Que diriez-vous de casser la graine avec Ho’oponopono?

Sens de la vie et Ho’oponopono
J’ai beaucoup rêvé dans ma vie, principalement la nuit. A la façon de parents bienveillants, mes rêves m’ont toujours guidé. ( Je ne connaissais pas Ho’oponopono à l’époque)
Des rêves pour m’expliquer ce que je vivais, mais aussi pour me montrer le chemin. Ils donnaient un sens à ma vie… je m’appuyais dessus pour installer de la nouveauté et avancer.
Cela faisait partie de mes pratiques quotidiennes et du grand jeu de la loi d’attraction.
Je visualisais alors un maximum et j’avoue que ça marchait assez bien, en tous cas pour tout ce que je voulais installer dans ma vie.
Par contre, cela n’a eu aucun effet sur le principal, c’est à dire mon état quotidien, l’état naturel dans lequel je me promène dans la rue, celui dans lequel je me réveille le matin.
Un état ni malheureux ni heureux non plus, un état que je qualifierais de neutre alors que tout dans ma vie va plutôt bien.
Alors, prenant conscience de cela, j’ai laissé un peu tomber ma quête de sens par le biais du travail intérieur et j’ai commencé à m’intéresser plus à ce qui se passait le jour qu’à ce qui se passait la nuit.
J’ai découvert que je travaillais toute la journée.
Cet article est proposé pour la Croisée des blogs organisée par Jean-Louis du Blog Ma vie en mains
Pourquoi s’incarner si c’est juste pour travailler tout le temps? Travailler à l’extérieur (mon boulot), travailler à l’intérieur (la thérapie), travailler dans les relations, était-ce bien cela vivre ?
Ce fut une longue transition. C’est à ce moment-là que j’ai découvert Ho’oponopono. J’ai donc regardé de plus près ce que je faisais pendant que je travaillais sur moi dans la journée.
En fait, quand je n’étais pas en train de travailler, j’étais toujours tendue à vouloir résoudre des problèmes que ce soit dans la matière ou le psychisme.
Les problèmes des autres c’est mon métier mais mon travail intérieur incessant, c’est mon terrain de jeu pour m’exercer et être performante à démanteler les problèmes des autres.
Ho’oponopono, du travail, encore du travail!
Voilà pourquoi je travaille tout le temps ! Quand j’ai rencontré le Ho’oponopono du Docteur Hew Len, il m’a fait passer le message qu’il fallait nettoyer toute la journée. Du pain béni pour ma névrose au travail…!
Résoudre c’est formidable mais cela parle d’un présupposé : celui de « je ne vais pas bien, il y a quelque chose à régler chez moi ».
Bien sur, j’ai du grain à moudre par rapport à mon passé et si je veux le résoudre une vie ne suffira pas. C’est un peu comme ces prisonniers aux US qui se retrouvent avec une peine de 144 ans.
Si une vie ne suffit pas à résoudre tout ce que je trimballe depuis mon enfance, c’est que je me suis fourvoyée quelque part.
A 20 ans, j’avais vraiment l’espoir d’en finir avec tous ces aspects névrotiques. A 30 aussi, à 40 sans aucun doute mais avec une légère impatience.
Depuis que j’ai passé 50 ans, une autre sorte de doute a fleuri en moi. Et si ce n’était pas le chemin et si la libération n’était pas le sens de ma vie?
Depuis tout ce temps, tout aurait du se remettre en place, comment se faisait-il que je ne sentais pas la joie, l’amour universel, l’enthousiasme débordant de vivre, la plénitude, la communion et que sais-je encore ?
J’ai aussi commencé découvrir des auteurs qui comme moi, avaient tout testé en matière de thérapie, de développement personnel, de méditation et de voies d’Éveil sans trouver le résultat escompté.
D’autres personnes qui remettaient en doute le sens qu’elles avaient donné à leur vie jusqu’à aujourd’hui. Cela ne me donnait pas de piste tangible mais au moins je me sentais moins seule avec mes doutes !
J’ai commencé à comprendre, dans la profondeur, que vouloir résoudre des problèmes, c’est tenir le problème dans une main et la quête de la solution dans l’autre.
Bref, on s’attache au problème pour pouvoir avoir un résultat. Peut-on vraiment laisser tomber le problème quand on souffre et qu’on veut à tout prix guérir?
Qu’est ce qui peut faire souffrir selon Ho’oponopono?
Peut-on lâcher prise quand les traumas qu’on tient datent des premières années dont on ne se souvient pas ?
En fait, avoir un problème (ou un trauma qui crée les problèmes au niveau inconscient), c’est déjà souffrir. Et, qu’est ce que j’entends par problème lié à un trauma? Tout ce qui dure longtemps ou qui revient de manière chronique!
- un souci de santé,
- une difficulté à stabiliser son poids
- une addiction
- des tocs
- des difficultés relationnelles
- des problèmes d’argent
- des soucis récurrents au travail
- impossibilité à trouver un emploi
- impossibilité à trouver une relation
- burn out
- incapacité à gérer harmonieusement ses enfants
- brouilles familiales
- agressions, catastrophes
- deuils ingérables
- Ennui profond
- Angoisses
- Insatisfaction chronique etc…
Vouloir s’en débarrasser c’est s’offrir une double peine car c’est la résistance au problème qui fait encore plus mal.
J’ai orienté différemment ma réflexion : pourquoi penser que c’est un problème ? C’est juste une chose qui vous arrive et à laquelle vous êtes confronté.
Qu’est ce qui vous fait le qualifier de problème ? La souffrance qui y est associée ? Qu’est ce qui fait souffrir ? Ce qui est ou le fait de ne pas pouvoir le régler?
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Ce qui est certain c’est que vous ne voulez pas avoir à vivre cela encore sinon vous trouveriez un autre terme que « problème » pour le qualifier ?
Essayez cela : « il m’arrive une magnifique tuile, je suis confrontée à une merveilleuse maladie ou à une fantastique insécurité financière».
Ce ne sont pas vraiment les qualificatifs qui vous viennent en premier !
Vouloir résoudre mes problèmes a quand même eu un petit effet sur ma vie, normal après 35 ans d’efforts…des dizaines de milliers d’euros dépensés, des centaines de weekends en stage…
Quelques accomplissement avec ou sans Ho’oponopono
Tout cela n’a pas été totalement inutile : avec tout ce travail que j’ai fait sur moi voici où tout cela m’a mené :
- j’ai appris à ne moins juger les autres
- j’ai fini par moins m’occuper de ce que les autres pensaient de moi.
- J’ai lâché pas mal de contrôle en laissant les choses venir
- j’ai appris à agir en étant un maximum présente
- j’ai développé une tonne de pratiques
- j’ai une boite à outils (psychiques et physiques) qui rivalisent bien avec ceux d’un bricoleur professionnel.
- j’ai cherché les bénédictions cachées dans les épreuves
- j’ai appris à décoder les maladies
- je connais les accords toltèques sur le bout des doigts
- je n’attends jamais d’être parfaite pour me lancer
- je reconnais mes émotions
- je sais me désidentifier des problèmes….
- j’ai trouvé un équilibre relatif avec la nourriture
- j’ai quasiment « résolu » 50 ans de problèmes de sommeil
- je ne suis plus victime
- je prends 100% de responsabilité de ce qui m’arrive
- je connais mes besoins premiers et j’en prends soin
- je n’écoute pas mon mental et je sais quand il est confus
- j’ai appris à douter de mes pensées. (sont-ce vraiment les miennes?)
- Je sais dans une relation trouver un équilibre au sein des projections inévitables
Pas mal non ?
Pourtant, comme je vous le disais plus haut, je n’ai pas l’impression de resplendir d’amour, de paix et de joie. Est ce que l’Eveil me donnera tout cela ? Est ce l’Eveil est le sens de ma vie ?
Ne serait-ce pas encore un piège ? Pendant que je cherche un sens à ma vie et que je crois régler mes traumas, je ne regarde pas pourquoi je suis encore comme cela alors que mes traumas ont déjà plus de 50 ans !
Il doit bien y avoir quelque chose que je ne fais pas ? Me voilà donc au cœur de mes dernières trouvailles.
Ho’oponopono, le robot multi-fonctions
Je vous ai dit que j’avais à mon actif de nombreux outils extrêmement performants dont le petit bijou qu’est Ho’oponopono.
Je vous en ai déjà souvent parlé sur ce blog et je vous ai déjà fait part de tout le chemin qu’il m’avait poussé à faire.
C’est bien ma pratique de Ho’oponopono qui, aujourd’hui, m’a mis la puce à l’oreille à propos d’un domaine que je n’avais pas totalement exploré malgré toutes ces années de thérapie, de méditation et de travail spirituel.
Je vous ai déjà expliqué que je n’avais pas mégoté sur les moyens employés. Je n’ai pas hésité à suivre plus de 10 ans des maîtres spirituels pour explorer des pratiques millénaires et des voies d’Eveil.
Pourtant, c’est pour moi Ho’oponpono qui fait la synthèse de tout ce que j’ai appris. C’est aussi pour cela que je voudrais vous en parler plus longuement aujourd’hui car s’il est bien un outil mal compris c’est celui-là !
Cela pourrait bien être la réponse à « trouver un sens à ma vie aujourd’hui ».
Ho’oponopono est, au départ, un processus de réconciliation et de pardon dans les mémoires familiales difficiles.
Je vous ai dit que j’étais assez au clair avec le jugement que je porte sur les autres. J’ai une grande capacité à voir la beauté et l’Esprit chez eux. Cela est valable aussi pour les personnes de ma famille. je les trouve belles et attachantes.
C’est le cas aussi pour tous mes clients. Je peux déceler leurs souffrances, je ne suis pas bluffée par leurs projections et j’ai l’habitude de voir ce qu’il y a de meilleur en eux ainsi que leur lien à l’Esprit.
C’est assez pratique pour le métier de thérapeute que je fais.
