Comment j’ai rate l’avion en faisant Ho’oponopono

Ho'oponopono 1Petit rappel sur Ho’oponopono

 

Vous m’avez manqué.

Bien sur que je ne vous avais pas oublié depuis cette rentrée mais j’étais très occupée avec mes élèves de la formation de couleurs. Les couleurs, c’est ma spécialité (avec Ho’oponopono).

 

C’est la première fois que je fais à distance ce que j’ai l’habitude de faire en présentiel et j’avoue que j’ai été ravie de l’expérience.

 

Découvrir de nouveaux horizons, de belles personnes et sortir de ma zone de confort, rien de tel pour amuser mon ascendant gémeaux.

 

Entre temps, la vie m’a fait le bonheur de sortir mon livre sur Ho’oponopono en librairie et c’est encore un flot de cadeaux qui m’est arrivé grâce à vos commentaires. (Cliquez sur l’image)

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J’ai pris conscience ce matin, au beau milieu de la mer (je me baigne avant le petit déjeuner) pourquoi j’aimais tant Ho’oponopono et ça ne m’a pas fait plaisir du tout ! Je vous en parle en fin d’article.

 

Si vous me suivez depuis quelques temps (voire des années), vous connaissez maintenant les 4 phrases magiques de cette merveilleuse technique :

 

  • Je suis désolée
  • S’il te plaît, pardonne-moi
  • Je te remercie
  • Je t’aime

 

Si vous avez lu mon livre, vous savez maintenant qu’il existe des subtilités si vous voulez que cela vous aide vraiment à révolutionner votre vie. Le passage clé bien entendu étant « je te remercie ».

 

Dans cet article, je vais vous montrer en détail comment vous pouvez utiliser Ho’oponopono toute la journée pour nettoyer vos mémoires et alléger considérablement votre chemin.

 

Je vous expliquerai aussi pourquoi Ho’oponopono ne m’a été d’aucun secours pour venir à bout de l’obstacle principal que représente le marketing sur internet pour moi aujourd’hui.

 

Ho’oponopono au quotidien

 

1°) La raison première pour laquelle j’ai écrit ce livre, c’est parce que j’avais du mal à mettre en place une formation antistress sur le net avec Alain.

 

Le travail me paraissait démesuré, j’avais 14 nouveaux métiers à apprendre en passant du marketeur au spécialiste en montage vidéos.

 

J’ai une technique spéciale que j’utilise pour mes clients lorsqu’ils sont confrontés à un objectif difficile à atteindre. Je me suis dit que ça me ferait du bien de l’utiliser sur moi-même mais ça ramait beaucoup.

 

J’avais du mal à progresser vers notre objectif commun et je n’arrivais à stabiliser aucune étape.

 

Alors que je revenais une nouvelle fois à mon point de départ, une intuition fulgurante m’a traversé : « tu n’y arrives pas parce que tu as autre chose à faire ! Laisse Alain faire cela, le stress c’est son truc».

 

J’ai donc posé la question qui tue : « Bon, d’accord, qu’est ce que je dois faire alors ? »

 

Et la réponse a claqué dans ma tête, « Tu vas écrire un livre sur Ho’oponopono ». Ça s’est passé tel quel.

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Dans ces cas là je ne pose pas de questions supplémentaires …je me suis mise à la tâche. J’étais à peu près certaine que ce n’était pas une décision de mon égo !

 

2°) La seconde raison, c’est parce que je l’utilise tous les jours, parfois une fois par heure, parfois pendant une demi-heure d’affilée… Il ne faut pas être frileux avec Ho’oponopono, les occasions ne manquent pas.

 

Si cette technique hawaïenne n’est pas un réflexe pour vous, je vais vous montrer comment je l’utilise au quotidien, cela vous donnera peut-être des idées d’application auxquelles vous n’aviez pas pensé.

 

Prenons par exemple mon départ en Thaïlande qui était tout sauf fluide (ça arrive).

 

Les peurs mentales avec Ho’oponopono

 

A Lyon où nous prenions l’avion, une heure avant l’enregistrement, nous étions aux petites heures du matin devant une annexe du parking de l’aéroport sans âme qui vive.

 

Un fond d’agitation par rapport au timing a commencé à m’agiter. Pas grand chose mais assez pour que je le reconnaisse.

 

Ça me fait rire les gens qui me disent qu’ils n’ont pas de peur : je me dis ou bien ce sont des super héros ou bien…ils ne sentent peut être pas finement ce qui s’agite en eux !

 

J’ai immédiatement récité les 4 petites phrases. Je nettoyais ma difficulté à rester totalement dans le présent.

 

Pourquoi nettoyer me direz-vous, pourquoi ne pas attendre que ça se calme lorsque j’aurai téléphoné pour savoir ce qui se passe ?

 

Je pourrais bien sur poser un acte (c’est à dire téléphoner dans ce cas-ci) immédiatement sans tenir compte de ce qui s’élève en moi mais je suis persuadée que l’état dans lequel on pose les actes modifie le résultat.

 

SI vous plantez une graine de pommier, vous obtiendrez immanquablement un pommier. Si vous plantez une graine de stress (même s’il s’arrête dès que vous serez rassuré), le fruit qu vous obtiendrez sera du stress.

 

C’est une croyance c’est sur (donc je vais la nettoyer).

 

J’ai préféré téléphoner en étant redevenue paisible et grand bien m’a pris car mon interlocuteur m’annonce au téléphone qu’ils ont changé d’adresse et qu’il ne comprend pas que nous n’ayons pas été prévenus.

