Le cancer du sein (comme tout cancer) est-il une roulette russe ?

LJe vous présente cette semaine Daniel du blog « la vie en je » qui va vous parler d’un sujet qui le touche de près, le cancer parce qu’il en a traversé un et qu’il a surtout écouté ce que son cancer avait à lui dire.
Tout est parti d’un fait divers «People» et des inepties que vous pouvez encore lire aujourd’hui dans les médias à propos de la prévention du cancer du sein.
Prévenir oui, de là à mutiler quelqu’un de sain, il y a un monde. Cependant, certaines personnes ont besoin de se sécuriser avec la médecine traditionnelle.
Du moment qu’elles sont en accord avec elles-mêmes, elles mettent toutes les chances de guérison de leur côté.
Cet article est écrit pour ceux et celles que la médecine insécurise parce qu’elle ne s’occupe que du corps alors que l’humain est un tout holistique corps/esprit.
Il n’y a pas de bons et de mauvais choix, il n’y a rien à défendre, juste exposer un autre type de réalité que celle qu’on a l’habitude de lire.
Bon, je vous préviens, il y a un hic, Daniel écrit des articles aussi longs que les miens! Je lui laisse la plume:
Cancer du sein : quand prévention rime avec paranoïa
Après la décision d’Angélina Jolie de faire procéder à une ablation des deux seins (double mastectomie), on passe à un nouveau cap dans la prévention du cancer du sein.
Rajoutez à cela la recommandation récente de proposer un traitement hormonal préventif par tamoxifène aux patientes à risque pour le cancer du sein.
On a donc décidé de traiter préventivement des personnes qui n’ont officiellement rien…Quelle sera la prochaine étape ?
Une chimiothérapie et une ablation des seins pour toutes les personnes à risque, une hormonothérapie pour toutes les femmes …?
Pour ma part, je trouve qu’on nage en plein délire…ou quand prévention du cancer rime avec paranoïa.
ll y a pourtant bien d’autres moyens de gérer la prévention du cancer du sein que de façon chimique ou opératoire.
* 25 juin: les autorités médicales britanniques à travers la voix du National Institute for Health and Care Excellence (NICE) recommandent désormais la prise d’une pilule quotidienne pendant 5 ans pour les femmes dont la famille a eu des antécédents avec ce cancer.
Le cancer du sein n’est pas une maladie génétique
Angélina Jolie, héroïsme ou névrose ?
L’étude du cas d’Angélina Jolie revient à dire que le cancer du sein aurait des causes héréditaires. Or, on sait qu’elles sont minimes de l’ordre de 5 à 10%.
« La plupart des gens continuent de voir le cancer comme une sorte de roulette russe génétique, alors qu’il n’en est rien » David Servan Schreiber « Guérir »
Alors vous allez me dire, oui, mais on a parlé pour Angélina Jolie de 87% de risques qu’elle développe un cancer du sein et de 50% un cancer de l’ovaire, en raison de la présence d’un gêne défectueux (BRCA1).
Mais comment sont évaluées ces statistiques selon vous? Vous qui me lisez, si vous êtes une femme, savez-vous si vous êtes porteuse du gêne ?
Non, vous ne le savez pas, pour la simple et bonne raison que ce test est effectué dans les hôpitaux. Et sur quelle population ? Celle des femmes ayant développé un cancer du sein…
Oui c’est sûr, on a plus de chances de trouver des porteuses du BRCA1 dans les femmes ayant développé un cancer du sein. Mais cela ne prouve rien.
Qu’en est-il de toutes les femmes porteuses du BRCA1(sans le savoir) et qui n’ont jamais rien développé ? Si on estimait les risques en incluant toutes ces personnes, peut-être que le chiffre tomberait à moins de 10%.
Tous les médias ont salué unanimement la décision d’Angélina Jolie comme un acte de grand courage. Certains l’ont même qualifié d’héroïque.
Pour ma part, j’ai un peu de mal à participer à l’enthousiasme collectif. A-t-elle mesuré toutes les conséquences de sa décision ?
Elle fait ce qu’elle veut de son corps et loin de moi l’intention de la juger. Mais en rendant sa décision publique, elle entraîne dans son sillage nombre de personnes influençables.
Angélina Jolie est un personnage très médiatique. Elle envoie un message fort qui alimente la psychose déjà existante sur le cancer du sein?
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Et si la décision d’ Angélina Jolie était plus névrotique qu’héroïque ? Se faire enlever les deux seins quand on n’a rien, n’est ce pas un peu inquiétant ? N’est-ce pas nier le pouvoir de la vie et le pouvoir de création de chacun ?
Serait-ce symptomatique d’une volonté que chacun a de tout contrôler, de tout sécuriser et de plastifier la vie afin qu’elle ne déborde pas trop et vous échappe?
Ne pas confondre génétique et fidélités familiales inconscientes
Quand une femme développe un cancer du sein alors que sa mère et sa grand-mère en ont elles aussi développé un, la médecine conclut alors qu’il y a un gêne du cancer du sein.
Avec ce type de raisonnement, on en est arrivé à parler à un moment donné d’un gêne de l’alcoolisme. C’est un peu simpliste de dire que l’on boit à cause d’un gêne, plutôt que d’essayer de comprendre pourquoi on reproduit le schéma d’un parent.
Les férus de psychanalyse ou de la plus élémentaire des psychologies le savent bien : les enfants réparent ou répètent… (Vous connaissez le proverbe : « les parents boivent, les enfants trinquent »)
En extrapolant, si une personne se fout en l’air à trente-quatre ans dans le même virage que son père au même âge, c’est qu’il a le gêne « XYZ » que son père avait déjà, c’est ça ? Laissez-moi rire!
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La psychogénéalogie nous permet de comprendre ce que la génétique n’explique plus.
Anne-Ancelin Schutzenberger a bien décrit le phénomène de syndrome d’anniversaire qui pourrait justifier l’exemple précédent.
