Ce que vous n’avez jamais lu sur le papillomavirus et le cancer de l’utérus

 

décodage biologique et cancer de l'utérus 16Décodage biologique et cancer de l’utérus

 

Le cancer est une maladie qui ne laisse pas indifférent. Ou vous l’avez expérimenté ou vous connaissez des proches qui l’ont vécu.

 

La médecine n’est pas ma partie, je ne peux donc vous en parler que du point de vue psychique et émotionnel.

 

Peut être que cet aspect émotionnel est le chaînon manquant qui peut expliquer en partie pourquoi certains s’en sortent et d’autres non alors qu’ils subissent le même traitement.

 

Généralement, vous êtes prêt à vous intéresser au décodage biologique pour les petits bobos comme l’herpès ou la signification des dents.

 

Pour les grosses pathologies qui font peur, vous êtes un peu plus méfiants et c’est normal. Le cancer de l’utérus est une maladie grave qui touche à l’intimité de la femme.

 

Derrière le mot cancer, se profile toujours la peur de ne pas y survivre.

 

Dans l’inconscient collectif il est interprété comme un méchant dysfonctionnement qui survient par le plus grand des hasards et auquel tout le monde peut être confronté un jour ou l’autre sans prévenir.

 

J’espère avoir calmé cette peur avec mon article sur le Docteur Hamer (cliquez) et les fondements de sa nouvelle médecine.

 biologique et cancer de l'utérus3

 

Savoir qu’il y a une origine émotionnelle aux maladies ne résout rien dans un premier temps mais donne un petit pouvoir qui permet d’accepter la maladie, plutôt que de la voir comme une erreur.

 

Elle n’est pas là par hasard, elle a un message à délivrer à propos de quelque chose d’invisible dans votre vie qui génère un stress et que vous n’arrivez pas à gérer.

 

Faire cette recherche ne vous empêche en rien de suivre les filières traditionnelles qui, à leur tour aussi peuvent vous rassurer.

 

Pourquoi ne pas mettre toutes les chances de guérison de votre côté ?


Papillomavirus, cancer de l’utérus et décodage biologique

 

D’origine infectieuse, le cancer de l’utérus se développe lentement à partir de lésions précancéreuses invisibles, vu leur localisation. Il est causé par différents virus de la famille des papillomavirus.


Pourtant, quand on sait que, lors d’une poignée de main, plus de 30 millions de microbes passent d’une personne à l’autre, on se demande pourquoi certaines personnes tombent malades et d’autres non.

 

Ces infections dues au papillomavirus sont très fréquentes, de l’ordre de une femme sur deux exposée au cours de sa vie.

 biologique et cancer de l'utérus5

 

 

En général, elles régressent spontanément sans l’apparition d’un cancer de l’utérus et sans que personne ne s’en soit aperçu.

 

Il est vrai que rien ne permet de déceler l’apparition de ce type de cancer sans un dépistage régulier par frottis.

 

Je vous propose de lire ce que le décodage biologique a à dire à propos du cancer en général:

 

 » tout cancer est un programme biologique (commandé par le cerveau) qui commence par un choc conflictuel émotionnel.

Le choc brutal, doit être ressenti comme émotionnellement dramatique et souvent vécu dans l’isolement. A ce moment là, l’organe qui symbolise le mieux la teneur émotionnelle du choc incarne la maladie .  »

 

En d’autres termes, ce serait le corps lui-même, à travers le système immunitaire, qui donnerait la permission aux germes et au virus d’être actif ou pas, et cela à tel endroit du corps et non à tel autre.

 

Ainsi un cancer est comme une sonnette d’alarme, une sorte de sirène anti-feu. Faire taire le détecteur de fumée (éliminer le cancer par tous les moyens) parce qu’il nous casse les oreilles est un acte simpliste.

 

Ne serait il pas intéressant aussi de savoir ce qui a déclenché le détecteur de fumée avant de s’en débarrasser ?

 

Prévention,vaccin et décodage biologique


Dans le cancer de l’utérus, plusieurs causes (donc plusieurs conflits) sont possibles :

 

  • conflit de frustration sexuelle (je ne suis pas choisie par le mâle)
  • décision volontaire de se frustrer sexuellement suite à un événement perçu comme dramatique.
  • se sentir trompé

 

Tout ce qui est écrit en général s’arrête à ces causes mais, en menant mon enquête, j’ai découvert d’autres causes au cancer de l’utérus comme par exemple:

 

  • conflit relatif à la maternité

 

Les expressions « sans prévenir» et « dramatique » sont des ingrédients essentiels à l’apparition d’un cancer.

 

Ceci est important pour que vous (si vous êtes une femme ou si vous avez une adolescente à la maison) ne sentiez pas une menace peser à chaque instant par ce méchant virus qui, soi-disant frappe au hasard.

 

Il y a de quoi avoir peur d’un cancer viral, lorsqu’on croit sur parole les médias mais cette peur est entretenue par un manque d’informations.

 

Toute cette campagne à propos du vaccin pour prévenir le papillomavirus ne peut pas être complète s’il n’est pas donné en même temps la précieuse indication qu’un cancer se développe suite à un conflit biologique.

 

En d’autres termes, suite à un choc (émotionnel ou psychique) qui se traduit dans la biologie.

 biologique et cancer de l'utérus2

 

 

Pourquoi les jeunes filles sont elles susceptibles d’être touchées si jeunes par ce type de cancer dont j’ai répertorié les causes émotionnelles possibles?

 

1°) Parce que c’est l’âge où elles se posent des questions à propos de la sexualité.

 

2°) Parce qu’elles peuvent se frustrer sexuellement par peur de tomber enceinte.

 

3°) Parce qu’elles sont susceptibles de vivre de façon dramatique des évènements ordinaires comme:


  • une première relation sexuelle ou
  • la frustration de ne pas en avoir
  • la souffrance de ne pas avoir été choisi par l’élu du moment.

 

Si vous rajoutez à cela la difficulté de ne pas savoir à qui se confier, la peur des jugements d’un adulte ou de l’humiliation d’un parent, vous voyez qu’une adolescente n’est pas à l’abri de vivre un conflit pouvant mener à un cancer de l’utérus.

 

S’intéresser à la vie sexuelle de sa fille me paraît tout aussi important que de la mener manu militari se faire vacciner contre le papillomavirus.

 

Le cancer de l’utérus peut mettre une dizaine d’année à se déclencher dans sa phase active, il y a donc largement le temps de faire de réguliers dépistages.

 

Ma propre expérience du cancer de l’utérus

 

Je me suis intéressée de près à cette maladie pour l’avoir vécue moi-même il y a de nombreuses années.

 

A l’époque, j’avais supposé que la cause de mon cancer (in situ) était la frustration, même si je ne comprenais pas vraiment en quoi tout cela avait été dramatique au point de développer un cancer de l’utérus.

 

C’est en lisant un reportage sur les aventures du Docteur Hamer dont j’ai parlé dans mon dernier article sur le décodage biologique que la lumière a jailli.

 

J’ai alors revisité toute l’histoire de ma vie à l’époque de ce cancer et j’ai fini par comprendre ce qui avait vraiment généré le conflit biologique à l’intérieur de moi.

 

Je suis bien évidemment allée jusqu’à l’opération car, à l’époque, je n’avais pas été capable de décoder ce avec quoi j’étais aux prises.

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Je vous en parle en fin d’article et je vous décrypte aussi le cancer de l’utérus de Katia à qui j’avais transmis ces informations afin qu’elle comprenne mieux ce qui lui était arrivé.

