Bouddha était-il anorexique? Tout sur les troubles alimentaires et la biologie totale

Bouddha, biologie totale et troubles alimentaires
La première fois que j’ai vu cette image du bouddha squelettique, c’était à Khajuraho en Inde.
J’ai eu une drôle d’impression, presque choquante au milieu des statuettes tantriques déhanchées et pulpeuses.
Cette vision du bouddha au visage émacié représente la période ascétique où il cherchait l’éveil en bridant sa nature biologique et en prenant le contrôle sur elle.
C’était juste avant de comprendre que c’est une voie sans issue qui encourage le monde de la dualité du corps et de l’esprit.
Je vous explique plus loin en quoi l’anorexie est un trouble alimentaire et une maladie mais certainement pas une voie d’éveil.
En biologie totale ou décodage biologique, une des finalités de votre réalité biologique est la survie de l’espèce et ce, grâce au travail assidu du gigantesque ordinateur qu’est votre cerveau.
Lorsqu’un stress continu menace votre santé, votre biologie déclare une maladie dont le symptôme est porteur de sens.
Selon le décodage biologique, décoder le symptôme permet de connaître l’origine du conflit afin de le résoudre pour retrouver la santé.
Si par exemple, vous avez un problème de prostate, ce n’est pas forcément parce que vous êtes vieux mais peut-être que vous avez un conflit relationnel avec votre descendance.
Si vous avez un problème au sein gauche, ce n’est pas que parce que c’est génétique mais parce qu’il est possible que vous ayez un conflit de séparation mère/fille.
Votre problème psychique s’incarne et se transforme en conflit biologique. Ce qui ne peut être dit (mal a dit) par des mots se manifeste en maux.
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Il en est de même au niveau des troubles alimentaires: c’est peut-être parce que vous mangez trop que vous êtes obèse, mais vous mangez trop parce que vous incarnez un conflit biologique.
Celui-ci s’exprime par le biais de vos kilos superflus. le décodage biologique permet d’identifier les raisons de votre problème de poids.
Si vous vous êtes senti abandonné par votre mère (mort, hospitalisation d’un autre enfant que vous, dépression, trop de travail, mari accaparant), vous allez augmenter votre masse afin d’en imposer.
Plus vous paraissez menaçant, plus vous dissuaderez l’attaquant potentiel, à la manière des animaux qui se hérissent. Vous avez la silhouette qui vous permet de vous battre.
Afin de garantir votre masse imposante, votre métabolisme va entrer en mode « stockage » et optimiser la moindre calorie ingérée.
Un petit écart qui passe inaperçu sur un corps au métabolisme « normal » ajoute pour vous un kilo sur la balance.
Troubles alimentaires et confiance en soi
Vous pouvez ensuite vous raconter que, parce que vous êtes en surpoids, vous n’avez pas confiance en vous et qu’il faudrait vous inscrire à un séminaire afin de développer votre propre estime.
Mais est-ce bien là votre problème principal, la jolie silhouette, pour être bien dans votre peau ?
Certainement pas sinon vous auriez déjà fait ce qu’il faut. Si vous n’y arrivez pas, c’est que votre trouble alimentaire cache une blessure plus profonde que la confiance en soi et la mauvaise image.
En décodage biologique, il n’y a pas d’erreur: si vous avez un trouble alimentaire, c’est qu’il vient à votre rescousse afin d’éviter une plus grande souffrance.
C’est une adaptation positive de votre biologie face à votre conflit inconscient non résolu même si cela est difficile à accepter.
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Anorexie et troubles alimentaires et décodage biologique
A l’inverse, face à une mère trop contrôlante, trop présente ou trop ingérente, un bébé va chercher à mettre une distance avec sa mère afin d’éviter la « dévoration ».
La présence excessive de la mère ne signifie pas que les besoins de caresses, de douceur et de tendresse du bébé soient pour autant satisfaits.
Plus il sera chétif et maigre, moins il pourra être « attrapé ». Il y a peu de gazelles obèses dans la savane : la minceur est une solution efficace pour pouvoir fuir. C’est un des conflits possibles en décodage biologique.
Face au danger ressenti, un enfant se fait insaisissable et cherche inconsciemment à s’échapper.
Le plus souvent, ces symptômes se déclarent à l’adolescence lors d’une difficulté affective qui réactive ce besoin épidermique de « fuir » pour éviter la souffrance.
Que se passe t-il réellement au niveau de l’anorexie ?
C’est un dérèglement alimentaire qui s’avère souvent dangereux pour la santé.
Ceux qui ne connaissent pas cette maladie ont tendance à croire qu’elle correspond à une perte progressive de l’appétit où la sensation de faim s’estompe (due à une baisse de la glycémie).
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Cela est juste pour les enfants et dans les effets secondaires de certaines maladies mais il n’en est rien à l’adolescence et dans la vie adulte lorsque vous avez affaire à une anorexie mentale.