L’étude des liens transgénérationnels nous apprend que l’on reproduit des schémas inconscients, que l’on rejoue un scénario bien connu, alors que l’on se croit, à tort, totalement libre de ses propres choix.
Salomon Sellam appelle ce processus des fidélités familiales inconscientes, Jacques Salomé, des loyautés invisibles. Nous héritons en quelque sorte des dettes du passé de nos aïeux afin de leur trouver une issue.
Un cousin m’a appris un jour qu’il ne mangeait jamais de fromage de chèvre depuis qu’il avait failli mourir de la maladie de Malte après en avoir mangé.
Personnellement, je ne connaissais même pas cette maladie et donc jamais je n’aurais pu m’en inquiéter en mangeant un Sainte-Maure cendré.
Sauf que son arrière-grand-père lui en était décédé, d’où l’importance (à son insu ?) que mon cousin lui avait attribué. Souvent le destin se répète car les liens se transforment en croyances très puissantes.
Des personnes se rendent tous les jours malades de leurs croyances (conscientes ou inconscientes), certains vont jusqu’à en mourir…
Est-ce que Angélina Jolie ne se pense pas capable d’arriver à briser la chaîne des cancers du sein dans sa famille ?
En se faisant enlever les seins, certes statistiquement elle réduit ses risques, mais ce n’est pas cela qui résout le problème.
Le danger reste si les liens transgénérationnels ne sont pas mis à jour, si les croyances et les mémoires enfouies perdurent et si la vie l’amène sur un terrain où se révèle un conflit du nid.(voir plus bas dans l’article)
Le cancer du sein est une maladie de civilisation
Le cancer du sein (10,0% des cancers) est la seconde cause de mortalité dans le monde et la première chez les femmes.
Chaque année 30 000 nouveaux cas de cancers du sein sont découverts en France. Regardez la carte de répartition des cancers du sein dans le monde en 2002.
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Plus on tire vers le rouge foncé, plus il y a d’incidence du cancer dans les pays concernés.
Cette carte anéantit totalement l’explication génétique. Si le cancer du sein était une maladie génétique, elle serait uniformément répandue dans le monde ! Quid de l’Asie et de l’Afrique ?
Les africains et les asiatiques seraient-ils plus « résistants » génétiquement au cancer ? Cet argument est irrecevable car, quand ces populations viennent habiter dans un pays riche, ils développent autant de cancers que les autochtones, voire plus.
Donc il faut trouver d’autres explications, et pour cela l’approche holistique est la meilleure : le cancer du sein a des causes physiques (environnementales, hygiène de vie, alimentation qui sont moins prégnantes en Asie et en Afrique. (cf plus loin).
Il a aussi des causes psychologiques, énergétiques et spirituelles. Et c’est surtout sur ces facteurs que pourrait porter la prévention du cancer du sein.
Une prévention du cancer du sein traumatisante et à haut risque
L’ablation préventive des seins
Je lisais pour m’informer un article où l’on suggérait l’ablation préventive des seins pour contrer le risque de cancer du sein, comme ça, de façon toute « naturelle » et détachée.
Je me demande parfois si les gens réfléchissent vraiment à ce qu’ils écrivent…C’est un peu comme si je disais « pour éviter la gangrène amputez-vous d’une jambe », ou « pour arrêter le nez qui saigne faites un garrot au niveau du cou et serrez très fort ! ».
On croit rêver.
Les médecins ou journalistes qui suggèrent l’ablation sont-ils déconnectés à ce point du réel pour ne pas réaliser l’effet psychologique désastreux de se faire mutiler ?
Des centaines de femmes ont témoigné pour dire à quel point elles avaient souffert de perdre leurs seins, combien elles le ressentaient dans leur chair, combien cette souffrance avait des répercussions sur leur psychologie.
L’amputation n’est pas seulement anatomique, elle est aussi énergétique et symbolique car le sein est synonyme de féminité, de maternité, de sexualité, de représentation de soi…
L’hormonothérapie
Donner en prévention une hormonothérapie est-ce la solution? Qu’en est-il du fait de prendre des médicaments alors qu’on n’a rien ? Cela a obligatoirement des conséquences…
Au niveau physique
Utilisé depuis plus de vingt ans, le Tamoxifène est une hormone qui réduit d’un tiers le risque de récidives de cancer du sein.
C’est le traitement le plus prescrit aux patientes. La prévention par Tamoxifène est très contestée en France, car il a un effet comparable à celui des œstrogènes.
Il entraîne à la fois des effets bénéfiques (consolidation des os) et des effets nocifs, comme des risques de thrombose vasculaire, donc d’embolie pulmonaire, et de cancer de l’utérus. Ce traitement n’est donc pas anodin.
Au niveau psychologique
Prendre des médicaments, c’est vous faire passer de l’état de bien portant à potentiellement malade, voire malade chronique, dont la vie est en danger.
Ce changement de statut est très mauvais psychologiquement car cela crée un stress, qui on le sait est un des éléments déclencheurs du cancer.
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On a vu fréquemment des personnes mourir suite à l’annonce d’un diagnostic d’une maladie grave ( conflit de la peur de mourir) alors qu’ils étaient jusqu’alors porteurs sains de cette maladie.
Écoutez ce que nous dit Nicole Délépine pédiatre et oncologue. Dépister est essentiel mais donner des médicaments alors que les tests prouvent que le symptôme est inexistant est autre chose!
« Les campagnes de dépistage ont pour finalité de faire prendre des médicaments à des bien portants que l’on transforme en malades anxieux. Les monceaux de prescriptions sont souvent inutiles, voire dangereuses, et ce, par simple principe de « sécurité ». La sécurité, c’est de ne jamais avaler des médicaments quand on n’est pas malade, ce qui veut dire en langage simple quand on n’a pas de symptôme ! »
Pour une « vraie » prévention du cancer du sein
« Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout » disait Claude Bernard. En reprenant notre approche holistique, dans le cancer du sein, tentons d’ « assainir le terrain » physique, psychologique, énergétique et spirituel.
