Decouvrez le B. A. BA du lacher prise

lacher prise 50Lâcher prise, pourquoi faire?

 

Cette semaine j’ai décidé d’innover et de vous faire partager mes citations favorites. Pourquoi j’ai choisi le lâcher prise ? Parce que, pour faire suite à mon article sur l’année 9, c’est vraiment ce dont il est question cette année.

 

Lâcher prise n’est pas si simple, d’abord parce que vous ne savez pas toujours ce que vous tenez, ensuite parce que vous ignorez si c’est bien cela qu’il faut lâcher!

 

Il est important de se souvenir que ce que vous tenez est de l’ordre du non-conscient. Si vous saviez que vous le tenez, vous l’auriez déjà lâché!

 

Je n’arrive pas à retrouver un fabuleux dessin de Jodorowsky où on aperçoit un chevalier très fier de lui portant dans ses bras un dragon et au loin en haut de la tour la princesse avec l’épée dans le coeur.

 

Voyez qu’on se trompe souvent de sujet pour lâcher prise !

 

Donc nous avons affaire à un terme pas facile à comprendre. Je me souviens d’une femme qui m’avait fait un soin sur un salon et qui me disait:

 

« C’est tendu, il faut que tu lâches prise« …mais lâcher quoi ? Si je demande de l’aide, ce n’est pas pour m’entendre dire qu’il faut que je lâche !

 

Donc je vais vous parler de ma version du lâcher prise dans cet article, celle dont vous aurez sans doute besoin tout au long de cette année 9!

 

Et comme certains me l’ont demandé ardemment « est ce que tu pourrais faire des articles moins longs que j’aie le temps de les lire ?» je vais voir si partir d’une citation me rend moins loquace !

 

Écrire est ma passion, sans doute que mon ascendant gémeaux y est pour quelque chose. En fait j’écris toute la journée quand je ne suis pas en train d’enseigner, d’avoir des rendez-vous ou de peaufiner ma formation couleurs on line.

 

Au hasard de mes promenades sur le web, je suis tombée (sans me faire mal) sur une citation de Péma Chödron.

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Péma Chödron  et le lâcher prise

 

Péma Chödron est une petite bonne femme américaine qui ne paye pas de mine (éveillée tout de même) et qui a commencé une vie normale avec un mari et des enfants jusqu’à ce qu’elle devienne une nonne bouddhiste avant ses 40 ans.

 

Elle vient d’une lignée bouddhiste que j’affectionne particulièrement : la lignée Shambhala du bouddhisme tibétain, crée par Chögam Trundpa Rimpoche, maître réincarné, reconnu comme tel avant ses 2 ans par le 16 ème Karmapa.

 

Chögam Trungpa (je vous en ai déjà parlé) est le premier maître tibétain à avoir fondé un centre de pratique bouddhiste en occident et qui a crée le concept du « matérialisme spirituel » en observant les pratiques spirituelles occidentales.

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Maître très controversé, c’est lui qui a incarné la « folle sagesse » qui dépassait de très loin les enseignements bouddhistes mais c’est surtout celui qui a su parler aux occidentaux de leur mental (ce qui n’est pas rien!)

 

Peu d’enseignants avant lui s’étaient intéressés aux facéties du mental occidental, c’est vraiment une des particularité de l’école « Shambhala » dont Péma Chödron fait partie. Elle enseigne aujourd’hui au Canada.

 

Shambhala est un joli nom mythique mais vous ne pouvez pas vous y rendre car ce n’est pas un lieu géographique. Sa traduction en sanscrit : « lieu de bonheur paisible ».

 

C’est un royaume ou plutôt une terre promise plus intérieure qu’extérieure. Certains ont voulu en faire un lieu paradisiaque dans l’Himalaya c’est d’ailleurs le thème du film Shangri-la.(Lost horizons) datant de 1934 et réactualisé en 1973.

 

Vous pouvez trouver les 2 versions sur Utube mais en anglais: https://youtu.be/ep-MDwjnehg. Voici le début de l’intrigue: lors d’un accident d’avion, une équipe découvre une lamaserie en plein cœur de l’Himalaya. Et même si la musique est un peu « has been », c’est tout de même un grand classique en matière de spiritualité.

 

Pour en revenir à Péma Chödron, voici ce qu’elle nous enseigne :

« Nothing ever goes away until it teaches us what we need to know. »

Péma Chödron

 

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« Rien ne s’en va qui ne nous ait enseigné ce que nous avions besoin d’apprendre ».

 

Je trouve que cette citation sur le lâcher prise a le mérité d’être claire ! Alors, si vous n’arrivez pas à lâcher prise, c’est sans doute parce que c’est la situation qui vous tient. C’est pourquoi je vous ai concocté un petit « process » en 3 étapes :

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1ère étape du lâcher prise

 

La première étape consiste à regarder ce qu’il y a dans votre vie et qui ne vous convient pas. En général, vous n’aurez pas de mal pour cette première étape.

 

C’est peut être une réalité financière, une relation, l’absence de relation, un travail, une absence d’occupation, la hiérarchie, un collègue, un trop peu de clientèle, un lieu d’habitation, une maladie, un handicap, votre corps, un membre de votre famille etc…

 

A quoi reconnaissez-vous que cela ne vous plaît pas ? Parce que vous avez immédiatement tendance à vouloir vous en débarrasser au plus vite (ou à en guérir très vite). Autrement dit, vous aimeriez bien lâcher la situation mais rien n’y fait, elle vous tient !

 

Vous ne mettez pas le lâcher prise au bon endroit ! La situation en question est venue à vous car vous l’avez attirée. Elle restera là tant qu’elle vous sera utile même si votre égo n’aime pas.

