Tendance à hiberner? 8 secrets pour booster votre métabolisme.

Booster votre métabolisme et soigner l’apparence du corps?


Bien que le thème des variations de poids puisse paraître superficiel et loin des préoccupations spirituelles, il concerne aussi le domaine de la psychologie.


C’est en effet l’endroit privilégié où viennent se nicher certaines blessures qui empêchent le bien-être. Booster votre métabolisme est aussi une question de santé


Vous trouverez en fin d’article des trucs et astuces pour métabolisme lent.


Vérifier, par l’intermédiaire de votre corps, l’opinion que les autres ont de vous, que ce soit à cause de votre taille, votre poids, vos atouts, vos disgrâces, votre ISF… (indice de séduction phéromonale), est un contrôle qui entrave vos relations.


  • Vous cultivez une image qui bloque votre capacité à être totalement vous-même par peur du jugement.
  • Surveiller votre poids pompe littéralement votre énergie et génère une préoccupation quasi permanente.


Compter les calories vous empêche totalement d’être présent(e) et satisfait(e) de vos repas. Compte tenu du nombre de fois où cela revient par jour, cela vaut la peine de se pencher un peu sur la question afin de s’en libérer.


Il est bien question d’une prison qui engendre des émotions qui elles-mêmes se transforment en actions et le résultat se solde souvent l’impossibilité de se sortir du cercle vicieux.


Dans cet article, je vous propose de diminuer le stress engendré, par une meilleure compréhension des phénomènes physiques en jeu et de développer des habitudes plus saines en apprenant à booster votre métabolisme

 


Booster le métabolisme, c’est augmenter son métabolisme de base



Votre corps a besoin de carburant : pour cela , il utilise l’oxygène, la lumière et la nourriture. Cette dernière est traduite sous forme d’énergie que le métabolisme produit.


Les réactions chimiques et physiques réalisées vous permettent de respirer, penser, vous mouvoir et vous réchauffer.


Le métabolisme de base « MB » représente  l’énergie minimum vitale dont notre corps a besoin.  C’est donc la quantité d’énergie que brûle votre corps même si vous ne faites rien.


Votre métabolisme est responsable de la lenteur ou la rapidité avec laquelle vous utilisez les calories et donc de la perte ou du gain de poids, et ceci est totalement variable d’une personne à l’autre.


Même si, au niveau énergétique, votre organisme ne fait pas de différence entre 500 calories de pizza ou 500 calories de jardinière de légumes, votre métabolisme, lui va stocker en priorité les sucres raffinés et certains lipides comme le fromage pour en faire des réserves.


Contrairement aux idées reçues, faire du sport et manger moins ne font pas maigrir!


C’est votre métabolisme qui compte plus que les calories. Il est donc important de développer un métabolisme actif qui grille les calories plutôt qu’un lent qui hiberne et engramme des graisses dans les tissus.


Le but n’est pas de moins manger mais d’augmenter le métabolisme de base.


Notez en passant que l’âge, les jeûnes et les régimes le ralentissent, c’est pourquoi je vais vous révéler 8 secrets pour y remédier.

 


1°) Pour booster le métabolisme, ne sautez pas le petit-déjeûner

 


Savez-vous que le matin, votre organisme sort d’un jeûne de 8 à 10 heures. Malgré son autonomie, votre corps a besoin de carburant pour stimuler son énergie, de protéines pour le renouvellement de ses cellules, de lipides pour reconstituer les membranes, favoriser les échanges et de glucose pour l’activité électrique du cerveau.


Si vous ne déjeunez pas le matin, c’est souvent parce que vous mangez trop le soir. Votre corps reçoit alors un message de privation.


Le cerveau va immédiatement mettre votre métabolisme en veilleuse afin de préserver la dépense énergétique sachant qu’il va y avoir pénurie de calories.


Votre organisme fait donc le même travail mais à l’économie, c’est à dire qu’à la longue, vous devrez moins manger pour maintenir votre poids. Ballot, non ? Surtout si vous êtes gourmand(e) ! Sans compter que vous disposerez de moins d’énergie vitale et diminuerez ainsi votre bien-être.


Ce que vous mangez le matin est une énergie disponible pour la journée qui n’a pas besoin d’être stockée. Vous boostez ainsi votre métabolisme


2°) pour booster votre métabolisme de base, ne réduisez pas trop votre apport calorique journalier

 


Il n’existe pas à proprement parler de métabolisme lent ou rapide. Si vous avez cherché à perdre beaucoup de poids dans votre vie ou si des facteurs psychologiques ont ralenti votre activité thyroïdienne, vous avez induit un métabolisme lent par adaptation aux circonstances.


