Faites-vous cette erreur de croire que la confiance en soi va vous rendre heureux ?

confiance en soi 21Comment se construit la confiance en soi?

 

Nous avons déjà vu dans un précédent article que ce qui construit l’estime et la confiance en soi (cliquez sur le lien bleu), c’est le fait d’avoir été aimé et accepté inconditionnellement pendant l’enfance.

 

J’ai donc une mauvaise nouvelle pour vous, si ce n’est pas le cas, vous ne retrouverez pas la confiance en soi puisque vous ne l’avez jamais eue !

 

  • Vous êtes-vous senti aimé lorsque vous rameniez des mauvaises notes ou lorsque vous avez été surpris en train de faire ce que vos parents considéraient comme une grosse bêtise ?

 

  • Est ce que vos parents étaient aussi durs avec eux-mêmes et soucieux de l’image qu’ils renvoyaient aux autres (en incluant votre éducation et leur rôle de parent) ?

 

  • Est ce que vos performances scolaires, sportives, votre humeur et votre apparence physique étaient comparées avec celles de vos frères et sœurs, cousins, voisins, amis, parents, ancêtres ?

 

  • Aviez-vous une famille trop occupée pour s’intéresser à vous en particulier et valider tous vos efforts et vos réussites ?

 

Alors, ne comptez pas rayonner la confiance en soi et l’estime, en ayant la conscience de vos qualités et de vos dons personnels.

 

Dans cet article, je vous proposerai quelques solutions pour développer cette fameuse confiance en soi mais pas en faisant de la « gonflette valorisante ».

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Je vous parlerai aussi de la façon dont nous avons traité ce sujet pendant notre voyage  initiatique  au Népal.

 

Cet article participe à la Croisée des Blogs organisée par Enzo du blog Ex-timide sur ce sujet très précisément.

 

Le juge en vous, ennemi de la confiance en soi

 

La première des conséquences de votre climat familial et de votre éducation, c’est que vous n’avez pas développé cette confiance en soi et cette estime de vous-mêmes.

 

Même si vous ne le savez pas, l’amour que vous vous portez reste conditionnel.

 

Vous êtes à l’aise avec les parties de vous qui sont performantes et sans pitié pour les petits « moi » qui ne filent pas droit et que vous êtes tentés d’appeler des saboteurs.

 

Vous avez sans doute développé un juge à l’intérieur qui souligne tous vos défauts, vous ordonne la bonne conduite, vous exhorte à la perfection de « il faut et tu dois » et qui fait des commentaires chaque fois que vous n’êtes pas au top.

 

Il vous menace de finir tout seul et rejeté du monde si vous n’êtes pas capable de satisfaire ses exigences.

 

Vous avez en fait, développé un gardien de prison encore plus exigent que ne l’étaient vos parents !

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Cette pression pour la performance que vous vous mettez et ce désir d’être toujours au mieux sont une défense perpétuelle que vous mettez entre vous et la vie.

 

Cela grignote littéralement toute votre énergie et vous transforme en boule de frustration et d’insatisfaction envers vous-même et la vie en général.

 

Pour sortir de cet enfer intérieur, vous décidez tout naturellement de travailler sur la confiance en soi et l’auto-estime.

 

Vous espérez ainsi que cela va faire disparaitre magiquement des années de rumination et d’auto-hypnose de pensées dévalorisantes et désespérantes sur vous-mêmes, les autres et les évènements de la vie.

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Le piège de ce que vous projetez sur la confiance en soi.

 

Voilà le grand piège, croire que la confiance en soi va vous éviter définitivement de vous sentir en difficulté, triste, énervé, rejeté, désespéré, seul et abandonné.

 

Vous rêvez pour vous-mêmes d’un avant (sans la confiance) et d’un après, avec la confiance en soi.

 

Or la confiance en soi n’est pas une qualité installée pour toujours qui vous immunise contre les pensées négatives et les épreuves.

 

Avoir confiance en soi lorsque les circonstances sont favorables est à la portée de tous mais garder la confiance dans l’adversité, là est le vrai nœud de la question.

 

Comment réussir ce tour de passe-passe quand il faudrait pouvoir contrôler alors que justement vous n’y arrivez pas !

 

Dès que vous échouez, vous perdez la confiance en soi et l’estime. Votre problème est donc de vouloir les garder lorsque vous les perdez.

 

Comme c’est la résistance à ce qui est qui fait souffrir, plus vous voulez garder la confiance et l’estime lorsque vous les avez perdues et plus vous souffrez.

 

Autrement dit, travailler à développer ou restaurer la confiance en soi lorsque vous êtes vraiment en difficulté est un non-sens.

 

Nous y reviendrons tout à l’heure, en attendant voici quelques conseils pour développer la confiance en soi lorsque vous êtes en état de le faire !

 

5 conseils pour développer la confiance en soi

 

confiance en soi 28.

