Boule au ventre, gorge sèche et mains moites ? Autotipi et technique TIPI s’en occupent !

La technique TIPI et la peur d’apprendre


Je pourrais rajouter quelques symptômes à mon titre: les jambes en coton, mal au cœur, la tête vide qui n’imprime plus…


un poing au plexus, les gouttes sur le front, tout cela est du ressort de la technique TIPI.


Mais encore, un sanglot dans la gorge, l’impression de ne plus respirer…bref, l’impression que vous pourriez mourir.


Ce sont les symptômes de la peur, l’angoisse ou la panique. Certains les retrouvent dans les situations de grand stress. D’autres les expérimentent lorsqu’il est question d’apprendre.


Cet article est écrit dans le cadre de la croisée des blogs et à pour sujet ce mois-ci « avez-vous peur d’apprendre » avec Patrick du blog memoirefacile.com


Peur d’apprendre quoi ? Tout bien sûr!


  • A conduire
  • A nager
  • A plonger
  • Les maths
  • Un nouveau métier
  • Une matière inconnue
  • Un nouveau sport
  • Une langue étrangère etc.


Je vous propose en passant quelques noms barbares pour vous rappeler que ces peurs sont bien identifiées et à prendre au sérieux.


Apprendre ne se fait pas qu’en individuel, cela nécessite un médium d’enseignement qu’il soit humain ou non et souvent un groupe avec qui apprendre. Je vous expliquerai plus loin en quoi la technique TIPI peut aider.


Plein de nouvelles raisons d’avoir peur !


Ereutophobie: Peur de rougir en public

Leucosélophobie: Peur de la page blanche

Sophophobie: peur d’apprendre

et enfin…Le misonéisme : résister aux changements et aux apprentissages scolaires


La peur d’apprendre se décline de plusieurs façons

 

La peur d’apprendre se retrouve à tous les âges de la vie, parfois cela a commencé dès l’enfance et nous verrons que nous pouvons trouver des racines à la peur encore antérieures.


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Mis à part des difficultés réelles basées sur des stratégies cognitives défaillantes ou une déficience intellectuelle, la peur d’apprendre est le plus souvent psychologique.


Au vu de la disparition des psychologues dans les écoles, il semblerait que le débat se soit recentré sur un problème de programmes ou de techniques pédagogiques.


Pour m’y être confrontée de près (c’était mon ancien métier), je sais que les difficultés rencontrées n’ont souvent rien à voir avec les contenus pédagogiques mais plutôt avec le vécu intérieur de l’enfant.


Voici donc quelques raisons pas toujours conscientes qui sous-tendent la peur d’apprendre. Je les ai rencontrées chez les enfants et dans mon métier de thérapeute chez les adultes.


  • Difficulté (non consciente) à faire confiance à la personne qui transmet le savoir
  • Frustration de ne pas réussir
  • Être identifié à quelqu’un d’incapable (potentiellement non aimable)
  • Peur de l’échec (ou de la réussite dans certains cas)
  • Angoisse de la contrainte
  • Auto-dévalorisation
  • Arrêter de vouloir faire plaisir à quelqu’un (ses parents, son conjoint)


Pour les ados ou jeunes adultes, on retrouve cette difficulté déclinée différemment. Elle suit deux nouvelles pistes :


  1. La procrastination
  2. La phobie sociale


En apparence un ado procrastine, son but à moyen terme (non avoué) étant d’arrêter la fac ou l’école. Ce n’est pas à proprement parler une peur de l’apprentissage mais une peur des conditions dans lesquelles se déroule l’apprentissage.


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La question à leur poser pour démêler la peur d’un apparent laxisme est : qu’est ce qui te gène le plus dans le fait d’aller à l’école? Parfois ce sont les humains plus que les études qui posent problème.


Encore le cerveau reptilien!


Jusqu’ici il y a deux façons de se protéger de ces ressentis parasites: fuir, éviter de se confronter à l’apprentissage (si les parents le permettent) ou attaquer l’enseignant (si les parents contraignent l’enfant à aller à l’école).


Les deux réponses découlent du cerveau archaïque reptilien : attaquer s’il n’est plus possible de s’échapper ou faire le mort.


Ce sont les deux grands archétypes d’élèves posant des difficultés :


  • Les rebelles qui s’opposent à l’enseignant
  • Les doux rêveurs près du radiateur


Pour les adultes, les peurs sont plus paradoxales. Un adulte voudrait apprendre mais il s’aperçoit qu’il ne le peut pas.


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Luc Nicon et la technique TIPI


C’est de cette constatation qu’est parti Luc Nicon à propos des difficultés d’apprentissage. Il est inventeur malgré lui de la technique TIPI.


Luc Nicon est au départ un pédagogue spécialisé dans l’identification des blocages de l’apprentissage et dans les techniques spécialisées pour en venir à bout.


Il obtenait de très bons résultats mis à part pour un petit groupe d’irréductibles pour qui ses méthodes ne fonctionnaient pas.


Un jour, alors qu’une élève se débattait avec un éternel blocage intérieur, il la vit fermer les yeux. Deux minutes plus tard, elle avait repris ses couleurs et se déclarait prête à apprendre de nouveau.


A la question, « comment avez-vous fait? », elle a répondu, je ne sais pas, il s’est passé quelque chose dans mon corps.


Étonné par cette découverte, il a commencé ses investigations sans trouver d’explications. Pourtant sur plusieurs centaines de cas étudiés, les résultats étaient au rendez-vous.


C’étaient les débuts empiriques de la technique TIPI. Du pédagogue brillant qu’il était, Luc Nicon est devenu le révélateur et l’inventeur de la technique TIPI.