Si vous continuez à faire un régime et que vous ne mangez pas assez pour soutenir votre organisme par peur de prendre du poids, vous le forcez à ralentir son métabolisme.


La peur est aussi une émotion qui favorise l’inhibition et donc ralentit votre organisme.


Vous allez rapidement vous apercevoir que, pour l’absorption d’un même repas, vos proches gardent leur poids alors que vous, vous en prenez.


Vous le vivez comme une injustice sans comprendre que vous pouvez influencer le métabolisme de votre corps par de meilleures habitudes.


Souvenez-vous que si vous résistez à la faim, votre corps va immédiatement réagir en devenant économe.


3°) Marchez 20 minutes pour booster votre métabolisme de base

 


Votre organisme dépense beaucoup d’énergie pour digérer. On note une hausse de l’activité métabolique après chaque repas. C’est ce qu’on appelle le petit coup de pompe de la digestion.


Si vous faites une sieste après le repas, vous compensez son surplus d’activité par un ralentissement de votre organisme. C’est dommage si votre but est d’activer votre métabolisme pour brûler plus de calories !


Repoussez la sieste ou la méditation à 17 heures et restez actif pendant la digestion. Pourquoi pas même un petite marche ? Bien que votre corps vous pousse à l’économie par une sensation de fatigue, rien ne vous empêche d’imposer votre rythme à ce moment là.


Vous allez combiner la dépense énergétique avec une oxygénation maximale et une exposition au soleil pour un maximum de bien-être. La lumière du soleil a une influence directe sur l’organisme car elle le prédispose à l’action donc à brûler des calories.


Si votre métier ne vous permet pas la petite promenade digestive, levez-vous régulièrement pour vous étirer et faire quelques pas.


A la tombée de la nuit, surtout si vous n’êtes pas prêt à vous coucher tôt, restez actif, sortez dehors et faites quelques étirements pour garder actif votre métabolisme. Si vous n’intervenez pas au moment où l’obscurité tombe, votre système recevra le message de se mettre en veilleuse





4°) Remplacez les sucres rapides par des sucres lents sans oublier les protéines pour booster votre métabolisme de base.

 


Puisque votre corps dépense beaucoup d’énergie à digérer, vous pouvez aussi choisir les aliments qui lui demandent le plus de travail à fournir !


Le sucre raffiné des desserts ainsi que les graisses se digèrent assez rapidement. Ce n’est pas le cas des protéines et des légumineuses comme les lentilles par exemple.


Faites le test au prochain repas de midi. Mettez l’accent sur les protéines (sans trop de gras) et sentez votre corps se transformer en fournaise. Vous allez comprendre immédiatement ce que veut dire un bon métabolisme.


Il faut décompter les calories nécessaires à la digestion. Voilà pourquoi vous absorberez  moins de calories en mangeant un saumon qu’une fondue savoyarde !


Une fois cette expérience acquise, ne tombez pas dans l’intégrisme de la protéine : elle demande beaucoup d’eau pour être métabolisée et fatigue les reins.


Les fruits et les légumes nécessitent également beaucoup d’énergie afin d’être digérés et sont excellents pour votre vitalité.


5°) Modérez votre repas du soir

 

 


Plus vous mangez tardivement et plus votre organisme aura tendance à conserver le surplus. Il ne va pas être en mesure de métaboliser autant que pendant l’activité de la journée à cause du ralentissement de l’organisme pendant le sommeil.


Puisque vous n’allez pas dépenser le surplus de calories, il va être stocké sous forme de graisse.


Ce n’est plus l’heure de transformer son corps en machine à brûler les graisses donc évitez trop d’apport en protéines le soir.


Ne sautez pas cependant le repas du soir car, la nuit, le corps continue de consommer de l’énergie pour ses fonctions vitales.


6°) Évitez les longs joggings trop réguliers pour booster votre métabolisme de base

 


Voilà une bonne nouvelle ! Le travail d’endurance est basé sur une régularité à faible dépense d’énergie qui permet de tenir plus longtemps.


Si vous faites un long exercice d’endurance, votre corps va immédiatement se mettre en position d’économie comme un moteur de voiture à 110 km/h sur autoroute : plus vous êtes régulier, moins il dépense.


