,
      En tous cas, le cerveau fait une association douloureuse
      entre ce qu’il vit et l’amour…il risque d’hésiter à l’âge
      adulte à se lancer dans la grande aventure des liens terrestres!



      • Marhthine le 28 février 2013 à 22 h 45 min

        Oui , certainement . C’est ce que je me demande quand j’entends ma voisine et son mari hurler comme des malades après leurs gamins , on dirait toujours qu’elle est entrain de les égorger , en leur disant en plus « -je vais te tuer ». Sacré karma .
        J’ai vu une émission l’autre soir sur l’apnée du sommeil. On t’appareille pour une nuit ou 2 , tu dors chez toi et l’appareillage contrôle si tu fais de l’apnée pendant que tu dors .
        Je sais que tu as déjà fait le tour de la question pour l’insomnie qui te touche , et je crois que moi aussi j’ai quelque part une angoisse de la nuit blanche, encore non identifiée,mais je retarde au maximum le moment d’aller au lit .J’attends parfois l’épuisement total , histoire de tomber tout de suite dans un sommeil profond. Je crois en fait que mon angoisse est d’être réveillée , dérangée . je supporte même pas le tic tac de la pendule 🙂 et le seul moment où mon sommeil est récupérateur , c’est le matin , à l’heure où tout le monde se lève , ça c’est mortel le voisinage . Et rien que de penser qu’à la fin du mois on change l’heure , ça me donne encore plus le bourdon 🙂 .
        En dehors des causes psychologiques , hormonales, mental actif ou autre , dans d’autres conditions et rythmes de vie , tu l’as vécu comment le sommeil ? dans le désert par exemple ou en Thaïlande ? Peut-être bien que l’éveil passe par les insomnies 🙂 ça donnerait un article à Odier 🙂 . Presque minuit , et je suis encore là devant l’ordi ,… et j’ai pas sommeil .



        • Hannah le 2 mars 2013 à 16 h 29 min

          Coucou,
          Les angoisses de la nuit sont souvent liées au bébé ou au
          jeune enfant à un âge où il a du gérer seul la nuit la faim,
          la maladie, parfois pas avec ses parents mais avec des nounous
          la couveuse, l’hôpital, le matin c’est une nouvelle équipe etc..
          .on ne connait pas tout de la vie des bébés.
          S’endormir le matin, c’est justement dormir au moment où les
          adultes se lèvent. Il y a donc enfin du réconfort.
          En général, je dors beaucoup mieux dans un pays chaud et
          humide! Le décalage horaire me permet de me rééquilibrer
          curieusement!
          Mais il n’y a pas de loi avec les insomnies, on ne sait jamais
          à quel moment ni pourquoi la mémoire cellulaire est activée.



  2. karine le 28 février 2013 à 17 h 22 min

    Un coach systémicien, J.A. Malarewicz, propose avec Malice comme exercice à ses clients d’identifier les

    “10 merveilleuses choses que j’ai mises en place pour échouer”,

    plaçant ainsi le client comme le meilleur expert de son problème.

    Pas mal , comme idée, non ?

    A bientôt
    Karine



    • Hannah le 28 février 2013 à 19 h 46 min

      Bonsoir karine,
      ça a le mérite de rendre le thérapeute plus humain.
      Du coup, on peut s’identifier à lui et savoir qu’on
      peut s’en sortir.



  3. Nadia le 28 février 2013 à 17 h 56 min

    Bonjour Hannah,
    j’ai l’impression que tu parles de moi quand tu racontes tes problèmes d’insomnie. J’ai eu aussi un cheminement semblable en passant par toutes sortes de « produits » et de thérapies. Je lâche prise mais quand mes journées deviennent trop pénibles je prends ponctuellement de quoi dormir.
    Je ne connaissais pas cet évènement « Booster Gala ». Je vais regarder la première émission.
    A bientôt
    Nadia



    • Hannah le 28 février 2013 à 19 h 45 min

      Bonsoir Nadia,
      Je n’ai pas mis tous mes remèdes mais lorsque je n’ai
      pas dormi, je fais une méditation assise jusqu’au début
      de l’endormissement. Je récupère ainsi en 10 minutes,
      l’équivalent de 2 à 3 heures du sommeil qui m’a manqué!



  4. Laure Delafontaine le 28 février 2013 à 18 h 29 min

    ma main a ripée sur le clavier !!! serais ce de moi que je parlais ?!!!!!!……je disais que c’est peut être le patient qui ne veut pas aller au fond des choses dans la psy de « base », mais ce n’est pas le cas avec les thérapies quantiques car là on va vraiment au cœur des cellules, j’en ai fait plusieurs fois l’expérience… Et l’acceptation, le deuil, permettent vraiment de dégommer la problématique. Nous ne sommes plus dans le même monde… Vive la cinquième dimension !!! Merci pour la séance et à très bientôt.
    Je t’embrasse.
    Laure



    • Hannah le 28 février 2013 à 19 h 43 min

      Bonsoir Laure,
      C’était aussi ce que nous avons fait cet après midi,
      nous promener au coeur des cellules là où sont
      engrammés les programmes et les croyances.



  5. zenie le 28 février 2013 à 18 h 38 min

    Bonjour Hannah, mon plus gros problème était les pensées négatives car quoi qu’ils se passe, elles venaient en permanence commenter tous mes faits et gestes et tous les faits et gestes des autres et me faisaient beaucoup de mal.

    zenie



    • Hannah le 28 février 2013 à 19 h 42 min

      Bonsoir Zénie,
      Le mental aux prises avec la colère défensive fait ce qu’il peut.
      Lorsqu’on juge, c’est souvent parce qu’on a été jugé, petit!



  6. charlotte le 28 février 2013 à 20 h 29 min

    Bonsoir Hannah,

    Tu parles de toi, cependant, j’entends une autre histoire. C’est passionnant, tu parles d’insomnie j’entends
    autre chose. Ta façon tellement claire de raconter, transpose et explique tellement de problèmes qui paraissent insolubles.
    Merci Hannah.

    Belle soirée.

    Charlotte.



    • Hannah le 28 février 2013 à 21 h 34 min

      Bonsoir Charlotte,
      Je sais que certaines personnes sont confrontées à
      des problèmes apparemment insolubles. La vie parfois
      nous dote d’un problème physique qui nous accompagne
      et nous oblige à trouver notre profondeur.
      C’est un peu comme l’histoire de Jacob qui a boité
      toute sa vie après son combat avec l’ange.
      Alors qu’il demandait à être guéri, il reçut la réponse:
      « Ma grâce te suffit : car la puissance se déploie dans la faiblesse »



  7. Michel de Changer Gagner le 28 février 2013 à 20 h 30 min

    Plus jeune j’avais aussi du mal à m’endormir. J’ai résolu le problème en me couchant tard et en dormant peu. Il y a tellement de choses à faire !