Cette technique s’intéresse plus au vécu sensoriel qu’émotionnel. La peur émotionnelle finalement sert de bascule afin d’avoir accès à la dimension du corps et de ses mémoires cellulaires.


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Mais tout d’abord que signifie ce sigle ?


TIPI ? Technique d’identification des Peurs inconscientes. Pourquoi inconscientes? Parce que ce qui vous paralyse, ce sont les peurs que vous ne connaissez pas.


Vous croyez avoir peur d’apprendre l’escalade ou la plongée sous-marine mais ce que vous ne savez pas, c’est que cette peur en cache d’autres plus inconscientes.


Des peurs qui, parfois remontent même jusqu’à la vie intra-utérine.


Loin de paraître enfermante, cette affirmation est plutôt libératoire. Cela signifie que vous n’êtes pas de mauvaise volonté, un lâche ou un incapable.


Vous avez des peurs inconscientes qui sont souvent liées à la peur de mourir. Vous botter les fesses ne servira à rien. Avez-vous déjà essayé de raisonner quelqu’un qui est suspendu dans le vide ?


Qu’est ce qui vous empêche de vous libérer de vos entraves émotionnelles ? La peur.


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Souvent vous essayez de les dépasser par l’intellect ou les encouragements…allez un petit effort, tu peux y arriver.


Cela est parfois possible mais la plupart du temps, quand c’est « plus fort que vous », il y a une réelle impossibilité à surmonter la peur ou venir à bout de l’émotion.


Celles-ci resurgissent du passé chaque fois qu’un événement de même nature ou analogiquement similaire se présente dans votre vie.


Lorsque vous croyez que votre vie est en danger, ce sont toutes vos cellules qui refusent d’avancer, votre petite volonté n’y pourra pas grand chose.


En développant une technique rigoureuse, Luc Nicon s’est aperçu que la technique TIPI ne levait pas seulement les blocages phobiques de l’apprentissage.


TIPI : Technique d’identification sensorielle des peurs inconscientes

Aujourd’hui, la technique TIPI vient à bout de toutes les phobies en général, de l’irritabilité, des états dépressifs, de l’angoisse, de la panique et de tout débordement émotionnel non contrôlable.


Les inhibitions et la paralysie d’agir font aussi partie des résultats étonnants de la technique TIPI.


Lorsque j’ai moi-même suivi la formation pour apprendre cette méthode, j’ai été confrontée peut-être pour la première fois, à ce type de peurs, je vous en parle dans un moment.


La particularité de la technique TIPI


La difficulté n’est pas traitée de manière mentale ou émotionnelle. Seules vos sensations peuvent vous faire remonter à l’origine des peurs.


En fait, le corps a cette capacité de s’auto-libérer si vous le laissez faire. Mais la peur vous en empêche.


Comment se pratique la technique TIPI


Elle peur se pratiquer à chaud, c’est à dire lorsque vous êtes encore totalement possédé par une émotion dont vous n’arrivez pas à vous dégager.


Bien évidemment, cela demande à être conscient de ses émotions ou de ses peurs, ce qui n’est pas toujours acquis. Je connais bon nombre de personnes qui croient ne jamais avoir peur.


La séance peut aussi se dérouler « à froid ». Il suffit de se transposer dans la situation qui a posé problème même si elle date de plusieurs mois.


L’idéal est de partir de situations problématiques qui vous animent aujourd’hui. Faire un retour sur un trauma de vos premières années n’a aucun intérêt pour la technique TIPI.


Si vous pensez être parasité par de vieux démons, la question fondamentale à vous poser alors est : en quoi cela me dérange t-il aujourd’hui ?


De là, il est possible d’identifier vos réactions épidermiques afin d’en dégager la charge émotionnelle.


Les difficultés d’apprentissage et la technique TIPI


Je les ai rencontrées pendant mes formations à la technique TIPI


D’ordinaire, je suis confiante. Ceux qui m’ont vue lors de mon interview ou au Booster gala peuvent témoigner de ma facilité à parler en public.


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J’ai toujours mieux réussi pendant les examens qu’aux répétitions. J’aime l’adrénaline des prises de risque.


Pourtant, lors de l’apprentissage de la technique Tipi, je n’arrêtais pas de regarder fébrilement mes notes. J’avais l’impression que tout ce que j’apprenais n’imprimait pas.


Je n’y ai pas tout de suite prêté attention par manque d’habitude des symptômes mais très vite j’ai senti la boule dans la gorge et le plexus fermé.


Au moment de faire un séance d’essai à une des participantes, je me suis aperçue que j’étais paralysée par la peur.


La peur du vide là où vous ne l’attendez pas!


Je venais de toucher le vide incertain entre une technique inconnue et le fait que je ne la maîtrisais pas encore.


Ce vide-là est une des raisons majeures de la peur d’apprendre. En dehors des situations d’apprentissage, vous pouvez la ressentir chaque fois que vous êtes confronté à une situation inconnue que vous ne maîtrisez pas.


Je ne suis pas certaine que tous les enseignants de la terre en aient vraiment conscience.


Tout comme certains ont peur du vide que crée l’altitude, d’autres ont peur de du non contrôle qu’ils ressentent lorsqu’ils sont enfermés dans un moyen de transport.


Vous avez compris la suite, il a fallu que j’expérimente d’abord la technique TIPI sur ma peur de faire la séance avant de pouvoir faire la séance.


C’est ce que je trouve formidable avec cette technique : si vous buttez sur le moindre obstacle vous empêchant de réaliser votre objectif, vous faites un Tipi sur l’obstacle.


Si vous avez peur de ne pas réussir un exercice, vous faites un Tipi sur la peur avant de vous lancer dans l’exercice.


Difficile dans ce cas là de trouver des obstacles insurmontables, n’est-ce pas ? Pour pourvoir faire une séance à la stagiaire, il a d’abord fallu que je pratique l’Autotipi.


