Amour inconditionnel : etes vous vraiment honnete en amour ?

Demander et l’amour inconditionnel
Il ne faut pas demander. C’est l’info que vous recevez petit. Ce sont les parents qui décident, tout doit venir à vous, il ne faut rien demander.
L’amour inconditionnel (supposé) a une condition: apprendre à ne pas avoir de besoins.
Au départ, il est sous entendu : « ne te roule pas devant les caisses du magasin, si je veux t’acheter un bonbon je le ferai mais tu ne dois pas demander ».
Pourquoi pas finalement puisqu’il est inclus dans les gènes maternels que la mère a une montée de lait quelques minutes avant que son bébé ait faim.
Si elle est totalement en osmose avec son bébé, elle devine ses besoins avant qu’il ait le temps de faire des demandes. C’est effectivement ce qui lui est proposé: l’amour inconditionnel.
Seulement voilà, cela nécessite de la mère une totale présence à ce qu’elle ressent. Malheureusement ce n’est pas toujours le cas.
Entre ses soucis au travail, vos frères et sœurs, ses contrariétés familiales et sa relation de couple, maman, n’est pas toujours présente.
Il ne faut pas demander, certes, mais si vous attendez que ça vienne, ça risque d’attendre encore longtemps!.
Vous grandissez avec cette double injonction : « Je vais m’occuper de toi, tu n’as pas à demander » et « débrouille toi tout seul si tu vois que je ne suis pas disponible ».
Il est normal que dans votre vie d’adulte vous ayez gardé quelques stigmates de l’enfance : ce n’est pas bien de demander.
Vous transposez dans vos relations affectives l’adage, « tu dois savoir mieux que moi ce qui est bon pour moi et je ne devrais pas avoir à te demander ».
Le « bazar relationnel » commence. Contrairement à l’idée reçue, en tant qu’adulte, si vous avez un besoin, vous devez l’exprimer. L’amour inconditionnel de l’autre ne passe pas par répondre à vos besoins sans que vous ayez à les formuler.
L’autre n’est pas devin, il doit déjà gérer ses besoins, il n’est aucunement responsable de la satisfaction des vôtres.
Que se passe t-il si vous ne faites pas de demandes ?
Vous supposez que l’autre sait, doit savoir et, sous prétexte de ne pas l’importuner avec votre demande, vous êtes dans l’exigence tacite qu’il sache ce dont vous avez besoin.
S’il ne répond pas à votre besoin non formulé, vous êtes soit dans le reproche, soit dans un repli stratégique. On est toujours très loin de l’amour inconditionnel!
Résultat, maintenant qu’il connaît votre besoin puisque vous lui avez jeté à la figure, il va l’honorer dans un compromis affectif parce qu’il ne veut pas être abandonné ou mal aimé.
Il ne le fera d’ailleurs qu’à moitié parce qu’il ne se sent pas libre de ses choix et de son timing. Vous retrouverez la vaisselle ébréchée et vous déciderez que vous le faites mieux toute seule.
Si vous êtes claquemuré dans un coin parce que votre besoin non-dit n’est pas satisfait, il va se culpabiliser ou s’en ficher et cela fera de lui un être parfaitement égoïste à vos yeux.
Tout cela pour ne pas avoir exprimé votre souhait ou votre besoin. La facture est salée au bout du compte!
Ne pas nommer ses besoins, ce n’est pas du soin pour ne pas embêter l’autre, c’est ne pas être honnête ! Il y a toujours un risque : que l’autre dise non ! Au moins vous savez à quoi vous en tenir. Dans l’amour inconditionnel, vous ne pouvez pas vous attendre à avoir toujours des « oui »!
Si, au contraire, vous faites une demande claire, vous apprenez à vous mettre dans l’énergie du plaisir d’être aidé et soutenu.
Plutôt que de disparaître dans les lattes du parquet quand vous avez un service à demander, faites comprendre à votre ami(e) que cela vous ferait grand plaisir que ce soit lui ou elle qui vous donne un coup de main.
Vous offrez ainsi à l’autre une chance d’exercer sa générosité ou sa franchise s’il ne peut pas. Vous vous apprêtez à vivre le plaisir de recevoir. Par contre, vous devez aussi vous attendre à un refus possible.
L’amour inconditionnel ce n’est pas tout recevoir
Voici une petite histoire sur donner et recevoir. A méditer pour entretenir une bonne relation avec soi-même: une histoire de don et de réception. Vous verrez que l’amour inconditionnel, ce n’est pas toujours ce que vous croyez.
Près de Tokyo vivait un grand samouraï, déjà âgé, qui se consacrait désormais à enseigner le bouddhisme Zen aux jeunes. Malgré son âge, on murmurait qu’il était encore capable d’affronter n’importe quel adversaire.
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Un jour arriva un guerrier réputé pour son manque total de scrupules. Il était célèbre pour sa technique de provocation : il attendait que son adversaire fasse le premier mouvement et, doué d’une intelligence rare pour profiter des erreurs commises, il contre-attaquait avec la rapidité de l’éclair.