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Lyon c’est grand et la géométrie dans l’espace n’est pas ma tasse de thé. Je refais un petit tour de Ho’oponopono car une autre croyance s’est élevée : « ça ne va pas être facile à trouver ».

 

Alors qu’ai-je mis dans ma première prière Ho’oponopono?

 

Je vous la détaille pour bien vous expliquer comment est conçue cette prière mais vous n’avez pas besoin de donner tous ces détails si vous êtes bien conscient(e) que votre agitation est liée à une mémoire.

 

Si vous pensez qu’il est normal de stresser la première fois que vous êtes face à un parking d’aéroport fermé alors qu’il devrait être ouvert, alors nous allons avoir du mal à nous comprendre !

 

  • Ou alors cela vous arrive régulièrement que les personnes qui sont censées vous aider vous zappent et vous savez que c’est une mémoire que vous portez…

 

  • Ou alors c’est la première fois et donc rien ne vous a jamais prouvé qu’on pouvait vous oublier (surtout quand c’est urgent comme une heure avant l’enregistrement) donc vous n’avez aucune raison de stresser.

 

Si vous stressez malgré tout, je suis au regret de vous annoncer que c’est une mémoire…

 

Voilà donc pourquoi j’ai rajouté ces ingrédients à la prière, moi, je sais que j’ai une mémoire à cet endroit là! Voici donc ce que ça a donné :

 

  • Je suis désolée, je ne savais que j’avais encore une mémoire qui vibre à l’abandon, l’oubli, la transparence, la non existence.

 

  • Pardonne-moi de stresser pour un détail en 2015 alors que tu me parles d’une mémoire beaucoup plus ancienne que tu aimerais que je t’aides à nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer au travers de ce scénario d’oubli et d’absence à quel point il est urgent que je continue à nettoyer car la mémoire semble encore active.

 

  • Je t’aime.

 

Si vous n’avez aucune idée de ce qui se joue, « je te remercie je t’aime » envoyé à la situation problématique peut très bien faire l’affaire aussi.

 

Mais continuons ce départ en Thaïlande où j’ai à peine grossi l’activité de mon mental pour que vous puissiez vous détendre avec le votre ! Pendant que vous vous moquez avec moi du mien, vous rentrez dans une acceptation du votre.

 

Finalement, nous sommes conduits à l’aéroport et j’aperçois un petit chiot dans les bras d’un enfant à l’aéroport.

 

Les pensées parasites avec Ho’oponopono

 

Mon mental me sert alors une pensée concernant les petits barzoïs qui nous restent à caser à notre retour de Thaïlande.

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Il s’inquiète de ne pas pouvoir trouver un maître à chacun. Sachant que cette pensée n’a rien à faire avec le départ, je nettoie la pensée parasite. (Ho’oponopono sert aussi à cela).

 

Ces adorables petits chiots me mettent en transe chaque fois que la pensée m’arrive un peu comme les parents Poucet qui vont devoir abandonner leurs enfants parce qu’ils ne peuvent pas les nourrir.

 

En passant, Charles Perrault nous prend un peu pour des demeurés. Depuis quand abandonner ses enfants dans la forêt va faire en sorte qu’ils soient mieux nourris ?

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Mais vous l’avez bien compris, un fond de mémoire d’abandon doit venir se coller sur les petits chiens qui vont devoir un jour quitter la maison….et m’abandonner.

 

  • Je suis désolée, je n’avais pas vu que cette mémoire d’abandon venait prendre la forme des petits chiens

 

  • Pardonne-moi de stresser en 2015 pour les petits chiens alors que tu me parles d’une mémoire ancienne qu’il serait encore bon de nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer au travers de cette pensée parasite à quel point j’ai encore besoin de nettoyer ma mémoire d’abandon.

 

  • Je t’aime.

 

Les jugements avec Ho’oponopono

 

C’est l’heure de s’enregistrer. L’hôtesse qui nous enregistre ne veut pas acheminer les bagages jusqu’à leur destination finale.

 

Sachant que nous n’avons qu’une heure quinze pour assurer le transfert à Bangkok, mon mental sait déjà que ça va être chaud pour récupérer les bagages et ne pas rater l’avion.

 

Pour déstresser, il se met à juger silencieusement l’hôtesse qui ne fait pas son boulot.

 

Un jugement ? Super ! Encore du boulot pour Ho’oponopono. Pas besoin de savoir ce qui se joue (même si j’ai ma petite idée pour nettoyer).

 

Pourquoi je nettoie cela ? Parce que mon mental aurait tendance à dire : « c’est moi qui vais devoir assumer la responsabilité de rater l’avion alors que c’est à cause d’un responsable qui ne fait pas bien son boulot ».

 

Lorsque vous entendez cela à l’intérieur, c’est le mental qui tient le discours de l’égo. Si vous y croyez, vous n’êtes pas prêt(e) de trouver la paix intérieure !

 

Ho’oponopono me rappelle que le « responsable » qui ne fait pas son boulot et le « je vais devoir payer ses erreurs » est une mémoire que je porte, il est donc normal qu’elle se mette en scène sur mon chemin !

 

Pour que je la voie et que je la nettoie !

 

L’avion n’en finit pas de mettre du temps à se remplir, nous avons déjà 40 minutes de retard. Mon mental me ressert une raison de plus pour rater l’avion lors du transfert et en plus une dans laquelle je n’y suis pour rien.

 

Eh si, encore une mémoire… « je suis désolée… »

 

En passant je nettoie une petite exigence dans l’avion parce mon mental trouve qu’ils ne servent pas assez d’eau.