 

Je vous retranscris le texte qui m’a complètement fait changé d’avis et m’a obligé à revisiter mes interprétations en matière de cancer de l’utérus.

 

 Histoire d’une des péripéties du Docteur Hamer et cancer de l’utérus


Le Professeur Semm voulait tester la Nouvelle Médecine Germanique du Docteur Hamer en lui présentant le cas d’une patiente de 83 ans.


Il poursuivait en cela deux buts inavoués :


  • le premier était d’éclairer une maison d’édition qui hésitait à publier les travaux révolutionnaires du docteur Hamer sur la loi d’Airain du cancer.
  • par le deuxième, il cherchait à démonter l’absurdité de la théorie du Dr Hamer concernant le cancer afin de l’évincer de la clinique où il exerçait.


Le Prof. Semm avait reçu une patiente de 83 ans en consultation qui souffrait d’un cancer du col de l’utérus stade 3.

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biologique et cancer de l'utérus7

 

Apparemment elle n’avait jamais été mariée, n’avait pas eu de relation sexuelle et vivait seule depuis de nombreuses années.


Lors de cette première consultation, le Dr Semm lui avait demandé si elle avait été en contact avec un ami ou une autre personne de sa connaissance.


La vieille dame avait répondu qu’elle vivait toute seule, sans querelles ni conflits avec qui que soit. Toutes ses connaissances et amis étaient décédés depuis au moins une décennie.

 

Le docteur Semm savait qu’il allait laisser le docteur Hamer se couvrir de ridicule par un échec à sa théorie puisque la dame n’avait pas de conflit sexuel malgré son cancer de l’utérus.

 

Vous allez voir que le Docteur Hamer oriente très vite la consultation car il est persuadé que la dame a vécu un conflit en rapport avec la sexualité pour avoir développé un cancer.

 

Récit de la consultation du docteur Hamer

 

En 1922, quand la patiente était une jeune étudiante en économie à Aachen, elle a rencontré un jeune enseignant, devenu le professeur M.


Elle a d’abord eu sa maîtrise puis son doctorat et elle a travaillé avec lui à l’université d’Aachen jusqu’en 1939.


Hamer: Quand est décédé le professeur M. à Aachen?


Patiente: En 1971 à 78 ans, ce fut très dur pour moi.


Hamer: Vous avez connu votre collègue quand vous étiez jeune étudiante, mais n’était-il pas, madame, plus qu’un simple collègue pour vous?


Patiente (très excitée): Docteur, vous me posez des questions comme si vous lisiez mon âme à livre ouvert, alors que je n’ai jamais dit un seul mot à quelqu’un à ce sujet.


Oui, c’est vrai, il était mon époux! C’était un secret merveilleux entre nous. Et nous avons été fidèles pendant presque cinquante ans, par lettres, jusqu’à sa mort.

 

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Nous étions des époux secrets, il n’était pas question de se marier, ni d’avoir des enfants tant nous étions pauvres.


Nous nous sommes aimés infiniment et sa mort m’a transformé d’une épouse heureuse en une veuve esseulée.


Hamer: Combien de temps s’est-il passé avant que vous n’ayez pu faire le deuil de votre homme?


Patiente: Après un peu plus d’une année j’avais enduré le plus dur. Depuis je me suis retirée.


Hamer: Madame, tout ce que vous m’avez raconté est certainement vrai, mais vous avez omis la chose la plus importante.


Votre époux est mort en 1971. pourtant il a du se passer quelque chose de grave le concernant il y a un an et demi à deux ans,.


Je parle d’un événement conflictuel, comme vous ne l’avez jamais vécu et qui n’a pas été résolu à ce jour.


Patiente: (les yeux grands ouverts de peur, livide ): Docteur, au nom de Dieu, comment pouvez-vous savoir cela ? Jamais je n’en ai parlé à personne, jamais personne ne m’a vu pleurer.


Mais vous avez raison, même maintenant je ne pense à rien d’autre, le jour et la nuit, quand je ne peux pas dormir, ce qui est souvent le cas.


Hamer: Madame, ce serait bien de parler ensemble de tout ça. Et elle a tout raconté. Elle pouvait dater l’évènement conflictuel très exactement au jour, et même à l’heure près.

 

Son époux avait une grande collection de tableaux, parmi lesquels aussi beaucoup de peintures faites par lui-même, qu’il avait tous légués au musée de Husum.


Puisqu’il n’était pas marié et n’avait pas d’enfants, la patiente avait été désignée par lui comme son exécutant testamentaire.


Les tableaux avaient déjà été envoyés à Husum tout de suite après sa mort.


Mais pour lui rendre hommage, toute sa correspondance essentielle, publications, manuscrits etc. était aussi destinée au musée.


Fin décembre 1979 la patiente a reçu chez elle un gros paquet ficelé contenant des lettres, parmi lesquelles ses  propres lettres d’amour à son amoureux et qu’il avait gardées en parfait état.

 

Patiente: Docteur, je me rappelle encore très exactement comment j’ai ouvert le premier paquet, c’étaient mes toutes premières lettres d’amour.

 

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J’étais comme paralysée! C’était merveilleux et horrible, elles me rendaient heureuse et inconsolable, c’était terrible


A partir du 3 janvier 1980, tout m’est revenu. Chaque lettre me rappelait toutes ces tendresses qu’il y a eu entre nous dans la période la plus belle la plus insouciante de ma vie.

 

J’ai tout revécu à nouveau, comme si mon homme vivait encore. Et alors, chaque fois que je réalisais que mon amoureux était mort, alors je ne pouvais que  pleurer, pleurer, pleurer, seulement pleurer….


Et cela n’a pratiquement pas changé jusqu’à ce jour.

 

Une fois de plus les thèses du Docteur Hamer étaient vérifiées.

 

Cancer de l’utérus et mon propre cas


A près avoir lu ce texte, je me suis interrogée sur une période de ma vie que j’ai un peu passé sous silence, celle où j’avais attrapé un papillomavirus et où je me suis fait opérer quelques mois plus tard.


J’étais persuadée que je n’avais pas eu de chance de développer un cancer de l’utérus alors que la plupart des organismes peuvent en général éliminer tout seul ce virus.


Vous avez sans doute retenu que pour trouver l’évènement dramatique qui déclenche un cancer on peut remonter de 6 mois à un an et demi avant l’apparition des symptômes.


C’est la raison pour laquelle, le cancer de cette dame ne pouvait pas remonter à la perte de son époux mais bien à un événement ultérieur.


Je suis moi aussi remontée à un an et demi avant l’opération pour trouver l’évènement déclencheur. Et j’ai trouvé rien de moins que la mort de mon petit ami du moment.

 

Comment avais-je pu occulter cela?

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Cancer de l’utérus et histoire de Katia


En racontant cela à Katia qui avait eu elle aussi un cancer de l’utérus un an plus tôt, j’ai vu qu’elle était interpellée et n’avait pas trouvé elle non plus la racine émotionnelle de son cancer.


Je lui laisse la parole.

 

« Quand j’ai su que le frottis avait révélé des cellules cancéreuses, j’ai d’abord nié les faits et soupçonné ma gynéco de vouloir s’enrichir en m’opérant.

 

Puis, je l’ai rendue responsable: j’étais en colère après la gynécologue qui avait négligé à mes yeux de m’informer des risques à ne pas subir des examens réguliers.

