Comment lacher prise dans les relations en 9 etapes? Technique Tipi


comment lâcher prise 1Avant le comment lâcher prise, le pourquoi!

 

Lâcher prise c’est laisser aller ce qu’on tient avec force. Je me suis posée la question : « qu’est ce que je tiens avec force » ?

 

Réponse, pas grand chose que je sache (en apparence). Est ce que je me souviens d’objets que je tenais avec force? Jamais très longtemps.

 

Est ce que je me souviens de situations que je tenais avec force ?

 

Oui, par exemple, quand mon blog s’est fait hacker, je ne voulais pas que des publicités apparaissent à l’insu de mon plein gré donc oui, je tenais avec force à la « pureté » de mon blog.

 

Est ce que c’était facile de savoir comment lâcher prise ? Non, tant que le problème n’était pas réglé et surtout tant que je n’avais pas compris ce qui se cachait pour moi derrière cette apparente épreuve.

 

Cet article est écrit pour la Croisée des Blogs, organisée par Sandrino du blog « Réussir ses relations« 

 

La peur n’est pas facile à lâcher si vous n’avez pas les clés de ce qui la provoque.

 

Est ce que je me souviens de relations où j’avais du mal à lâcher prise ? Là, je réponds un grand OUI parce que, même quand elles étaient terminées, je continuais à m’accrocher à elles!

 

Peut-être avez-vous connu aussi :

 

  • la jalousie,
  • la peur de l’abandon,
  • la peur du rejet,
  • la peur de ne pas être aimé,
  • la peur que l’autre meure,
  • la peur que ça s’arrête,
  • la peur de perdre l’autre,
  • la peur de ne pas être à la hauteur,
  • la peur de ne pas savoir maîtriser la situation,
  • la peur d’être contrôlé,
  • la peur qu’on vous fasse du mal,
  • la peur d’être oublié etc… ?

 

Alors vous savez que c’est bien la dernière chose que vous avez envie de faire : celle de lâcher prise ou d’apprendre comment lâcher prise!

 

Toutes les situations où la peur est incluse vous poussent à vous accrocher désespérément mais à quoi ?

 

Ce que vous voyez de vous-même, c’est que vous tentez de résister, donc vous alimentez la souffrance et vous resserrez la main pour ne pas lâcher prise.

 

Pourtant, avec un petit travail sur soi et un peu de conscience, il est assez aisé de se rendre compte qu’on est accroché à la situation.

 

Pour lâcher prise, il faut savoir ce que vous tenez!

 

Cependant, je vais vous donner plus loin quelques situations où vous ne savez peut-être pas que vous êtes accroché et que vous auriez intérêt à lâcher prise !

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Pourquoi ? Parce que c’est votre inconscient qui tient serré la situation ! Tant que vous croyez savoir ce à quoi vous êtes accroché, vous êtes loin du compte et vous ne saurez pas où vous avez à lâcher prise!

 

Je suis allée me renseigner chez les collègues du web pour voir un peu ce qu’ils avaient comme conseils à donner pour lâcher prise….

 

« Apprendre à vivre le moment présent »…dites-moi franchement, êtes-vous vraiment capable de distinguer au présent ce qui vient du présent et les interactions de votre passé dans votre présent ?

 

Parce que si vous êtes capable de faire cela à chaque instant chapeau! Ce n’est pas mon cas ni celui de ceux que je rencontre.

 

Comme il n’existe qu’un instant présent, c’est le point de convergence de tous les espaces-temps, pas seulement de votre présent!

 

Lâcher prise ou réactivité, pas si simple!

 

Laissez-moi vous donner un exemple pour comprendre de quoi je parle.

 

Vous entrez dans la chambre de votre ado pour lui demander de ranger sa chambre et il vous parle mal, d’ailleurs ce n’est pas la première fois qu’il est provocateur et insolent à votre égard.

 

Si vous préférez utiliser un adulte plutôt qu’un ado (un parent, un(e) conjoint(e) etc…) à qui vous demandez  un service et qui vous envoie sur les roses, vous allez voir, ça fonctionne aussi !

 

Que faites-vous ?

 

  • Vous refermez la porte ou vous raccrochez rapidement le téléphone pour ne pas avoir à supporter cela?
  • Vous restez planté là ou vous restez silencieux, en attendant qu’il se calme?
  • Vous lui parlez gentiment en tentant de le culpabiliser parce qu’il vous parle mal ?
  • Vous le sermonnez parce que c’est vous le parent (ou le conjoint, l’enfant) et qu’il n’a pas le droit de vous parler ainsi (pourtant il le fait!)?
  • Vous le menacez de ne pas le laisser faire ce qu’il veut (ou de ne pas lui donner ce qu’il désire) le weekend prochain ?

 

Y a t-il d’après vous une des 5 solutions qui soit plus adéquate? Et ne me dites pas que vous n’avez pas reconnu un de vos schémas !

 

La solution est : aucune. Pourquoi ? Parce que, dans les 5 cas, vous êtes dans la réactivité.

 

Et si vous êtes dans la réactivité, c’est que vous êtes accroché… comment auriez-vous même l’idée d’un lâcher prise puisque vous ne savez pas ce que vous tenez !

 

Vous avez à peine senti ce que la situation avait provoqué en vous que vous étiez déjà en train de:

 

  • figer
  • fuir
  • l’agresser en retour

 

Si vous pensez que lui parler gentiment sans violence en le culpabilisant n’est pas de la réactivité, c’est que vous ignorez peut-être votre peur, votre tristesse ou que votre colère est refoulée.

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Vous voyez que ce n’est pas si simple de savoir à quoi on est accroché avant de penser à lâcher prise

 

Attendre que votre ado ait 18 ans pour en être débarrassé ou penser quitter votre compagne (on) n’est pas non plus ma notion de lâcher prise mais plutôt celle de la fuite !

