Opinion ou jugement, avez-vous peur de la critique?

Fallait-il avoir peur de la critique au Booster-Gala ?
Vous avez suivi de près ou de loin mon aventure à Booster-Gala. Vous savez, cette émission où les blogueurs se retrouvent à Paris face au public (et à 6 experts), sans peur de la critique et sans reproche?
Si vous avez visionné les petits clips de Pascal, vous avez pu sentir la pression monter au fur et à mesure que se rapprochait l’évènement.
Moi je l’ai senti quand il a insinué que notre blog allait peut-être se voir démonter par des experts. Souvenez-vous « Seront-ils décortiqués, passés sur le grill, vont-il vivre le pire? ». Adeptes de la peur du jugement, s’abstenir…
C’était juste une ficelle efficace de pascal pour faire monter l’adrénaline mais, dans un petit coin de mon psychisme, j’ai entendu la ritournelle des Télétubbies chanter Eh-oh.
Cet article participe à l’évènement inter-blogueur organisé par Nicole Devosse en hommage à Pascal Colombani animateur, présentateur et organisateur du Booster-Gala.
En général, je suis bien équipée avec mes armes secrètes comme la méthode Tipi qui traite à peu près toutes les peurs mais une émission face à des experts, c’était la grande inconnue .
J’ai cependant cherché en moi ce qui pouvait être activé.
Peur de parler en public
Peur du regard des autres
Peur de rougir
C’est venu plus tard dans la nuit…la peur de la critique et la peur du jugement. Cela fait longtemps que je suis sur le dossier donc il a bien avancé mais honnêtement je ne savais pas ce que j’allais ressentir sur place.
Comment reconnaît-on qu’on a peur de la critique et du jugement?
La peur de la critique se manifeste, en général, par une réaction totalement disproportionnée face à une situation vécue comme menaçante. La peur, qui est alors un système d’alarme et de défense, s’active sans justification.
La biologie prend les commandes en produisant de l’adrénaline pour vous faire fuir ou des endorphines afin de vous neutraliser et vous faire oublier le stress.
Le court-circuit que cela provoque peut vous laisser hébété, dans un « blanc » où plus rien ne se passe et où vous ne comprenez plus rien à rien, comme si vous entendiez du mandarin.
Vous avez changé de cerveau, inutile de chercher un moyen de sauver la situation, vous n’êtes plus maître à bord.
Vous pouvez cliquer sur l’image pour voir la vidéo en question (4ème émission)
Concrètement, comment vous comportez-vous lorsque vous avez peur de la critique et du jugement?
Il existe de multiples façons de le manifester, je vous en livre quelques une dont les miennes bien entendu, enfin dans le passé.
- Vous restez silencieux dans les groupes même si vous avez quelque chose d’intéressant à dire.
- Lorsqu’il y a désaccord, vous cherchez à être gentil et arrangeant.
- Vous souriez lorsqu’on vous agresse verbalement, en fait, vous n’entendez pas l’agression.
- Vous avez peur de blesser quelqu’un en agissant ou en disant ce que vous pensez.
- Vous êtes terrorisé rien qu’à l’idée qu’on puisse parler de vous dans votre dos.
- Vous n’aimez pas qu’on vous observe en train d’agir, manger, bouger votre corps, téléphoner.
- Vous ne supportez pas votre image en vidéo.
- Vous craignez qu’on démasque vos défauts et faiblesses.
- Vous êtes mortifié à l’idée d’être pris en défaut.
- Vous hésitez à prendre le téléphone pour obtenir un renseignement.
- Vous n’aimez pas demander votre chemin et vous exposer à un inconnu.
- Vous redoutez d’avoir à faire une critique à quelqu’un, le rejeter, le renvoyer.
- La confrontation est quasi impossible.
- Vous ne pouvez pas dire non.
- Vous abhorrez le marchandage ou faire le marchand de tapis.
- Vous avez peur de sentir mauvais ou de transpirer.
- Vous n’êtes pas à l’aise face à une personne que vous savez plus qualifiée que vous.
- Vous êtes terrifié à l’idée de gérer un client mécontent.
- Vous avez peur que les autres s’ennuient en vous écoutant.
- Vous redoutez d’être questionné sur un sujet que vous connaissez mal .
- Vous ne faites pas la différence entre une opinion et un jugement.
- Vous ne savez pas ce qu’est une critique constructive, pour vous c’est une attaque personnelle déguisée.
- Les défis ne sont jamais des jeux mais des prises de risque.
- Vous vous sentez mal même si vous simulez un conflit dans un jeu de rôle.
- Vous êtes persuadé qu’on pense du mal de vous.
Je suis d’accord avec vous, la liste est longue et je pourrais continuer à l’allonger tellement je la connais. On ne se lance pas par hasard très jeune dans le développement personnel et le métier de psy!
Bon, il est possible que vous ne vous reconnaissiez pas du tout dans ces peurs mais sachez qu’une chose et son contraire peuvent co-exister..
Si, par exemple, vous vous connaissez dans le désir de la confrontation et le plaisir de la critique, vous pourriez être dans un faux self et malgré tout, avoir au fond de vous, la peur de la critique et du jugement.
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La peur de la critique au niveau du cerveau?
La réponse de votre corps vous est peut-être personnelle mais le circuit neurologique activé est universel. Lorsque votre biologie active la peur sans raison, c’est que votre cerveau a repéré un danger connu.
L’amygdale cérébelleuse évalue l’importance émotionnelle de la situation en question afin de déterminer par quel circuit va passer la réponse.
Elle fait des associations avec des situations passées connues et si elle perçoit un danger, elle court-circuite le cortex qui raisonne.
Vous l’aurez deviné si vous lisez mon blog depuis quelques articles, ce passé dont je parle est le passé de votre enfance.
C’est toujours très bluffant de se croire adulte et d’avoir temporairement une conscience d’enfant qui émerge dans ce genre de situations.
Vous êtes censé être tous passés par l’adolescence où vous avez du affirmer votre identité, vos goûts personnels et votre autonomie affective (même relative).
Bercés par l’amour inconditionnel et la bienveillance de l’éducation, vous auriez du pouvoir dissocier qui vous étiez (des êtres dignes d’amour) de ce que vous faisiez (des actions maladroites d’enfant en devenir).