    Et cela marche !



    • Hannah le 28 février 2013 à 21 h 23 min

      Tant que ça marche, Michel , c’est formidable.
      Je me fais la petite voix de ceux qui se battent
      parce que ça ne marche pas.



  8. cécile le 1 mars 2013 à 4 h 48 min

    Je ne sais pas si tu as déjà eu le même type d’expérience avec tes clients, mais j’ai remarqué plus d’une fois que les miens s’attachaient en fait à leurs problèmes, leur mal être, parce qu’ils faisaient partie de leur vie! Il faut d’abord les en détacher avant de pouvoir les soigner. Du coup, j’utilise systématiquement des huiles essentielles qui aident à aller de l’avant, à franchir une étape : celle du pas vers la guérison.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 16 h 38 min

      Bonjour Cécile,
      Oui c’est très juste. Eckart Tolle parle de l’attachement au corps de
      souffrance. C’est normal d’ailleurs car, parfois la distance et la séparation
      est le seul lien qu’on vraiment eu avec notre mère.
      On s »accroche à la souffrance car c’est tout ce qui nous reste de notre mère.
      C’est bien sur très inconscient et très archaïque.



  9. Christian de Destresse Marketing le 1 mars 2013 à 8 h 04 min

    Salut Hannah,

    Ouah, je t’imagine en Xéna, la pourfendeuse de chercheurs de coupable, de dévalorisateurs irréalistes et d’hypnotyseurs psycologuistes magnétiques.
    Sur son beau cheval noir (blanc? Mélangé à du bœuf? Vert à pois jaunes…), passant à l’action en brandissant le glaive de la justice quantique.

    Moi, je serais toi, j’essayerais de booster un passage à la TV.

    Quoi, c’est fait, ouah, chapeau.

    @+
    Christian.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 16 h 41 min

      Bonjour Christian,
      Tu vois, tu n’étais pas loin de décrire la photo que j’ai choisie.
      J’ai retiré l’épée mais on ne s’y trompe pas.
      J’ai retiré l’amure pour le booster, ça passait mal à l’écran!



  10. jean-claude le 1 mars 2013 à 9 h 00 min

    Bonjour Hannah,

    cet article me ramène quelques années en arrière, insomnie due à des difficultés financières et par extension à des problèmes de couple. Alors mon épouse et moi décidons de consulter une conseillère conjugale. Donc je décide de donner ma confiance à la thérapeute et d’obéir à ses conseils et recommandations. Ca a fonctionné du jour au lendemain, la thérapeute n’a pas manqué de me féliciter après m’avoir encouragé. Je fonctionne pareil avec mon médecin généraliste (une femme également) qui me suit depuis près de 15 ans. Rien que de savoir que j’ai RDV avec elle, 50 % de mon mal s’en va automatiquement, alors effet placébo ou autre, je ne sais pas, mais vu l’efficacité : je prends. Une aide extérieure, pour autant qu’on décide d’y croire, peut selon moi être une des solutions à un tel problème. Mais peut-être n’ai-je pas tant de problèmes que ça finalement en lisant tous ces articles et les commentaires correspondants. Merci encore pour ce soutien régulier.
    Amicalement
    JC



    • Hannah le 1 mars 2013 à 13 h 17 min

      Bonjour jean-Claude,
      Je crois que la confiance est un élément clé de la guérison.
      Je crois aussi en l’effet placebo: il n’est pas rare que
      la personne qui prend rendez-vous arrive en consultation
      en me disant que son problème est déjà à moitié résolu.
      Lorsqu’on a des soucis, l’important c’est d’avoir
      les clés essentielles qui permettent de ne pas trop
      se battre avec. Plus on résiste, plus ça fait mal.



    • Hannah le 1 mars 2013 à 13 h 19 min

      Bonjour jean-Claude,
      Je crois que la confiance est un élément clé de la guérison.
      Je crois aussi en l’effet placebo: il n’est pas rare que
      la personne qui prend rendez-vous arrive en consultation
      avec son problème en cours de résolution.
      Le but finalement, ce n’est pas d’éliminer tous les soucis
      de sa vie (ce serait du contrôle), l’important c’est d’avoir
      les clés essentielles qui permettent de ne pas trop
      se battre avec. Plus on résiste, plus ça fait mal.



  11. iris le 1 mars 2013 à 10 h 17 min

    superbe article !
    qui m’a émue … il arrive tout juste au bon moment, car je me perds à essayer de trouver la sortie, et je me disais ce matin  » il n’y a rien à faire, baisse les bras, ça suffit de se heurter à un mur en permanence  » … lacher prise , arrèter de vouloir controler les choses , c’est pas facile, mais finalement c’est un bon début 🙂



    • Hannah le 1 mars 2013 à 13 h 11 min

      Bonjour Iris,
      Accepter d’avoir un problème plutôt que chercher à
      le résoudre à tous prix est un premier pas vers la
      transformation. C’est dire oui aux raisons profondes
      de son existence et donc s’ouvrir à son message.
      Il n’y a jamais de problème sans message accroché.



  12. valérie le 1 mars 2013 à 12 h 03 min

    « quand la conscience s’éveille … » Anthony de Mello



  13. Christine le 1 mars 2013 à 16 h 33 min

    Bonjour Hannah,

    Si j’ai bien compris, finalement c’est le lâcher prise qui permet de régler la plupart des problèmes.
    Sinon on est toujours dans mental et le « FAIRE ».

    En fait, cela rejoint ce que dit mon amie Audrey Bérubé, qui peut se résumer par accepter, faire confiance, garder du recul pour relativiser, et chercher à se sentir bien en étant en accord avec soi même; Être dans le « Le Feeling Good »….Simple, mais pas facile.

    Bien amicalement,
    Christine



    • Hannah le 1 mars 2013 à 21 h 57 min

      Bonsoir Christine,
      Le lâcher prise n’est pas toujours bien compris:
      pour lâcher, il faut savoir ce qu’on tient et,
      souvent c’est une identification que l’on tient
      et ce n’est pas facile à déceler.