Ce jeune et impatient guerrier n’avait jamais perdu un combat. Comme il connaissait la réputation du samouraï, il était venu pour le vaincre et accroître sa gloire.
Tous les étudiants étaient opposés à cette idée, mais le vieux Maître accepta le défi.
Il se réunirent tous sur une place de la ville et le jeune guerrier commença à insulter le vieux Maître. Il lui lança des pierres, lui cracha au visage, cria toutes les offenses connues – y compris à ses ancêtres. Pendant des heures, il fit tout pour le provoquer, mais le vieux resta impassible. A la tombée de la nuit, se sentant épuisé et humilié, l’impétueux guerrier se retira.
Dépités d’avoir vu le Maître accepter autant d’insultes et de provocations, les élèves questionnèrent le Maître :
« Comment avez-vous pu supporter une telle indignité ? Pourquoi ne vous êtes-vous pas servi de votre épée, même sachant que vous alliez perdre le combat, au lieu d’exhiber votre lâcheté devant nous tous ?
-Si quelqu’un vous tend un cadeau et que vous ne l’acceptez pas, à qui appartient le cadeau ? demanda la samouraï.
-A celui qui a essayé de le donner, répondit un des disciples.
– Cela vaut aussi pour l’envie, la rage et les insultes, dit le Maître. Lorsqu’elles ne sont pas acceptées, elles appartiennent toujours à celui qui les porte dans son coeur. «
Contrairement à toute attente, c’est aussi cela l’amour inconditionnel. Le maître est dans l’acceptation de ce qui est : quelqu’un qui l’insulte, c’est ce qui est.
Pas besoin de se battre avec la réalité de l’instant. Il y a toujours une confusion lorsqu’il est question de dire oui à tout.
Vous avez l’impression qu’il faut tout accepter, tout encaisser sans riposter. Si vous avez besoin de réagir ou de vous défendre, c’est que vous vous êtes pris pour le centre de la cible.
En ne réagissant pas, il laisse son adversaire s’exprimer, donc il se donne par la même occasion le droit d’exister aussi.
Attention, le maître ne se ferme pas, il reste ouvert à un échange possible même si le monologue ne le permet pas.
Cette permission, à elle seule, rend la relation fluide. Le seul détail c’est qu’il n’est pas obligé de recevoir ce qui lui est donné.
Transposez cela dans vos relations familiales : êtes-vous bien certain(e) de donner à l’autre le droit d’exister même si son point de vue est différent du vôtre ?
N’êtes-vous pas tenté de « secouer » un peu les membres de votre famille lorsque leur comportement vous insupporte ?
Et vos enfants, prenez-vous le temps d’accepter totalement ce qu’ils manifestent avant de leur proposer une stratégie plus adéquate « selon vos critères »….hérités du système de valeurs de…vos parents…ou de l’inverse de vos parents !
Amour inconditionnel ou syndrome de la mère juive
« Après tout ce que j’ai fait pour toi »
Certains parents sont sur-protecteurs. Ils ont l’impression qu’une fois qu’ils ont endossé leur rôle de parent, leur vie ne leur appartient plus. Ils sont, selon eux, entièrement dévoués à la cause de leur enfant.
Ils veulent que leurs enfants les appellent parce qu’ils s’inquiètent lorsqu’ils sont à l’étranger. Il faut leur téléphoner dès qu’on est rentré même si c’est à trois kilomètres de leur maison.
Ils passent 3 heures chaque soir à faire réciter les devoirs. Bref, ils en font toujours trop, et tout le temps. Il est impossible de repartir de la maison sans emporter un panier de victuailles.
La « mère juive » attend que son enfant rentre, même s’il a plus de vingt ans avant d’aller elle même se coucher.
Vous connaissez tous cette caricature du parent concerné qui vous demande encore à trente ans ce que vous avez mangé et vous donne des conseils de séduction pour votre rendez-vous galant.
Ils culpabilisent leurs enfants de ne pas faire ce qu’ils demandent et se plaignent de ne pas avoir assez de nouvelles.
Le plus terrible c’est qu’ils sont persuadés que l’amour c’est avoir peur pour l’autre.
Pourtant, la réalité est toute autre : la peur qu’ils ressentent à l’idée qu’il pourrait arriver quelque chose à leur enfant est complètement projective et leur appartient.
C’est la forme qu’ils ont donné à leur angoisse et qu’ils font peser sur leurs enfants. Au fond d’eux bien sur, ce sont leurs propres peurs d’enfant et vous savez maintenant que, grâce à la technique Tipi, ces peurs peuvent même dater de leur vie intra-utérine.
Avec leurs incessantes questions, ces mères ou pères semblent vraiment attentionnés. Ils seraient mortifiés s’ils acceptaient l’idée que aimer ce n’est pas se faire du souci.
Dans la réalité, que fait ce parent ? Il fuit souvent ses propres ressentis et s’absorbe totalement dans l’autre, son fils ou sa fille.