 

Péma Chödron vous rappelle que si vous n’avez pas encore intégré les enseignements de ce « caillou dans votre chaussure », il ne s’en ira pas tant que vous n’aurez pas appris la leçon qu’il vient vous enseigner.

 

Ceci est valable aussi pour les maladies, les accidents et les drames : la vie sait ce qu’elle fait. Même si ces situations sont difficiles, elles portent en elles un enseignement pédagogique qu’il vous faut trouver.

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2ème leçon de lâcher prise

 

Accepter que c’est une réalité dans votre vie. Vous pensez que ça va de soi ? Vous savez que vous y êtes confronté mais vous ne voulez pas que ça en fasse partie.

 

Vous créez une forme de barrière magnétique entre vous et ce qui vous dérange en espérant une cohabitation sans vagues. Pourtant cela vous réveille au milieu de la nuit. C’est le sujet N°1 que vous partagez avec vos amis ou votre famille.

 

Vous vous plaignez certes, mais cela ne dit rien de votre capacité à accepter que ce soit comme cela pour le moment. En fait, vous avez créé un raccourci rapide entre « ce truc est dans ma vie » et « ça ne me plaît pas ».

 

Vous avez l’impression que si vous dites « oui, j’accepte que ce soit là dans ma vie pour le moment », le problème va s’incruster à vie et vous ne pourrez plus jamais vous en débarrasser sous prétexte que vous avez dit « oui «  un jour.

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Or personne ne vous demande d’être d’accord, juste accepter que cela fasse partie de votre vie pour le moment.

 

Qu’est ce qui m’a permis de faire cette différence entre « accepter » que cela fasse partie de ma vie et « être d’accord »? L’arrivée de 8 petits Barzoïs à la maison !

 

Je vous rappelle les faits…Le jour de mon webinaire de lancement de ma formation couleurs (à la seconde même où il s’est terminé), un hurlement nous a fait nous précipiter dans le jardin.

 

Drôle de coïncidence tout de même, au moment où je lançais mon premier « bébé », le chien (âgé de quelques mois seulement ) venait, de prendre la chienne et même si nous avions du mal à le croire, 2 mois plus tard, naissaient 9 petits barzoïs qui se sont transformés en 8 viables.

 

Tout fut problématique depuis le début ! C’est cela une mémoire. La naissance fut terrible, mais certainement pas aussi terrible que la mienne…;-)

 

J’avais vraiment l’impression que j’avais accepté que ce soit dans ma vie mais à plusieurs reprises j’ai bien vu que je me battais avec l’acceptation.

 

Lorsqu’il a fallu couper notre nuit en 2 pour veiller les petits barzoïs afin qu’ils ne se retrouvent pas écrasés par la mère en pleine nuit, j’ai franchi un nouveau seuil d’acceptation: puisqu’ils étaient, là, notre job c’était de nous en occuper.

 

Lorsque la mère s’est retrouvée à la clinique car cette naissance avait failli lui couter la vie (une autre mémoire), il a fallu nourrir les petits chiens au biberon plusieurs fois pendant la nuit…il a fallu ouvrir encore à plus d’acceptation.

 

En rentrant de Thaïlande, avec un regard neuf sur les petits chiens, j’ai mesuré combien ils étaient adorables et combien c’était une bénédiction dans notre vie.

 

MAIS…, car il y a un mais.

 

Je n’arrivais pas à me réjouir totalement car j’étais parasitée par une angoisse : que va t-on faire de ces 8 petits chiens et va t-on arriver à leur trouver un foyer accueillant?

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En fait, la peur anticipatoire prenait le dessus et m’empêchait littéralement d’apprécier l’instant présent avec eux. J’ai compris que l’acceptation, c’était aussi cela, accepter l’angoisse de leur devenir et travailler toutes les émotions que cela réveillait en moi.

 

Je me disais qu’avoir des enfants aurait généré le même type de mémoire pour moi. Comment être totalement présent à son enfant quand on a peur qu’il meure la nuit ou lorsqu’il prend l’avion quand il est grand ?

 

Comment être dans l’acceptation totale de son enfant quand on a peur qu’il ait de mauvaises notes, qu’il rate son bac ou qu’il ne sache pas comment s’orienter pour son futur métier ?

 

Vous comprenez que accepter c’est ne pas donner raison à ses peurs. Là où il y a de le peur, il n’y a pas d’amour ni d’acceptation.

 

Vos peurs vous appartiennent (en partie) et n’ont rien à voir avec la situation qui vous embête. Elles étaient déjà là avant que la situation ne les réveille. C’est votre job de les travailler, pas de vous inquiéter! N’oubliez pas qu’il y a TIPI ( technique d’identification des peurs inconscientes) pour cela!

 

Cette 2ème étape du lâcher prise n’est pas si simple et si elle n’est pas en place, il n’y aura pas de 3 ème étape donc pas de lâcher prise !

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3 ème étape : tirer la leçon de l’expérience

 

Trouver l’enseignement de la situation problématique. C’est peut-être la plus difficile et souvent il est bon de se faire donner un petit coup de pouce par quelqu’un.

 

Vous pouvez déjà pour poser 4 questions fondamentales :

 

a) Qu’est ce que cette situation m’oblige à faire ? Sans doute quelque chose que j’ai besoin d’apprendre.

b) Qu’est ce que cette situation m’empêche de faire ? Sans doute quelque chose que j’ai besoin de sentir.

c) Qu’est ce que je ressens dans cette situation ?

d) En quoi tout cela pourrait-il bien parler d’une situation du passé (le mien), celui de ma famille ou celui d’un ancêtre en particulier?

 

J’ai discuté récemment avec une femme qui venait d’acheter un bien dans un village loin de là où elle habite avec la conviction qu’elle avait fait une énorme bêtise.

