Savez-vous à quoi vous sert le manque d’argent ? Help TechniqueTipi!

Bénéfices secondaires du manque d’argent et technique Tipi
Dans un article précédent sur l’insécurité financière (cliquez) et le manque d’argent, je vous racontais l’histoire de la petite souris et du grand lama.
La technique Tipi n’existant pas dans l’Himalaya, vous avez pu mesurer à quel point les peurs ont besoin d’être « travaillées »!
Je vous parlais aussi de votre vibration, de votre relation à l’argent et de la couleur associée au manque d’argent.
Aujourd’hui, je vous interroge sur vos potentiels bénéfices secondaires à être en insécurité liée au manque d’argent.
Vous entendez immédiatement un morceau d’égo gronder au fond de votre être.
Quoi ? C’est déjà difficile de ramer au niveau de l’argent, vous n’allez pas en plus me dire que c’est de ma faute ?
Non, rassurez-vous, je sais ce qu’est une mémoire et je sais aussi combien il est bien difficile de s’en dépêtrer.
Comprendre aide malgré tout même si ce n’est pas la conscience qui fait sonner les écus au fond du cochon. Nous avons donc déjà regardé de près vos croyances à propos de l’argent et la sécurité financière.
Aujourd’hui je voudrais vous amener sur le terrain sulfureux des bénéfices secondaires liés au manque d’argent.
Dans une enquête policière, si vous voulez résoudre l’énigme (en l’occurrence le manque d’argent), vous avez intérêt à connaître le mobile, c’est donc le filon que vous allez suivre avec moi.
Ce que je vais vous suggérer n’est pas destiné à vous rendre coupable, je n’ai vraiment pas de leçons à donner pour vous enrichir matériellement.
Par contre, je peux vous aider à regarder à la loupe les motivations inconscientes que vous pourriez avoir à rester sans le sou et entretenir malgré vous un manque d’argent.
Si vous avez vraiment l’intention de vous dégager de votre problématique apparente à l’argent, il peut être bon d’entendre quelques raisons qui ne vont pas vous plaire.
Bon vous voilà deux fois prévenu.
Ah ? il pourrait y avoir un bénéfice à ne pas avoir assez d’argent ? A quoi cela pourrait il donc vous servir de manquer d’argent?
5 bonnes raisons d’entretenir inconsciemment le manque d’argent
1°) Manquer d’argent pour ne pas pouvoir payer
Non, ce n’est pas une « lapalissade », je m’explique :
Si vous avez eu l’impression de beaucoup payer (ou trinquer) pour les autres mais aussi d’éponger les émotions et les manques des autres, même ceux de vos parents, ne pas avoir d’argent est une solution.
Comme ça, on ne peut plus rien vous demander ! Vous avez l’impression d’avoir fait assez d’efforts pour toute une vie.
Si l’État vous demande un coup de main pour les démunis, pour soutenir votre famille (pension alimentaire, retraite de vos parents etc) eh bien, grâce au manque d’argent, vous ne pourrez pas !
Vous comptez donc sur les autres et c’est une façon subtile de réparer l’impression de n’avoir pu vous appuyer sur qui que ce soit.
C’est une exigence très subtile qui répare l’enfant en vous mais qui brime l’adulte. Si vous ne travaillez pas sur votre colère larvée, vous ne modifierez pas votre situation financière.
Ne pas pouvoir payer est aussi parfois une façon d’obtenir de l’aide et du soutien de votre famille (ou l’État) à l’endroit où vous estimez inconsciemment ne pas en avoir eu assez.
Par exemple, il y a une réunion de famille loin de chez vous qui nécessite de prendre un train ou un avion.
Si vous ne pouvez pas payer, vous ne pouvez pas vous déplacer. Vous vérifiez alors que l’on tient bien à vous lorsque vous recevez un billet pour y aller.
2°) Manquer d’argent pour entretenir une dépendance
La dépendance, même si vous avez l’impression de la vivre adulte est un état que vous avez traversé entre 0 et 2 ans.
Si pour une raison ou une autre ça ne s’est pas bien passé, une partie de vous n’a pas fini de traverser cette période, même à 50 ans !
Les raisons pour lesquelles vous êtes bloqué à cet âge sont ce qu’elles sont, on ne peut en vouloir à personne mais pour vous, le problème est toujours là:
- enfant non désiré,
- parents absents,
- trop de travail des adultes,
- parent dépressif,
- pré-existence d’un frère ou d’une sœur aussi en bas âge
- frère ou sœur porteur(se) de handicap,
- naissance trop rapprochée d’un frère ou d’une petite sœur etc…
Parfois c’est l’inverse, vous n’avez pas décollé de cet âge symbolique parce qu’un parent avait besoin que vous restiez petit et dépendant afin de ne pas lui échapper en grandissant trop vite.
Vous allez donc vous créer une vie où vous dépendez d’un conjoint(e), de l’État, de vos parents ou d’un proche.
Vous pouvez aussi créer à l’inverse un compagnon ou une compagne qui ne gagne pas sa vie ou pas assez. C’est l’autre qui est dépendant de vous et vous faites office de bon parent pour lui.
En apparence, vous n’êtes pas dépendant mais en y regardant de plus près, vous êtes tout de même dépendant de la situation de l’autre et cela entrave vos projets.
Pour vous dégager de cet état et retrouver une liberté (financière ou autre), vous aurez à accepter de sentir les émotions non conscientes de l’époque qui seraient restées bloquées.
3°) Manque d’argent pour travailler des mémoires familiales
Le manque d’argent est parfois l’occasion de traverser des mémoires transgénérationnelles de famine, pauvreté et de manque de soins.
Manquer d’argent peut vraiment avoir eu un impact dans votre généalogie à l’époque où une mauvaise récolte pouvait entraîner la famine et où manquer de soin pouvait entraîner la mort.
Pour savoir si c’est le cas, posez-vous la question de ce qui serait le pire pour vous si vous n’aviez plus du tout d’argent.
Laissez votre mental dérouler les conséquences comme par exemple…je ne pourrai plus payer mon loyer…et alors ?
Je serai à la rue…et alors ? Je serai en survie toute la journée…et alors ? Je ne pourrai plus manger…et alors ? Je serai obligé de fouiller dans les poubelles…
Nous y voici. En 2014 cela est totalement impossible. Vous connaissez l’existence des restos du cœur, de la croix rouge et de l’armée du Salut.
Vous vivez à une époque où il n’est plus possible vraiment de mourir de faim en occident.