Sur quoi pouvons-nous jouer ?
Réduire les causes physiques du cancer du sein
Pollution
S’il y avait une réelle volonté de prévenir le cancer du sein, l’accent serait mis pour diminuer la pollution de la terre, de l’air et de l’eau.
Bon, c’est pas gagné…alors on peut déjà agir individuellement en consommant mieux : manger des produits le moins transformés et le moins pollués possible.
Manger bio en fait partie, consommer moins de viande (puisque les animaux mangent une herbe qui subit la pollution) et limiter la pollution électromagnétique (micro-ondes et téléphone proche du corps)
Alimentation et hygiène de vie
Vous trouverez toutes les recommandations alimentaires et d’hygiène de vie pour prévenir le cancer en cliquant sur le lien.
On peut rajouter, dans le cadre de la prévention du cancer du sein pour les sujets à risques :
- Éviter les produits laitiers car le lait contient des facteurs de croissance pouvant favoriser le développement des tumeurs
- Le surpoids, l’alcool et le tabac sont les premières causes de cancer du sein.
Réduire les causes psychologiques du cancer du sein
Le cancer du sein (ou autre) « ne s’attrape pas » par hasard. vous l’avez vu aussi, ce n’est pas une maladie génétique.
Ce n’est pas non plus un virus. Une mauvaise alimentation ou hygiène de vie ne saurait à elle-seule expliquer pourquoi on développe un cancer du sein.
Force est de reconnaître qu’il y a des causes psychiques à sa déclaration. Vous n’avez aucune raison de développer un cancer si vous êtes parfaitement heureux et en accord avec vous-même.
Vous risquez encore moins de développer un cancer du sein, si vous êtes débarrassé d’un maximum de conflits psychologiques. Le cancer n’est pas une loterie, ni une malédiction de Dieu.
Le décodage biologique peut vous apporter un autre éclairage. Selon Salomon Sellam, un spécialiste de psychosomatique clinique, » la maladie est un transposé exact, au niveau du corps, d’un conflit psychologique, conscient ou non ».
En décodage biologique, la maladie est un réflexe biologique de survie suite à un traumatisme (pour un cancer remonter à quelques semaines pour cibler le trauma).
L’émotion ressentie au moment du choc, si elle n’est pas exprimée, va s’imprimer dans le corps sous forme d’un programme biologique le mieux adapté (symboliquement). Que nous apprend le cancer du sein sur le conflit psychologique sous-jacent ?
La première fonction biologique du sein est de nourrir l’enfant. Les femmes déclarant ce type de cancer (il y aussi des hommes !) ont en commun un sentiment d’insécurité dans le processus de nourrir ou de protéger un enfant (ou une personne assimilable à un enfant).
C’est ce que Christian Flèche, l’inventeur du terme décodage biologique en France, appelle le conflit de nid.
La femme crée un nid symbolique en son sein de peur de ne pas pouvoir bien materner sa progéniture (la tumeur est une agglomération de cellules de la même manière que le nid est une agglomération de brindilles).
On assiste souvent à un sur-maternage, une surprotection de l’enfant en termes de « j’ai peur qu’il lui arrive quelque chose, que je ne sois pas une assez bonne mère ».
Le cancer du sein (du « sien ») exprime soit le conflit soit une trop grande solidarité avec un enfant assorti d’une grande culpabilité.
Notez que le sein gauche (pour une droitière) représente symboliquement l’enfant, alors que le sein droit représente le conjoint ou un parent que l’on materne.
Le conflit du nid réactive souvent une problématique plus ancienne avec sa propre mère.
Réduire les causes énergétiques et spirituelles du cancer du sein
Le cancer du sein, comme les autres cancers, est aussi le produit de vos pensées négatives, de vos peurs et d’un taux vibratoire assez bas.
Si vous lisez Hannah régulièrement, vous connaissez la Loi d’attraction. Vous savez donc également qu’elle fonctionne autant dans le sens positif que négatif. Les pensées négatives attirent des évènements négatifs, on attire ce que l’on craint.
Si vous avez des mémoires cellulaires activées par d’anciennes peurs inconscientes, vous allez attirer à vous des situations (comme le diagnostic d’une maladie) qui vont vous faire peur.
La prévention augmente le climat de psychose et induit des faux dépistages. Certaines personnes, à cause du stress induit par les examens, vont montrer les prémisses du cancer alors qu’il ne se serait pas développé sinon (ex : la prévention du cancer de la prostate induit 9 % de faux diagnostics !).
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Il est donc primordial de développer un niveau énergétique élevé, de vivre dans des vibrations qui vous tirent vers le haut pour attirer des choses positives: pratiquer un art, s’immerger dans la nature, écouter de la musique…
Il est aussi indispensable de rester régulièrement dans des pensées extrêmement positives qui ont des vibrations très rapides comme les pensées d’amour, de joie, de paix ou de l’obtenir par des pratiques.Vous rehausserez ainsi votre taux vibratoire.
L’angoisse, la peur, la colère, la culpabilité, la honte, la jalousie etc. ont des vibrations lourdes et très lentes qui modifient la chimie de votre corps et affectent votre système immunitaire. Les travailler vous rend la santé.
Déficit de sens
Par ailleurs, on assiste à un déficit de sens dans nos vies, notamment dans les pays industrialisés. Comme le disait fort justement Hannah dans un commentaire sur mon blog : « Les pays à faible taux de cancer sont des pays où la société est encore basée sur la cellule familiale. ».
En effet, les pays les plus touchés sont des pays où la femme a conquis son indépendance, elle travaille et s’affirme dans la société.
En contrepartie, l’équilibre entre son rôle social et son rôle de mère est difficile à trouver. Souvent, le travail et les tâches quotidiennes engendrent cette culpabilité de ne pas avoir assez de temps à consacrer à ses enfants, ce qui peut planter le germe de la maladie.
