4 histoires initiatiques pour être heureux dans l’instant

etre heureux dans linstant1Pour être heureux dans l’instant, transformez vos défauts en qualités.

 

J’adore les petites histoires initiatiques alors je vous en ai dégoté 4 qui illustrent 4 soi-disant défauts que vous pouvez aisément transformer en qualités sans vous battre avec.

 

Sauf que, j’ai enfin décidé de vous écouter, je vous en livre 2 cette semaine et 2 histoires initiatiques la semaine prochaine pour que mes articles soient un peu moins longs.

 

Finalement c’est au lecteur de décider aussi…Vous pouvez aussi écouter cet article en vidéo en cliquant ci dessous:

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Je vais vous parler d’habitudes mentales qui pourrissent un peu la vie et plombent votre énergie. Pas facile d’être heureux dans l’instant avec un mental qui aime contrôler, user de discipline et juger en permanence les personnes et les situations.

 

Moi, de par ma pratique, je suis plutôt pour laisser le mental faire afin de mieux l’observer et voir ce qu’il cache derrière ses comportements et ses jugements.

 

Vous allez voir comment on se fait facilement berner par son mental sans même s’en rendre compte. Vous verrez que même les plus sages se font avoir…Ah, certitude quand tu nous tiens.

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1°) Étudiez de près certitudes et jugements pour être heureux dans l’instant

 

Un homme était étendu sur le bord d’un chemin. Il n’était ni blessé ni mort, juste couvert de poussière. Un voleur l’aperçut et se dit:

« C’est sûrement un voleur qui s’est endormi. La police va venir le chercher. Il vaut mieux que je m’éclipse avant qu’elle n’arrive. »

Un peu plus tard un ivrogne le contourna en titubant :

« Voilà ce que c’est de ne pas tenir l’alcool ! constata-t-il. Allez, salut l’ami ! Et la prochaine fois, ne bois pas tant ! »

Arriva un sage. Il s’approcha et se dit :

« Cet homme est en extase. Je vais méditer à ses côtés. »

 

N’imaginez pas que vous passez à côté de ce type de certitude…nous faisons cela toute la journée. Le cerveau est ainsi fait, il cherche le connu plutôt que d’être heureux dans l’instant. Lorsqu’il est confronté à une nouvelle situation :

 

  1. Il cherche à l’intégrer dans son système de croyances pour en faire du sens.
  2. Il puise dans sa banque de données afin de trouver une situation similaire avec laquelle il pourrait la comparer.
  3. Il met une jolie étiquette et la range dans la bonne case.
  4. Il vous envoie alors de la dopamine pour vous récompenser d’avoir repéré quelque chose de connu. 

 

La sensation temporaire de dopamine qui en résulte, lorsque nous reconnaissons une expérience, nous empêche d’imaginer que nous sommes à côté du réel et de l’instant présent. C’est juste un shoot comme on peut se faire un shoot de sucre avec du chocolat.

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La réalité, c’est que nous avons beaucoup de mal à imaginer de la nouveauté et nous sommes réellement prisonnier de nos croyances et de nos autoroutes neuronales.

 

C’est aussi ce qui se passe dans le couple : vous passez votre temps à faire des interprétations de la réalité et vivre dans votre monde de croyances au lieu d’être totalement dans le présent, seul instant qui permet d’être heureux.

 

Prenons un exemple: votre mari (votre femme) rentre tard et il ne vous a pas prévenu : vous pouvez interpréter:

 

  • qu’il ne vous respecte pas
  • que vous ne comptez pour rien dans sa vie
  • que les autres ont plus d’importance que vous
  • que c’est le début de la fin
  • que c’est un pervers narcissique
  • qu’il est allé en voir une autre
  • qu’il a eu un accident
  • qu’il est mort

 

Je sais que ça a l’air grossier au premier abord, mais soyez attentif la prochaine fois que cela vous arrive pour voir le menu que vous sert votre mental.

 

Cela demande une grande présence attentive pour étudier de près son mental! Être « aware » comme le dit si bien JCVD. On se moque, on se moque mais Jean Claude a l’air de savoir de quoi il parle. Allez une petite minute de JCVD: https://www.youtube.com/watch?v=JtCwLXMMOd4

 

Pour en revenir à nos interprétations mentales, qu’est ce qui vous fait choisir une réponse plutôt qu’une autre ? Vos propres mémoires à l’intérieur de vous ou dans votre arbre généalogique !