 

Une fois la paix revenue, je m’aperçois que non seulement on peut se servir à l’arrière de l’avion mais que régulièrement ils proposent des encas sympas, des glaces etc…

 

Un peu de paix dans les mémoires…

 

Après avoir bien nettoyé ce démarrage sur les chapeaux de roues, nous nous retrouvons assis à côté du steward.

 

Pour une fois nous sommes dans une compagnie française et je mesure la sympathie du personnel auquel nous sommes peu habitués d’ordinaire.

 

Le steward nous raconte sa vie sur une île en Thaïlande (pas loin de là où on va) où sa petite famille a déménagé.

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Comme c’est un peu notre rêve, nous sommes toute ouïe. C’est la trêve des mémoires pendant 12 heures de vol, (les mémoires phobiques de l’avion ont été décimées avec la technique TIPI)

 

C’est l’arrivée à Bangkok, malgré les multiples Ho’oponopono, l’avion a gardé son retard et nous ratons l’avion suivant !

 

C’est le moment de s’y remettre car je sens un vague sentiment d’injustice à rater l’avion parce que l’hôtesse a mal fait son boulot d’enregistrement (c’est vrai finalement, le steward confirme) et que l’avion a eu 40 minutes de retard.

 

Nettoyer ses croyances avec Ho’oponopono

 

Au milieu du nettoyage, je m’aperçois que ce qui m’agite d’un côté c’est la croyance que c’est grave de rater un avion alors qu’une autre partie de moi ne ressent rien de particulier.

 

Je décide de nettoyer la croyance que rater c’est grave . Je suis désolée…c’est juste ce qui est. En quelques secondes la paix revient. Et l’avion suivant aussi.

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Nettoyer une mémoire de l’humanité avec Ho’oponopono

 

Une hôtesse thaïlandaise nous escorte pour le transfert mais se fait rattraper par une mémoire à elle !

 

Un responsable haut placé des bagages arrache le badge de cette dernière pour pouvoir se plaindre à sa compagnie car elle a osé demander pourquoi nos bagages devaient subir un énième scan et pas ceux des autres.

 

Une scène de violence en Thaïlande, c’est hyper rare, voire impossible. Je pourrais me dire que ça ne me concerne pas mais je suis touchée par la malveillance de l’autorité.

 

Donc ça c’est ma mémoire : assister à une forme de maltraitance physique et verbale. Si je ne nettoie pas, je me mets en empathie avec la tristesse refoulée de l’hôtesse qui doit composer avec nous.

 

  • Je suis désolée, je n’avais pas vu que tu portais une mémoire de violence entre les hommes et les femmes.

 

  • Pardonne-moi de m’apitoyer sur une scène en 2015 alors que tu me montres une vieille mémoire qu’il est important de nettoyer.

 

  • Je te remercie de me montrer, au travers de cette violence à laquelle j’assiste et réagis à quel point  j’ai besoin de nettoyer la violence entre les hommes et les femmes et le désir de me positionner en sauveteur.

 

  • Je t’aime

 

A l’arrivée, j’étais déjà en train de nettoyer une vieille autoroute neurale qui disait « il n’y aura personne pour t’accueillir à l’arrivée » lorsque j’ai aperçu le staff et la camionnette de notre hôtel.

 

Fatiguant me direz-vous !

 

Oui mais tellement réaliste. Si vous ne connaissez pas bien les autoroutes neuronales de votre mental, je vous suggère de tendre l’oreille à vos pensées et de commencer à nettoyer, vous allez voir qu’il y a du boulot !

 

Si vous voulez en lire plus sur Ho’oponopono, je vous retrouve chez mon éditeur pour des précisions que vous ne lirez dans aucun autre livre sur Ho’oponopono d’où son nom : « la face cachée ».

 

Ho’oponopono et gratitude

 

Pour en revenir à ce matin au bain, j’étais en pleine contemplation de nuages qui s’amusaient librement dans l’air pendant que je flottais tout aussi librement assez loin de la plage de façon à ne plus apercevoir un seul morceau de terre que l’île en face (celle du steward).

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Je me demandais pourquoi j’avais tant de mal avec le marketing. Malgré tous mes nettoyages, me « vendre » ou vendre mes formations reste un exercice qui ramène du malaise.

 

Je me demandais comment font tous ces marketeurs à qui tout réussit même s’ils sont loin d’être alignés. La réponse est arrivée sans fracas mais j’ai d’abord eu du mal à la comprendre.

 

  •  » Ils sont sans doute plein de gratitude pour ce qu’ils vendent » !
  •  ?  (J’aurais presque fait répéter la petite voix dans ma tête…)  et je me suis répondu: mais non ce sont des commerçants, la plupart ne font même pas de travail sur eux…
  • « Ils sont sans doute plein de gratitude pour ce qu’ils vendent » !

 

Là j’ai compris. Ce que j’aime dans Ho’oponopono, c’est qu’il m’est facile d’avoir de la gratitude pour ce qui est difficile. Vous saisissez ?

 

Je passe ma journée à remercier des mémoires même pénibles, des épreuves, des soucis, des ennuis, des dysfonctionnement etc…

 

Et ça marche très bien. Le peu de stress qui s’installe (vous l’avez vu dans l’article) est si vite nettoyé que la paix revient rapidement.

 

Par contre, quand ça va bien , je le prends pour acquis.

 

Ce qui me permettait de contempler cela c’était la sensation d’être libre dans l’eau. Je pars de loin…

 

Petite, j’ai failli m’étouffer dans la piscine lors d’une compétition de natation. Pendant les années qui ont suivi j’ai développé une allergie à l’eau même celle de la douche !