 

Puis, je me suis défendue: cela m’arrive parce que je ne prends pas soin de mon corps, c’est parce que je ne m’aime pas  (je n’allais pas régulièrement faire des examens de prévention) donc il est juste qu’il m’arrive cela.

 

J’en prenais la responsabilité.  Un peu comme si la maladie venait me donner une leçon. Puis, j’ai pensé que cette leçon était une sorte de punition en rapport avec les avortements que j’avais eus plus jeune.

 

J’ai changé de gynéco. Le suivant m’a exposé les risques que je prenais à ne pas me faire opérer le plus rapidement possible.

 

J’ai alors décidé de me faire opérer, persuadée que cela me sauverait. En fait, cette décision a eu plusieurs effets bénéfiques en dehors de ma guérison. 

 

Me sentant seule et faible (avant l’opération) face au spectre du cancer qui menaçait de m’anéantir, j’ai pu demander de l’aide à une connaissance qui a bien voulu m’accompagner, me tenir par la main.

 

Elle est devenue mon amie. Cela m’a permis d’ouvrir mon cœur. Aussi par rapport à ma fille, avant de me faire opérer, je lui ai fait une lettre d’adieux que mon amie devait lui remettre au cas où je mourrais.

 

En l’écrivant, j’ai réalisé que j’avais un vrai lien avec ma fille et que j’étais en paix avec la perspective de ma mort prochaine. Là aussi, je débouchais sur une expérience du cœur. 

 

Ma maladie commençait a avoir un sens puisqu’elle ouvrait la dimension du cœur dans ma vie. Mais il restait toujours une ombre et surtout la peur à chaque frottis d’apprendre que cela avait recommencé.

 

C’est des années plus tard, lorsque ma sœur m’a demandé, en rapport aux travaux du Dr. Hamer, si j’avais trouvé ce qui avait déclenché mon cancer que j’ai trouvé immédiatement l’événement qui avait causé le choc émotionnel.

 

Quelques mois plus tôt, ma fille avait eu un accident de cheval alors que je n’étais pas à ses côtés. En la rejoignant tout à coup, j’ai vu le visage de ma fille figé dans une hémiplégie faciale.

 

Ce fut un choc immédiat. J’ai essayé de ne rien laisser paraître de ma panique intérieure pour ne pas alarmer Marie. Mais elle l’a sentie et a hurlé car elle ne voulait pas aller à l’hôpital. 

 

L’hémiplégie faciale de ma fille a lentement disparu dans les six mois après sa déclaration à l’aide des soins quotidiens (massages faciaux) que je lui prodiguais. 

 

C’est grâce à cette prise de conscience que j’ai développé la certitude actuelle de ne plus être en danger par rapport à cette maladie.

 

Maintenant, je traite immédiatement toutes les peurs qui peuvent se manifester dans ma vie. » (Cela n’est pas dit dans le texte mais il s’agit de la technique Tipi!).

 

Je vous propose de regarder un extrait du magnifique film « my sister’s keeper » si vous ne l’avez pas déjà vu. C’est un éclairage supplémentaire sur le fait qu’une des conséquences du cancer puisse bien être d’ouvrir son cœur.

 

 

 

Quant à l’histoire de Katia, si vous avez lu mon article sur le docteur Hamer, vous avez sans doute retenu que la femme du docteur Hamer avait eu un cancer des ovaires pendant que lui développait un cancer des testicules à l’annonce de la mort de leur fils Dirk.

 

Il paraît normal que les deux organes reproducteurs soient touchés puisqu’il s’agit de leur descendance.

 

En multipliant les cellules cancéreuses le cerveau encourage ainsi une surproduction d’ovules et de spermatozoïdes afin de refaire rapidement un enfant et relativiser le stress de la perte.

 

Alors pourquoi Katia a t-elle développé un cancer de l’utérus plutôt qu’un cancer des ovaires ?

 

Devant un tel souci du détail, il apparaît très clairement que le cancer ne cible pas au hasard les organes touchés.

 

Ils correspondent vraiment au type de conflit que la personne vit et ceci est totalement subjectif et personnel. L’utérus est l’organe dans lequel évolue le fœtus pendant toute sa vie intra-utérine. Le col en protège l’entrée.

 

En affectant le col de l’utérus, le cerveau de Katia indique qu’elle s’en veut de ne pas avoir su protéger sa fille et de ne pas avoir été là pour prévenir l’accident. Il n’est pas question d’une surproduction d’ovules afin de refaire un enfant.

 

Devant tant de précision, je ne peux que m’extasier devant la perfection et la cohérence de notre machinerie interne. Quand bien même cette perfection serait une maladie.

 

Si vous avez une explication différente de la mienne , je vous encourage vivement à en faire part dans les commentaires.

 

Alors, encouragé(e) à modifier votre point de vue sur le cancer. Une expérience à partager? Laissez un commentaire!


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Hannah

72 commentaires

  1. JEAN FRANCOIS le 1 février 2014 à 8 h 40 min

    Vous dites que l’herpes est un petit bobo. Il n’est certes pas mortel, mais il m’empoisonne la vie depuis des années. Deux fois par mois ce virus apparaît sur mes parties génitales, et je n’ais pas de solution pour m’en débarrasser. Je vous laisse imaginer l’impact sur ma vie sexuelle.



  2. Nadège le 1 février 2014 à 11 h 46 min

    Bonjour Hannah !

    Merci pour cet article très intéressant. Bonne journée à vous !



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 25 min

      Bonjour Nadège et une excellente semaine



  3. Éric G. Delfosse ☼ le 1 février 2014 à 12 h 59 min

    Une explication différente de la tienne, Dame Hannah ?
    Je m’en garderai bien, ton raisonnement me paraît (comme dans les conjugaisons) « plus-que-parfait »…
    😉

    Petite réflexion personnelle…
    Le jour où le Docteur Hamer ne sera plus considéré comme un criminel par les imbéciles qui font les lois de la médecine officielle, la médecine (la vraie) aura fait un grand pas en avant !
    Pas demain la veille, malheureusement…
    👿

    Belle (mais froide) journée à toi !
    Et je confirme que je ne suis pas un robot (pas trop, en tout cas)… 😉



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 24 min

      Bonjour Eric, cela fait longtemps…
      Je ne sais pas si ce sont des imbéciles, ce qui est sur c’est
      que ce sont des personnes qui contrôlent et tiennent à garder le
      pouvoir pour se rassurer.
      Le docteur Hamer a fait assez de bruit pour que ceux qui ont
      des oreilles entendent…



  4. Abadie le 1 février 2014 à 14 h 18 min

    Bonjour Hannah,

    Je m’intéresse au décodage biologique, au langage des malaises ou des maladies. Il y a des guérisons du cancer (et je sais bien que chaque personne a son histoire qui peut être bien différente de celle d’une autre personne affectée du même symptôme ou d’un même maladie et que la prise de conscience n’est pas la même pour chaque personne), je veux en venir au fait que je n’ai jamais entendu dire qu’une personne atteinte de la maladie de parkinson soit guérie et cependant je crois cela possible.
    J’ai besoin de ton avis…..
    Merci beaucoup Hannah.
    Monika



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 22 min

      Bonjour Monika,
      Moi je crois aussi qu’on peut faire quelque chose avec la maladie
      de Parkinson.
      Dans cette maladie, il y a peur de finir les choses, car peur du futur, de la mort.
      Donc on arrête les mouvements et on ne va pas jusqu’au bout.
      La base du conflit: on a voulu repousser quelqu’un ou une situation (dans le cas
      d’un abus par exemple) ou au contraire on a voulu retenir quelqu’un ou quelque chose
      pour ne pas qu’il parte et on n’a pas pu.
      Il y a donc une tentative de contrôler la vie des autres et de ne pas y arriver,
      d’où le conflit.
      Je pense qu’avec cette piste, il n’y a pas de raison de ne pas envisager une
      sorte de guérison ou d’atténuation des symptômes en vivant les émotions qu’on
      cherche à fuir.