C’est tout de même bon à savoir quand on cherche à booster son métabolisme.


Choisissez plutôt une activité « cardio » qui peut être aussi de la course et alternez les périodes intenses de quelques petites minutes avec des phases de marche plus lentes. C’est l’alternance qui va faire la différence. Ceux qui préconisent l’endurance n’ont pas de vrai problèmes de poids! Tout fonctionne pour eux!


Votre métabolisme va être obligé de s’adapter à ces poussées intenses et à dépenser ainsi un maximum de calories.


N’oubliez pas que faire du sport ne fait pas maigrir mais remplace la graisse par du muscle . Ce sont les muscles qui accélèrent l’activité métabolique du corps.


La fonte musculaire explique en partie le ralentissement du métabolisme de base au-delà de 40 ans, particulièrement chez les femmes.


Les muscles jouent un rôle essentiels dans le fonctionnement du métabolisme. Plus votre tissu musculaire est conséquent, plus votre métabolisme est rapide.

7°) Respirez

 


L’oxygène est un carburant clé qui rentre dans le processus métabolique.


S’aérer est un bon atout pour améliorer le métabolisme mais respirer profondément permet de meilleurs résultats.


Vous pouvez lire un chapitre entier sur la respiration dans l’ebook gratuit qui vous est proposé sur ce blog en page d’accueil.


Vous trouverez aussi sur ce blog des podcasts qui vous aideront à approfondir votre respiration à la fin des articles sur la vue et la procrastination. Plus vous retrouverez rapidement une respiration ventrale, plus vous rendez votre métabolisme actif.


8°) Développez des bonnes habitudes au travail.

 


Saviez-vous que votre posture assise au bureau ou devant l’ordinateur peut booster votre métabolisme ? Ceci est un point clé dans la technique PNL mais sans aucune connaissance, vous pouvez y avoir accès.


Relevez régulièrement la tête en soulevant le menton. Pour ce faire, vous pouvez améliorer votre posture en ajoutant un grand écran à votre ordinateur pour lire à hauteur de vos yeux.


Quand vous baissez les épaules, que vous courbez le dos et que vous rentrez le menton, vous ralentissez votre métabolisme.


Vous modifiez donc, rien qu’avec votre posture votre état intérieur et le fonctionnement de votre corps.





Vous avez le pouvoir de changer

 


Votre métabolisme de base n’est pas qu’une question de génétique, vous pouvez l’augmenter en changeant vos habitudes de vie. Ceci est valable aussi pour ceux qui cherchent à gagner du poids même si les techniques sont différentes.


Transformer son corps en machine à brûler les graisses découle plus d’une bonne compréhension de la chimie interne que du comptage des calories.

Les recettes ne remplacent pas un travail sur soi et travailler sur son corps ne dispense pas d’un travail sur l’esprit !


Cependant, vous pouvez décider aujourd’hui de cesser de vous priver et d’entretenir la peur et la culpabilité de manger. Ce contrôle permanent influe sur votre bien-être et limite votre joie de vivre.

Le poids, ça vous concerne ou ça vous indiffère? Commentez!

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Hannah

32 commentaires

  1. annie Pradel le 9 février 2012 à 15 h 47 min

    que de choses passionnantes



    • adminhannah le 9 février 2012 à 21 h 33 min

      Bonsoir Annie, tu veux dire que ce sont des conseils dont tu peux te servir?



  2. Sco! le 10 février 2012 à 1 h 58 min

    Allô Hannah,

    Pour répondre à ta question, le poids ne me concerne pas. Je choisis mes aliments avec soins, bien qu’ils ne soient pas suffisamment variés. Le défi est plutôt d’arriver à la satiété! Un mystère pour moi même en consommant des protéines, des fibres et des légumes en quantité et des sources de bons glucides .

    Je vais tenter de modifier ma posture comme tu le dis et de respirer plus en profondeur. Après tout, le ventre est notre deuxième cerveau. En soignant son ventre, ça aide la gestion du poids et de l’humeur notamment.