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Conscience d’enfant ,peur de la critique et du jugement
Si ça n’a pas été le cas, vous continuez à faire la confusion entre votre «faire» (vos actions) et votre « être »(qui vous êtes), c’est la toute la base de la peur du jugement.
C’est pourquoi, si quelqu’un vous dit que ce que vous faites n’est pas correct, vous vous sentez jugés comme si votre existence même était remise en question.
Trop d’attentes de la part d’éducateurs et parents sans compensation affective ni amour gratuit obligent un enfant à croire qu’il ne peut être aimé que pour ses performances. Paraître et réussir remplacent l’amour.
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Un compliment a été une denrée trop rare distribuée à dose homéopathique pour que vous ne vous reposiez pas sur vos acquis.(dans les bonnes intentions des parents, vous savez celles qui pavent l’enfer!)
Cela ne signifie pas que vous ayez été élevé de cette façon, c’est comment vous avez interprété votre éducation. Votre peur vous révèle comment vous l’avez vécue.
Certains parents sur-protecteurs au contraire apprennent à leurs enfants à se méfier des autres, assimilés comme dangereux.
Il est normal qu’un enfant cherche l’approbation, il n’a pas de jugement personnel, il utilise les normes familiales pour se construire.
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Si, par contre, en tant qu’adulte, vous vous surprenez à rechercher l’approbation, alors vous êtes encore dans votre conscience d’enfant.
Un enfant répond à un désir de cohérence, il ne peut pas toujours se permettre, lorsqu’il est dépendant des adultes, de vouloir être lui-même au mépris de l’opinion parentale. C’est toute l’affection dont il a besoin qui est en jeu.
Dévalo, mauvaise image et peur de la critique
Il est un âge où un enfant ne peut pas concevoir de ne pas être aimé de ses parents.
Il n’est d’ailleurs pas dit que les parents n’aiment pas leur enfant mais parents et enfants n’ont pas les mêmes critères pour jauger l’amour.
Un parent qui travaille beaucoup pour offrir à son enfant ce que celui-ci désire pense qu’il est aimant. Un parent qui met la barre haut pour que son enfant ait un bon métier pense aussi qu’aimer c’est s’intéresser à son avenir.
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Un enfant se sent aimé si :
- on le touche
- on l’embrasse
- on le caresse
- on joue avec lui
- on est présent à lui
- on respecte ses besoins au moment où lui en a besoin
- on lui apprend avec bienveillance et patience
- on entend ses souffrances
- on le regarde
- on respecte son besoin d’intégration et d’intimité
- on se souvient qu’il n’a pas la mémoire construite et qu’il faut répéter les consignes sans hurler
- on utilise la douceur plutôt que la brutalité
Bref, un enfant (en bas âge) se fout de son avenir et du prix de ses jouets, il veut un lien privilégié où il se sent exister. Il cherche de la présence qui nourrit et réconforte.
Deux visions difficilement conciliables ! Lorsqu’il ne se sent pas aimé, ne pouvant concevoir que le problème vient de ses parents, il cherche un coupable.
Il en a un tout trouvé c’est lui : il n’est pas aimé parce qu’il ne fait pas ce qu’il faut, il n’est pas adéquat, pas assez ci et trop ça.
Malheureusement pour lui, cette prise de conscience est un véritable soulagement : enfin il sait quoi faire pour se faire aimer, c’est à dire, répondre au besoin de ses parents.
Puisque exister ne suffit pas pour se faire aimer alors il faut changer, s’améliorer, produire, gagner et faire ce qu’il faut.
D’être, il est passé à faire. les bonnes notes vont remplacer l’affection. C’est fini pour lui jusqu’à la rencontre avec son premier thérapeute ! Bon, j’aime bien exagérer. Il a mis un pied dans l’engrenage de la belle image.
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La critique en question, cliquez sur l’image pour voir la vidéo (émission 4)
Restait-il de la peur de la critique pour moi à Paris?
Pour en revenir à ce samedi du Booster-Gala. Il m’a été dit pas mal de choses.
Des critiques constructives sur la technique visuelle du blog à améliorer. Maintenant que je sais demander de l’aide, je n’ai pas eu besoin d’avoir peur de ne pas savoir m’y prendre.
Je sentais beaucoup de professionnalisme et de bienveillance en général de la part des experts.
Je les ai vu se mêler joyeusement à la foule des blogueurs pour dispenser avec beaucoup de générosité des conseils inestimables.
Je pense avoir su même dissocier les indications pour rendre mon blog plus «pro» de la polémique sur le choix des couleurs ou la légitimité des thérapeutes.
En d’autres termes, j’ai pu assister en tant qu’adulte à l’épluchage de mon blog sans avoir été envahie par ma conscience d’enfant qui parfois rode.
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Loi d’attraction et peur de la critique
Il y a deux axes dans la peur de la critique :
- Le fait d’attirer à soi des gens qui nous jugent vraiment comme lorsque nous étions enfant.
- Le fait d’entendre de façon très subjective des jugements et des critiques alors qu’ il n’y a que des opinions personnelles avancées.
J’ai parlé de la loi d’attraction pendant la présentation de mon blog, en termes de vibration.
Vous attirez à vous des gens de même nature vibratoire. Si vous vibrez encore de votre conscience d’enfant qui a subi des reproches, vous allez continuer à attirer des personnes qui vous en font aussi.
Ceci, tant et aussi longtemps que votre mémoire cellulaire sera active et votre blessure non consciente, béante.
Loi d’attraction et auto-jugement
Peut-être tenez-vous souvent à votre égard un discours très critique. C’est une défense bien entendu qui révèle que vous ne vous sentez pas adéquats.
Vous l’avez vu plus haut, tant que vous n’êtes pas parfait, c’est vous le problème et le responsable du non-amour dans votre vie, c’est du moins ce que votre conscience d’enfant vous souffle.
Au niveau de la qualité vibratoire que vous entretenez avec vous-même, c’est encore beaucoup de jugement. Pas étonnant que vous attiriez à vous des individus qui vous jugent.