Ces peurs que vous trimballez avec vous sont totalement mentales et irrationnelles. Elles sont transmises par les mémoires de votre arbre généalogique.
Si lorsque vous déroulez le film « et alors ? » vous atterrissez sur « je n’aurai plus d’argent pour faire soigner mes enfants » alors vous êtes sur une mémoire d’épidémie (mortelle) ou de manque de soins.
Avoir le même problème que vos ancêtres peut, de façon très inconsciente, vous donner un sentiment d’appartenance et de loyauté à la famille ou à un lointain passé.
De la même façon, être identifié à des vœux de pauvreté peut vous mener la vie difficile dans votre quête de sécurité financière !
Vous pouvez d’ores et déjà commencer le nettoyage avec la méthode Ho’oponopono. Un travail sur votre arbre généalogique pourrait aussi s’avérer utile.
4°) Manque d’argent et peur du manque
Le plein et le vide, l’abondance et le manque sont le résultat de la polarité sur terre.
Vous avez oublié que le manque est aussi lié à la vie. Lorsque vos poumons sont vides et en manque d’air, vous inspirez à nouveau.
Terrasser le manque est aussi ridicule que de vouloir vivre toujours poumons pleins ou dans un pays sans nuages ni pluie.
Vous êtes nés humain donc dépendants de l’air, de la lumière, de l’eau, de la nourriture etc…vous n’êtes pas censés vous débrouiller tout seuls et n’avoir jamais besoin de rien !
Par contre il est possible que vous ayez vécu le manque à un âge où votre vie pouvait être mise en danger :
- Une mère qui vous empoisonne avec son lait.
- Des parents fêtards qui ne vous entendent pas hurler de faim la nuit
- Une nounou négligente ou qui s’absente.
- Un grand frère ou une grande sœur inexpérimenté qui tarde à vous donner le biberon..
Votre mémoire cellulaire est affectée et vous ressentez le manque comme un danger. Le banquier est certes sans cœur mais concrètement il ne va pas s’en prendre à votre vie .
Et pourtant, concernant l’argent, si vous êtes honnête, vous pouvez aller jusqu’à ressentir le manque comme une peur mortelle.
Puisque vous vibrez à la peur du manque, vous accordez toute votre vie autour de votre vibration et donc vous manquez. D’argent mais d’autres choses aussi !.
Si adulte, vous craignez le manque d’argent nous avons vu que le manque dont il est question peut être manque de soin, de chaleur ou de nourriture basique.
N’oubliez pas qu’il est difficile d’avoir peur de quelque chose qui ne vous est pas déjà arrivé.
Votre mémoire cellulaire a associé manque et danger mortel alors que le ressenti du manque est juste là pour vous rappeler que c’est l’heure de vous en occuper, pas forcément d’en souffrir.
Expérimenter la précarité aujourd’hui vous relie à cet enfant « pauvre en lien en joie ou en créativité » que l’on vous a poussé à être.
Le plus terrible c’est que sans cette prise de conscience, vous risquez de vivre cette situation très longtemps.
5°) Manquer d’argent pour retraverser un climat de terreur.
Lorsque vous manquez vraiment d’argent, votre mental fige sur des ritournelles :
- je n’ai pas d’argent,
- je ne vais pas m’en sortir,
- il faut qu’on m’en prête
- je vais être interdit bancaire
- pourvu que je ne le sois pas, etc.
Vous pensez, vous en parlez, vous stressez et vous vous inquiétez mais vous entretenez la peur au lieu de la travailler.
Les peurs sont « engrammées » dans la mémoire cellulaire et il est bien rare que pour un enfant, la peur principale soit le manque d’argent.
Croire que votre souci principal aujourd’hui est une affaire d’argent c’est tenter d’oublier l’enfant en vous dont les peurs étaient bien réelles et liées aux adultes de l’époque ou à leur manque de protection.
Qu’est ce qui peut faire peur à un enfant à ce point si ce n’est pas le manque d’argent ?
- Subir un parent alcoolique
- Subir un parent bipolaire
- Subir un parent dépressif ou suicidaire.
- Entendre ses parents se disputer violemment (pas forcément à propos de l’argent d’ailleurs)
- Subir la violence cachée d’un grand frère ou d’une petite sœur
- Vivre des abus
- Vivre des tortures physiques ou psychiques
- Échapper à la surveillance d’une nounou et devoir gérer seul des difficultés loin de ses parents.
- Être responsable de ses frères et sœur alors qu’il est trop petit pour savoir comment s’en occuper.
Si je devais résumer ce qui vous fait le plus peur: est-ce mourir, souffrir ou être seul et sans soutien dans la difficulté ?
Vous voyez qu’un adulte trouvera toujours du soutien, c’est vraiment un enfant en vous qui a encore peur.
Un bébé qui souffre et qui est seul et sans protection dans la difficulté peut mourir. C’est cela qui est inscrit dans votre mémoire cellulaire.
C’est aussi avec toutes formes de thérapie et la technique Tipi qu’il est possible de s’en libérer, je vous en parle plus loin.
Comment fait-on pour travailler les bénéfices secondaires du manque d’argent?
Tant que vous croyez n’être aux prises qu’avec un problème matériel, vous allez chercher des solutions dans la matière.
Vous devez déjà avoir expérimenté que cela ne suffit pas.
L’étape suivante c’est de prendre conscience de vos motivations non conscientes et d’accepter le travail intérieur que propose l’insécurité sans succomber à une peur au présent.
L’insécurité, comme toutes les peurs peut se travailler avec la technique Tipi, technique d’identification des peurs inconscientes.
Il suffit d’apporter dans une séance les scènes précises qui déclenchent les peurs et les angoisses et de vous laisser guider.
Une lettre des impôts, un coup de fil que vous rechignez à passer, un courrier de la banque que vous n’ouvrez pas, une peur d’aller demander un crédit etc…
Je vous propose à titre d’exemple, l’histoire d’une amie avec qui nous avons travaillé avec la technique Tipi. Vous verrez que l’association argent et insécurité affective peut être prise au pied de la lettre :
Voici son témoignage :
« On approchait du réveillon de Noël et… connaissant mes difficultés financières, et bien que n’ayant pas beaucoup de moyens elle-même, ma sœur décide de m’envoyer des US une enveloppe avec quelques dizaines de dollars, garnissant l’enveloppe d’autant de petits cœurs et jolis dessins qu’elle me porte de tendresse et qu’elle espère que je ne vais passer un Noël pas trop difficile.