    Namasté!
    Sco! 🙂



    • adminhannah le 10 février 2012 à 9 h 46 min

      Bonjour sco!
      Ton commentaire est vraiment intéressant: La sensation de faim et de satiété sont deux centres dans le cerveau contrôlés par l’hypothalamus. Cette petite glande reçoit des informations par le sang et les hormones pour savoir si les réserves de nutriments dans l’organisme sont stables ou en perte de vitesse. Elle fait un calcul rapide des besoins en énergie du corps et en fonction de ses résultats déclenche l’un ou l’autre des centres:
      Si la balance est négative, elle active la sensation de faim.
      Si la balance est positive, elle stimule celle de la satiété.
      Le problème c’est que l’hypothalamus reçoit d’autres types d’informations: elle comptabilise aussi les émotions, les sentiments de frustration, de manques etc…
      Quand nous avons une émotion non connue, encore stockée dans le subconscient, c’est l’hypothalamus qui nous prévient de cette façon: en modifiant notre sensation d’appétit, en trop, en trop peu et notre sensation de satiété.
      La question devient alors: Y a t-il quelque chose dans ma vie dont je ne me nourris pas et qui pourrait me procurer une réelle sensation de satiété ?



      • Elisandre (le Royaume Amoureux) le 11 février 2012 à 20 h 41 min

        Ton article et tes réponses m’intéressent beaucoup là car je crois etre en train de « déstocker des émotions non connues dans l’inconscient », (pour employer ton expression) sur le sujet. Bon c’est ce que moi j’appelle « remonter dans le sortilège /symptome ». ..jusqu’à la racine

        Mon plaisir, donc mes désirs (libido, énergie de vie) ont été bloqués dans l’enfance. Imitant ma mère, j’ai focalisé sur la nourriture et je suis devenue boulimique pour ne pas etre obèse comme elle.
        J’ai du lutter longtemps contre la nourriture sans me rendre compte que c’était contre le plaisir en général que je luttais (et culpabilisais)…puisqu’il était interdit.

        Après plusieurs étapes de guérison, l’autorisation aux désirs, à la réalisation des souhaits, j’en suis à l’étape plaisir sexuel sans culpabilité et en toute innocence. Quand les plaisirs sont répartis et que les interdits tombent, il n’y a plus cette obsession de la nourriture.
        En fait toutes les dépendances sont acceptées à part « égales » si je puis dire…

        Voilà pourquoi un peu plus loin je parle de peurs qui bloquent le métabolisme…
        la peur bloque beaucoup de choses d’ailleurs…
        Elisandre



        • adminhannah le 12 février 2012 à 22 h 07 min

          Bonsoir Elisandre,
          C’est important ce que tu soulèves à propos du sortilège/symptôme qui permet de remonter à la racine. Pour moi, cela fait partie du programme 2012 . Concrètement, c’est comme si, en ce moment, la barrière du subconscient ou non conscient derrière laquelle sont enfermés les traumatismes de l’enfance (voire plus loin) devenait poreuse. Il est moins possible de refouler et ce qui ne nous était pas accessible refait ou fait surface sous un angle jamais vu ou jamais travaillé auparavant. Comme une dernière ronde dans nos vies qui amène la libération. Ce n’est donc pas le moment d’en avoir peur et tout semble avoir une fin, pas juste le monde maya mais nos traumas aussi!



  3. LE BOLU BRIGITTE le 10 février 2012 à 7 h 19 min

    Merci Hannah, pour tout ces conseils .



    • adminhannah le 10 février 2012 à 10 h 00 min

      Bonjour Brigitte,
      Si tu testes un étape et qu’elle fonctionne pour toi, n’hésite pas à venir témoigner.



  4. Alain@sophrologie le 10 février 2012 à 10 h 37 min

    J’ai justement un grand écran, si bien que j’ai toujours le regard vers le haut.
    à la Tony ! :-))



  5. Elisandre (le Royaume Amoureux) le 11 février 2012 à 19 h 38 min

    Bonjour Hannah

    Je retiens que la peur ralentit le métabolisme ; j’en suis très consciente; quand la peur disparait ou diminue, on laisse place au plaisir et je crois que la place du plaisir est très importante dans la bonne assimilation et dans la capacité de savoir manger ce qu’il nous faut;

    Le plaisir lui-meme nourrit (remplit) car après tout il ne faut pas manger tant que cela pour vivre; beaucoup d’autres choses que les aliments nous nourrissent : leur présentation, leur couleur, le partage etc..;
    merci pour ton article Hannah !