Les personnes qui souffrent d’anorexie mentale prétendent qu’elles n’ont pas faim. En réalité, la faim les torture. Elles souffrent vraiment et cela se voit sur leur corps.
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Anorexie et estime de soi
L’estime de soi, elle la trouvent quand elles se voient sur une photo ou lorsqu’elles voient les kilos diminuer sur la balance.
C’est leur seul moment de répit. Le reste du temps, la perte de poids est une véritable obsession qui fait de leur vie un enfer.
Le comportement d’une personne anorexique.
Vous remarquerez que je ne dis pas un ou une anorexique. C’est une maladie et une souffrance, il est important de dissocier la maladie de la personne.
En apparence, ces personnes manifestent :
- des caprices alimentaires
- un contrôle absolu sur tout ce qui touche à la nourriture
- un petit appétit
- une interminable mastication
- une propension au sport intensif
- un intérêt excessif pour cuisiner à leur façon.
Qu’en est-il vraiment ?
La personne anorexique est la plupart du temps une tortionnaire qui cherche à être plus forte que sa biologie. Elle cherche à contrôler la dépendance que représente la nourriture pour un être humain.
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C’est aussi un tyran pour les autres (et pour elle-même) qui s’appuie sur la peur qu’elle engendre chez ses parents lorsqu’elle ne mange pas. Elle prend aisément le pouvoir sur eux.
Cette obsession se traduit par:
- Une angoisse réelle atténuée quelques minutes par l’aiguille à la baisse de la balance et le flottement dans les vêtements.
- Un comptage quasi scientifique de tous les aliments qui pourraient contenir trop de calories.
- Un plaisir à préparer longuement à manger sachant qu’à l’heure d’ingérer vraiment les aliments, elle se défilera.
- Une connaissance exhaustive de tout ce qui permet de perdre des calories, sport, exposition au froid etc…
Qu’est ce qui se cache derrière l’anorexie?
Selon le décodage biologique, il y a dans la vie d’une personne anorexique (ou dans la vie de sa mère), l’expression de quelque chose qui a cassé.
La joie de vivre, la plénitude, la liberté ou l’appétit du vivant est quelque chose qui a été retiré, banni, à cause d’un choc, d’une perte, d’une séparation, un abus ou une maltraitance.
Afin de réparer cela, une personne anorexique manipule sans toujours le savoir. Elle semble dire à sa mère: « tu dois t’occuper de moi, j’ai un problème mais c’est moi qui commande ».
De façon très inconsciente, elle veut que le couple ce soit l’enfant et sa mère (sans le père). Elle cherche à réparer un sentiment inassouvi d’affection.
C’est un peu comme si elle disait à sa mère : »la nourriture désormais c’est moi qui m’en occupe mais j’ai besoin de 100% de ton attention ».
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Cela répare le fait que c’est la mère qui s’occupait de la nourriture mais pour une raison dont elle ne veut pas se souvenir, la mère n’était jamais 100% présente à son enfant.
Si on regarde psychologiquement ce qui se passe, la personne est en régression, elle rejoue son enfance en redistribuant les cartes.
Elle est petite et elle n’aime pas ce que sa mère incarne et ce qu’elle lui donne. Souvent c’est le rapport de sa mère à l’homme qu’elle juge.
Elle la considère faible. En rejetant la nourriture de sa mère, elle lui dit: « je n’aime pas la façon dont tu me nourris, je ne veux pas grandir et devenir la femme que tu es ».
Sans cette compréhension il est difficile de comprendre pourquoi une personne anorexique veut effacer ses courbes et éviter d’être une femme.
Il y a deux raisons en fait : effacer toute féminité et rejeter toute approche sexuelle qui, de près ou de loin ramène la relation de sa amère avec les hommes.
Peur, anorexie, décodage biologique et projet sens
Une enfant anorexique porte les peurs non conscientes de sa mère. Cette dernière, en s’occupant d’elle, se permet d’oublier ses propres peurs d’enfant et la distance qu’elle avait avec sa propre mère (la grand-mère).
Il est facile de comprendre pourquoi inconsciemment l’enfant anorexique veut alarmer sa famille. Elle veut que sa mère prenne conscience de ses peurs même si cela passe par avoir peur que sa fille ou son fils meure.
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C’est aussi la raison pour laquelle une personne anorexique semble ne pas avoir peur de mourir. Elle en a assez de porter des peurs qui ne lui appartiennent pas donc elle prend tous les risques.
Confiance en soi, estime de soi et image de soi.
Il y a ce qu’une fille anorexique se raconte et ce qu’elle vit dans la profondeur de son psychisme. Dans la réalité, elle cherche à être parfaite en développant intelligence, maîtrise, compétence et efficacité.
Elle affiche une grande confiance en elle ainsi qu’une maîtrise à toute épreuve. La minceur de son corps et la victoire sur la faim lui permettent de se sentir forte et en pleine possession de ses moyens.