Et sans que je comprenne ce qui m’arrive, dès l’instant où j’ai ouvert cette enveloppe et où les billets se sont retrouvés dans mes mains, je suis entrée instantanément dans un état de panique avancé, ma respiration se réduit à un halètement, ma poitrine se contracte et mon cœur se serre horriblement sans que j’arrive à relâcher la tension, et 3 jours durant, le temps s’arrête pour moi… comme en apnée.
Et puis, au bout du 3ème jour, au petit jour, le souvenir reflue du fond de mon enfance…
Je dois avoir environ 7 ou 8 ans. Ma mère et moi sommes seules dans la maison – mon père, mon frère et ma sœur sont je ne sais où – et tout à coup, ma mère me tombe dessus, me fourre dans les mains une grosse enveloppe pleine de billets de 1000 francs (belges de l’époque) et se précipite vers la sortie en disant quelque chose comme « Voilà, ça devrait suffire… Moi, je ne peux plus. Je m’en vais ! »
Et elle ouvre la porte du garage, monte dans sa voiture et s’en va, sans se retourner…. Et tout s’arrête… Mon cœur s’arrête, ma respiration s’arrête, mon regard reste accroché à l’endroit où elle se trouvait il y a un instant encore… Elle est partie… sans moi. »
Avec la technique Tipi, on ne peut pas travailler sur un problème général mais plutôt sur les situations identifiées qui génèrent des peurs.
Cette amie ne se souvenait pas de son traumatisme. Pourtant, la réalité de 2014 a tout mis en œuvre pour qu’elle retouche l’émotion refoulée. on ne peut pas partir à la pêche des traumas.
Ils sont enfouis et refoulés pour ne pas vous pourrir la vie. Pourtant, ils sont toujours actifs et magnétisent votre vie au quotidien, jusqu’à ce que la charge soit libérée.
Si vous n’avez pas conscience de cela, vous allez vivre une réalité au présent avec de nombreuses incompréhensions et beaucoup de réactivité en totale exagération par rapport à la situation.
Cette amie aurait pu croire que son émotion était liée à sa sœur et à l’enveloppe et aurait pu se faire des nœuds dans la relation qu’elle entretient avec elle.
Grâce à sa réaction démesurée, elle a vite saisi qu’une mémoire venait d’être réactivée. C’est un travail que vous pouvez faire seul lorsque vous êtes en thérapie ou engagé dans un travail intérieur.
Par contre, la charge du trauma était encore là et a continué à créer de nouvelles situation dans sa vie. C’est là qu’intervient la technique Tipi et c’est sur ces nouvelles situations que nous avons travaillé en Tipi.
En une séance, il a été possible de libérer plusieurs mémoires. Le plus étonnant avec la technique Tipi, c’est qu’en libérant une mémoire au présent, on peut atteindre d’autres mémoires plus anciennes et cela jusque dans la vie intra-utérine.
C’ est l’outil le plus efficace que je connaisse pour libérer les peurs. je ne l’utilise pas que sur mes clients mais aussi sur mes propres mémoires!
Voyez que, malgré tout une insécurité financière de longue date est souvent un camouflage à des émotions beaucoup plus profondes.
Tant que vous croyez que tout pourrait se régler avec quelques milliers d’euros, vous êtes loin du compte. On peut avoir peur de manquer avec un demi million en banque!
Un travail sur soi est souvent nécessaire pour identifier et travailler les vraies raisons de votre insécurité et les bénéfices secondaires.
Si vous vous sentez appelé, je vous rappelle les dates de notre prochain stage sur l’argent:cliquez sur la bannière:
Si vous ne vous êtes pas reconnu, je vous livre la semaine prochaine, 4 nouveaux bénéfices secondaires tout aussi sulfureux.
Et vous avez-vous identifié un schéma récurrent concernant les finances ? Avez-vous déjà essayé la technique Tipi? Laissez un commentaire !

Comme souvent, les situations et ressentis d’aujourd’hui s’expliquent par des peurs forgées dans le passé.
La peur de manquer par exemple,
Particulièrement répandue.
Et, comme tu le dis Hannah, elle ne dépend pas d’un niveau donné, au sens où l’on peut avoir peur de manquer pour 1 euro ou pour un million.
Au final, nul doute que tu sauras accompagner les personnes bloquées en raison de croyances inadaptées.
Tel n’est pas mon cas.
J’ai sur l’argent une philosophie née d’une pratique de deux situations opposées : du manque fort à l’abondance rare.
Bonjour Jean-Luc,
Je pense qu’une majorité de personnes sont dans ton cas.
Les problématiques à l’argent se transmettent dans les familles
mais les blessures du coeur se stigmatisent aussi sur les manques d’argent.
Donc, au final, plus de raisons de ne pas en avoir que de vivez l’abondance!
Vraiment interpellant !!!
Je me suis vraiment reconnue dans plusieurs explications.
Et serais vraiment intéressée de faire un travail ou un stage Tipi … si j’ai l’argent pour le payer 🙂
Bonjour Danielle,
Oui je connais ce problème, c’est la raison pour laquelle
j’abreuve aussi internet de pistes qui permettent gratuitement
d’avancer mais ce n’est pas tout à fait la même chose qu’un travail
personnalisé, je le reconnais.
J’ai rencontré un jour une femme qui voulait un rendez-vous pour
travailler sa relation déplorable à ses enfants et des tas de peurs
qu’elle entretenait particulièrement par rapport à sa fille et
l’avenir de sa fille.
Seulement, elle n’avait pas d’argent.
Je lui ai dit que je lui accordais une demi heure gratuite mais
sur le seul thème de l’argent, pas sur celui de ses enfants.
J’ai fait cela car j’imaginais que ses difficultés relationnelles étaient
principalement projectionnelles. En d’autres terme, elle projetait ses propres
peurs sur sa fille.
Par contre, je savais qu’en travaillant sur l’argent, elle toucherait ses
propres peurs d’enfant!
Bonjour Hannah,
Toujours aussi captivants tes articles, ils sont plein de pistes de réflexion.
Tu me confirmes mes intuitions par rapport à l’argent et au manque d’argent.
Connais-tu Nathalie Cariou ? Je pense que oui, ton approche est complémentaire de ce qu’elle propose dans ses formations. Une rencontre entre vous serez sans doute intéressante. 🙂
Bien amicalement,
Christine
Bonjour Christine,
C’est vrai que mélanger des stratégies financières
et travailler avec des outils thérapeutiques pour
se libérer des peurs serait un cocktail détonnant!