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Pour vaincre la peur de la critique, transformez-vous en observateur.
Quand j’étais jeune…j’avais peur de danser. Être vue en mouvement générait un malaise sans nom que je prenais pour la peur du ridicule.
En fait, j’avais peur de la critique et une peur mortelle de la moquerie. Je n’osais pas danser mais je me jugeais sans douceur sur le fait que je ne savais pas jouer à deux en dansant.
Je croyais que c’était là la clé de la séduction et j’étais paralysée puisque je ne pouvais pas. J’étais déjà engagée dans un travail intérieur, ce qui m’a permis d’aller chercher en moi l‘observateur, un basique en sophrologie.
Un discours entre ma Conscience d’Enfant et mon Observateur s’est alors engagé :
CE : j’en ai marre d’être nulle et de ne pas savoir danser à 2
O: Oui mais tu sais danser seule
CE : je n’arrive pas à m’amuser à 2, c’est plus important de savoir danser à 2
O: observe ceux qui dansent à 2
CE : ils ne dansent jamais seuls.
O: t’es t-il venu à l’idée qu’ils étaient coincés comme toi à l’idée de danser seuls ? Il leur faut toujours une bouée humaine sur laquelle s’accrocher.
Vous avez la même blessure mais elle se manifeste de façon opposée.
A ton avis, pourquoi ne peux-tu pas danser à 2 ?
CE : Parce qu’on ne m’a pas appris. Parce que j’étais terriblement seule.
O: c’est l’émotion de ta solitude d’enfant qui te submerge au moment de danser à 2 !
Ceux que tu vois s’accrocher aux autres pour danser, cherchent ainsi à nier la solitude qui les habite. S’ils dansaient seuls, ils la sentiraient.
Depuis ce jour, inutile de vous dire que l’observateur et la technique Tipi ont eu raison de pas mal de mes peurs de la critique et du jugement.
Et vous, connaissez-vous cette peur de la critique? En êtes-vous sorti? Avez-vous d’autres peurs récalcitrantes? Laissez un commentaire!

Super article,
ça sent le vécu ! Pour l’instant je n’ai vu que la 1ère vidéo de Booster-Gala mais tu avais l’air à l’aise !
En attendant, j’espère que n’as pas eu trop chaud sur le grill 🙂
A très vite,
Brice
Tu as du lire mon article quand il était encore en chantier,
j’ai fait une fausse manip en le publiant trop tôt!
Oui, j’étais totalement dégagée de la peur du jugement
quand je suis passée à Booster-Gala. tant mieux si ça
se voit!
Bonjour Hannah,
Je ne sais pas si tu avais peur du jugement des experts mais tu avais l’air vraiment à l’aise mais j’ai un avantage par rapport à toi c’est que je n’étais pas en face d’eux pour les critiques/jugements bienveillants ou pas je ne sais pas puisque la vidéo n’est pas encore sortie donc ma position est plus confortable que la tienne
Depuis quelques jours je me dis: qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir dire ces experts, probablement la même chose qu’aux autres et tant mieux car ça fait bigrement progresser apparemment tous ceux qui sont passés sur le grill
Quant à la peur d’être critiquée, il y a quelque années que j’ai (presque) réussi à m’en débarrasser mais j’avoue que le combat a été rude et parfois il y a une petite « pointe » de revenez-y et que je m’attrape presque en train d’être vexée, je dis presque et rarement mais comme autrefois sur les cahiers: sylviane peut mieux faire
bravo en tous les cas pour ton authenticité
Bonsoir Sylviane,
Je me suis aperçue que j’étais au clair avec cette peur là
et c’est dans le « move » que j’ai vu que c’était réglé.
je n’ai pas encore vu toutes les prestations, j’attends
aussi la tienne et les critiques (constructives)
qui vont avec!
Bonsoir Hannah,
Oui j’ai connue aussi ces peurs qui brouille le cerveau et occulte toutes possibilités de s’exprimer clairement.
j’ai retenu cette phrase dans ton article :
« Bercés par l’amour inconditionnel et la bienveillance de l’éducation, vous auriez du pouvoir dissocier qui vous étiez (des êtres dignes d’amour) de ce que vous faisiez (des actions maladroites d’enfant en devenir). »
En fait l’éducation n’est vraiment pas faite pour obtenir ce résultat. En tout cas pour moi, la prise de conscience de séparer ce que je fais, de ce que je suis, de mon intégrité en tant que fille, femme, et humaine a nécessité beaucoup de réflexion et de travail.
Pour en revenir à Booster Gala, au fil des vidéos en tant que spectatrice, j’ai ressenti beaucoup de bienveillance et de sympathie de la part des experts.
C’est très instructif au niveau des critiques pour tous les blogueurs, d’ailleurs.
Enfin Pascal est vraiment un excellent présentateur qui a également beaucoup de bienveillance et d’empathie et qui a su mettre chaque blogueur jusqu’à maintenant en valeur.
Bien amicalement,
Christine
Bonsoir Christine,
Tu as raison de souligner ma phrase sur l’amour inconditionnel,
c’était bien sur un peu cynique, je ne suis pas certaine d’avoir
rencontré quelqu’un qui ait vécu cela, à part dans les films!
Bonsoir Hannah,
Vous avez fait vraiment une très belle prestation à Booster Gala, j’ai aimé votre prestance, votre assurance……et vos paroles…..Je ne suis pas une experte mais je ne suis pas trop d’accord avec eux en tout cas pour ce qui concerne les couleurs de votre blog. Moi en tant que particulière la 1ère chose qui m’a attiré sur votre blog et m’a donné envie d’approfondir le contenu……..ce sont les couleurs !!!!!!! Voilà en tout cas j’aime beaucoup vos articles !!!!! Quant à cet article….mon dieu je me suis retrouvée dans beaucoup de points sur votre liste….il me reste vraiment un long chemin à parcourir je crois…mais par quoi commencer ????
Je vous souhaite une bonne soirée et de merveilleux moments à Koh Samui…..
Cordialement
Merci Corinne,
Pour ce qui est des critiques sur les couleurs, je vais
en prendre et en laisser. Les hommes n’aiment pas quand c’est trop
bariolé, les femmes sont plus sensibles à la couleur.