Qu’est ce que l’Autotipi ?


C’est une façon de pratiquer tout seul la technique TIPI. Autotipi est une technique quantique de développement personnel qui permet d’être autonome dans la capacité à désactiver les émotions incontrôlables et les peurs.


Il est nécessaire pour cela d’identifier dans sa vie une peur (récurrente ou non) un état dépressif, une inhibition comme la procrastination ou un débordement émotionnel.


Les premières fois vous êtes guidé puis rapidement vous apprenez à ne pas lutter contre les manifestations physiques que vous éprouvez. Pratiquer Autotipi vous rend autonome.


Bien entendu, il serait illusoire d’imaginer qu’une technique, à elle toute seule puisse résoudre tous les problèmes d’apprentissage ou de peurs de l’humanité.


Fort heureusement, il y a plusieurs moyens de parvenir à ce résultat. Luc Nicon s’est quand même heurté à quelques thérapeutes qui n’arrivaient pas à intégrer qu’avec une technique quantique, on puisse résoudre une phobie en une séance.


Lorsqu’on sait le temps que cela peut prendre en thérapie classique, je comprends que la pilule soit difficile à avaler et je sais de quoi je parle.


Pourtant, il semblerait que vous ne soyez pas destinés à souffrir éternellement. Des aides et des techniques nouvelles existent. Chaque jour de merveilleux outils naissent, Autotipi et la technique Tipi en sont un parmi beaucoup d’autres.


Soyez assurés qu’avec un peu de curiosité, vous trouverez celui qui vous permet de vous libérer.


La technique TIPI est en ce moment même exportée aux US et en Chine. Pour une fois qu’une technique française est en avance sur le monde anglophone !


D’autres articles sur la technique TIPI:

Déprogrammer une phobie en une séance c’est possible avec la Méthode Tipi

Comment j’ai passé le col avec la technique Tipi

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir pour sortir de la peur et l’angoisse

Venez découvrir la technique Tipi et bien d’autres méthodes au Booster-Gala

TIPI Technique d’identification des peurs inconscientes


Et vous, quelle technique nouvelle avez-vous appris dernièrement? Cela a t-il été facile? Avez-vous connu ce vide dont je parle avant la maitrise? Laissez un commentaire!


Hannah

59 commentaires

  1. karine le 17 mai 2013 à 17 h 21 min

    Bonsoir Hannah

    A l’époque où j’enseignais à de jeunes enfants et lorsque j’étais jeune enseignante, les enfants lents m’énervaient.
    Et comme tous les profs, je disais aux parents, votre enfant est lent ! On était bien avancé avec cela. Ca n’arrangeait rien et ça ne faisait que créer des tensions sous jacentes.

    Puis avec les années, les différentes formations faites, j’ai compris qu’un enfant qui était lent pouvait cacher entre autre, une peur :
    – de faire mal
    – que l’on se moque de lui
    – qu’on le gronde
    – …

    car ce que l’on regardait chez cet enfant, c’était uniquement le résultat, le nombre de fautes et non l’effort fait et cette peur qui bloquait tout.

    Peut -être qu’un jour, dans la formation des profs, on en parlera.
    En attendant, sur mon blog réussir en famille, j’ai publié 3 articles sur cette fameuse  »Lenteur » !

    A bientôt…Miss TIPI

    ps : tes prochains ateliers tipi sont programmés pour ?



    • hannah le 22 mai 2013 à 11 h 19 min

      Bonjour Karine,
      Tu vois juste, les parents n’ont pas toujours le reflexe
      de s’interroger sur les difficultés de leur enfant; souvent
      parce qu’ils ont leurs<propres peurs qu'ils ignorent concernant
      l'avenir de leur enfant.
      Si un parent qui s'énerve devant les mauvaises notes de son enfant
      se posait la question: de quoi as tu peur…? On trouverait un chapelet
      de réponses du style…qu'il redouble, qu'il ne trouve jamais de travail,
      qu'il ne gagne pas sa vie, qu'il n'ait pas d'argent, qu'il ne puisse pas
      subvenir à ses besoins…et là il comprendrait qu'il parle de lui et de
      ses besoins non satisfaits!
      Mais qui ose se poser toutes ces questions?
      NOus referons une formation Autotipi en septembre. Entre temps,
      elles peuvent être faites en individuel c'est à dire en trois séances espacées.



  2. zenie le 17 mai 2013 à 17 h 49 min

    Bonjour Hannah, la maîtrise vient avec la pratique et avec le temps donc il ne faut pas être pressé mais persévérant quelle soit ce que l’on apprend.

    zenie



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 12 min

      Bonjour Zénie,
      Oui, la maitrise ne peut pas s’acquérir avec les études et les
      diplômes.
      Dans mon domaine, ce sont mes clients qui m’amènent tranquillement
      à la maîtrise. Sans eux, j’ai des savoir -faire mais grâce à eux, j’atteins
      la maîtrise.



  3. Jean-Luc (de Moralotop) le 17 mai 2013 à 21 h 00 min

    La technique TIPI délaisse donc les émotions et expériences (même anciennes) pour se concentrer sur les ressentis, (et les situations récemment vécues, non enfouies) ai-je bien compris Hannah ?

    En ce sens, dirais-tu qu’elle agit en profondeur ?