J’ai vu ses vidéos mais je ne connais pas la personne.
Subir la violence d’une mère, des abus sexuels d’un grand-père maternel, manque de protection du père, être responsable de ses frère et soeurs trop tôt … La solitude toujours présente …
Bonjour Josiane,
Cela fait beaucoup de violences pour une petite fille.
Toutes les techniques de thérapie sont aidantes pour
récupérer la joie de vivre volée à l’enfant.
Bonjour Hannah,
Très intétessant cet article – tu avais déjà abordé le lien entre l’argent et l’insécurité affectuve et j’avais beaucoup aimé ton article alors car j’ai compris que la peur de manquer n’est pas forcément la peur du manque d’argent mais qu’elle vient d’une mémoire qui parle du manque d’affection, d’attention, d’aide, etc..J’ai travaillé cette relation entre l’argent et l’affection avec Ho’ponopono et je suis arrivée à prendre du recul par rapport à ll’argent, son manque me pourrit moins la vie maintenant mais je ne suis pas plus riche pour autant !!
Je suis issue d’une famille nombreuse, je n’ai pas été désirée car je représentais une bouche de plus à nourrir, j’ai toujours manqué d’amour, d’attention, l’argent était au centre de notre vie de tous les jours.
Je pense que j’ai encore beaucoup de mémoires à effacer de cette époque pour arriver à la prospérité !!!
Merci Hannah pour tes précieux conseils !!
Bonjour Christine,
Prendre du recul est une première étape et signe que le travail avance.
Maintenant il y a aussi à quêter les émotions liées à l’insécurité mais
surtout les émotions qui naissent des relations affectives car c’est
surtout là que les mémoires se révèlent et donc peuvent être travaillées.
Bonjour Hannah,
Je tiens à vous remercier pour tous ces articles fabuleux que vous proposez, votre écoute et votre non jugement.
C’est toujours extrêmement enrichissant.
Merci encore pour tout ce que vous nous donnez.
Amicalement, Marie
Merci Marie pour ces encouragements
Bonjour très chère Hannah,
De tout coeur merci pour cet article qui me permet de comprendre certaines choses qui m’arrivent depuis toujours. Je vis réellement cette insécurité financière. Ma réalité à moi qui suis une Africaine et plus précisément au Togo est vraiment déplorable. Ici l’on peut vraiment mourir de faim aujourd’hui en 2014. Dieu merci, moi non, mais je ne suis pas pour autant à l’abri, c’est à peine que j’ai le minimum pour survivre. Ce n’est nullement pas pour attirer de la pitié, mais pour vous dire que vous devez vous estimer heureux en Occident.
J’ai perdu ma mère en 1991 par accident et depuis j’ai des trous de mémoire ; je peux difficilement ou pas du tout me rappeler de ce qui a été ma vie avant cet incident malheureux. Je voudrais savoir si la technique tipi peut m’aider à recouvrer la mémoire et à me guérir de mes peurs. Je suis vraiment intéressée par la technique tipi, mais pour le stage, je n’ai pas les moyens de m’offrir ce voyage ni de payer le stage. Néanmoins je souhaite plein succès à votre stage comme vous le méritez.
Cordialement
Nicole
Bonjour Nicole,
J’ai bien spécifié qu’en occident, on pouvait difficilement
mourir de faim parce que je voyage beaucoup en Asie et, comme
en Afrique, il n’y a pas d’aide sociale qui permette d’assurer
la survie de tous les citoyens.
Je sais que tout le monde ne peut pas s’offrir de stage, c’est la raison
pour laquelle, j’écris des articles qui permettent à ceux qui le désirent
de faire un bout de chemin intérieur seul mais en étant guidé sur les
pistes de réflexion.
Tipi aide à travailler sur toutes les peurs qui se manifestent en 2014,
tout en remontant jusqu’aux racines profondes des traumas sans avoir
à les revivre.
En général, perdre la mémoire est une sauvegarde du cerveau qui cherche
à nous préserver d’anciennes mémoires.
Pour les retrouver, on peut déjà demander à vivre des rêves qui permettent
d’approcher en toute sécurité ces mémoires.
Bonjour Hannah,
C’est dans les mémoires familiales que je me reconnais. Mes parents ont en effet vécu des moments très difficiles financièrement, moments où ils étaient chassés d’un pays, les poches vides, après des années de travail. Ils l’ont vécu deux fois, à deux ans d’intervalle et nous sommes tous marqués par ce scénario de perte totale.
C’est comme ça que, cycliquement, je me retrouve la bourse vide…
Tu viens de m’allumer sur une lecture intéressante. Je vais commencer par O’Hoponopono, bien sûr. Mais parallèlement, je vais continuer à écrire mon histoire de vie parce que je reçois régulièrement des « signes » m’y poussant. Ton article en est un…
Merci et à bientôt !
Bonjour Bernadette,
Oui ça ressemble à une vraie mémoire transgénérationnelle.
Ce ne sont pas que des mémoires d’exil mais aussi d’injustice
et d’abus.
Se retrouver avec la bourse vide est alors une tentative de
garder un sentiment d’appartenance avec la famille, là où ils l’ont perdu
en étant chassés.
C’est tout le propos du projet sens où nous héritons des schémas non
résolus de nos parents de 0 à 18 mois avant notre naissance mais aussi
après bien sur lorsque nous potons à leur place leurs émotions non
conscientes.