 

En fait sans le savoir, vous passez votre vie à faire des interprétations en fonction de vos filtres.

 

Un des accords toltèques dit : « ne faites aucune supposition », donc ne donnez pas une signification aléatoire aux choses, ce serait pure projection.

 

Je trouve que les suppositions que vous allez faire sont passionnantes, vous allez ainsi pouvoir étudier ce que vous projetez sur le monde et les autres et dans ce cas précis dans la relation de couple:

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Si c’est le manque de respect que votre mental vous sert:

 

Regardez là où cela se passe vraiment dans votre vie.

 

Immanquablement vous allez voir que c’est vous que vous ne respectez pas. Vous posez des actes avec lesquels vous n’êtes pas d’accord. Vous refusez de vous accorder ce dont vous auriez besoin etc…

 

Vous êtes aussi bien trop souvent prêt à vous remettre en question dès que quelqu’un n’est pas d’accord ou émet une objection.Vous vous prenez pour quelqu’un d’ouvert et de compréhensif. Mais souvent vous ne respectez pas ce que vous avez senti.

 

Vous pouvez jouer au rebelle et être contre ce que l’autre vous dit, mais au fond de vous, vous en tenez compte, sinon pourquoi vous rebeller, l’autre a bien le droit d’émettre une opinion différente de la vôtre après tout.

 

Votre meilleure arme et votre plus grand verrou, c’est la culpabilité lorsqu’il s’agit de vos proches. Face à l’autre (même aux inconnus) ou à des membres de votre famille, vous ne savez pas respecter ce qui se passe en vous au nom de « je devrais » et « il faut quand même ».

 

Si vous pensez que vous ne comptez pour rien dans la vie de l’autre,

 

Posez-vous cette question : « auprès de qui est ce que j’avais l’impression de ne pas compter lorsque j’étais enfant?  » ou « qui comptait plus que moi dans ma famille? » 

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C’est peut-être vos parents trop fusionnels qui vous ont inspiré cette interprétation, l’arrivée d’un concurrent ou d’une concurrente, un frère, une sœur, un parent malade ou handicapé etc…

 

Voyez que, contrairement à ce que vous pensez, vous n’êtes pas ici et maintenant lorsque vous vous faites cette réflexion, impossible d’être heureux dans l’instant car vous êtes dans la répétition d’un passé.

 

Si vous imaginez la trahison au lieu d’être heureux dans l’instant

 

Posez-vous la question « quelle est la situation la plus ancienne où j’ai eu l’impression d’être trahi ?» ou « qui a vécu la trahison lorsque j’étais enfant ? »

 

Je vous l’ai déjà dit mais on ne peut pas avoir peur de quelque chose qui n’est pas arrivé et que l’on porte, que ce soit à nous, nos parents ou nos ancêtres.La trahison dans le passé est la piste. Voici quelques exemples de trahison (interprétée comme tel)

 

  • Être déposé chez ses grands parents
  • Être envoyé à la DASS
  • Être envoyé en colonie de vacances contre son gré
  • Vivre un abus dans la famille sans avoir été protégé
  • Être humilié ou ridiculisé en famille
  • Avoir à faire une performance publique
  • Se taire alors qu’on a vu un des parents commettre l’adultère
  • Être envoyé en pension sous prétexte qu’on a un comportement déviant
  • Être envoyé en hôpital psychiatrique (même si c’était nécessaire)
  • Aller chez le dentiste (sans réconfort) alors qu’on a peur
  • Ne pas être envoyé chez le dentiste alors qu’on a mal…
  • Faire une prise de sang qui nous panique
  • Être déposé à l’école (même si c’est obligatoire)

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  • Voire débouler un nouveau bébé dans la famille
  • Voir ses parents divorcer (même si c’est nécessaire…)
  • Voir un adulte mentir

 

Vous voyez qu’il y a de quoi faire en matière de trahison, même si nos parents ont fait ce qu’il faut!

 

Vous avez peur de l’accident

 

En tirant le fil, c’est que vous avez peur que l’autre meure et cela vous ramène à votre propre peur de mourir.

 

Vos mémoires de mort datent de votre vie intra-utérine ou des premiers mois de votre vie, c’est peut être le moment de tester la technique TIPI au lieu de projeter la mort sur les êtres chers autour de vous !