Ho’oponopono et les subtilités
De ce point de vue là, Ho’oponopono n’a plus beaucoup de secrets pour moi. Malheureusement, je ne suis pas persuadée d’avoir la même empathie pour moi.
N’entendez pas par là que je passe ma journée à me juger ou que je ne m’aime pas. C’est plus subtil.
Je suis une bonne thérapeute pour moi mais je ne suis pas certaine d’avoir pu ouvrir totalement mon cœur à ce qui est à l’intérieur de moi, à tout à ce que je connais pas encore et à ce qui continue à créer des difficultés.
En me basant sur mon rêve de cette nuit, j’ai entrevu quelque chose jusque là impalpable. Dans ce rêve, je cherche à faire du lien et pour cela, je dois filtrer la lumière de manière à l’obscurcir.
Je crois que c’est ce que font les enfants avec les adultes. Cherchant désespérément à communiquer, pour faire du lien, ils sont obligés de « s’obscurcir » et chercher une longueur d’onde qui n’est pas la leur.
S’accommoder d’un parent dépressif ou qui réprime ses émotions oblige un enfant à se limiter dans ses besoins, sa capacité d’expression et ses élans de vérité.
Pour un enfant, accepter que l’adulte ne puisse pas être en lien est terrible et insupportable. La tentation étant trop forte, il plonge dans les noirceurs des refoulements des adultes et va y chercher du lien.
Si ses parents ont perdu des enfants et n’ont pas fait leur deuil, il cherche à les atteindre dans la non-vie où ils se trouvent.
En plus des traitements auxquels il est confronté, cette forme de communication réduite rajoute à sa souffrance de ne pas pouvoir être lui-même.
C’est tout de même mieux que de rester seul vu qu’il est dépendant. Ce sont malheureusement des habitudes qu’il prend très jeune et qu’il perpétue même adulte et qui peut-être le rendent un peu bof ou pas tout à fait heureux.
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L’apprentissage de quitter son espace intérieur pour rencontrer l’autre dans la relation devient une pratique quotidienne qui se transforme en autoroute neuronale.
Pour résumer, cette habitude d’enfant vous pousse à connaître et porter la souffrance des autres plutôt que de vous occuper de la votre.
C’est le propre des thérapeutes et de tous ceux qui sont dans la relation d ‘aide. C’est aussi ce que font tous les parents de la terre.
La conversion est automatique et même si savez vous occuper de vous, de vos souffrances, cela ne veut pas dire que vous êtes réellement en lien avec les parties qui souffrent en vous.
Ce qui reste souffrant, même lorsque vous entretenez des relations saines et fluides avec votre famille et vos parents, c’est l’empreinte de la relation que vous avez entretenue avec eux.
Ho’oponopono et le verbe « aimer »
Vous pensez que c’est cela aimer. Aimer est pour vous synonyme d’aimer les autres. La méthode Ho’oponopono n’est pas de cet avis.
En fait, peu de gens savent ce que cela signifie d’avoir un cœur. Je lis partout sur les blogs qu’il faut s’aimer soi-même mais croyez-vous vraiment savoir ce que cela signifie?
Je pensais que ce n’était pas une difficulté pour moi. Je suis facilement dans l’accueil de mes difficultés et mes souffrances.
Cependant il m’est difficile de ne pas tomber dans la facilité de vouloir résoudre, me soigner, guérir de mes traumas etc… N’est ce pas cela le cœur de la thérapie d’ailleurs ?
Je crois que c’est là que je donnais un sens à ma vie, m’aider moi et aider les autres à vivre dans un monde où les souffrances de l’enfance n’existent plus, un monde où tout le monde peut s’éveiller, moi y compris.
J’utilisais Ho’oponopono pour cela au début, je voulais, comme son nom en hawaïen l’indique, rectifier, corriger, rendre droit toutes ces mémoires.
Et si rectifier et corriger étaient encore des jugements de ce qui est ?
Aujourd’hui, je crois que l’amour c’est pouvoir aimer cette partie qui souffre en vous, celle qui justement n’a pas l’air de faire les choses comme il faut puisqu’elle transforme la vie en problèmes.
Celle qu’il serait utile d’aimer c’est un peu l’ado que vous retrouvez au poste de police ou qui se fait virer du lycée…
vous ne savez pas quoi faire avec cette partie de vous et vous ne pouvez pas attendre qu’elle soit majeure pour quitter la maison 😉
Vous croyez sans doute comme moi que vous êtes capable de l’aimer de façon inconditionnelle. Accueillir oui, accepter, sans doute, aimer, cela reste à voir.
C’est quand même à cause de cette partie en vous que rien ne tourne rond dans votre vie.
Ne pas avoir peur, ne pas être triste ni en colère contre cette partie qui souffre, ne pas être dans le faux espoir non plus de « on va s’en sortir », on va la guérir. L’aimer tout simplement. Un très gros défi je vous assure!
La mort et la maladie selon Ho’oponopono
Je crois aussi que c’est un des objectifs de la maladie. Rendre hommage à la maladie et à la partie de vous qui en souffre car c’est un défi qui vous est proposé.
Même avec des magnifiques techniques comme le décodage biologique ou la biologie totale, on veut comprendre pour désamorcer le conflit afin de recouvrer la santé.
Dans cette pratique, il n’est pas forcément inclus l’amour de ce qui a été touché à l’intérieur.
J’imagine qu’un bon nombre de ceux qui meurent de leur maladie font cette conversion du cœur au moment du grand passage.
Ils sont juste plus pressés que les autres à passer dans le cœur.
Je vous ai déjà fait part de mes interrogations à propos du cancer avec l’histoire de Zach Sobiech. Je n’ai pas encore trouvé de réponses au « pourquoi certaines personnes meurent et d’autres pas ».
J’ai remis ces interrogations au goût du jour lorsque j’ai appris que Daniel (du blog la vie en Je) qui avait écrit un article sur mon blog était mort le mois dernier.
Il a récidivé l’été dernier et en a profité pour ouvrir son cœur aux autres en osant l’avouer alors que son blog était son interrogation par rapport à la guérison.
Nous avons eu un échange en T.I.P.I et je crois que la vie l’obligeait à aller chercher son cœur encore plus en profondeur.
Ce qu’il a sans doute fait lors du grand passage. Pourquoi mourir alors, peut-on faire ce passage et rester vivant ?
Cela fait-il vraiment une différence pour celui qui part ? Sans doute pas sauf si vos enfants sont encore trop jeunes pour vivre sans vous. Pour ceux qui restent c’est un long travail qui commence.
Pourquoi je parle de la mort alors que le thème de mon article a l’air de prendre l’amour comme sens à sa vie ?
Parce que l’amour englobe la mort. Et cela signifie aussi que vous devez passer par là sans forcément y perdre votre corps.
Ho’oponopono, naissance, mort et résurrection
C’est ce qui se passe au printemps. Vous le vivez sans doute comme l’énergie vivante et joyeuse du renouveau.
Ce n’est pas tout à fait ce que je sens. L’énergie du début de printemps n’est pas un moment facile. Pour moi la vie nait aussi de la mort. Cela arrive souvent dans les familles, un départ qui coïncide avec une naissance.
Lorsque vous plantez une graine en terre, elle se disloque jusqu’à ce que sa structure se brise pour pousser vers la lumière dans une pousse verte couleur du cœur .
Au printemps, ce que le mental voit c’est que le bourgeon meurt à la fleur et cette dernière meurt au fruit.
Le mental ne peut pas vraiment embrasser le processus, c’est pour cela qu’il y a un moment où la compréhension n’est pas utile.
Il ne comprend ni la transformation (sauf dans un concept figé) ni le changement d’état.
Que l’adn du papillon soit le même que celui de la chenille le rend perplexe, pour lui ce sont deux choses différentes.
Il n’arrive pas à englober le processus de transmutation comme étant la vie et l’amour. Pour lui, il y a un avant et un après avec une chenille qui meurt au papillon.
Comme pour la plante, tout se fait dans l’ombre, dans le noir, dans la terre ou le cocon.
Souvent vous voulez la lumière, la vie, la joie, le rêve mais en opposition à la noirceur, la mort, le quotidien ras des pâquerettes et les factures à payer.
Si vous séparez l’un de l’autre, vous êtes probablement dans un évitement, dans une quête du positif, ce qui est une forme de divertissement.
La vie n’est ni positive ni négative, elle est. Chaque épreuve est une intempérie qui aide à la germination.
Vous savez bien que vous avez tout en vous mais il reste le processus à vivre pour grandir, évoluer, vous épanouir en tant que graine qui déploie ses promesses.
Je me demande parfois dans cette analogie si, avec la thérapie, je ne cherchais pas à guérir la graine malmenée…une subtile manière de retarder la vie!
Oui tout est dans la graine à condition de la laisser faire sans y mêler sa peur de mourir, de disparaitre, d’être isolé, abandonné en tant que graine disloquée!
Souvent vous n’êtes même pas d’accord avec la couleur de votre terreau, celui de la voisine semble tellement plus riche et mieux ensoleillé….
La réalité, c’est que vous êtes tombé à un endroit précis car il n’y a pas de meilleur terreau pour que vous puissiez pousser.
C’est un peu là qu’intervient Ho’oponopono, ne pas vouloir changer, ne pas vouloir guérir, juste nettoyer les mémoires qui empêchent d’être totalement ouvert.
Ho’oponopono ne propose qu’une chose : aimer tout ce qui est, particulièrement ce qui vous pose problème, avant même de vouloir le résoudre.
Comme Ho’oponopono est un processus qui réconcilie avec la vie, il vous met au défi d’aimer les problèmes, d’aimer la mort et les difficultés, pas juste le soleil et les petits oiseaux, ça tout le monde sait le faire.
Mais cela va plus loin et c’est sans doute la raison pour laquelle vous vous découragez parfois avec cette méthode en pensant qu’elle ne fonctionne pas.