 

Ce fameux moment présent que vous croyez vivre est encore empreint de votre passé et vous ne vous en êtes même pas aperçu. N’imaginez pas pouvoir lâcher prise.

 

Le deuxième conseil du web sur comment lâcher prise, c’est « apprenez à méditer ». Pour avoir pratiqué pendant de nombreuses années la méditation, je sais qu’elle ne prépare pas forcément à ne pas être réactif dans ce type de situation.

 

Pour certains, elle peut même éloigner du vrai ressenti, dans une façon toute relative de ne pas se sentir concerné mais ceci ne concerne que moi bien entendu!.

 

Je suis d’accord avec vous,  la méditation c’est formidable mais ce sont surtout des gammes. Lorsque vous jouez un vrai morceau devant quelqu’un, vous quittez la plupart du temps l’instant présent.

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Alors comment lâcher prise dans cette situation ?

 

A) Tout d’abord reconnaître votre désir de contrôler la situation ou la personne, puis votre impuissance totale à la contrôler. Le désir de contrôle est là pour vous sécuriser mais c’est l’antithèse du lâcher prise !

 

B) Une fois que vous avez reconnu ce désir de contrôle et cette impuissance à le faire, notez l’émotion que cela crée en vous. Peur ou tristesse ?

 

Si c’est la colère qui monte en premier, c’est que vous n’avez pas senti votre impuissance à changer la situation, surtout si elle dure depuis un certain temps, voir depuis tout le temps ! Cherchez la peur ou la tristesse qui se cache derrière votre colère en vous recentrant sur l’impuissance.

 

Lorsque vous sentez l’émotion, sachez qu’elle appartient à une partie de vous-mêmes qui n’est pas au présent.

 

C’est sans doute un enfant enfoui, terrorisé par un parent violent (au moins dans les mots) ou un éducateur, un grand frère (soeur) etc…

 

C’est peut-être la peur de sentir une réaction dérangeante dans votre corps alors si les émotions n’étaient pas permises dans votre milieu familial et que vous ne deviez rien montrer .

 

Si c’est de la tristesse, c’est un profond sentiment de solitude qui découle du fait de ne pas pouvoir être en lien.

 

La tristesse est aussi l’émotion d’une partie enfouie de vous-même, peut être un enfant habitué à entendre des disputes et qui ne trouvait pas de bras réconfortants tant ses parents étaient occupés à se chamailler.

 

Tant que vous n’avez pas pris conscience de tout cela à l’instant même où la personne vous parle mal, vous êtes en réactivité et vous avez quitté l’instant présent.

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Une fois que ceci est fait, vous avez déjà réussi à lâcher prise sur la situation car vous avez reconnu les ingrédients du passé auxquels vous étiez accroché, vous pouvez de nouveau être heureux!

 

Vous n’êtes pas obligé de tout comprendre en un instant, juste sentir ce qui se passe en vous et ne pas y réagir immédiatement.

 

C°) Dépendamment de votre état, à ce moment là, vous pouvez soit :

 

  • Demander une discussion immédiate avec la personne.
  • Soit vous retirer calmement panser votre blessure en disant à la personne en question que vous aimeriez en reparler.
  • Soit lui dire comment vous êtes triste parce que vous aimeriez être en lien avec lui plus souvent.
  • Soit lui demander quand il est disponible pour en parler.

 

Voilà une véritable séance de lâcher prise, vous voyez qu’il y a du boulot pour en arriver là tout en restant présent et en lien avec la personne qui, en apparence, vous a fait du mal!

 

Car c’est, bien entendu, toujours à l’endroit où ça fait le plus mal.

 

Au cas où vous n’auriez pas réussi à lâcher prise au cœur même de la la discussion houleuse...

 

Si l’exercice de simultanéité vous parait encore hors d’atteinte, examinons un peu ce qui se passe lorsque vous n’avez PAS réussi à lâcher prise sur la situation.

 

Vous quittez la pièce stressé, triste (sans le savoir), en colère (en le sachant), déçu, dans le déni (sans le savoir), coupable (sans savoir ce que ça cache), amer à propos des ados ou des hommes (sans savoir que vous généralisez), inquiet (sans comprendre pourquoi), rejeté ou blessé.

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Le travail de lâcher prise peut alors commencer si vous avez décidé de ne pas ruminer toute la journée, de ne pas vous mettre au lit ou aller voir une comédie musicale au cinéma.

 

Comment lâcher prise en 9 étapes

 

1°) La motivation pour lâcher prise

 

Trouvez en vous un véritable désir de lâcher prise pour ne pas vous imposer cet état générateur de basses vibrations qui va, par la loi d’attraction, vous apporter d’autres situations stressantes à gérer.

 

C’est une véritable décision à prendre. Vous pouvez aussi choisir de rester accroché ou ne rien choisir du tout car vous n’avez aucun recul et aucune conscience d’avoir été activé par la scène.

 

Sachez qu’appeler vos parents ou vos amis pour un conseil ne vous fera sans doute pas lâcher prise, vous allez juste réussir à vous plaindre et vous dé-responsabiliser.

 

Ouvrir le pot de Nutella ou la boite de gâteaux vous permettra juste d’endormir vos émotions avec le sucre.

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2°) Surprenez-vous à vous juger pour pouvoir lâcher prise

 

Arrêter de vous traiter de nul et d’incapable sous prétexte que vous n’avez pas su gérer la situation. Acceptez ce qui est.

 

Souvenez-vous que si c’est une partie de vous qui inconsciemment rejoue la scène afin que vous puissiez nettoyer votre blessure, vous n’avez aucun pouvoir de l’en empêcher.