  5. christine le 1 février 2014 à 16 h 10 min

    bonjour Hannah,
    Ton article sur le docteur Hamer m’avait « scotchée » car je n’aurais jamais crû que le cancer était le résultat d’un choc émotionnel et cet article est tout aussi parlant et clair !! Ma question est : une fois l’origine du choc découverte, ses effets -le cancer- disparait-il, à l’instar de la peur panique avec Tipi, ou faut-il avoir recours aux traitements traditionnels ? dis-moi, comment ça marche après avoir découvert pourquoi notre corps a réagi ainsi ? la guérison est-elle facilitée ?
    Il en faudrait beaucoup plus de Docteurs Hamer afin de nous soigner mieux !!
    Merci Hannah pour le bien que tu nous fais avec tes éclairages !!
    Amitiés



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 09 min

      Bonjour Christine,
      Heureusement le Docteur Hamer a fait des émules, même si
      chacun a choisi de développer ses thèses à sa façon.
      Je ne crois pas que le cancer disparaisse immédiatement
      comme une peur ou une phobie avec un Tipi.
      Il y a un enchevêtrement d’identifications à dénouer.
      Heureusement que l’organe touché donne de bonnes indications
      sur l’origine premier du stress.
      Changer ses habitudes de vie et ses habitudes relationnelles
      aide aussi à guérir.
      Certaines personnes n’arrivent pas à guérir mais meurent « guéries »..
      elles trouvent la paix, le lâcher prise et souvent l’amour
      à la fin de leur maladie.
      Du point de vue de leur âme ou de leur Esprit, le conflit est résolu
      même si la personne meurt.
      Bon, je reconnais qu’il faut développer une vision large pour
      pouvoir accepter cela.
      Accompagner un mourant aide à sentir que, à l’approche de la mort,
      beaucoup d’amour peut se dégager.



  6. laurence le 1 février 2014 à 17 h 45 min

    il serait grand temps de penser l’être humain et la médecine de façon holistique, certaines traditions le font, les têtes pensantes du vieux continent trouvent ça ridicule, et c’est bien dommage ! on aurait tout à y gagner mais malheureusement les lobbies pharmaceutiques tout à perdre. Ceci explique certainement cela. Etant passé par la phase cancer, il m’a semblé évident de chercher à comprendre ce qui se cachait derrière, tout en passant par la chirurgie, l’un n’empêche pas l’autre. Le corps médicale lui ne sait que se draper dans son arrogance face aux ignorants que nous sommes, mais passons outre, on va pas s’en faire pour si peu.

    Chaleureusement.

    Laurence



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 03 min

      Bonjour Laurence,
      Comme l’a dit Katia, trouver son coeur au passage
      peut aussi être un des effets secondaires de la
      maladie.



  7. Sabrina le 1 février 2014 à 19 h 32 min

    C’est vrai, je n’avais jamais fait le rapprochement entre mon chagrin lié au décès d’un ami et mon papillo !!
    J’étais pourtant bien jeune…
    Merci pour l’éclairage. biz Sabrina



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 02 min

      Bonjour Sabrina,
      Il faut vérifier avec les dates et ne pas négliger
      l’aspect frustration…



  8. JACQUELINE le 1 février 2014 à 19 h 35 min

    Bonsoir Hannan

    Cet article est vraiment très interéssant car il touche beaucoûp de personnes ou atteintes ou entourant la personne « malade », comment faire pour que la médecine et chirurgie allopathique s’intéressent davantage à l’avant de la maladie, à savoir d’où cela peut il naitre ? quel lien avec l’histoire du patient ?
    on sait que les traitements ou la chirurgie sont indispensables, mais ne négilgeons pas les médecines naturelles, les approches holistiques, etc…..
    Mais parfois je me demande si l’on veut que les gens aillent mieux ? qu’ils prennent moins de médicaments ? ………
    je ne connais pas la réponse
    merci Hannah pour ton témoignage personnel
    amicalement
    Jacqueline



    • Hannah le 2 février 2014 à 21 h 00 min

      Bonjour Jacqueline,
      Ce qui est important c’est d’être informé.
      Ainsi chacun choisit ce qui lui convient.
      La médecine traditionnelle a le droit d’être
      ce qu’elle est et chaque personne a aussi le droit
      d’y rajouter ses propres convictions pour
      obtenir la guérison.



  9. Michel @ Changer Gagner le 1 février 2014 à 22 h 28 min

    Effectivement, les maladies sont souvent issues de problèmes émotionnels non correctement gérés. Apparemment les spécialistes s’accordent sur ce fait.

    Toute technique qui permet de gérer les émotions est donc une précieuse aide.

    Ce qui compte aussi pour les maladies c’est d’être convaincu que l’on peut en guérir.



    • Hannah le 2 février 2014 à 20 h 56 min

      Bonjour Michel,
      C’est sur que ne pas douter de sa guérison est un atout.
      Malgré cela, si la maladie nous décourage, il faut
      vivre les émotions qu’elle génère sans se battre avec:
      impuissance, désespoir, incompréhension etc… et les
      accepter. Ainsi même quelqu’un qui n’arrive pas à
      être convaincu de sa guérison parce que trop de peurs
      peut travailler sur ces dernières afin de guérir.



  10. Alexandra le 1 février 2014 à 23 h 46 min

    Bonjour Hannah,

    Si j’ai bien compris le décodage biologique de l’exemple de la vieille dame de 83 ans ainsi que ton cas personnel (par les causes que tu as données), il s’agit de « décision volontaire de se frustrer sexuellement suite à un événement perçu comme dramatique » ?

    Pour la vieille dame, elle devait être frustrée sexuellement toute sa vie puisqu’elle a été mariée,certes, mais une relation uniquement en secret par correspondance, il y a de quoi être frustrée. En fait, il aurait mieux valu qu’elle ne reçoive jamais ce paquet de courrier, c’est lui qui a tout déclenché finalement (du à sa frustration d’une relation uniquement par correspondance) .

    Alors que ton cas personnel, l’élément déclencheur a été directement le décès de ton ami de l’époque.

    J’ai parfaitement compris le cas de Katia : c’est le conflit relatif à la maternité puisqu’elle s’en veut de ne pas avoir été là quand sa fille a eu sa chute de cheval.

    Je suis quand même étonnée en lisant tout cela (enfin tant mieux) de ne pas avoir développé de cancer car j’ai eu également des épisodes de frustrations profondes étant ado. Jamais eu de rapports jusqu’à mes 21 ans, je le vivais assez mal. Ou la souffrance de ne pas avoir été choisie par l’élu du moment. J’étais toujours assez bouleversée lorsque je voyais l’élu de mon coeur dans les bras d’une autre…

    Mais j’ai appris qu’il faut 4 critères pour entrer en biologie :

    1/ un événement dramatique
    2/ inattendu
    3/ vécu dans l’isolement
    4/ sans solution durable satisfaisante, ingérable, donc refoulé dans l’inconscient biologique.