« mémoire transgénérationnelle, mémoires d’exil mais aussi d’injustice et d’abus héritage des schémas non résolus de nos parents de 0 à 18 mois avant notre naissance mais aussi après bien sur lorsque nous portons à leur place leurs émotions non conscientes », et ben tout ceci est bien pour moi! Merci Hannah s’est bien se que j’essais de dire encore et encore que l’on me rétorque à chaque fois « mais s’est dans ta tète! tu n’est qu’une bonne à rien et tu es fainéante! tu finiras sur le trottoir comme ta mère! des paroles comme ça! à une petite fille qui vient de faire abandonner par sa mère biologique qui reçois de tel parole! dans une famille d’accueil avec des affirmations comme ça! comment voulez vous qu’elle soit prospère dans sa vie d’adulte, pour vous dire mon lot! j’ai 44ans et me trouve toujours dans le manque de tout comme qui si cela suffisait pas! perdant le peux que j’avais jusqu’à retirer mes enfants! quel beau schéma! maintenant toute seule! heureusement que DIEU m’est permis au moins d’avoir un petit studio, sans savoir comment je vais payer le loyer ce moi si avec le RSA coupé, on peux dire que des héritages de famille comme celui ci, personne en voudrais
Manque affectif, maltraitance et violence d’un frère de la DASS, le chouchou bien sur et moi le vilain petit canard en me disant tu es une fille tu restes faire les corvées, « quelle enfance pourri surtout quand on fugue pour retrouver sa mère biologique en espérant avoir un peu d’amour et d’exister dans le cœur de quelqu’un! « tu n’est pas ma fille je me suis fait violer! je ne t’aime pas et t’aimerai jamais » très bon cocktail dans tout ça!…
Rejet, discrimination à l’école, inceste, manque affectif et de loisir toute la petite enfance, vie d’adulte, répétant le schéma de la désolation subir la prostitution, la traite des blanches, la faim, les coups, ensuite d’être privé de tout pendant toute une vie en criant au secours sans jamais personne qui répond, la violence verbal et physique des relations amoureuses pourri, sans joie et sans bonheur toujours confiner dans ce que je déteste au plus haut point la routine! la pauvreté continu et la dépendance affective, il est impossible d’avoir une vie de joie et de bonheur avec tout ça! si se n’est pas résolu! je comprend aussi pourquoi j’ai du mal a accepter mon incarnation dans le corps d’un femme avec en plus une homosexualité refouler qui se trouve avoir était créer une mémoire cellulaire qui me pourri tout le reste de ma vie parce que nous sommes des filles alors nous sommes limité au ménage s’est un bon gros ta de merde si je me permet de dire qui ne fera que repousser encore et encore l’argent dans ma vie et ça peux plus durer de marché la tète basse avec la honte et de la déconfiture je vous conseille à tous de regarder le film « un jour sans fin » et de demander de l’aide à Hannah si vous le pouvez parce que je sais de quoi je parle! j’ai écrit ceci pour vous aider à prendre conscience que si vous le faite vous serez enfin libéré de ce carcan! alors que vous mériter d’être heureux, pour ma pars comme vous l’avez compris je ne peux me payer la formation bonne chance à vous tous et merci Hannah, coeurdialement Samia
Bonjour Samia,
Heureusement que vous avez su garder un fond de colère,
cela vous aide à avancer. C’est vrai que pour cette
incarnation vous avez chargé la mule.
Les années à venir servent à guérir afin que toutes ces
souffrances prennent enfin sens.
Puisqu’il nous est donné des épreuves à la hauteur de
nos capacités,j’en conclus que vous avez une réserve
de force et une énorme capacité de transformation.
En attendant, même si vous ne pouvez pas financer des
stages, vous pouvez faire une partie du chemin en vous
aidant de la mine d’or qu’est internet.
Pour le film oui c’est une merveille, j’espère qu’il
vous encourage à développer le meilleur de vous-mêmes
malgré les mémoires pas faciles.
Encore merci Hannah,
Pour l’efficience de tes mots.
Chaque fois que j’en ai la possibilité, je fonce sur tes articles qui me rapportent toujours de quoi me « rassembler » pour avancer, en densifiant une estime, une confiance en moi que je n’ai jamais su appréhender de façon consciente, mais j’avance !
Je ne crois plus au hasard, parce qu’à la veille de créer mon entreprise (Conseil et formation dans l’Aide à domicile), à me demander comment je pourrais effectuer mon dépôt de capital social à la banque (phase initiale et incontournable) sans aucun apport en numéraire (je suis plutôt en dette de partout !), voilà que tu m’éclaires sur bien plus de « mémoires » que j’ai taché de rechercher.
Je me suis rendu compte que j’ai toujours été « au service » des autres, tant dans ma famille qu’au travail, en faisant naturellement des efforts pour avoir le sentiment que personne ne manque de rien venant de moi, mais sans en avoir effectivement mesuré la réalité ! Sacrée dépendance encore active dont j’ai du mal à me défaire…
L’idée m’est donc venu de concevoir de te rejoindre en juin pour ce stage… Et puis, j’ai envie de te voir autrement qu’en vidéo !
Merci,
Gilles
Bonjour Gilles,
Merci pour ce retour.
Tu symbolises bien celui qui pourvoit aux
besoins des autres avec des bonnes et des
mauvaises raisons.
Les bonnes, ce sont la générosité, soutien,
qualités de coeur etc…
Les mauvaises oublier que tu n’as pas reçu le soutien
et l’attention dont tu avais besoin à un âge où
tu n’as pas pu faire sans, (sans en souffrir)!
Voilà, j’y suis, après avoir découvert cet article dans sa première partie.
Je me suis reconnue dans la situation 1 : « Manquer d’argent pour ne pas pouvoir payer » : en effet, depuis 15 ans quand je suis tombée enceinte (peu après avoir commencé à travailler et être sortie du cocon maternel où j’étais bien), j’ai toujours bénéficié des aides de l’Etat comme l’allocation logement et une somme pour mon fils car je n’avais pas de pension alimentaire. Je considère avoir droit à ces aides de l’Etat, même si en même temps, j’aimerais pouvoir m’en passer et être indépendante. Tout s’emmêle dans ma tête, mais ce ne doit pas être un hasard si la CAF m’a été coupée en janvier. Un sacré trou dans mon budget et des ennuis à la banque, mais je commence à remonter mon découvert peu à peu. Je vais regarder cet aspect.
Je me retrouve aussi beaucoup dans la situation 5 : « Manquer d’argent pour retraverser un climat de terreur. », je ne suis pas sûre de saisir pourquoi mais ce doit être dû à un abus que j’aurais subi. Car c’est tellement moi jusqu’à il y a peu « je n’ai pas d’argent pour… », « comment je vais faire avec ce manque… », « je risque d’être interdit bancaire… ». Depuis quelques mois que je découvre l’attitude financière à avoir, je commence à travailler dessus avec la bonne attitude, la loi d’attraction, le lâcher-prise, mais comme tu le dis, je sens aussi qu’il y a des mémoires cellulaires qui me bloquent, même si ça va mieux ne serait-ce que dans ma prise de conscience de tout ça.
Je n’ai pas utilisé la méthode TIPI mais ça m’intéresse.
Belle journée
Marjorie
Bonjour Marjorie,
Parfois, dépendre de l’État peut être une vraie réparation.
Pour certains l’État fait plus pour eux que leur vraie
famille.
Par contre, une fois que la sécurité est acquise et que la notion
d’ aides possibles est intégrée, il est important de faire un
travail de nettoyage des mémoires de l’enfance sinon le travail
de la dépendance ne se fait jamais.