 

3°) Voyez-vous juger l’autre sans retenue pour apprendre à lâcher prise

 

Sentez votre désir de juger l’autre, de nul, de violent, d’incapable, de C.. avec la panoplie de noms d’oiseaux etc…

 

Rappelez-vous qu’un jugement est une blessure du cœur qui vous appartient et que l’autre vous renvoie.

 

Sachez aussi que ce que vous jugez chez l’autre (son égoïsme et sa violence) est exactement ce à quoi vous avez été confronté alors que vous n’étiez pas en capacité de vous en extraire.

 

Cela ne signifie pas nécessairement que vous ayez été violent mais plutôt que vous avez été soumis à la violence. Il est normal que, dans la redite, vous perdiez votre calme.

 

Votre jugement sur l’autre est précieux car il vous donne la mesure exacte de ce à quoi vous avez été confronté.

 

4°) Souvenez-vous que vous êtes dans une projection pour pouvoir lâcher prise.

 

Vous projetez votre passé sur cette scène, c’est pour cela qu’elle vous paraît traumatisante. Qui, au fond de votre subconscient, est cette personne qui vous agresse, vous rejette et ne veut pas de lien avec vous ?

 

Ne faites pas trop longtemps la confusion: votre ado n’est pas votre père, votre conjoint n’est pas votre mère…

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5°) Renoncez temporairement à votre objectif louable d’être un bon parent pour cet ado, une bonne épouse pour votre compagnon ou un bon fils pour vos parents afin de lâcher prise.

 

Il est question d’une blessure profonde, la partie de vous qui est blessée est encore jeune, elle n’est pas mariée et elle n’a pas d’enfants !

 

Faites le deuil de la croyance « il faut » ou « je dois » être un parent exemplaire, une compagne douce et aimante ou un enfant reconnaissant.

 

Vous êtes humain et vous avez été touché : vous êtes hors jeu pour quelques minutes.

 

6°) Accueillez en vous l’enfant blessé pour lâcher prise

 

Je parle de cet enfant en vous qui a souffert de rejet, de solitude, d’abandon ou de mauvais traitements et avec lequel vous n’êtes pas très familier (e) sauf pour le pousser à se soigner.

 

Laissez-le vous montrer ce à quoi il a été confronté très jeune sans pouvoir se défendre ou se plaindre, ne cherchez pas à vous en débarrasser rapidement avec une bonne thérapie..

 

Abandonnez-vous temporairement (et loin de la scène initiale) à la vulnérabilité qui est en vous à cet instant.

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Devenez un bon parent pour cet enfant blessé en vous et ne vous préoccupez plus des acteurs de votre vie d’aujourd’hui avant d’avoir soulagé cet enfant en vous.

 

7°) Méfiez-vous des bénéfices secondaires de la maltraitance pour lâcher prise

 

Je sais que cette notion n’est pas facile à comprendre. Apprenez à mesurez le bénéfice secondaire que représente cette scène avec votre fils ou votre conjoint.

 

Pendant que vous vous prenez le chou avec un ado en 2015 qui reste votre fils et qui est encore dépendant, vous ne prenez pas beaucoup de risques…

 

C’est quand même plus facile de tenter de régler votre blessure avec lui en 2015 que d’être aux prises, enfant,  avec un parent violent, alcoolique ou bipolaire, non?

 

C’est bien cet enfant en vous dont je vous parle qui souffre aujourd’hui. Il vous fait revivre une scène ancienne afin que vous puissiez soigner votre plaie, pas pour que vous déclariez la guerre à votre ado !

 

8) Centrez-vous sur les besoins pour lâcher prise

 

Au final, posez-vous la question : qu’est ce que j’aimerais vivre avec mon fils ? Quel est mon véritable besoin ?

 

  • douceur
  • lien
  • soin
  • compréhension
  • écoute
  • respect
  • échange
  • paix
  • coopération ?

 

Soyez prêt à l’exprimer face à votre ado (ou votre conjoint(e)) lorsque le moment sera venu d’en discuter avec lui (elle).

 

En attendant, mettez-vous quelques minutes à l’écoute de ses besoins à lui (elle). Mettez-vous dans ses baskets afin de déterminer les raisons possibles pour lesquelles il a été irrespectueux.

 

De quoi a t-il besoin ?

 

  • écoute
  • intimité
  • liberté
  • repos
  • cohérence?

 

Demandez-vous si vous pouvez lui suggérer d’autres moyens de se sentir libre qu’en ne nettoyant pas sa chambre.

 

Gardez ces pistes en tête lorsque le moment sera venu d’harmoniser vos besoins respectifs. Vous saurez alors que vous avez réussi à lâcher prise.

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9°) La technique TIPI à la rescousse pour apprendre à lâcher prise

 

Il arrive que certaines peurs soient tellement ancrées qu’il ne soit pas possible de les déloger ni de lâcher prise avec un travail sur soi ordinaire.

 

Je sais de quoi je parle, certains de mes schémas et de leur gestion ont résisté à toutes les thérapies.

 

Dans ces cas là, les traumas ont commencé dès des les premiers mois de vie (avant la mémoire) voire dès la vie intra-utérine, je vous renvoie sur d’anciens articles TIPI (Technique des peurs inconscientes).

 

La conscience seule ne peut pas les démanteler car, au fil des années, la pelote « trauma-gestion-bénéfice secondaire-croyances-cerveau reptilien-hypothalamus » vous interdit littéralement l’accès à ces données.

 

Je connais peu de techniques, à part les thérapies quantiques et selon moi la technique TIPI en fait partie, qui permettent d’atteindre ce nœud central.

 

La technique TIPI permet de dénouer, jusque la vie intra-utérine, les nœuds que le cerveau s’est fait avec les difficultés à gérer du fœtus ou du bébé.

 

La technique TIPI permet, sans mental ni compréhension et à partir des émotions de retourner dans le corps en laissant ce dernier se libérer.