    Tout cela est fascinant. Depuis une semaine, je suis dans la recherche du décodage biologique de mes cystites à répétitions (commencées en 2005, en 2007 pas mal de fois et 2x par an depuis 2008). J’ai retrouvé la plupart des événements importants, les dates clés et je me suis rendue compte qu’à chaque fois, il s’agissait du fameux problème de territoire. Je ne savais plus où était mon territoire au sens réel et symbolique.

    Là aussi j’ai appris qu’un symptôme peut être lié à 4 ou 5 drames. Il peut y avoir plusieurs causes qu’il faut alors déprogrammer une à une.

    Je me suis fait un pense-bête avec tout ce qu’il y a d’important à retenir lol

    Etant assez novice dans cette discipline, j’aimerais rejoindre la question de Christine ici plus haut dans les commentaires : une fois l’origine du choc découverte, les symptômes disparaissent-ils et faut-il faire quelque chose en particulier ? Car j’imagine bien que dans le cas d’un cancer, un traitement sera toujours prescris, alors que de simples cystites, le fait de retrouver le choc peut suffire à ne plus jamais faire revenir la maladie.

    Merci encore pour tous ces articles intéressants Hannah, ton blog est une vraie mine d’or

    Alexandra



    • Hannah le 2 février 2014 à 20 h 54 min

      Bonjour Alexandra,
      La frustration n’est pas toujours volontaire…
      parfois elle est subie!
      Pour les cystites, il est aussi question d’irritation,
      frustration et contrariété dans les attentes en plus
      du manque de repères sur le territoire. On ne sait plus
      où est sa place.
      je ne crois pas qu’on puisse ne jamais faire revenir une
      pathologie..;on n sait pas à l’avance comment on va prendre
      les évènements qu’on ne connaît pas et qu’on ne peut pas
      anticiper.
      Reconnaître le conflit ne suffit pas dans les maladies
      graves ou les maladies chroniques. Cela aide mais il faut
      aussi aider le corps.
      Une fois le conflit reconnu, il faut modifier quelque
      chose dans sa vie, surtout ce qui est à l’origine du stress.
      Dans le cas d’un décès difficile à gérer, il faut aussi passer par
      les étapes du deuil car le « il n’y a pas de solution dans cette vie »
      ne peut pas se régler si facilement.
      Dans tous les cas, la maladie est un symptôme cohérent qui
      accompagne la personne jusqu’à ce qu’elle modifie sa vie.



  11. Jean-Luc (de Moralotop) le 2 février 2014 à 6 h 44 min

    J’imagine bien que les chocs émotionnels sont en amont des cancers dont celui de l’utérus.
    Je ne prendrai pas position sur le débat « médecine traditionnelle » ou médecine holistique.,
    En revanche, je sais que les expériences vécues sont celles qui parlent le plus.
    Tu nous donnes un exemple personnel, Hannah, qui renforce le message.



    • Hannah le 2 février 2014 à 20 h 41 min

      Bonjour Jean-Luc,
      il n’y a effectivement pas de médecine à évincer
      mais plutôt à conjuguer.



  12. charlotte le 2 février 2014 à 19 h 09 min

    Bonsoir Hannah,

    En lisant ton article, je comprends tout à fait le résultat de ces choc émotionnels. Ces cancers de l’utérus développés
    sont un vrai drame. Peut on éviter un tel processus? Et comment? Une technique qui permettrait de gérer et
    canaliser ses émotions.
    Passionnant ce décodage biologique!

    Merci Hannah

    Belle soirée

    Amicalement

    Charlotte



    • Hannah le 2 février 2014 à 20 h 40 min

      Bonjour Charlotte,
      On peut éviter les drames en restant à l’écoute
      du corps. En général, il nous laisse le temps de régler
      le conflit afin de faire diminuer le stress à
      l’origine de la pathologie.
      La maladie n’est jamais une punition mais bien une
      gestion du stress.



  13. Corinne le 2 février 2014 à 22 h 07 min

    Bonsoir Hannah,
    J’ai constaté que le diabète de ma mère s’était déclenché au moment où mon père l’a quitté.
    Mais, je n’avais pas réalisé l’impact d’émotions/événements sur d’autres maladies comme le cancer.
    Merci pour ces informations.
    J’adore les témoignages, c’est tellement plus parlant pour moi que la théorie…
    Corinne



    • Hannah le 3 février 2014 à 9 h 54 min

      Bonjour Corinne,
      Le diabète est une maladie d’insécurité…on doit
      contrôler constamment!
      En décodage biologique, le diabète c’est être
      coupé en deux, une endroit où il y a de la douceur
      et nous qui devons résister à quelque chose ou
      quelqu’un alors que nous voudrions de l’affection.



      • Corinne le 3 février 2014 à 22 h 37 min

        Bonsoir Hannah,
        Merci pour cette précision.
        Je retrouve bien dans ta description le profil de ma maman, qui tente de tout contrôler… et masque sa douceur…
        Corinne



        • Hannah le 4 février 2014 à 19 h 24 min

          Quand on sait que c’est la maladie du siècle…



  14. Nicole le 3 février 2014 à 16 h 25 min

    Bonjour Hannah,

    Merci beaucoup pour toutes ces informations. Votre site est véritablement une mine d’or (j’approuve). Quand je vois votre mail, une joie m’envahit parce que je sais qu’il y a du nouveau à apprendre. Vos recherches ne sont pas allées dans ce sens, mais je me rappelle avoir lu quelque part que le citron aide à régénérer les cellules cancéreuses dans le corps (tout type de cancer). Si vous avez des informations, vous voulez bien les partager avec nous svp. Vous avez un grand coeur. Merci encore

    Nicole



    • Hannah le 3 février 2014 à 17 h 06 min

      Bonjour Nicole,
      Oui il y a bien des aliments qui aident à renforcer
      le système immunitaire et le citron en fait partie,
      comme presque tous les fruits d’ailleurs.
      Finalement c’est surtout grâce au système immunitaire
      que l’on guérit et la première cause d’affaiblissement
      de ce dernier et le stress bien avant la nourriture.



  15. Bernadette GILBERT le 3 février 2014 à 18 h 14 min

    Bonjour Hannah,
    En parlant de Hamer et du décodage biologique, tu réalises un rêve que j’ai eu il y a quelques années en commençant mon cursus en BT. J’étais tellement enthousiaste que je croyais fermement qu’un jour tout le monde admettrait l’évidence. Quelques années plus tard, installée comme thérapeute en décodage biologique, la télévision nationale a diffusé une émission qui « dénonçait » les abus de la BT. En fait, une émission à la solde des industries pharmaceutiques et de la toute puissance de la médecine officielle. Nous avons tous perdu les 2/3 de notre clientèle et le décodage est peu à peu tombé dans l’oubli… A pleurer !
    J’ai personnellement fait un choix différent puisque j’élève mes enfants avec le décodage et ils sont devenus très forts là-dedans. Leur santé tient à toute une hygiène de vie que nous cultivons, mais surtout à cette conscience de l’impact des émotions sur notre biologie et nos maladies.
    J’adore le dessin humoristique sur la « cancer ascendant balance » !!!
    Merci et à bientôt !



    • Hannah le 4 février 2014 à 19 h 28 min

      Bonjour Bernadette,
      Tu sais même en France, les thérapeutes en décodage biologique
      sont inquiétés…nous avons la chance d’avoir quelques têtes
      d’affiche qui obtiennent d’excellents résultats et élèvent le niveau
      de conscience des humains en matière de maladie.
      Les enfants adorent tout ce qui touche à la guérison et qui leur
      permet d’échapper à la peur de leurs parents!