 

En fin de compte, tout ce que vous vous racontez pendant le retard de l’autre n’a rien à voir avec la réalité…

 

2°) Analysez votre routine pour être heureux dans l’instant

 

Vous avez l’impression qu’il ne se passe rien dans votre vie ? Voilà une petite histoire initiatique pour vous réveiller de votre sommeil non conscient:

 

Un yogi hindou, désespéré par le silence de la divinité, jura un jour :

« Ô Dieu si tu ne m’apparais pas dans les trois jours qui viennent je cesserai de m’alimenter ! »

Durant les trois jours suivants une mendiante passa puis un fou et enfin un chien errant. Au bout du quatrième jour la divinité apparut au yogi qui s’exclama :

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« Ah !… Te voilà enfin ! »

La divinité lui répondit :

« Par trois fois je suis venue te voir et tu ne m’as pas reconnue ! J’étais la mendiante, j’étais le fou et j’étais le chien errant. »

 

Je reçois parfois des personnes qui trouvent que rien n’avance dans leur vie. Ils sont un peu malheureux, parfois désespérés et sans le savoir ils essaient de me prouver qu’on ne peut rien pour eux et qu’ils ne peuvent pas être heureux dans l’instant..

 

Ce n’est pas faux…ils ne savent pas qu’ils sont entrain de se plaindre. Ils aimeraient des aventures extraordinaires, ils se comparent aux autres pour dire que leur vie est morne, sans surprise ou totalement coincée à cause de l’argent ou d’autres circonstances.

 

Je sais que ce n’est pas si vrai même si la vie matérielle peut être limitante. La vie vous propose en permanence des situations qui appuient sur tous vos boutons émotionnels pour que vous puissiez vous en libérer.

 

Mais comme ce yogi, vous résistez car la situation vous agace, vous fait peur ou ne vous plait pas. Vous dites que c’est à cause d’elle que vous ne pouvez pas être heureux dans l’instant. Pourtant elle porte comme le chien de l’histoire les stigmates de la divinité mais vous ne le voyez pas.

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Parfois, vous vous cachez derrière une responsabilité indécrottable, celle envers vos enfants, vos parents ou des personnes chères ( de la famille ou non). Je ne vous jette pas la pierre, tout le monde fait ça.

 

Je ne dis pas non plus qu’il ne faut pas s’occuper des autres mais je dis que les ressentis que l’on a en s’occupant des autres sont à prendre très au sérieux car ils permettent de faire un super travail de libération. C’est aussi la divinité que vous auriez besoin de reconnaître pour être heureux dans l’instant.

 

Seulement voilà, il faut accepter que vous n’êtes pas en permanence dans le don et la compassion. Parfois, l’autre vous casse les pieds même si vous l’aimez très fort. Parfois vous en avez marre de vous occuper de lui et vous aimeriez jeter aux orties toute votre responsabilité.

 

Le seul travail à faire c’est bien entendu sur l’agacement mais vous faites une pirouette en disant ; « oui mais elle a tellement besoin qu’on l’aide ou il a tellement besoin de moi ». Adieu la divinité pour apprendre à être heureux dans l’instant.

 

A ce moment là, vous ne la reconnaissez pas alors qu’elle se cache derrière la situation et surtout derrière votre agacement. La vie ne se travaille pas autour des grands drames humains mais sur des détails qui passent inaperçus.

 

Si vous n’apprenez pas à les regarder à la loupe, vous allez avoir l’impression que rien ne bouge et rien n’avance. Et pourtant, tout est votre Maître, tout le temps, même l’ordinateur en panne et même Facebook qui fait peur…

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Tout pourrait vous permettre d’être heureux dans l’instant si vous acceptiez de le travailler au lieu de le prendre pour un problème pas important.

 

Vous apprendrez tout autant d’un éveillé que de la peur de ne pas savoir vous servir correctement d’un ordinateur…c’est cela la grande leçon de cette petite histoire initiatique.

 

Et vous, que vous inspirent ces histoires? Laissez un commentaire!

 


Hannah

38 commentaires

  1. lucette le 18 juin 2016 à 13 h 39 min

    que ça fait du bien !!!! je super like ! 😉



    • Hannah le 18 juin 2016 à 15 h 41 min

      Merci Lucette pour ton enthousiasme!