 

Je ne veux pas vous raconter de salades, avec toute la bonne volonté du monde et les prises de conscience à ma disposition, il y a vraiment des blessures auxquelles je n’avais pas accès rien que par la compréhension, l’énergétique ou les techniques de « tapping ».

 

Comme j’ai tout essayé (ou presque), je garde aujourd’hui, dans ma boite à outils, les techniques (non- duelles) qui fonctionnent et ne font pas qu’agiter le cocotier émotionnel.

 

Qu’est ce que j’entends par non-duelles? Celles qui ne font pas de clivage entre maladie/guérison, trauma/libération, peur/sérénité, poids du passé/légèreté, stagnation/atteinte d’objectifs.

 

L’Être y est pris dans son entièreté et ces couples apparemment antinomiques se côtoient agréablement.

 

Je vous souhaite un joyeux lâcher prise et n’hésitez pas à faire appel à moi si vous rencontrez des obstacles.

 

Voici comme demandé par vos sympathiques réponses à l’enquête, une liste de mes prochains évènements.(Vous les trouverez aussi sur l’onglet « stages) .

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Et vous, quelle est votre recette pour lâcher prise ? (à part la vodka ou le chichon). Sur quoi avez-vous récemment lâché prise ? Laissez un commentaire !


Hannah

50 commentaires

  1. Louise le 3 mars 2015 à 21 h 57 min

    Bonjour Hannah,

    Votre exemple avec l’ado tombe à pic ou plutôt monte en flêche car c’est ma situation personnelle. J’ai récemment laché prise sur les résultats scolaires en passant par un voyage intérieur comme vous le suggerez, qui m’a devoilé la blessure qui n’avait d’ailleurs rien à voir avec les bonnes ou les mauvaise notes.

    Alors maintenant mon fils reçoit des 20/20 de l’école. Ce qui n’est jamais arrive auparavant.

    Ce qui accompagne merveilleusement bien le laché prise est le sentiment de gratitude et de pardon. Je me sens profondémem reconnaissante de l’écran de réflexion que mon fils m’offre au jour le jour et je lui demande pardon directement lorsque c’est approprié ou intérieurement d’avoir dû projeter sur lui pour pouvroir avancer moi même. Ce sont des moments très forts de partage et d’amour inconditionnel qui s’ensuivent.
    Merci Hannah de continuer votre travail et de votre capacité à partager vos outils de vie,



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 33 min

      Merci Louise, c’est un beau témoignage des petits miracles
      de la vie dès qu’on reprend la responsabilité de ses mémoires!



  2. christine le 4 mars 2015 à 7 h 36 min

    Bonjour Hannah,
    Au fil de tes articles, j’ai appris à mieux gérer les différentes crises qui se présentent à moi maintenant, je pratique beaucoup la méthode Ho’oponopono. Donc dès que je suis face à ce genre de situation (conflit, colère, ras-le-bol,…) je cherche instantanément ce qui fait mal à mon enfant intérieur, pourquoi il se manifeste et sur quelle blessure. Et là, presqu’à coup sûr, je me sens déjà mieux, comme si le fait d’y penser désamorce la malaise. Le fait de concentrer ses pensées sur soi et non sur le problème ou la personne en cause permet de prendre du recul je pense et minimise les choses. Je suis d’accord quand tu dis qu’il faut accueuillir l’enfant blessé pour pouvoir lâcher-prise, c’est tout à fait ça. On ne s’imagine pas toutes les blessures qui sont restées en nous depuis notre naissance !
    merci pour tout ce que tu as fait pour moi Hannah à travers tes articles, quelle avancée sur moi c’est formidable et j’espère pouvoir te le dire un jour en face !!
    Amitiés



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 35 min

      Bonjour Christine,
      Je suis contente de voir que le travail avance.
      Oublier la situation de départ et accepter de sentir…
      si tout le monde réussissait à faire cela, il y aurait
      moins de guerres dans le monde.



  3. Kate le 4 mars 2015 à 8 h 16 min

    Bonjour hannah
    Merci beaucoup pour cet article qui m a beaucoup aidé à comprendre comment lâcher prise face a ces situations qui font partie de mon gros dossier et que je rencontre régulièrement avec mes proches ( ados et conjoint).
    Et il est vrai que j avais encore beaucoup de mal a lâcher prise lorsque j étais confrontée a un proche qui me parlait très très mal voir m agressait. Et je comprends de mieux en mieux grâce a vos articles car même si je sais que mon enfant intérieur a subi la violence et la soumission, même avec hooponopono , la tristesse était tellement puissante et me faisait souffrir comme une blessure a vif que j avais du mal a m y retrouver. Alors pour moi cet article va vraiment m aider a lâcher prise, ce qui est le plus dur a appliquer pour moi ayant été tellement que dans le mental pendant des années pour fuir.
    Je tenais a vous dire que j aimais beaucoup votre manière d aborder ces sujets avec votre expérience et votre connaissance , en prenant en compte les différentes thérapies. Avec vous, c est concret direct et plus facile .
    Un grand merci
    Je vous laisse car je vais tout de suite voir votre article sur TIPI que je n ai pas encore découvert.