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 20 min

      Bonjour jean-Luc,
      Je pars de situations récemment vécues car les mémoires
      s’empilent. Sur un vieux trauma, s’empile tout un jeu de défenses.
      C’est la raison pour laquelle, on peut choisir de ne pas aller
      chercher des situations anciennes. Elles ont été repeintes et trafiquées par le mental!
      La vraie question à se poser étant: en quoi cela nous dérange t-il aujourd’hui.
      Le mental ne peut pas toujours faire le lien entre une difficulté actuelle
      et un vieux trauma. Puisqu’il ne s’en mêle pas avec sa compréhension des choses,
      on a une chance d’aboutir quelque part!
      Les mémoires les plus actives datent de la vie intra-utérine et des premiers mois
      de la vie. A cet âge-là, l’hyppocampe n’est pas encore en place et donc nous n’avons
      aucun souvenir.
      Seul le corps garde la mémoire car tout est enregistré par l’amygdale cerrebelleuse.
      On peut donc faire confiance au corps car lui seul sait ce qui s’est passé.
      Toute la difficulté de la technique, c’est de laisser faire le corps sans interférer!
      Donc la réponse est oui, Tipi agit dans la plus grande des profondeurs.
      Les effets sont souvent immédiats, là où avant il fallait parfois des années
      d’introspection profonde.
      C’est la particularité des techniques quantiques.



  4. Christine Votre Efficacite Personnelle le 17 mai 2013 à 22 h 22 min

    Bonjour Hannah,

    Ton article me donne envie d’apprendre cette technique. En tous cas il faudra que je prenne le temps de prendre un RV avec toi.
    Bien amicalement,
    Christine



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 25 min

      Bonjour Christine,
      C’est une expérience à tenter, particulièrement lorsqu’on bute
      sur une situation où toutes les autres techniques ont échoué.



  5. Muriel le 18 mai 2013 à 6 h 11 min

    Bonjour Hannah,

    J’ai fait ma première via ferrata avant de connaitre TIPI, j’ai découvert cette peur qui paralyse accrochée à la paroi quand tu ne peux plus avancer ni reculer non plus…. J’ai fait la formation Auto Tipi et je suis retournée faire une via ferrata, je voulais savoir si ça fonctionnait. Mon approche de la paroi n’a pas été la même j’ai senti que dans mon corps j’avais la mémoire de mon ancien ressenti mais ce n’était plus pareil, comme si j’étais passée par dessus ma peur du vide, j’avais dans la sensation d’avoir remplacé cette peur par de la sécurité d’adulte, j’avais mes mousquetons pour m’accrocher et je pouvais sentir la peur s’approcher mais je ne la laissais plus m’envahir. Ma 3ème via ferrata a commencé à me procurer d’autres sensations inconnues, je commence à sentir du plaisir et de la puissance à grimper contre la paroi, bien accrochée quand même!
    Depuis TIPI me suit au quotidien, c’est mon compagnon de route dès le matin quand j’ouvre les yeux et si je ne sais pas pourquoi je le fais mon corps lui le sait.



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 28 min

      Bonjour Muriel,
      Tu as raison, c’est un compagnon très pratique.
      Tipi se pratique à chaud lorsqu’on est encore immergé
      dans son émotion.
      Plutôt que de la refouler, on plonge dedans, particulièrement
      dans la façon dont elle envahit le corps.
      Les effets sont immédiats. On peut reprendre un avion ou un ascenseur
      même si cela fait trente ans qu’on les évite.



  6. marie le 18 mai 2013 à 7 h 47 min

    Bonjour,

    Depuis que je suis ce blog, j’en apprécie tous les articles; je les trouve bien expliqués et très complets. Celui-ci m’interpelle particulièrement. En effet, je me sens concernée à plus d’un titre (phobie, émotivité excessive, procrastination). Question : comment apprend-on l’Autotipi? Merci.



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 30 min

      Bonjour Marie,
      Autotipi s’apprend en deux jours espacés (si c’est du collectif)
      ou trois séances en individuel. Le temps d’apprendre, de pratiquer, de
      vérifier si les situations choisies ont bien été débranchées et enfin
      d’apprendre un protocole méticuleux pour obtenir presque 100% de réussite



  7. Nicole le 18 mai 2013 à 8 h 13 min

    Merci Hannah,
    pour cette clarification de la méthode Tipi qui m’interpelait dès les premières lectures de tes articles.
    Hier, lors d’ une journée d’animation avec 80 enfants, j’ai pu rencontrer cette peur dont tu parles » devant la feuille blanche »! Quelques enfants étaient complètement bloqués et ne pouvaient même pas tracer un trait malgré la recommandation que cet exercice ne devait pas être nécessairement réussi et qu’il fallait avant tout s’amuser!
    Dès que je serais plus libre de mon temps, je viendrais en stage chez vous, car ce n’est pas très loin d’où j’habite!



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 32 min

      Bonjour Nicole,
      Tipi marche très bien sur les enfants, à partir du moment où
      ils sont en âge de comprendre véritablement une consigne.
      80 enfants, c’est ENORME!
      Nous t’accueillerons avec plaisir Nicole!



  8. Helene le 18 mai 2013 à 8 h 30 min

    Bonjour Hannah,

    Va falloir que je m’intéresse d’un peu plus près à cette méthode TIPI : Technique d’Identification des Peurs Inconsciente, voilà qui me parle. Toute une vie pour comprendre d’où viennent ces peurs enfouies en soi.

    Peur de prendre une route que je connais pas, faire face aux multiples carrefours avec la peur de se tromper et de se perdre. Peur de ce pont toboggan très étroit ou j’avais l’impression d’étouffer et que ma voiture n’allait pas passer. Possible que cette peur remonte à ma naissance. Ce pont à été détruit (ouf) et remplacé par un grand carrefour et encore cette peur (très minime) de me tromper. Merci le GPS qui rassure.

    Apprendre à apprendre à gérer et dépasser ses peurs en les accueillant . Comprendre pour avancer.