Il n’arrête pas de donner des conseils, des directions, bref, tout ce qu’il n’a pas reçu. Il se répare mais, ce faisant, il passe à côté de son enfant.
Il ouvre le placard de ses frustrations d’enfant et déverse sur sa progéniture tout ce qui lui aurait fait plaisir à lui.
Lorsque c’est le cas, les enfants s’arrangent pour aller vivre à mille kilomètres de leurs parents qui ne comprennent pas pourquoi tout à coup cette distance.
Les enfants, de leur côté, attendent désespérément que l’on s’adresse à eux véritablement. Ils se sentent envahis par des objets, de la nourriture ou des recommandations qui ne parlent pas d’eux.
Ils revendent sur ebay les cadeaux de Noël qu’ils reçoivent et qui ne correspondent pas à leur goût. A croire qu’ils n’ont pas vécu sous le même toit. Ils s’étonnent que leurs parents en sachent si peu sur eux.
Alors est-ce véritablement du don ? En apparence oui mais ce parent n’est pas vraiment honnête. Il cache sous le tapis de l’amour et de l’affection son mal-être personnel qu’il n’ose affronter.
Cet amour qui se veut inconditionnel coûte cher : en agacement pour l’enfant, en incompréhension pour le parent qui ne saisit pas pourquoi il vit le rejet…après tout ce qu’il a fait pour ses enfants !
Et le cycle continue, vous faites à vos enfants l’inverse de ce que vous avez reçu de vos parents pour être certain de ne pas les faire souffrir.
Ce faisant, vous leur donnez la vie que vous auriez aimé avoir mais pas forcément celle dont ils ont besoin et dont vous ignorez tout.
Vous les sécurisez là où ils auraient besoin d’être houspillés. Vous les négligez là où ils auraient vraiment besoin d’aide.
Les parents rigides font des enfants baba-cools qui ne veulent pas leur ressembler. Les soixante-huitard font des futurs PDG hyper responsables en costume trois pièces. Les super sérieux font à leur tour des enfants fainéants qui ne s’inquiètent pas pour leur avenir.
Les conflits de génération se perpétuent au nom de l’amour qu’on croit donner. Les parents disent « avec tout ce que j’ai donné » et les enfants répondent « je n’ai rien reçu qui parle de moi ».
N’allez pas imaginer que cela ne concerne que les conflits de générations. Vous n’êtes pas à l’abri de succomber au syndrome de la mère juive dans une relation de couple !
L’amour humanitaire ou amour inconditionnel
Je ne cherche pas à culpabiliser les parents. Il y a de fortes chances que vous vous reconnaissiez en tant que fils ou fille de vos parents ou dans le modèle d’éducation de vos enfants.
Mon intention est simplement de clarifier ce que vous prenez pour de l’amour, voire de l’amour inconditionnel afin d’être plus conscient(e) des enjeux cachés dans les relations.
Derrière l’amour inconditionnel, on sous-entend souvent les œuvres humanitaires. Qui n’a pas rêvé d’aller donner un coup de main pour la construction d’une école au Vietnam ou faire bénévolement une campagne de vaccinations au cœur d’un village africain ?
C’est effectivement un remarquable don de soi. Avant d’aller offrir votre cœur à des inconnus, vérifiez d’abord si vous avez réussi à instaurer des relations fluides autour de vous et avec vos proches.
En tant que parents, vous pouvez aussi sans le savoir, projeter l’amour inconditionnel à l’extérieur de votre foyer.
C’est le cas pour les métiers du soin médecins, infirmières… de l’éducation, des métiers d’aide comme assistante sociale, leader spirituel etc…
Vous passez un temps infini à vous occuper de soigner les autres, à leur apporter de l’attention, à éduquer la terre entière.
Êtes-vous vraiment capable, cependant, de vous rendre compte de la misère affective ou de la souffrance des êtres qui vivent sous votre toit ?
Que vit un enfant qui voit son parent s’occuper mille fois mieux des autres que de lui-même ? Pourquoi est-ce si difficile de s’entendre avec ses parents ou avec ses enfants ?
Parce que les enfants portent les mémoires inconscientes et les conflits non résolus de leurs parents.
Ce n’est pas toujours agréable d’avoir à la maison un rappel de vos propres souffrances d’enfant, surtout si vous cherchez à les oublier !
Vous êtes vous aussi porteurs de l’inconscient de vos parents, celui dont ils n’ont pas toujours pris le temps de s’occuper.
Vous portez leurs deuils non faits, leurs espoirs anéantis, les blessures qu’ils cachent, sans compter leur insécurité et leurs peurs.
Pas facile la vie de famille !
Je vous propose à ce sujet une petite vidéo qui nous vient d’Asie, dans des contrées où le culte des parents et des ancêtres est une valeur indestructible.
Je ne vous en dis pas plus, c’est bourré de bons sentiments sur le don, l’altruisme, les bonnes œuvres et l’amour inconditionnel pour son prochain.