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 37 min

      Bonsoir Kate,
      Les blessures à vif font mal mais moins que la
      résistance aux blessures.
      Quitte à souffrir de quelque chose, autant que ce soit
      directement l’enfant parce qu’on peut l’accueillir avec
      la connaissance adulte que nous avons.
      Les gros dossiers prennent du temps, courage…



  4. agnes le 4 mars 2015 à 8 h 59 min

    Bonjour Hannah,
    merci pour ce développement qui me parle tant! La relation avec mon conjoint n’a jamais été source de joie mais bien de confrontations en tout genre. j’ai eu à me battre pour tout (ma liberté, le respect, etc etc). J’ai failli le quitter à plusieurs reprises car ses attentions se portant toujours vers le boulot, l’écoute des autres, je ne trouvais pas ma place dans cette relation. Mes enfants, l’achat d’une maison conjointe avec mes parents, tout cela a fait que j’ai choisi la voie du développement personnel plutôt que la fuite. J’ai appris à panser certaines de mes blessures, à prendre soin de moi et ne plus attendre que quelqu’un d’autre le fasse. Cela m’a permis de vivre ce qui était juste pour moi, dans tous les domaines. Encore à l’heure actuelle, je me trouve face à quelqu’un d’imprévisible, d’absent, surtout quand je pense qu’enfin, nous allons vivre une vraie vie de couple. Le dernier évènement en date est son choix de remplacer un radiateur(qui aurait encore pu vivre 10 ans), le 24 décembre alors qu’il savait que je concoctait un petit réveillon sympa! Et cela a encore ravivé colère, tristesse, et tutti quanti … à croire que j’en avais un monceau à évacuer …
    Je ne sais si je resterai encore avec lui … en attendant, je continue à prendre soin de moi, à vivre ce qui me correspond. J’ai aussi appris que la liberté, le respect, on le porte en soi (ou non) … et donc je suis à bonne école!
    Merci en tout cas pour votre aide permettant les prises de conscience … et votre humour ….



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 42 min

      Bonjour Agnès,
      Cette histoire de 24 décembre, c’est vraiment une mémoire…
      Tant que notre conjoint réveille des mémoires, autant rester
      pour le travailler si cela n’attaque pas notre santé.
      Lorsque le coeur s’est rouvert et qu’on pourrait rester, parfois
      c’est le moment de partir…pas avant.



  5. gilbert le 4 mars 2015 à 9 h 03 min

    Merci beaucoup hannah pour cet article qui en le lisant à fait monter en moi une forte émotion, j’ai reconnue dans cet article des situations qui font partie de mon moi avec ma famille avec tout le monde en fait
    j’ai envie de comprendre et de commencer ce travail de lâcher prise bien que je sache depuis longtemps que tout cela vient de mon enfance .Je ne peux pas bien encore exprimer par des mots ce que je ressens mais je continu mon chemin …avec vous
    merci



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 45 min

      Bonjour Gilbert,
      On ne peut pas vraiment travailler sur son enfance car elle
      fait partie du passé et que notre seul point d’action est le présent.
      Par contre, on peut le sentir dans les situations de notre vie
      quotidienne , particulièrement dans les relations avec les
      proches…c’est ainsi que le travail se fait.
      Merci pour votre confiance.



  6. Marie le 4 mars 2015 à 9 h 07 min

    Bonjour Hannah,
    Comment lâcher prise aussi durant les relations sexuelles? Je n’ai jamais connu d’orgasme et tt le monde me dit que je dois lâcher prise. J’ai 53 ans et j’ai beau me sentir prête, amoureuse, confiante, qq chose bloque chez moi à chaque fois que je m’approche de ce point de vulnérabilité que représente l’orgasme.
    Or, pendant l’acte, dans l’instant présent, je n’écoute que le plaisir qui vient en moi et je ne sens pas de blocage spécial. Ni mentalement, ni physiquement. Je connais bien mon corps et malgré tout ma vie sexuelle est incomplète.
    As-tu des conseils à me donner ?
    Merci d’avance.
    Amicalement.



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 53 min

      Bonjour Marie,
      Il y a de multiples raisons qui font que l’orgasme
      est inaccessible mais, dans ma pratique thérapeutique,
      je m’aperçois que, la plupart du temps, ce sont des mémoires
      anciennes, karmiques ou de l’arbre généalogique.
      Une partie de l’Être reste inaccessible et ne peut être
      ré-apprivoisée qu’avec beaucoup de soin.
      Ce n’est pas une fatalité mais bien une forme de handicap
      qui accompagne en vue d’une transformation de la relation
      au corps.
      Ré-apprendre à « faire du corps » (sans que ce soit vraiment sexuel)
      et se sentir nourrie même sans orgasme est le chemin.
      Ce qui est à lâcher c’est de se sentir responsable de cet état
      de fait.
      Nous sommes responsables de porter des mémoires mais
      pas forcément de ce qui est inclus dedans. Demander de l’aide
      à l’intérieur pour suivre le chemin que ce handicap indique…



  7. JACQUELINE le 4 mars 2015 à 11 h 54 min

    Bonjour Hannah
    merci pour cet article très intéressant sur le lacher prise
    j’ai reconnu bien des situations auxquelles je suis confrontée dans la vie
    tu expliques bien comment essayer de lacher prise, mais comme souvent la difficulté est qu’il faut comprendre notre enfant intérieur que l’on est toujours, ai je bien compris ?
    merci
    bonne journée



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 56 min

      Bonjour Jacqueline,
      Plus que comprendre, c’est bien de sentir que l’enfant est nous est
      touché et ne pas tenter de régler en 2015 des situations qui ne sont
      en fait que des ré-ouvertures de la blessure afin de cocooner cet enfant.



  8. Magalie le 4 mars 2015 à 12 h 35 min

    Bonjour Hannah,

    Un article très instructif dont je commence à maîtriser les fondements. 2 belles victoires de lacher prise dernièrement qui m’ont permis d’ accepter les limitations de certaines personnes de mon entourage . Sentir le « je n’existe pas » et après la colère nettoyé, sentir la tristesse m’envahir. Encore du chemin mais c’est de mieux en mieux 🙂

    Bien à Alain et toi,
    Magalie



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 57 min

      Bonjour Magalie,
      Belle victoire!
      La tristesse derrière la colère est un bon chemin.
      La mémoire de « je n’existe pas » n’a effectivement rien
      à voir avec la situation présente.