Moi aussi j’avais quelques points sur la liste, c’est pour
cela que je la connais bien!;
J’ai la preuve intérieure que le travail sur soi modifie le
comoprtement et surtout la joie de vivre!
Bonsoir Hannah,
J’ose enfin poster un commentaire si simpliste soit-il, bien que ne disposant pas de blog.
Cette analyse tombe « à pic » sous mes yeux et dans mon coeur d’enfant, blessé depuis si longtemps (je suis un vieux maintenant!) et toujours en quête de »soins »! Attraction?
Probablement.
Merci de m’avoir permis d’oser, et sûrement d’avancer en « Forme et santé idéale »! Comme l’a dit Brice à sa façon, le vécu aiguise la compétence. J’ajouterais volontiers, que ta générosité embellit ton âme.
Je reviendrai.
Gilles
Merci Gilles pour cette première.
Beaucoup se reconnaîtront dans la notion
de coeur brisé (ou blessé d’enfant).
On ne refait pas le passé donc on ne peut
pas dire qu’on en guérit totalement. Par contre,
on apprend à s’en désidentifier et à le laisser
vivre sans qu’il nous obscurcisse la vie.
Bravo Gilles,
un bon pas en avant,
et avec de jolies paroles qui ont quelque chose de vrai à exprimer.
Tu es en un bel endroit, Hannah sent toujours les fragilités intérieures, ce n’est jamais facile à accepter, mais comme cela fait du bien.
Bon courage.
Merci Patrick pour tes encouragements,
Et me voilà déjà revenu pour témoigner du pouvoir des mots:
je me suis consciemment « désidentifié » de cet enfant aujourd’hui en m’en distanciant, en me positionnant en « observateur » de moi-même en différentes situations où je serais envahi des symptomes qu’a décrit Hannah. Résultats: Miracle!
J’ai longtemps cherché les formules qui réveillent l’estime puis la confiance en soi…Et il n’a fallu qu’un mot juste, pourtant bien simple.
Tu a raison, je suis en un bel endroit, d’autant plus beau qu’on ne re-connait que ce que l’on connait déjà (peut-être très profondément, pourquoi pas inconsciemment), et tu m’en donne la preuve!
Merci encore Patrick, et merci à Hannah.
A bientôt,
Gilles
C’est l’observateur en effet qui permet
de laisser cet enfant être sans le retenir
et sans se battre avec.
Bonjour Hannah,
« La peur de la critique et la peur du jugement » n’est-ce pas aussi la peur du regard des autres? Se savoir être sous le regard de l’autre quand on manque de confiance en soi représente une épreuve parfois insurmontable.
Grâce à un travail sur soi il est possible de se dégager de cette peur de la critique ou celle du jugement.
Cependant quand une personne a eu un parcours difficile et que cette personne à su surmonter cette peur et que de nouveau arrive une situation difficile à surmonter, ce qui la replonge dans cette peur car fragilisée, alors de nouveau un travail de reconstruction sera a effectuer.
Oser être soi et ainsi affirmer sa personnalité en ayant confiance en ses capacités fait oublier ses peurs.
J’ai connu la peur de la critique mais quand j’étais dans une situation ou je voulais aboutir comme par enchantement les peurs se sont envolées car je ne me surveillais plus.
J’ai aussi connu des périodes de doutes, de peurs et ayant repris confiance en moi, de nouveau les peurs sont revenues après des coups durs. Les peurs acquises durant l’enfance sont comme une emprunte, elle font partie de nous. Apprendre à les gérer est tout un art. C’et la connaissance de soi.
Excellent article Hannah.
Pas encore vu la suite des vidéos Booster Gala…Mais c’est prévu dans mon emploi du temps.
Au plaisir de vous lire,
Hélène HUG
PS: mon blog est très jeune pas encore bien réglé, mon autre blog « reussitepossible.com » est dans les tréfonds pour cause de gros bug, revenir plus tard
Bonsoir Hélène,
Oui, les mémoires cellulaires sont tenaces et peuvent
être réveillées suite à de gros stress.
Heureusement que les techniques quantiques arrivent
à en venir à bout sinon c’est décourageant!
Merci Hannah pour cet excellent article qui tombe vraiment à pic. j’ai été confrontée il y a 7 jours à une critique de parent d’élève. Elle m’a complètement abattue psychiquement pendant une semaine. Le surlendemain de surcroît, je somatisais déjà avec des symptômes tels que mal de gorge et rhume naissant ainsi qu’une hausse de température. Etant donné que je travaille actuellement intérieurement sur le thème des fausses croyances, je ne m’étonne pas d’avoir attirée cette interaction. Je suis venue à bout de cette dépression et de la maladie en menant, comme tu le décris dans ton article, un dialogue intérieur entre ma conscience d’enfant et l’observateur en moi.
Après coup (c’en a vraiment été un), j’apprécie d’avoir eu l’opportunité de sentir mes peurs, de les identifier puis de nettoyer les mémoires qui les engendraient..
A très bientôt!
Bonsoir Katia,
Ce mois de mars est champion pour réveiller les dossiers
qui n’ont pas encore été clôtures!
Je me doutais bien que je n’étais pas la seule à
travailler sur le dossier de la peur des jugements!
Bonjour Hannah, j’ai toujours vécu avec une voix intérieure extrêmement sévère qui jugeait ce que je faisais et ce que faisaient les autres et du coup tout est compliqué.
Ca fait un moment que je travaille sur ce problème là pour arriver à être en paix avec moi-même.
J’agis comme je pense devoir agir, ensuite chacun a le droit de penser comme il veut.
Une lecture qui m’a beaucoup aidé sur ce point là a été les accords toltèques.
zenie
Bonsoir Zénie,
En l’occurrence:
« Ne présumer de rien »
Si on cesse de se demander ce que les autres
pensent de nous et si on arrête de croire
qu’ils pensent du mal, la paix devrait
revenir.
Quand à la parole impeccable, si on cesse
de se juger, il y a de grandes chances pour
que les autres aussi cessent de nous juger!
Bonjour Hannah,
La peur du jugement est une peur incontrôlable. Mais il faut savoir relativiser.