Je vous demande juste de la regarder au second degré, même si au premier degré, vous êtes touché. Cherchez où est le bazar !
Vous pouvez essuyer votre petite larme. Je ne remet pas du tout en cause l’amour inconditionnel du brave petit papa.
Par contre, il me semble qu’en tant que père, bien qu’éducateur de bonnes valeurs, il soit légèrement à l’ouest.
Il n’a pas l’air de se rendre compte de la morosité de son fils. S’il y a bien une chose qu’il n’a pas réussi à lui transmettre, c’est l’amour.
Laisser grandir son fils dans une forme de mépris et de haine sans avoir une véritable conversation n’est pas la preuve d’une éducation réussie. La vidéo commence ainsi :
» Je n’aimais pas mon père, Il était pauvre et looser. Il ne faisait que bosser comme un malade pour récolter des fonds, je ne le trouvais pas intelligent. »
De toute évidence, l’amour ne règne pas dans le foyer. Il y a un parti pris contre l’enfant ingrat.
A quoi cela sert-il de découvrir un homme vertueux après sa mort ? A le rendre un peu plus coupable de ne pas avoir été capable de rentrer en relation avec son père ?
C’est certain que ce père aime son enfant, peut-être même d’un amour inconditionnel comme celui qu’il porte à tous les autres enfants de la terre.
Mais à quoi bon puisque son fils ne le sent pas ! Les bonnes oeuvres ne peuvent pas se substituer aux difficultés relationnelles de la maison.
Je passe sous silence la violence qui lui est faite lorsqu’il découvre le billet « tu seras un grand homme » et comprends qu’il ne s’adresse pas à lui !
Sans chercher à donner des leçons de catéchèse, ce concept de la veuve et de l’orphelin à protéger ne me semble pas non plus à prendre au premier dégré.
Il est plutôt question de l’orphelin en vous ! Cette partie de vous-mêmes qui ne s’est pas sentie épaulée par un parent et que vous ne voulez pas rencontrer.
La veuve et l’orphelin sont les parties souffrantes et miséreuses de votre être dont vous ne voulez pas entendre parler ! Quant à les aimer….
Alors, toujours aussi tranché dans « il vaut mieux donner que recevoir ? ». Il ne suffit pas de donner mais plutôt de savoir dans quel état !
Lorsque vous donnez ce que vous aimeriez recevoir, n’êtes-vous pas en train de noyer votre frustration dans le don ?
N’êtes-vous pas en train d’éviter de faire une demande ? Est-ce que ce que vous donnez est bien ce dont l’autre a besoin ?
Si vous êtes aux prises dans votre famille avec:
- un(e) conjoint(e) exigent(e)
- un parent ingérant et envahissant
- un enfant ingrat ou qui vous repousse
Ce n’est pas le moment de prendre une grande respiration et de sortir votre cape d’amour inconditionnel sous peine de l’encourager dans son fonctionnement.
1°) Tout d’abord, sentez l’agacement, la peur ou la tristesse vous gagner
2°) Ne faites pas comme si de rien n’était, ce ne serait pas honnête
3°) Nommez votre difficulté si cela est possible ou quittez la scène du drame pour vous recentrer.
4°) Lorsque vous êtes à l’abri, écoutez votre petit « moi » qui souffre ou s’agace et demandez-lui ce qu’il aimerait vivre à la place.
5°) Si c’est de la douceur, de l’échange, du partage, du respect qu’il demande, offrez-lui en. Soyez une bon parent pour ce petit « moi » en difficulté.
6°) C’est aussi le moment de pratiquer un peu la méthode Ho’oponopono si vous voulez commencer à nettoyer la mémoire qui se met en travers de vos relations proches.
7°) C’est là que commence l’amour inconditionnel : envers vous-même. Quel que soit l’état du petit « moi », acceptez-le sans le juger.
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Il y a de fortes chances pour que vos relations avec les autres s’améliorent. Ils sont là pour vous montrer à quel point il est difficile de s’aimer soi-même.
Comment pouvez-vous envisager d’avoir des relations fluides honnêtes avec vos proches si vous ne commencez pas par vous-mêmes ?
Je vous propose, pour clôturer ce chapitre sur l’amour inconditionnel et la vision limitée que vous en avez parfois, de regarder une toute petite vidéo qui ramène l’amour à sa juste place dans le monastère. Désolée pour la pub ;-(
Qui donne et qui reçoit ? Y a t’il vraiment une différence si fondamentale entre les deux ? L’amour inconditionnel ne tient pas les comptes!
Et vous, êtes-vous à l’aise avec demander? Donner? Recevoir ?Laissez un commentaire

Magnifique !
Chère Hannah, on en revient toujours à cette problématique, c’est clair….
Je me rends compte qu’avec les années, j’ai appris à…demander ce que je voulais.