  16. Helene@Objectif-Reussite le 3 février 2014 à 20 h 07 min

    Bonjour Hannah,

    Article riche en informations portant à réflexion m’aidant à comprendre et confirmant mes intuitions concernant des cas de cancers d’amies.
    De somatiser à ce point est terrible jusqu’à mettre sa vie en danger. Ce point j’ai du mal à le concevoir tant il me parait extrême. Ceci dit devant les conflits que j’ai du traverser dans la vie (et pas des moindres), j’ai eu la chance de ne pas développer de maladies graves. (Sauf plus de cheveux depuis 20 ans, tu m’as déjà répondu à ce sujet).
    Pour le reste, mon système immunitaire doit être ravi de mon alimentation.

    Merci à toi, Chère Hannah,

    Hélène



    • Hannah le 4 février 2014 à 19 h 39 min

      Bonjour Hélène,
      Le paradoxe au niveau du cerveau c’est qu’à force de vouloir régler les problèmes
      à notre place, il finit par ne plus nous laisser vivre du tout ou nous mettre en
      danger à long terme.
      C’est un peu ce que fait une bonne mère, Elle empêche son enfant de prendre des
      risques pour ne pas le mettre en danger mais du coup, elle empêche l’enfant de
      savoir évaluer la prise de risques et d’innover pour grandit.
      Le cerveau est programmé pour notre survie, pas pour notre épanouissement!
      Lorsqu’il génère un cancer, il permet aux cellules de se développer vitesse grand V
      afin de résoudre rapidement un problème.
      C’est à nous de résoudre le problème qui est, la plupart du temps émotionnel.
      Par exemple, à la perte d’un enfant, que ce soit un animal ou un humain, il permet
      grace au cancer de renouveler plus vite les cellules reproductrices.
      Notre travail à nous pour solutionner le problème, ce n’est pas nécessairement de faire un enfant
      (ça c’est la vision du cerveau programmé pour la survie de l’espèce) mais plutôt de vivre
      les émotions liées à la perte et de commencer notre deuil.
      Ainsi, tu vois l’objectif du corps n’est pas de nous mettre en danger.



      • Helene@Objectif-Reussite le 4 février 2014 à 21 h 52 min

        Bonsoir Hannah,

        Une de tes phrases attire mon attention : « Le cerveau est programmé pour notre survie, pas pour notre épanouissement! » Ça ma laisse dubitative dans le sens que je n’avais pas pensé « SURVIE » mais plutôt « épanouissement ».

        Le cerveau est une petite merveille qui aurait le mérite d’être mieux compris pour notre plus grand bien.
        Que d’idées fausses circulent sur son fonctionnement et de méconnaissances qui nous nuisent, sur cet organe.
        Je ne voyais pas la venue d’un cancer comme tu l’énonce, enfin si j’ai bien compris.

        Un cancer veut donc dire que nous avons quelque chose à régler et que la réaction de notre corps nous invite à trouver des solutions ? Je suis un peu perdue.

        Si l’objectif de notre corps n’est pas de nous mettre en danger, alors pourquoi le cancer emporte t-il tant de personne ?

        Est-ce un perche non saisie ?

        Sujet sans fin tant il y a dire…



        • Hannah le 4 février 2014 à 22 h 21 min

          Oui, c’est exactement cela.
          Le cerveau choisit dans un premier temps
          la solution la plus appropriée pour nous
          maintenir en vie le plus longtemps possible.
          Lorsque nous comprenons que nous avons une
          pathologie dans le corps, c’est à dire un conflit
          biologique, nous avons l’indication que quelque
          chose ne tourne pas rond.
          Le cerveau est comme un enfant qui cherche une
          solution rapide mais pas une solution de fond.
          En général, le problème de fond est émotionnel
          mais le cerveau lui ne prend pas en compte cette donnée.
          C’est à nous d’enquêter les troubles émotionnels.
          Lui s’occupe de la biologie en premier.
          C’est en étudiant les animaux et les causes de leurs
          cancers que les adeptes du décodage ont commencé
          à mieux saisir que le corps protégeait la vie
          et non le contraire.



          • Helene@Objectif-Reussite le 4 février 2014 à 22 h 45 min

            Bon à ce niveau Hannah, je vais te relire plus tard, faut dire qu’il se fait tard pour moi.

            En gros si j’ai bien compris, malgré les tempêtes que j’ai pu traverser, mon corps, mon cerveau ont bien réagit puisque je n’ai pas développé de cancer. Enfin, à ma connaissance à ce jour.

            Tu te rend compte que si tous les cas de cancer étaient traités dans l’esprit de tes idées énoncées dans ton article, la médecine, si elle voulait bien le reconnaitre, ne ferait plus fortune…Ce serait l’ère d’une autre façon de soigner…Quel beau concept !



            • Hannah le 5 février 2014 à 14 h 48 min

              En même temps, tu vois toutes ces infos
              sont disponibles et donc celui qui est
              prêt à les entendre et les appliquer finit
              par tomber dessus!



  17. sylviane le 4 février 2014 à 9 h 41 min

    Bonjour Hannah

    Article très émouvant par les exemples que tu donnes et bien sûr le tien. Je suis convaincue que toutes les maladies ont une origine émotionnelle et quand j’ai fait « un retour » sur les maladies de mes parents et les miennes (peu et heureusement sans gravité) , j’ai pu toutes les relierà des chocs, des stress et s’il ne faut pas jeter la médecine occidentale traditionnelle avec l’eau du bain, les médecins devraient tout de même commencer à s’interroger sur le désamour des gens par rapport aux médicaments et autres « babioles » qu’ils nous font ingurgiter.

    Tant que nous ne soignerons pas l’être dans son entier en analysant les causes nous n’avancerons pas beaucoup (sauf les lab pharmaceutiques bien sûr qui continueront à se remplir les poches)



  18. Hannah le 4 février 2014 à 20 h 10 min

    Bonjour Sylviane,
    Heureusement que le web laisse transpirer des infos accessibles
    à toutes les oreilles et les yeux prêts à s’ouvrir!



  19. Nat le 5 février 2014 à 0 h 02 min

    Bonsoir Hanna,
    Je suis diabétique depuis quelques années et j’ai conscience de ce qui m’a mené à ça ,je l’appelle ma blessure d’amour … d’après les médecins on en guéri pas ,j’ai pourtant la foi et et je reste persuadé qu’un matin je vais me réveiller et que tout va disparaître,j’ai pourtant relié et compris,mais la maladie est la ,qu’en pensez vous ?
    Merci



    • sugar blue le 5 février 2014 à 14 h 43 min

      Merci beaucoup pour tous ces partages



      • Hannah le 5 février 2014 à 14 h 44 min

        😉



    • Hannah le 5 février 2014 à 14 h 54 min

      Bonjour Nat
      Je ne sais pas si à un moment donné le corps
      atteint un point de non retour.
      Ce qui est certain, avec le cancer c’est qu’on
      peut s’en sortir même si on est en phase terminale.
      Alors, pourquoi ne pas imaginer que tout est
      potentiellement guérissable?
      Ce qui est certain aussi c’est qu’en délogeant de très
      vieilles émotions qui parfois datent de la vie
      intra-utérine, on peut diminuer ses doses de médicaments
      sans se mettre en danger.
      Il existe des cas de personnes diabétiques insulino-
      dépendantes qui sont revenus à une dose de cachets
      mais pas de piqures.
      C’est un excellent objectif que de décider qu’on va faire
      bouger son diabète.
      Sans un travail émotionnel, je doute que le miracle se fasse
      d’un jour au lendemain.
      moi par exemple, j’ai décidé de ne pas porter de lunettes
      pour la presbytie.
      Je ne sais pas ce que ça va donner quand j’aurai 75 ans
      mais je me dis « et pourquoi pas? »



  20. Raymonde le 5 février 2014 à 14 h 36 min

    Merci Nannah pour ces exemples bien décodés et les mises au clair des processus du corps et du cerveau.
    Tout cela est tellement subtil, face aux grandes généralités de la médecine dite « traditionnelle »( encore un terme pour nous faire croire que c’est la méthode que les anciens utilisaient alors qu’elle n’est pas si ancrée que cela dans les traditions….!!) qui de plus cherche à gommer les différences entre les individualités que nous sommes.
    Oui, à chacun son ressenti face aux événements que la vie nous propose.
    Et c’est là, la survie de l’espèce.