Toutefois depuis des siècles l’église nous menace du jugement dernier.
Cette peur a sans doute ses origines dans ces discours entendus et qui vous paralysent lorsque vous y croyez.
N’est-ce pas le but recherché?
Après tout, il est préférable d’avoir des personnes qui vivent dans la crainte. Il est bien plus facile de leur faire avaler toutes les couleuvres possibles.
Mais là, à Booster-Gala, ce n’était pas un jugement. Ce n’était pas un tribunal. C’était juste une assemblée d’experts prêts à nous aider pour aller plus loin.
J’ai été ravie de pouvoir recevoir leurs conseils et je n’ai pas eu de crainte particulière.
Mais chacun est très différent.
Je te souhaite la meilleure journée.
Danièle
Bonsoir Danièle,
Oui le Booster-Gala était plutôt bon-enfant, dans
l’entraide et la bienveillance.
En fait c’était une journée plutôt agréable, pleine
de rencontres et de surprises.
Bonjour Danièle 🙂
A propos du jugement dernier , je voudrais moi ,te parler du jugement premier , tu sais celui où t’as pas encore le cordon de coupé que tu entends déjà : « – c’est tout sa mère » ou « -c’est tout son père » 🙂 , elle a les pieds de la tante Charlotte , le sourire de l’oncle Henri etc…etc..et puis toute notre éducation n’est qu’un chapelet de jugements et de tabous , une panoplie de déguisements , de forces et de mécanismes qui sont les mêmes depuis l’enfance et qu’on traîne sans qu’on les voit . Heureusement que le développement personnel existe ! 🙂 Mais avant d’apprendre à se connaître , on laisse traîner le jugement et l’auto jugement comme une normalité parce qu’on est dans le mécanisme sourd de l’enfance . Ne juge et ne se juge que celui qui a été jugé . Alors qui juge quand on juge ?
C’est donc un bon exercice d’oser s’exposer (comme toi et d’autres l’ont fait ) à la critique 🙂 et comme tu le dis , ça n’était pas un tribunal , loin s’en faut , mais plutôt une aide à l’amélioration , c’était un peu comme venir faire corriger une dissert , et chacun tire parti de sa correction .
Quant au jugement dernier dont tu parles , la traduction qui en a été faite est un contre sens , il s’agit de « restitution » et de rendre à chacun selon ses oeuvres 🙂
Bon , je te souhaite beaucoup de sous avec booster gala 🙂 .
C’est toujours intéressant d’avoir les traductions littérales
de l’hébreu. Heureusement que les orthodoxes sont là
pour nous remettre les pendules à l’heure.
Selon loi, nous sommes déjà dans l’énergie du jugement dernier:
chacun récupère ses billes au lieu de croire que les choses
lui arrivent par hasard.
Disons que tout est concept . « Récupérer ses billes » comme tu dis , serait le dharma du christianisme 🙂 et que tes actions durant cette existence seront ta clef de passage pour les étapes après la mort . La conséquence inéluctable de la bonne ou mauvaise conduite , c’est après ( dans le christianisme ) .Alors que dans le boudhisme , ça se passe avant l’incarnation ( avec le karma) c’est ça ? Mais pour moi , ça reste un concept et j’ai fait le choix du christianisme . Ne reste que mon interrogation au fait que le Bouddha , après avoir connu l’Eveil , affranchi du karma , aie connu la maladie et a enduré des souffrances .
Bon , je vais pas trop m’embarquer là dedans 🙂
Pour le bouddhisme, ça se passe pendant l’incarnation!
L’enfer c’est aussi maintenant. Ils ont des catégories comme
les enfers glacés, les demi-dieux qui sont aussi symboliquement
des façons de vivre l’incarnation.
Tu es le fruit de ce que tu as pensé et de la façon dont tu as agi hier.
C’est aussi cela le karma.
savais-tu aussi que le bouddha avait tué quelqu’un ?
De que l Bouddha tu parles Hannah ? de Milarepa ?
Coucou Hannah,
Cet article me parle de toute ma vie d’avant ! Ce n’est pas pour rien que j’ai fait plus de 25 ans de danse et 15 ans de spectacle non stop ! La représentation, le regard de l’autre, le jugement de la performance, suis-je belle ? Vais-je être aimée pour ce que je FAIS et non pas pour ce que je SUIS ?! Tout un programme… de vie… presque toute une vie, enfin non ! une petite moitié ! Heureusement que notre âme sait ce qu’elle a à faire et qu’elle nous emmène là où nous devons aller pour savoir et retrouver qui l’on est vraiment ! Et quelle nous permet de rencontrer les gens qu’il faut pour nous faire avancer et évoluer et du coup avoir une autre vision…
C’est ce qui m’a amenée à devenir ce que je suis, mais qu’en fait j’ai toujours été, quelqu’un qui aide et accompagne les autres après s’être accompagnée soi-même !
C’est génial !
Je vous embrasse toi et Alain.
Merci Laure,
Je connais bien cet univers de la représentation même
si pour moi c’était le sport au niveau national.
Ce n’est pas cela qui rend heureux!
Tu as raison, heureusement que la vie nous fait
quitter petit à petit le monde de l’image, la bonne
pour trouver celle de l’authenticité.
C’est de moi que tu parles !!?? Si si , Bon j’arrive .. Biz
Oui Sabrina, de toi et de pas mal d’autres finalement!
Bonjour Hannah
Merci pour ce bel ouvrage où je me reconnais.
Il m’arrive encore à avoir des mauvaises pensées sur moi, je me corrige
là où je freine c’est de ne pas avancer dans mon projet.
très heureuse d’avoir pu écouter votre passage et je vous félicite dans votre prestation et de tout le travail accompli pour en arriver là
mon sdouhait l’année prochaine est d’essayer de passer au gril afin d’arriver à créer un blog attractif et développer mon activité
merci pour tout ce que vous m’apportez
cordialement
patricia
Bonjour Patricia,
C’est un beau projet, je suis la preuve vivante que c’est
possible, je ne savais même pas ce qu’était un blog il y
a un peu plus d’un an et je n’ai aucune compétence en
informatique!
Bonne chance dans votre avancée.