Vous pensez que cela va vous ouvrir au point d’aimer cette personne qui d’habitude vous importune, vous vole votre place, vous humilie, vous a violé, rejeté ou vous a abandonné.
Je reconnais que ce n’est déjà pas facile mais Ho’oponopono vous propose d’aller plus loin. Pas juste d’aimer la mémoire en action qui vous pose problème car une mémoire est ponctuelle.
Ho’oponopono vous invite surtout à aimer en vous ce qui fait que cela vous arrive tous les jours.
J’espère que vous sentez la différence entre aimer le bourreau et aimer non pas la partie en vous qui a souffert mais la partie en vous qui crée cela inlassablement, chroniquement et que vous n’arrivez pas à régler.
Il n’a jamais été question de régler quoi que soit avec Ho’oponopono. Il va falloir aimer cette partie de vous dans l’état où elle est et vous avez une fâcheuse tendance à vouloir l’éliminer de votre vie.
L’enfant blessé, ça va, il est facile finalement de se projeter dans la victime. Mais l’enfant maladroit qui crée les M..des et qui ne sait pas les réparer ça non, il faut vite arranger ça!
Grâce à Ho’oponopono, l’amour n’est peut-être pas ce que vous croyez
La vérité c’est que vous ne pouvez rien régler comme quand vous étiez petit. Adulte, vous ne pouvez toujours rien régler mais vous pouvez aimer ce « petit » qui ne peut rien régler.
Vous croyez qu’être un bon parent pour son petit (ou ses petits) à l’intérieur, c’est trouver une solution à ses problèmes !
Regarder ce que fait un parent dans le monde concret, il ne peut rien vraiment régler par lui-même.
Si son enfant est malade il l’emmène chez le médecin, s’il a mal aux dents il l’emmène chez le dentiste, s’il est perturbé, il l’emmène chez le psy.
Il est persuadé qu’il fait son job de parent. C’est un bon parent pour les besoins de son enfant mais cela ne veut pas dire qu’il l’aime !
- Les parents médecins soignent leurs enfants mais cela ne veut pas dire qu’ils les aiment.
- Les enseignants éduquent leurs enfants mais cela ne signifie pas qu’ils les aiment.
- Les thérapeutes « thérapisent » leurs enfants mais l’histoire ne dit pas si ils les aiment !
- Les assistantes sociales aident leurs enfants mais les aiment-elles?
- Les infirmières soulagent leurs enfants mais est-ce de l’amour et du soin?
- Les mères (et pères) de famille élèvent leurs enfants mais les aiment-elles?
Cela n’est qu’un premier niveau. A la façon de Bigard et sa chauve-souris enragée…admettons que vous les aimiez…
Vous êtes donc totalement dévoué à votre ou vos enfants extérieurs. Cela ne veut pas dire que vous aimez vos enfants à l’intérieur( des parties de vous) …ceux qui vous créent des maladies, de l’insécurité financière, de la solitude, pas de travail etc…
En fait il n’y a pas de pire parent à l’intérieur qu’un très bon parent dehors.
Ne trouvant pas votre cœur à l’intérieur, vous plongez dans la relation avec les autres, vos parents, votre famille, avec vos enfants.
Ce n’est donc pas votre cœur que vous engagez mais votre souffrance d’enfant non reconnue. C’est la raison pour laquelle vous n’êtes pas heureux(se) alors que vous avez tout pour l’être…
Vous comprenez où je veux en venir ?
Vous amenez vos enfants intérieurs chez le psy, le thérapeute, le magnétiseur, le maître spirituel mais les aimez-vous?
Vous voulez les soigner, les guérir, les éveiller mais savez-vous les aimer ?
Vous croyez que suivre un chemin de développement personnel, une voie spirituelle, une thérapie va vous transformer.
Ce qui va vous transformer c’est d’aimer en vous ce qui en vous a besoin d’aller chez le psy, le médecin ou le maître.
C’est cela l’essence de Ho’oponopono.
Faire Ho’oponopono c’est un peu l’inverse de ce qu’on croit être le processus thérapeutique (et c’est une psy qui parle ;-).
Faire Ho’oponopono, c’est être présent à ce qui est dehors et dedans minute par minute sans chercher à anticiper ou contrôler.
Ce n’est pas vouloir être zen dans la tourmente mais continuer à aimer en soi la partie intérieure qui attire ou qui crée la tourmente.
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C’est là que se situe l’amour et vous pouvez aimer même si vous n’avez pas de famille, pas de compagnon, pas d’argent, pas de travail et pas d’enfants.
Si vous faites Ho’oponopono pour avoir un mari, une compagne, des enfants, de l’argent, un bon boulot, une belle maison ou vous installer en tant que thérapeute, vous êtes « mal bar ».
Occupez-vous plutôt d’aimer la partie en vous qui dit que ce ne sera jamais possible! ne la combattez pas.
Si vous choisissez de vous lamenter à propos de votre vie, vous êtes comme une mère qui va tous les matins dans la chambre de son bébé et qui pense : »Ah, non c’est une fille » ou « et m..de c’est un handicapé ».
Si vous vous croyez « positif » et que vous rêvez à toutes ces belles opportunités qui pourraient se présenter et que vous voulez attirer dans votre vie, vous quittez le seul espace/temps où vous pouvez être heureux.
La méthode Ho’oponopono est un processus très très exigeant … mais très patient. Mais qu’avez-vous d’autre à faire sur terre à part aimer ?
C’est ainsi que donner un sens à ma vie a pris une nouvelle tournure, aujourd’hui c’est aimer mais…peut-être pas comme je le croyais.
Et vous, quel est aujourd’hui le sens que vous donnez à votre vie? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah,
Pour reprendre ce que tu as dit : … comment se faisait-il que je ne sentais pas la joie, l’amour universel, l’enthousiasme débordant de vivre, la plénitude, la communion et que sais-je encore? Cette question me fait penser à ce que dit Panache Desai que je vais traduire ou plutôt paraphraser librement :
Être en vie et éprouver des émotions et des sentiments, que ce soit de la colère, de la peine, c’est ça la bénédiction. À l’état d’esprit, on n’éprouve pas ces émotions. Être sous la forme humaine nous permet d’éprouver des émotions. Cessez de chercher ce qui ne fonctionne pas, ce qui doit être réparer. There’s nothing to be fixed. You’re perfect the way you are.
Amicalement,
Sco!
Bonjour Sco!
J’adore ce conseil: « dont fix it »
Les émotions que nous vivons aujourd’hui sont
souvent des détournements et des défenses, une
façon d’éviter de sentir justement ces parties
douloureuses et cachées qui, elles auraient réellement des
émotions mais qui nous sont inaccessibles.
Être en colère, c’est souvent une façon de ne pas
sentir le désespoir, être désespéré ou en profonde dépression, c’est
une manière subtile d’endormir la colère inacceptable, donc
Je respecte les émotions car elles montrent que quelque chose est
caché mais je m’en sers surtout pour mener mon enquête.
Pour moi, les sentiments c’est autre chose.
C’est souvent ce que dit Panache Desai : You’re perfect the way you are. There’s nothing wrong with you! There’s nothing to be fixed.
Je trouve que ça soulage de savoir qu’on est venu ici pour vivre des choses humaines.
P.S. Désolée pour «ce qui doit être réparer». Je corrige réparé!
This needed to be fixed!
Sco!
C’est effectivement bon de savoir que tout est là et qu’on ne répare
rien mais le chemin pour passer de la graine à l’arbre que nous sommes
reste parfois ténébreux pour certains, surtout quand toutes les étapes
font souffrir!
C’est ce qui pousse d’ordinaire à vouloir réparer!
Bonjour Hannah, Voilà un article qui me touche particulièrement. Depuis que j’ai découvert l’EFT et Le Ho’oponopono il y a environ un an un porte immense s’est ouverte. Je pensais depuis quelques années, j’ai loupé un épisode, on m’a caché un truc, pourquoi tous ces déséquilibres dans ma vie, la solitude, les échecs dans tous les domaines malgré tant « d’efforts » de « bonne volonté » de tentatives d’appliquer toutes ces « bonnes recettes » qui d’ailleurs ne fonctionnent même pas pour ceux qui les prêchent !! cette détresse intense de « mais qu’est-ce que je fous ici » ? Bref, mes deux couteaux suisses découverts (EFT et Ho’oponopono) petits et discrets mais surpuissants, à condition de les utiliser (!) et de ne rien attendre, juste nettoyer, nettoyer nettoyer et c’est tout! Ce n’est pas le paradis mais la certitude d’être enfin sur la bonne voie, d’être enfin sur la route de l’alignement et peut-être de la découverte de ma véritable nature selon le terme bouddhiste!
Merci pour ce blog je pense découvrir beaucoup de thèmes qui me parlent ici!
Bonne fin d’année et belles fêtes. Bernadette.
PS c’est moi qui ai fait les commentaires sur la vidéo des couleurs hier soir.
Merci Hannah ,
Hier soir après avoir ressenti le tremblement de terre, j’ai pensé au passage de la mort et me suis endormie très rapidement ensuite car j’ai compris comme toi que c’est ici et maintenant qu’il faut accepter ce qui ce présente, dehors comme dedans! Lorsque tu dis que tu as passé ta vie à vouloir arranger les problèmes je me retrouve, mais maintenant que j’ai soixante ans, j’ai décidé de faire du mieux que je peux mais surtout d’aimer ce qui se présente …et merci Ho’oponopono.
Bonsoir Nicole,
Moi aussi j’ai senti très fortement le tremblement de terre.
Je suis tellement habituée à vivre des TIPI que je l’ai vécu
comme tel: un délicieux massage dans tout le corps.
Aimer ce qui se présente, c’est vraiment le credo de Ho’oponopono.
J’apprécie tant ta sincérité, un bel exemple de réel partage.
Dans la vie courante, dire « je t’aime »n’est-ce pas un peu galvaudé, une belle excuse pour ne rien extérioriser ?