En réalité elle est très dépendante du jugement d’autrui. Elle a troubles alimentaires, et ne supporte pas un défaut, ni chez elle, ni chez les autres.
Elle porte une image d’elle-même négative doublée d’un sentiment d’incompétence mais n’en est pas toujours consciente.
Cette distorsion de l’image se reflète dans le miroir. Une personne anorexique ne se voit pas telle qu’elle est en réalité, ce phénomène est appelé dysmorphophobie.
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Elle est convaincue de souffrir d’une disgrâce esthétique due au manque de volonté ou de courage. Elle pense ainsi résoudre sa souffrance en gommant ses prétendus défauts physiques.
Améliorer les parties du corps que l’on n’aime pas ne résout pas l’estime de soi.
Vous avez déjà vu dans un autre article que ce sentiment est une défense : pendant que je cherche une cause à ma peur du rejet ou à mon mal-être, je cherche à m’améliorer afin de ne pas en souffrir.
J’ai le pouvoir de faire mieux, voire de devenir parfaite. Ainsi, je serai aimée telle que je l’entends. Aujourd’hui, je suis adulte, c’est possible mais lorsque je suis enfant, est-il possible de faire mieux ? Mieux que quoi ?
Moins de bruit, moins de besoins, moins de pleurs, moins de couches, moins de maladies pour ne pas inquiéter ma mère?
Un bébé vit la satisfaction de ses besoins dans la plus grande soumission. Son impuissance à être dans la plénitude d’un lien le fait réellement souffrir.
Ce n’est que plus tard qu’il apprend à récupérer du pouvoir en voulant croire que c’est lui qui ne va pas bien. Il cherche à se faire aimer par des actions en faisant plaisir ou en s’améliorant.
S’améliorer pour une personne anorexique, c’est mincir à l’infini.
Que vise une personne anorexique ?
Il suffit de regarder sa vie pour le comprendre. En général, à force de perdre du poids, elle finit par ne plus pouvoir se tenir debout. Elle finit par redevenir dépendante avec le poids qu’elle avait à douze ans.
Ne plus manger lui permet de souffrir de la faim plutôt que de souffrir d’un manque affectif.
Elle retourne à l’état de dépendance qui est l’âge de ses premières difficultés avec sa mère : 0-2 ans, dans une profonde solitude mais avec sa mère à ses côtés qui mesure enfin sa souffrance.
Ce qu’elle voit dans la glace, ce n’est plus un corps mais l’expression de ses besoins affectifs et le vide béant.
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Ne plus susciter le désir des hommes à cause de ses formes anguleuses la met à l’abri des agressions qui sont pourtant dans le psychisme de sa mère et par conséquent dans le sien.
Passer sa vie dans un état second (du au manque de nourriture) lui permet de prendre de la distance avec ses émotions douloureuses.
Développer un mental de fer la rend forte et lui fait croire qu’elle ne sera plus jamais soumise ni dominée (pas comme sa mère).
Surtout ne pas ressembler à sa mère et gommer tout ce qui vient d’elle, c’est à dire la nourriture. Ne pas reproduire de dépendances, surtout celle vis à vis des hommes, n’avoir besoin de rien pour vivre.
C’est un peu comme si les symptômes qu’elle vit étaient une tentative de réparation transgénérationnelle.
Être un pur esprit sans corps qui ne mange que des aliments purs (en dehors du chocolat) pour ne pas porter les salissures que sa mère a vécues.
Pour faire disparaître un vide affectif, il n’y a qu’à devenir entièrement vide, se sentir entièrement vide intérieurement, disparaître.
En se débarrassant de son corps, elle laisse tomber ce qui la fait le plus souffrir, c’est à dire la matière et l’expression même de l’existence.
Que peut-on faire avec les troubles alimentaires?
La diététique est un appoint non négligeable pour le retour à la santé, mais ne peut en aucun cas guérir une quelconque maladie sans se pencher sur les causes réelles.
Pour toute maladie il existe un conflit à solutionner. C’est cela un des apports inestimables du décodage biologique. Chaque personne est un cas unique, c’est sans doute la raison pour laquelle, la médecine à des réponses approximatives par rapport aux causes de l’anorexie.
En tant que personne anorexique ?
- Accepter d’être malade et de se faire soigner plutôt que d’ériger sa difficulté en culte de la maigreur.
En ne mangeant pas, l’anorexique organise et contrôle un vide qu’elle situe au niveau corporel afin de se défendre d’un vide au niveau psychique.
- Travailler en thérapie permet d’apprivoiser le vide dont il est question.
Dans les causes de l’anorexie en décodage biologique, il y a un conflit sur l’estomac, un ressentiment inconscient vis à vis de la mère. On l’aime, on l’excuse mais on a du ressentiment.
- Libérer ce ressentiment indicible aide à la guérison.
- Retrouver une nourriture plus riche et plus régulière aide bien sur mais sans traiter l’angoisse sous-jacente, il y a peu de chances d’obtenir des résultats probants.
En tant que parent d’un enfant anorexique?