Bonjour Hannah,
La peur de la critique vient souvent de croyances identitaires. La personne pense certaines choses négatives sur elle, et est persuadée qu’autrui pensera de même. Même s’il peut y avoir un oeil critique extérieur, la personne fait la confusion entre, par exemple, son action, et son identité : elle pense qu’on la critique elle alors qu’on ne critique que son action. Du coup, à chaque fois qu’elle est observée en train ou même avant d’agir, elle a peur.
Quant à moi, du fait que je suis parfait, je ne peux pas avoir peur de la critique. 😉
Jean, je suis rassurée, d’avoir dans ma liste de
commentateurs un être parfait 😉
Lorsque la construction du moi est défaillante, le
chemin est long pour dissocier l’identité et l’action.
Bonjour Jean ,
Immense merci , je me sentais très seul à etre parfait 😉
Arnaud
Jean , pour toute critique , je voulais te dire que j’ai apprécié ta prestation sur bosster ! 🙂
ça , c’est de la critique qu’on aime bien entendre!
eh bien , comme dirait le poète…:) l’art reste difficile . Et la critique appréciative est beaucoup plus aisée sans doute que la critique dépréciative , surtout quand celle ci a un défaut de bienveillance . Mais comme tu l’as souligné Hannah , oser s’exposer à toutes critiques , j’y vois bien le résultat d’un conséquent travail sur soi , à retirer toutes ces pelures d’oignon , pour aller trouver la confiance en soi . Et c’est visible sur toi , et même à travers un écran. Cette énergie , dans ta présence , en ce qui me concerne , se ressent .
J’ai bien apprécié aussi l’énergie du jeune Guillaume 🙂
C’est un jeune homme plein d’avenir et qui a la particularité
de ne pas penser dans le moule habituel!
Bonjour Hannah,
Cela se voyait que tu as beaucoup travaillé sur la confiance en toi et c’est en toute confiance que je m’en remettrais à toi si j’avais un problème à traiter!
Je me suis privée toute ma jeunesse d’aller danser car je rougissais, heureusement qu’avec le dévelopement personnel, j’ai laissé tomber ces barrières! A moi de surmonter les raideurs de maintenant! Nicole
Bonsoir Nicole,
Je me sens moins seule avec les commentaires,
je m’aperçois que c’est une peur assez répandue!
Bonsoir Hannah,
Moins seule avec les commentaires? Tiens voici une expression qui me parle! Et oui cette peur de ne point être lue…!!! Voici là l’expression d’un besoin de reconnaissance il me semble! Nous vivons tous sous le regard de l’autre et avons besoin de l’approbation de tout un chacun, c’est humain, normal…rien d’anormal jusque là.
La suite? A vous de l’écrire….Je suis une fainéante alors j’attend vos réactions à ma place…
Hélène
Je ne cherchais pas à dire de façon générale que je me sentais moins seule,
cela a un rapport direct avec l’article et la critique, pas la solitude, c’est juste
une expression. C’est comme si les commentaires me prouvaient que je ne
suis pas toute seule à avoir traversé les affres de la peur de la critique.
Bah oui Hélène , ça c’est le propre du virtuel 🙂 c’est bien celui qui lit le message ,qui lui donne un sens avec ce qu’il porte . On en est tous là 🙂 . Du coup , moi aussi avec tous ces commentaires je constate qu’on est nombreux à avoir été confrontés à la peur de la critique .
Bravo Hannah, tu les a tous épatés, et moi aussi, je t’ai trouvé en maîtrise de la situation tout en faisant sentir les subtilités des vibrations humaines.
Les experts, oui, c’est comme tout le monde, ils peuvent encore changer d’avis au fur et à mesure de leurs apprentissages. Il faut prendre ce qui nous (te) convient. On est plus en situation de tout avaler, on a le droit de contester, non.
La peur du jugement, c’est l’épée de Damoclès qui pourrait nous tomber sur la tête ! Pas facile de s’en défaire définitivement. Il faut bien faire avec, de notre mieux, en amoindrissant notre consommation d’énergie.
Encore bravo, je voulais te le dire.
Merci Patrick pour tes encouragements.
Heureusement que la peur du jugement
avait été bien travaillée ces dernières
années!
Merci Sofia,
Vous avez raison, j’étais tout à fait en état d’écouter
des critiques constructives, surtout que les experts
étaient volontaires pour dispenser leurs conseils.
Salut Hannah,
Comme beaucoup de monde, j’ai des peurs d’être critiqué, cela arrive de temps en temps selon les circonstances. C’est malgré tout beaucoup moins fort qu’avant.
J’apprécie ton analyse précise sur le lien entre nos peurs et l’enfance, je m’y retrouve et cela me semble très juste.
De mon observation, les peurs passent avec le temps, le cerveau ré-évalue les situations et recâble nos réseaux neuronaux. Tout change donc profitons-en ! Je reste intrigué par la méthode TIPI que je retrouve souvent sur ma route. C’est intéressant tout cela, il y a sans doute des choses à découvrir de ce côté-ci !
A+
Bonsoir Jonathan,
Heureusement certains aspects de notre mal-être se modifient d’eux-mêmes.
Par contre lorsque nous sommes vraiment identifiés, il n’y a que le travail
intérieur qui en vienne à bout!
Au niveau de la nation d’identification, les techniques quantiques sont
assez proches du bouddhisme l’air de rien!
ça , pour sûr qu’il faut avoir travaillé la peur du jugement et la confiance en soi , pour OSER s’exposer , et dans un blog et dans une émission télé 🙂 .Cette émission a eu le mérite d’avoir des conseils pour permettre à des blogueurs de rentabiliser leur blog et c’est toujours bon à prendre pour ceux qui sont intéressés . Après , le reste , les jugements ou les critiques , ne sont que la propriété de leurs émetteurs .
Personnellement , j’aurais eu le trac , suis pas encore prête , et en plus j’ai pas de blog ,lol 🙂 je préfère me mettre au coin de la rue avec ma guitare 🙂 .
Encore un merci pour cette belle honnêteté de ta part Hannah avec cet article où je rejoins ton analyse .