C’est quelque chose dont la société ne tient pas toujours compte.
D’abord un coup de main, puis une éducation, puis une
autonomie.
L’histoire de la CAF est à creuser…
Bonjour Hannah!
en plein dans le mille, je me sens très concerner par cet article.
je suis interessée par le stage que vous proposez ,vous pourriez m’en dire plus?? lieu, prix, etc…
Merci beaucoup!!!!
Bonjour Eugénia,
Le stage se déroulera à Gap.
Le prix fixe de chaque journée de stage
est inscrit sur l’onglet « stages ».
Cliquez ci-dessous:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/stages/
bonjour Hannah,
ton article décrit bien des facettes de mon problème à l’argent. Le manque d’argent n’est pas une réalité dans ma vie de 2014 mais je suis confrontée à des peurs terribles quand il s’agit d’ouvrir une lettre de la banque ou de jeter un coup d’oeil sur mes relevés de compte. Je trouve que ton stage sur ce thème arrive très à propos pour moi pour mettre cela au travail.
A bientôt donc
katia
Bonjour Katia,
C’est à ces petits détails qu’on mesure ses terreurs
d’enfant et surtout qu’on peut s’en libérer.
Il est utile de tenir un cahier de situations émotionnelles
reliées à l’argent afin d’en débrancher un maximum pendant le stage.
Bonjour Hannah,
Lu d’une traite, ton article ! Très parlant et me donnant bien des pistes de réflexions.
Née fille alors qu’un garçon était souhaité avec toute la suite qui va avec dans la maltraitance psychique et physique. Les temps difficiles des générations précédentes…
Le point 1 me parle et je n’avais jamais envisagée cet aspect sous cet angle.
Je tiens quand même à dire que régulièrement, je continue de voir des SDF fouiller les poubelles de mon boulot quand elles sont à la rue, pour récupérer de la nourriture.
Les personnes en difficultés s’accroissant, les associations ont de plus de mal à satisfaire tout le monde.
Bravo Hannah pour cet article très apprécié me donnant un nouvel éclairage sur mes questionnements;
Bonjour Hélène,
Ces histoires transgénérationnelles où on attend un garçon
sont souvent en lien avec les histoires d’argent.
Il suffit de remonter à quelques générations pour s’apercevoir
que le père voulait un héritier mâle pour transmettre le
patrimoine,…les filles n’étaient pas censées rapporter de l’argent,
au contraire, il fallait les doter….que de l’argent de gâché!;-)
Bonjour Hannah,
Suis d’accord avec ta réponse pour les généralités.
Sauf que dans mon cas exposé, il en va autrement. (enfin je pense)
Ma mère (brune) préférait les garçons ou si c’était des filles, il fallait qu’elles soient blondes.
Pouah les filles brunes… Rejetées !
Dans son porte feuille à son décès, il y avait la photo de son père (genre tyran et brun) et de mon fil (2 ans et brun). Aucune photos de ses autres petites filles. Dans mon analyse des faits, je me suis toujours demandée si elle n’avait pas subie des sévices inavoués.
Des questions qui resteront pour toujours sans réponse.
Bonjour Hélène,
Je crois que tu détiens déjà une réponse.
Si ta mère te rejetait parce que tu avais
la même couleur de cheveux qu’elle, alors c’est qu’elle
s’est projetée en toi et tu as raison, il
y a quelque chose qu’elle n’aimait pas en elle et
ça pourrait bien être des mémoires d’abus.
Par contre, c’est peut être aussi une piste
pour les cheveux.
Comme je ne crois pas au sabotage mais plutôt
aux histoires d’amour qui parfois font mal…
Ne plus avoir de cheveux bruns visibles est
peut être un moyen de ne pas déplaire à la mère?
Tiens, tiens Hannah,
Nous arrivons toutes deux à un même raisonnement…
Il y a du vrai dans cette histoire… de cheveux. Elle avait la manie de m’attraper par les cheveux.
N’en ayant plus, elle ne peut plus m’atteindre ! Serait-ce une protection pour moi ?
Oh, ça devient compliqué. En fait pas tant que cela, mon dernier amour m’a rejetée, je perdais mes cheveux !
Ne pas retrouver mes cheveux me protègerait du désamour ?
Analyse empirique qui me fait sourire… je trouve que nous avons vraiment un esprit compliqué ! Je dirais plutôt complexe.
En fait c’est notre inconscient qui fonctionne
comme un enfant et notre cerveau qui cherche à
nous éviter des stress donc tout cela est parfaitement
possible!
Bonjour Hannah,
je n’aurais pas imaginé les liens que tu nous cites entre des situations de l’enfance et le manque d’argent à l’âge adulte. Mais en les lisant on vois bien le rapport en effet.
Çà donne des pistes intéressantes pour s’en sortir.
Merci pour tes conseils toujours judicieux.
Nadia
Bonjour Nadia,
Cela aide à comprendre nous nous mettons dans tous ces états
pour des histoires d’argent. Cela montre aussi qu’il y a toujours une solution
psychique en plus de la résolution matérielle.
Merci pour cet article.
Manque d’argent régulièrement présent dans ma vie et pourtant j’aimerais tant être financièrement à l’aise.
1 Grand-oncle a été banni par les membres de la famille pour avoir dilapider l’argent, les biens mobiliers et immobiliers au jeu.
Mon père n’a pas vraiment connu son père, il avait quitté la famille lorsque mon père avait 2 ans.
Mon père a du quitter sa ville natale – Berlin – lors de la 2ème guerre car Suisse, sans pouvoir terminer ses études d’ingénieur de précision.
Sa mère ne voulait pas de ma mère estimant que son fils lui appartenait, elle s’est pendue dans la chambre de mes parents peu avant ma conception.
Pendant longtemps, j’ai entendu mon père regretter de ne pas avoir pu finir ses études et avoir du quitter sa ville.
Ma mère a perdu son père – déserteur, mort? – durant la 2ème guerre. Elle a été acceptée par le nouveau mari de sa mère.
J’ai perdu mon « beau » grand-père maternel j’avais 2 1/2 ans et je l’aimais beaucoup.
Ma mère, très occupée par la maladie de ma soeur, m’a laissée me débrouillée seule depuis mes 4-5 ans, je suis l’ainée de 3 – pas vraiment de souvenirs, puis encore occupée par la venue d’autres enfants dont elle s’occupait durant la journée. Mon père était effacé, ne trouvant pas sa place, comme moi d’ailleurs.