  14. Dominique V le 1 mars 2013 à 16 h 34 min

    Bonsoir Hannah,

    Merci pour le beau cadeau de ton expérience. L’être intérieur que tu sembles développer de jour en jour est impressionnant pour le « cherchant »que je suis. Trêve d’éloges,je me posais la question de savoir: Si le mental est une partie de l’égo et le caractère une partie de la personnalité alors beaucoup de paramètres interagissent sur notre comportement en dehors des parents.Je pensais aux environnements suivants : l’école, les amis, les loisirs, le lieu et la date de naissance,le prénom, les tares ou handicaps visibles ou non, l’hérédité, la linguistique sur le champ politique économique, financier & religieux par exemple.
    A bientôt,-Domnique-



    • Hannah le 1 mars 2013 à 21 h 56 min

      Bonsoir Dominique,
      Pour moi, le caractère, la personnalité, tout cela
      fait partie de l’égo. Cela crée notre différentiation
      et donc notre séparation illusoire d’avec le tout.
      Je suis d’accord avec toi à propos des autres paramètres,
      je rajouterais même les paramètres karmiques, les données
      de base d’avant notre naissance, le projet-sens de nos
      parents avant la conception etc…l’arbre généalogique aussi.



  15. Maxime le 1 mars 2013 à 18 h 22 min

    Coucou Hannah,
    Je suis heureux de lire ton article sur le sommeil.
    Cela fait pour moi suite à mon commentaire laissé sur mon blog.
    Juste un mot sur le côté « guerrier » vu sous le filtre Transurfing.
    Tu as pu le tester dans le module 2 « Librement et légèrement » consacré à l’importance.
    Juste une question : « Qu’en as-tu retiré, que lien peux-tu éventuellement faire entre le côté guerrier et les insomnies? »
    « Se battre, toujours se battre ».
    C’est marqué au fer rouge dans notre inconscient, que ce soit contre une maladie, un symptôme ou autre chose.
    Je suis triste de lire encore et encore ce terme.
    En Transurfing toujours, derrière une difficulté, nous invitons les participants de nos « trajets » à cesser de vouloir se battre, passer en mode observateur, poser une intention claire et se poser cette question: « Quels sont les 5 avantages que vous pouvez tirer de cette situation ? »
    Un dernier repère que j’ai envie de partager:
    Dans toute difficulté, l’obscurité la plus profonde, il y a la graine de la lumière.
    Claude Cléret (un sacré « éclaireur », celui-là ;)) nous l’a encore répété samedi dans le cadre de Booster Gala.
    J’espère que grâce à cette insomnie que tu vis, Hannah, tu vas pouvoir en extraire ta plus grande richesse et créer un produit extraordinaire qui pourra venir en aide à des milliers de personnes qui souffrent du manque de sommeil.
    Vis une merveilleuse nuit !
    Maxime
    PS: Je suis heureux de retrouver la photo que j’ai prise à Booster Gala dans cet article !



    • Hannah le 1 mars 2013 à 21 h 51 min

      Bonsoir Maxime,
      Oui je connais l’explication du guerrier
      et bien sur, c’est lui que j’ai convoqué pour
      protéger mon « bébé » la nuit.
      J’ai quand même voulu écrire que c’était ma
      plus grande identification à l’époque.
      Mes insomnies sont quasiment terminées mais
      le parcours a été très long.
      J’ai appris à travailler et à écrire en alpha
      grâce à elles donc on est assez copines, on a
      aussi passé beaucoup de nuits ensembles!
      mon article est justement un hymne à ne pas
      se battre mais une petite rétrospective sur
      mon parcours peut servir d’exemple.
      J’ai mis ta photo du plateau pour les
      lecteurs qui ne savent pas qu’un plateau
      est tout en vert!



      • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 14 min

        PS; Tu me dis si je me trompe mais il me semble que mon
        histoire a du résonner avec la tienne . Alors, bébé triste
        ou en colère?



    • Daniel@La vie en Je le 3 mars 2013 à 19 h 52 min

      Alors là Maxime, ça fait plaisir à entendre!
      Moi aussi, je suis attristé par les personnes qui disent qu’elles se battent contre la maladie, qu’elles ne lâcheront pas leur combat, ou encore  »entre le cancer et moi un des deux doit mourir » (Delarue, et il a perdu).
      Si on se bat contre quelqu’un c’est contre soi-même!

      « Quels sont les 5 avantages que vous pouvez tirer de cette situation ? »
      Excellent, je viens justement de décrypter l’approche de Byron Katie sur les bienfaits du retournement de la phrase « je veux que mon cancer cesse de se développer » en « je ne veux pas que mon cancer cesse de se développer »!



      • Hannah le 3 mars 2013 à 22 h 10 min

        Cela demande quand même d’avoir fait un bout de chemin
        à l’intérieur pour accepter la maladie, le handicap
        comme des accompagnateurs bienveillants.



  16. odette-charlotte le 1 mars 2013 à 20 h 38 min

    Tele La , programme choisi, ou presque = souvent envie de dormir vers 22 h Je vais me coucher, pensant m’endormir de suite !!!Je fais semblant,puisque je suis fatiguée cela dois marcher, j’ai besoin de sommeil !!!
    23 h 30 j’ouvre un livre ou une revue … ..Le réveil indique le lendemain matin !

    J’en ai déduit que si je m’endormais à 1h et que je me réveillais à 8 h j’aurais dormi 7 heures

    Allora ! va bene comme disent mes amies,is italiens

    Je me détend sans réfléchir, sachant que vers 1 h tout sera O K .

    Reveil, a l’heure ! en forme tranquille!……

    PS : J’oublie l’essentiel, Je m’offre quelques petits bouts de choco 75% avant de m’endormir, usage que j’ai recommandé et qui semble toujours marcher cholestérol ou pas !!

    Il est 23h30, ce soir je vais voir et écouter Bibliotheque Medicis en attendant une invitation pour informer le monde de mon travail d’ecriture en cours !!!!!!!!!!!!!! Bons rêves pour vous tous !



    • Hannah le 1 mars 2013 à 21 h 43 min

      bon travail Odette-Charlotte, est-ce que ce projet
      d’écriture avance?



      • odette-charlotte le 28 mars 2013 à 11 h 06 min

        Merci Hannah ! Plus de problème avec Sommeil ! Je dois dormir suffisamment…puisque ce n’est plus un problème !!!!!

        Est-ce tipi ? mais j’ai repris mes ecritures avec une pensée (nette ce matin avant de te lire ) Odette aime les tunnels les passages …galeries….(..Pas les faux construits actuellement,garnis de boutiques sans ame ) mais les vrais passages insolites comme certain à Paris et tres fréquents en centre ville Italie..J’aime m’y perdre sans en connaitre l’issue mais toujours certaine de la trouver !!

        En parcourant ton article, j’ai vu (Coïncidence ? ) l’image tunnel ! ……..