Accepter de se remettre en question alors qu’on croit avoir été une mère parfaite. Apprendre à se faire aider en même temps qu’on trouve une aide pour son enfant.
Selon le décodage biologique, le conflit psychologique non résolu des parents devient le conflit biologique de l’enfant. (voire un précédent article)
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Pour un parent, la question à se poser est : en quoi mon enfant résout-il à sa façon et dans son corps mes propres souffrances ?
- Vérifier en quoi l’éducation qu’on a donnée était trop rigide, trop critique, intrusive ou sur-protectrice. Voir aussi en quoi en tant que mère, j’ai comblé mes propres insécurités en jouant à la bonne mère.
- Savoir si on a été une mère trop présente ou trop absente. Mesurer qu’on a éduqué son enfant à coup de raison plutôt qu’à l’intuition, parfois au mépris des véritables rythmes du bébé, avec des « il faut », « on doit ».
- Accepter que l’enfant ait pu souffrir en répondant au besoin de contrôle de la mère au lieu d’exprimer ses propres besoins.
- Accepter qu’en tant que mère, on n’a peut-être rien senti du lien au bébé comme si on avait oublier l’essentiel: la présence.
- Regarder honnêtement dans sa vie en quoi on entretient des dépendances, des compulsions ou des rigidités, sachant que la plus grande des dépendances est souvent affective.
Les spécialistes ont remarqué que les personnes anorexiques guérissaient souvent en tombant amoureux, ou en ayant des enfants.
J’ai peu parlé des hommes en matière d’anorexie bien qu’ils n’échappent pas à la maladie. Je vous parlerai dans un prochain article de comment les hommes n’échappent pas à l’obsession d’un corps parfait.
Vous pourrez aussi lire le récit d’une lectrice ayant souffert de cette pathologie et qui aborde la maladie sous d’autres aspects.
Et vous, avez-vous approfondi votre connaissance à la lecture de cet article? Vous voulez réagir? Laissez un commentaire.

Bonjour Hannah,
article très intéressant, et qui me ramène quelques années en arrière, en effet lors de mon divorce ma fille âgée de 21 ans est devenue anorexique et j’ai très bien saisi la raison, j’ai essayé tant bien que mal de la soutenir et de l’aider, mais je crois que nous ne faisons pas toujours ce qu’il faut et en même temps je me suis retrouvée par moment démunie, je ne le cache pas, je ne culpabilise pas si parfois j’étais face à cette situation sans réponses ou solutions, une période difficile à vivre pour elle bien sûr, mon fils et moi même. Son père qui venait de temps en temps était indifférent à ce qui arrivait à sa fille. Dès que ma fille a rencontré mon futur gendre tout est rentré dans l’ordre au bout de quelques mois, maintenant elle est mariée et a deux petits garçons Esteban qui a 6 ans et Eliott qui a 15 mois et elle est très heureuse. pour moi cela représente que du bonheur et une belle victoire de sa part.
Il y a autre chose que je souhaite rajouter à mon commentaire, cela n’a rien à voir avec l’anorexie, mais lorsque mon ex-mari a décidé de divorcer et nous a informé qu’il se remariait sans attendre, j’ai alors développer au niveau du col de l’utérus des »cellules malignes » qui ont été tout de suite prises en charges et détruites avec un laser, comme quoi le corps a toujours un message à nous transmettre.
Bonne journée
Amicalement
Sylvie.
Bonjour Sylvie,
votre témoignage est édifiant. Il prouve une fois de plus que l’esprit agit sur le corps et inversement.
Heureusement il est possible de changer sa perception des événements – ce n’est pas facile mais possible.
Certaines personnes qui ont plusieurs personnalités ont des parties d’elles-mêmes qui ont des maladies différentes. Par exemple une personnalité a du diabète et une autre de gros boutons sur tout le corps.
Quand ces personnes changent de personnalité (en un rien de temps) les symptômes changent aussi !
Enfin, il paraît ! 😉
Bonjour Sylvie,
Je ne suis pas étonnée que tu aies développé des cellules cancéreuses.
Bien que tu ne voies pas de rapport entre les deux thèmes de ton
commentaire, il y a en a un.
Développer des cellules cancéreuses au col de l’utérus marque deux
types de traumas:
une séparation dramatique
la peur que notre enfant meure.(qui est aussi une séparation dramatique)
Entre ce que tu racontes de ton ex mari et la peur que peut générer
l’anorexie chez un parent, tu réunis les deux facteurs potentiels
qui peuvent déclencher un cancer.
Bonjour Hannah, en lisant ton article, je pensais à une phrase d’Einstein qui dit : on ne peut pas résoudre un problème en restant au niveau où il a été crée. La manifestation physique n’est que la partie visible de l’iceberg.
zenie
Bonjour Zénie,
C’est une très belle phrase d’Einstein et d’actualité
quant à ce qui touche à la santé.