 

 1) Développez la gratitude pour trouver la confiance en soi

 

Si vous vous concentrez trop sur ce que vous voulez obtenir (en développant plus de confiance en soi par exemple), vous quittez l’instant présent, seul instant où vous pourriez trouver la paix pour attirer ce qui va vous amener encore plus de paix.

 

Vous vous focalisez sur un avenir en niant totalement les émotions que vous ressentez au présent.

 

Celles-ci découlent de croyances (et d’expériences difficiles) ancrées dans votre petite enfance et qui continuent à créer à votre insu des situations difficiles génératrices de stress et de frustration.

 

Sans le savoir, vous entretenez le sentiment de ne pas « avoir » assez puisqu’il vous faut à tous prix l’obtenir (peu importe de quoi) ou de ne pas « être » assez.

 

Pour revenir au présent, regardez ce que vous avez et développez une forme de gratitude pour le chemin parcouru.

 

Sentez un élan de gratitude pour votre vie même si elle ne correspond pas encore à vos standards. Les standards de qui d’ailleurs ?

 

Si au présent, vous êtes triste et frustré, commencez à accueillir cette partie peu aimée de vous au lieu de la refouler pour la remplacer par une émotion positive.

 

2) Développez un sentiment de contribution pour trouver la confiance en soi

 

Devenez bon dans une discipline de votre choix. Choisissez ce qui est le plus facile, le plus plaisant ou le plus réconfortant.

 

Exactement le contraire de ce qu’on vous a enseigné à l’école… pour réussir, il faut faire du latin et du grec…bref en baver pour distancer les fainéants et les limités…

 

Le plaisir que vous allez dégager va illuminer votre vie et celle des autres.

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Vous allez découvrir ce qu’est votre contribution au monde : ce n’est pas faire pour les autres mais exceller dans quelque chose qui vous plait et qui peut être aussi utile aux autres.

 

Pris dans votre élan, vous risquez d’oublier tous vos vilains défauts, selon l’opinion de votre mental !

 

En résumé, concentrez-vous sur ce qui va bien chez vous sans négliger ou refouler vos ressentis de l’instant.

 

3) Arrêtez de vous comparer pour trouver la confiance en soi

 

Apprenez à vous focaliser sur ce qui vous fait du bien plutôt que d’atteindre les objectifs de votre famille, de vos parents, de votre compagne(on) ou de la société.

 

Dans la comparaison, vous perdez votre énergie et votre joie de vivre plutôt que de profiter de ce qui est là pour vous.

 

Le problème n’est pas que le société valorise les femmes maigres et les hommes musclés et mal rasés mais que vous vouliez vous y conformer.

 

La course à l’image et à la réussite (visible sur le compte en banque) vous rendent insatisfaits de vos performances et frustrés de ne pas y arriver.

 

C’est ce point précis que nous avons travaillé pendant notre voyage au Népal.

 

Dépasser 5000m reste une performance sportive qui titille la confiance en ses capacités physiques et psychiques avec l’urgence de suivre le rythme sans être distancé par les autres.

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4) Apprenez à accepter les compliments

 

Vous ne les acceptez pas, vous n’y croyez pas ? Ils vous mettent mal à l’aise ?

 

Regardez comment vous acceptez les compliments: est-ce que systématiquement vous diminuez l’impact de ce que vous avez fait en signalant que vous n’y êtes pour rien, que vous avez juste bénéficié de circonstances favorables ?

 

Parce que si c’est le cas, gardez la formule pour vous lorsque quelqu’un cherchera à vous juger ou à vous critiquer…

 

« Je n’y suis pour rien, j’ai juste bénéficié de circonstances défavorables, au mauvais endroit au mauvais moment. »

 

Même si d’ordinaire, vous êtes plus performant, c’est le moment d’accepter que, pour cette fois, vous avez fait avec l’énergie du moment et que rien ne vous a permis de faire mieux.

 

Cette attitude n’est pas de la faiblesse ou de la dérobade, c’est juste l’acceptation de ce qui est pour cette fois-ci, cela ne dit rien de vos capacités futures, sauf si vous ruminez toute la journée sur ce que vous auriez du faire et comment vous auriez pu faire mieux.

 

C’est la rumination des pensées en boucle qui risque de vous faire échouer la fois prochaine, pas vos capacités défaillantes ou votre soit-disant nullité.

 

5) Testez l’inconnu pour trouver la confiance en soi

 

Bien que votre manque de confiance en soi vous fasse croire qu’il vous faut tout contrôler et maîtriser, vous serez surpris de voir que vous pouvez apprécier l’inconnu.

 

C’est le décalage entre ce qui est et ce que vous voudriez qui vous fait souffrir.

 

Dans les situations inconnues, vous n’avez pas de mètre-étalon pour savoir comment vous devriez être ou faire.

 

C’est l’aventure sans repère. Vous êtes obligé de vivre au présent sans pouvoir anticiper.