 

Si elle décide de le lâcher, c’est à dire le revendre, sans tenir compte de l’enseignement de Péma Chödron, il y a de grosses chances  pour que le bien ne se revende pas…

 

… Pas avant d’avoir compris l’enseignement de cet achat. Pour d’autres, l’enseignement c’est de sentir ce que cela leur fait vivre que de ne pas pouvoir vendre leur maison.

 

C’est incroyable comme la matière a cette faculté de pouvoir nous enseigner (l’argent aussi!). Encore faut-il pouvoir décoder !

 

Je vous raconterai comment, avec les couleurs j’ai décodé l’enseignement des petits chiens et comment, du jour au lendemain, ils ont trouvé un lieu sympathique pour vivre. Il en restait 4.

 

La logique aurait voulu qu’ils partent un à un. Mais la résolution de mémoire ne se fait pas comme cela. Dès que l’enseignement pédagogique est intégré, la mémoire disparaît quasiment en un instant!

 

Je vous rappelle la signification de « pédagogie »: aptitude (qu’a la Vie) à enseigner une expérience ou un savoir par une méthode appropriée. Tant que vous doutez de la qualité « pédagogique » de la vie, vous allez avoir du mal à lâcher prise.

 

Je vous livrerai tout cela le mois prochain dans une série de vidéos pour vous expliquer comment on peut utiliser les couleurs pour décoder les enseignements de la vie.

 

Dès que vous avez digéré ce que votre mémoire avait à vous apprendre, elle se résout d’elle-même et là, vous savez que vous avez lâché prise !

 

Pari tenu pour la longueur du texte 😉 Voici 2 autres articles qui pourraient vous intéresser sur le lâcher prise et sur Chögyam Trungpa:

 

Pourquoi les moines se marient?

Comment lâcher prise dans les relations en 9 étapes?

 

Et vous, avez-vous cette expérience de lâcher prise ? AImeriez-vous comprendre les enseignements d’une situation encore non résolue ? Laissez un commentaire !


Hannah

63 commentaires

  1. GAGNON le 22 janvier 2016 à 16 h 22 min

    bonjour
    très intéresant
    beaucoup d’angoisse arthrose ect stress je fais du gi qong soomothies le matin
    la peur de la maladie peur de pas m,en sortir de grande peur
    merci de nous aider je vais écouter tout cela merci
    peggy



    • Hannah le 22 janvier 2016 à 23 h 55 min

      Bonsoir Peggy,
      Les peurs peuvent aussi se traiter différemment, il n’est
      pas question de lâcher prise sur une peur sans rentrer
      dedans.
      Je vous conseille les articles sur TIPI que vous trouverez
      dans la rubrique « techniques de guérison »
      https://www.new.forme-sante-ideale.com/articles/



  2. JACQUELINE le 22 janvier 2016 à 17 h 34 min

    Bonjour Hannah
    merci pour cet article très intéressant sur le lâcher prise, et en effet je me rends compte que je ne savais pas comment m’y prendre pour lâcher prise d’une situation ou autre.
    tu expliques qu’il faut comprendre ce que cette situation ou autre nous apprend pour pouvoir s’en débarrasser ensuite. si je comprends bien tout ce qui peut nous arriver dans la vie de bien ou de moins bien n’arrive pas là par hasard.
    amitié
    Jacqueline



    • Hannah le 22 janvier 2016 à 23 h 41 min

      Bonsoir Jacqueline,
      Oui c’est l’idée et cela aide à se détendre avec la situation.
      Il suffit de trouver l’enseignement et le problème s’en va
      comme il est venu, et le plus surprenant c’est qu’on arrête
      de le nommer un problème!



  3. Severine le 22 janvier 2016 à 19 h 27 min

    Merci pour cet article, il est arrivé exactement au bon moment. C est surtout la serie des 4 questions qui m a fait comprendre ce dont j avais besoin aujourd’hui. Et ta façon de relier chaque question a un besoin de ressentir par exemple. ..
    Perso j aime bien ta façon d ecrire et tes articles sont simple, pertinent et toujours profond tout en étant accessible.



    • Hannah le 22 janvier 2016 à 23 h 51 min

      Merci Séverine
      C’est extra d’avoir ta réponse rien qu’avec les questions.
      N’hésite pas à donner ton exemple (si c’est partageable),
      cela peut vraiment aider d’avoir des exemples concrets.



  4. Cindy le 22 janvier 2016 à 23 h 26 min

    Bonjour Hannah,

    C’est la cigarette dont j’aimerais me débarrasser dans ma vie ! J’ai l’intention de me sevrer petit à petit mais avec l’aide de votre article, je comprends maintenant qu’il va falloir commencer par l’accepter. Ensuite, il faudra que j’analyse pourquoi j’en ai encore besoin, voir ce qu’elle m’apporte et ce qu’elle veut m’enseigner.

    Merci beaucoup pour votre article car c’est un sujet vraiment important pour nous tous je crois !

    Bonne nuit,
    Cindy



  5. Hannah le 22 janvier 2016 à 23 h 56 min

    Bonsoir Cindy,
    Une dépendance enseigne toujours quelque chose de fondamental:
    c’est la gestion d’un stress (dont on ignore tout) à reconnaître et à travailler.
    Tant qu’on ne travaille que sur la cigarette à arrêter, on tente d’éliminer
    la gestion du stress au lieu de s’occuper du stress!
    C’est un peu comme si on dégommait le détecteur de fumée parce qu’il
    fait du bruit.
    Si ça fait du bruit, c’est qu’il y a le feu quelque part…et on ne sait pas où.
    Je ne dis pas qu’il ne faut pas arrêter de fumer. Seulement arrêter sans
    se préoccuper du feu qui flambe ailleurs va faire ressortir le stress d’une autre
    façon.