Bonjour Hannah,
Article très intéressant qui va, de mon point de vue, à l’essentiel en posant les bonnes questions.
Je donne le lien à une amie dont la fille souffre de ce trouble alimentaire.
Vis un merveilleux dimanche.
Maxime
PS: En regardant cette souffrance, notamment la vidéo, je me sens plombé par celle-ci.
Comment fais-tu pour ne pas être affectée par la souffrance d’autrui ?
Bonjour,
excellent et long article sur ce sujet, comme d’habitude.
Mais il me laisse un peu sur ma faim. Peu de solutions. C’est un peu le problème des approches psychologiques. On cherche à comprendre plutôt que d’apporter des solutions.
Cela n’enlève en rien au plaisir de lire Hannah :-).
Bonjour Michel,
Je ne sais pas si la PNL peut résoudre rapidement un problème
d’anorexie mentale mais du point de vue psy, on se heurte à un
problème: l’anorexie est vécue comme une ressource et une victoire
plus que comme une maladie. Comment guérir quelqu’un qui ne se
vit pas comme malade?
Ce sont les parents qui sont alertés mais ce ne sont pas ceux qui
souffrent d’anorexie. Difficile de guérir quelqu’un qui ne veut
pas guérir.
Mon point de vue est que l’histoire est beaucoup plus familiale
qu’on le pense et pas seulement centrée sur celui qui vit l’anorexie.
Bonjour Maxime,
Je ne suis pas insensible à la souffrance d’autrui, plutôt empathique .
En général, je ne suis pas affectée.Lorsque je le suis, c’est qu’une
de mes mémoires personnelle vient d’être affectée donc j’en profite pour
la travailler.
La question de la nourriture a longtemps été un sujet difficile pour moi et
ce depuis l’enfance donc j’ai eu l’occasion de travailler moult mémoires…
c’est sans doute ce qui fait qu’aujourd’hui ce sujet est paisible bien qu’il
se réfère à de grandes souffrances moins rares qu’on ne le pense.
Tout le monde ne vit pas l’anorexie à son extrême, il y a des degrés à cette
pathologie. Sur internet il y a des photos de la femme la plus anorexique
du monde, elle s’appelle Valeria Levitin et pèse 25 kilos, ses photos ne sont
pas faciles à regarder.
Bonjour Hannah
On lit rarement des articles sur l’anorexie, pourquoi ? Probablement parce que voir une personne réduite à l’état de squelette souvent incommode davantage que voir une personne obèse plus rassurante par certains côtés. (enfin c’est mon avis)
C’est vrai que voir le Bouddha squelettique « interpelle » comme on dit aujourd’hui les gens pourraient-ils adhéré aussi facilement à ses enseignements avec l’aspect là que tu nous montres ? J’en doute vraiment
J’ai rencontré dans mon club de sports une personne anorexique c’est insoutenable tout le monde détournait les yeux moi la première d’ailleurs
On parle d’ailleurs plus sur les blogs d’excès de poids que du manque et bravo pour avoir brisé en partie ce tabou
Bonjour Sylviane,
Tu as vu que j’ai évité de faire du voyeurisme avec trop de photos choc.
Boulimie et anorexie sont deux problématiques liées qui ont une même racine,
la relation à la mère. Autant avec la boulimie, on peut se faire croire
qu’il suffit de faire un régime ou de manger moins et de faire du sport
pour en venir à bout (ce qui est loin d’être totalement juste), autant
avec l’anorexie, on est embêté.
Même la médecine butte un peu dessus car c’est surtout une maladie mentale.
La rééducation alimentaire compte pour 5% de la résolution du problème!
Bonjour Hannah,
Excellent article sur l’anorexie. Tu apportes une fois de plus une analyse large et non figée de ce problème du rapport à la nourriture que la société voudrait traiter en terme de simple aspect physique quand il s’agit du bien être profond de chaque humain qu’il faut appréhender.
Faire chaque chose avec conscience pourrait être une forme d’enseignement de base qui apporterait liberté et autonomie à chaque petit homme!
Mais quelle est la volonté cachée de nos dirigeants?
Tu as du travail pour une vie illimitée: alors garde-toi en bonne santé pour continuer le plus longtemps possible à partager toutes tes bonnes informations.
Amicalement.
Jean-Noël
Bonjour Jean-Noël,
Tu as raison, j’ai des thèmes d’articles jusqu’à ma retraite
si je veux. L’aspect psychologique des maladies n’est pas un
créneau rentable qui intéresse ceux qui sont dans les rouages
de la société. Cet aspect est même tellement décrié que c’en est
louche… quand un sujet est bête et inintéressant, il n’y a pas
lieu d’en faire cas et de se battre avec.Or, la psychologie des maladies
soulève de nombreuses polémiques, sans compter tous ceux qui s’en
sont servi avec succès.
Très intéressant…même si je ne suis pas touchée par ces troubles alimentaires.
Dans mon cabinet j’ai un boudha rieur…lui il est plutôt version »obésité »…mais son visage rayonne !