En fait, j’ai l’impression d’avoir traversé ma vie sans me préoccuper de moi, j’ai aussi sacrifié aux autres par devoir ou par conditionnement. Je n’ai pas su livrer l’essentiel, j’avais sans doute trop peur.
Ne faudrait-il pas changer de qualificatifs et voir « les problèmes » comme de simples occasions d’apprendre.? Les jeux, les sports, les exercices, tant de moyens de découverte de ses capacités et de ses fragilités ! Certains jeux de carte (Tan Doo) mériteraient d’être mieux divulgués.
On pourrait jouer à Ho’oponopono, on pourrait jouer sa vie, perdre et gagner n’auraient plus de sens.
Aux oubliettes les problèmes, place à l’expression de soi.
Bonjour Patrick,
Le « je t’aime » de Ho’oponopono ne s’adresse pas à une personne, car tu as raison,
c’est une formulation qui parfois est vidée de toute profondeur.
S’occuper des autres est aussi une occupation louable à partir du moment où
on est capable de manifester de l’attention, de l’affection et de l’accueil inconditionnel
à soi-même.
ça, ce n’est pas si simple même quand on croit savoir le faire.
PS Qu’est ce que le jeu de carte tan doo?
Ce sont des cartes qui présentent des images des scènes de la vie courante, de la vie de couple, à partir desquelles chacun est invité à exprimer ses réactions, son ressenti.
Cela permet de toucher les émotions, d’afficher des sincérités, de parler vrai de ses sentiments.
Une belle expérience.
http://www.oh-cards.com/index.php?article_id=135&clang=2
Merci pour les infos, cela ressemble un peu à certains tarots
qui effectivement permettent de faire des associations et
l’expression de ce qui reste caché d’ordinaire.
Bonjour Hannah
je suis entièrement de votre avis, pour aimer la vie, il faut s’aimer ,accepter que tout ce que l’on vit dans le moment présent est utile, même si on n’en a pas la signification , c’est que ça fait partit de nous , de ce passé, de nos erreurs, de notre éducation, de notre généalogie;
accueillir simplement, pour permettre de le laisser sortir.
c’est ce que je fais maintenant, vivre le moment présent sans chercher une raison aux choses.
bonne journée
Bonjour Momo et merci de partager
votre expérience du moment.
Moins comprendre permet souvent de mieux aimer.
bonjour hannah, waouw!!!!!! j’ai le cerveau en ébulition ce matin ,mais qu’avez vous d’autre a faire sur terre a part aimer , voila une phrase qui va me faire méditer toute la journée ,peut-etre plus , chaque message venant de vous me touche ,me remet en question jusqu’au prochain message , merci pour tout ,je vous adore bonne journée
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Bonsoir Siwik,
C’est une bonne façon de démarrer la journée…
j’ai mis une bonne semaine pour faire jaillir cet
article, je suis ravie qu’il vous bouscule.
bonjour Hannah,
comme on dit, « du petit lait » pour moi cet article sur Ho’oponopono que je pratique assidûment ! merci merci merci Hannah ! par contre ce processus qui dit qu’il nous faut aimer la partie qui dérange et qui souffre, voilà une bonne piste !! c’est vrai qu’auparavant, je me contentais de libérer les mémoires négatives qui m’empêchaient d’être en paix avec moi-même et je nettoyais, nettoyais mais sans amour pour elles.
Je vais donc maintenant ajouter l’amour à ce processus de nettoyage, amour envers moi-même, envers ces souffrances qui me gâchent la vie. Je les libère en fait parce qu’elles sont mauvaises pour moi mais sans les aimer pour ce qu’elles sont. Très très intéressant et quel plaisir de lire cet article, j’en « boirais jusqu’à plus soif » !!
« Ne trouvant pas votre cœur à l’intérieur, vous plongez dans la relation avec les autres, vos parents, votre famille, avec vos enfants » voilà une phrase qui me parle ou plutôt qui m’a longtemps parlé !! car maintenant c’est moi que je cherche à l’intérieur et les blessures de l’enfant que j’étais.
Amitiés Hannah et merci pour tout
Bonjour Christine,
Merci pour votre commentaire et votre compréhension du processus.
Commencer à ne plus juger les mémoires de négatives et les aimer
pour ce qu’elles sont est une grande avancée dans Ho’oponopono.
Bel article, Hannah, je n’ai pas lu jusqu’au bout mais presque (trop de travail m’attend, je faisais une petite pause), et je n’ai pas tout compris mais je sens intuitivement ce qu’il en est.
Dur débat : qu’est-ce que la vie ? Moi aussi je me demande toujours, surtout lorsque la maladie ou même un tragique accident ou assassinat atteint des enfants ou de jeunes personnes : pourquoi lui/elle ? J’ai découvert Zach Sobiech il y a quelques mois, il m’a émue par sa force de vie, son courage incroyable !
Je t’avoue que je n’aime pas la mort, ni la vieillesse, ni la décrépitude. Cela m’angoisse et m’atteint viscéralement, même si je sais que ça fait partie de la vie.
Belle journée !
Marjorie
Bonjour Marjorie,
Merci pour ton partage.
C’est précisément le job du coeur, pouvoir aimer
l’impensable. Nous avons une vie pour nous y
faire et y parvenir.
Accepter qu’on n’y arrive pas est déjà un atout
du coeur!
Merci, c’est vraiment ce dont j’avais besoin aujourd’hui
Bonjour Dom et n’hésitez pas à revenir en dire plus 😉
C’est vertigineux cet article, je crois qu’il faut que je
le relise plusieurs fois mais je pressens qu’il y a
une clé essentielle dedans. Encore merci!
Bonjour Ismael,
En tous cas, c’était aussi une clé essentielle pour moi que j’ai
tenté de transmettre.ce n’est pas toujours facile de mettre en
mots une révélation, elle apparait comme une lapalissade
alors que pour moi elle est profonde.
Bonjour
Que de vibrations dans ces messages, de quoi se laisser vivre en douceur et tendresse, qui sont des ouvertures vers l’expression de ses sens.
Bonjour Robert,
Merci beaucoup pour cette appréciation.
Bonne journée Hannah,
oui, tout a été essayé, consulté, pratiqué, envié, aimé, payé, souvent très cher, cherché loin, souvent, de toutes sortes et tous acabits tous fortifiant et ensemençant mais…. la joie ne resplendit pas sur mon visage à l’approche des 70 ans…. C’était pourtant mon but…
Alors je ne vaux vraiment pas la peine de continuer si cela se reflète déjà sur 3 générations… Heureusement qu’il existe maintenant ouvertement des moyens de se » libérer » à la 1ère attaque corporelle; mais il m’est demandé de l’écrire devant notaire pour authentifier ce que j’ai fait promettre à mes enfants…
Et voilà que ce matin je te lis…
Et je comprends que lorsque Jésus a dit cette phrase folle d' »aimer l’Eternel, le Vivant, le Cosmos en Esprit et en Vérité, comme soi-même et comme les autres, de toute son âme, de tout son cœur, de toute sa pensée » cela signifie Aimer le Grand Autre, le Grand Tout et moi dedans avec TOUT de moi, au lieu de me bagarrer constamment contre tout ce que j’ai emmagasiné comme des pelures d’oignons qui n’en finissent pas de tomber avec la crainte que au fond, le fruit soit pourri.
Mais il faut que le fruit pourrisse pour que la Vie renaisse. L’intellect l’a appris mais quelque chose regimbe….
Pourtant quand les écailles de Paul sont tombées, lui, il a vu la Lumière!!! et il n’y eut plus de condamnation, plus de culpabilité!!! Même en prison, même avec une « écharde » dans la peau qui le faisait souffrir continuellement;, il réussit à bénir jours et nuits, donc c’est qu’il donne de l’amour à cette souffrance. Tu m’ouvres les yeux et les oreilles. Merci. Qu’on est loin de com-prendre le sens réel du mot « aimer »…
(Le travers à éviter est de ne pas aimer la souffrance comme les flagellants!!! )
Bonjour Michèle,
Oui, nous parlons de la même chose.
Aimer est un peu vide de sens et on l’a utilisé à toutes les sauces
mais, au-delà des mots, c’est une réalité tangible que de pouvoir
s’ouvrir.
Il n’est pas question d’aimer la souffrance mais d’aimer les parties
qui souffrent, pas de souffrir avec, c’est très différent.
Bonjour Hannah, j’ai écrit longuement et j’ai coché que je ne suis pas un robot et j’ai appuyé sur envoyer commentaire mais je ne vois pas mon comm. Est-il disparu? J’ai l’habitude de ça avec internet que je ne maîtrise pas assez bien.
Michèle, je le publie juste après..
Bonjour Hannah,
Tout comme Dom, votre article est un sacré rappel et appel, en effet, quoi de plus beau que l’ Amour dans cette vie. Au moment oú je l’ ai reçu j’ avais terminé un coloriage de mandala et en écoutant mon « Partenaire Silencieux » ( excellent livre de Seymour Brussel « Un chemin vers l’ Être », je me disais que je devrais être une excellente mère pour mon enfant intérieur, et de l’ aimer beaucoup même s’il fait encore des bêtises!!!
Merci Hannah, votre article est, comme d’ habitude, une Source de Bonheur!
Bonjour Claudine,
Belle activité que de faire des mandalas!
J’ai l’impression que notre enfant intérieur est
multiple. Nous connaissons bien sur celui qui se
présente dans le travail sur soi et la thérapie
mais les parties qui sont dans l’ombre ont une fâcheuse
tendance à rester dans l’ombre…
Bonjour Hannah
« vouloir résoudre des problèmes, c’est tenir le problème dans une main et la quête de la solution dans l’autre. » : Oh oui !
Il n’y a qu’amour sur cette Terre. Comme le dit Sco, « There’s nothing to be fixed. You’re perfect the way you are. ».
Tout découle de l’amour. Seul notre mental analyse à sa sauce. Dans l’énergie du coeur, on peut voir le monde tel qu’il est vraiment.