    Et comme le soulève Karine, comprendre ce qui se passe pour un enfant c’est lui permettre de lui donner les moyens d’apprendre. L’enseignement se donne t-il les moyens de prendre en compte cette notion ? Les enfants auraient tout à y gagner.

    Merci Hannah pour cet article éclairant ma lanterne.

    Hélène



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 35 min

      Bonjour Hélène,
      Il y a beaucoup de peurs que l’on peut travailler durant sa vie.
      Il y a aussi celles qui sont récalcitrantes, rien n’y fait. C’est souvent l’indice
      qu’elles sont enracinées dans les premiers mois de la vie, c’est la raison
      pour laquelle elles sont difficiles d’accès.
      Pour les enfants c’est pareil, il y a des peurs qu’ils peuvent surmonter avec
      un peu de volonté et d’entraînement et d’autres qui sont plus fortes qu’eux,
      c’est là où ils ont vraiment besoin d’aide.



  9. celine le 18 mai 2013 à 8 h 59 min

    bonjour hannah

    bien recu votre e-mail, je vais les etudier profondement,, cela me concerne le stress, panique, la peur, des choses qui me pertubent encore…



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 38 min

      Bonjour Céline,
      C’est normal que certains peurs perdurent, elles ne peuvent
      ni s’analyser ni se surmonter. C’est le petit plus des thérapies
      quantiques que de s’immiscer là où les autres techniques
      calent.



  10. Patrick le 18 mai 2013 à 10 h 00 min

    Bonjour Hannah,
    eh oui, il doit toujours y avoir de vieux démons bien cachés, donc je me suis encore reposé la bonne question : en quoi cela me dérange t-il aujourd’hui ?
    Et plouf, me voilà replongé dans des spasmes pour me débattre et me libérer de nouvelles chaines.
    J’ai l’impression de m’être dévêtu d’une autre couche, mais j’aurai préféré m’en sortir en une seule fois !
    Qu’est-ce que je traîne donc pour continuer à entretenir quelque peur ankylosante.



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 40 min

      Bonjour Patrick,
      On ne peut pas de dépêtrer de tout en une seule fois.
      il y a souvent de nombreuses racines à nos peurs.
      Entre moins neuf mois et deux ans, avant de pouvoir
      nous exprimer sur ce qui est difficile pour nous, il y en
      a eu des situations de panique que nous avons eu à gérer
      seuls ne serait-ce qu’une mauvaise digestion au milieu
      de la nuit, une rupture d’oxygène dans le cordon ombilical…
      normal que ça prenne un peu de temps.



  11. Dorian le 18 mai 2013 à 10 h 34 min

    Bonjour Hannah,

    Je te cite : « la peur d’apprendre est le plus souvent psychologique »
    Et ma question : « Y a t-il des peurs non psychologiques ? » 🙂

    Et concernant la méthode Tipi, tu parles de l’autotipi, c’est ton mari et toi qui avez développé cela ?
    En tout cas, cette méthode m’intéresse beaucoup, surtout depuis que Maxime a fait le témoignage de son expérience avec toi 🙂

    Au plaisir.
    Dorian



    • Hannah le 23 mai 2013 à 21 h 46 min

      Bonjour Dorian,
      Oui il y a des peurs non psychologiques comme celle
      de traverser une rue dans une ville indienne…ou celle
      où nous vivons une réelle difficulté avec notre corps;
      En général une vraie peur est éphémère, elle vient juste
      nous prévenir qu’il faut faire attention.
      Les peurs mentales elles, durent longtemps! Le mental
      en général, dans son désir de tout comprendre croit
      que le vertige est une peur de l’altitude.
      En fait, on peut très bien avoir le vertige parce que, dans notre
      vie intra-utérine, nous avons cohabité avec un jumeau
      (dont tout le monde ignore l’existence). Au moment où il meurt,
      le foetus qui reste se fait aspirer et cela peut laisser des traces
      dans la mémoire cellulaire comme le vertige!
      on peut avoir peur de monter dans un ascenseur parce que
      cela ressemble à la sensation d’être porté dans le ventre de sa mère.
      Si, il y a eu à un moment un serrement du cordon nous privant de nutriment,
      on peut avoir fait une association malheureuse entre être suspendu
      et mourir.



  12. THOMAS le 18 mai 2013 à 10 h 59 min

    TIPI peut elle m aider en cas de SLA ?



    • Léon le 18 mai 2013 à 13 h 52 min

      Bonjour Thomas,

      SLA = sclérose latérale amyotrophique

      Tipi est utilisé pour se libérer rapidement et efficacement des émotions indésirables mais n’est pas une technique spécifique pour guérir une maladie.
      Par contre, il est possible en se libérant des perturbations émotionnelles d’observer, dans certains cas, une guérison d’une maladie.
      Pour favoriser la guérison d’une maladie, comme la SLA, il convient de découvrir son origine psychobiologique.
      C’est en agissant sur les émotions précises de ce conflit qu’il pourra être plus facile d’aider le corps à se guérir.

      Excellent WE de pentecôte



    • Hannah le 23 mai 2013 à 22 h 11 min

      Bonjour Thomas,
      Je rejoins Léon, pour cette maladie, il faut remonter au moment de son apparition
      et surtout quelques mois avant.
      le conflit lié à cette maladie, c’est qu’il faut que l’information n’arrive jamais au
      muscle.
      En d’autres termes il faut absolument s’empêcher d’agir.
      Pouvez-vous remonter le temps avant le déclenchement de la maladie
      pour vous souvenir des circonstances de l’époque et en quoi vous vous
      êtes empêché d’agir.
      Après cela, il est possible de travailler sur le conflit mais d’abord il
      est important de l’identifier.



  13. Nadia le 19 mai 2013 à 8 h 24 min

    Bonjour Hannah,
    cette méthode à l’air très intéressante surtout que j’enseigne encore. Permet-elle de dépister les blocages pour proposer une piste aux parents?