  6. Nadia le 23 janvier 2016 à 6 h 55 min

    Bonsoir et merci pr cet article riche et très intéressant à l’issue duquel je me retrouve avec plein de questions et a priori au moins 2 domaines à travailler, à savoir l’absence de relation sentimentale et mon regard sur mon corps…Mnt comment faire ? That is the question… En effet, savoir décoder les situations est essentiel pr comprendre où le bât blesse de façon à trouver LA solution pr être plus en harmonie.
    J’attends donc, avec patience, la suite… 😉



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 28 min

      Bonjour Nadia,
      Lorsqu’on n’a pas de relation, il faut chercher
      du côté des bénéfices secondaires.
      ou alors une partie de moi essaie d’éviter une relation pour des
      raisons bien précises.
      Ou alors c’est la vie qui me propose de travailler les émotions
      liées à la solitude et le manque de soutien.
      Dans les 2 cas dès que je comprends je peux travailler dessus
      pour que la part de moi qui en veut pas de relation ne prenne
      pas entièrement le contrôle de ma vie.



  7. mona le 23 janvier 2016 à 14 h 07 min

    bonjour Hannah
    j’attend toujours tes articles avec impatience, la vie est pleine de bonnes et mauvaises choses, on ne peux pas tout controler, on peut passer un deuil sans probleme, mais une naissance peut tout basculer dans nos vie, je pense le secret c’est savoir ses limites, savoir de quoi on est capable, ne pas faire plaisir au autres, je suis comme je suis, pas comme les autres veulent me voir, les parents la famille la société aussi exigent beaucoup de performance, mais les gens ne sont pas tous les memes, chaqu’un a ses capacité, des seuils a ne pas depasser, et cela demande beaucoup de courage de sagesse, et de sacrifices, mais a la fin on gagne la sérénité, et on ce moment la qu’on peut savourer la vie, quand ont se detache des choses supperflus, beaucoup de choses peuvent nous procurer le bohneur, le sourire des enfants, la chaleur du soleil, la nature, la musique, un bon thé ou un bon tajine avec la famille 🙂
    merci Hannah
    mona
    limonasblog.wordpress.com



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 25 min

      Merci pour ton témoignage Mona, je dis souvent que parfois
      on devrait se réjouir du départ de quelqu’un car rejoindre son Esprit
      doit aussi être une belle aventure.
      Comme tu le dis on pourrait aussi pleurer à al naissance parce
      incarner un corps terrestre, ça va pas être forcément du gâteau pendant les
      90 ans à venir 😉



  8. Sam le 23 janvier 2016 à 15 h 00 min

    Bonjour Hannah
    Merci pour ces explications.Elles éclairent différemment la notion que j’avais du lâcher prise et m’aideront à mieux m’en servir. La peur ne me fait pas peur, quand j’en vois une arriver je prends le temps d’en faire le tour, enfin j’essaie, ça marche pas toujours du premier coup. Depuis l’année dernière je suis inquiète pour l’avenir scolaire, et donc professionnel de mon enfant, son avenir tout court m’inquiète, les temps que nous vivons sont anxiogènes, je suis partagée entre sa protection et son émancipation. Le cocon contre la réalité. IL ressent mon stress et c’est lui qui me dit maman arrête de stresser. C’est mon meilleur remède pour lâcher prise !



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 23 min

      Bonjour Sam

      C’est une bonne chose de savoir affronter ses peurs.
      Lorsqu’on s’inquiète pour l’avenir de son fils, c’est
      souvent l’émergence de quelque chose de notre propre enfance.
      Que s’est il passé pour toi où tu as eu l’impression que la
      vie s’arrêtait?
      On ne stresse que pour des choses personnelles du passé que l’on projette
      dans l’avenir ou l’avenir de nos enfants.



  9. dominique Verin le 23 janvier 2016 à 15 h 59 min

    Bonjour Hannah,
    Félicitations, tu as raccourcis ton article et la synthèse est parfaite, (à mon goût ) .
    BREF, pour ma part, j’ai une soif inestingible de découverte dans l’évolution spirituelle par prises de consciences
    Ceci signifie que je deviens dispersé, et ainsi j’arrive à la procrastination ,car j’ai trop de sujets en route qui sont importants, j’ai un peu de mal à les hiérarchiser, alors je tourne en rond. Dans ce cas le lâcher prise semble plutôt un refuge et non un moyen, que faire?
    Merci Hannah
    pour tes réflexions si inspirantes et si profondes.
    Dominique.



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 19 min

      Bonjour Dominique,
      D’après mon expérience, lorsqu’on cherche inconsciemment à noyer
      le poisson par beaucoup de dispersion et de la procrastination, c’est
      qu’il y a un seul sujet essentiel qu’on essaie de ne pas aborder.
      Demande toi ce qui te vient à l’esprit en premier…



  10. Annie le 23 janvier 2016 à 17 h 59 min

    Bonsoir,

    Merci pour ce nouvel article.
    je viens de noter les questions et je vais voir comment j’arrive à y réponde, je trouve cette façon de procéder très pertinente et cela me plait bien de tenter l’aventure… je souhaite un vrai lâcher prise dans plusieurs situations… qui me réveillent la nuit !

    bonne soirée

    Annie



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 18 min

      Bonjour Annie,
      Tu peux venir écrire les résultats de ton investigation comme
      l’a fait une autre « Annie ».



  11. Annie le 23 janvier 2016 à 20 h 25 min

    Bonjour hannah,

    Difficile parfois de comprendre. Depuis mercredi soir,j’ai une douleur coté droit avec démangeaisons et ça me brûle. Je n’ai pas de position même pour dormir. C’est venu brutalement, j’ai consulté peut être un zona ou musculaire, j’avais pensé la même chose sauf que la douleur est si forte alors que je fais de la résistance aux médicaments, je dois en prendre pour me soulager.
    parfois il faudrait un décodeur.