  9. Dorian le 4 mars 2015 à 13 h 45 min

    Bonjour Hannah,
    C’est marrant parce que le lâcher-prise est une évidence au niveau intellectuel.
    Mais au niveau sentimental, c’est parfois très difficile à mettre en place.
    Accepter, se responsabiliser tout en restant détaché des résultats et rester focaliser sur ce que l’on veut, sur nos besoins, et non sur ce qui nous bloque. Voilà de belle perles, merci à toi pour ces bons rappels et les techniques que tu proposes.
    Bien amicalement,
    Dorian



    • Hannah le 4 mars 2015 à 21 h 58 min

      Bonjour Dorian,
      Tu as raison, lâcher prise c’est tout sauf mental.
      Lorsque ça lâche, c’est instantané, la situation ne nous
      dérange plus et à la place, la tristesse fait place à un élan de cœur.



  10. Sylvie le 4 mars 2015 à 20 h 17 min

    Bonjour Hannah,

    Hum… Le lâcher prise, cette source de souffrance à l’intérieur de soi.
    De plus en plus, je prends soin de mon enfant intérieur. Surtout, deupuis
    ma découverte d’Ho’oponopono et en ce moment, je suis à transformer
    mon niveau de communication. J’avoue que ma tendance est, ou plutôt,
    était la fuite. Suite à un récent conflit, j’ai constaté une amélioration. J’ai
    réussi à m’exprimer lors d’une confrontation. J’écris mes sentis, cela
    m’aide à retrouver mon centre, ainsi que de longues et douces respirations.

    Ton article, Hannah, me confirme que j’ai du boulot devant moi…
    Merci et passe de doux moments.

    Sylvie!
    Dunham, Québec



    • Hannah le 4 mars 2015 à 22 h 00 min

      Bonjour Sylvie,
      Rester en place malgré la souffrance est un véritable
      défi. Faire Ho’oponopono en plein coeur de la
      confrontation, la voie la plus rapide pour le changement.



  11. Marie le 4 mars 2015 à 21 h 06 min

    Bonjour Hannah,

    Beaucoup de lucidité dans ce tableau et de bon sens ravageur !
    On se sent tout « déshabillé » à te lire, démasqué.

    C’est vrai qu’avec l’habitude on peut faire preuve aussi de lucidité et reconnaître les ingrédients du passé comme tu dis.

    Pour moi ce qui me permet le mieux de m’approcher du lâcher-prise, c’est l’intérêt absolument vital d’y arriver.
    Sinon gare au boomrang, qui ne fait que se répéter.
    Mais la résistance du noeud, de la pelote trauma etc. dont tu parles est grand, c’est certain.

    Grand merci pour cette aide.
    Marie.



    • Hannah le 4 mars 2015 à 22 h 02 min

      Merci Marie ,
      Tu as raison, c’est mon premier point, d’abord, il faut
      vouloir lâcher prise. Tant qu’on cherche à exister, à se faire respecter ou
      avoir raison, on n’a pas encore pris la décision de lâcher prise.



  12. Deo le 5 mars 2015 à 14 h 32 min

    Hello Hannah,
    Merci pour vos doux mots, j’aime bien votre approche et vos idées, cela me parle!



    • Hannah le 5 mars 2015 à 22 h 38 min

      Merci Deo pour vos encouragements



  13. Stef le 5 mars 2015 à 21 h 10 min

    Bonsoir,
    merci pour vos partages et votre humanité.
    Connaissez vous la technique NERTI de Luc Geiger.
    Cela semble ,selon lui,plus efficace que toutes les techniques…



    • Hannah le 5 mars 2015 à 22 h 37 min

      Bonjour Stef,
      Oui, je connais Luc, nous avons des outils semblables
      mais pas tout à fait la même approche. Nerti est composé
      de plusieurs techniques mais la principale c’est TIPI, voilà
      pourquoi vous avez reconnu des similitudes.
      Rien de mieux n’a été inventé depuis que Luc Nicon l’a mis
      sur le marché à part la thérapie quantique qui est plus
      large dans ses applications.



  14. Eva le 5 mars 2015 à 22 h 41 min

    Bonjour Hannah,
    Si j’ai bien compris, Tipi permet de lâcher prise
    sur les grosses émotions?



    • Hannah le 6 mars 2015 à 9 h 46 min

      Oui Eva, pas juste les peurs. Regarde la colère est une grosse
      émotion mais si on creuse sur ce qui a déclenché la colère, on tombe
      immanquablement sur une insécurité ou une impuissance.



  15. Paule le 5 mars 2015 à 22 h 43 min

    Bonsoir Hannah,
    Cette histoire de bénéfices secondaires m’interpelle.
    C’est la première fois que je regarde la vie sous cet
    angle, c’est assez incroyable!



    • Hannah le 6 mars 2015 à 9 h 48 min

      Bonjour Paule,
      C’est ce qui me permet de dire que le sabotage n’existe pas.
      Le cerveau a déjà calculé les bénéfices secondaires qui
      sont, en général, moins souffrir, ne pas tenter l’inconnu, ne
      pas revenir sur un passé traumatique.
      En projetant mon passé dans mon présent, je suis certaine de
      ne pas avoir à revenir sur mon passé traumatique mais du coup, je ne
      règle rien.



  16. Isis le 5 mars 2015 à 22 h 44 min

    Bonjour Hannah,
    Ce n’est pas facile de renoncer à être parent
    lorsqu’on en est un, j’ai l’impression que si je fais cela,
    je ne fais pas mon travail et je perds toute crédibilité.