Aurais-tu la version » Boulimie » ? » Obésité » ?
Merci
Karine
Bonjour Karine,
J’aime beaucoup le « laughing buddha », même si par ailleurs il n’a aucun
lien avec le bouddha siddharta Gautama.
Pour la version boulimie, j’ai écrit cet article:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/surpoids-boulimie-probleme-ajustement-createur/
dans un tout autre style.
Salut Hannah,
Ton article m’a permis de découvrir un sujet que je ne connaissais pas. On voit à nouveau que le niveau des apparences est superficiel, tout se joue en amont dans nos blessures. À ce petit jeu, c’est plus simple quand on le reconnait.
Bon dimanche.
Bonjour Jonathan,
Malheureusement, le niveau des apparences est le plus
commun.
Voir au travers du miroir est un exercice exigent qui requiert
beaucoup de conscience ou de coeur.
Bonjour Hannah,
Oui se serait sympa la version « boulimie », et obésité (même si je ne suis pas encore obèse), car en effet depuis que j’ai déménagé en août 2012 j’ai pris + ou – 5 kg, arrivant ainsi à 67 kg, et là je me « gave », je ne sais ce qui se passe en moi… De plus, j’ai un problème au sein droit, déjà opéré en 2008 ; le radiologue m’a dit samedi que si les micro calcification ne disparaissaient pas il faudrait les enlever !
Très bien expliqué le problème « anorexie », en fait tout vient, pratiquement, d’un vide affectif !!! ???
Tu es la meilleure pour « ouvrir » les yeux à la compréhension
Merci et à bientôt de te lire pour un nouvel article
Anne-Marie
Bonjour Anne-Marie,
Je pense que j’ai un peu traité le sujet du surpoids avec mon article:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/surpoids-boulimie-probleme-ajustement-createur/
Pour ce qui est du problème au sein droit, c’est un conflit du nid par rapport
à une personne qu’on « materne ». Peut-être qu’en creusant cet aspect et les
émotions qui s’y rapportent, tu peux accélérer une dynamique de guérison.
Bonjour Hannah,
C’est un sujet difficile que l’anorexie, et face auquel on est souvent désemparé.
Personnellement, je n’ai jamais eu de cas dans mon cabinet, et je dois admettre que je ne sais pas à priori sur quoi je pourrai travailler….
Surtout que le corps est nié et comme tu le dis, la dysmorphophobie perturbe le schéma corporel…
Prends soin de toi
Luc Mister NO Stress
Bonjour Luc,
Moi aussi j’ai eu peu de cas, plutôt des mères
d’enfants anorexiques.
Je me base sur mes propres difficultés passées
avec la nourriture…
Je vais dire une bêtise (comme d’habitude),
mais j’aimerais bien de temps être anorexique pour perdre les kilos (et il sont venus en autocar) que j’ai pris depuis que j’ai arrêté de fumer.
Bon, en attendant, j’attends la semaine prochaine pour les explications masculines.
@+
Christian.
Bonjour Christian,
Tu ne va pas être déçu des photos des hommes qui
ont un problème à l’image!
Il faut un mental d’acier, est-ce bien ton cas, Christian?
Bonjour Hannah
Tu touches là encore un sujet sensible avec cet article . Ne souffrant pas d’anorexie , je comprends néanmoins ce que tu décris sur les causes de cette mal a dit . En ce qui me concerne , j’associe la nourriture au plaisir , il faut que ce soit miam et en plus je suis très gourmande , je fais un gâteau et je le mange , tu fais un gâteau et je le mange , elle fait un gâteau(ma mère ) et je le mange . C’est un verbe que j’aime conjuguer 🙂
Allo maman , bobo…
Bonsoir Marhthine,
J’avais écrit un article sur la boulimie, je me devais
d’en écrire un aussi sur son opposé qui est aussi parfois
son complémentaire et dont les racines remontent toujours
très loin dans les effets secondaires du lien à la mère!
Pas toujours facile de faire la différence entre plaisir et compulsion 🙂
Bonjour Hannah,
Je suis tout à fait en phase avec ton article, c’est pourquoi je préconise pour les problèmes de poids de faire du yoga. Les exercices agissent sur le physique et le mental c’est pourquoi c’est efficace. Mon cours spécifique de
donne de très bons résultats autant pour perdre que pour prendre du poids. En effet les causes sont souvent semblables.
Je te souhaite la meilleure journée.
Danièle
Bonjour Danièle,
Les personnes anorexiques ont une tendance à chercher
des sports un peu violents car leur but n’est pas de sentir
mieux mais de brûler des calories, c’est là tout le problème de cette
maladie.
Bonjour Hannah,
Je me posais la question à propos des mannequins qui sont de plus en plus maigres et qui diffusent aussi cette image dans la tête des adolescentes.
Elles se prêtent aux règles des couturiers parce qu’elles ont un terrain propice à l’anorexie, ou elles deviennent anorexique en se prêtant au jeu de la mode?