    À bientôt
    Nadia



    • Hannah le 19 mai 2013 à 12 h 48 min

      Bonjour Nadia,
      La technique Tipi n’est pas une thérapie, dans le sens où elle n’est
      pas analytique.
      Un enfant qui a du mal à apprendre est souvent
      totalement mobilisé par autre chose.
      Tipi est la solution de dernier secours quand toutes les techniques
      habituelles n’ont pas fonctionné. C’est d’ailleurs ce qui a permis à Luc Nicon
      de trouver la technique. Si toutes les pistes psychologiques et émotionnelles
      n’ont rien donné, alors on peut proposer Tipi à des enfants.
      Il faut qu’ils soient capables de comprendre les consignes c’est à dire à partir du CE2.
      Il est parfois difficile de faire comprendre à des parents
      qu’une difficulté d’apprentissage puisse trouver sa source dans la vie
      intra-utérine de l’enfant.
      Cette notion de vie ou de mort et de
      peur panique ne peut se comprendre que si on l’a éprouvé personnellement.
      Pour ma part, je n’ai aidé que des enfants qui avaient des peurs inhibantes
      parce qu’ils avaient vu des scènes qu’ils n’auraient pas du voir ou parce
      que leurs difficultés d’apprentissage se superposaient à une phobie sociale.



      • Nadia le 19 mai 2013 à 21 h 12 min

        Merci pour tes éclaircissement Hannah, je vais quand même me renseigner sur la technique qui m’interpelle.
        Existe-t-il un livre de base qui permette de pratiquer l’auto TIPI ?



        • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 46 min

          Bonsoir Nadia,
          il n’existe pas de livre spécifique pour l’autotipi.
          Le livre de Luc Nicon parle néanmoins assez spécifiquement de
          Tipi dans son livre.
          C’est aussi une expérience à vivre et comme cela touche les peurs,
          il est bon de se faire accompagner la première fois: le mental n’aime
          pas mettre le nez dans les peurs, il croit qu’elles sont dangereuses.



  14. Jean le 19 mai 2013 à 14 h 14 min

    Bonjour Hannah,
    J’ai trouvé que le thème de cette « croisée des blogs » était formulé de telle sorte que je ne voyais pas quoi dire. En effet, il s’agit de la « peur d’apprendre » et pour moi, elle n’existe pas en tant que telle. Nous avons, comme tu dis, différentes peurs qui peuvent nous bloquer dans un apprentissage, mais, à mon avis, pas celle d’apprendre. Il me semble que la plupart des gens qui veulent apprendre n’ont pas cette peur-là.
    Et si on a des peurs au cours du processus d’apprentissage, soit on ne veut plus apprendre (ce n’est pas de la peur), soit on persiste car on n’a pas peur d’y arriver.
    J’ai connu des personnes qui avaient peur de passer un examen, même qui le rataient, mais qui n’avaient pas peur d’apprendre. Elles étaient d’ailleurs souvent les plus assidues à leur révision.
    Un bébé n’a pas peur d’apprendre à marcher, c’est même une grande motivation pour lui, bien qu’il puisse avoir peur de tomber ou de se faire mal.
    Finalement, après avoir lu ton article, je trouve beaucoup plus de choses à dire. 😉
    Quant à la peur de ne pas maîtriser une technique, oui je l’ai vécue, et mis en place plus ou moins inconsciemment des stratégies d’évitement, mais ce n’est toujours pas la peur d’apprendre, car j’ai toujours eu soif d’apprendre. La peur peut donner soif, mais pas l’inverse, que je sache…



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 49 min

      Bonsoir Jean,
      Je crois que tu as raison, c’est rarement la peur d’apprendre
      pour un adulte. C’est la peur de ne pas maîtriser, de parler en
      public, peur de l’échec etc…
      Par contre pour les enfants, elle existe. Elle se transforme souvent en
      agression contre le prof auquel on ne peut pas faire confiance.
      Je trouve effectivement la formulation trop spécifique mais j’aime
      bien prendre des libertés avec la croisée des blogs!



  15. patricia pierron le 19 mai 2013 à 14 h 31 min

    bonjour Hannah
    merci pour les nouveaux messages sur la méthode TIPI que dès que je vais pouvoir je viendrai expérimenter
    en sophrologie il existe une sophronisation qui lui ressemble et c’est très fort lors de sa pratique – j’ai eu des difficultés à la vivre jusqu’au bout et avec entraînement je suis arrivée à la vivre jusqu’au bout
    j’aurai du l’expérimenter autotipi lors de ma 1ère expérience sur une radio et au fil de l’interview je suis arrivée à faire face à mes émotions parasites
    cordialement
    patricia



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 52 min

      Bonsoir Patricia,
      Concernant Tipi, on ne travaille pas du tout sur les émotions
      parasites. On prend un contexte émotionnel juste pour`démarrer mais
      le travail est physiologique.
      Je connais bien la sophro mais j’avoue que je n’ai pas réussi à faire
      le lien avec Tipi, peut-être peux-tu m’éclairer sur ce point.



  16. cecile le 19 mai 2013 à 14 h 59 min

    Bonjour Hannah,
    Je crois que j’ai eu de la chance : ayant grandi dans un conservatoire de musique, depuis toute petite j’ai été habituée à affronter des jurys d’examen plusieurs fois par an…aujourd’hui, même une soutenance de mémoire me parait faisable…je n’ai jamais eu la peur du vide que tu décris…peut être les restes de l’inconscience de l’enfance. J’ai appris à ne pas dramatiser avant l’heure…



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 54 min

      Bonsoir Cécile,
      J’étais comme toi, habituée depuis la petite enfance à faire des championnats
      de France (pas la musique mais éprouvants aussi) et j’avais peu connu la
      peur.
      C’est vraiment récemment, en apprenant Tipi que j’ai mesuré que derrière ma grande
      facilité à faire des apprentissages pouvait se loger une peur indéfinissable.
      Un peu comme on développe tardivement un vertige ou une peur de l’avion.