    • Hannah le 6 mars 2015 à 9 h 51 min

      Bonjour Isis,
      Oui, en fait on ne lâche pas le fait d’être un parent.
      C’est juste que, lorsque nous sommes petits ou
      dans une régression, nous n’avons plus rien d’un adulte
      responsable, ce n’est pas la peine de faire semblant auprès
      de nos enfants. Il est plus utile de s’occuper de l’enfant en nous
      et d’être un bon parent pour lui, plus que pour nos enfants de chair…
      à cet instant précis.



  17. Nadia le 5 mars 2015 à 22 h 46 min

    Bonsoir Hannah,
    Je pensais vraiment que parler sans violence à un ado
    était la panacée . En vous lisant, je m’aperçois qu’on passe
    sa journée à se défendre et à être réactif sans même s’en apercevoir.



    • Hannah le 6 mars 2015 à 9 h 53 min

      Bonjour Nadia,
      Ce n’est pas le ton de la voix qui est important,
      c’est l’énergie dans laquelle on le fait.
      Si on a une voix douce mais qu’on est en pleine
      réactivité, c’est la réactivité qu’il reçoit plus que
      la voix douce.



  18. Jonathan le 6 mars 2015 à 9 h 15 min

    Merci Hannah pour cet excellent article. Ces dernières semaines, pas mal de choses se sont mises en place (mariage, nouvel entreprise avec Maxence, nouvel appartement à Tokyo), tout s’est bien déroulé avec quelques secousses en amont quand certains documents trainaient ! Je dois avouer que je n’ai pas réussi à lâcher prise avant d’avoir la situation qui se règle d’elle-même !
    Sinon, au niveau de mon blog et de l’écriture, j’arrive bien à lâcher prise en me lançant simplement pour écrire ce qui me passe par la tête 😉 Je n’ai pas de recette précise, cela se fait naturellement ou pas selon les situations. Il me semble que des blessures se guérissent et font de la place pour d’autres qui étaient enfouis plus profondément.

    Merci pour tes conseils plein de bon sens, c’est toujours utile de te lire 😉



    • Hannah le 6 mars 2015 à 9 h 56 min

      Bonjour Jonathan,
      Encore Félicitations pour ton mariage.
      Il semblerait que tu t’installes à Tokyo du coup…
      Pour ce qui est des blessures, c’est parfaitement
      juste, dès qu’une blessure se guérit en surface,
      l’attachement plus profond fait surface.
      Certaines personnes se découragent parce qu’elles
      pensaient que c’était réglé définitivement….méfions-nous
      du « définitivement »!



      • Jonathan le 6 mars 2015 à 13 h 43 min

        Bien vu pour Tokyo et je ne serais pas le seul comme Magalie est dans ses démarches pour obtenir son working holiday visa d’après les dernières nouvelles 😉
        Tokyo est assez sympa pour vivre, tu connais peut-être ? Où alors ce sera l’occasion de faire un tour par ici 😉



  19. Léon le 6 mars 2015 à 9 h 58 min

    Merci Hannah pour ton article très complet.

    Comme tu mentionnes Tipi, je joins l’url d’une interview sur « Comment lâcher prise » et où je mentionne le « prise lâcher » qui, selon moi, est plus juste comme tu le découvriras dans la vidéo de 4 minutes
    https://www.youtube.com/watch?v=ukRsZXqActw

    De nombreuses méthodes nous apprennent à « lâcher prise » par des techniques ou des outils pratiques. Cependant, en acceptant et en accueillant simplement les sensations liées à ce à quoi nous nous accrochons, la « prise » se dilue et disparaît tout naturellement.

    Belle journée ensoleillée
    Léon



    • Hannah le 6 mars 2015 à 22 h 30 min

      Merci Léon pour tes précisions.



  20. Sandrino le 6 mars 2015 à 10 h 40 min

    Bonjour Hannah et merci pour cet article très intéressant !

    Dans ce que tu as écrit, je retiens plusieurs choses.

    La première, c’est qu’on a beau être quelqu’un de compréhensif, certaines situations peuvent nous faire sortir de nos gonds et réagir de la plus mauvaise des manières. je parle en connaissance de cause, je suis de nature impulsive (pas violente hein… ;). Et dans la réactivité, on réagit mal et on blesse l’Autre, qui est généralement quelqu’un qu’on aime ! J’ai fait un gros travail sur moi afin d’être plus serein et de ne pas blesser les personnes que j’aime. Cela fonctionne très bien. C’est venu avec la prise de conscience des conséquences de nos paroles et la maturité.

    La seconde chose que je retiens de ton article, c’est le 8ème point. Que souhaite -t- on et que souhaite l’autre ? Car c’est le point le plus important à mon sens. Tu donnes l’exemple d’un fils ou un conjoint. L’objectif n’est pas la confrontation. Ce sont des personnes que l’on aime et s’il y a souffrance, il faut en parler et dire ce que l’on a sur le coeur, pas de manière abrupte, mais de manière confidente, sincère et raisonnée. Je pense que c’est la chose la plus importante qui soit : la manière de communiquer ce qu’on ressent à l’autre, et comme tu le dis, sans le juger, ni le culpabiliser.

    Encore merci pour cet article et bonne journée !

    Sandrino



    • Hannah le 6 mars 2015 à 22 h 31 min

      Bonsoir Sandrino,
      Si je résume: si on ne fait pas un travail sur soi, les
      relations sont potentiellement des mines sur lesquelles
      on n’arrête pas de sauter.
      Pour une relations saine et durable, mieux vaut connaître
      le travail sur soi afin de communiquer sans violence.



  21. Helene le 7 mars 2015 à 20 h 10 min

    Bonsoir Hannah,

    Ton sujet me renvoie actuellement à mes prises de conscience dans le domaine du management d’équipe.
    Lâcher prise… Oui. Jusqu’à maintenant, je restais accrochée à je ne sais quoi. Lâcher prise peut vouloir dire que l’on accepte l’autre tel qu’il est. Ça change la vie !