Hé ouiiiii, avec ce raisonnement si bien décrit au début de votre article, je ne demandais jamais rien (du reste, quand j’étais enfant, je n’avais jamais le peu que je demandais, eh ! alors j’ai fini par ne plus rien demander du tout !).
J’ai constaté avec une grande surprise que….les autres pouvaient accéder à ma demande !
Que les autres pouvaient être surpris que je demande ça, car ils n’en avaient ….aucune idée !!! (pas devins, c’est bien ça).
Du coup, en avançant sur mon petit bonhomme de chemin, j’ai appliqué cette méthode à mes enfants…qui savent demander ce dont ils ont besoin, et finalement, tout le monde est gagnant.
J’ai quand même encore du travail dans cette voie, mais je compte bien continuer dans le bon sens : le mien ! tout le monde y gagne, en fin de compte.
Et c’est là qu’il faut mettre au placard cette fichue éducation judéo-chrétienne : s’occuper bien de soi n’est pas de l’égoïsme ! ça permet de mieux s’occuper des autres ensuite (chéri(e), enfants, etc….), c’est tout bénéf !
Bonjour Annick,
Merci de votre témoignage.
On peut retenir de cette éducation; « charité bien ordonnée commence
par soi-même ». Les vrais principes qui font grandir l’humain sont
aussi dans les textes sacrés, il n’y a que les humains ( (parfois ce
sont nos parents 🙁 )qui les détournent ou n’en comprennent pas la profondeur.
Bonjour Hannah ,
Comme vous étes de Gap ,
Jean-Michel di Falco Léandri,
né le 25 novembre 1941 à Marseille ,
j’admire Monseigneur
Jean-Michel Di-Falco , Evèque de Gap et les 3 prètres
Moi , l’Amour est celui que j’ai reçu depuis ma naissance ,
en Février 1940 , en effet , j’ai été Ondoyé et
Baptisé , ma Grand-Mère Paternelle ( Veuve de guerre ) ,
était Gouvernante d’un Prètre ( membre de ma famille ) ,
de ce fait mon Education a été particulièrement stricte ,
ma formation catholique :
————————
j’ai suivi le Catéchisme ( caté )
j’ai été Enfant de Choeur
j’ai été à Coeur Vaillant ( rien d’impossible )
puis la Jeunesse Ouvrière Chrétienne ( JOC )
ma Famille du coté de mes parents et moi-mème ,
se compose :
des Catholiques
Musulmans
Juifs
ainsi que de NOBLES , nous sommes ,
de la BOURGEOISIE
************************************
à propos de ces trois Religions reconnues en
France et dans le MONDE , je précise :
Jésus-Christ est le Roi des Juifs
et Chef de l’Eglise Catholique
la Vierge-Marie est vénérée
par le Saint-Coran-Musulman ( lire les 114 Sourates ),
*************************************************
Remarque :
delfosse a dit , je le cite , il en faut peu de nos jours
pour ètre anti-JUIFS ( je le cite bien entendu ),
le PEUPLE JUIF a subi la SHOAH
( extermination par les nazis ),
puis les camps de concentration et ,
les chambres à gaz ,
*************************************************
monsieur delfosse a dit , que Jésus-Christ , avait reussi
( je cite delfosse ) , l’exploit de naitre dans un Pays où ,
les Gens ont pour prénom , mohamed , hamed etc … ,
et ( je cite toujours ) , et que Jésus-Christ a pris comme
12 apotres , Pierre , Paul , Mathieu , Jean etc … ,
Bonjour Gérard,
Vous avez remarqué que cette vidéo a été faite dans le
but d’éduquer des chrétiens. il n’y a rien à dire sur les valeurs
qui sont véhiculées dans la vidéo mais quelques dissonances
que j’ai notées et remarquées dans ces mêmes groupes, à savoir:
on aime son prochain mais on ne connait pas le système de projections
qui nous fait négliger nos proches au profit des bonnes oeuvres.
On encourage la pauvreté sous prétexte que les pauvres ont plus de coeur
et d’amour que les riches.
Selon moi, il y a la névrose qui court à tous les étages de la société.
Ce sont nos blessures du coeur qui font des ravages, pas l’argent qu’on
possède et la réparation se fait par la conscientisation des blessures
personnelles, pas forcément par les bonnes oeuvres.
Pour la personne que vous citez, et j’entends que vous avez été blessé,
je peux vous proposer de faire Ho’oponopono, cette forme de réconciliation
peut vous permettre de nettoyer cette mémoire que vous entretenez avec
lui, à votre ainsu.
Bonjour Hannah,
Oh oui, comme on reconnaît nos relations dans ce tableau !
Nos maladresses, nos frustrations, nos incapacités.
C’est vrai que l’on attend et que l’on trouve légitime de recevoir obligatoirement ces marques d’amour !
J’aime bien ton explication de ce que signifie vraiment dire oui à la réalité. Et à notre propre réalité.
Du boulot, encore ! Mais on n’a pas le choix.
Amicalement.
Marie.