 

Je ne pouvais pas me baigner là où je n’avais pas pied. Dans l’eau, j’étais dans la survie. Chaque seconde, (même si ce n’était pas conscient) était utilisée à maintenir la tension pour rester en vie et de ne pas me noyer.

 

Après de nombreux TIPI (technique d’identification des peurs inconscientes) et de longues séances de thérapie quantique, je pouvais goûter enfin à la plénitude d’être seule au beau milieu de l’eau avec pour seule sécurité mon corps qui flotte.

 

Après toutes ces épreuves (liées à l’eau et à la peur de mourir), la gratitude était une véritable bouffée d’amour pour la vie à laquelle je pouvais accéder (je l’avais mérité).

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Mais voilà, pour ce qui est facile, ce qui m’est donné et ne m’a couté aucun effort, j’oublie de pratiquer la gratitude, je prends tout pour acquis !

 

J’écris sur Ho’oponopono parce que c’est une technique facile pour moi mais je ne dois pas oublier d’apprendre à faire ce que les autres savent déjà : me réjouir de ce qui va bien ! Remercier pour tout ce qui m’est donné et ne me coûte rien en souffrance !

 

Je me demandais par la même occasion, pourquoi je suis parfois activée par l’univers des Chrétiens Charismatiques. Une mémoire bien entendu puisque je suis activée.

 

Je les ai beaucoup côtoyés car j’aime leur joie enfantine et leur foi intense.

 

Ils sont plein de gratitude pour leur Sauveur et plein de méfiance (ou de défense) pour ce qu’ils appellent le diable. C’est la totale dualité (in my opinion).

 

Chez Ho’oponopono, il n’y a pas besoin de diable, juste des mémoires mal aimées et notre job c’est justement de les aimer, d’où la phrase finale

 

 » je t’aime  »

 

Finalement je sais pourquoi ils m’activent : je ne suis pas vraiment différente d’eux, juste inversée : j’aime les mémoires et j’ai du mal à aimer ce qui va bien.

 

Alors, pour en revenir au marketing, si je veux vendre quelque chose, il serait bon que j’apprenne à avoir beaucoup de gratitude pour tout ce que je suis capable de donner même si c’est facile pour moi.

 

C’est vous qui me faites tous ces merveilleux retours et c’est de vous que j’ai à apprendre à faire cela aussi.

 

Ainsi, nous sommes dans un bel échange. Si j’ai tout compris, pour se vendre, il faut s’aimer soi-même, c’est bien cela ?

 

Alors, pour conclure, quand faire Ho’oponopono ?

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  • Chaque fois qu’une situation vous agite et que vous ne retrouvez pas instantanément votre paix intérieure

 

  • Chaque fois que vous donnez raison à un jugement

 

  • Chaque fois que c’est la faute de l’autre (chaque fois que l’autre fait mal son boulot ;-))

 

  • Chaque fois que vous avez une pensée récurrente qui n’a rien à voir avec la situation.

 

  • Chaque fois que vous prenez trop à cœur une situation en disant « je suis trop sensible » ou « je suis une véritable éponge ».

 

  • Chaque fois que vous êtes prêt à diaboliser quelqu’un ou quelque chose

 

  • Chaque fois que vous dites « c’est inadmissible et intolérable »

 

Et je pourrais allonger indéfiniment la liste.

 

Vous avez vu aussi que faire Ho’oponopono peut

 

  1. régler instantanément la situation
  2. la régler en partie
  3. ne pas la régler du tout (oui on peut rater l’avion en faisant Ho’oponopono)

 

Dans ce dernier cas, si vous persévérez, restez à l’écoute de votre intérieur car un élément de réponse va vous être envoyé comme cette phrase que j’ai reçue à propos du marketing et qui a généré cet article.

 

Ou bien comme cette double sensation de voir la croyance que rater l’avion c’est grave et sentir une autre partie de moi qui était tout à fait ok avec rater l’avion.

 

Vous allez apprendre avec Ho’oponopono à sortir de vos idées reçues sur comment régler un problème. Parfois rater l’avion est la bonne solution !

 

Et vous, que vous inspirent ces réflexions sur Ho’oponopono ? Laissez un commentaire !


Hannah

34 commentaires

  1. Catherine le 14 décembre 2015 à 9 h 56 min

    bonjour Hannah

    merci pour ce beau témoignage de pratique Ho’oponopono, j’aime beaucoup ta manière de reformuler ce qui te traverse, pour l’éclairer avec Ho’oponopono. Je suis une « adepte » d’Ho’oponopono aussi depuis 2008, de façon plus basique dans mon quotidien, je vais tenter l’expérience que tu proposes. J’ai acheté ton livre aussi pour approfondir encore davantage cette belle pratique.
    Ma façon singulière de vivre Ho’oponopono est de peindre le mantra dans mes peintures de guérison et il se passe toujours des choses formidables aussi 🙂 As-tu déjà expérimenté cela, toi qui aime aussi la couleur ?

    Je retiens ta conclusion : « Si j’ai tout compris, pour se vendre, il faut s’aimer soi-même » 🙂
    Oui, et pour vendre ce que l’on fait il faut aussi aimer ce que l’on fait et avoir de la gratitude pour cela, oui ça me semble juste et ce n’est pas toujours si simple, puisque nous sommes prompt à nous juger et à nous comparer… encore l’occasion de penser à faire Ho’oponopono 🙂

    magnifique journée
    et merci pour tes beaux articles inspirants
    Catherine



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 53 min

      Bonjour Catherine et bravo pour le nom de ton site.
      Oui j’ai remarqué que lorsque j’écris avec le mantra,
      mes textes prennent une tournure plus profonde.
      J’imagine très bien ce que ça peut faire quand on peint.
      Je parle aussi de marketing dans cet article car
      la difficulté de vivre de son art est aussi une mémoire à nettoyer..
      ce que je fais activement!