    Face à des réactions ou réflexions de certaines « fortes têtes », je restais accrochée à l’image du parfait manageur en rejetant et acceptant mal toutes réactions de critiques loin d’êtres constructives à mon égard . Ce qui me générait un sacré stress. J’ai lâché prise en me disant que soit, je n’étais pas parfaite.

    Chacun ayant le droit de s’exprimer, j’ai fini par accepter cet état de fait. Savoir accueillir les différences d’opinion dans les relations fait parti du lâcher prise.

    Je restais accrochée à une image ou il ne fallait surtout pas que l’on pense du mal de moi. Utopie !

    Accepter ce que l’on est, on ne peut plaire à tout le monde, n’est-ce pas ?

    Mon lâcher prise m’a enlevé une chape de plomb.

    Merci Hannah pour cet éclairage, super !

    Hélène



  22. Ophélie le 23 mars 2015 à 7 h 14 min

    Bonjour Hannah,:-)

    Je suis aussi d’avis qu’il faut creuser en profondeur… et que la méditation et le je suis dans le moment présent ne permettent pas d’aller à la source, mais peut-être juste d’esquiver?! Du coup qu’on est dans des vibrations élevées on va moins réagir ou faire ce choix de ne pas être concerné…

    Ca vaut en effet a peine d’accueillir un événement qui vient nous titiller comme une occasion à régler nos histoires, pour s’en libérer. Dernièrement une frustration avec mes neveux et nièce, mais ils ne m’écoutent pas… un renvoie à m’exprimer clairement… et cette crainte à devenir le tante méchante qui donne des ordres…

    J’aime bien le conseil à entrer dans le partage de l’expression de ses besoins… ça ouvre le dialogue, et le coeur! Merci pour cet article 🙂



  23. Mikaël le 27 mars 2015 à 6 h 13 min

    Bonjour Hannah

    Merci pour cette leçon sur le lâcher prise. J’ai pris conscience grâce à toi de certaines de mes erreurs personnelles. La voie vers la zénitude en toute situation est longue et semée d’embûches dont les plus grosses semblent être les relations avec les autres.

    Les enfants sont au final nos meilleurs professeurs et les plus intransigeants pour nous enseigner par tous les moyens le lâcher prise, l’instant présent et la patience.

    Merci encore pour cette belle leçon et ces conseils pratiques.

    À plus



    • Hannah le 31 mars 2015 à 11 h 47 min

      Bonjour Michaël,
      Rien de plus ardu que les relations.
      Si on savait ce qui nous attend à l’avance, on éviterait
      de faire des grosses familles avec plein d’enfants…
      sachant que chacun d’entre eux représente une partie de notre inconscient!



  24. maurer muriel le 1 novembre 2016 à 12 h 04 min

    Hello, ben moi ai les 2 , les ados et maintenant le conjoint que j’ai réussi à éloigner…
    Je me reconnais dans vos dires quand à avoir dépensé des milliers de frs en thérapies ésotérique et naturelles en tout genre pendant plus de 15 ans, je n’arrive toujours pas à lâcher le morceau…pourtant je continue à apprendre essayer encore et encore d’autres méthodes et je lis encore et encore sur le développement personnel!

    Aujourd’hui je suis las de la vie , fatiguée à en perdre la foi autant en moi qu’aux autres, et vous avez raison je fume du chichon car me tuerai sinon.. les anti- depresseurs me déprime encore plus, mais je prends du griffonia , anti- dépresseur naturel, ce qui m’empêche pas de sombrer chaque jour plus fort plus profond.

    J’aime ou j’ai aimé la vie, essayer de la comprendre, de rectifier de me pardonner, mais vide seule et juste plus envie de rien du tout .



    • Hannah le 2 novembre 2016 à 20 h 54 min

      Muriel, je vous encourage à lire mes articles sur Ho’oponopono.
      Vous allez ainsi parler à la petite à l’intérieur qui est
      déprimée et qui n’avait déjà goût à rien à un moment précis
      de sa vie d’enfant ou d’ado.
      Mettre du coeur sur sa petite est un bon début…



  25. Christophe le 28 novembre 2016 à 11 h 56 min

    Bonjour,
    J’ai lu cet article avec beaucoup d’intérêt. Je me sens tout à fait en accord avec ce que vous écrivez. Je suis également thérapeute (réflexologue), j’utilise certains outils, Access bars par exemple et la non dualité. Le fait de se poser dans son corps pour percevoir ce qui est maintenant, ce qui se joue à l’avant plan et à l’arrière plan est devenue une pratique quotidienne. C’est important de sentir (dans son corps) que ce qui fait mal n’est pas la peur, le manque, le deuil ou autre, mais la résistance à ce qui est. Que le bonheur est là, maintenant.

    Bref, je suis très intéressé par TIPI qui me semble (après avoir lu deux livres de Luc Nicon) très efficace et sérieux. Vous êtes-vous formée ou pratiquez-vous après avoir lu les livres de Luc Nicon ? Pour ma part, je suis dubitatif sur les méthodes commerciales de Luc Geiger (Nerti). Ne pas donner les prix, la durée de formation, mais entraîner le visiteur sur un site dans un cursus de vidéos assez racoleur pour « forcer » un peu/beaucoup la vente à al fin à des tarifs pas donnés pour une formation online, je trouve cela moyen « énergétiquement » :@))

    Ch.



    • Hannah le 5 décembre 2016 à 7 h 38 min

      Bonjour Christophe,
      Oui je me suis formée à TIPI, version longue
      car je sais qu’il existe maintenant des versions
      courtes.
      C’est tout à fait sérieux comme technique.
      Les formations certifiantes ont tendance à être
      plus chères on line que les formations normales.



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