    Elisandre



    • adminhannah le 11 février 2012 à 20 h 08 min

      Bonsoir Elisandre,
      Merci pour ta remarque.C’est clair qu’une des motivations principales pour se nourrir devrait être le plaisir. Or, nous sommes des êtres dépendants, c’est à dire que nous nourrir est nécessaire à notre existence (même si le mouvement respirien tend à ouvrir d’autres perspectives). Du point de vue de la psychologie, les émotions et les traumas de l’enfance qui se situent à l’âge de la dépendance (moins neuf mois à deux ans) se stigmatisent souvent sur la prise de nourriture. Pour l’adulte qui les a subis, manger devient vite un exercice de contrôle permanent, un lieu de bras de fer, de compulsion et de culpabilité… qui revient plusieurs fois par jour pendant de nombreuses années. Il suffit de regarder le commerce qui tourne autour de la minceur pour voir que beaucoup de personnes sont touchées. Regarder ce trouble sous l’angle du métabolisme permet de relâcher un peu la pression.



  6. Elisandre (le Royaume Amoureux) le 11 février 2012 à 19 h 51 min

    rebonjour Hannah !

    Je relis le titre avant de partir et je vois le mot « HIBERNER ». et effectivement j’ai juste l’impression d’^^etre immobilisée en ce moment, de ne pas avancer, d’hiberner.
    mais cela me semble naturel finalement car enfin l’hiver est là, il neige, il fait froid. Donc n’est-ce pas bon de suivre la nature, de s’intérioriser au double sens du terme ? rester dedans ?
    ce repos ne permettra t-il pas de faire renaitre l’énergie au printemps ?
    c’est une question .

    Elisandre



    • adminhannah le 11 février 2012 à 20 h 18 min

      Re bonsoir Elisandre!
      Sur ce plan de conscience, tu as parfaitement raison. L’article parlait des problèmes de poids un peu terre à terre mais pour ce qui est de l’énergie
      de l’hiver, elle est faite pour rentrer à l’intérieur et en profondeur, là où sont enterrées les graines qui ne jailliront qu’au printemps.
      Ce n’est pas ma saison préférée mais j’aime que les nuits soient très longues car une partie de mon travail intérieur s’effectue la nuit. Je suppose que dans ton univers de fées, la nuit a aussi son importance, c’est à ce moment là que le « petit monde » s’éveille!



  7. renaud dominique le 12 février 2012 à 9 h 07 min

    hello hannah, trés nourrissant ce que tu dis, là où j’en suis c’est la peur qui est au centre de mon quotidien, pas celle en lien avec l’extérieur mais celle qui est à la base de ce que je suis, c’est à dire un humain, là où manger est un moment de rappel à soi et où, aussi, il s’agit de partager avec d’autres ce moment de ressenti ! mais la peur dont il est question-là, ramène inévitablement à l’onde de choc qu’est la naissance et aussi au premier traumatisme fondamental généré par la relation mère-bébé qui va donner la direction et la forme qui font une existence, et donc une lutte ! alors, oui, les huits éléments que tu cites sont un plus important pour aller plus loin et au mieux de ce que l’on peut être tout en traversant cette peur au-delà de laquelle il est possible de vivre, et non plus d’exister !! merci pour la précision et la simplicité de ce que tu donnes à lire où je retrouve cette joie et cette capacité à rendre concrètes les choses parfois un peu fastidieuses qui font partie de ce qui te caractérise ! je continue à parcourir ton blog, donc à plus pour d’autres commentaires ! bises du coeur . domi .



    • adminhannah le 12 février 2012 à 21 h 53 min

      Bonsoir Domi,
      C’est très sympa de venir faire un saut sur mon blog.
      Tu as bien saisi le fond de mon article. la nourriture est un lieu de travail pour moi pour les raisons que tu énonces. J’ai voulu sortir du classique régime « réduisez vos calories » car manger devient mental et entretient la peur. Alors que, comme tu l’as bien décrit, la peur liée à la nourriture vient des premiers instants de la vie où tout retard de biberon prend des tournures de fin du monde et met les cellules en mode survie. Pour toutes les personnes touchées par les difficultés émotionnelles liées la nourriture, il est important de connaître le fond du problème pour éviter les solutions de surface.



  8. Frederic | Pour mieux vivre le 12 février 2012 à 15 h 12 min

    Bonjour Hannah

    Ton article est excellent et il faut le partager.

    Pour ma part, je fais attention à ma silhouette mais sans faire une fixation sur mon poids.

    Je me pèse 1 fois / mois ou tous les quinzaine.