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Ce faisant, vous retrouvez votre spontanéité et n’avez pas le temps ni les moyens de vous interroger sur vous-mêmes, vous êtes dans l’action.

 

Vous redécouvrez le plaisir de vivre sans rien pouvoir contrôler. C’est la vie elle-même qui vous guide et les surprises sont souvent au rendez-vous !

 

Développer la confiance en soi, pourquoi faire?

 

Mais au fond, pourquoi voulez-vous développer la confiance en soi? Pourquoi voulez-vous avoir plus confiance en vous ? Pour atteindre vos objectifs ?

 

Pourquoi voulez-vous atteindre vos objectifs ? Pour être plus heureux ? Pourquoi ne pas commencer maintenant à être plus heureux au lieu de passer par la réalisation de vos objectifs ?

 

Depuis quand est-ce que « être heureux dépend d’une circonstance extérieure ? » Être heureux est un état d’être pas une action à accomplir.

 

Puisque c’est votre but, être heureux, vous pouvez décider de n’être heureux que lorsque vous aurez accompli avec succès une action ou décider tout de suite de vous sentir heureux.

 

Qu’est ce qui vous a fait croire que le bonheur dépendait de votre réussite ou de vos échecs ? A quand remonte cet amalgame entre réussir et être heureux ?

 

Être heureux ce n’est pas faire ce qu’on veut mais aimer la façon dont on fait ce qu’on fait.

 

Vous saisissez la nuance, vous sortez du cadre de la performance et vous rentrez dans celui de l’amour.

 

Vous n’êtes peut-être pas en train de faire le job de vos rêves mais vous pouvez tout de même travailler sur ces deux points :

 

  • En quoi la vie me montre quelque chose de moi au travers de ce job que je n’aime pas ?
  • Développez en parallèle une activité que vous aimez et qui peut à long terme venir remplacer celle que vous faites maintenant.

 

Il est possible aussi que vous vouliez avoir plus de confiance en vous pour avoir une relation qui vous satisfasse ?

 

Qu’est ce que ça veut dire une relation qui vous satisfait? Dans laquelle vous êtes heureux ? Que veut dire être heureux dans une relation ?

 

Que l’autre vous aime ou que vous soyez vous-même ouvert à l’amour en sentant votre cœur rayonner?

 

Si vous voulez qu’on vous aime, vous n’êtes pas prêt du but ! Votre bonheur ne peut pas dépendre du fait qu’une personne vous aime ou ne vous aime pas.

 

C’est de vous et de votre façon d’aimer dont il est question. La capacité à s’ouvrir à l’autre peut développer la confiance en soi et ses capacités aimantes.

 

Si vous laissez rayonner votre cœur, vous serez nourri par son rayonnement au passage.

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Au lieu de vous accrocher à l’idée de développer la confiance en soi, posez-vous la question qui tue : « qu’est ce qui m’empêche d’être heureux maintenant ? ».

 

Vous allez trouver toutes sortes de réponses  en écoutant ce que vous vous racontez et avec lequel vous vous hypnotisez.

 

Que faire lorsque vous avez perdu la confiance en soi et l’estime de vous-même?

 

N’oubliez pas que le mental a l’habitude de remâcher des problèmes non résolus du passé.

 

Ce faisant, il rumine les émotions du passé qui n’ont pas encore été nettoyées et cherche à trouver des raisons au présent pour justifier le fait d’être resté figé sur le passé.

 

De par la loi d’attraction où tout ce qui est de même nature s’attire, vos schémas inconscients non identifiés continuent à créer des situations vous apportant le même type de ressenti.

 

Ces schémas inconscients sont ce qu’on appelle des mémoires dans la méthode Ho’oponopono.

 

Ce sont des parties de vous qui recréent à l’infini leurs difficultés passées comme des enfants qui n’arrivent pas à se concentrer pour bien travailler à l’école.

 

Si vous venez de faire quelque chose qui ne vous paraît pas correct et aligné, ce qui a pour effet de miner la confiance et l’estime de vous, vous allez être déçu, triste ou en colère.

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La première chose à faire est d’accepter d’être traversé par ce sentiment sans se battre avec, même si le mental a peur de resté coincé dedans.

 

L’observateur qui voit la tristesse peut l’accueillir sans être triste pour autant. Il y a une différence entre être triste et se regarder avoir des pensées tristes.

 

Vous pouvez accueillir un enfant qui pleure sans pleurer vous-même n’est-ce pas ? Nul besoin de confiance en soi pour cela!

 

Vous ne pouvez pas revenir en arrière mais vous pouvez laisser le juge de côté et rentrer en relation avec cet enfant en vous qui pleure et qui est déçu.

 

Ce parent intérieur (que vous êtes) qui voit le ratage et la difficulté n’est pas lui-même en difficulté.

 

Ce n’est pas le moment de chercher la confiance en soi ou l’estime, c’est le moment d’aimer la partie de soi en difficulté.