Et pour être tout à fait honnête avec moi même , je dirai que je n’aime pas être observée . C’est donc pas demain la veille que je vais prendre le risque de m’exposer …des fois que j’enlève la protection , histoire de sentir la blessure 🙂 .
Je profite que j’ai pas de poulet dans l’four , pour prendre la temps d’aller faire une petite réponse à Danielle 🙂
Se mettre dans la rue pour jouer et chanter le sir de la fête de la
musique, c’est quand même s’exposer!
Vu de l’extérieur , peut-être , mais dans l’énergie non . C’est juste faire ce que j’aime , chanter , et me faire plaisir à le faire , en lien avec moi même , seule à la maison , ou face à d’autres .
C’est ce qui transparaît chez toi Hannah . Ce qui est visible ( à mes yeux 🙂 ) c’est ton plaisir et l’amour de ce que tu fais 🙂 , Je suppose ne pas être la seule à l’avoir perçu . Et à en lire les commentaires de cet article , je me rends compte que je ne suis pas la seule ! 🙂 Critique appréciative XXX 🙂
Bon, quand est ce que tu deviens chanteuse?
Peur de la critique ?
Jamais !
1) si une critique est constructive… welcome à 100 % .
2) si elle est sans substance ou révèle une quelconque animosité, direction… le panier.
Créer, innover, bref, « faire des choses » expose forcément à la critique.
D’où les deux règles ci-dessus 🙂
Bonjour jean-Luc, comme le dit Claude Cléret (un des experts)
il y aura toujours 10 % de la population qui va te détester quoi
que tu fasses!
Bonjour Hannah,
Te dire, que ta prestation sur booster gala m’a impressionnée. ta voix, bien posée est rassurante. Tu invites à l’échange.
être jugée , ‘est une situation désagréable, avec le temps, cela s’estompe. Heureusement danser, j’adore et j’ai commencé tres tres jeune et j’espère bien continuer jusqu’à 125 ans:)
Amicalement
Charlotte
Je ne sais pas si j’aurais assuré quand j’avais 20 ans.
Je l’ai fait d’ailleurs j’ai postulé pour faire partie d’une émission
et j’étais largement moins à l’aise. Donc les choses évoluent.
pour moi, c’est grâce au travail intérieur.
Bonjour Hannah,
La peur de la critique vient-elle de la peur d’être différent du groupe ? Un sentiment ancien ou faire parti d’un groupe était indispensable à la survie ?
Surmonté sa peur donne un puissant sentiment de liberté. Il faut du courage car comme on dit : Le courage c’est quoi… c’est juste quelques secondes avant la peur 🙂
Pour le vivre je vous recommande un petit saut à l’élastique.
Paul
Bonjour Paul, il est possible que des peurs archaïques remontent,
après tout, tu as raison, elles sont inscrites dans notre corps.
Je crois cependant qu’il n’est pas nécessaire de remonter à la survie de la
préhistoire pour avoir peur de la critique. Avoir eu un parent
vous juge et qui n’a pas la patience élevé par des parents ou des
éducateurs qui veulent la performance sans créer des conditions
aimantes pour leur enfant a le même résultat.
La blessure qui se cache au fond n’est pas la peur mais la solitude et le
manque de lien.
Je ne suis pas persuadée qu’un saut à l’élastique puisse venir
à bout de la solitude d’un enfant.
Par contre cela peur être salutaire pour un enfant qui aurait été trop couvé
par ses parents.
Pour savoir choisir l’exercice approprié qui permet de se
libérer, il est bon de savoir réellement de quoi on souffre à l’intérieur.
Bonjour Hannah,
J’ai bien sûr regardé avec grand plaisir l’émission sur Booster-Gala et je vois que tu rebondit avec beaucoup d’à propos avec set article sur la peur de la critique.
Bien sûr que je me reconnais dans tes listes : peur de mal faire, de décevoir autrui, … se sentir touché dans son être face à une critique anodine sur ce que l’on a pu faire …
Tes explications, comme d’habitude, permettent d’ouvrir des horizons, des pistes pour avancer 🙂
Et encore bravo pour l’émission!
A bientôt
Jean-Yves
Merci jean-Yves, bienvenue au club.
Heureusement que le travail intérieur
permet de venir à bout de quelques
peurs sur la liste!
Bonjour Hannah
Peu de gens sont capables d’accepter sereinement la critique
Je me rends compte que j’ai encore du pain sur la planche dans ce domaine : en général , je prends bien la critique quand on y met les formes mais certains manquent parfois de subtilité même s’ils n’ont pas d’intention malveillante et alors là , je m’enflamme !
Cordialement
Janine
Bonsoir Janine
Finalement ce n’est pas un problème que certaines personnes
lancent des jugements sans délicatesse, ce qui l’est en revanche,
c’est la façon dont nous avons du mal à garder de la distance
et tendance à le prendre pour nous!
Hello Hannah,
Tu avais donc peur de la critique à cet événement. C’est compréhensible quand ça touche à notre « bébé » ^^
Très bon article en tout, ça sent effectivement le vécu.
Personnellement, j’étais bien stressé avant de passer mais impossible d’en déterminer l’origine. J’ai passé en revue un paquet de peur et je n’ai rien trouvé qui colle. Etonnant… En tout cas, ce n’était pas la criique, je n’attendais que ça ! 😀
Passe un merveilleux dimanche.
Dorian
Bonjour Dorian,
Pas tout à fait. Je me connais dans la peur de la critique
et je ne savais pas où j’en étais de cette peur quand je suis
passée au Booster-Gala. J’ai pu m’apercevoir que mon travail
avait porté ses fruits car rien ne s’est agité pendant mon
passage.
As tu identifié depuis la cause de ton stress? ce qui est certain
c’est que tu avais l’air d’en avoir moins que lors de ton passage
à la télé avec Pascal la première fois.
Bonjour Hannah,
Super pour toi alors 🙂
Non je n’ai pas identifié la cause mais non je ne dirais pas moins stressé que lors de Booster-TV. Dans tous les cas, j’arrive toujours à le gérer 😉
Dorian
Bravo pour la gestion, tu es jeune et déjà dans une
forme de maîtrise.