  17. Jonathan le 20 mai 2013 à 6 h 53 min

    Salut Hannah,

    Merci pour cet article très intéressant pour découvrir un peu plus en détail la méthode TIPI. Je me suis retrouvé quand tu parles de l’élève « doux rêveur près du radiateur ». C’est toute ma scolarité. Et qu’est-ce que le temps était long jusqu’à la fin de journée puis jusqu’au week-end et enfin jusqu’aux vacances !
    Aujourd’hui, j’aime trop ma liberté. Merci à l’école de m’avoir contraint pour m’amener à ne jamais revivre cela 😉

    Sinon, pour répondre à ta question. Je ne sais pas si on peut appeler cela une technique. Ressentir l’amour inconditionnel pour soi et les autres en acceptant le monde tel qu’il est transcende beaucoup de difficultés, il n’y a même plus de difficulté. Le principal obstacle qu’il reste est de cultiver cet état.

    Merci à toi pour ces leçons. Au plaisir !



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 57 min

      Bonsoir Jonathan,
      je n’étais pas une douce rêveuse comme toi mais qu’est ce que j’ai trouvé le temps long aussi
      sur les bancs de l’école.
      Pas assez sans doute puisque je suis devenue instit pendant 25 ans!
      Pour ce qui est de l’amour inconditionnel, je ne sais pas non plus
      si c’est une technique mais ce qui est certain c’est que c’est une des choses
      les plus importantes au monde à développer pour être heureux!



  18. Janine CESAIRE le 20 mai 2013 à 18 h 31 min

    Bonjour Hannah

    Les peurs que tu évoques me sont familières ; même si actuellement je me trouve dans un contexte où je suis plutôt à l’abri , je sais que fondamentalement , elles peuvent revenir

    L’auto tipi me paraît très intéressant ; existe -t -il des ouvrages sur le sujet ??

    Merci pour cet article très intéressant

    Janine



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 58 min

      Bonsoir Janine,
      Il n’y a pas d’ouvrage à ce sujet. Cela se transmet.
      C’est d’ailleurs un bonheur d’être guidé la première fois
      en sachant qu’on peut devenir autonome dans la technique.
      Cela rejoint pour mi un des principes de la sophrologie: devenir autonome.



  19. charlotte le 21 mai 2013 à 6 h 58 min

    Merci Hannah,

    Très clair ton article. Il y a tellement de choses à apprendre. En ce moment je lis, j’apprends et j’essaie
    d’appliquer la methode Ho’oponopono. Tu nous en as beaucoup parlé et j’avoue que cela me passione. Je suis tombée par hasard sur ce livre (hasard?) je ne le quitte pas, il y a tellement de subtilités……
    merci Hannah. Quand j’aurais bien intégré Ho’opnopono, j’étudierais aussi la méthode Tipi.
    A bientôt

    Amicalement

    Charlotte



    • Hannah le 21 mai 2013 à 7 h 34 min

      Bonjour Charlotte,
      Pour la méthode Ho’oponopono tu as raison, cela s’étudie
      pour être bien conscient de ce qu’on fait dans la pratique.
      Pour TIPI, c’est un peu différent, c’est un travail intérieur
      où il n’y a rien à comprendre, c’est une expérience à vivre.



  20. danielle le 21 mai 2013 à 7 h 26 min

    travaillant depuis de nombreuses années auprés de personnes en difficulté,je me rends compte combien il faut être « en santé » pour pouvoir « donner »
    merci pour le partage



    • Hannah le 22 mai 2013 à 11 h 27 min

      Bonjour Danielle,
      En fait, il faut faire soi-même le travail
      pour être à même d’aider les autres.



  21. Bernadette GILBERT le 21 mai 2013 à 12 h 15 min

    Bonjour Hannah,
    … quand le reste n’a pas fonctionné !
    Mes deux enfants ont des problèmes d’apprentissage et je sais que l’origine est dans leur projet-sens. Ma fille souffre d’un gros déficit d’attention qui a rendu tous ses apprentissages impossibles, ou presque. Mon fils bloque en maths…
    Penses-tu que tu pourrais les aider ? Je serais prête à leur proposer un travail avec toi ! Est-ce possible par Skype ? ou par téléphone ? Je vais aller explorer sur tes pages tes modalités de consultation !
    Merci de ta réponse et à bientôt !



    • Hannah le 22 mai 2013 à 11 h 24 min

      Bonjour Bernadette,
      Cela dépend de l’âge de tes enfants. Il faut qu’ils soient capables
      de présenter une ou deux situations très précises où ils se sont
      sentis en panique où ils se connectent à leur difficulté.
      Avec Tipi, on travaille sur des situations précises.
      C’est la première piste à explorer pour savoir si Tipi peut les aider.



  22. Danièle de Forme et bien-être le 22 mai 2013 à 15 h 20 min

    Bonjour Hannah,
    Je fais partie d’une chorale dont le président actuel est quasiment incapable de dire un mot en public. Même au milieu des autres chanteurs il est tétanisé. Il est incapable de présenter les morceaux qui sont joués, c’est une autre personne qui le fait.
    J’essaie à chaque concert de l’aider à se détendre avec la respiration mais je vais lui conseiller « Tipi » pour le prochain concert.
    Je te remercie pour tous ces conseils.
    Je te souhaite la meilleure journée.
    Danièle



    • Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 59 min

      Bonsoir Danièle,
      C’est une bonne info que tu vas lui donner…
      Tu me diras si ça a marché!