 

Il n’est pas question de confiance en soi ou de perte d’estime, c’est votre responsabilité de continuer à estimer (et aimer surtout) cet enfant touché à l’intérieur de vous.

 

En devenant un bon compagnon pour vous-même et un parent bienveillant, vous ramenez la douceur et l’amour, peut-être même le soulagement et le bien-être.

 

Performance et confiance en soi au Népal

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C’est exactement ce que nous avons fait au Népal. Dès Manang, (3500m) certaines personnes ont commencé à manifester des troubles mineurs de l’altitude, mal de tête, perte d’appétit, fatigue.

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Nous avons donc décidé de privilégier les besoins du corps (repos, chaleur, hydratation, bonne nourriture) plutôt que d’anticiper le passage du col.

 

Chaque jour, nous faisions un recentrage, ce qui a permis à certains d’envisager passer le col à dos de cheval plutôt qu’à pied.

 

Notre objectif a tranquillement dérivé de grimper au col, à trouver des joies simples dans la journée.

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Malgré les circonstances pas toujours faciles, (altitude, froid et mauvais sommeil), nous avons cherché des petits ilots de bien-être pendant les heures chaudes de la journée.

 

Nous nous sommes vite aperçus que ce n’est pas ce qu’on vit qui compte mais comment on le vit. La confiance en soi et ses capacités n’est d’aucun secours.

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En lâchant la pression de la performance physique, nous avons retrouvé de la douceur et du plaisir, malgré l’effort de la marche.

 

Et puis le verdict est tombé lorsque nous étions à Leddar (4200m): neige au col et pas de possibilité de louer des chevaux.

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Après concertation du groupe, nous avons décidé de ne pas dépasser 5000m et donc de profiter des Annapurnas sans l’épreuve finale et donc de ne pas passer le col à 5416m.

 

Instantanément le bien-être est revenu. Nous sommes redevenus disponibles à l’instant présent plutôt que d’anticiper l’épreuve à venir.

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Nous avons laissé partir au petit matin tous les trekkeurs (dont certains à vélo!) en plus de leurs bagages…nous avons fait une photo des yaks et nous avons pris, le sourire aux lèvres, le chemin de la descente sans avoir atteint notre objectif initial.

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Notre présence au souffle et aux mouvement de la respiration était totale.

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Dans cette disponibilité totale au corps et au paysage, pas une pensée à ruminer, juste être là dans le plaisir de la marche avec en prime les Annapurnas resplendissantes sur notre droite cette fois-ci.

 

La gratitude d’être face à ces montagnes si majestueuses était au rendez-vous.

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Plus nous descendions, plus le corps reprenait ses aises. Nous avions tout notre temps pour prendre des photos, ce qui n’est pas toujours le cas lorsqu’on est tendu vers un objectif.

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Nous avons du donner quelques explications aux trekkeurs peu habitués à voir des gens redescendre de ce côté : oui, nous avons fait le choix du plaisir de vivre les Annapurnas sans pression.

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Les 4X4 nous attendaient comme prévus vers 3000m. De retour à Kathmandu nous sommes allés rendre visite à Sanjay Sai Baba dans son nouvel ashram et visité l’école que nous sponsorisons.

 

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Le plus étonnant, c’était son message récurrent à toutes les questions que nous lui avons posées : « vivez la satisfaction dans ce que vous faites plutôt que d’essayer d’atteindre vos objectifs ».

 

Nous n’avons pas passé le col à 5416m cette fois-ci, objectif non atteint mais satisfaction garantie !

 

Et vous, que vous inspire le plaisir plutôt que la confiance en soi dans la capacité à atteindre des objectifs ? Laissez un commentaire!

 

D’autres articles sur ce thème:

Vous n’allez pas aimer ce que j’ai à vous dire à propos de la confiance en soi!

Dépassement de soi dans le Tour des Annapurnas

Voyage dans les Annapurnas, du rêve à la réalité

Comment j’ai passé le col avec la technique Tipi

Comment etre heureux quand on souffre ?


Hannah

47 commentaires

  1. Magalie le 16 novembre 2014 à 21 h 28 min

    Bonjour Hannah,

    Très jolie message dans cet article et photos de groupe très sympa 😉
    Le plaisir de ce qu’on est entrain de faire plutôt que celui qu’on vise si on satisfait tel objectif.
    J’ai noté une technique qui fonctionne pour moi (celle donnée dans le livre le piège du bonheur de Russ Harris) lorsque je ne satisfais pas les exigences que je me suis fixée c’est la défusion avec les pensées, images mentales, auto commentaires…une révélation!

    Bien à toi,
    Magalie



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 14 h 58 min

      Bonjour Magalie,
      Je ne connais pas ce livre, mais ce qui est certain
      c’est que de débrancher l’objectif ramène beaucoup
      d’énergie et de joie.