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La foi, la meilleure des préventions
Certaines personnes vivent dans la peur au point de décider de prendre des traitements ou subir des mutilations alors qu’elles n’ont rien. J’ai une solution bien meilleure pour la santé : remplacer la peur par la foi. La peur et la foi s’excluent mutuellement.
Plutôt que de subir une double mastectomie ou prendre des hormones en suppliant le ciel pour que ça marche, vous pouvez aussi vous dire (si vous le pensez vraiment): « Tout est parfait. Tout se déroule selon un plan divin. »
Au lieu de vous pencher sur la prévention du cancer du sein, penchez-vous sur votre énergie de vie. Si jamais une maladie survenait, c’est que cette épreuve est là pour vous faire grandir car:
« La vie se doit d’être lue comme une expérience pour nous apprendre qui nous sommes et nous découvrir au fur et à mesure des épreuves.
C’est pour ces raisons que nous sommes venus en ce monde : vivre des expériences, nous en nourrir et grandir. Ici se trouve la clé de notre liberté : seule l’expérience élève la conscience. »
Côme Shelvène « l’Etoile de l’âme »
Et si l’on changeait de représentation ?
« Le cancer pourrait être appréhendé comme une magnifique opportunité pour changer, une extraordinaire occasion d’évoluer, une superbe chance à saisir pour se remettre en question »
Daniel Bornstein « Merci, mon cancer ! »
(Oui je me cite, on n’est jamais mieux servi que par soi-même non ?)
Et vous, avez-vous déjà senti la peur d’être malade ? Quelles sont vos solutions pour ne pas être gagné par la peur ? Prendriez-vous un traitement préventif contre le cancer (du sein ou autre) ?
Au plaisir de vos commentaires.

test
Je travaille à l’ouverture des commentaires mais la technique et moi….
test
Bonsoir Hannah,
apparemment les commentaires fonctionnent.
J’en profite pour te remercier encore de m’avoir ouvert les portes de ton blog.
C’est un honneur, et j’espère que l’article plaira à tes fidèles lecteurs.
Bonne lecture à tous.
Daniel
Bonsoir Daniel,
La loi d’attraction a fait des siennes ce soir!
Je mettrai les commentaires reçus par mail sur le blog
demain.
Bonjour Daniel,
Angélina Jolie ?????? C’est qui????
Grrrrrr c’est baloooo !!!!!
Dire qu’il suffisait qu’un doigt n’appuie pas sur le bouton de la télé et ploufff!! pas d’article!!
Bon ca aurait été dommage de ne pas te lire.
cordialement
Arnaud
Bonjour,
Voici un article bien intéressant, j’ai également été un peu « choquée » par les titres de la presse mettant en avant le choix d’Angelina Jolie comme héroïque pour ses enfants.
Il y a eu dans le magazine Elle des interviews de femmes ayant elles aussi choisi l’ablation du sein suite à détection du gène BCR1. On détecte ce gêne pas seulement quand on a déjà un cancer mais aussi pour les femmes dont la mère et parfois grand-mère est décédée d’un cancer et qui décide de se faite tester.
Je suis surtout d’accord avec la phrase de début d’article: il n’y a pas de bon ou mauvais choix, il y a celui avec lequel nous sommes le plus en accord.
Le décodage biologique et la psycho-généalogie sont des outils au même titre que la chirurgie, la chimiothérapie, etc… et doivent être regardés comme tels: des outils à notre service.
Il faut aussi voir que le mot « cancer » est associé à « mort », quoi qu’on en dise quand on entend ce mot, c’est la première chose qui nous vient à l’esprit.
Etre habité(e) par un cancer est une proposition de cheminement que la vie nous donne. Ce qu’on fait de cette proposition reste notre choix, notre liberté individuelle. Par ailleurs, on a pas toujours le temps de prendre le temps de décanter car la médecine occidentale technique est plutôt dans la rapidité d’intervention quand la médecine holistique demande un peu plus de temps. Et quand on a peur, le temps on croit qu’on en n’a pas pas vraiment puisque qu’une partie de nos forces est mobilisée vers la « survie ».
Il n’est également pas toujours aisé de prendre des décisions car nous manquons d’informations. Les médecins ont tendance à nous balancer les infos alors qu’on est en plein dans l’émotionnel, pas le meilleurs moment pour digérer du technique.
Quand on est malade, quelle que soit la maladie, il faut essayer de se prendre en mains tout en acceptant de se laisser prendre en mains! Un subtil équilibre à trouver, différent pour chacun.
Prévenir le cancer, c’est bien, mais quand je cherche à prévenir le cancer, suis-je encore dans la peur que ça m’arrive? Et dans ce cas, la peur est toujours présente.
La maladie peut arriver à tout le monde, même à ceux qui font un travail sur eux, ont une alimentation équilibrée, prennent soin de leur corps, etc…(j’en parle en connaissance). On peut diminuer les risques, mais pas empêcher les épreuves qui seront sur notre chemin.
J’aimerais bien voir se développer encore plus une synergie entre les accompagnements techniques (chirurgie, chimio, radiothérapie, etc…) et les accompagnements holistiques. Ce sera un sacré changement dans la manière dont chacun appréhende la relation à son corps et sa santé.
En tout cas, il est souhaitable que toute personne atteinte par une maladie trouve un espace d’accompagnement en parallèle de l’accompagnement médical. Un espace rien qu’à soi, où il y a le temps.
Bonsoir Alexandra,
tu as admirablement résumé l’attitude « saine » à adopter vis à vis de la maladie. Comme je l’ai écrit souvent sur mon blog, la maladie vient d’un état de fermeture.
Je suggère aux personnes de ne se fermer aucune porte, d’être à l’écoute de leurs ressentis plus que de leur mental.
Si cela doit passer par les traitements conventionnels, alors qu’il en soit ainsi, surtout quand on a besoin de temps pour se prendre en mains comme tu dis.
Au plaisir
Daniel
Bonsoir Alexandra,
C’est certain que la prévention parle de la peur.