  23. Brice le 24 mai 2013 à 9 h 52 min

    Bonjour Hannah,

    Ton article donne carrément envie d’essayer la technique TIPI, il d’ailleurs probable que je fasse appel à toi pour expérimenter cela sur moi-même.

    En tout cas, en ayant suivi le témoignage de Pierre Cocheteux (je crois qu’il a participé avec toi au booster-gala) j’ai vraiment envie d’en savoir plus sur l’auto TIPI.

    A très bientôt,

    Compte sur moi pour te contacter très bientôt,

    Brice



    • Hannah le 25 mai 2013 à 21 h 02 min

      Bonsoir Brice,
      Tu verras cela vaut la peine d’être curieux à condition
      bien sur d’avoir quelques peurs ou situations émotionnelles non résolues
      à traiter!



  24. Marine le 25 mai 2013 à 12 h 28 min

    INtéréssant. Je me pose néanmoins la question de la différence entre cette méthode (ou nombre d’autres qui voient le jour depuis 10 ans) et le psychothérapeute. Après tout, un psy guérit parfaitement ces troubles et est diplômé d’une faculté reconnue par l’état. Qu’apporte cette méthode en plus ?



    • Hannah le 25 mai 2013 à 21 h 05 min

      Bonsoir Marine,
      Pour être les deux, psy et praticienne Tipi, je peux dire
      que Tipi ne s’occupe pas du mental et des méandres
      émotionnels. C’est ainsi qu’on gagne beaucoup de temps.
      Tipi est associé à une technique quantique. Peu de psys
      sont prêts à se confronter à une nouvelle manière de
      traiter les peurs. ce sont souvent les plus récalcitrants.
      Par contre, faire des débranchages Tipi ne dispense
      pas de faire une psychothérapie. C’est plutôt un outil
      aidant et tout à fait compatible. Parfois j’utilise les deux
      au sein d’une même séance.



    • Hannah le 25 mai 2013 à 21 h 08 min

      Bonjour Marine,
      je vous réponds sur votre mail.



  25. Hannah le 25 mai 2013 à 20 h 43 min

    Bonsoir hana,
    L’EFT travaille sur les méridiens du corps. La technique Tipi
    travaille sur la mémoire cellulaire engrammée dans la vie intra-
    utérine et pendant les premiers mois de la vie où nous n’avons
    pas de souvenirs ni la possibilité d’exprimer ce que nous avons vécu.
    Pour les douleurs l’EFT est recommandé. Pour les peurs et les
    débordements émotionnels, Tipi est plus rapide.



  26. nana fafa le 10 mai 2014 à 0 h 02 min

    bonjour, je découvre votre site à la suite de recherche de guérison du cancer, en effet on vient de me déclarer que j’ai un cancer du sein depuis maintenant un mois, tuméroctomie puis chimiothérapie; je suis complètement terrifiée, d’abord par la chirurgie (qui s’est finalement super bien passé) puis de la pose du cathéther qui m’a provoqué une « attaque de panique » (crise d’angoisse, hurlement, tétanisée) en rentrant chez moi juste après et ensuite me suis retrouvée au urgence jusqu’à trois du matin sans rien d’anormal dans les analyses. J’ai une peur irraisonnée de la chimio, comme enfermée et dans l’impuissance à contrôler cette maladie, les commentaires des anciens cancéreux ne me rassurant pas du tout.
    il est urgent pour moi d’avoir une réponse à cette panique car cela devient invivable, ma chimio commence vendredi prochain et j’aimerais que cela se passe le mieux du monde, j’ai la foi mais dans la panique elle ne me suffit pas.
    merci
    fafa



    • Hannah le 10 mai 2014 à 2 h 48 min

      Bonjour Fafa,
      La panique et le cancer ne sont absolument pas liés
      sauf dans l’idée que les deux sont liés à une peur
      de mourir.
      C’est possible de débrancher la peur avec Tipi.
      Je vous réponds sur votre mail.



      • nana fafa le 10 mai 2014 à 21 h 27 min

        bonsoir, je sais que c’est une peur de mourir, je l’ai toujours eu, la peur de la noyade (même sous la paume de douche par ex !!) la peur des endroits étroits, impossible de me faire passer dans un petit tunnel ou de me mettre dans une boîte juste pour jouer, en résumer je pourrais dire la peur de l’enfermement, mais forcément claustrophobe bien que…
        j’ai appris un jour que ma mère avait mis 3 jours pour me mettre au monde (en pleine guerre d’algérie) et qu’elle m’avait accouchée dans un genre de cabane pas plus grosse qu’une niche (que l’on m’a montré d’ailleurs !!)
        est-ce une réponse et comment la désamorcer ? une séance de TIPI serait alors nécessaire, dites-moi comment faire ?
        merci



        • Hannah le 18 mai 2014 à 20 h 15 min

          Je vous réponds sur votre mail perso



  27. Messi Daniel le 4 février 2015 à 20 h 58 min

    J’ai un mal etre constant en moi , je n’arrive pas à l’expliquer mais je sais qu’il a une cause émotionnelle. Que faire ?



    • Hannah le 7 février 2015 à 20 h 36 min

      Bonjour Daniel,
      Je pense que si vous avez réagi en entendant parler de TIPI
      c’est sans doute parce que vous avez senti que cela parlait
      de vos soucis. Cependant faites attention, TIPI ne fonctionne
      qu’à partir de situations précises donc notez les moments
      où vous avez des pics de mal être et pour quelle raison,
      même si ça vous parait difficile pour le moment.
      Notez au moins les circonstances.
      A partir d’un mal être constant il est difficile d’attraper
      le bout de la pelote.