        Un jour j’ai cru comprendre que ce rapport aux » passages tunnel  » avait un rapport avec ma naissance

        Récit maternel en réponse à mes questions  » tu pesais 4 k 800 a ta naissance et malgré mes efforts fournis pour monter 6 étages sans ascenseur tu es venue au monde dodue et avec le sourire  » E T C

        Quant  » un précédant courrier numérologie tu faisais un rapport entre chemin 8 Réussite Ambition

        Buonaparte devenu Napoleon 1er

        Pas mal ! car Buonaparte je connais et ai de l’estime pour lui mais Napoleon ……..c’est un autre problème, j »i le gout de la réussite et une petite couronne me siérait à ravir (Viendrais-tu à la cérémonie avec tes beaux jupons booster gala ) Chaleureusement Odette-charlotte



        • Hannah le 29 mars 2013 à 9 h 36 min

          Bonjour Odette-Charlotte,
          Je crois que tu as raison par rapport à ta naissance.
          Peser si lourd et prendre tant de place est un trauma
          lors du passage. Parfois c’est aussi l’indication qu’on
          a mangé pour deux, cf mon article sur les jumeaux nés
          seuls!



  17. zette le 1 mars 2013 à 22 h 33 min

    Bonsoir, votre article a réveillé quelque chose chez moi mais je ne sais pas l’expliquer…je sais que je répète le même (dys)fonctionnement depuis toujours;j’ai tenté de le comprendre mentalement …j’en ai parlé à une psy mais le résulat est toujours le même, insoluble;
    je suis une personne fatiguée, cernée(des trous autour des yeux), le réveil est synonyme de torture, c’est un calvaire que de  »revenir sur terre » quand le réveil sonne, d’émerger de mon sommeil…j’en souffre, je ne suis pas sentie en forme et heureuse de me réveiller depuis une vingtaine d’années…après, tout est difficile, chaque geste est difficile, je deviens grincheuse, râleuse parce que je suis fatiguée;je baîlle je ne sais qombien de fois… j’arrive systématiquement en retard là où je dois me rendre…et j’arrive la queue entre les jambes, en colère, honteuse, coupable; le soir, je repousse le moment du coucher jusqu’au maximum comme si je n’avais pas fini de vivre ma journée!, je redoute d’être dans mon lit et de ruminer encore et encore, alors je me couche tard pour tomber KO tout de suite…et bien-sûr le matin, je commence la journée dans la douleur, la colère d’être fatiguée; c’est le serpent qui se mord la queue n’est ce pas?
    Et j’ai 38 ans, je me traîne comme ça depuis l’adolescence…en me considérant comme différente des autres, incapable de pouvoir m’engager dans quelque chose à cause de mes retards, ma fatigue, ma différence…je me sens en échec, en décalage;
    aurez-vous une torche pour m’éclairer dans ce problème?? merci d’avance.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 43 min

      Bonjour Zette,
      Oui, vous me décrivez tous les symptômes de quelqu’un qui
      ne dort pas bien et dont la nuit réveille les peurs inconscientes.
      La première chose à faire le matin c’est de respirer longuement
      en finissant avec une légère apnée poumons pleins et une légère apnée
      poumons vides. Le soir c’est aussi une bonne façon d’attaquer la nuit.
      Cela devrait modifier votre état du matin et donc de la journée.
      Derrière tous les problèmes de sommeil (récalcitrants), il y a
      un bébé dont les besoins ont été, au mieux, négligés.
      Revenez me dire ce que respirer a modifié au niveau de votre état,
      et je vous donnerai d’autres pistes à suivre.



  18. Christophe le 1 mars 2013 à 23 h 15 min

    Merci pour cet article, tout d’abord il a eu le don de me captiver tout au long et j’avoue avoir été ravi de lire ton article car cela m’a remotivé à bloc!
    J’ai de la chance de ne pas souffrir d’insomnie mais c’est de famille, en tout cas je vais en parlé à mon amie de travail qui rencontre justement ce problème, ton expérience pourra surement bien l’aider.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 36 min

      Bonjour Christophe,
      Tu l’auras compris, ce n’est pas tout à fait une technique pour se sortir
      des insomnies mais pour approcher avec douceur tout ce qui traite de
      la santé et de la guérison.



  19. Yannick le 1 mars 2013 à 23 h 47 min

    Bonjour Hannah,

    Un moyen pour atteindre ses objectifs est, dans un premier temps, de savoir les formuler de façon concrète, et en les limitant dans un temps donné. De cette manière, nous pouvons voir et constater si nous nous sommes bougé pour les réaliser ou si au contraire nous sommes resté sur le canapé 🙂

    En bref, en tant qu’adulte, nous devons savoir nous responsabiliser.

    Merci à toi et à très bientôt
    Yannick Hirel



    • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 34 min

      Bonjour Yannick,
      Oui c’est très rassurant de pouvoir utiliser
      ces outils concrets dans le monde de la réussite.
      Dans le monde de la santé, tout est à réinventer.



  20. Janine CESAIRE le 2 mars 2013 à 7 h 16 min

    Bonjour Hannah

    contre l’insomnie , je me suis programmée il y a très longtemps ; quand j’ai des difficultés à m’endormir , au lieu de compter les moutons : il me suffit de me répéter mentalement une ou deux phrases spécifiques( toujours les mêmes ) , tout en visualisant une scène( toujours la même) dans laquelle je me vois marchant dans un endroit calme et idyllique , je perçois toutes les sensations associées à cette scène : je visualise les couleurs , je sens les odeurs , j’entends tous les bruits , je ressens l’herbe sous mes pieds , l’écorce des arbres , je vois tous les détails des vêtements que je porte … et cette mini séance est mon remède magique contre l’insomnie : je m’endors très vite et très profondément jusqu’au lendemain matin ; je l’ai testé des centaines de fois ; je suis vraiment programmée pour m’endormir grâce à cela et ça marche aussi très bien quand j’ai beson de me détendre

    Très bonne journée
    Janine



    • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 31 min

      C’est une très belle façon de s’endormir.
      J’imagine qu’avec les endorphines aidant,
      on glisse tranquillement dans le sommeil;
      c’est quelque chose que je ne connais pas!



  21. Jérôme le 2 mars 2013 à 8 h 35 min

    Bonjour
    Long mais captivant cet article.
    Je n’ai pas de problème de sommeil, mais pour certains c’est visiblement un vrai parcours d’obstacles.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 8 h 45 min

      Bonjour Jérôme,
      J’ai pris l’exemple du sommeil mais c’est surtout
      pour expliquer qu’un problème de santé assez profond
      ne se traite pas comme une entreprise.