    Bon weekend

    Annie



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 13 min

      Bonjour Annie,
      Si ça brule, c’est qu’il y a une inflammation.
      Une inflammation, c’est l’expression d’une colère qu’on peut
      commencer à regarder puisque le corps est touché.
      Il faut que tu explores ce qui s’est passé ces derniers temps
      avant l’apparition des symptômes.
      On peut décoder aussi avec les couleurs mais tu peux déjà avoir
      pas mal de réponses avec ces pistes.



  12. Severine le 23 janvier 2016 à 21 h 33 min

    Coucou, tu m as demandé de donner un exemple concret alors voilà: ma fille fait de la gym, beaucoup d heure semaine, mais elle s est fait une entorse aux 2 genoux! Oui elle ne s est pas ratée comme on dit! Mais au delà de la peine que j avais pour elle, je ressentais une immense tristesse comme si c était moi qu on avait privé de gym pour les mois a venir. Je bloquais dessus et tournais en rond dans ma tête sans pouvoir me raisonner. C est ta question : qu est ce que cette situation me fait ressentir? Qu’ est ce que je dois ressentir? qui m a fait tilt! Quand j avais 11 ans on m a interdit de faire de la gym. Ça a toujours était mon rêve et je l ai toujours regretté mais je ne m etais jamais autorisée a ressentir l émotion. J ai été tres triste. Vraiment tres triste. C est ce que j ai compris grace a ton article grâce a cette question et maintenant je peux remonter le moral de ma fille. Voila j ai essayé de résumer. Courage a tous.
    Severine



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 16 min

      Bonjour Séverine
      C’est du bon travail! Il est possible que ta fille
      ne soit pas aussi affecté que ça à propos d’être
      privé un certain temps de gym.
      C’est son corps aussi et elle demande une pause.
      Par contre si tu reprends ta douleur, elle souffrira moins.
      On peut dire symboliquement que ta fille en avait assez de porter une
      émotion familiale et c’est sa façon à elle de s’en débarrasser.
      Même si c’est désagréable pour le moment elle va sentir un véritable
      soulagement de ne plus porter la mémoire.



      • Severine le 25 janvier 2016 à 11 h 25 min

        Oui je crois que tu as raison. Merci pour tout.



  13. Magalie le 24 janvier 2016 à 8 h 40 min

    Bonjour Hannah,

    Pour ma part, la longueur de tes articles ne me gêne pas bien au contraire 😉
    De mon côté, tout est fluide en ce moment, je demande je reçois. Je m’émerveille de la facilité déconcertante des choses.
    Après, la question de ma contribution au monde et surtout la forme qu’elle doit prendre demeure. J’étais déjà angoissé à 5 ans, à l’adolescence c’était le summum mais maintenant à 30 ans elle revient en force et je n’ai plus « d’excuses ». L’incertitude voilà ce qui caractérise ce questionnement/ Expérience. Si je lâche prise sur ça, alors cela ne voudrait il pas dire renoncer? Renoncer à mon unicité?
    Merci pour cet article.

    Bien à toi,
    Magalie



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 09 min

      Bonjour Magalie
      A 30 ans c’est un peu normal de ne pas savoir comment contribuer au monde.
      D’abord il faut prendre conscience qu’on est en survie.
      Puis faire quelque chose pour quitter la survie et la peur.
      La phase qui suit est une phase où on se sent plus intensément
      vivant. Il faut du temps pour que l’expérience du vivant se transforme en
      expertise qui profitera au monde. D’abord il faut apprendre à profiter
      de la vie, ce qui n’est pas une mince affaire!



  14. Antoine le 24 janvier 2016 à 9 h 43 min

    Bonjour,

    En fait les 4 questions pour…changer de regard, sur la situation …!?!?? qui elle peut demeurer, mais avec un autre regard ne reste plus une situation difficile à vivre ?
    S’il suffit de « … trouver l’enseignement, et le problème s’en va », ta réponse à Jacqueline, le problème physique s’en va, ou le regard sur le problème s’en et la situation, dans sa tête, ne demeure plus problème, même si la situation ne change pas ?
    ces 4 questions me semblent plus être l’expression d’une « vision intérieure » de son environnement , ce qui n’est évidemment pas rien
    si cette situation « m’oblige » à aimer, quelque chose que je n’aime pas, le serpent se mord la queue combien de temps ? sans doute, un certain temps, à supposer il est vrai, que j’arrive vraiment à le définir.



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 06 min

      Bonjour Antoine,
      Les 4 questions aident à rentrer à l’intérieur plutôt que de croire
      qu’on est confronté à un problème qui n’est qu’extérieur.
      Là où tu as raison, c’est que l’enseignement peut durer plusieurs années (cf moi et le sommeil)
      Tant que le problème reste c’est que le fond de la racine du trauma n’a pas encore
      été touché.
      Pour les cas lourds (comme moi) c’est le caillou dans la chaussure qui me dit qu’il ne
      faut pas arrêter le nettoyage. Je suis d’accord que le travail sur soi c’est pour les
      marathoniens plus que pour les sprinteurs. Mais bon c’est ça ou être mal toute sa vie,
      ce serait dommage. Il ‘est pas question d’aimer ce qu’on n’aime pas mais d’accepter que
      ce soit pour un certain temps dans notre vie.