C’est un peu comme les assurances qui tablent
sur les éventuels problèmes qui peuvent surgir.
Par analogie,
Certaines personnes sont capables de prendre
un billet d’avion sans prendre d’assurance annulation
et d’autres pensent »on ne sait jamais ».
Cela m’arrive souvent, chaque fois, je me dis que ce
n’est pas la peine;
Si quelque chose arrive dans ma vie au point que je ne
puisse plus partir, alors je le « travaillerai » le moment venu.
Avec la maladie c’est pareil, certaines personnes ont
besoin de prévenir, d’autres savent qu’elles ont des
moyens de pendre conscience que quelque chose
ne va pas dans leur corps à l’instant où le problème
se déclare puisqu’il y a un équivalent dans le psychisme.
Ce qui fait peur dans le cancer c’est ce côté sourd où la
maladie se déclare sans être visible.
Dans l’exemple du docteur Hamer, il a réussi à désamorcer
le conflit de son cancer alors qu’il était en phase terminale.
J’aime à croire que malgré la gravité du cancer, on a toujours
le temps en parallèle de travailler sur les causes inconscientes
qui ont généré la maladie afin d’en désamorcer le conflit, que
l’on choisisse d’avoir recours ou pas au gros arsenal des solutions
médicales.
Bonjour Arnaud,
oui, c’est d’ailleurs très rare que je regarde les infos, la maladie apprend à s’isoler des images chocs et des pensées négatives colportées par les journaux télévisés.
Merci pour ton retour.
Daniel
Bonjour Hannah,
Merci pour tout ce qui est écrit.
Je suis en accord avec ça.
Cessons de vivre dans la peur .
Belle journée!
Bernadette
Bonjour Bernadette,
En tous cas, lorsqu’on a une peur, il suffit
de la travailler. On peut venir à bout de toutes les peurs
mais elles émergeront de toutes façons.
Bonjour Bernadette,
Suite à ton commentaire, je me suis amusé à compter:
j’ai utilisé 17 fois le mot PEUR dans cet article!
J’espère que le message est passé au moins au niveau subliminal…
merci c`est bien
C’est court mais c’est bon à prendre!
cool!
Bonjour Hannah, Bonjour Daniel
et merci pour cet article qui expose en profondeur ces mécanismes inconscients qui peuvent nous amener à nous créer un « joli petit cancer… du sein » pour les femmes.
Ce sujet qui trotte dans la tête de chaque femme malgré tout. Et cela grâce à nos médias… qui nous proposent des solutions radicales et superficielles pour « se guérir ».
Écouter le sens, passer à un taux vibratoire plus élevé sont des approches de fonds, de vraies solutions.
Heureusement qu’internet et les blogs comme le tien existent.
Au plaisir de se lire
Bonjour Caroline,
c’était bien ça le but de cet article, donner une vision moins alarmiste que celle des médias et de la médecine conventionnelle, calmer les esprits, ouvrir les consciences…
A bientôt
Daniel
Bonjour Caroline,
Grâce au web, toutes les solutions parallèles sont trouvables.
L’information est partout, pourtant seul notre taux vibratoire nous
permet de tomber sur la bonne info dont nous avons besoin.
C’est un peu pareil avec un bon livre, en fonction de notre taux
vibratoire, nous n’allons pas comprendre les mêmes
choses. Parfois nous le relisons des années plus tard an ayant
changé d’énergie et nous nous percevons que nous n’avions pas pu
en pénétrer le sens en profondeur.
Le taux vibratoire est vraiment une clé essentielle.
Les bouddhistes s’en servent. La vie bouddhiste commence par 100000
prosternations et la récitation de mantras qui ont pour but (entre
autres) de nettoyer, purifier et faire monter le taux vibratoire.
Cela ma parle bien, le taux vibratoire vous permet de trouver la bonne info!
Bonjour Nicole,
Pour être dans l’intuition, il ne faut pas être
dans la peur donc augmenter son taux vibratoire,
quel que soit le moyen d’y parvenir permet d’y parvenir
et de trouver d’autres issues que la chirurgie.
merci beaucoup
😉
🙂
Bonjour,
effectivement, on nage en plein délire avec cette Angelina. Elle est peut-être ultra médiatique, mais elle n’a jamais été très futfut. Certainement influencée par des médecins qui sont convaincus que le corps humain est une machine, on voit ce que cela donne.
Les enfants de malades du cœur doivent-ils subir une ablation du cœur ?
Beaucoup de maladies, cancer y compris, sont le fruit d’émotions refoulées, mal gérées, et de pollutions produites par notre environnement.
Il y a donc d’autres moyens de prévenir et de guérir.
Bonjour Michel,
Le problème, c’est que les gens font des associations
positives entre faire une ablation des seins et permettre
à leurs enfants d’avoir une mère qui veille sur eux et qui ne
meure pas d’un cancer. On connaît le pouvoir des associations
positives!Bien sur cela risque de marcher parce qu’elle a
sans doute développé la croyance que en faisant cela qu’elle
est à l’abri de tout cancer.
Elle ne sait pas qu’il y a des moyens de ne pas développer de
maladie, en s’occupant de son stress et ses émotions refoulées comme tu
le soulignes.
Par ailleurs, la maladie est aussi imprévisible.
Certaines personnes conscientes des enjeux émotionnels du cancer
comme Guy Corneau ou feu David Servan-Schreiber se battent une partie
de leur vie avec cette maladie et pour eux, guérir n’est pas si
simple, malgré la conscience et la connaissance.
La maladie est vraiment une affaire personnelle.
Bonjour Michel,
excellent le coup de l’ablation du coeur (je le note) 😉
Je ne souhaitais pas non plus qu’on stigmatise Angélina.
On peut comprendre son inquiétude vis-à- vis des décès dans sa famille.
Néanmoins, penser que la seule intervention résoudra tout est un leurre,
puisqu’il réduit le cancer à un problème physiologique, ce qui est loin d’être le cas
comme tu le soulignes.