  22. Jonathan le 2 mars 2013 à 13 h 24 min

    Salut Hannah,

    Je partage tout à fait cet article, le mental est assez terrible pour s’immiscer dans nos vies de nombreuses façons inattendus, quasi-invisible et surtout là où on ne l’attend pas. Je suis comme toi convaincu que seul le fait de laisser ce qui est est la solution. Plus on remue et plus cela donne de la force à ce qu’on souhaite éviter.

    Par exemple, je suis en Thailande en ce moment. C’est assez bête mais devoir négocier et être par nécessité un peu autoritaire avec les taxis ne m’emballais pas. J’étais en zone touristique (à Chaweng sur l’île de Koh Samui si tu connais) et sollicité très souvent sans rien demander donc méditant ou pas, cela m’a agacé et j’ai attiré ensuite des chauffeurs « pénibles ». Ce n’est pas un hasard, je sais que je suis le fruit de ce résultat dans le sens où tout est neutre, cette réaction vient uniquement de moi, de ce qui s’est réveillé. J’ai attiré ça et c’était plus fort que moi. Nos obstacles sont nos maîtres et on ne les voit pas toujours, surtout pas dans le feu de l’action. C’est le moment le plus intense et cela va très très (trop) vite.

    Maintenant, ce n’est pas bien grave. Ce qui est intéressant, c’est de voir le mental qui derrière en remets des couches d’analyses pour comprendre ce qui s’est passé au lieu de laisser ça et simplement revenir sur ce qui est.
    C’est vraiment très dur de capituler, très facile à comprendre mais pour le vivre, le fossé est grand ! Ce n’est pas par hasard que ceux qui sont devenus de grands Maîtres ont fait de longues retraites. Cela a tout son sens.
    Je suis donc assez convaincu que la solution ce trouve là. Par exemple, tu ne dors pas et bien ce n’est pas grave. C’est comme ça et point barre. Je me trompe peut-être, c’est ce que je perçois intuitivement. A+

    P.S: Merci du rappel pour le booster-gala, je vais regarder tout ça à l’occasion.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 13 h 47 min

      Bonjour Jonathan,
      Tu as parfaitement raison, j’en suis arrivée à « je dors, je dors pas » c’est
      pas grave.Plus rien ne s’agite même si j’ai encore parfois des relents
      de désir de solutionner le problème définitivement.
      Pour ce qui est de Chaweng, je connais très bien l’ile de Koh Samui,
      (une dizaine de séjours à mon actif ». J’adore cette île mais Chaweng
      n’est pas l’endroit que je choisis pour habiter quand j’y vais.
      Combien de temps restes-tu?
      Tu sais que j’y retourne dans deux semaines…
      Je peux t’indiquer un cours de cuisine efficace si tu veux apprendre
      à cuisiner thaïlandais. Je connais aussi quelques restos locaux
      pas chers du tout sur Chaweng où on fait le meilleur green curry de
      la planète!



      • Jonathan le 3 mars 2013 à 10 h 07 min

        En faite, je suis à Bangkok en ce moment et je pars demain pour un petit retour en France avant d’aller à Malte passer le reste de l’année. Je suis impressionné par tout ce que tu connais. Je te demanderais conseil la prochaine fois que je retourne en Thaïlande. Pour Malte tu connais ?



        • Hannah le 3 mars 2013 à 15 h 36 min

          Bonjour Jonathan,
          Je ne connais pas Malte. je connais beaucoup
          mieux l’Orient que l’Europe. Et pour la Thaïlande,
          je suis incollable!



  23. Brice le 2 mars 2013 à 14 h 04 min

    Bonjour Hannah,

    J’ai adoré lire cet article, je me suis reconnu dans ce que tu dis, c’est moi tout craché !

    Parfois, je vais passer du temps à me former sur certains sujets, à lire des livres etc. pour finalement me retrouver à la case départ et me rendre compte après quelques séances de méditation que le problème que j’essaye de résoudre depuis quelques semaines n’est pas un « vrai » problème, plutôt un symptôme d’autre chose.

    J’aime ce passage ci-dessous en particulier, tu as retenu toute mon attention car il reflète bien certaines de mes expériences.

    Ce problème d’insomnies était en fait l’alarme du détecteur de fumée. Vous viendrait-il à l’idée de dégommer le détecteur de fumée sous prétexte qu’il fait trop de bruit quand il se déclenche?

    N’y a t-il rien de mieux à faire en cas d’incendie ? Trouver et éteindre le feu bien sûr. Croire que j’avais un problème de sommeil au présent, c’était vouloir ignorer le feu.

    Maintenant il reste à répondre à la question suivante, sans pour autant s’arracher les cheveux:

    « Comment lâcher prise sans savoir ce que l’on tient ? »

    Heureusement que les thérapies quantiques sont là 🙂

    Merci beaucoup pour cette lecture !

    Brice.



    • Hannah le 2 mars 2013 à 14 h 17 min

      Bonjour Brice,
      Voilà une question intéressante.
      Selon moi, lâcher prise sans savoir ce qu’on tient n’est pas
      réaliste. Toute la difficulté (l’objet de la thérapie d’ailleurs)
      c’est de connaître les stratégies pour obtenir cette réponse
      ou pour se faire aider pour les trouver. On peut très bien
      changer de croyance en surface et garder un attachement dans le disque
      dur…c’est pour cela que tous ceux qui ont vu le film « le secret »
      ne sont pas devenus millionnaires!



  24. Philippe le 3 mars 2013 à 11 h 21 min

    Bonjour Hannah,

    Merci pour ton article et ce problème de sommeil que j’ai bien connu à un moment de ma vie où un être qui m’est très cher avait fait l’objet d’une agression dans la rue (et par chance s’en est remis par la suite).
    Je me couchais, m’endormais puis me réveillais au bout de … 20 minutes!
    Cela a duré plusieurs mois, j’ai consulté une psy car en même temps ça n’allait pas trop dans mon couple.
    Finalement j’ai pris le parti de me lever quand je me réveillais, puis de m’adonner à des activités rendues possibles par ce temps éveillé supplémentaire que l’insomnie me donnait. A l’époque j’ai découvert ce livre merveilleux de Bruno Bettelheim, la « Psychanalyse des Contes de Fées ».
    Sa lecture me captivait tellement que je n’avais plus vraiment envie de dormir … et c’est comme ça que petit à petit le sommeil est revenu 😉
    Merci encore pour le partage de ton expérience enrichissante!
    Bien à toi

    Philippe



    • Hannah le 3 mars 2013 à 15 h 30 min

      Bonjour Philippe,
      Une insomnie temporaire et circonstanciée (les suites
      de l’agression) dure effectivement quelques mois
      ou quelques semaines, le temps de digérer le choc.
      Les insomnies qui démarrent dans l’enfance sont souvent
      les résultats d’un trauma mais aussi d’une identification au trauma!