    Mais que c’est difficile de mettre à jour ses propre « conflits ».
    Un diagnostique bien fait peut déjà aidé, ………..
    Merci encore



    • Hannah le 5 février 2014 à 14 h 47 min

      Bonjour Raymonde,
      Oui c’est certain, quand c’est notre tour d’incarner
      un symptôme, le mental et la peur viennent un peu
      brouiller l’intuition qui pourrait nous donner des pistes
      sérieuses.
      En même temps, nous avons pas mal de temps pour explorer
      les causes émotionnelles avant que notre vie soit vraiment
      mise en danger (à part quelques exceptions)



      • christine le 5 février 2014 à 15 h 21 min

        j’ai une question Hannah qui me turlupine depuis longtemps. Est-ce que le fait de gérer ses émotions dès le début? au moment où elles se manifestent (peur, colère, séparation,..) peut nous éviter la maladie, le cancer, …??



        • Hannah le 5 février 2014 à 15 h 58 min

          Bonjour Christine,
          Franchement, ça aide.
          Mais ça ne fait pas tout. J’avais déjà pas mal
          travaillé sur moi quand c’est arrivé.
          Il y a des identifications à l’arbre généalogique,
          le projet sens familial et la vie intra-utérine
          qui peut faire que des émotions passent inaperçues,
          notamment, tout ce qui touche à la mort, les fausses
          couches que notre mère a eues avant et après notre
          naissance, les jumeaux non nés…
          Bref, un stress inconscient peut se déclarer sous
          forme de maladie mais il n’est pas rare que le début de
          la guérison de ce stress commence avec la maladie, un peu
          comme si le fait de l’incarner dans le corps pouvait enfin
          nous le faire travailler.
          Donc, prévenir et tout contrôler ne servirait à rien non
          plus.
          Il suffit de connaître le décodage et de s’y atteler
          lorsqu’un symptôme se présente.
          Ceci est une grande sécurité plutôt que se sentir
          totalement impuissant devant la maladie.
          Travailler sur les émotions aide malgré tout à en
          éviter une bonne partie.
          Voilà j’espère avoir répondu à ta question.



          • christine le 5 février 2014 à 20 h 15 min

            merci Hannah pour cette réponse !! ce n’est pas simple tout ça hein?
            merci de ta patience aussi face à nos questions !!
            Amitiés



            • Hannah le 5 février 2014 à 21 h 42 min

              Il n’y a aucune technique qui marche à 100 %.
              Heureusement sinon cela voudrait dire qu’on peut tout
              contrôler et en matière humaine, ce n’est pas le cas.



  21. Héloïse le 6 février 2014 à 18 h 45 min

    Merci de partager ton expérience Hannah. Et celle de Katia.
    C’est fou ce que l’on occulte parfois, alors que des années plus tard, on le voit comme une évidence 😉
    Un article à garder de côté pour transmettre aux personnes concernées, 1 femme sur 2 ce n’est rien!



    • Hannah le 9 février 2014 à 18 h 39 min

      Pour ce qui est du pourcentage, j’ai pu vérifier
      dans mon entourage un nombre incalculable femmes à
      qui c’est arrivé. Toutes n’en parlent pas forcément!



  22. Caroline le 9 février 2014 à 15 h 58 min

    Bonjour Hannah,

    Je pense aussi que le cancer, ainsi que beaucoup de maladies, ne sont pas causés par des problèmes et des causes uniquement physiques mais aussi psychiques.

    Tout comme vous, je suis pour la conjugaison des médecines et assez ouverte en ce qui concerne les médecines dites alternatives.

    Dans de nombreux cas, le mental peut certainement être la cause et donc aussi la solution mais pas dans tous les cas.

    Je m’occupe de nombreux patients atteints de cancers provoqués par l’environnement (irradiation, fumée, produits toxiques, pesticides…) et non par des traumatismes et dans ces cas-là, la médecine traditionnelle a son importance aux côtés de l’aide psychologique.

    Merci pour cet article

    Caroline



    • Hannah le 9 février 2014 à 18 h 37 min

      Bonsoir Caroline,
      La vérité est disséminée un peu partout et je
      ne connais pas de système parfait.
      De toutes façons, le corps est
      à traiter dans sa propre dimension physique.
      il ne suffit pas de penser à se laver les dents
      pour éviter les caries!
      En même temps toutes les personnes qui sont
      exposées ne tombent pas malades. Elles ont malgré
      tout plus de chance de le faire dans un environnement
      toxique.
      J’avais plus de maladies ORL lorsque je travaillais
      avec des petits toujours malades.
      Mais je n’étais pas totalement moi-même et ce métier
      était une sorte de compromis.
      Il reste toujours la question,pourquoi cela arrive à celui-ci
      et pas à cet autre?



  23. feance le 9 février 2014 à 18 h 07 min

    Merci pour ta grande générosité!



    • Hannah le 9 février 2014 à 18 h 30 min

      Toujours un plaisir!



  24. Lyoen le 9 février 2014 à 18 h 11 min

    Je trouve tout cela très pertinent.



    • Hannah le 9 février 2014 à 18 h 29 min

      Merci du compliment!



  25. Marie@Nourriture Sante le 13 février 2014 à 13 h 33 min

    Bonjour Hannah,

    On ne parlera jamais assez du Docteur Hamer, cet article est donc salutaire.
    Continue de bien prendre soin de toi !

    Amicalement.
    Marie.



    • Hannah le 13 février 2014 à 13 h 44 min

      Bonjour Marie,
      Heureusement tous les tourments qu’il a subis
      ont concouru à le rendre populaire tout autant
      qu ses inestimables travaux.



  26. France le 14 février 2014 à 15 h 14 min

    Merci Hannah,

    Pour pour cet excellent article les travaux du docteur Hammer et les 2 cas de dames que vous avez cités. J’ai trouvé des reponses à mon début de cancer de l’utérus.Merci infiniment pour votre superbe travail sur votre site.



    • Hannah le 14 février 2014 à 20 h 44 min

      Tant mieux si mon article vous a permis
      de comprendre mieux ce que votre corps
      vous a signalé.



  27. Dalinda le 17 février 2014 à 14 h 59 min

    vraiment très pertinent.bon courage a toi



  28. Sté le 2 mars 2014 à 7 h 58 min

    Bonjour Hannah,

    C’est en lisant ce billet que je me rend compte de l’incroyable complexité de l’être humain. Et pour revenir au docteur Hamer, cette vidéo est édifiante et je conseille à tout le monde de la visionner.

    Amicalement,

    Sté



  29. gérard le 24 juin 2014 à 8 h 04 min

    mon commentaire n’apparaitra pas .!!!