Après, certains se concentrent sur l’aspect psychologique uniquement, d’autres remettent entièrement leur destin entre les mains de Dieu…et peuvent se retrouver en état d’échec, car la guérison est un tout, un ensemble indissociable selon moi.
Au plaisir
Daniel
Bonjour Hannah,
Alors là, je dois dire que ton sujet me touche… Ma grand-mère a eu ce type de cancer, ma mère fait des examens préventifs et c’est vrai que quelque part, ça me met une pression…
Je vais relire une autre fois cet article pour bien le garder en mémoire et faire ce qu’il faut car je ne veux pas que des croyances ou des peurs me prédisposent à ce genre de maladie !
Merci pour tous ces conseils Hannah. : )
Bonne semaine !
Bonsoir Nathalie,
Si toutes les personnes qui ont un cancer analysaient leur vie
quelques mois avant l’apparition des symptômes, ils seraient
étonnés de trouver un déclencheur dramatique et soudain dans leur
vie. Ce déclencheur est souvent lié à la perte, la peur de
mourir ou la peur que quelqu’un meure.
Cette maladie est là pour faire prendre conscience à la personne
de l’intensité de son stress avant la maladie.
SI elle ne s’en aperçoit pas à temps, c’est la maladie qui va lui
pointer son stress. Le but de la maladie étant toujours de pousser
la personne malade à s’occuper de son stress, pas de la faire mourir.
Être présente à ce qui se passe dans sa vie et consciente de ses
émotions et de ses ressentis est aussi important que les examens
de dépistage.
Oui Nathalie,
je pense aussi que tu devrais relire cet article 😉
Bonjour Daniel et Hannah,
J’avoue ne pas avoir trop lu tous ces articles. J’ai été choqué d’apprendre cette double ablation. Choqué par cet étalage et savoir qu’il ferait des émules. …..
Merci pour cet article. Bien analysé ce problème. cette peur innommable qui nous habite tous… Nous cheminons avec…en priant Dieu ou l’Univers de nous épargner…. Mais le soleil se lève tous les matins. Merci…
Belle soirée.
Amicalement.
Charlotte
Bonjour Charlotte,
Oui, c’est bon d’entendre d’autres sons de cloches que celles
de la sécurité et du contrôle surtout quand cela pousse
à des actes extrêmes comme celui de se laisser mutiler quand on n’est
pas malade.
Ainsi chacun peut faire son choix en fonction de son niveau de conscience
et être en accord avec soi.
Bonjour Charlotte,
Merci pour ton retour positif.
« Cheminer avec la peur innommable », « Prier pour qu’on soit épargné »…
Au vu de ce que tu écris, tu devrais peut-être travailler sur cette peur.
Je ne pense pas que Dieu ait créé la maladie,
ni qu’il épargne un homme plus qu’un autre.
« Dieu est l’observateur et non le créateur » (« conversations avec Dieu » Neale Donald Walsch)
Nous créons nous-mêmes nos maladies, donc nous pouvons les éviter
si nous sommes en pleine conscience.
Demande-toi tous les matins de t’épargner et il ne t’arrivera rien 😉
Bien à toi
Daniel
Bonsoir Hannah,
Je suis depuis un moment déjà tes articles que j’apprécie beaucoup, je t’en remercie donc. Avec ce nouvelle article je voudrais partager un lien très enrichissant, en tout cas pour moi il l’a était dans le sens où il a reussi à supprimer une habitude vieille d’au moins 15 ans…et j’imagine une habitude tout autant pour vous et les autres femmes qui me lisent…..http://fr.slideshare.net/Yves971/le-danger-du-soutien-gorge-41#btnPrevious
A lire jusqu’au bout surtout…
Merci!
Bonne soirée
Au plaisir de vous lire encore.
Julia
Bonjour Julia,
Merci du lien, je ne suis pas encore allée voir
mais en allant voir ton blog, j’ai vu que nous
partagions une même passion pour le mandala « sri yantra »!
Bonjour Julia,
Je suis allé voir ton lien.
C’est vraiment très long à lire dommage, mais cela combat nos idées reçues sur la question du soutien-gorge.
A partir de là, chacun se fera un avis sur la question…
Pour une étude scientifique qui tendrait à prouver quelque chose, on pourra toujours trouver une étude scientifique qui démontrera le contraire.
Le soleil serait bon contre le cancer du sein (du fait de la vit D) : j’y crois mais j’en sais rien.
Le soutien-gorge contribuerait à l’affaissement de seins : j’y crois pas (il n’y a qu’à voir les images des pays où le port du soutien-gorge n’est pas passé dans les mœurs pour s’en rendre compte) mais j’ai peut-être tort !
Il contribuerait au cancer du sein : je n’en sais rien. Cela pourrait expliquer peut-être la carte ci-dessus.
Tout ce que je sais, c’est que cela revient encore à considérer cette maladie comme uniquement physiologique, et ça j’y crois pas du tout.
Sinon, Il ya de très jolies filles dans cet article, mais des photos qui font frémir aussi : voilà qui pourrait alimenter la peur un peu plus…
Coucou ,
Ma mère et ma grand -mère ( paternel) sont décédées d’un cancer du sein , je pensais qu’en ne m’inquiétant de rien ,je pratiquait la politique de l’autruche , je suis heureuse de savoir qu’en fait je me soigne efficacement !!
Merçi Sabrina .
Bonjour Sabrina,
Maintenant que tu sais que c’est l’expression d’un conflit
du nid, tu comprends mieux comment cette pathologie peut s’inscrire
dans une famille sans pour autant être génétique.
Il n’empêche que faire une mammographie de temps en temps est
aidant dans le sens où cela calme aussi le mental.La mauvaise nouvelle c’est que
on ne sait pas toujours quand on est stressé par un conflit du nid.