  2. Éric G. Delfosse le 16 novembre 2014 à 22 h 38 min

    Je retiens : « vivez la satisfaction dans ce que vous faites plutôt que d’essayer d’atteindre vos objectifs » !
    Bonne soirée, Hannah…



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 14 h 54 min

      Il est fort ce Sai Baba…;-)
      Dis moi chaque fois que je vais sur ton blog je n’arrive pas
      à laisser un commentaire, ils me demandent un mot de passe
      et un identifiant que je ne connais pas!



  3. Colette@spiritualite-101 le 17 novembre 2014 à 3 h 15 min

    Bonsoir Hannah,

    Pour répondre à ta question, le plaisir doit faire partie de la vie. Nous sommes ici pour expérimenter notre essence et pour trouver la joie, et non pour rester bloqué dans des états limitants.

    Et si l’on considérait chaque chose à faire comme un défi à relever tout en ne se prenant pas trop au sérieux, on se sentirait plus léger et la confiance en soi irait de soi.

    Et je salue la confiance en soi de ce chat parmi tous ces gros chiens!



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 14 h 53 min

      Ce chat est peut être sourd et aveugle…ceci expliquerait
      cela!.
      Le plaisir de vivre finalement c’est ce que tout le monde
      cherche mais dans le concret ce n’est pas si simple à
      installer dans sa vie!



  4. Danièle de Forme et bien-être le 17 novembre 2014 à 9 h 37 min

    Bonjour Hannah,
    Je pense que même si l’on n’a pas tout l’amour et la reconnaissance que l’on mérite durant l’enfance, on parvient tout de même à avoir confiance en soi avec des hauts et des bas.
    J’ai passé mes premières années dans des familles d’accueil car ma maman ne pouvait pas me garder, elle était à l’hôpital.
    Lorsqu’elle a réussi à me reprendre elle a tout fait pour que j’ai confiance en elle et en moi.
    Aujourd’hui elle n’est plus de ce monde mais je l’admire beaucoup car elle s’est toujours battue pour moi.
    Aujourd’hui je pense avoir eu de la chance de ne pas avoir une enfance aussi rose que certains car cela m’a obligée à me battre pour être reconnue, et je pense avoir bien réussi.
    Belle et douce journée.
    Danièle



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 14 h 48 min

      Bonjour Danièle,
      C’est certain que la résilience permet de faire
      de grandes choses même si le démarrage de vie a
      été difficile.
      L’adulte que nous sommes réussit à avoir beaucoup
      de compassion pour ses parents compte tenu de la
      façon dont ils ont eu à lutter pour vivre ou
      recouvrer la santé.
      Par contre l’enfant que nous étions ne pouvait pas
      accepter cet état de fait. Nous n’avons pas les neurones
      pour accepter, nous avons des besoins non satisfaits
      et cela crée beaucoup de souffrances.
      Il n’est pas rare que nous soyons amenés à vivre
      adulte, les souffrances refoulées de l’enfant que nous étions
      afin de le libérer.
      Est ce les évènements que tu as vécus cette dernière année se seraient pas une
      guérison de l’enfant que tu étais?



  5. Elisabeth le 17 novembre 2014 à 14 h 53 min

    merci Hannah,

    très riche, très riche.
    Parmi d’autres des phrases :
    « Vous vous focalisez sur un avenir en niant totalement les émotions que vous ressentez au présent. »
    « La première chose à faire est d’accepter d’être traversé par ce sentiment sans se battre avec, même si le mental a peur de resté coincé dedans. »

    Tout ce développement est une clé de vie essentielle et le fait que ce soit relaté par ce vécu le rend émotionnel, on peut se projeter dedans.

    « Instantanément le bien-être est revenu. Nous sommes redevenus disponibles à l’instant présent plutôt que d’anticiper l’épreuve à venir. »
    « oui, nous avons fait le choix du plaisir de vivre les Annapurnas sans pression. »

    C’est vrai que je fais souvent le choix d’en faire moins pour le plaisir de faire ce que je choisis de faire dans de bonnes conditions c’est à dire sans pressions et j’apprécie.

    Mais on est censé avoir des objectifs et tout faire pour s’y tenir au travail du moins.
    Moi là, je fais le choix de lâcher prise sur ce qui ne me convient plus dans mon travail, et le ménage se fait, le passage à vide … des ouvertures se profilent … laquelle va marcher pour moi et être profitable aussi pour les autres…. porteuse de vie au point de m’animer et de rayonner cette vie

    Magalie fait allusion à un livre que je ne connais pas.
    Peux tu m’éclairer Magalie ou Hannah, quelqu’un qui comprend :
    « lorsque je ne satisfais pas les exigences que je me suis fixée c’est la défusion avec les pensées, images mentales, auto commentaires…une révélation! »

    je devine, j’ai une image de tout qui vole en éclats et de rire au milieu.
    La Tour, un effondrement libérateur.

    Ton texte Hannah je ne peux en 3 mots le commenter.