Chère Hannah,
Merci pour votre article superbe qui est pour moi d’un grand valeur.Il présente avec une clarté merveilleuse que je paye maintenant pour le changement de passer d’être à faire pour être aimé.
Les réactions nombreuses qui pouvent
manifester du peur de la critique sont très étendues.Cela a une utilité extraordinaire pour moi.Aussi un enfant
se sent aimé s’il éprouve votre liste des 12 expériences.Cette liste est aussi inestimable.Hannah vous m’avez donné beaucoup de la compréhension et de l’information util.Je me sent déjà que je pourrais être mon propre observateur.
À bientôt
Edward
Merci Edward pour ton commentaire.
Bravo pour l’observateur. On se retrouve bientôt!
Bonjour Hannah,
Ma peur de la critique et du jugement, je l’ai travaillé pour préparer Booster Gala, avec toi en faisant une séance Tipi et avec Lorenzo Pancino de Maxxivoice pour la prise de parole en public.
Plus la relecture du passage d’une livre d’isabelle Filliozat dans lequel elle décrypte ses peurs juste avant un interview télévisé.
Cette préparation m’a beaucoup aidé en fait.
Et je ne me suis pas trouvé si mal que ça en revoyant mon interview, au bout du compte !
En tout cas, j’ai vraiment trouvé que tu as assuré pendant ton interview par Pascal et tu as même souris (voir la photo de ton article !).
Vis une merveilleuse journée.
Maxime
Bonsoir Maxime,
Oui on voit que tu as travaillé ton passage en public.
Pour ce qui est la journée merveilleuse, c’était la
première du séjour en Thaïlande et franchement
c’était le top!
Bonjour Hannah,
Même pô peur !
J’ai toujours eu pour habitude de solliciter les opinions et jugements, ce qui doit aider… J’ai été très vite à l’aise, en tant que conférencier, au cours d’un séminaire international notamment (j’y fus applaudis, si, si ;-))
Cela dit, après t’avoir lue, ainsi que les commentaires précédents, je me dis qu’il faudrait peut-être que je modère quelque peu ma première affirmation ; mais je demeure sur la même position que Jean-Luc (de Moralotop), qui était déjà la mienne.
A tout bientôt et bonnes vacances à vous deux.
Bises,
Jean-Louis
Bonjour Hannah,
Je pense que la peur de la critique est plus grande encore quand on sait que, si elle nous dérange, c’est qu’elle est opportune. Parce qu’alors, il va vraiment falloir sortir de notre zone de confort pour y répondre…
Ta prestation était vraiment très bonne et on comprenait à te regarder et t’écouter, que tu avais dû vaincre tes peurs, quelles qu’elles aient été.
J’espère que tu ne changeras pas les couleurs de ton blog !!! Ce sont elles qui lui donnent le premier de ses charmes…
A bientôt !
Bonsoir Bernadette,
Je sais que trop de couleurs ne plait pas toujours aux hommes mais
c’est aussi un blog sur ma spécialité, les couleurs donc je vais faire
un header plus pro mais il y aura toujours des couleurs!
Salut Hannah,
Pour éviter toute confusion, et donc éliminer toute velléité de critique chez les nouveaux visiteurs qui découvrent le blog, je poste vite un commentaire pour que cela ne reste pas de façon indécente à 69 commentaires!
Sinon, pour dire quelque chose d’intéressant en plus de tout ce qui a été dit, heuuuu.
Oui, pour éviter la critique, moi, j’utilise un pseudo et un sexe tout à fait ridicule (en fait, je m’appelle Cunégonde) et je n’écris jamais rien moi-même (même pas les commentaires) comme ça, c’est toujours l’autre qui en prend plein la gueule.
Surtout qu’en plus des critiques des autres il me prend aussi sur le râble.
Bon ben voilà, comme je n’ai rien à voir avec tout ça, celui qui écrit pour moi s’en va et comme vous aurez remarqué j’ai aussi attendu que tout le monde ait commenté comme ça, je suis sûr de ne pas être ni lu, ni critiqué.
@+
Christiangunéconde.
Ben justement , salut Christian , moi je viens de te lire 🙂 et je vais en profiter pour te faire une petite critique à propos de : » j’utilise un pseudo et un sexe tout à fait ridicule (en fait, je m’appelle Cunégonde) « –
1/ Cunégonde n’est pas un sexe , mais un prénom féminin
2/ dans l’étymologie de ce prénom on trouve :
» Perspicace et intuitive, elle ressent de bonne heure le tragique de la vie. Très sensible à l’harmonie familiale et à la paix, elle tend à fuir lorsqu’un désaccord surgit. »
3/ Cunégonde ? En quoi ce prénom est-il ridicule ?
Hasard ou nécessité 😉 ? mais qui donc se cache derrière le pseudo de Cunégonde ? Pour l’instant , celui qui risque d’en « prendre plein la gueule » , si poétiquement dit , c’est celui qui se trouve sur la photo à côté de
— Christian de Destresse Marketing – ( un blogueur blagueur )
Oui je comprends Christiancunégonde ,un sexe ridicule… tu veux qu’on en parle?
tu sais qu’ici, la Thaïlande est réputée pour être la plus libérale à propos du 3 ème sexe.
C’est même une sorte de porte bonheur d’avoir un transsexuel dans la famille. Il y donc
beaucoup d’hommes et femmes hybrides qui non seulement ne se cachent pas mais
ont même tendance à se montrer.
Tu n’as pas songé à prendre un jour ta retraite dans un pays comme ça?
Bonjour Hannah
tres interessant que ce sujet sur la peur de la critique et du jugement
tres jeune j’en ai beaucoup souffert surtout a l’age de l’adolescence jusqu’a 22 ans et encore parfois cette peur peut revenir et etre presente selon les periodes que je passe dans ma vie, surtout professionnellement,
je vais etudier tranquillement votre sujet.
merci pour votre aide et conseil
Bonsoir Céline,
Bien vu, la peur de al critique st plus facile à repérer dans le milieu
professionnel car lorsqu’on s’adresse à un patron alors qu’on est en pleine
régression, c’est comme si on s’adressait à un parent. On prête alors
au supérieur une autorité rigide qu’il n’a pas forcément.