  25. Sco!@couple routine le 3 mars 2013 à 15 h 29 min

    Bonjour Hannah,

    Pour ma part, et j’ai déjà écrit un article à ce sujet, «se battre» pour quelque chose est une expression qui m’agace. On n’arrive à rien avec la violence.

    C’est comme ceux qui se battent pour la paix dans le monde!

    Et ça me rappelle cette réponse magnifique de Mère (Sainte) Teresa à qui on demandait si elle marcherait contre la guerre dans monde. Et elle a répondu : Non, mais si vous avez une marche pour la paix, je serai là.

    Il y a des théories à l’effet que nous pouvons avoir tout ce que l’on veut que l’abondance existe et qu’il suffit de l’attirer à soi par nos pensées, nos vibrations, etc. Tu en sais bien plus que moi à ce sujet.

    Je suis d’accord sur le fait que plus on creuse un problème, plus on s’enfonce dedans. Tu as la chance de travailler à ton compte. Tu n’as donc pas l’obligation de te lever à une heure précise. Pourquoi ne pas te foutre de l’insomnie et aller dormir lorsque tu sens de la fatigue?

    D’autres personnes, comme moi, n’ont pas le luxe de pouvoir se lever à n’importe quelle heure et là, l’insomnie devient vraiment un problème. J’ai le même problème que toi depuis l’adolescence, moi aussi.

    Amicalement,

    Sco!



    • Hannah le 11 mars 2013 à 21 h 37 min

      Tu as raison Sco! Aujourd’hui ne pas dormir n’est plus un problème.
      je peux me lever à l’heure que je veux sauf les 3 jours du weekend
      où je travaille.
      ça ne fait que deux ans et demi,avant j’étais à l’éducation nationale, c’est à dire réveil
      à 6H30…quand on s’endort à 5 heures, c’est ledge!
      je peux le prendre à l’envers aussi: parce que ce n’est plus un problème de ne
      pas dormir, je n’ai plus besoin de mettre un réveil!



  26. Agnès le 3 mars 2013 à 19 h 46 min

    Bonsoir hannah,
    M’est il arrivé de me battre avec un problème insoluble ?
    Oui, et je souris quand je vois votre témoignage sur l’insommie, car j’ai eu un cursus de détermination similaire au votre avec d’autres variantes de paramètres cause insommie…Pendant près de 35 ans j’ai cherché et travailler pour améliorer mon sommeil et depuis 2 ans j’ai accepté de ne pas dormir du tout parfois ce qui est rare maintenant. Mon sommeil a toujours été de très mauvaise qualité et le fait de relacher des éléments en phériphérie me permet de l’améliorer petit à petit.
    Comme vous, je ne me polarise plus sur cet élément  » insommie » et dors en journée une heure si je sens que je peux récupérer.
    Autre
    J’ai ou plutôt j’avais une phobie des groupes…lié  » à mon histoire » à une hypersensibilité et surtout au fait de me polariser dessus depuis ma plus tendre enfance. Et comme je me suis construite ainsi automatiquement le lâcher a demandé de passer par de nombreuses étapes, identique et conjointement liée à l’insommie. Mais ayant compris en effet le processus..je ne mets plus d’importance, même si un travail avec une séance tipi servirait à lâcher dans le cellulaire. j »accepte de laisser d’autres éléments me guider.
    Très bonne soirée.
    Agnès



    • Hannah le 3 mars 2013 à 22 h 14 min

      Bonsoir Agnès,
      ça fait du bien de savoir qu’on n’est pas tout seul avec ce type
      d’inconfort…qui dure! j’imagine que les racines sont profondes
      aussi.
      Pour ce qui est de Tipi, ça m’a bien aidé mais la difficulté avec Tipi,
      c’est qu’il faut partir de situations précises, pas juste des
      difficultés de sommeil en général.
      On finit par trouver des accroches émotionnelles comme point de départ.



      • Agnès le 4 mars 2013 à 7 h 02 min

        Hannah
        Oui en effet la racine est profonde,
        Je t’ai fait une demande de RDV pour une séance tipi par mail, avec des exemples précis.
        A bientôt
        Agnès



        • Hannah le 4 mars 2013 à 12 h 45 min

          Bonjour Agnès,
          Je vais te répondre par mail. Pas de problème pour un Tipi.



  27. Daniel@La vie en Je le 3 mars 2013 à 20 h 11 min

    Bonjour Hannah,
    Ah, c’est pour ça qu’il y avait tant de monde à arriver devant moi au Capes, si c’étaient des insomniaques !
    Et j’ai compris aussi pourquoi tu faisais des articles aussi longs: tu attends que le sommeil vienne…ou tu meubles ta nuit.
    Blague à part, je suis moi aussi insomniaque (pas pour m’endormir, je me réveille souvent en plein milieu de la nuit).
    J’ai cru longtemps que c’était proportionnel aux soucis que je pouvais avoir dans ma vie. Or, r si écemment, j’ai pu enchaîner deuil, maladie, et un enfant dans le coma. Mais je dormais bien même dans les jours les plus sombres. C’est là que j’ai réalisé qu’il n’en était donc rien.
    Comme toi, je pense que ça me renvoie à un passé très lointain. D’ailleurs je bois souvent du lait quand je me lève, ça me calme !! Tipi peut qq chose pour moi?
    J’ai cessé également de focaliser sur le problème, car plus on focalise sur un problème plus il augmente d’une part, et moins on approche de la solution d’autre part.
    Maintenant, j’en ai pris mon parti, et ça ne me pose pas de souci de me lever pour regarder la télé, lire des blogs, ou écrire des articles à dormir debout 🙂 !
    Depuis que je m’autorise ce lâcher prise, je dors beaucoup mieux.
    Merci en tout cas pour cet article plus personnel, qui nous fait découvrir un peu plus de ton univers.