  15. francesca le 25 janvier 2016 à 9 h 20 min

    Bonjour et merci pour cet article.
    Le passage de la dame qui n’arrive pas à vendre sa maison m’interpelle… mon ex et moi voulons vendre un appartement… qui a du mal à partir et ça nous fous dans la m….
    Même si je me rends compte que cet achat était une erreur, je n’arrive pas à lâcher, et de plus nous sommes deux à vouloir qu’il parte alors forcément, peut-être que c’est plus compliqué au niveau des énergies, les siennes et les miennes…

    Merci pour votre fraicheur dans la rédaction des articles
    Bonne journée à tous



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 40 min

      Bonjour Francesca,
      Il y a plein de raison bien sur pour lesquelles une maison
      ne se vend pas.
      Tout d’abord, une maison c’est un toit donc une sécurité
      une mère protectrice par analogie. Quitter la maison peut
      nous ramener à l’insécurité dans la relation à la mère
      lorsque nous étions petits.
      Le cerveau sait que lâcher cette sécurité va propulser dans un
      vide qu’il ne se sent pas capable de gérer.
      Parfois il faut se demander pourquoi on veut vendre la
      maison, pour aller où? Quel est le projet?
      S’il ya quelque chose de pas réglé à propos du projet futur,
      on ne peut pas lâcher l’ancien car trop d’incertitude.
      ET tu as raison, c’est valable pour les 2 qui veulent lâcher la maison.
      Un 3 ème cas, c’est celui où la maison a servi à élever les
      enfants. On craint inconsciemment qu’en vendant la maison,
      on va être privé de la visite de ses enfants… tu vois
      il y a de quoi réfléchir…



      • Francesca le 25 janvier 2016 à 13 h 23 min

        Merci pour ta réponse Hannah,
        Là il s’agit d’un appartement dans lequel nous n’avons jamais vécu, c’était pour faire un « investissement ». Nous avons divorcé depuis. Parfois je me dis que cet appartement nous relie encore, mais non ce n’est pas ça…
        Cet appartement me fait « pitié » ! personne n’en veut ! il n’a pas au final la valeur que nous lui avions accordée… parfois je me dis que ni mon mari ni moi ne méritons de récupérer l’argent qu’il nous coûte encore… il y a encore une histoire d’argent là dessous c’est sûr…

        Merci pour ces pistes.



        • Hannah le 11 février 2016 à 21 h 35 min

          Bonsoir Francesca
          Ce serait intéressant de savoir ce que vous projetez sur
          cet appartement quand vous dites « il me fait pitié ».
          Qui faisait pitié dans votre histoire?
          tant que vous ne savez pas ce que représente cet appartement,
          vous n’avez pas la possibilité de le « dégager » en l’améliorant par exemple
          pour pouvoir le vendre.



          • Francesca le 25 février 2016 à 10 h 54 min

            Bonjour Hannah
            C’est moi qui me fais pitié ! et mon ex encore plus ! lui qui voulait frimer en disant qu’il avait investi… mais oui la pitié, c’est dingue, je me fais pitié… c’est marrant juste avant de lire votre réponse, je me dévalorisais encore concernant une situation que je vis actuellement… je me fais pitié, mon comportement me fait pitié… j’ai l’impression parfois de ne pas avoir de « valeur »…. De valoir moins que rien, même si je ne le pense pas toujours…. L’appartement à mon image…..
            Merci 



            • Hannah le 7 mars 2016 à 9 h 21 min

              Bonjour Francesca
              Oui il est certainement question de votre valeur.
              Si vous ne l’avez pas construite c’est que personne
              dans votre enfance ne vous a rassuré sur votre
              valeur.
              Faire pitié, c’est le regard que certaines personnes
              ont eu pour vous au lieu de vous tenir la main pour franchir des
              difficultés.
              Résultat, aujourd’hui vous portez ce même regard sur
              vous-même.
              L’appartement est le rappel de cette mémoire. Vous avez
              besoin de la nettoyer , c’est ce que cet appartement vous propose.
              Lorsque ce sera fait vous pourrez vous poser la question
              de comment le renre plus attractif.



  16. Nathalie le 25 janvier 2016 à 10 h 31 min

    Bonjour Hannah
    Merci pour ton savoir sur les bouddhistes,
    je suis admirative de tes connaissances à ce sujet



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 47 min

      Bonjour Nathalie,
      J’ai passé pas mal de temps avec eux, sans compter les nombreux
      voyages au Laddakh et dans les pays bouddhistes. Une vieille
      histoire karmique sans doute. Quand j’avais 20 ans je n’avais
      qu’une idée en tête, trouver un maître au TIbet!
      Je ne l’ai pas trouvé dans l’Himalaya, par contre lorsque je
      suis tombé sur un livre dans un monastère bouddhiste français,
      j’ai compris que c’était l’homme que je cherchais. Il était mort,
      je l’avais raté…façon de parler. Je parle du maître en question dans cet article:
      https://www.new.forme-sante-ideale.com/dilgo-khyentse-joyau-bouddhisme-tibetain/



  17. Christian le 25 janvier 2016 à 10 h 32 min

    Bonjour Hannah,
    Est ce que répondre aux question suffit pour
    qu’on puisse lâcher prise?



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 42 min

      Bonjour Christian,
      Non bien sur, c’est un début.
      Cela peut t’amener à trouver le thème
      de ta difficulté. Après tu peux revenir pour
      pousser un peu plus loin si tu le désires.



  18. Alice le 25 janvier 2016 à 10 h 34 min

    Bonjour,
    J’ai un conflit avec ma sœur depuis Noël
    et je n’arrive pas à lâcher prise. ça me prend la
    tête la nuit et je ne vois pas de solution possible.



    • Hannah le 25 janvier 2016 à 10 h 41 min

      Bonjour Alice,
      Derrière un conflit à la soeur, il ya souvent
      un conflit larvé à la mère qui n’a pas pu
      s’exprimer.