  2. Dorian le 18 juin 2016 à 13 h 43 min

    Coucou Hannah,
    Tout de suite attiré car j’aime les histoires !
    Et je suis tombé ce matin sur une carte d’anniversaire avec la citation : « La vie ce n’est pas d’attendre que l’orage passe c’est d’apprendre à danser sous la pluie ». Assez proche de ta seconde histoire. On ne se rend pas compte que l’on a tout sous la main pour être heureux et notre interprétation des événements est toujours filtrée par nos propres croyances comme tu le dis.
    Un autre petit bout d’histoire : un homme qui est au bar avec des amis et c’est festif. Le barman qui demande « What do you celebrate ? », ce à quoi il répond « TODAY !! ». Si l’on peut célébrer chaque instant, nous voici pleinement heureux ici et maintenant 🙂
    Bises !
    Dorian
    PS : Petit rappel pour mon email 😉



    • yveline le 19 juin 2016 à 18 h 56 min

      coucou Dorian, je vais regarder Le pouvoir des mots que tu m’as envoyé



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 16 min

      Merci Dorian pour cette citation que j’aime beaucoup aussi.
      PS je ne t’oublie pas



  3. Joelle le 18 juin 2016 à 14 h 48 min

    Bonjour
    Nous sommes allés voir les 3 Amis Joe Dispenza, Gregg Braden et Bruce Lipton en ARKANSAS la semaine dernière Alors , imaginez
    bravo pour votre travail Joelle



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 15 min

      Bonsoir Joëlle, ça fait une belle rencontre au sommet avec 3 experts
      de qualité…je connais moins Joe dispenza



  4. ISABELLE SEGURA le 18 juin 2016 à 15 h 22 min

    Travailler avec vous sur les couleurs Hannah, nous apprend à être plus à l’écoute de ces petits signaux du mental. Le pire étant quand on se voit à l’action : on repère et pourtant on continue dans son schéma. Je rentre le soir : je suis très fatiguée de ma journée et mes enfants me disent maman : j’ai besoin de toi pour les devoirs, mon rapport de stage etc. et moi je dis sur la défensive : je suis fatiguée et je voudrais me doucher d’abord. Mais ils continuent à me dire : non mais regarde juste mon travail cinq minutes, et moi je hurle mais vous ne m’entendez pas – ben non, je suis incapable d’entendre ma propre fatigue et partir me doucher directement au lieu de tergiverser avec eux.
    Même mon fils me dit tu es fatiguée, vas te doucher mais non je continue à crier…
    voilà le mental à l’oeuvre, tu dois, il faut, car tu es une maman avant tout – et tant que je ne m’écoute pas – mes enfants ne m’entendront pas non plus…Avant, je me serais sentie victime de la situation. La fatigue fait ressortir tous les agacements, les travers et notre mental prend le dessus, il se régale.

    Alors qu’il faudrait juste dire stop : j’ai besoin de quoi là pour être bien ? A très vite pour continuer le travail sur soi…



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 14 min

      Bonsoir Isabelle,
      Tant qu’on n’entend pas sa petite à l’intérieur,
      personne n’a l’air de nous comprendre et nous entendre
      à l’extérieur.
      Un gros Ho’oponopono s’impose 😉



  5. Nathalie le 18 juin 2016 à 16 h 49 min

    Ah ! Hannah , tes articles sont roboratifs !
    L’écran de mon ordinateur se fendille en partant du centre , idem pour le tél portable : tiens ! Qu’est ce que je ne veux pas voir ?….
    Le chargeur du portable qui ne charge plus , la prise HDMI TV qui a rendu l’âme , la prise péritel qui ne fonctionne pas …. Plus de TV ! Pas de quoi en faire un drame ! Bref , la connexion ne passe plus !! Bon , visisblement je dois regarder quelquechose en moi pour que je sois ainsi coupée de l’extérieur non?
    Elécubrations du mental peut-être :
    Je lâche prise sur l’agacement et , ma foi , ça va mieux ..



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 12 min

      Je traduis…qui redonne du peps.
      Tu as un souci de communication Nathalie? 😉



  6. claudine le 18 juin 2016 à 19 h 37 min

    Merci ,j’adore vos histoires cela me fait du bien cela me permet de me recentrer sur moi meme et je me sents tout de suite mieux ….
    Amicalement

    claudine



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 10 min

      Merci Claudine, toujours beaucoup de sagesse
      avec quelques mots d’une petite histoire.