J’ai l’impression que tous les domaines me concernent… Comment en sortir? Ma soeur, de 2 ans ma cadette est riche en bien immobiliers, mon frère s’en sort bien aujourd’hui et moi, mes poches sont quasi vides…..
Bonjour Brigitte,
La place d’ainée n’est pas facile car n’arrête pas de se faire prendre
la place déjà pas grande par les soeurs ou frères successifs.
Se débrouiller toute seule à l’âge où on est encore dépendante fait
qu’on se limite dans la vie à ce qu’on est capable de faire sans tenir
compte du soutien et de l’apport des autres et de la vie en général.
On sait qu’on n’en obtiendra pas mais cela n’est qu’une vue d’enfant
qui parfois perdure.
Retraverser des émotions liées à la solitude et l’injustice aident à se
libérer.
Si j’ai bien compris, le fait de comprendre, moi grande, que, moi petite je faisais avec mes moyens et savoirs de l’époque pourrait m’aider dans ma totalité d’aujourd’hui? Si c’est le cas, je pourrais « lui » montrer toutes les capacités acquises en toutes ces années et que nous « grandissions » ensemble. Merci de me confirmer.
Bonsoir Brigitte,
En fait une petite fille en nous est un petit « moi ».
Il est un peu figé et ne grandit pas. Le travail
c’est de l’accueillir dans l’état où est le petit » moi ».
Cette marque d’affection modifie l’état du petit « moi ».
Il n’y a pas à le transformer d’une autre manière.
Hannah,
Vous êtes une vraie source d’inspiration et de bonheur intérieur dû aux révelations que vos paroles déclenchent. Une petite envie de partager un des bénéfices du manque d’argent selon ma lignée familiale: le manque d’argent est un signe d’honnêteté. Et oui, le flot naturel du principe d’abondance en prend un coup. Prouver son honnêteté, son intégrité par la manque d’argent. Je laisse la porte ouverte à vos commentaires judicieux et à votre soutien pour continuer à me débarrasser de cette croyance figée au sein de mon inconscient. Merci ~Louise
Bonjour Louise,
Tout d’abord, il serait bon de chercher autour de vous
des preuves qu’il existe des gens riches et honnêtes
et des gens pauvres malhonnêtes.
Après cela, demandez-vous si c’est vraiment quelque chose
que vous croyez.
Vérifiez dans votre lignée, à qui vous pourriez être attachée
dans la loyauté au manque d’argent.
Bonjour Hannah,
Une fois de plus, cet article me parle.
J’avais décelé que je me mettais dans certaines situations volontairement même s’il y a un inconfort certain… Je suppose que c’est une façon pour moi de challenger les autres et voir si ils vont me « sauver ».
En le formalisant, je trouve cela assez pervers de ma part.
Ce qui est certain c’est que j’ai le sentiment de créer ces situations peut-être pour m’en libérer?
Par ailleurs, je souhaiterai m’inscrire au stage proposé en juin sur la thématique de l’argent.
Merci pour ce bel article qui me pousse à élaboré encore plus.
Magalie
Bonjour Magalie,
Ce n’est pas pervers. Parfois c’est simplement parce qu’on a
vécu tellement d’injustices qu’on essaie d’oublier en exigeant
quelques bénéfices…
Pour le stage de juin, tu peux réserver une place en remplissant
le formulaire qui se trouve sur http://www.taodyssee.com ou en envoyant
un chèque d’arrhes à notre adresse. Dis-moi si tu l’as toujours.
Hannah,
Votre article continue de faire son chemin. J’ai une autre question. Souvent vous faites référence à la notion de colère larvée. Pourriez vous m’indiquer quelques techniques d’approche afin de s;en débarrasser? Merci ~Louise
Bonjour Louise,
Pour détecter la colère larvée, il faut déjà la reconnaître car
elle n’est pas franche. Pister les petits agacements et la
plainte qui est une colère déguisée.
A partir de situations réelles qui déclenchent l’agacement
on peut faire des Tipi.
Hannah,
Accéptez vous de faire des scéances Tipi par skype et en anglais? Et aussi accéptez vous des participants à distance (via skype) à vos stages? Merci ~Louise
Bonjour Louise,
Oui je peux faire des séances en anglais.
Pour ce qui est de participer à distance à un
stage, je vais me pencher sur la question.
Pour celui de l’argent je ne pense pas car il
y a des expériences à faire en live.
Par contre, j’imagine cela possible pour un stage
« couleurs ».
Merci chère Hannah !
Si avec ça je n’ai pas compris….tout devient beaucoup plus clair pour moi !
Dans la foulée, j’ai relu l’article précédent sur ce sujet (celui du 11 Décembre, avec l’histoire du lama et de la petite souris), j’y ai encore trouvé des choses qui font écho (et quel écho…!) à ce que vous expliquez.
– J’ai toujours entendu dire dans ma famille qu’il fallait travailler dur pour gagner pas grand-chose
– Que souvent les riches avaient gagné leur argent d’une manière malhonnête (et bien sûr, on prône l’honnêteté dans la famille…donc gagner trop de sous…voilà voilà, pas bien)
– Pour ce qui est d’un trauma entre un et deux ans..certes, je ne me rappelle de rien, mais…ma petite soeur est arrivée , elle n’avait même pas un an d’écart avec moi.
Pendant que j’allais à l’école (à l’époque on n’attendait pas 3 ans, être propre et avoir deux ans suffisait), ma petite soeur restait à la maison avec ma maman…Ai-je eu un sentiment d’abandon par rapport à ça…je ne sais pas. mais en cumulant bien tout …mis bout à bout…
– J’ai vu mes parents se décarcasser à construire leur maison eux-mêmes (fondations et terrassement compris, monter les murs, couler les dalles etc jusqu’aux fabrications de fenêtres, pose de carrelages et de papiers peints….) parce qu’ils n’avaient pas les moyens de la faire faire tout au moins le gros-oeuvre.
Alors que pourtant à l’époque, des voisins dans la même situation avaient fait un prêt conséquent, et avec la dévaluation qui s’est ensuivie, ils s’en sont très bien sortis !
– En discutant avec mon père, j’ai appris « incidemment » les déboires financiers de ses ancêtres..toujours au ras-des pâquerettes et côté maternel, ce n’est guère mieux.