Mais cela demande un travail en profondeur sur soi et je me reconnais dans ce que tu dis dans cet article. Pourquoi tant d’effort ? Alors que finalement, c’est l’inverse qui nous est « demandé »…
Bien amicalement,
Dorian
Bonjour Dorian,
Parfois il faut faire beaucoup d’efforts pour en
arriver au point où il n’est plus nécessaire d’en faire…
un peu comme l’alchimiste qui découvre son trésor mais
à l’autre bout de la terre.
S’il ne s’était pas tant éloigné d lui-même, il n’aurait trouvé
la façon de se rapprocher de lui!
Très juste Hannah.. 🙂
Bonjour Hannah,
Votre article m’éclaire encore une fois sur les questions que je me pose sur moi-même et le sens de ma vie.
Merci de partager vos expériences car elles nous orientent efficacement, nous permettent de gagner du temps, d’aller droit au but.
Ce que je me propose de vivre, c’est une certaine débonnaireté envers la vie pour moi qui suis inquiète et perfectionniste, ce vrai sens de l’amour que vous expliquez bien, l’acceptation du « négatif », l’expression de soi, sans oublier la simplicité !
Pour ma part, je ne comprenais pas encore très bien la méthode Ho’oponopono mais je suis enfin prête à l’expérimenter.
Vivement votre prochain article,
Sincèrement.
Bonjour Cindy,
Ho’oponopono n’est bien sur pas la seule approche
pour s’ouvrir à la totalité mais c’est la plus simple que je
connaisse.
Bien sur elle ne se dévoile pas tout d’un coup, elle pousse
à s’ouvrir jusqu’à ce que nous soyons prêt pour l’étape
suivante, sachant qu’il y en aura d’autres dont nous n’avons
encore aucune idée.
Le prochain article sera plus léger 🙂 je serai en Thaïlande donc
ce sera de la découverte et de la détente.
Très touchée par cette belle et longue introspection Hannah <3 . Précieux témoignage de ton cheminement intérieur très inspirant pour moi , qui nourrit mon besoin de croissance et de partage . Grand merci <3
Ce sont les derniers approfondissements…
ravie d’être inspirante;-)
Il faut quand même que tu m’expliques ce que signifie <3....j'en suis restée à 😀
Bonjour Hannah !
Votre article m’a fait comme un électrochoc !
Aimer cette partie de moi qui crée ou a pu créer mes différents mal-être et tout s’ouvre au niveau du cœur !
Faire la paix avec TOUTES les parties de soi, aimer ce qui est…
Arrêter de combattre cette part de soi afin d’arrêter de battre quelqu’un qui est déjà à terre
j’ai la sensation depuis que j’ai lu votre article qu’une nouvelle porte s’ést ouverte sur mon chemin, une porte débordante d’Amour et je crois que ce que je ressens, là ,au niveau de ma gorge et de ma poitrine , c’est tout simplement la Joie !
Merci ! Merci ! Merci !
Merci Sophie pour ce témoignage,
c’est effectivement ce qui se passe lorsqu’on
perçoit dans la finesse ce que signifie s’ouvrir
à toutes les parties de soi, en sachant bien sur qu’il
y en a sans doute encore une ou deux qui trainent dans l’ombre.
Rien que cette étape ouvre plus grand le coeur.
Bonjour Hannah,
J’ai lu avec attention ton article tôt ce matin avant de partir au travail et je l’avoue, il m’a interpellé sur plusieurs points : passe-t-on la majeure partie à résoudre des problèmes ?
Je ne suis pas encore thérapeute, mais je me forme actuellement dans ce sens. Cela dit, j’aide déjà beaucoup de personnes à résoudre leur probllème et me considère aujourd’hui comme un coach ou un enseignant de la vie (sans prétention bien entendu).
Et comme on dit, enseigner, c’est apprendre une deuxième fois.
Ainsi, en apportant mon aide par le coaching, je me permets aussi d’évoluer et d’apprendre
Je dois continuellement surmonter les obstacles dues à mes peurs inconscientes, mais par contre lorsque j’y arrive, par la réalisation de mes projets, dans l’ici et maintenant, alors oui, je me sens heureux et je n’ai plus de problème…. tout semble couler de source.
Alors, si j’en crois ton article, je devrais me poser cette question : suis-je parvenu à aimer la partie en moi qui m’attire les problèmes ?
Je crois que oui, car je sais que sans elle, je n’en serais pas là où j’en suis aujourd’hui.
En plus, je pense que c’est la chose la plus facile à faire lorsqu’on a appris à écouter ses émotions et à les accueillir comme des guides qui nous aident à découvrir ce qu’on veut être, à écouter son mental et le considérer comme un collaborateur fidèle qui est à notre disposition (et non lui donner le pouvoir sur notre vie).
Aimer n’est pas un but, c’est un état d’esprit. Un état d’esprit qui nous permet d’attendre nos buts.
Et si le but de l’humanité était tout simplement d’évoluer ?
Évoluer vers une meilleure compréhension de qui nous sommes.
Mais la question que je te pose en cet instant : pour celui qui souffre de tous ces problèmes et qui souhaite appliquer l’amour de soi, quelle est la première étape à franchir ?
Quel est le premier pas qu’il peut faire, en partant d’où il est, pour se diriger vers ce nouvel objectif ?
Car pour avancer, il doit bien y avoir un premier pas à faire, n’est-ce-pas ?
Bien amicalement
Bonjour Stephan,
Reconnaître et accepter une partie en nous qui crée inconsciemment les difficultés,
c’est déjà beaucoup de travail. De la véritable graine de thérapeute 😉
Sentir sa souffrance quand elle est là, c’est aussi beaucoup d’empathie.
Quant à l’aimer, c’est vraiment autre chose et ce n’est pas si facile.
Cette partie n’est pas simple à atteindre car elle est protégée par des montagnes
de défenses, c’est aussi pour cela qu’elle résiste à pas mal de thérapies!
Il est difficile d’aimer ce dont on n’est pas conscient et qui prend d’autres formes
en 2014 que les traumas d’origine.
Pour moi la première étape à franchir c’est de cultiver ho’oponopono.
Là où je suis arrivée, je ne fonctionne plus tout à fait en termes d’objectifs mais
tous les chemins sont permis du moment qu’ils nous conviennent.
Bonjour hannah
En lisant ton article, j’ai appris encore quelque chose : je pratique quelquefois Ho »oponopono, pas assez à mon avis, mais pas comme tu le dis. Pas à aimer ce qu’il y a de moins bien en moi, ce que je veux nettoyer. J’ai dû bien relire certains paragraphes de ton article dense et riche en explications. Il faut s’aimer, aimer tout ce qui est en soi : le bien ou le moins bien, mais il faut nettoyer en même temps ?
merci pour tes articles toujours enrichissants et les commentaires des autres personnes sont toujours intéressants à découvrir
bonne soirée
Jacqueline
Bonjour Jacqueline,
Dans les phrases du nettoyage Ho’oponopono, il est inclus
« je t’aime » donc nettoyer et aimer c’est un peu la même
chose pour Ho’oponopono.
Ce qui n’est pas facile c’est de pouvoir le faire en le sentant
vraiment, pas juste en répétant les phrases.
inintéressant , mon père vient d’être opéré du cœur, c’est bien le thème du moment.
Comment peut on aimer cette partie difficile d’accès, sans carte… et sans opération ? (!)
Bisous. Sabrina
Bonsoir Sabrina,
Son corps porte à sa place les souffrances qu’il
n’a pas accepté d’avoir.
C’est difficile de faire le travail pour quelqu’un d’autre.
En tant qu’enfant, on porte aussi les schémas non résolus
de ses parents donc, lorsqu’on travaille sur soi, on fait
avancer la mémoire familiale.
ici on sait que c’est une blessure du coeur.
Beau moment que de vous lire. Merci pour cette authenticité et cette profondeur.
Ce soir, j’ai suivi une route qui indiquait Gap tout le long. Ce n’était pas ma destination, mais c’est ce qui m’interpellait sur les panneaux.
Je viens de comprendre pourquoi on m’indique, et même, me balise ce chemin
Merci
Bonjour Jany,
C’était un clin d’oeil de la vie!
Salut Hannah,
Merci pour cet excellent article qui va très en profondeur ! Et c’est un sacré défi que tu nous propose de relever en aimant ce dont on a le plus envie de se débarrasser !
J’adore l’idée même si je pense manquer de maturité pour la digérer pour le moment. Je n’ai pas encore 30 ans, j’ai encore du temps pour évoluer. En tout cas, je trouve génial de lire tes conclusions après autant d’années de travail sur soi. On en revient aux bases de laisser ce qui est !
Et petit clin d’oeil, comme j’ai rêvé qu’on discutait ensemble de tout ça après avoir lu ton article la première fois.
C’est vraiment apaisant de juste aimer quoi qu’il arrive et en même temps si dur comme ce n’est pas ce dont on est habitué à faire. C’est passionant tout ça. Au plaisir !
Bonjour Jonathan,
Je crois que pour l’âge que tu as, tu ne manques pas de maturité 😉
A chaque âge ses découvertes.
Ton rêve deviendra réalité bientôt 😉
Bonjour Hannah
Quel magnifique article sur toi (et ta sincérité) et Ho’oponopono qui est pour moi (et toi bien sûr) une technique si simple et tellement efficace.
Comme toi j’ai fais un gros travail sur moi (d’ailleurs loin d’être terminé) et même si quelques petites choses me causent encore un peu de souci (pas vraiment très importants mais disons des pensées qui voltigent) j’applique immédiatement cette technique pour guérir la partie de moi qui souffre mais sans attentes car il ne s’agit pas comme tu le dis si bien de faire Ho’oponopono pour obtenir quelque chose d’autre que notre guérison
Plus il y aura des articles comme le tien, plus de gens s’y intéresseront et plus la planète ira mieux car il y aura de + en + de gens qui iront mieux et transmettront une énergie positive
Bonjour Sylviane,
Je trouve qu’il y a de plus en plus de gens qui connaissent ce processus
donc c’est bon signe pour la planète.