Cette mode doit aussi accentuer les risques de développer cette maladie chez les adolescentes, je suppose ?
Bien amicalement,
Christine
Merci Hannah pour cet article très intéressant sur les problèmes d’anorexie, qui est un sujet très sensible car on n’arrive pas bien à le soigner et le regarder en face…. C’est une maladie qui fait mal à tous « au sujet et aux proches » mais avec de la patience et de la persévérance il est possible de s’en sortir honorablement….
Au plaisir.
Bonsoir Amelle,
Je connais pas mal de personnes qui s’en sont sorties
donc je sais qu’en étant bien accompagné pour cette pathologie
il y a bon espoir.
Coucou,
J’ai été très mince dans mon enfance , et parfois encore dans des périodes de stress, l’appétit est au rdv , mais je brûle tout, l’estomac aussi peut brûler,.. j’y vois + clair , mais te contacte pour savoir tes jours à Toulon .
Biz et bon printemps , c’est tellement beau. Sabrina .
Bonsoir Sabrina,
C’est quand même une chance de tout brûler comme ça!
Serai à Toulon mardi soir 21 pour ma « wrap party »
et mercredi 22 pour les rdv. Il me reste 17H30 ou 12H30
Bonjour Hannah,
Comme toujours, il faut remonter assez loin pour avoir les origines d’une manifestation sur le corps.
Les problèmes de poids ne dont bien évidemment pas exception.
J’aime bien l’approche que tu as par rapport aux parents. C’est un point de vue que l’on aborde rarement mais qui ne doit vraiment pas être évident à vivre non plus. Surtout quand il faut se remetter en question soi-même en tant que parent..
Bien amicalement,
Dorian
Bonjour Dorian,
Parfois c’est lorsque la vie de leurs enfants sont menacés
qu les parents se posent les bonnes questions.
Si la conscience n’est pas au rendez-vous, c’est la souffrance et la
peur qui font progresser!
Merci beaucoup pour tout ce que vous faites! c’est très gentil de votre part
Merci Nicole des encouragements!
salut je suis E.J Pelege, merci pour l’article
C’est un plaisir 😉
Bonjour Hannah,
Tu connais ma passion pour le décodage biologique alors, évidemment, j’ai littéralement bu ta lecture de l’anorexie. J’ai connu, lors de séminaire, des guérisons spectaculaires, y-compris de cette maladie parce que, pour une fois, les mots qu’on mettait sur le mal-être de la jeune femme en question prenaient du sens…
Merci et à bientôt !
Bonjour Bernadette,
Oui le décodage biologique fait des petits miracles sur
certaines personnes. Dans un prochain article, je publierai
un récit sur la guérison d’une femme anorexique justement
grâce au décodage, tu as des antennes ou quoi?
D’ailleurs tout ce qui touche à la nourriture est ton rayon!;-)
Bonjour Hannah,
Voilà un bon titre accrocheur! J’ai été marqué par l’épisode ascétique de la vie de Bouddha qui, malgré toute sa sagesse, renonce à son jeûne. Est-il devenu obèse ensuite, puisque c’est comme ça qu’on le représente? Avait-il un conflit d’abandon avec sa mère…?
Cet article fait bien le point en tout cas sur les comportements anorexiques et boulimiques; ça me fait penser que les médecins s’accordent à penser, en général, que ces maladies ont des causes psychologiques.
Je le ressortirai de ma poche au moment opportun…pour des médecins récalcitrants:
« Ah oui, le cancer du …… n’a pas de causes psychiques, alors que la boulimie et l’anorexie en ont, pouvez-vous m’expliquer cela? »
A bientôt
Daniel
Bonjour Daniel,
Je te rassure, le bouddha bedonnant n’est pas la même
personne, ce n’est pas Siddharta Gautama. Il n’a pas versé
dans la version boulimie!
Bien évidemment, ces deux pathologies ont des causes psychologiques
et il ne suffit pas de réapprendre à manger à une anorexique
pour la guérir!
Ah? C’est qui alors cette représentation?
Le Bouddha rieur au gros ventre vient du folklore chinois du 10ème siècle. Son vrai nom est « Pu-tai » en Chine et au Japon « Hotei ».
on l’appelle aussi le bouddha Maitreya. Il est censé être une future réincarnation du Bouddha.
Donc rien à voir avec Siddharta Gautama à part qu’ils sont éveillés tous les deux.
Bonjour Hannah,
C’est tout à fait le cas pour moi.
C’est la première fois que j’entends parler de biologie totale.
Je suis aussi étonné que les problèmes d’anorexie soient autant liés aux rapports mère-enfant.
Je n’avais jamais songé à ce point de vue.
Alors que bien souvent, on associe l’anorexie à la gente féminine.
Je suis assez curieux de lire ton prochain article sur le cas masculin en ce qui concerne l’obsession d’un corps parfait.