– Ma grand-mère s’est retrouvée veuve alors qu’elle était enceinte de maman (qui s’est crue « une enfant trouvée » puisqu’elle n’avait pas de papa). Elever 3 enfants à cette époque-là, dans la campagne, une femme seule, pas du gâteau
– Dans la rubrique traumatisme, le décès de ma petite soeur adorée à l’âge de 8 ans et demi m’a laissé dans la plus immense solitude jamais réparée
– J’ai réussi à me laisser convaincre par mon (désormais ex-) mari de quitter mon emploi..ce qui m’a permis le début de mes vrais problèmes financiers (du coup effectivement, j’ai bien reproduit la problématique familiale ! pile poil !)
– et ça n’a fait qu’aller crescendo jusqu’à aujourd’hui.
Pas faute de s’être débattue comme un tigre pour s’en sortir coûte que coûte, mais effectivement, sans grand résultat.
Et pour cause !!!!
Je vais reprendre Ho’opponopono, c’est clair…
En tous cas merci pour ce merveilleux éclairage qui nous permet de prendre conscience de « là où ça pêche » pour nous améliorer vraiment !!! Mille mercis !!!
bonjour Anne,
L’arrivée d’un petit frère ou d’une petite soeur
lorsqu’on a moins de 2 ans reste un trauma dont
on parle peu.
C’est souvent le début d’une grande insécurité car le
regard aimant qu’on attend est tourné vers un autre
enfant .
Si on nous dit à ce moment qu’on est grand
et que c’est le petit qui a le plus besoin, on ne sait
plus si on existe.
Ho’oponopono aide à décoincer la mémoire mais
j’entends aussi que la mémoire est transgénérationnelle.
Heureusement, tout se travaille!
Merci pour ce bel article Hannah
Cela explique bien des choses, le manque de protection, camouflage d’émotions profondes.
Comme vous le dite si bien (il est difficile d’avoir peur de quelque chose qui ne vous est pas déjà arrivé).
Par rapport à l’argent je ressens les mêmes manifestations physiques que vous d’écrivez plus haut.
Alors beaucoup de travail à faire.
Je comprends mieux certains comportements maintenant.
Merci belle Hannah, je vous souhaite une très belle journée.
Bonjour Lulu,
Le travail de l’insécurité financière est
un travail de longue haleine car lié aux premières
années de la vie.
C’est la raison pour laquelle on peut espérer
avancer progressivement mais pas de façon
miraculeuse.
Lorsque l’insécurité affective commence à disparaître,
le compte en banque se renfloue!
Merci pour ce partage, c est tellement important pour l’évolution collective.
Merci, Merci, Merci ! Namasté
Oui c’est un sujet brulant!
un grand merci aux personnes comme vous, qui veulent aider les autres a s ‘elever!
tous mes encouragements
J’accepte les encouragements!
Bonjour Hannah !
Merci pour cet article.
Je dirais carton plein !
Je me reconnais dans chaque bénéfice secondaire.
Récemment j’ai traversé le n°3, sans savoir qu’il était question des mémoires transgénérationnelles, c’est un nouvel éclairage qui fait sens quant à cette expérience.
Il est clair dans mon ressenti qu’il y a un avant et un après.
Des peurs ont disparue.
D’après les infos que j’ai, « j’attaque » le n°1, ne pas pouvoir payer et je viens de toucher le ressenti de : ne me demandez plus rien.
Je ne sais pas si c’était le travail de la pleine lune hier, mais ceux sont mes tipis de cette nuit.
Ce qui m’impressionne toujours, c’est la transformation après la pratique.
La réception d’un sms me met tour à tour dans la terreur et la colère, après l’exercice, je peux le lire sans que ça « accroche ».
J’attends le prochain avec impatience.
Bises.
Delphine
Bonjour Delphine,
Le bon côté c’est que tu commences
à voir des effets, la peur disparait de
certaines situations, c’est exactement
ce qu’on peut espérer d’une séance Tipi.
La suite arrive…
Je me reconnais dans pas mal de situations et bénéfices
secondaires…on m’aurait dit il y a quelques années
que ne pas avoir d’argent comportait des bénéfices,
je crois que j’aurais eu une riposte violente 😉
Aujourd’hui, ça me parait évident, j’ai du bien
avancer dans mon travail personnel!
Je vous réserve d’autres bénéfices secondaires
pour le prochain article.
Bonjour Hannah,
Très très bien vu, très fouillé !
Le moins que l’on puisse dire est que tu touilles là où ça fait mal, là où ça dérange.
Tu nous donnes du boulot, comme toujours, mais du moment que la solution existe, cela vaut la peine.
Alors merci.
Et tu dis que la semaine prochaine sera aussi dérangeante ?!
Amicalement.
Marie
Bonjour Marie,
Oui la semaine prochaine je termine les bénéfices
secondaires au cas où certaines personnes ne se seraient
pas reconnues;-)
Merci pour ces remarquables réflexions, je crois que je viens
de m’en prendre plein la vue par rapport à l’argent!
Bienvenue au club, vous aurez la suite en fin de semaine!
Bonjour Hannah
Je t’adresse un énorme MERCI pour cet article ! Jusqu’ici je n’avais aucune explication à ma peur de manquer autre qu’une explication purement matérielle ; J’ étais à de lieues d’imaginer un lien entre cette peur et ce que j’ai pu vivre enfant ; ton article m’a vraiment donné à réfléchir
Amitiés
Janine
Bonjour Janine,
Ravie que tu aies pu faire le lien.
ce parallèle décongestionne un peu
notre rapport à l’argent et surtout au manque.
Redoutable !!! Merci beaucoup Hannah !
J’étais déjà conscient d’une partie de mes bénéfices secondaires à manquer d’argent, mais là… J’ai déjà dégagé pas mal de choses et apparemment ce qui reste ce serait pour retraverser le climat de terreur !
Je pense que c’est tout à fait ça ! Maintenant, il ne me reste plus qu’à me libérer pour rouvrir les robinets de l’abondance !
Merci
Bonjour Eric,
Tu as de la chance, Tipi est l’outil rêvé
pour aborder les climats de terreur.
Dis moi, tu n’aurais pas bientôt l’âge
canonique d’un chiffre rond?
Oui oui tout à fait ! en novembre prochain !…
et je souhaite venir vous voir avant ce « passage » car comme tu me le dis si bien,
Tipi est la technique parfaite pour aider à traverser !
Bonjour,
Je traine ce manque depuis longtemps…
De mes expériences (constellation familiales, tirage tarot) à ce sujet il en ressort toujours que j’ai un prix à payer… quelqu’un qui a tout perdu pour survivre dans ma famille (ma grand mère)…
« je dois tout perdre pour être en vie » …. pas facile de s’en débarrasser…