Aujourd’hui j’en arrive même à ne plus avoir la guérison comme objectif 😉
bonjour Hannah
il a bien fallu que je lise votre article au moins 2 fois; comme je m’y suis vu , particulièrement dans la 1ère partie
effectivement, chercher à résoudre ses problèmes, occupe une grande partie de la vie, pour s’apercevoir parfois si tard, que « la voie est le but », j’ai passé une grande partie de ma vie à chercher à transformer les montagnes en plaine ou vallée, à l’aide des muscles, de conflits sociaux, parce que la solution était là, de procès, parce que la solution était ici, à l’aide de psycho pelles et psycho pioches, j’ai toujours beaucoup de mal à accepter le présent, accueillir certains problème qui me mettent encore dans certains états, comprendre depuis peu, que cette cause qui revient , revient pour m’aider à nettoyer, et que même la méditation qui me dit : laisse passer comme un nuage, ne m’aide pas vraiment, jusqu’à ce que je comprenne, qu’il faut s’arrêter, regarder, accueillir (je n’aime toujours pas « accepter »), et tirer des leçons, pour corriger;
j’ai lu quelque part qu’il n’y a peut être pas de sens à chercher à la vie, la vie se vit, sans chercher de sens, apprendre; pourquoi une incarnation, si cela est vraiment comme ça , sinon apprendre à mieux se connaitre, pour mieux connaitre les autres, apprendre à s’aimer pour mieux …pas facile,
je vais arrêter, mais quand même une interrogation subsidiaire : je suis estomaqué par ceux qui se rappellent de leurs rêves, j’aurais tendance à dire que je ne rêve jamais, tout juste si je m’en rappelle 3x / an, je suis presque envieux des gens comme vous, comme s’ils avaient accès à quelque chose que je n’atteins pas, serait ce un symptôme docteur ?
bises à vous Hannah, faites moi un signe au moment des inscriptions pour Annecy, ce n’est pas si loin de chez moi
Bonjour Antoine,
je crois qu’il y a un processus d’évolution.
D’abord, on cherche un sens puis quand on en a trouvé un
on lâche l’idée du sens.
Puis on cherche à réparer pour s’apercevoir qu’il n’y a peut
être pas besoin.
L’idée c’est de suivre son chemin et d’aller vers plus de facilité,
d’aisance, de plaisir et de simplicité, à notre rythme.
il y a des moments où tout compliquer c’est bien aussi 😉
Pour les rêves, je crois qu’il faut faire des demandes et avoir
vraiment l’intention de s’en servir.
L’astuce de base c’est boire un verre d’eau à moitié avant de
dormir et de boire l’autre moitié le matin.
On se souvient de ses rêves entre deux eaux. Il est bon de rester
dans le noir le matin et sans ouvrir les yeux quand on cherche
à savoir si on a fait un rêve.
Si on en retrouve un, il faut pouvoir le noter les yeux fermés
sinon il fout le camp!
Si vraiment rien de tout cela ne marche, c’est que ce n’est pas un chemin
pour vous , vous en trouverez un autre qui vous conviendra
mieux parce plus facile d’accès.
Cette lecture fut une grande aventure…
j’ai l’impression qu’il faut que je laisse l’énergie qui
s’en dégage descendre lentement afin que je puisse
l’assimiler.
Oui, j’appelle cela « infuser », c’est beaucoup
plus puissant que la compréhension!
Très bel article comme d’habitude.
Je suis très sensible à celui-ci.
Pour moi aujourd’hui, je ne peux pas vivre sans Ho’oponopono.
Je le pratique au quotidien, et lorsque je lâche prise, la situation s’éclaircie, se clarifie et tout se met en lumière. En effet, le problème ou l’événement devient une épreuve que j’ai réussi à surmonter. Grâce à cette épreuve, je deviens encore plus consciente et dans l’acceptation.
J’ai appris une chose lors d’un stage avec toi et Alain c’est que je suis 100 % responsable de ce que je vie. Le jour ou je l’ai compris ma vie c’est transformée, elle est devenue plus lumineuse. Je suis depuis ce jour là dans l’acception de tout ce que je crée.
Et si J’ai crée cette situation ou cet événement et qu’ il ne correspond plus à mon état d’être, à ma nouvelle vibration , je dit « NON » ou bien je QUITTE pour passer à autre chose.
Ho ‘oponopono est un outil formidable, je l’utilise pour nettoyer des mémoires et cela fonctionne très bien et lorsque la situation se débloque : bonjour ! les dégâts ! je recolle les morceaux !
Je l’utilise également pour faire taire mon petit vélo lorsqu’il se met en route, ou bien pour m’endormir…bref à présent Ho ‘oponopono je deviens Ho ‘oponopono !!
Merci Hannah pour tous ces partages.
Je t’embrasse
Bonjour Brigitte,
Le 100 % responsable est une étape importante sur le chemin.
ce qui est drôle c’est qu’à un moment donné du parcours, on
lâche la responsabilité puis plus loin on la reprend.
le mental n’y comprend rien mais ce n’est pas lui qui doit
faire Ho’oponopono!
Lorsque le nettoyage Ho’oponopono s’enclenche tout seul,
c’est que notre subconscient a décidé de travailler avec nous.
il collabore, il y a vraiment moyen de l’éduquer!
Je rajoute que parfois faire Ho’oponopono ne résout pas
la mémoire mais bien au contraire, il la révèle.
En apparence, on va moins bien un peu comme pour les
remèdes physiques efficaces.
Une fois que la mémoire est là, on peut enfin la travailler.
Hannah, je me pose une question.
Tu rappelles les 1000 et un chemins que tu as testés, desquels tu as beaucoup appris sans pourtant qu’ils ne parviennent à te satisfaire pleinement.
Ce faisant tu montres un réel détachement sur les choses, les personnes et les techniques, à juste titre tant les solutions miracles n’existent qu’en rêve.
D’où la question : en promouvant Ho’oponopo aussi intensément, conserves-tu toujours le même détachement sur les choses et les techniques ?
Parmi tous ses atouts que tu décris dans tes articles – je te crois volontiers – n’est-elle pas néanmoins qu’une technique de plus ?
Bonjour Jean-Luc,
Ah oui, tu as parfaitement raison.
Au départ Ho’oponpono était une technique comme une autre.
Elle venait s’ajouter à mon panier bien rempli.
Comme c’est une vraie voie d’Eveil, il est inclus dans
la voie des petits « logiciels » qui éclosent sur le chemin.
C’est un peu comme les histoires dont on est le héro.
Chaque fois que tu as pratiqué assez intensément, un
nouveau niveau s’ouvre totalement inaccessible avant.
le mental est content, il pratique, il croit qu’il va aller
quelque part (il faut bien le nourrir) et en route, il
se fait avoir…il tombe sur un truc pas prévu.
C’est ce que j’appelle, « scier la branche sur laquelle on est
assis ». Le mental veut des gains et s’il pratique, il perd des plumes!
Pour te donner une image dans une version plus pessimiste, il y a des
téléchargements que tu peux faire mais dans le logiciel, il est
inclus que tu ne peux pas le télécharger plus de 4 fois, après tu le perds.
Là c’est l’inverse, dans le téléchargement, il est prévu que ça s’ouvre
mais tu ne sais pas comment.
C’est ce qui m’est arrivé et que je trouve assez magique. C’est pour cela que
j’enseigne Ho’oponopono sur plusieurs niveaux car tant que tu n’a pas atteint
par tes propres moyens le niveau suivant, ça ne sert à rien que tu fasses
le stage suivant!
PS J’aime bien tes interrogations pragmatiques, ça permet
de chercher des réponses claires…tu serais pas coach par hasard;-)
Merci Hannah d’offrir ainsi ton parcours.
J’en saisi toutes les subtilités, savoir aimer de « l’intérieur »…
C’est ce qui me parle le plus, tu nous amène vers une réflexion qui change totalement nos croyances.
Comme la notion de « bons parents » que tu nous explique merveilleusement bien.
Amicalement,
Hélène
Bonjour Hélène,
J’ai rencontré peu de bons parents parce qu’ils ont tous
leurs bazars à régler, par contre il reste une seconde
chance au grattage, être un bon parent pour soi!
Bonsoir Hannah,
En effet, ton article tombe à pic ! je le partage sur les réseaux sociaux.
merci,
Bien amicalement,
Christine
Merci Christine, ça s’appelle le perfect timing;-)
Bonjour Hannah,
Je suis toujours admirative du partage de tes connaissances avec les autres.
Les épreuves que l’on rencontrent nous permettent de mettre à jour certains dysfonctionnements personnels.
C’est alors l’occasion de venir lire tes articles remplis de bons conseils et de méthodes à suivre.
Belle et douce journée.
Danièle
Bonjour Danièle,
Merci pour ton commentaire.
La vie t’ a poussée dernièrement
dans certains retranchements et je suis
persuadée maintenant que ça redevient calme
que tu mesures le fruit caché dans l’épreuve.
Ca, c’est de l’article ! Et tellement pertinent, comme toujours ! Je comprends très bien ce que tu dis pour l’avoir expérimenter à différents niveaux : physique parfois (faire un avec la douleur, l’épouser et je ne porte plus alors un jugement de douleur, cela devient une sensation un ressenti qui n’est plus désagréable), ou bien sentimental (faire un avec son gros chagrin, l’aimer et le savourer)… et donc faire un avec soi, et être satisfait quelque soit la situation, déguster son état d’être, c’est ce que j’appelle la joie, la joie de vivre.
Alors moi aussi, j’ai cherché longtemps à me changer (ou à guérir), ou a changer les situations,mais maintenant je cherche plutot à apprécier, à aimer tout (je dis bien tout) ce que je vis. C’est dans ce but que j’ai créé mes ateliers « y-a d’la joie ». Le but n’étant plus de libérer et de guérir les blessures, mais de se laisser envahir par la joie de vivre et toutes les sensations qu’occasionnent la vie.