    ( c’est la preuve que j’ai raison )

    la seule et unique médecine officielle qui est vraie

    le reste relève des sites dangereux , je le sais officiellement

    ( cnom )



    • Hannah le 24 juin 2014 à 8 h 21 min

      Bonjour Gérard,
      Je comprends votre colère, en tous cas c’est la forme
      qu’elle prend.
      A la racine de tout cancer se loge une colère légitime
      par rapport à des évènements qui précèdent le
      déclenchement de la maladie.
      Je n’ai pas de réponse par rapport au cancer. Pourquoi
      certains s’en sortent, pourquoi d’autres sont condamnés.
      Je peux accepter qu’un cancer soit incurable.
      En même temps, c’est ce que tout le monde dit, les
      médecins et la médecine.
      Sur le web peuvent aussi circuler d’autres conclusions,
      c’est le propre du web, imaginer d’autres points de vue.
      Si certaine personnes sont persuadées qu’elles peuvent
      guérir, il est important qu’une voix s’élève pour les
      encourager sur la voie de leur guérison.
      Hamer n’est pas le premier, le Dr Simonton tenait les
      mêmes discours.
      Même si cela paraît irrationnel et ça l’est, pour certaines
      personnes ça marche et il serait dommage de les priver
      d’une guérison possible puisque , de toutes façons, ils
      sont condamnés par la science.
      C’est la raison pour laquelle votre commentaire n’apparaitra
      pas. Assez d’insultes contre le Docteur Hamer circulent.
      Vous avez absolument le droit de vos convictions que
      je respecte mais j’opte pour envisager d’autres solutions
      et faire circuler cette information au cas où elle pourrait
      être utile.
      Comme sur terre une vérité et son contraire co-existent, il
      est important pour moi que l’idée de guérir et d’être incurable
      soient vraies toutes les deux.
      Pour les personnes qui n’ont écouté que le décodage sans prendre
      soin d’aider leur corps grâce à la médecine, il serait peut
      être important que vous écriviez aussi un blog afin de les
      avertir et les protéger des dangers éventuels de n’avoir qu’un
      seul son de cloche.
      je vous souhaite une bonne journée
      Hannah



  30. gérard le 24 juin 2014 à 8 h 25 min

    bonjour hannah ,

    je remarque qu’il faut étre de votre avis ,

    pour que les commentaires soient publiés ,

    ceux qui ne sont pas de votre avis , comme moi ,

    et bien mes commentaires sont supprimés



  31. Lisa Carne le 4 juillet 2014 à 16 h 00 min

    vraiment très pertinent.bon courage a toi



  32. Céline le 3 janvier 2015 à 14 h 24 min

    Bonjour Hannah,

    Merci pour cet article pertinent. J’ai porté moi aussi un papillomavirus et cela pendant 9 ans, avec la projection des peurs de mes gynécos successifs (je voulais différents avis) sur l’éventuelle aggravation vers un cancer. Tous m’ont laissé croire qu’il fallait faire une conisation du col de l’utérus pour voir où j’en étais dans quelle phase du cancer, I,II,III ou IV. J’ai tenu bon, je me suis fait confiance en étant persuadée que j’arriverai en m’en débarrasser autrement. J’avais 29 ans lors du premier dépistage de cellules oncogènes au col, j’en ai 38 aujourd’hui et ne suis plus porteuse ! Ce que j’ai fait ? Un travail de décodage biologique pour comprendre le sens, puis un énorme travail sur ma généalogie et la mémoire transgénérationnelle, travail doublé par des bénédictions de l’utérus proposée par Miranda Gray, un travail de Pardon avec Hoponopono pour chaque femme de mes 2 lignées, avec les noms que j’ai retrouvés dans mon arbre généalogique. C’était captivant, passionnant, j’ai senti au fur et à mesure que je remontais que je libérais des souffrances, des douleurs en lien avec l’acte sexuel subi, des enfants non désirés, des accouchements difficiles et avec les écarts d’âge qui se répétaient (schémas inconscients) entre la femme (fille-mère vers 18 ans le plus souvent) et l’homme de plus de 15 ans aussi, j’ai retrouvé intuitivement un INCESTE. Dès lors, j’ai su, ressenti, compris que j’avais atteint la cause première de mon symptôme, symptôme que j’avais recréé inconsciemment en attirant un homme plus âgé, séparé et porteur du papilloma, cela pour enfin LIBERER toute ma lignée. J’aurais d’autres choses à ajouter sur cette histoire qui a marqué mes 10 dernières années, par exemple, ces 10 dernières années pdt lesquelles je me suis tournée vers les femmes (cette bisexualité était née à l’adolescence) pour ne pas laisser entrer d’homme dans ma vie. le col de l’utérus est symboliquement la BARRIERE à franchir pour qu’il y ai enfantement.. Mon corps disait non, stop, jusqu’à ce que je comprenne. En changeant encore de gynéco l’an passé, j’ai attiré non pas quelqu’un qui voulait me faire une conisation mais d’abord une biopsie. Ce que j’ai eu. la biopsie a montré que tout était normal !! Voilà pour mon témoignage. Donc oui, sur les causes émotionnelles que tu cites et oui aussi pour les mémoires transgénérationnelles qui ne nous appartiennent pas mais que la Vie demande à nettoyer pour qu’enfin ça s’arrête. Merci infiniment pour les articles de ton blog. je te souhaite une merveilleuse année 2015 ! de tout coeur. Céline



  33. LAGANA le 14 mars 2015 à 18 h 27 min

    Bonsoir Hannah !!!

    Tout d’abord merci d’exister !!!

    Merci pour votre soutien auprès des personnes qui en ont besoin. Et je suis dans cette situation en ce moment. Je vous explique brièvement mon histoire. En mars 2013 on me décèle un papilommavirus sur le col de l’utérus. J’ai 40 ans et je n’ai pas d’enfants. Peur de l’accouchement sans doute un traumatisme du à l’histoire de ma mère qui a mis au monde une sœur avant moi morte née. En juin 2012 j’ai également appris que mon compagnon discutais sur des sites de rencontres. Le ciel m’est tombé sur la tête.
    Est ce que ces évènements peuvent être en lien avec ma maladie. Mon corps a des difficultés à supprimer ce virus. Je viens de faire un frottis – quel sera le résultat ?Que faire si ce n’est pas bon ?

    Merci pour votre aide

    Merci



    • Hannah le 16 mars 2015 à 21 h 53 min

      Bonsoir Dominique,
      Oui le fait que votre compagnon discute sur les sites peut
      rentrer dans les conflits biologiques du papillomavirus.
      C’est toujours intéressant malgré tout de retourner un
      an en arrière pour vérifier si vous n’avez pas eu d’autres
      peurs… il arrive qu’on développe un cancer quand on a eu
      une peur mortelle à propos de quelqu’un.
      Une soeur morte avant nous n’aide pas mais ne peut pas
      être responsable 40 ans plus tard d’un virus, sauf si, comme
      je vous le disais, vous avez eu peur que quelqu’un meure.
      Si le résultat n’est pas bon et que vous avez du mal à débrancher le
      conflit, vous ferez une conisation, on enlève un petit bout du col
      de l’utérus. Ce papillomavirus est quand même une bombe à retardement
      donc vous ne pouvez pas laisser trainer. Vous n’imaginez pas le nombre de femmes
      que je connais qui ont eu cela, je dirais une femme sur deux. Cette opération sauve la
      vie, vous n’avez pas à vous inquiéter.
      vous avez eu peur