    • Hannah le 3 mars 2013 à 22 h 08 min

      Bonsoir Daniel,
      Ciel, je suis démasquée;-)
      Je connais aussi les insomnies qui réveillent à 3heures14.
      En fait, j’ai tout essayé. les longues nuits où tu vasouilles
      mais sans jamais tomber dans le sommeil profond, etc…
      Je peux en écrire un livre.
      Par contre, je ne me lève pas, j’enchaîne les pratiques, les exercices
      respiratoires, le reiki, les codes quantiques, que sais-je,
      Je suis une encyclopédie à moi toute seule.Tous ces trucs
      finissent par me rendormir et en fait, je n’en fais vraiment
      plus un problème.
      Je confirme ce type d’insomnies n’a aucun rapport avec des soucis
      passagers ou récurrents.C’est ancré très fort dans la mémoire
      cellulaire entre 0 et 1 an pour ma part.
      Oui Tipi a fait de grandes choses pour moi en matière de
      sommeil. J’en ai récupéré à peu près la moitié en dégageant
      les mémoires de vie intra utérine qui me faisaient anticiper
      négativement la nuit, le sommeil, le réveil, la peur de ne pas
      pouvoir aller travailler à cause du manque de sommeil…



  28. PureNrgy le 3 mars 2013 à 21 h 00 min

    Article super complet et qui va en profondeur!
    Une suggestion pour une prochaine fois peut-être: fais une série en 2 ou 3 parties, c’est plus agréable à lire (j’ai aussi tendance à écrire de longs articles)
    J’aime ce que tu dis avec l’identification au passé, au problème… Si le passé influence le présent, il peut aussi nous servir de tremplin pour se créer un futur plus heureux. (au lieu donc d’y trouver des excuses)
    Et c’est vrai qu’un manque d’estime ou de confiance peut nous motiver à entreprendre ce travail personnel que peu entreprennent et qui nous mène ainsi plus loin. Ce n’est toutefois pas indispensable LOL
    Perso, toute épreuve vécue, j’en suis vraiment reconnaissante! Si mes parents n’avaient pas divorcés, si je ne m’étais pas sentie abandonnée, si si si… je n’aurais pas fait tout ce chemin.
    D’un autre côté, c’est que j’en avais probablement besoin. D’autres s’en passent de ces épreuves et se portent à merveille 🙂
    Merci pour toutes ces pistes Hannah, bonne nuit!



    • Hannah le 3 mars 2013 à 22 h 01 min

      Bonsoir héloïse,
      Tu as raison, j’ai du mal à couper et c’est souvent
      très long!je crois en être arrivée là aussi, pour
      rien au monde, je ne changerai ce chemin puisqu’il
      m’a amenée là où j’en suis.



      • PureNrgy le 5 mars 2013 à 16 h 10 min

        Moi aussi Hannah, moi aussi 😉
        Très bien dit « pour
        rien au monde, je ne changerai ce chemin puisqu’il
        m’a amenée là où j’en suis. » 100% d’accord 🙂
        Bonne soirée!



    • Arnaud le 4 mars 2013 à 10 h 47 min

      Bonjour Héloise,
      Votre commentaire me plait.C’est super chouette de ne plus etre en guerre contre son passé.
      J’en suis là et vraiment ca change tout coté bien etre.
      Cordialement
      Arnaud



      • Hannah le 4 mars 2013 à 12 h 56 min

        Belle étape dans le travail intérieur!



        • Arnaud le 4 mars 2013 à 16 h 35 min

          Oui je crois bien Hannah

          D’autant plus que je peux affirmer ca après le travail que tu sais de ce week end sur mon passé à la Emile Zola.

          Pendant mon travail il y a une énorme émotion de tristesse et oups! une fois passé , on va dire le temps de quelques minutes pour l’émotion pure et 24 à 48 heures pour intégration du travail .
          Ensuite oui je suis dans la conscience que tout ce passé m’a emmené à aujourd’hui et comme je vous le disais je suis heureux de ce que je suis en train de devenir.

          C’est pour ca que le commentaire d’Heloise me touche.

          Je voulais aussi te dire que de tout mon coeur je prie pour que tu sois un jour tranquille avec les insomnies.



          • Hannah le 4 mars 2013 à 17 h 43 min

            Arnaud, je suis déjà tranquille avec les insomnies.
            Dormir ou ne pas dormir n’est plus un problème.
            Cela me permet de faire une méditation le midi
            lorsque je n’ai pas assez d’heures et puis
            franchement, si je mesure le chemin parcouru grâce
            à elles, c’est énorme!
            A Jacob qui boitait parce qu’il avait été mordu à la
            hanche lors d’un combat avec l’ange, le divin fit
            cette remarque « Ma grâce te suffit »sous entendu, tu n’as
            pas besoin de guérir de ça.



      • Heloise le 5 mars 2013 à 16 h 15 min

        C’est formidable (d’en être là), Arnaud 🙂
        Travailler sur soi, ça remue beaucoup de choses (croyances, sentiments…) et ça fait surtout un bien fou lorsqu’on lâche cela et que l’on dit, enfin, OUI à la vie 🙂

        À votre heureux devenir alors! 😉
        Héloïse



        • Arnaud le 6 mars 2013 à 8 h 57 min

          Oui Heloise

          Travailler sur soi c’est enfin sentir et se dégager des traumas du passé qui m’aurait tué si je les avais senti à l’époque.
          Et par conséquent enfin dire oui à la vie 🙂 et ca c’est sans nom !!!
          C’est aussi briser les croyances limitantes installées pendant cette période.

          merci Heloise , le meilleur pour vous aussi…;)

          Cordialement Arnaud



          • PureNrgy le 6 mars 2013 à 20 h 55 min

            C’est vrai, certains traumas demandent des années de « sommeil » avant de pouvoir être travailler et digérer!
            Tout à fait, se libérer de croyances limitatives et en embrasser de nouvelles 🙂 rien que ce thème prend 1/3 de mon manuscrit!

            Heureuse Vie Arnaud!



    • Marhthine le 4 mars 2013 à 18 h 55 min

      Salut Héloïse ,
      bon , j’ai bien lu que que les articles courts sont plus agréables pour toi 🙂 Perso , quand j’arrive sur un article d’Hannah , j’entame un morceau puis je vais faire une pause tisane 🙂 , en général je reviens devant l’ordi avec la tasse 🙂 , et ça rate pas , 5 minutes après , c’est la pause pipi , ensuite je retourne à la cuisine , il me faut une pomme 🙂 bref , ça en fait des pauses lol ! Alors que l’article soit long ou pas , j’accommode ma lecture . par contre , ce qui fait « l’agréabilité » de la lecture , c’est que le texte est aéré , alors en plus , je peux respirer ! Cool 🙂

      Hannah ? Le tchi des reins , il y serait pas pour un petit quelque chose dans l’insomnie ?



      • Hannah le 4 mars 2013 à 19 h 56 min

        Bonsoir Mahrthine,
        J’ai eu beau essayer de réduire la longueur de mes articles,
        rien n’y fait!
        les traumas sont souvent inscrits dans les reins donc c’est bien possible!