La bonne nouvelle, c’est que tout se travaille. Une fois le conflit
désamorcé, on rencontre les bonne personnes, les traitements que l’on prend
deviennent efficaces…un chemin s’ouvre alors qu’un diagnostic de la
médecine a tendance à fermer les issues.
Bonsoir Sabrina,
Tant mieux si tu n’as aucune inquiétude.
Mais es-tu vraiment certaine de ne pas t’inquiéter? Parfois, on met un mouchoir
sur ce qu’on refuse de voir, en espérant qu’on l’oublie totalement. Mais hélas l’inconscient lui n’oublie rien. Attention au déni!
Obligatoirement, ces décès de la même maladie qui plus est,
n’ont pas pu ne pas t’affecter ou t’inquiéter.
Je ne veux pas non plus te mettre le doute là où il n’y en a aucun,
mais assure-toi que tu as bien dépassé le conflit de nid,
bien compris, intégré, assumé ces mémoires.
Bonjour Hannah, quand je sens la peur, je respire doucement et je reviens au moment présent. Tout ce qui se présente dans ma vie sert mon évolution sur Terre pour m’amener à prendre conscience de nouvelles choses.
Accueillir ce qui se présente avec beaucoup d’ Amour en sachant que tout est parfait pour la suite.
zenie
Bonjour Zénie,
Pas toujours facile d’accueillir une maladie avec
beaucoup d’amour surtout quand la peur de mourir s’en mêle.
C’est un travail qui se fait progressivement. Parfois faire
ce travail est la vraie raison de la maladie, à croire qu’on l’a
attiré à si juste pour cela!
Bonjour Zenie,
Tout à fait d’accord avec toi, se concentrer sur le moment présent est une excellente prévention,
car dans l’instant présent la peur n’existe pas. La peur n’est qu’une projection négative de l’avenir.
Si malgré cela, on tombe malade, c’est vrai que le travail d’acceptation est sans doute la chose la
plus difficile à faire.
Au plaisir
Daniel
Bonjour Hannah
Ton article est passionnant, et concernant la peur d’être malade je pense l’avoir effectivement sentie inconsciemment peut être ou bien l’avoir provoquée. Mais cela ne concerne pas le cancer.
En fait je suis actuellement pris par des crises d’angoisse, d’anxiété et depuis une semaine cela me foudroie et m’épuise énormément. J’ai déjà connue des crises passagères qui duraient une heure, cinq heures, mais là c’est du sérieux. Et sa fait vraiment très peur surtout lorsque la crise d »anxiété me tiens du matin jusqu’au soir.
Je ne suis pas sur mais je pense avoir trouvé la cause de mon problème :
Si tu as déjà lu le livre « Mettre en pratique le pouvoir du moment présent » de Eckhart TOLLE, j’ai pris compris certaines choses notamment lorsqu’il parle du lâcher prise, de l’égo, de la cause, c’est à dire le comportement de résistance qui n’a pas été résolue, page 120.
Mais je pense qu’il y a d’autres facteurs également en causes à cette maladie.
Je me suis informé sur internet , comment soigner l’anxiété, c’est clair que se n’ai certainement pas par des médicaments de molécules chimique qui agravent encore plus la maladie.
En ce qui me concerne, à éviter le vératran et surtout le séroplex. celui-là c’est une horreur, j’étais un légume au bout du 2ème jour, j’ai arrêté tout de suite.
Et comme je suis anti médicament, je préfère me soigner par les plantes.
J’ai seulement commencé depuis mardi , j’attends de voir les résultats mais je sais que cela ne suffit pas à éradiquer la cause du problème, j’essaye aussi de faire des séances de sophrologie, et réflexologie assez régulièrement depuis quelques mois, et aussi kiné pour compléter la réflexologie plantaire.
Voilà, tout ça pour dire que cette maladie est une vraie maladie et qui pourrit bien la vie.
Pas facile à vivre alors effectivement il y a intérêt de positiver et de vivre le présent le plus sereinement possible.
Cordialement,
Bonsoir,
Y a t-il des vraies raisons pour que les crises se déclenchent?
Est-ce venu soudainement et y a t-il eu des changements dans ta
vie dernièrement? Je ne sais pas dans quelle région tu habites
mais tu ne risques rien à essayer Tipi à part aller mieux.
Cette technique est faite pour les cas extrêmes de peurs. Parfois
les crises d’angoisse s’enracinent dans la vie intra-utérine et sont
réactivées au hasard de stress qui, en apparence, n’ont pas de cause.
Nous vivons un grand moment énergétique mais où les mémoires non-
travaillées refont surface. C’est aussi un moment propice pour les
nettoyer et les guérir. Donc tu as raison de positiver.
PS:c’est l’article de Daniel mais tu as bien saisi que nous partagions
les mêmes idées à propos de la maladie.
Bonjour Ventura,
Tu as déjà pris les bonnes décisions en te concentrant sur le moment présent
(voir ma réponse à Zénie), en pratiquant la sophrologie, la réflexologie…
Je ne sais pas si tu le fais déjà, mais tu peux pratiquer la sophrologie toi-même,
renseigne-toi sur l’auto-hypnose ou la relaxation.
Quand j’étais malade, je mentirais si je disais que je n’ai jamais eu peur…
Ces pratiques m’ont apporté beaucoup de paix et de sérénité; je les pratiquais
tous les jours dans certaines phases où j’étais plus anxieux.
Maintenant, il faut aller chercher la racine de tes peurs comme te le conseille Hannah.
Bon courage
Daniel
Bonjour Hannah, bonjour Daniel,
Le cancer est effectivement souvent déclenché chez le personnes porteuse du gène mais qui ont souvent une vie affective très perturbée. N’est ce pas un moyen de se faire remarquer et chouchouter…
L’alimentation a aussi une très grande part dans le développement du cancer.
J’ai lu un très bon livre qui parle des solutions nutritives pour lutter contre le cancer : »Serons-nous immortels » de Ray Kurzweil et Terry Grossman.
Ils donnent des conseils simples qui devraient être pris au sérieux pour mieux aider les malades.