  19. Diane le 26 janvier 2016 à 15 h 49 min

    Bonjour Hannah,

    Ton article est très intéressant ; je sais déjà que rien n’arrive par hasard, mon problème est plus de trouver « l’enseignement » ; ce n’est pas toujours facile, quelque fois c’est clair et d’autres fois ardu. Je vais le relire et prendre des notes pour le garder sous la main.
    Je voulais aussi faire un commentaire sur l’article année 9 car j’ai tardé à le lire :
    en fait j’ai démarré cette année avec enthousiasme car je suis « singe » en astro chinoise et c’est l’année du singe donc normalement c’est un bon présage. J’ai lu avec attention ton article et j’espère avec bonne intention que ça sera enrichissant ; en effet la précédente année 9, c’était en 2007 et j’ai eu un cancer du sein. Est-ce que tu penses que les 9 années précédentes (la façon dont j’ai vécu) a pu être la raison du déclenchement de cette maladie ? Je pense que oui mais peut-être moins que 9 ans. Au lieu de m’effondrer j’ai accepté ce qui était et finalement ça m’a permis d’apprendre plein de choses.



    • Hannah le 11 février 2016 à 21 h 43 min

      Bonjour Diane,
      Je suis d’accord avec toi, l’enseignement est la chose la plus difficile
      à trouver.
      Si tu as eu ce cancer en année 9, il est bien possible qu’il se soit
      déclenché un ou 2 ans plus tôt.
      Tu connais la symbolique, « conflit du nid » en rapport souvent avec
      un membre de la famille ou l’impression d’être dépossédé d’un lien.
      Lorsque la maladie se déclare en année 9 c’est que c’est le moment
      du nettoyage.
      Il y a plein de façons de nettoyer en année 9 et je vois que tu as bien
      intégré le message.



  20. Taugry le 29 janvier 2016 à 8 h 05 min

    Quel bel article ! Merci

    Cependant j’aimerais savoir comment je peux faire avec mon fils de 5 ans ?

    Il n’a jamais fait une nuit entière depuis l’age de ses 18 mois. Il se réveille constamment, jusqu’à 5/6 fois par nuit… il dit qu’il a peur à chaque fois, il fait des cauchemars et j’en passe. Nous avons essayer beaucoup beaucoup de chose mais en vain !



    • Hannah le 31 janvier 2016 à 20 h 24 min

      Bonjour,
      Je comprends qu’avec un enfant ce soit difficile.
      J’imagine que vous avez consulté tous les osthéopathes de la terre,
      suivi la piste des parasites, des intolérances alimentaires.
      Un enfant peut aussi vivre certains aspects de l’inconscient
      de ses parents. Vérifier aussi que la maison est clean en matière
      de géobiologie. a t’il toujours dormi dans la même chambre?



      • taugry le 2 février 2016 à 11 h 00 min

        Bonjour, merci de votre réponse.

        Oui nous avons suivi toutes les médecines de la Terre 🙂
        Je suis moi même allé en thérapie pour voir si je transmettais pas des choses de mon inconscient et ou de mon enfance… Parler avec ma femme de son enfance et de voir ce qu’elle pouvait elle aussi transmettre…
        Le résultat est le même

        il n’a pas toujours dormi dans la même chambre. Nous avons commencer a le prendre dans notre chambre quand il a commencé à avoir de très forte constipation, à l’age de 18mois. Il vomissait le repas du midi à 22h le soir (il fallait que ça sorte par un endroit). ensuite nous avons déménagé 2 fois. Il a continué a dormir avec nous, c’était la facilité pour nous (les nuits étaient très compliquées, et des tensions se créées entre ma femme et moi).
        depuis 2 ans nous avons décidé qu’il ne dorme plus avec nous, mais il continu à venir toutes les nuits (pour des cauchemars, pour boire, pour un câlin etc..) Nous essayons aussi d’être plus ferme et d’imposer des règles, mais même s’il les respecte, il se réveille quand même !



        • Hannah le 11 février 2016 à 21 h 51 min

          Bonsoir,
          Je reste persuadée que les enfants portent des mémoires
          transgénérationnelles.
          C’est le genre de mémoire que je nettoie avec Ho’oponopono
          surtout lorsqu’il n’y a en apparence aucune solution.
          Cela permet de commencer à dégager les freins et il n’est
          pas rare que nous commencions alors à attirer les bonnes personnes
          qui peuvent donner un réel coup de main pour avancer.



  21. marie le 29 janvier 2016 à 17 h 49 min

    un problème d’insomnie suite à une maladie rare nous empêche mon mari et moi de vivre harmonieusement,
    une heure trente de sommeil par nuit …..une grande fatigue et un découragement se sont installés difficile de vivre normalement….nous avons essayés en vain de trouver une solution,le lâcher prise revient sans cesse,mais comment faire pour y arriver… J’ai lu ton article avec beaucoup d’intérêt mais j’aurai besoin d’aide pour y voir plus clair…..merci pour tous tes articles.c »est mon mari qui souffre d’insomnie et je me sent impuissante face à cette situation….



    • Hannah le 31 janvier 2016 à 20 h 21 min

      Bonjour Marie
      Ton travail a toi c’est d’identifier les émotions que cela réveille
      en toi d’avoir un compagnon de vie qui vit découragé… le travail de
      ton mari c’est apprendre à se ressourcer dans la journée.
      c’est un symptôme que je connais sur le bout des doigts moi
      qui dormais une nuit complète par mois. Tout se travaille, aucun symptôme n’est
      là qui n’oblige pas à faire un travail profond, l’insomnie
      n’échappe pas à la citation de Péma Chodron.