Bonjour Marie,
L’amour inconditionnel est vraiment un chemin,
c’est normal qu’on ne réussisse pas du premier
coup!
A part quelques maîtres, je ne connais pas
vraiment de monde qui séjourne longtemps
dedans sans être rattrapé par une mémoire!;-)
Bonjour Hannah
Je me suis bien reconnue dans cet article quand je ne demandais rien à ma moitié au début de notre vie partagée, mais nous étions plus jeunes. Je pense que nous changeons avec les années et maintenant depuis que j’ai découvert bien des choses sur moi, sur la vie, sur l’appréciation de chaque chose, sur le partage, la complicité, avec mon mari nous demandons si nous en éprouvons le besoin, nous communiquons, nous nous aidons. Quant aux rapports avec les enfants, je ne peux répondre car nous n’en avons pas. Merci pour l’article. Jacqueline
Bonjour Jacqueline,
Ceux qui changent sont les gens conscients ou
ceux qui ont été soumis à de douloureuses épreuves.
ce qui est formidable, c’est que, plus on avance en âge
et plus on est nettoyé!
Il y a 2 vidéos dans cet article.
La 1ère est moralisatrice et heureusement que tu mets les points sur les i dans le texte qui suit.
Encore une mauvaise interprétation du sens des mots : être égoïste est généralement décrié. Pourquoi ?
Parce que son sens est détourné et qu’il s’emploi en lieu et place d’égocentrique (je suis le centre du monde, tout part de moi, tout y vient, il n’y a que moi, etc …)
Dans le processus de croissance psychique, la phase égocentrique et « tout puissant » est normale et se situe autour de 2/4 ans
Alors que devenir consciemment égoïste signifie simplement être capable de prendre soin de soi, en fait devenir autonome, condition sine qua non à nourrir des relations harmonieuses.
La 2ème vidéo met en jeu le fait d’assumer les conséquences de ses actes, avec un peu de « faux espoir » au passage, car le chien aurait très bien pu ne pas survivre. Cela n’aurait pas changé la valeur de l’acte du moine.
J’adore le mouvement souple du moine
qui rajoute au kata du Taïchi le lancer de baballe!
Comme souvent, la notion d’équilibre a un rôle central à jouer.
Dans l’amour inconditionnel, comme dans d’autres moments et comportements de la vie.
Si le même est toujours en demande, si l’autre est toujours celui qui donne, cela peut créer une frustration.
De même, tu le dis Hannah, lorsque des parents sont sur-protecteurs et ne cessent « pour le bien » de leurs enfants de leur transmettre ce qu’ils souhaitent mais pas forcément ce que souhaite leur progéniture.
On y revient donc: tout est dans l’équilibre !
Bonjour jean-Luc,
Une journée de la lenteur…c’est la première fois que j’en entends parler 😉
waou quand je lit un tel article ca me rappel a quel point j’ai du boulot a faire.Travail sur moi meme.Tres bel article,j’essayerais d’integrer ces conseil dans ma vie de chaque jour.
Cordialement.
Bonjour Roland,
Nous avons tous du boulot à faire!
Il y en a qui le savent d’autres qui
cherchent à l’ignorer 😉
Hooo merci pour cette article, point sensible a été touché… ne pas oser demander par peur d’un refus… le thème de tout une vie, qui fait encore de temps de petites apparitions. Du coup avec cette analyse et compréhension, je me sens boostée à continuer sur ma lancée et mission de ces derniers jours ou je suis justement dans une période ou je dois demander de l’aide et accepter les refus, même si j’ai eu donnée et que je ne reçois pas le retour.
Ai adoré la vidéo du moine et du petit chien, à trouver un équilibre ou chacun y trouve son compte!
Bonjour Ophélie,
Merci pour ce témoignage, le thème de la
demande est une des sources principales de
désaccord dans les relations. parfois
demander oblige à prendre tous les risques…
Bonjour Hannah,
C’est tout un sujet que celui-là! Car il nous touche tous, de très près ou de loin, en plein coeur. J’ai eu la chance d’avoir ce que tu appelles « une maman juive » dans le sens où son amour était très grand et débordant mais surtout toujours présent en toutes circonstances. Et c’est rassurant de le savoir. Si l’enfance était faite de règles strictes et de gifles retentissantes, elle a été aussi une source de rire, de jeux, de bonheur et de découvertes. Et à l’adolescence, elle a été faite de discussions, de débats, d’une très grande complicité qui perdure entre nous. Et oui, malgré tout, je suis partie à 400km d’abord puis à 7000km ensuite. J’ai élevé ma fille avec le même grand amour mais en essayant de lui donner plus de liberté, en lui permettant de dire (surtout ça de s’exprimer) plus que je pouvais le faire, enfant.
Je pense qu’on élève tous nos enfants avec tout l’amour possible que nous pouvons lui donner et qui comporte ses failles, ses manques et ses souffrances, tout comme nos parents nous ont élevés en nous donnant le meilleur avec leurs propres manques et souffrances.