Que du bonheur !
Merci Hannah pour ce magnifique article
Patricia
Merci Patricia pour ce partage.
La joie c’est effectivement ce qui vient naturellement
quand on a cessé de se battre avec ce qui est.
Je me doute qu’on ne peut pas passer sa vie dedans non plus
mais quel plaisir de pouvoir expérimenter tous les états
sans jugement.
Très très bien vu, très fouillé !
Le moins que l’on puisse dire est que tu touilles là où ça fait mal, là où ça dérange.
Tu nous donnes du boulot, comme toujours, mais du moment que la solution existe, cela vaut la peine.
Alors merci.
Bonsoir Pierre
Votre commentaire est arrivé en lien cassé chez moi c’est pour cela,
j’ai un plugin qui me prévient donc j’ai été obligée de l’enlever.
pouvez vous le renvoyer?
Après vérification, il y a un problème avec votre adresse mail, l’email
que je vous ai envoyé m’est revenu. C’est à vous de jouer si vous voulez que je
le restaure.
Bonjour Hannah,
J ai l impression, pour ma la part, d avoir fait un chemin du « je fais confiance en la vie, je laisse venir, je me plais bien avec mes imperferfections et mes zones d ombre » a « travail intérieur permanent, contrôle de ce qui se passe, vigilance, observations… »
Seule chose que je ressens c est que c est assez fatiguant mais c est sûrement une étape encore… Il y a toujours qq chose en moi qui « fait confiance », qui croit que même si il y a lacune ça ira quand même…
Laxisme ou sagesse ?… Je ne sais pas…. Je dois dire qu’ il m arrive quand même de penser que j ai perdu bcp de temps en croyant que les choses allaient s arranger d elles-même….
Je me souviens aussi que lors d un stage de couleur que nous avions fait qui était « quelle est VOTRE couleur profonde » (ou qq chose comme ca), j avais au final tiré le Cuivre… Je suis vraiment en plein dedans…
Plein de bises de Diana la cuivre vigilante (-:
Bonsoir Diana,
Chère cuivre vigilante, les choses s’arrangent d’elles-mêmes
à l’extérieur à partir du moment où on lâche la façon dont on les
tenait à l’intérieur.
Cela reste un travail de chaque instant mais qui n’est pas forcément
du contrôle.
Quantà savoir ce qu’on tient, pas si facile!
Bonjour Hannah,
J’ai lu avec grande attention ton article, il m’a même fallu relire parfois certaines phrases plusieurs fois, tant il me bouscule… et qu’il arrive à point nommé !!
Je me retrouve actuellement engluée pour la nième fois dans une situation projective avec mon compagnon qui génère en moi tristesse et frustration.
Le secret, ce serait donc d’aimer la partie en moi qui génère ces troubles ? Vaste programme…
Intuitivement je le sais peut-être depuis l’enfance car je ne cessais de répéter à qui voulait l’entendre : « la seule chose qui compte sur cette Terre, c’est d’aimer « .
Tu viens de mettre des mots dessus, Merci !
Bonjour Roseline,
Oui c’est bien le programme et tu as raison,
ce n’est pas si simple!
Ceci dit à l’approche du carré le 21 avril, c’est
un peu normal que ça sequ comme dirait Johnny!
Bonjour hannah!
Merci beaucoup pour ta participation à ce carnaval d’articles!
Il faudra que j’aille voir dans tes autres articles si tu as autant de commentaires positifs, mais j’ai l’imression que tu as touché beaucoup de monde avec ce très long article personnel!
Je ne vais pas manquer de l’imprimer pour le lire au repos!
Bonjour jean-Louis,
Ah des commentaires tu en auras sur tous les articles…
je n’ai pas besoin que les commentaires soient positifs
s’ils répondent à de vraies interrogations.
Parfois même ils m’obligent à aller plus loin dans mes
réflexions…
Bonsoir Hannah,
Merci pour cette longue et si subtile réflexion.
A venir relire…
Poser le mot « problème » sur ce qui arrive, c’est déjà créer un problème, bien sûr.
La vie n’est ni belle ni laide, elle est. L’essentiel est dit.
Je ne savais pas que Ho’oponopono se rapprochait autant de la vision taoïste.
La méthode est souvent « vendue » comme un moyen vers quelque chose à obtenir, comme tu le dis avec humour.
Amicalement.
Marie.
Bonsoir Marie,
Oui Ho’oponopono est un voie d’Eveil, c’est sans doute
pour cela qu’elle flirte avec le Taoisme.
La subtilité de la technique s’acquiert avec la pratique.
Elle ne livre pas tous ses secrets au premier abord.
Bonjour Hannah,
Je fréquente souvent votre blog même si je commente peu. Merci d’avoir partagé avec nous votre expérience. Tout ce travail que nous faisons à longueur de journée (travail au travail, travail sur nous-même), et souvent nous sommes tentés de nous demander… pourquoi je ne me sens pas mieux ?
Je suis encore dans la vingtaine, j’espère trouver des réponses avant ma cinquantaine 😉 avec votre aide sans doute !
Bonsoir Gabrielle,
Sans aucun doute vous les trouverez, l’énergie aujourd’hui
n’est pas la même qu’il y a 50 ans et donc tout va plus vite.
Les jeunes humains(e) arrivent avec d’autres logiciels en
eux qui font qu’ils sont mieux préparés que l’arrière-garde 😉
donc je ne me fais pas de souci pour vous.
En attendant, vous pouvez profiter de tout ce travail de
conscience qui a été faite avant votre naissance.
Ton article est génial il fait beaucoup réfléchir…
Peut être que toutes ces années de recherches t’ont amené à Ho’oponopono, tout a un sens et arrive à point, comme tu l’as écrit tu as appris beaucoup.
Mais je me demande alors est ce que c’est bénéfique d’aimer la maladie? Est-ce-que ça a un impact sur elle ?
Je ne dois pas être encore prête à l’accepter et l’aimer car je me demande si ça m’aidera à guérir. J’attends toujours la récompense derrière….
C’est très dur de l’aimer, mine de rien, on cherche encore à comprendre ce qui se cache là dessous, c’est compatible de l’aimer mais de vouloir régler le problème tout de même ?
Bonjour Célia,
ça peut être compatible si le désir de l’aimer passe avant le désir de
retrouver la santé…c’est un peu comme un enfant, il veut bien des
médicaments s’il souffre mais il veut surtout de l’amour. D’ailleurs
s’il en a vraiment, bizarrement il tombe moins malade!
c’est vrai….
merci beaucoup!!!
Bonjour Hannah,
Quel article percutant et profond. Un très beau partage qui me rejoint beaucoup et m’interpelle aussi.
Le sens de ma vie, c’est quelque chose que je n’arrive pas à définir à un temps T. J’ai l’impression qu’il s’inscrit au fil des jours et que plus j’avance, plus il s’écrit avec netteté.
Quant à Ho’oponopono, il est devenur, depuis quelques années maintenant, un formidable outil de lâcher-prise et d’acceptation. Ses effets sont parfois inattendus, mais quand il est pratiqué avec une boule chaude d’amour au coeur de moi-même, il me mène toujours à un mieux-être. Alors, je pratique… Pas assez souvent, mais de plus en plus.
Merci et à bientôt !
Bonjour Bernadette,
A propos des effets inattendus de la pratique Ho’oponopono, c’est
toujours nouveau. Nous avons encore eu l’occasion de nous en
apercevoir pendant ce voyage aller en Thaïlande.
A la longue, on développe une certitude que tout ce qui se passe
lorsqu’on fait ho’oponopono est la réponse précise à la question
qu’on ne savait pas qu’on se posait…je ne sais pas si je suis claire…
Bonjour Hannah,
J’aime beaucoup la profondeur et la sincérité de ton récit.
Je me suis beaucoup reconnu dans cette quête du sens de la vie. Je n’ai pas encore mes 50 ans, mais qui sait la vie a peut être accélérée les choses me concernant.
Ton récit est une belle façon d’expliquer comment apprivoisé son Ombre.
Gratitudes pour ce moment d’authenticité.
Fatiha-Laska
Bonjour Fatha-Laska,
Heureusement, il n’est pas besoin d’attendre 50 ans pour
y voir plus clair. ce qui est quand même formidable c’est que
chaque année qui passe amnène son lot de surprises
(ho’oponopono oblige) qui fait que pour rien au monde
on aimerait revenir en arrière et retrouver ses 20 ans ou
ses 40 ans…
Cela fait un peu plus d’un an que je suis HO’OPONOPONO et votre approche m’ éclaire un peu plus et va m’aider pour la suite.
Actuellement je lis « LES LETTRES DU CHRIST, http://www.voiechristique.co.za, » ou le livre « CHRIST REVIENT – IL DIT SA VERITE »
Dans ces lettres, il y a des choses qui se rapprochent d’HO’OPONOPONO.
Je vous remercie et j’espère à bientôt.
Bonjour Fabienne,
ça ne m’étonne pas, Ho’oponopono est avant tout une voie
de coeur donc c’est très compatible avec le message de la Bible
Coucou Hannah,
Tu fais probablement partie des contributions les plus complètes de la croisée des blogs de ce mois-ci. 🙂
Déjà, je suis heureux que tu aies parlé du Ho’oponopono, terme que j’ai souvent lu mais jamais entendu, et qui du coup se lit dans ma tête « Hooooooooo pononopononopononoponopononopononopono », ce qui me fait toujours beaucoup rire (oui, plus c’est con, plus ça me fait rire).