  22. Dorian le 2 février 2016 à 16 h 57 min

    Coucou Hannah,

    Que de belles sagesses.
    J’adore cette image du caillou dans la chaussure.
    Si le caillou est toujours là malgré tous nos efforts, c’est qu’il n’a pas finit de nous apprendre ce que l’on devait en tirer 🙂

    Bises !
    Dorian



    • Hannah le 7 mars 2016 à 9 h 14 min

      Bonjour Dorian,
      ça me rappelle une histoire où un personnage biblique se plaint parce qu’il la une écharde dans la chair. Il a prié Dieu de lui retirer et Dieu a répondu: : Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse.
      C’était l’evangile du lundi matin 😉



  23. Helene le 2 février 2016 à 21 h 32 min

    Bonsoir Hannah,

    Toi faire court ? Je n’en ai pas eu l’impression dans ce nouvel article. Pas grave.
    Compris la notion du lâcher prise. Enfin, je crois.
    Par exemple : j’avais prévu mon lancement de formation pour on va dire… fin d’année 2015 puis pour janvier 2015… Puis pour février… Les aléas de la vie m’emmènent sur d’autres chemins qu’il me faut accepter. Est-ce cela lâcher prise ? Faire son possible ne suffit pas. Lâcher prise demande l’acceptation d’évènements incontrôlables de notre volonté. Faire de son mieux, programmer, organiser… Lâcher prise veut aussi dire accepter les évènements comme ils se présentent, comme une opportunité à choisir d’autres chemins. Ou tout bonnement à accepter ce que la vie… Bon j’arrête, tout est dis.
    Merci Hannah.



    • Hannah le 11 février 2016 à 21 h 17 min

      Bonsoir Hélène,
      Je suis d’accord avec toi, lâcher prise c’est
      aussi savoir s’adapter à l’imprévu.
      Lancer une formation c’est une grosse entreprise…
      je sais de quoi je parle!
      Ce n’est peut-être que partie remise.



  24. Nathalie le 3 février 2016 à 0 h 48 min

    Ooooh lalaaaaa, ces 4 questions sont fantastiques !
    Merci Hannah pour ce partage au sujet des petits chiens… 😉
    Gros bisous



    • Hannah le 11 février 2016 à 21 h 06 min

      Coucou Nathalie,
      J’appelle ça une grosse mémoire ces petits chiens…;-)



  25. Astrid le 17 février 2016 à 23 h 03 min

    Bonsoir Hannah,
    Merci pour cet article et à tous pour vos partages.
    Je suis moi aussi en quête de compréhension alors que ma vie semble partir en miettes : couple, enfants, sentiment d’être bafouée, désastre immobilier tout en étant attachée à la maison, problèmes de dos… Et puis l’idée que je me fais mettre dehors d’une situation qui ne me convenait pas mais dont je ne parvenais pas à sortir. Il reste que le chemin est long et que j’ai le plus grand mal à me mettre en mouvement et prendre des décisions. Oui au lâcher prise et à la prise de conscience. Malheureusement, la vie nous contraint parfois à avancer bien qu’on ne puisse pas bien voir le chemin.
    Bien cordialement.



    • Hannah le 19 février 2016 à 16 h 18 min

      bonjour Astrid,
      C’est un peu le propre des années 8 et 9, finir le nettoyage
      sans avoir une vue bien nette de la suite.
      Première étape, et là Ho’oponopono peut aider c’est d’être
      au clair avec la situation; C’est ce qui est même si vous ne
      savez pas encore pour quelles raisons tout cela se passe.
      posez-vous la question essentielle: en quoi tout cela pourrait-il
      être bénéfique pour moi?
      C’est le constat que l’on fait des années après un évènement. Vous pouvez
      gagner beaucoup de temps en vous posant cette question maintenant ou en
      vous faisant aider pour y répondre.
      Dès que vous serez OK avec , c’est ce qui est, il doit y avoir une raison,
      votre taux vibratoire va se modifier.



  26. Astrid le 20 février 2016 à 9 h 30 min

    Merci, Hannah, pour cette réponse qui me parle (nettoyage) même si je ne connais pas Ho’ponopono ni ce qu’une modification de taux vibratoire implique.
    Bonne journée 🙂



    • Hannah le 7 mars 2016 à 9 h 05 min

      Bonjour Astrid,
      Vous trouverez pas mal d’articles sur ce blog à propos de Ho’oponopono.
      Votre taux vibratoire est votre vibration, votre énergie, votre luminosité;
      Parfois nous n’atteignons pas nos objectifs parce que notre rayonnement
      n’est pas suffisant.
      Il existe des techniques pour augmenter le rayonnement et l’énergie, la méditation en est
      un par exemple.



  27. Emmanuelle le 11 mars 2016 à 9 h 13 min

    Je suis de plus en plus émerveillée en lisant tes articles, c’est le deuxième en deux jours, je me sent soudainement très bien après avoir lu tes propos
    Un français facile, on s’y retrouve d’une manière ou d’une autre et ta manière de voir les choses est tellement positive qu’on se dit mais oui!
    Merci et bon weekend à tous



    • Hannah le 16 mars 2016 à 20 h 43 min

      Merci Emmanuelle, un joli commentaire…



    • Hannah le 29 mars 2016 à 4 h 01 min

      Bonjour Emmanuelle,
      Je ne sais pas si je suis positive mais ce qui
      est certain c’est que je suis vraie 😉



  28. Astrid le 24 juillet 2016 à 9 h 24 min

    Merci Hannah pour votre éclairage et vos conseils 🙂
    Je trouve votre seconde réponse aujourd’hui (!) alors que le mouvement est enclenché, même si la vision à terme est toujours floue (ce qui n’est pas très agréable…). Le nettoyage a lieu aussi ! C’est long et ça cogne parfois…
    Je suis surprise de voir que vos mots sont précis et justes sans être vraiment au fait de la situation. Bravo. Merci encore 🙂



    • Hannah le 27 juillet 2016 à 14 h 28 min

      Il n’est pas facile en ce moment
      d’avoir une vision à long terme…on
      est plutôt dans la navigation à vue et je
      suis d’accord avec vous, ce n’est pas
      confortable



  29. Astrid le 28 juillet 2016 à 20 h 19 min

    Bonsoir Hannah,
    Merci pour cette réponse. Avez-vous des conseils ou suggestions à me proposer ? Merci !