Si je devais donner une partie de mon corps à ma fille pour lui permettre de vivre, quitte à en mourir, oui je le ferai. Avec toute la souffrance que cela pourrait entraîner parce que j’ai aucune envie de mourir mais si c’était la seule façon de lui permettre, à elle, de rester en vie, je le ferai. C’est la seule façon que je conçoive l’amour inconditionnel.
Avant, j’avais tendance à tout donner sans jamais rien demander en pensant que l’autre connaissait mes besoins et saurait y répondre 🙂 quand je voyais que décidément, il ne comprenait, rien ma solution était la fuite 🙂 je l’ai toujours fait. Jusqu’au jour où j’ai su prendre sans attendre, où j’ai appris à aller vérifier ce que l’autre pensait au lieu d’être persuadée que mes interprétations étaient vraies. ça m’a libéré d’un grand poids et m’a permis de voir que je me trompais souvent à ce niveau-là.
L’engagement est pour moi une vraie source de conflit car il y a toujours une peur immense de perdre cette liberté qui est si importante pour moi. Alors, non, je peux pas dire que je sois une amoureuse idéale mais, dans mon coeur, comme le chante Cabrel « quand j’aime une fois j’aime pour toujours » à part si on me fait du mal, là je mords 🙂 Mais en gros, je ne suis pas vraiment douée pour les relations sociales. J’aime ça, mais pas longtemps, je me sens plutôt comme une ermite, mais ça me dérange de moins en moins 🙂 Souvent, je trouve ça trop compliqué. Après tout, quand on se sent heureux, on ne s’embarrasse pas de toutes ces questions, allons trouvons notre voie vers notre propre bonheur, c’est le meilleur cadeau à se faire, non?
Merci pour ce texte édifiant et somme toute assez dérangeant… chez toi aussi, je suis très bavarde 🙂
Bonjour Cat et merci de ton témoignage vivant.
Je suis persuadée que les enfants sont effectivement
ceux qui nous poussent dans un premier temps vers
l’amour inconditionnel.
Les petits animaux aussi font cela très bien, c’est leur
boulot pour ceux qui ne peuvent pas ou ne veulent pas
faire d’enfants.
Il reste un deuxième temps, lorsque ces enfants ont grandi,
c’est de développer le même amour inconditionnel pour nos
parties qui souffrent et là, le vrai travail commence,
c’est beaucoup plus difficile que ce qui nous était demandé
avec nos enfants.
Et puis il y a une justice, qu’on ait fait ou non des enfants,
il y a ce même travail ultime à faire pour tous.
Bonjour Hannah
J’ai écrit il y a des mois un article sur l’amour inconditionnel car c’est un sujet qui me tient vraiment à cœur, je crois que c’est le chemin le plus difficile à prendre pour nous pauvres humains et effectivement l’amour pour nos enfants me semble le plus facile à pratiquer et ensuite avec les gendres, les brus et finalement tout l’entourage
Long chemin pour y arriver mais pas après pas on y arrive et mes enfants m’acceptent telle que je suis
Les animaux sont ceux qui nous montrent le chemin eh oui dur dur mais la réalité un chien nous donne son amour de façon inconditionnelle, sans se poser de questions, bienheureux toutous (mes chats aussi m’aiment de façon inconditionnelle même si l’on accuse souvent les félins d’être intéressés)
Bonjour Sylviane,
Finalement c’est l’aboutissement de toutes les voies
spirituelles.
Avoir cet amour inconditionnel pour soi est aussi une
étape pas si facile!
Pour ce qui est des chats, je les trouve plus indépendants
qu’intéressés, ils savent ce qu’ils veulent au moins!
Bonjour Hannah,
Depuis que je pratique les principes de la communication non violente et depuis que je sais enfin formuler des demandes mes relations ont changé. Il est certain que pour faire une demande à l autre il faut envisager la possibilité que l autre puisse répondre par la négative. Finalement quand on sait dire non , accepter chez l autre le non ne pose plus de soucis.
Cela offre une vraie liberté et libère des frustrations eventuelles.
On n attend plus que l autre devine nos besoins, on affirme nos besoins. On prend la responsabilité de sa vie en somme.
Merci pour cet article éclairant, à partager sans modération.
À bientôt
Magalie
Bonjour Magalie,
Ce type de communication éthique entre les humains
devrait être enseigné à l’école, on gagnerait du temps!
Cette vidéo de bons sentiments sonne un peu faux
malgré tout, heureusement que vous avez donné
votre interprétation, je respire!!!
Bonjour François,
Autant leurs valeurs sont bonnes, autant le
prosélytisme chrétien peut avoir parfois
des gros sabots et des œillères quant à ce
qui se passe réellement dans le quotidien
de la vie « matière » et émotionnelle.
Bon, je pensais avoir éduqué mes enfants
justement pas comme mes parents…je vais
regarder de plus près ce que j’ai mis
derrière mon éducation.