Cette passionnante précision étant apportée, pour en revenir au cœur du sujet, je trouve ton article très complémentaire de ma propre participation (le but de ce commentaire n’est pas spécialement de faire de la retape, note bien). Sur le sujet du sens de la vie, tu centres la question – comme tout le monde, c’est extrêmement naturel – sur l’amour de soi et l’acceptation de ses parties « sombres » comme moyen de gestion de ses souffrances, surtout les non guéries (certes, je schématise, mais je ne vais pas copier-coller tout ton article…;) ). Bien que ta proposition soit originale au sein du paradigme dominant (« je ne cherche plus à guérir mes souffrances mais j’aime même les parts de moi qui me font souffrir »), elle n’en fait pas moins partie, du dit paradigme.
Bref, je ne vais pas faire dans le théorique, je suis déjà assez bavard de nature, allons droit au but : qu’on cherche à se « guérir », à courir les thérapies, ou à accepter et à aimer ce qui ne va pas en nous, on reste dans tous les cas « égocentrés ». C’était l’essence de ma proposition : et si, au lieu de se demander si on va bien, si on va mal, si on doit s’améliorer ou au contraire s’aimer tel quel, bref, si au lieu de passer sa vie à contempler son nombril, on regardait vers l’horizon et on avançait vers ce qu’on a envie d’accomplir ? Et si le sens de la vie était là, dans ce que l’on construit et ce que l’ont crée ? Et si ce sens-là était de plus le plus puissant véhicule de bonheur (au moins pour ceux qui sont de nature active et non contemplative) ?
Bien entendu, je caricature un brin pour me faire comprendre, je ne prône pas l’oublie de soi à 100%, mais dans le « développement personnel », j’observe que les gens sont plutôt dans le « centrage sur soi à 100% », d’où mon contrepoids un peu sauvage. 😉
Bien à toi,
Matt
Bonjour Matt,
Ce contrepoids sauvage est ta marque de fabrique, ce serait dommage de t’en
priver.
je ne suis pas certaine qu’il y ait des styles de personnes bien définies entre
« contemplatifs et actifs ». je me sens les deux mais dans une version féminine,
c’est pour cela que mon moteur aujourd’hui est plutôt le coeur après moulte
pérégrinations. C’est d’ailleurs à partir de celui-ci que j’arrive à créer .
Pour un homme, je crois que l’action et l’accomplissement de soi passent
effectivement plus par la création, c’est sa nature et son expression première.
Donc deux approches complémentaires et originales pour respecter deux énergies
totalement différentes.
Merci pour ta réponse. Il est tout à fait vrai que je n’avais pas bien pris en compte la polarisation masculin/féminin dans mon raisonnement, ton objection est très intéressante. Je vais la mûrir de ce pas. 🙂
Bonsoir Hannah,
Lorsque j’ai lu ton article, j’en ai eu les larmes aux yeux. Visiblement tu as touché quelque chose en moi…
Peut-être un petit moi qui en a marre de voir le parent que je suis pour moi trouver des solutions pour le guérir.
Ça me laisse pensive.
J’ai bien intégré le fait que j’étais 100% responsable et que les autres ne sont qu’un miroir de ce ce que j’ai à travailler en moi. Pour le moment je suis dans l’acceptation mais de là à aimer cette partie en moi…
A bientôt
Magalie
C’est là que se niche l’amour et ce n’est pas
si facile!
Bonjour Hannah,
J’avais déjà lu ton article que j’aime beaucoup par ce qu’il reflète de sincérité, de facilité à lire et de nouvelles connaissances pour moi. Je ne connaissais pas Ho’oponopono. Et tu vois cette première lecture et celle de tes articles qui traite de ce sujet ont dû avoir un effet sur moi car très récemment, j’ai repensé à mon chien que j’ai dû faire piquer. Cette mort remonte à plusieurs années mais j’ai toujours gardé un sentiment profond de tristesse et de culpabilité très fort en moi. Or, récemment en rêvant à un chien, la mémoire du mien est apparu et je me suis mise à pleurer. Alors, je lui ai dit je t’aime, pardonnes-moi, je t’aimerai toujours et un sentiment de quiétude et de soulagement m’a envahi et son image s’est estompée. Je pense que j’ai dû faire inconsciemment un ho’oponopono car mon coeur était apaisé comme s’il m’avait pardonné. Pourtant, ça fait longtemps et ça fait longtemps que je lui demandais pardon mais je n’avais jamais ressenti avant qu’il m’ait pardonné pour que je me sente ainsi libérée.
Bon, ça a l’air un peu tordu mais je suis sûre que ce soir-là, j’ai nettoyé la mémoire de mon chien que j’aimais tant.
En tout cas, ce soir-là si c’est vraiment ça qui s’est passé, il m’a permis de me libérer d’une souffrance lointaine mais toujours présente. Maintenant, quand je pense à lui, je ne ressens rien que l’amour que j’ai pour lui. Sans regret, sans remords, sans tristesse. Penses-tu que ça soit un ho’oponopono?
J’aime beaucoup ce mot Ho’oponopono, je le trouve amusant et il m’inspire un conte pour enfant… ça viendra sûrement quand je l’aurais assez compris pour le pratiquer régulièrement.
Un grand merci pour tout ce que j’apprends et que je lis chez toi et qui me fait tant de bien!
Bonjour Cat,
Oui cela ressemble beaucoup à du pardon.
C’est bien dans l’énergie de Ho’oponopono
Mais que pardonne t-on et à qui?
En fait, on demande à sentir l’énergie du pardon
et on demande pardon pour avoir utilisé la
situation et le départ d’un être cher pour
avoir justifié notre impossibilité à ouvrir
notre coeur…
Que penses-tu de cette version du pardon?
Bonjour Hannah,
« Mais que pardonne t-on et à qui? »
C’est à moi je pense, que j’ai pardonné un geste que je n’avais pas d’autre choix de faire, que je ne voulais pas et que mon chien ne voulait sûrement pas non plus, malgré l’obligation de le faire. Je ne m’étais jamais pardonné ce geste auparavant. Alors effectivement, mon sentiment de culpabilité me rongeait et m’empêchait d’ouvrir mon coeur et de me sentir pleinement sereine.Un sentiment que j’avais mal agi alors qu’au contraire, j’ai agi pour le mieux.
Est-ce que c’est de ça que tu veux parler quand tu dis : « on demande pardon pour avoir utilisé la
situation et le départ d’un être cher pour avoir justifié notre impossibilité à ouvrir notre coeur… » ?
Un grand merci pour ton écoute Hannah
Oui Cat, se ronger et vivre un sentiment de culpabilité est une façon
de ramener des mémoires anciennes en leur donnant une forme actuelle.
Dans la situation, il n’y avait sans doute pas autre chose à faire
mais une mémoire souffrante a été rejouée à ce moment-là qui n’avait
pas forcément de lien avec ce chien.
En travaillant sur la situation qui est cachée derrière, vous allez
libérer la mémoire et la gratitude est proche.
bonjour Hannah, moi aussi j’utilise Ho pono activement, et depuis peu il bouge en moi, je veux dire par là , que j’ai senti les pôlarité des parties aimées en moi et celles non aimées… je les ai intégrées et je les aime toutes à tout moment… mais la n’est pas le sujet, depuis il s’ouvre une 3ème voie, qui n’en ai pas vraiment une d’ailleurs, c’est juste la somme du Tout, qui se met en place dans l’acceptation de toutes les parties en moi, et qui m’amène le choix d’une 3ème voie. A savoir « JE SUIS », dans ma totalité.. ce qui d’ailleurs pour faire un clin d’oeuil aux articles sur les problèmes financiers, commencent à se résoudre gentiment…
J’ai pas « fait » grand chose, j’ai commencé par faire de longues promenades en forêt, puis un jour je me suis assise et j’ai écouté, le lendemein j’ai gouté le vent sur mon visage et sur mes bras et petit à petit au fil des jours je suis devenue… et j’aime ça . Merci infiniment pour vos articles sublimissimes.
Merci France pour votre témoignage.
C’est bien sur le but principal de
Ho’oponopono, trouver l’Etat Zéro.
Que pourrait-il y avoir d’autre?
Il est vrai que je ne connais pas bien La méthode Ho’oponopono Hannah, et je ne sais pas si elle me conviendrait, cela dit ton article est très complet, il m’a éclairci un peu plus sur ce sujet.
J’suis d’accord, aimer, aimer et encore aimer… J’y travaille tous les jours, je teste, j’applique. J’ai surement des manques, mais j’aime ces manques car ils me permettent de chercher encore et encore donc toujours avancer… Dans la bonne ou mauvaise direction peu importe, ce qui m’importe c’est d’être actif et d’apprendre et tenter de corriger comme je peux !
Rassure toi Ali, je viens de terminer mon livre sur Ho’oponopono donc
tu vas bientôt en savoir plus si ça t’intéresse!;-)
Je suis tombée sur cet article en cherchant « comment donner un sens à ma vie »
Cela fait un an que je suis une coach de vie, 5 ans que je lis des livres de développement personnel… Et depuis 1 mois, je ne supporte plus rien. Mon coeur et mon corps sont à fleur de peau. Je ne peux plus rien voir, entendre,…. Je remets tout en question.
Et puis votre article… Et cet enfant en moi que j’ai oublié d’aimer. Oui cet ado qui me crée des calamités alors que j’ai tout pour être heureuse. C’est elle la réponse….
J’ai pleuré en lisant cet article. La réponse est si simple, mais si difficile à la fois….
Il n’y a pas de hasard. J’ai le livre Ho’oponopono chez moi et je ne suis jamais arrivé vraiment a le lire ou l’appliquer…
Merci pour ce merveilleux article, bien construit, vrai et juste. J’avais besoin de ça.
Merci Melody, c’est très touchant.
La vie est imprévisible car si je tape « donner un sens à ma vie »
sur Google, je suis à peu près certaine de ne jamais tomber sur
cet article!
J’ai repris en partie cet article dans un des chapitres de mon livre
sur Ho’oponopono, je vous préviendrai lorsque j’aurai trouvé un éditeur!
Bonjour Hannah,
J’avais entendu parler de Ho’oponopo, sans chercher en apprendre davantage et votre bel article m’éclaire, tellement de justesse.
Merci
Sandrine