  7. LE BOLU Sandrine le 19 juin 2016 à 9 h 54 min

    Bonjour Hannah,
    Mon filtre (filtre douloureux et destructeur), ce sont mes parents et en particulier ma mère. Qui m’a fait croire que j’étais insignifiante et que je ne valais pas la peine qu’elle m’accorde son amour et son attention. J’ai couru après un mirage pendant ans en passant qu’elle changerait et qu’un jour elle finirait par m’accorder l’attention que je mérite. Je me suis épuisée et j’ai passé des années à souffrir. Je sais depuis l’été dernier qu’elle ne changera jamais et je me demande comment j’ai pu attendre si longtemps pour enfin l’intégrer. Par contre un évènement familial la semaine prochaine était censé « m’obliger » à ce que je me retrouve en sa présence, suite à la pression familiale. J’ai d’abord accepté en me soumettant à l’avis de chacun : « tu ne vas pas lui montrer que tu te soumets », « tu ne dois pas lui montrer que tu as de la peine » « tu ne vas pas te priver d’être présente parce qu’elle est là ». J’étais prête à suivre ce que les autres me dictaient de faire…Jusqu’à hier soir où suite à une conversation avec des personnes qui vous connaissent bien m’ont dit de faire ce que je voulais vraiment MOI. Ils ont raison et ça m’a libéré. J’en ai marre de faire plaisir aux autres à mon détriment. De faire ce qui est conventionnel, ce qui doit être fait. Je veux commencer à me respecter et cesser de me faire violence, je ne veux plus me torturer et m’écouter. La petite fille au fond de moi me remercie et je suis en paix avec cette décision : JE N’IRAI PAS. Sandrine



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 09 min

      Bonjour Sandrine,
      Bravo pour ce témoignage.
      Ah, les mères…arriver à agir pour soi et pas contre
      les évènements et les personnes, voilà le grand défi.
      Prendre soin de la petite qui a besoin de se reconstruire
      est une priorité.
      Lorsqu’on a mis beaucoup de coeur sur cette petite en
      souffrance , on peut envisager l’ouvrir pour les autres
      mais pas avant.



  8. Dalila VALOGNES le 19 juin 2016 à 10 h 34 min

    Bonjour,
    Merci pour ce petit rappel aux choses importantes. Ce mental qui interfère et qui nous rends sourds à nos propres émotions….. que l’on écoute au point de plus nous écouter nous même !

    Apprécier et remercier pour le moment présent car ce que nous vivons nous amène à ce que nous sommes !

    Merci encore.



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 05 min

      Bonsoir Dalila et merci pour votre commentaire.
      le mental est toujours une source d’enquête et
      de travail à faire…



  9. yveline le 19 juin 2016 à 18 h 58 min

    Merci Hannah c’est comme l’histoire de curé un jour d’inondation…



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 03 min

      Oui, il faisait des prière pour être sauvé par Dieu et il a refusé l’hélico sous
      prétexte que Dieu lui avait promis qu’il viendrai l’aider…



  10. yveline le 19 juin 2016 à 19 h 01 min

    Aujourd’hui c’est le premier anniversaire de mariage de mon deuxième demi siècle !



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 02 min

      Voila de quoi fêter en plus de la fête des pères..



  11. Hélène B le 19 juin 2016 à 20 h 49 min

    Ce que cela m’inspire, c’est que quand on commence à voir les oreilles du chien errant comme étant un morceau de Dieu, on est sur la voie de la guérison.
    Avec tout ce que j’ai appris depuis quelques années et dernièrement avec les couleurs, j’ai pu vivre une situation de peur panique tout en étant consciente que ce que je vivais était une étape vers une guérison même si je n’arrivais pas à me désidentifier de cette peur.
    Il y a quelque temps de ça, j’aurai été en panique, en souffrance pendant des jours et en situation de victime, point barre.
    Merci Hannah



    • Hannah le 19 juin 2016 à 21 h 01 min

      Bravo Hélène,
      Oui tu as raison,quand on commence à voir le divin en action même dans les pires
      situations c’est qu’on a bien avancé.



  12. Magalie le 20 juin 2016 à 11 h 40 min

    Bonjour Hannah,

    Etre attentif à ce que nous sert le mental est finalement assez amusant je trouve. Parfois, je le regarde faire tel un petit rongeur.
    Le pouvoir de l’instant présent il y a que ça de vrai!
    Merci de nous rappeler à l’ordre avec ce bel article une fois de plus.