        • Marhthine le 5 mars 2013 à 13 h 54 min

          On verra alors ce que t’ont dit les « experts » à propos de ton blog 🙂 mais personnellement , c’est tellement lisible et aéré que la longueur ne me gêne pas . ça l’fait ! 🙂



  29. Dominique [Projet changer de vie] le 4 mars 2013 à 8 h 37 min

    Bonjour Hannah,

    Excellent article.
    Je me reconnais également dans ton histoire.
    Il faut avoir vécu l’insomnie pour savoir à quel point cela peut être difficile à vivre.
    Un vrai problème de santé publique.
    Ton vécu, tes questionnements vont certainement en aider beaucoup.
    Ton article est vrai, généreux et sort des sentiers battus.

    Un grand merci !

    Dominique



    • Hannah le 4 mars 2013 à 12 h 44 min

      Bonjour Dominique,
      J’ai pris quelques risques sur le thème
      de l’efficacité!
      Merci de ton point de vue et bonne
      chance pour cette croisée des blogs.



  30. Jean le 4 mars 2013 à 11 h 40 min

    Bonjour Hannah,
    Dans mes cours de coaching, on m’a appris qu’un objectif devait être exprimé positivement. En l’occurrence, ne plus avoir d’insomnies, ce n’est donc pas un objectif. L’exprimer de cette façon, c’est focaliser sur le problème, et sa résolution s’en trouve compromise.
    Par ailleurs, celui qui dort comme un bébé (comme moi) ne peut pas vraiment aider a priori un insomniaque. Déjà, il ne comprend pas la cause réelle. Il ne sait pas non plus lui-même comment il fait pour s’endormir si facilement et si rapidement.
    C’est curieux ce phénomène, mon père était insomniaque depuis très jeune, et maintenant il s’endort très bien. Alors que ma mère qui a toujours eu un bon sommeil, devient insomniaque sur ses vieux jours.
    Je dirais vite : « va comprendre… », mais je pense que ce n’est pas une histoire de compréhension.



    • Hannah le 4 mars 2013 à 12 h 55 min

      Bonjour Jean,
      Tu sais, je crois que je l’avais formulé du style
      « me libérer de mes insomnies » mais ça n’a pas
      amené de résolution immédiate.
      En fait cela m’a obligé à aller chercher toutes
      les techniques terrestres à ma disposition pour
      avancer, ce qui me permet, d’être une aide
      efficace. Comme tu le dis, on ne peut offrir
      que ce qu’on a traversé.
      Je suppose que tu peux offrir les techniques et
      la façon dont tu es resté positif malgré les épreuves.



  31. Jean-Luc (de Moralotop) le 6 mars 2013 à 19 h 16 min

    Hannah, il m’arrive comme tout le monde de ne pas dormir.

    J’en connais la cause : juste l’envie de faire des choses.

    Ton récit, et même ton combat contre les insomnies, est d’une autre nature.

    Tu m’as tenu en haleine…même si, sur la résolution de problèmes, notamment, il y a de la place pour le débat.

    Très bel article en tout cas, et tant pis pour sa longueur ! :).



    • Hannah le 11 mars 2013 à 21 h 39 min

      Bonsoir jean-Luc,
      Tu as raison, chacun attire à lui la résolution
      appropriée.
      Ceux qui ont commencé les insomnies tôt dans leur vie
      ont une belle opportunité pour collectionner les techniques!



  32. BRIGITTE LB le 11 mars 2013 à 18 h 06 min

    Bonsoir Hannah

    Incroyable ton article, comme d’habitude il arrive à point.

    J’aime beaucoup la façon que tu as de décrire ton problème d’insomnies, quelque part il me semble de me retrouver dans cet article.

    J’ai passé près de nombreuses années à essayer de le régler ce même problème sans y arriver j’ai essayé tout ce que tu décris dans ton artcle.

    En fait, je pense que c’était dû à une mémoire qui était inscrite dans mes cellules. Cette mémoire ne demandait qu’à se libérer.

    Tu m’avais conseillé de faire un travail avec une des méthodes d’Ho’ponopono et la technique de boire une moitié du verre d’eau avant de me coucher et l’autre moitié au réveil. Cela a pris un peu de temps, bien entendu.

    ET,

    Quelques nuits blanches, des huiles essentielles et un méga cauchemar plus tard……

    Tu ne vas pas me croire , mais pour la première depuis très longtemps, j’ai dit à mon mari ce matin « mon chéri, aujourd’hui j’ai dormi comme un bébé 8 heures non stop sans me réveiller : un vrai miracle ! ( bon je reviens de Lourdes c’est peut être ça : lol…)

    Avant de faire la dance du ventre, je vais regarder comme cela évolue , à suivre

    Merci Hannah
    A Jeudi
    Grosses bises BLB



    • Hannah le 11 mars 2013 à 21 h 41 min

      Bonsoir Brigitte,
      J’avais pas testé Lourdes pour les insomnies…
      je l’ai testé pour trouver une relation il y a
      longtemps et lourdes a répondu 5 sur 5.
      Après il faut gérer les réponses de l’univers…:-)



  33. Alice le 1 mai 2014 à 8 h 13 min

    Oui Hannah,
    voici 6 mois que je me « débats » avec des crises d’angoisse et des attaques de panique….
    Depuis que j’ai accepté de ressentir ces crises, de les traverser tout en sentant dans mon corps ce qui se dit, je vis les crises très différemment…. Je les ressens différemment… Elles ne me font plus peur…. Parce que je sens que derrière cette impression d’étouffer, cette impression que le sol se dérobe sous mes pieds, que mes jambes passent dans une autre dimension tandis que ma tête se met à fourmiller, je sens un gros, un énorme sanglot dans le ventre, près du coeur…. Je sens le hoquet d’une tristesse insondable me remuer des pieds à la tête…. Depuis que je la sens, cette tristesse, il m’arrive parfois de pleurer très fort, à chaudes larmes…. ça s’exprime, enfin… et l’angoisse, la panique, la migraine, les tremblements disparaissent aussitôt… je me sens alors comme un ciel lavé après la pluie…. La méthode Tipi m’a beaucoup aidée, pour sentir et accueillir les messages de mon corps…. Merci pour tes précieux conseils et cette magnifique page qui montre à quel point on se complique la vie, alors qu’il suffit de se laisser SENTIR…. 🙂



    • Hannah le 2 mai 2014 à 2 h 53 min

      Bonjour Alice,
      Merci pour votre témoignage.
      Je ne connais vraiment pas d’autres techniques
      que TIPI pour réaliser ce petit miracle.