  2. Annie le 14 décembre 2015 à 16 h 25 min

    Merci Hanna de cette façon de présenter la méthode Ho’oponopono. Je comprends mieux l’intérêt à l’utiliser pour toute situation de stress ou de mécontentement colère déception. Le lien avec nos mémoires est plus flou, c’est sans doute ce que j’appelle nos scénarios de vie, mais vous allez peut-être pouvoir m’en expliquer davantage. Le point délicat, c’est « comment y penser au moment opportun ! » et désamorcer le problème.
    Merci de ce partage.
    Si vous voulez bien me proposer un rendez-vous, j’irais volontiers exploiter vos techniques pour m’aider à nettoyer mes mémoires, nombreuses…

    Bonne soirée

    Annie



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 48 min

      Bonjour Annie,
      Le lien avec les mémoires est un réflexe à développer.
      Mon éditeur a coupé mon livre en 2 tomes. Dans le 2 eme (je ne
      sais pas si il voudra l’éditer), je détaille une cinquantaine
      de cas avec la prière appropriée pour s’adresser directement
      à la mémoire.
      Un peu de patience alors.
      Pour un rdv c’est très possible. Il faut m’envoyer un mail à
      hannah.taodyssee2@gmil.com comme ça j’ai une trace écrite 😉



  3. JACQUELINE le 14 décembre 2015 à 18 h 50 min

    Bonjour Hannah
    un grand plaisir de te lire à nouveau, même si tu es proche de nous par le coeur, mais éloignée par la distance.
    ton article sur Ho oponopono est clair, simple et va bien m’aider à pratiquer, car je ne fais pas souvent, mais je lis que je peux l’utiliser dans bien des cas au quotidien.

    un grand bravo pour ton livre
    au plaisir de te lire à nouveau
    belles fêtes de fin d’année
    amicalement
    Jacqueline



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 45 min

      Merci Jacqueline.
      Oui c’était bien l’objectif, de montrer qu’on peut
      l’utiliser pour nettoyer son mental et cela, une bonne
      partie de la journée!



  4. Fabienne le 14 décembre 2015 à 18 h 58 min

    Bonjour Hannah

    J’ai aussi une difficulté face à Ho’oponopono !
    Et bien voilà ! rien qu’en une phrase, tu vois bien le problème, c’est face à moi-même que j’ai une difficulté !
    Dans certaines circonstances comme par exemple les attentats de Paris, le réflexe est immédiat, je me suis sentie concernée par une mémoire personnelle et collective et j’ai passé un long moment à pratiquer Ho’oponopono
    Devant des problèmes beaucoup plus personnels et beaucoup moins graves, les pensées récurrentes me hantent, de jour et de nuit, malgré Ho’oponopono, et la peur l’emporte sur la confiance, alors tu penses bien que l’Amour et le coeur ouvert, dans ces cas-là, c’est pas gagné !
    La mémoire est lourde ? Je n’ai pas trouvé la bonne mémoire ? Ou bien j’ai vraiment à perdre beaucoup pour avancer ?
    Pour finir sur une note plus sympa, je n’ai pas pu attendre ton retour, j’ai acheté ton livre aujourd’hui à la clé d’A…je le déguste dès ce soir….
    Je t’embrasse
    Fabienne



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 44 min

      Bonjour Fabienne,
      Oui c’est pour tout le monde pareil mais peu en sont conscients:
      la première difficulté c’est avec nous-mêmes, enfin avec l’image
      que nous nous faisons de nous-mêmes.
      Lorsque les pensées ne lâchent pas sur un sujet, c’est qu’elles..
      en protègent un autre plus douloureux, ça peut peut être t’aider.



  5. dominique le 14 décembre 2015 à 19 h 09 min

    Oui pour le Ho’oponopono mais l’autohypnose aussi avec une astuce : c’est de se programmer pour toutes les mémoires à venir, sinon on passe sa vie à nettoyer. En fait une autre piste consiste à entrer dans son « bonheur » , celui de l’autre , celui de l’environnement ,car nous avons été créés dans et pour le bonheur ( dixit le Boudhisme).
    Toute situation nouvelle contient 2 facettes selon le confusianisme:
    -l’une est constructive, car nous sommes prêts à l’accepter parce-que nous l’avons bien intégré dans cette vie ou une autre et que cette situation reste dans notre confort de plaisir, nous sommes en résonance avec nos croyances, nos valeurs: c’est l’approche du principe de plaisir.
    – l’autre est déplaisante car nous renvoie à nos échecs peu ou mal digérés parce-que nous sommes en dissonance avec avec le résultat de cette situation avec laquelle nous n’avons pas encore fait les efforts pour admettre un autre point de vue de cette situation qui heurte nos valeurs , nos croyances .
    C’est en fait la compréhension sans aucun avis ou jugement qui va orienter notre principe de « réalité »
    Si nous admettons que nous sommes tous reliés d’après la philosophie quantique, il faut aussi admettre que chacun n’est pas au même niveau de compréhension dans tous les domaines de l’existence
    D’après moi, cette recherche constante de la compréhension de la réalité interne ou externe de l’être humain nous permet de rester dans la curiosité ,ou l’interrogation sereine de ce qui nous est permis de vivre, avec cette reconnaissance permanente des nouvelles expériences qui nous sont offertes par maintes coïncidences de la vie. Cette vie nous est proposée, mais on peut aussi intervenir sur cette trame appelée par certains « toile du wyrd »d’après la représentation du destin dans la mythologie nordique.
    En bref, l’expérience douloureuse, peut renvoyer à une difficulté d’intégration de notre réalité (pas forcément du réel) qui secoue notre principe de plaisir mais qui par ailleurs nous permet d’explorer notre zone d’inconfort, afin de compléter et d’enrichir notre compréhension du vrai « monde » pour avoir , le bonheur de construire avec de nouvelles prises de consciences,donc de nouvelles perspectives donc de nouveaux projets. Pardon d’être aussi long, j’ai souhaité seulement exposer un point de vue holistique.
    Merci infiniment pour vos réflexions de vécu elles sont tellement authentiques.
    A bientôt,Dominique.