Bonjour Isa,
C’est le grand piège, faire comme ses parents
ou faire l’inverse de ce qu’ont fait nos
parents, être créatif et pas dans la peur ou
le désir de perfection, c’est une voie
très personnelle.
Cette vidéo du moine prouve que l’amour inconditionnel
n’est pas la première chose qui nous vient à l’esprit.
Si lui n’y arrive pas du premier coup, c’est peut-être
un peu normal que moi non plus.
C’est tout un apprentissage, juste le temps
de remarquer qu’on n’est pas en train d’accepter
ce qui est puis de rectifier tranquillement, sans
culpabilité.
oui !! aimer ce que l’on fait;cequi nous tient à coeur en restant vigilant à notre entourage…être à l’écoute de leurs besoins
Bonjour,
Ce double exercice n’est pas si simple, surtout
lorsque les autres sont très demandeurs.
Bonjour Hannah,
Durant de longues années j’ai mis en cause mon compagnon qui ne me comprenait pas. Aujourd’hui je sais que c’est de ma faute s’il n’allait pas dans mon sens. Je n’exprimais pas mon besoin car je ne voulais pas avoir un refus. Je fais des efforts pour m’exprimer de façon à ce qu’il comprenne ce que je veux mais en lui laissant le libre arbitre.
Ce n’est pas toujours facile car on est dans l’émotionnel. C’est une travail de longue haleine.
Belle et douce journée.
Danièle
Bonjour Danièle,
L’école du couple, la meilleure école qui soit,
très, très exigeante comme école!
Bonjour Hannah ,
Merci pour cet article !
« êtes-vous honnête en amour ? » réponse : NON !
Il me semble que l’Amour que je vis n’est fait que de conditions , tout le temps, avec toutes et tous …
Mon seul champ d’expérimentation de l’amour inconditionnel , où je vibre ainsi , c’est l’amour que je porte à mes enfants : et encore, depuis qu’ils ne sont plus à mes côtés car l’absence rend leur présence exceptionnelle et privilégiée …
Et j’adore les chiens pour cette raison, je crois, ils sont capables de nous aimer quel que soit notre « humeur » du moment !
Pour mes compagnons, c’est vraiment ma grosse difficulté , pas de demandes …donc, pas de retour adéquat à mes attentes silencieuses , donc vaines (en plus d’être des attentes !!! )
……….Bon, ça change pour mes ami(e)s , je pense être en train de les accepter tels qu’ils sont ……..
Bref, je ne m’aime pas de manière inconditionnelle ! Faut aller travailler là-dessus pour commencer !
J’y vais, j’ai du boulot !!!!!!!!
Merci encore
Bonjour Naima,
En prendre conscience c’est déjà énorme.
Avec les compagnons, c’est plus difficile
qu’avec les enfants car les
besoins que nous faisons taire pour nous
occuper de nos enfants se réveillent!.
Bonjour Hannah,
Ne pas demander de bonbons aux parents c’est peut-être frustrant pour un enfant qui a été initié par ses parents à cette nuisance pour la santé et les dents. Les bonbons ne sont pas «bons bons» pour les enfants ni pour personne d’ailleurs. On devrait changer le mot pour «mauvaismauvais».
J’aurais préféré qu’il n’y en ait jamais à la maison lorsque j’étais enfant. J’aurais évité bien des problèmes que je n’étalerai pas ici.
L’amour inconditionnel est un sujet très à la mode de ces temps-ci et j’écoute bon nombre de gens inspirants qui en parlent et j’apprends à en avoir de plus en plus pour moi et pour les autres. L’amour inconditionnel est là. Il suffit de s’ouvrir à lui! Mais je n’en ai pas encore pour les «mauvaismauvais»!
Amicalement,
Sco!
P.S. Et je ne sais pas si le problème est de mon côté, mais ton comment luv indique : «Error. Parsing JSON Request failed. error! not authorized e2ba330e6a». I am not authorized! Sacré comment luv!
Hello Sco!
Très bon le « mauvais-mauvais » mais c’est pas bon pour le marketing,
c’est pas très vendeur, il faut bien faire marcher l’industrie du
sucre et celle des dentistes 😉
C’est formidable de voir que, quoi que les parents fassent, c’est
toujours un peu à côté de la plaque, simplement parce qu’ils ne
savent pas pourquoi ils font ce qu’ils font!
PS J’ai mis toutes mes extensions à jour, tu peux vérifier si le comment luv
fonctionne maintenant?
Merci pour tout ce que vous écrivez,
je viens de passer quelques heures sur votre site.
Bonjour Ben,
Merci du retour 😉
N’hésitez pas à commenter quand vous le sentez.
Être un bon parent, quel chalenge!
Plus je lis vos articles plus je revise
ma position de « bon parent ».
Je pensais avoir tout fait pour mes enfants,
je suis en train de comprendre que ça ne suffit pas.
Bonjour Patricia,
Ah, c’est terrible cette prise de conscience, n’est ce pas.
On ne peut pas être une bonne mère et ne pas savoir qui on est!