    Mais grâce à ma balance tanita, je regarde surtout mon taux de graisse, de muscle, mon taux d’eau.

    Et je consomme toujours un aliment riche en protéine le matin ou une boisson protéinée.

    Je varie tres souvent mon alimentation pour avoir 6 couleurs différente dans mon assiette presque tous les jours.

    Et j’essaie de pratiquer du sport tres régulièrement même si il y a un petit manque sur le mois de Janvier :(.



    • adminhannah le 12 février 2012 à 21 h 01 min

      Bonsoir Frédéric,
      Bravo pour ton hygiène de vie.
      Quand tu dis « partager l’article » tu parles des réseaux sociaux?
      Tu viens de m’apprendre un truc…la balance tanita, je ne savais pas qu’on pouvait avoir chez soi une balance intelligente;



      • Frederic | Pour mieux vivre le 14 février 2012 à 12 h 57 min

        Twitter, facebook ou autre.

        La balance coute pas très cher entre 99€ et 200€

        J’ai le modèle à 200€, mais je ne peux plus m’en passer.



        • adminhannah le 14 février 2012 à 22 h 58 min

          Bonsoir Frédéric,
          ça me paraît très honnête comme prix, vu ses performances.



  9. domi le 13 février 2012 à 9 h 57 min

    j’ai toujours autant de mal avec le mouvement, donc 20 minutes de marche par jour, cela me semble loin de moi, pour l’instant, car quand un des symptômes est l’immobilisation et que l’on vise la profondeur pour développer la vision, il y a d’abord à ressentir profondément encore et encore, et certes cela est dommageable pour le coprs mais l’essentiel, pour moi, c’est de voir et de me dégager définitivement de tout ce qui a retenu le vivant en moi, ça prend du temps, et il y a un prix à payer, question de choix ! je suis certainement dans un extrème mais cela se fait sur plus de 16 ans, je prends soin de ce coprs et l’accompagne mais il y a de la casse, pas possible d’éviter ça !! donc, je marche, mais pas tous les jours, car je suis derrière un bureau à écouter et à guider, pasionnant et gratifiant, mais statique aussi pour le corps . je vais marcher dans les pyrénées autant que je le peux, c’est magnifique . je t’embrasse et me régale à te lire ainsi que tous les commentaires faits par d’autres qui sont autant d’histoires humaines qui se racontent ! merci pour m’avoir permis l’accés à cela ! belle journée à tous . domi .



    • adminhannah le 13 février 2012 à 15 h 33 min

      Bonjour Domi,
      Pas de souci, on choisit les exercices qui nous parlent le plus. Quand on est installé des heures au bureau, il faut retenir l’idée de lever la tête régulièrement et étirer son corps comme après une sieste. Si tu as quelques minutes entre chaque patient, tu peux tester deux enregistrements à la fin de l’article sur la vue et sur celui de la procrastination. Il est inclus une petite méditation pour un retour sur soi rapide. Si tu les teste, n’hésite pas à faire un retour.



  10. Martine le 16 février 2012 à 20 h 42 min

    Bonjour Hannah Merci pour cet article très instructif . Je ne pense pas avoir un soucis de séduction( ISF) par rapport à mon poids ,je mange pour moi et je ne m’empêche pas de manger pour que ma silhouette plaise 🙂 je dois sans doute avoir un poids à la taille de mon égo :)) par contre mon corps me rappelle à l’ordre quand je suis en surpoids, et actuellement je le suis . Mon problème , j’aime manger et je suis gourmande , pas forcément de friandises( je n’en mange pas) mais je reprendrais volontiers 2 ou 3 parts d’un même plat . J’ai un problème avec la quantité , c’est terrible .Alors , dès que je ne peux plus fermer mon pantalon test , ou que j’ai mal aux genoux ou aux reins ( parce que je deviens trop lourde ), alors là je fais le nécessaire pour dégonfler, non pas pour plaire , mais pour tenter d’apercevoir mon pubis sous la douche :)! Régulièrement , après le repas de midi , j’ai un coup de barre et je ferme les yeux un quart d’heure , je dirais même que je sombre dans un coma profond 🙂 et là , j’aurais même pas la force de lever le menton au plafond , je le plonge plutôt dans le matelas :)) c’est épouvantable !:)
    J’ai noté tes bonnes recettes aux protéines , et j’ai expérimenté qu’en privilégiant comme tu le conseilles , les protéines aux repas de midi , je suis moins balourde et c’est le moment que je choisis désormais pour aller faire mes courses, et éviter de sombrer à l’horizontale.
    A part ça , la silhouette de l’image de moi que je vois dans la glace le matin ,ne me déplait pas 🙂 elle me fait penser à la déeese maya de la fertilité , avec toutes ces formes et ces rondeurs:)
    Merci pour les podcasts et les exos de respiration , je pratique et j’aime beaucoup , c’est très aidant :).