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 41 min

      Merci Dominique,
      mMrci de votre éclairage.
      Toutes les techniques sont bonnes si elles nous permettent
      d’ouvrir notre coeur. IL y en qui sont plus masculines
      (ce que j’entends par « intervenir ») et d’autres plus féminines,
      chacun fait selon son énergie.
      Ho’oponopono est plutôt une technique féminine; Ce n’est pas une
      thérapie mais elle permet de se désidentifier de ce qui est « déplaisant »
      sans avoir vraiment besoin de travailler dessus.



  6. Burstow Noëlle le 14 décembre 2015 à 23 h 07 min

    Bonsoir hanah

    Oui c’est le soir dans mon lit que je lis!
    Je pense souvent à toi en ce moment , je t’ai demandé de l’aide à plusieurs reprises par la pensées.
    Malgré h’oponopono plusieurs fois par jour, je suis dépassée par mes mémoires en ce moment.
    J’ai commencé a lire ton livre je m’en sert comme d’un manuel pratique ou une bible cela dépend de la situation.
    Je n’ai rien à commenter de ton article ,je suis juste heureuse de le lire d’avoir des nouvelles infos ou des rappels et surtout de garder un contact même en décalé avec toi. C’est nouveau pour moi de me projeter sur une mère c’est le fruit d’ h’oponopono
    Au plaisir de te revoir
    Noelle



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 31 min

      Merci de ta confiance Noëlle,
      Je ne sais pas si je suis une bonne surface
      de mère, peut-être une mère de l’Esprit?
      Ce qui donne une petite garantie d’alignement.
      Je suis ravie de pouvoir flotter en pensée
      à tes côtés lorsque tu te plonges dans
      Ho’oponopono;



  7. Louise le 14 décembre 2015 à 23 h 16 min

    Ta sincérité me touche profondément. La mise à nu de tes scenarios est un véritable cadeau. Il n’y a pas plus puissant pour reconnaitre les siens dans le quotidien et de repérer les abus du mental à qui j’accorde du crédit d’une manière systématique qui bien souvent m’échappe. J’ai acheté immédiatement ton livre qui est arrivé presque 10 jours plus tôt que prévu et je l’ai dévoré. Il est arrivé à un moment clé (bien évidemment). Je t’en dirai plus en privé. Un grand merci.

    J’aimerais dire ici à tous ceux qui lisent et suivent Hannah sur son blog et qui n’ont pas eu le temps, la chance ou l’envie de participer à sa formation « secret des couleurs » en ligne, que c’est une aventure absolument phénoménale de transformation et de prises de conscience qui s’enchainent les unes après les autres. La générosité et l’intuition d’Hannah sont inouïes. Ne ratez pas la suivante et surtout n’écoutez pas ce que votre mental vous raconte pour ne pas vous inscrire. C’est un investissement qui gardera sa valeur à vie et continuera de vous enrichir sans avoir à vous préoccuper des “fluctuations des marchés extérieurs.” Un avantage énorme n’est-ce pas?



    • Hannah le 15 décembre 2015 à 9 h 28 min

      Merci Louise,
      Ton témoignage va bien dans le sens de mon article.
      J’apprends à me nourrir des compliments. Ils me
      soutiennent dans ma démarche de poursuivre le module 2
      de la formation et de relancer le module de base qui
      représente toute ma recherche sur l’intériorité.
      Merci encore d’éclairer ma route vers les humains.



      • Louise le 15 décembre 2015 à 21 h 11 min

        C’est avec grand plaisir et anticipation que je te retrouverai dans le module numéro deux de la formation en ligne du secret des couleurs « dites de transformation ». Vivant en Australie je ne peux que me réjouir du fait que tu aies décidé d’ouvrir ton cabinet de thérapeute au monde. Alors un grand merci à la technologie au service de l’humain, même s’il y a des bugs… après tout, c’est comme les insectes dans la nature, ils ont aussi leur rôle à jouer dans l’aventure. Je t’embrasse.



  8. Isabelle Segura le 16 décembre 2015 à 15 h 06 min

    Chère Hannah,

    Ce qui me plait chez vous et dans cet article c’est que le thérapeute n’est pas placé sur un piédestal. En général, quand on consulte on a cette impression que le thérapeute a dépassé beaucoup plus de choses que nous. Là, et malgré tous les outils que vous avez à votre disposition et que vous maîtrisez, vous nous montrez que vous aussi dans des exemples bien concrets vous ‘êtes’ vous aussi dans les mêmes schémas que nous.