    Merci pour cette bouffée d’oxygène des hauteurs du Népal,
    quel beau cadeau ! C’est chaleureux et pourtant c’est le froid
    là bas !



  6. maëlle le 17 novembre 2014 à 14 h 53 min

    Bonjour Hannah,

    Je trouve ton développement très enrichissant. Merci.

    Cela me soulage de mille objectifs!!!!

    J’en profite pour te remercier aussi de ce partage du voyage au Népal…..cela me donne des idées pour un jour, me programmer un tel voyage avec une accompagnatrice comme toi, cela devrait être au top!

    A bientôt. Maëlle.



  7. JACQUELINE le 17 novembre 2014 à 17 h 00 min

    Bonjour Hannah
    J’ai beaucoup aimé ton article très juste et très explicite.
    je retiens cette phrase que j’aime beaucoup : Si vous laissez rayonner votre cœur, vous serez nourri par son rayonnement au passage. Pou moi elle veut dire beaucoup de choses, notre coeur est tellement important, il nous permet de vivre, d’aimer les autres et soi même.
    Merci pour les belles photos, et bravo pour cette ascension même si le but n’a pas été atteint, mais le bonheur était avec vous, en vous tous, et c’est cela qui est important. il ne faut pas toujours exiger plus, vouloir faire plus
    jacqueline



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 21 h 47 min

      bonjour Jacqueline,
      Il me semble que c’est ce qu’il y a de plus important à développer
      sur terre, pour soi, la vie et les autres humains.



  8. Jonathan le 17 novembre 2014 à 21 h 05 min

    Bonjour Hannah,

    Je suis content de retrouver ton site en lisant cet excellent article. Je partage tout à fait ton point de vue comme de toute façon, cela coince quand on force pour atteindre des objectifs sans être parfaitement en alignement. Il y a des résistances sur la ligne et cela ne marche.
    Quand tout sera bien aligné, cela ira hyper vite et ce sera hyper facile donc on n’a pas vraiment à s’en soucier. Merci pour tout ce que tu partages et bonne fin de voyage 😉



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 21 h 46 min

      Merci Jonathan ,
      Je suis de retour même si j’ai encore des sommets plein la tête.
      J’espère que tout roule pour tes propres objectifs…



  9. Guy le 18 novembre 2014 à 4 h 44 min

    Bonjour Hannah,

    Vraiment intéressant ce texte, j’ai relu à plusieurs reprises certains passages parce que l’information n’est pas ce qu’on lit habituellement sur ce sujet (la confiance en soi). Ça tombe à point avec ce que je vis présentement. Ça a mis en place quelques morceaux de puzzle! J’ai bien apprécié en plus les 5 conseils, le no 2 est criant de vérité!
    Moi aussi je retiens «vivez la satisfaction dans ce que vous faites plutôt que d’essayer d’atteindre vos objectifs ». On nous parle tellement souvent «d’atteindre ses objectifs» en omettant de parler de satisfaction!
    Ce texte m’a fait le plus grand bien!

    Merci Hannah

    Guy



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 17 h 28 min

      Merci Guy pour le commentaire,
      J’écris effectivement selon mon
      expérience et cela ne ressemble pas forcément
      à ce qui se dit habituellement sur le web.
      vivre heureux n’est pas toujours compatible
      avec faire des efforts!



  10. Lucie le 18 novembre 2014 à 8 h 13 min

    Whaou, je comprends que les montagnes t’attirent,
    j’espère un jour faire un voyage initiatique avec vous,
    je suis persuadée qu’en en revient transformé!



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 17 h 29 min

      Bonjour Lucie,
      Tu es bienvenue, les voyages font faire
      un bond en avant dans la connaissance de soi.
      Même nous, pourtant habitués, nous en revenons
      transformés.



  11. Mélanie le 18 novembre 2014 à 8 h 14 min

    C’est la première fois que j’entends parler d’un autre Sai Baba
    que celui qui vit en Inde, quel âge a t’il exactement et comment
    l’ont-ils découvert? Est-il connu au Népal?



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 17 h 31 min

      Bonjour Mélanie,
      Il a 28 ans et n’a jamais rencontré le Sai Baba d’Inde.
      Pourtant ses disciples disent qu’il fait les mêmes
      types de miracles aux mêmes endroits, comme si c’était
      la même âme (ou le même esprit).
      Lui-même dit qu’ils sont deux ampoules différentes sur
      le même fil électrique.
      Des disciples de Sathya commencent à venir voir Sanjay
      Sai Baba et sont bluffés par leur similarité, leurs mimiques
      identiques, leur posture physique etc…



  12. Claude le 18 novembre 2014 à 8 h 16 min

    Ça me fait beaucoup de bien d’entendre parler de la
    confiance en soi sous cet angle. Ça me rassure aussi
    sur ma difficulté à la vivre, je suis heureux d’entendre qu’il
    y a d’autres pistes quand on ne la trouve pas en soi!