    • adminhannah le 16 février 2012 à 22 h 04 min

      Bonsoir Martine,
      j’ai une bonne nouvelle, le fait de reprendre plusieurs fois d’un plat, c’est à dire ne pas sentir qu’on se sent rassasié se débranche! Entre Tipi et l’EFT, il y a vraiment moyen de trouver l’émotion sous-jacente et de s’en libérer.
      Mais l’important c’est d’être en accord avec la déesse de la fertilité, les femmes rondes incarnent la générosité!



      • Martine le 16 février 2012 à 22 h 12 min

        Ah merci , ça , ça m’intéresse de trouver l’émotion sous-jacente :)… je te suis …….là où tu me mèneras :).



        • adminhannah le 16 février 2012 à 22 h 16 min

          On verra ça à Toulon..c’est sympa que tu affiches tes articles!



          • Martine le 16 février 2012 à 22 h 41 min

            Faut juste espérer que les 77 000 personnes qui sont déjà passées sur le site , y repasseront encore une fois.
            Le compteur affiche en moyenne 100 par jour 🙂 tant mieux si elles passent par ici 🙂



  11. Ecole du bien etre le 22 février 2012 à 19 h 07 min

    Bonjour Hannah,

    Merci pour cet article complet . Cependant , 2 de tes remarques attirent mon attention :

    1) Contrairement aux idées reçues, faire du sport et manger moins ne font pas maigrir! ??? Je ne suis pas entièrement d’accord avec toi.
    La plupart du temps (sauf dérèglement hormonal) , quand on grossit c’est que notre apport calorique est supérieur à notre dépense . Si l’on faut du sport (= on augmente notre dépense énergétique) et si on mange moins (= on diminue notre apport énergétique), on a de forte chance de perdre du poids et cela a été prouvé au travers de nombreuses études de terrain.

    La chose, par contre, qui peut se passer , par exemple, avec les personnes qui sautent des repas, c’est un mécanisme de défense que le corps met en place : au prochain repas, il emmagasine beaucoup plus de calories au cas où la disette le guette !
    C’est le problème des fameux régimes yoyo, où les personnes diminuent de façon drastique leur ration alimentaire…

    Mais si tu diminues doucement tes apports et tu fais du sport d’endurance surtout, tu es sur de perdre du poids : je l’ai enseigné, je l’ai pratiqué pour être affutée pour mes compétitions, je l’ai fait pratiquer et ça marche sauf si la personne craque au bout d’un certain temps.

    2) Evitez les longs jogging ??

    Alors là, ça m’étonne aussi beaucoup?

    Il a aussi été prouvé et testé que les sports pratiqués en endurance sont les meilleures garanties pour s’affiner. Je pratique la course à pied en endurance depuis fort longtemps et je sais que je dois ma ligne en partie à cette activité.
    De manière plus objective, j’enseigne en  » physiologie de l’effort » et je reste fortement persuadé que les longs footings, donc le sport d’endurance fait maigrir ( dépense course à pied = 1 kcal par km par kg).
    Le sport ne peut pas toujours remplacer la graisse par le muscle car sinon, moi qui pratique la course depuis 20 ans, je serai hyper musclée ce qui n’est pas le cas : 1m62 pour 50 kg

    3) Par contre tu as raison d’insister sur la qualité de notre métabolisme : des problèmes de d’hypothyroidie ou d’hyperthyroidie, peuvent en effet impacter fortement notre ligne !

    Voilà, c’était juste mon avis … mais j’ai peut être mal saisi ce que tu as voulu dire ?

    A bientôt

    Karine

    La fonte musculaire explique en partie le ralentissement du métabolisme de base au-delà de 40 ans, particulièrement chez les femmes.

    Les muscles jouent un rôle essentiels dans le fonctionnement du métabolisme. Plus votre tissu musculaire est conséquent, plus votre métabolisme est rapide.