    Simplement, vous savez plus finement les débusquer et peut-être régler les situations plus rapidement. En tous les cas, vous avez toujours le mot juste ! Et ces mots chocs nous font prendre conscience de notre problématique. Je suis d’accord avec Louise, la formation sur les couleurs m’a vraiment secouée – surtout la couleur jaune – une vraie prise de conscience. J’ai toujours été très sensible aux couleurs et c’est un vrai bonheur de les porter en pleine conscience et non plus par hasard. J’attends avec impatience les couleurs de la transformation, car elles font partie de celles que je porte le plus souvent. Merci pour ces belles photos, surtout celle ou vous êtes dans l’eau, magnifique. 🙂



    • Hannah le 22 décembre 2015 à 21 h 29 min

      Bonjour Isabelle,
      J’aime rire de mon mental, il sera toujours là avec ses pitreries.
      Par contre l’espace de la conscience permet raidement de déjouer ses pièges.
      C’est effectivement ce que je propose avec la formation couleurs.
      J’ai mis un onglet sur mon blog pour s’inscrire au module 2 des couleurs de transformation.
      Je suis ravie de vous y retrouver.



  9. Marthine Enpaix le 16 décembre 2015 à 17 h 42 min

    Merci Hannah pour ton authenticité au travers de ce super article !
    As tu casé tous les barzouillaux ? Veux tu que je mette une annonce sur ma page FB avec une photo, et les gens te contacteront ?
    Super heureuse de te revoir bientôt .
    Des gros bisoux



  10. Jacques C le 18 décembre 2015 à 11 h 10 min

    Merci Hannah pour ton article éclairant sur la façon d’employer Ho’oponopono.
    A mon tour de t’éclairer sur les parents du petit Poucet.
    Bizoux!
    Le conte évolue dans un espace clos, souvent renforcé par la présence d’un narrateur conteur, qui, en maître de l’histoire, donne le signal de départ et indique clairement la fin.
    Le récit est encadré par des formules plus ou moins figées qui ouvrent et concluent le conte ; ainsi, l’incipit traditionnel se fait sur des phrases toutes faites, qui reviennent d’une histoire à l’autre, comme la fameuse expression : « Il était une fois…».
    De même, la narration se termine très explicitement par une phrase de clôture (du type, « Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants ») parfois suivie de quelques lignes énonçant la morale du récit.
    Ces tournures d’introduction et de conclusion permettent de situer le conte à un autre niveau du discours, celui de l’imaginaire et du symbolique.

    Situation initiale + Élément modificateur, épreuves aide ? opposanst ? Situation finale

    Vie dans la famille du bûcheron
    Misère et famine – Abandon dans la forêt – Dangers dans la maison de l’ogre.
    Vol des bottes et du trésor. Femme de l’ogre. Les parents. L’ogre. Le petit Poucet s’enrichit à la Cour.
    Il en fait profiter sa famille.



    • Hannah le 22 décembre 2015 à 21 h 23 min

      Merci Jacques pour cette autopsie du conte.
      Il permet aux enfants de projeter à l’extérieur
      leurs terreur de l’abandon.
      Mais déjà petite, j’avais une dent contre les parents Poucet 😉
      je ne connaissais pas encore le travail sur moi-même!



  11. Francia le 24 décembre 2015 à 13 h 49 min

    Bonjour,
    Merci beaucoup de cet article d’information sur comment utiliser ho oponopono au quotidien. Je joins également les commentaires de Isabelle ci dessus sur la façon dont vous partagez vos expériences, vous êtes avec nous
    Bizarre, durant une semaine je fais de rechercge sur google sur comment pratiquer ho oponopono au quotidien et voilà votre article, c’est comme si c’était à vous que je demandais.
    J’étais sur le point d’abandonner l’apprentissage de cette méthode car je n’avais aucun soulagement à mes difficultés avant votre article sur « Pourquoi des gens se plaignent sur ….Hooponopono » et après j’ai essayé d’être plus claire dans la définition de ma situation ainsi que de la mémoire à nettoyer en relation avec ma situation et je commence à trouver le résultat.

    Merci
    Francia



  12. mona le 2 janvier 2016 à 0 h 05 min

    Bonsoir
    j attend toujours tes articles hannah, ils sont uniques, j aprend toujours de nouvelles choses, de ma part, ma façon de vivre et de voir les choses, c est l acceptation, faire ce que j ai a faire, sinon j accepte ce que la vie m offre, dernièrement j ai perdu ma grande soeur, atteinte d une grave maladie, c etait tres tres dure pour moi, mais pour continuer a vivre, j ai accepté sa perte, et j ai remarqué que cela me soulage de jour en jour, et cela me donne aussi plus de force.
    Merci encore une fois hannah, et bon courage
    je vous souhaite une tres bonne année 2016
    mona
    Limonasblog.wordpress.com



  13. Antoinette le 11 janvier 2016 à 16 h 02 min

    Bonjour,

    merci de me donner un conseil dans la pratique d’Ho’oponopono liée au travail scolaire de
    mon grand ado de 17 ans. Je suis en train de m’épuiser à ne rien lâcher , à l’accompagner dans ses devoirs.
    je ne crie jamais, je suis patiente mais je m’épuise. Il choisit ses matières et il est bon élève dans ce qu’il aime et le reste ne le concerne pas.
    Je ne sais plus comment faire sinon pratiquer Ho’oponopono. Mais je me retrouve un peu à son âge dans sa manière de ne pas travailler (mais je ne vais pas lui dire ….). Quels mots seraient efficaces dans ma prière pour
    une prise de conscience de sa part ?
    Merci beaucoup par avance.
    Et merci pour cette news letter que je lis avec plaisir. Merci