    Bien à toi,
    Magalie



    • Hannah le 21 juin 2016 à 7 h 51 min

      Merci Magalie pour ton commentaire, effectivement il y a beaucoup plus
      à gagner à l’étudier qu’à vouloir lui faire la guerre…se battre avec un enfant de 5 ans
      ne donne pas de grands résultats, mieux vaut le surveiller d’un regard tendre et
      amusé!



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 58 min

      Merci Magalie, toujours en vadrouille à l’autre bout du monde?



  13. Nicole le 22 juin 2016 à 14 h 14 min

    Merci Beaucoup Hannah,

    Article encore au top. Ca me fait penser à ma fille qui fait toujours le contraire de ce que j’espère d’elle. Je pense que je dois travailler avec Ho’oponopono. Merci beaucoup !



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 57 min

      Elle n’a peut être pas tort Nicole…



  14. Antoine le 23 juin 2016 à 8 h 03 min

    De tres bonnes histoires très pragmatiques, faciles et donc agréables à lire pour les retenir, elles suscitent l’attention



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 57 min

      Merci Antoine, c’est plus facile à digérer l’été!



  15. gilbert le 27 juin 2016 à 10 h 45 min

    cc
    merci pour ces belles histoires;particulierement la 2
    le mental et nos convictions toute faite!!!
    meme avec la pratique de la méditation et ho’oponopono
    il est tenace!
    belle jounée
    a bientot



  16. Helene le 1 juillet 2016 à 20 h 06 min

    Bonsoir Hannah,

    Ces histoires mettent en évidence ce que nos lunettes de vue nous renvoient selon nos représentations mentales, en fonction de ce que nous avons vécu. De ce que la vie a forgé en nous.

    Restons donc attentif au comment interpréter les situations que nous rencontrons sur nos chemins de vie.



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 52 min

      Parfaitement Hélène, c’est incroyable tout ce qu’on se raconte
      toute la journée en fonction de nos filtres et que nous prenons
      pour la réalité!



  17. mona le 10 juillet 2016 à 20 h 56 min

    Bonsoir Hannah,
    j’attend tes articles avec impatience, tu es très spéciale, surtout tes histoires, pleines de sagesse, en ce qui concerne le bonheur, a mon avis, on ne peut pas vivre et être tout le temps heureux, satisfait, serin, la vie n’est pas facile, elle peut même parfois être très dure, j’ai trouvé un article que j’ai partagé sur mon blog, la façon la plus simple pour être satisfait et heureux dans sa vie
    https://limonasblog.wordpress.com/2016/05/03/pour-les-psys-cest-lune-des-meilleures-astuces-pour-se-remonter-le-moral/
    merci beaucoup, et bonne soirée
    mona



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 46 min

      Tu as raison, le bonheur ce n’est pas d’être tout le temps heureux mais
      d’être présent lorsqu’on ne l’est pas et de nettoyer ce qui doit l’être
      dans l’instant



  18. Marcel le 11 juillet 2016 à 18 h 12 min

    Merci pour les histoires et surtout leur développement.
    Je partage un évènement récent qui m’a fait beaucoup de bien.
    Il y a quelques semaines, j’ai failli me faire emporté avec ma tente, dans le nord de la Norvège, au cours d’une tempête terrible.Quand j’ai pu me mettre en sécurité (et même sauver mon matériel) je me suis dit : « mais c’est formidable, je suis vivant, c’est le plus beau jour de ma vie ». Puis j’ai réalisé que c’était une évidence puisque c’était celui que j’étais en train de vivre, qu’il n’y en avait pas d’autre, que hier c’était déjà des souvenirs et que demain n’existait pas encore.
    Alors maintenant, chaque matin ou en cours de journée je me dis : « Eh attention, c’est quand même le plus beau jour, le plus beau moment de ta vie, il n’y en a jamais eu un comme ça, c’est du neuf, ne le gâche pas ».
    Avec ça je suis heureux dans l’instant quelque soit le temps, les évènements, les circonstances, puisque je suis là, bien vivant.
    Tolstoï l’a dit avant moi : »Vous ne vivrez jamais de meilleur moment que le présent »



    • Hannah le 23 juillet 2016 à 19 h 44 min

      Bravo Marcel quelle merveilleuse leçon de vie par l’expérience!