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 18 h 32 min

      Bonjour Claude,
      La confiance n’est pas un objectif à atteindre.
      Elle se découvre lorsqu’on commence à
      vivre ce pour quoi on se sent fait, sans effort
      et où on ne se sent en concurrence avec
      personne.



  13. Elise le 18 novembre 2014 à 8 h 17 min

    Je suis en train de m’apercevoir dans ma propre vie
    que mes objectifs atteints ne me rendent pas heureuse.
    je suis toujours en train d’en fabriquer de nouveaux et je
    n’arrive jamais à profiter du chemin parcouru.



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 18 h 40 min

      Bonjour Élise,
      Le problème des objectifs c’est qu’on cherche à les atteindre
      à partir d’une insatisfaction terrestre.
      Or la vie se vit au présent. Si je suis insatisfaite au présent,
      je le serai demain aussi quel que soit l’objectif atteint.
      D’où l’idée de trouver la satisfaction maintenant.



  14. Myriam le 18 novembre 2014 à 8 h 18 min

    Merci de votre témoignage. Je sens, au travers
    des photos que cette expérience se vit en équipe
    et cela doit faire toute la différence.



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 18 h 41 min

      Bonjour Myriam,
      Un voyage de groupe en conscience est vraiment
      une aventure palpitante.
      On vit à l’heure de son timing intérieur et on profite de
      l’expérience de chacun, sans compter les moments
      de pure joie d’être en groupe, sans un cadre sécurisé.



  15. Hamid le 18 novembre 2014 à 8 h 21 min

    Je crois que je viens de saisir une nuance subtile
    dans votre billet: il y a une différence fondamentale
    entre réussir et accepter ce qui ne peut pas encore réussir.
    C’est une autre forme de réussite avec avec plus de coeur.



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 18 h 42 min

      Je crois que vous venez de faire une
      véritable prise de conscience!



  16. Odile le 18 novembre 2014 à 8 h 22 min

    ces photos du Népal sont fantastiques, est ce que vous faites
    un voyage par an, parce que c’est une grande aventure qui se prépare
    à l’avance!



    • Hannah le 28 novembre 2014 à 18 h 44 min

      Bonjour Odile,
      Oui en général, nous faisons un ou deux voyages
      par an.
      En 2015, nous avions prévu l’Inde du Sud mais
      nous attendrons 2016 pour participer à la Kumb’ Mela
      qui réunit tous les sages de l’Inde en un même
      endroit de pèlerinage.
      La Thailande est prévue pour avril/mai et cet été
      ce sera sans doute la Mongolie.



  17. Dorian le 18 novembre 2014 à 8 h 58 min

    Bonjour Hannah,

    Quel beau récit ! J’ai l’impression de voir quelques uns des accords toltèques en action dans ton voyage et dans tes conseils 🙂

    Je dirais que ce sont les mauvaises habitudes que nous avons prises et qui correspondent également à nos croyances qui font que l’on peut manquer d’assurance aujourd’hui.

    Vivre la satisfaction ou tout simplement vivre… Car c’est bien cela que l’on oublie parfois de faire.

    Au plaisir !
    Dorian



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 03 min

      Bonjour Dorian,
      Oui le voyage est une belle façon de mettre les
      accords en action.
      Difficile de dire qui de l’œuf ou de la poule dans les
      habitudes et les croyances.
      Certaines viennent de l’éducation, d’autres des
      interprétations et conclusions erronées que nous avons
      déduit de nos malaises d’enfants.



  18. Jacques C le 18 novembre 2014 à 12 h 00 min

    Merci Hannah de nous faire profiter de ton expérience, photos en prime et article très enrichissant.

    L’essentiel, comme tu le dis est d’ETRE et de rayonner ce que nous aimons, ainsi, les autres bénéficient de ce rayonnement, c’est ce que tu fais Hannah, félicitations!

    Des gros bizoux à toutes et à tous!



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 05 min

      Bonjour Jacques
      Tu as raison, rayonner est au moins aussi efficace
      que de transmettre et enseigner!



  19. Marie@Nourriture Sante le 18 novembre 2014 à 20 h 46 min

    Bonsoir Hannah,

    C’est vrai qu’il faut savoir abandonner un objectif s’il nous prive d’un autre plaisir, celui de l’instant.
    Bien plus précieux celui-là.
    Et qui ne nous apporterait pas de plaisir supérieur de toute façon.
    A quoi servent les objectifs sinon à nous pourrir l’existence le plus souvent ?!

    Tes photos m’épatent encore…
    Merci pour cette belle aventure.

    PS Je connais les mêmes déboires que toi chez Eric. Des mois que je le lui dis !

    Amicalement.
    Marie.