Bonjour Jean-Charles,
Il y a des hommes aussi qui développent une anorexie mentale
mais ils sont moins nombreux que les femmes. Tu ne seras pas déçu
par la pathologie des hommes obsédés par le corps!
Avant d’être Bouddha, Bouddha n’était pas Bouddha !
Et Sidarta Gautama n’était pas anorexique, seulement ascétique par idéal de pureté.
Heureusement pour lui, il en est revenu :-))
Pour embrasser l’Unité dans laquelle est toute chose.
Normal, bouddha voulant dire « éveillé ».
C’est d’ailleurs en explorant la piste de l’ascétisme
qu’il a su pourquoi brimer le corps ne pouvait amener
à l’éveil.
Bonjour Hannah,
Un présupposé de la PNL est : « Tout comportement est généré par une intention positive ». En l’occurrence le comportement qui consiste à maigrir à l’extrême l’est aussi. Encore faut-il comprendre quelle est cette intention. Comme elle se situe au niveau inconscient, l’hypnose peut sans doute apporter des réponses. Je regarderai dans un bouquin de protocoles d’hypnose au chapitre « anorexie ».
Amicalement.
Bonjour Jean,
Je ne connaissais pas ce présupposé de la PNL mais je suis 100% d’accord.
On choisit toujours ce qui fait souffrir le moins et donc on se positionne
du coup dans une intention positive même s’il s’avère qu’elle est mortelle.
Bonjour Hannah,
J’avais lu ton article une première fois il y a quelques temps, mais sans pouvoir regarder la vidéo… ce que je viens de faire ce matin, tout en relisant entièrement ton article extrêmement juste et bien documenté.
J’ai une fille de 21 ans, Manon, qui a traversé une période anorexique de septembre 2012 à janvier 2013, suite à un choc amoureux (c’est important de le préciser car c’est presque toujours le déclenchant chez les jeunes filles).
Il s’agit, en effet, d’une maladie mentale qui a des ramifications tentaculaires.
Ce choc amoureux a réactivé avec violence la séparation causée par la mort de son père lorsqu’elle avait 8 ans (terriblement amaigri par le cancer) et le deuil non fait.
En tant que mère, je me suis reconnue dans tes propos. Avant de faire un travail sur moi, j’ignorais l’impact que mes conflits pouvaient avoir sur mes enfants et tout ce que je leur demandais inconsciemment de porter à ma place. J’ai ressenti un sentiment de culpabilité doublé d’une énorme impuissance.
Manon et moi avons réagi immédiatement. Elle a demandé à se faire aider et moi, de mon côté, j’en ai fait autant.
A sa demande, je l’ai aussi accompagnée en séances de thérapie. Nous avons aussi eu des séances avec mon autre fille. Dans ce type de maladie, c’est toute la famille qui est concernée.
Progressivement, le travail aidant, Manon a recommencé à s’alimenter et à laisser la balance de côté… Et elle a rencontré l’amour en janvier.
J’apporte ce témoignage pour encourager les personnes confrontées à ce problème à démêler l’écheveau des conflits qui ne peut mener, à court , à moyen ou à plus long terme, à la guérison.
Merci Hannah pour l’aide que tu m’as apportée.
Bonjour Roseline,
C’est un peu grâce à ton histoire que j’ai écrit cet article.
Il me semblait que je lisais beaucoup de flou sur les causes
de la maladie.
Tous les parents ne sont pas aussi conscients que le problème
de leurs enfants les concerne aussi ainsi que leur propre enfance.
C’est de toutes façons un sujet douloureux qui touche à de grosses
blessures puisque l’issue peut être fatale.
Remettre la maladie dans un contexte systémique familial me parait
vraiment la porte royale vers la guérison.
Bonjour
La personne que vous avez en illustration de « troubles alimentaires », souffre de lipoedème. C’est une maladie héréditaire qui n’a rien à voir avec l’obésité. On voit très bien que le haut de son corps bras buste n’a pas du tout la meme corpulence que la partie basse: bassin, membre inférieur. Cette personne pourrait devenir anorexique; alors le haut de son corps deviendrait celui d’une anorexique, tandis que son bassin et ses jambes continueraient à etre celui d’une obèse. Je trouve cette photo inadéquat, d’autant que cette personne doit déjà se culpabiliser. Je vous remercie de votre attention.
Bonjour Manon,
Vous avez sans doute raison pour sa pathologie mais sa souffrance reste
identique.
Je n’ai aucun jugement ni pour l’une ni pour l’autre.
Je sais personnellement ce que sont les troubles alimentaires
et mon propos est de dénoncer la souffrance qui se cache derrière
et comment on peut commencer à moins souffrir.
C’est une photo internet toute faite qui montre un contraste
non pas pour se moquer (ou alors vous n’avez pas lu l’article)
encore moins pour culpabiliser mais juste pour montrer une réalité
souffrante. Je sais que ce n’est facile à regarder et je n’ai pas eu
l’intention dans cet article de faire du sensationnel visuel.