    • adminhannah le 23 février 2012 à 9 h 26 min

      Bonjour Karine,
      Merci de ta longue réponse et surtout de ton expérience sur le terrain. Tout ce que tu dis est très juste et pas si incompatible avec mon article. Pour une personne qui décide de s’attaquer à sa forme suite à un changement de poids, il n’y a aucun souci à suivre ces instructions. Elles ont fait leurs preuves et additionner une surveillance de l’apport calorique avec du sport endurant est une recette efficace.

      Moi, J’ai créé cet article pour les personnes qui ont échoué à toutes les tentatives de perte de poids. Ce sont souvent des personnes qui n’ont pas un vrai problème thyroïdien déclaré mais qui ont épuisé leur métabolisme à force de privations. Leur proposer une n ième réduction de l’apport calorique va faire chuter leur enthousiasme d’entrée de jeu.

      Leur relation au corps et au poids est associée à des mémoires douloureuses et au poids de leurs souffrances.Il est donc nécessaire d’aborder les solutions sous un autre angle: celui du moindre effort, car s’il y a bien quelque chose que ces personnes savent faire, c’est faire des efforts!

      Les découvertes récentes en matière de métabolisme tendent à prouver l’efficacité d’un entraînement non uniforme (d’où pas de long jogging) où il est important d’alterner des périodes de jogging avec des secondes de course intensive en extérieur ou en intérieur afin de stimuler l’organisme.

      Je m’adresse toujours à ces personnes qui ont rendu leur métabolisme super économe. Là où les autres grillent les calories, ils transpirent à peine! Leur corps a tellement eu l’habitude de vivre sur trop peu de calories qu’il arrive à s’économiser sur un exercice trop régulier.

      Les recettes diététiques que je poste de temps à autres sur mes articles vont aussi dans ce sens.

      Tu l’auras deviné, je fais partie de ces personnes. Mon approche est plus psychologique que physiologique mais j’ai voulu, dans cet article prendre soin des deux aspects.



  12. adminhannah le 20 mars 2012 à 19 h 55 min

    « Merci Hannah pour cet article !

    J’aimerais avoir des conseils pour soigner ma fille de 12 ans qui a développé une dépendance au sucre.

    Conséquences : prise de poids, surtout au niveau du ventre, sensation de faim en sortant de table, irritabilité, colères suivies de grosses fatigues, à la limite de l’évanouissement, avec migraine, teint très pâle et yeux cernés. Les 2 dernières balades en vélo l’ont littéralement vidée de son énergie, et pourtant le rythme est cool avec une petite soeur de 9 ans sur un petit vélo… Seule la marche, pas trop rapide, convient.

    Alors un grand merci par avance pour tes conseils, qui contribueront à l’aider à retrouver son équilibre et sa légereté !

    J. »



    • adminhannah le 21 mars 2012 à 9 h 24 min

      C’est moi qui ai posté de mon ordi le commentaire de J. car elle n’y arrivait pas sans doute à cause des spams, voilà pourquoi c’est ma photo qui apparaît!
      Chère J,
      A 12 ans une fille est capable de tout comprendre car sa structure neuronale est en place. Je crois qu’il faut que tu lui expliques ce qui lui arrive car, sans son concours, tu n’arriveras pas à l’aider. Si elle comprend que sa dépendance au sucre lui fait vivre un enfer physique et lui gâche sa vie d’ado, elle peut vouloir participer à sa guérison.
      Seulement, il va falloir aussi traiter les causes. Parmi les causes, il y a une grande insécurité qui lui vient de sa première année de vie. Il y a aussi de la colère d’être confrontée à des problèmes qu’elle ne se sent pas en âge de gérer. Cela va aussi t’obliger à revisiter sans culpabilité ton rôle de mère quand elle est née. Voilà pour la suite des opérations. Ta fille sera comprendre d’apprendre que ce avec quoi elle se bat n’est pas que physique mais aussi psychologique et que les adultes autour d’elle sont prêts à l’aider plutôt qu’à lui demander de faire encore des efforts.



  13. Sarah Vidal le 18 septembre 2014 à 9 h 59 min

    Je vous remercie pour ces excellents conseils. Il faut toutefois considérer le fait qu’on a besoin de l’aide d’une autre personne pour nous motiver tout le temps et nous remettre dans le droit chemin au cas où.



    • Hannah le 18 septembre 2014 à 20 h 43 min

      Oui c’est certain qu’un peu d’encouragement
      aide à tenir ses engagements!