    • Hannah le 17 janvier 2016 à 18 h 06 min

      Bonjour Antoinette,
      On ne peut pas travailler sur quelqu’un avec Ho’oponopono.
      Par contre vous pouvez travailler sur ce que ça vous fait qu’il rechigne
      à faire les devoirs dans les matières qui ne lui plaisent pas.
      Surtout que vous avez compris que cela parle aussi de vous ado.
      En tirant le fil, il ne travaille pas à toutes les matières, et
      alors… il n’a pas son bac…et alors… vous allez voir de cette façon de quoi vous
      avez peur.
      Parlez donc à cette partie de vous qui est en difficulté avec les agissements de
      votre fils et vous lui adressez la prière
      Je suis désolée…je n’avais pas vu que tout cela parlait de moi, s’il te plait pardonne-moi
      de m’inquiéter de mon fils alors que la mémoire parle de moi et de la raison pour laquelle j’étais
      démotivée à l’époque.
      je te remercie de me montrer au travers de mon fils cette mémoire que j’ai à nettoyer en moi
      Je t’aime…



  14. Claire le 21 janvier 2016 à 14 h 49 min

    Bonjour Hannah,
    J’avais mis cet article de côté pour lire d’abord votre livre sur Ho’oponono que j’ai acheté récemment et je souris en découvrant ici la réponse à une grande frustration que j’ai éprouvé de lors de la lecture de votre livre. Vous expliquez le découpage en 2 tomes de votre éditeur, ce qui a perdu la fidèle lectrice que je suis .
    J’ai attendu jusqu’à la dernière page les cas concrets que vous évoquiez à plusieurs reprises et j’ai été très frustrée de ne pas les trouver. Très mauvais choix de votre éditeur de mon point de vue, à minima indiquer « tome 1″ aurait aidé à comprendre que la suite venait dans un tome 2. Ma mémoire  » logique rationnelle » se trouve rassurée en vous lisant ici.
    Votre article est une très bonne illustration de toutes les possibilités d’utiliser Ho’oponopono au quotidien, ce que je fais avec délice depuis la lecture de votre livre et des résultats stupéfiants. Je me limitais auparavant aux grandes souffrances, une fois de temps en temps, l’utilisation quotidienne et multiple est vraiment libératoire.
    Merci Hannah pour votre partage lumineux et tellement inspirant.



    • Hannah le 21 janvier 2016 à 21 h 33 min

      Bonjour Claire,
      Oui c’est assez fun de faire ho’oponopono sur les petits
      encombrements du quotidien!(qui d’ailleurs cachent parfois de grosses
      mémoires!)
      Je partage votre frustration quand au découpage de mon ouvrage
      en 2 tomes.
      Heureusement je donne quelques exemples dans le tome 1
      mais rien à voir avec les 40 cas que j’analyse à la fin du 2 ème tome.
      J’ai d’autres propositions d’éditeurs au cas où celui-ci se limiterait
      au premier tome;-)



  15. Fred. Balagny le 7 mars 2016 à 7 h 42 min

    Bonjour Hannah,

    Merci pour ce travail si approfondi sur ho’oponopono dans lequel il est clair que vous avez mis beaucoup de vous. J’ai lu beaucoup sur le sujet en commençant, bien sûr, par le livre de Joe Vitale. Il existe de très bons livres, d’autres moins bons, à mon sens. Mais je n’en ai trouvé aucun qui, comme le vôtre, entre aussi profondément dans cette « technique ». Je trouve, justement, que vous montrez parfaitement qu’au-delà d’un nième outil, c’est un véritable art de vivre. Donc encore une fois merci pour cela.
    J’aimerais vous poser une petite question : page 158 vous mentionnez qu’à la fin du livre vos donnez un grand nombre « d’ordonnances ho’oponopono » mais je n’ai rien trouvé de tel. Est-ce un oubli de l’éditeur ?

    Je vous remercie d’avance pour votre réponse.

    Bien amidalement



    • Hannah le 7 mars 2016 à 8 h 58 min

      Pour répondre à votre interrogation, si cet éditeur
      ne désire pas publier la 1 ère partie, j’en chercherai
      un autre de toutes façons!



  16. Fred. Balagny le 7 mars 2016 à 7 h 45 min

    Et bien voilà, dans ma précipitation je n’avais pas remarqué que le précédent commentaire donnait réponse à ma question ! Toutes mes excuses !
    J’espère que le second tome paraîtra tout prochainement.



    • Hannah le 7 mars 2016 à 8 h 57 min

      Bonjour Fred,
      C’est entre les mains de l’éditeur.
      Je ne sais pas dans quelle région vous habitez mais je
      fais une conférence vendredi 18 mars..



      • Fred. Balagny le 7 mars 2016 à 14 h 55 min

        Je vis en Seine et Marne, vers Nemours. Votre conférence a lieu où ?



        • Hannah le 16 mars 2016 à 20 h 48 min

          La conférence a lieu à Gap dans les Alpes,
          ça va faire un peu loin…j’en ferai peut être
          une à Paris un de ces 4 !



  17. Marie-Lyse Brière le 27 mars 2016 à 14 h 27 min

    Bonjour!
    Fatiguant?
    .Oui! juste à le lire!
    D’autant que de nombreux événements me rejoignent.

    Merci beaucoup pour nous partager toutes ces subtilités.
    C’est effectivement comme ça que le petit « hamster » ne cesse de tourner sans fin si on ne fait pas ce qu’il faut pour le calmer!

    Heureusement, il y a le plaisir de flotter et Ho’Oponopono!

    🙂



    • Hannah le 29 mars 2016 à 3 h 57 min

      Merci pour votre commentaire Marie-Lyse,
      Ho’oponopono est vraiment d’un grand secours pour les élucubrations
      mentales incessantes… sympa l’image de la roue et du hamster