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 09 min

      Bonjour Marie,
      Est ce que tu parles du blog à propos de déboires?
      Je fais une distinction entre objectifs et intentions.
      Ils ne se passent pas dans la même dimension.
      les objectifs terrestres sont essentiels mais les
      atteindre ne satisfait qu’à court terme alors que
      les intentions ne font que donner une direction
      au GPS. Être heureux est une question à se poser
      à chaque instant en vérifiant que ce qui est inscrit
      dans le GPS est bien orienté dans cette optique!



      • Marie@Nourriture Sante le 29 novembre 2014 à 9 h 33 min

        Bonjour Hannah,
        Oui, je parle comme toi du problème pour laisser un commentaire chez Eric.
        Moi aussi je fais une différence entre objectif et intention.
        Marie.



  20. cavillet le 19 novembre 2014 à 17 h 09 min

    Merci Hannah c’est toujours un réel plaisir de vous lire . Cela m’apporte énormément sur ma façon de vivre de voir les choses on se laissent trop souvent mise à l’écart avec mes dons je me laisse très vite embarqué par se mode de fonctionnement robotisé et formaté Je vais refaire une très grande remise en question . Mille merci . Les images de votre voyage sont splendides . A bientôt Isabelle



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 10 min

      Bonjour Isabelle,
      Bravo pour la remise en question, revenez nous en parler!



  21. Enzo Duval le 21 novembre 2014 à 3 h 01 min

    Bonjour Hannah,

    Merci beaucoup pour ta participation à cet événement !

    Super article, super photos ! C’est juste magnifique !

    C’est vrai que les gens se fixent un objectif, et ont le fantasme que c’est l’atteinte de cet objectif qui va les rendre heureux. Je pense que l’atteinte d’un objectif est juste un amplificateur de ce qu’on a déjà en soi. On peut décider d’être heureux inconditionnellement, et dès maintenant. Les circonstances extérieures ne sont pas responsables de notre malheur.

    Merci encore une fois pour ton article !

    Bien amicalement 🙂

    Enzo



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 11 min

      Merci Enzo pour le thème de ta Croisée,
      c’était un plaisir, j’ai hâte de lire l’ebook qui va suivre!



  22. agnes le 30 novembre 2014 à 10 h 51 min

    Bonjour Hannah, merci pour tout ce que vous ecrivez, c’est tellement empli de bon sens!! Et cela me rechauffe le coeur…



    • Hannah le 30 novembre 2014 à 18 h 38 min

      Merci pour votre appréciation, Agnès, c’est un plaisir pour moi
      d’écrire et d’aider.



  23. Ophélie le 2 décembre 2014 à 8 h 05 min

    Bonjour Hannah,

    C’est fou comme la confiance en soi c’est vendeur, comme étant l’élément déclencheur pour notre vie change comme par magie… Merci d’avoir mis en lumière ce mythe…!
    J’avais hésité à participer à l’événement de la croisée… et m’étais finalement dit ce thème là il a été visité, revisté… est-ce qu’on peut y apporté encore du neuf…?!? Et je dois avouer le fait que je n’ai jamais vraiment cherché à avoir confiance en moi, c’était plutôt la confiance en la vie qui a manqué… cette impression d’être alignée à qui je suis et ne pas forcément voir le retour ?!?
    La confiance un voyage à explorer et cultiver qui on est dans le moment 🙂
    Merci pour ces magnifiques photos, ça m’a reconnecté avec l’appel Tibet, y es-tu déjà allé?



  24. Hannah le 2 décembre 2014 à 8 h 56 min

    Bonjour Ophélie,

    Le Tibet, c’était dans mes top priorités fin des années 80
    et puis ils ont fermé le pays donc j’ai trouvé un pays de
    remplacement…le Ladakh.
    Et toi y es tu allé?
    Je pense avoir pas mal de Tibet dans mes bagages, je ne suis
    pas certaine aujourd’hui de vouloir me confronter à ce
    que c’est devenu sans compter que tous les Tibétains
    sont disponibles dans le monde entier maintenant.



  25. Michel @ Changer Gagner le 8 décembre 2014 à 20 h 13 min

    Mais il ne sert à rien, non plus, d’avoir confiance en soi si on n’a pas les bonnes compétences. Conduire à fond la caisse en se prenant pour un pilote est très nuisible quand on n’est pas un pilote et même quand on en est un !

    Ce qui me fait dire qu’il faut avant tout savoir comment faire dans une situation pour avoir confiance en soi dans cette situation.

    Par exemple, pour avoir confiance en soi quand on aborde des gens, il faut savoir quoi et comment faire.



  26. Jerome Montigny - Le coach des Infopreneurs le 9 décembre 2014 à 13 h 20 min

    Merci Hannah pour cet article.
    Je dois bien avouer que ton accroche provocatrice m’a bien secoue au début, puis plus on lit plus on comprend pourquoi tu dis cela.

    Rare sont les personnes parlant du fait que dans l’age adulte nous prenons le relais de nos parents ou prof dans les critiques et jugements de chaque chose que l’on fait « de mal ».
    Donc merci pour avoir mis ce point en avant.