Je vous souhaite un très bon week-end.
Danièle
Bonsoir Danièle,
Ce qui est certain, c’est que lorsqu’on développe un cancer,
il est nécessaire de chercher la source de son stress et de
prendre soin de soi. Je connais beaucoup de personnes qui
n’osent pas parler de leur maladie, de peur du jugement,
de peur de se voir condamné dans le regard de l’autre.
il faut du courage pour en parler.Je ne suis pas certaine
que se faire remarquer s’applique vraiment dans ce cas.
Daniel nous en parlera mieux.
Bonjour Danièle,
La maladie est souvent effectivement un moyen de se faire remarquer et chouchouter.
Mais je pense que le cancer est quand même un message que l’on s’envoie à soi-même : « ne continue pas ta vie comme tu l’as fait jusqu’à présent ! Tu te fourvoies, tu n’es pas qui tu devrais être, ni la où tu devrais être ».
Ça serait plutôt « chouchoute-toi ! » 😉
L’alimentation est importante, mais n’est qu’une partie de la solution selon moi. On doit en tenir compte c’est certain mais au même titre que les aspects psychologiques, énergétiques, spirituels…
Bonjour Daniel et Hannah,
Un traitement préventif contre le cancer ? Bien sûr que non !
La prévention c’est autre chose, c’est compter sur le corps, faire appel à la vie qui est en lui, à sa capacité de créer la santé.D’ailleurs dépister ce n’est pas de la prévention évidemment, seulement une démarche commerciale parmi d’autres, dangereuse comme tu l’écris ici. On a aussi souvent repéré de faux cancers…
Mutiler c’est nier le pouvoir de la vie.
Et c’est surtout, dans le cas de cette pauvre Angelina Jolie comme de toutes les autres, ignorer l’existence d’une science récente, l’épigénétique, qui démontre que la génétique ne détermine rien, que l’environnement émotionnel et physique est tout, au contraire.
De plus au sujet de la prévention alimentaire, il est essentiel de savoir par exemple qu’après l’introduction des produits laitiers au Japon les cancers du sein ont flambé.
Durant les 20 ans qui ont suivi, la courbe de consommation de produits laitiers a été totalement parallèle à la courbe d’augmentation des cancers du sein…
Il y a donc, avec ce que tu as expliqué également ,de quoi éviter de s’affoler et surtout de se mutiler !!
Cordialement.
Marie.
Bonjour Marie,
Merci de ton commentaire,
Je ne suis pas très surprise à propos des produits
laitiers. Je n’imagine pas une relation directe entre
le lait et le cancer du sein mais ce qui est certain, c’est
que le lien est la relation à la mère.
Avec l’introduction du lait, les mères ont eu d’autres recours
que d’allaiter pour alimenter leur bébé. Elles ont pu reprendre
le travail plus vite et quitter plus tôt leur bébé.
Bonjour Marie,
Attention, je ne dis pas que le dépistage est dangereux et inutile !
Je dis simplement qu’il peut alimenter les peurs de certaines personnes influençables ce qui a un effet qui peut être négatif. Mais ce n’est aps une raison pour le supprimer.
Par contre, je dis bien qu’il est à mon sens dangereux et inutile de prendre des médicaments en prévention lorsqu’on n’a rien.
Je suis d’ailleurs un peu surpris, voire déçu, que les lecteurs (en tout cas ceux qui ont commenté) ne réagissent que sur « l’affaire » Angelina Jolie qui aura un impact minime malgré sa popularité sur les femmes (l’ablation préventive est quand même « rebutante », coûte cher et n’est pas remboursée) alors que l’hormonothérapie (sûrement bientôt prescrite donc gratuite en France) sera peut-être adoptée par des milliers de femmes angoissées.
Merci pour cette info sur le Japon, mais je suis plus d’accord avec la lecture « psycho-sociale » d’Hannah qu’à une explication purement physiologique.
Amicalement
Daniel
Bonjour Daniel,
C’est moi qui ajoute que les mammographies sont dangereuses (cancérigènes) et inutiles (on détecte au mieux des cancers qui existent depuis 10 ans déjà et au pire des faux cancers).
Je le dis parce que tout cela a été démontré. Même si cela n’est pas dit en France.
La peur n’a rien à voir là-dedans.
L’esprit et le corps existant à part entière partout dans un organisme, le cancer a « besoin » en langage symbolique d’un « père »et d’une « mère », pour se développer.
Du spirituel, qui se manifeste par le psychologique, et du physiologique.
Je ne privilégie ni l’un ni l’autre. car cela est une méconnaissance du sens de la maladie.
Le faire c’est s’exposer à une récidive, car elle peut intervenir bien longtemps après l’apparente guérison.
Cordialement.
Marie
Bonjour Hannah, et Daniel,
Je suis complètement d’accord avec cet article plein de bon sens et d’énergie positive.
J’étais déjà désolée de voir le battage qui était fait autour de la prescription du vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Alors avec cette médiatisation de la décision d’Angélina Jolie, je suis doublement désolée !!
Quand parlera-t-on de la véritable prévention comme expliqué ici, au grand public ?
Bien amicalement,
Christine
Bonjour Christine,
Heureux de te retrouver ici.
Merci pour ton commentaire chaleureux.
Content aussi de t’entendre parler du vaccin, qui est du même ordre pour moi que la prévention au Tamoxifène.
Mais chacun se fera là aussi une idée sur la question.
Voici un très bon article au sujet de ce vaccin qui explique que les médecins qui prônent la vaccination ont souvent un pied ou deux dans les labos qui les commercialisent :
http://infoalternative.over-blog.fr/article-les-vaccins-contre-le-cancer-du-col-de-l-uterus-111050621.html
On y apprend par exemple que « En l’état actuel des données, il n’y a pas d’étude démontrant un effet préventif de la vaccination sur la survenue des cancers, le délai entre l’infection et l’apparition d’un cancer invasif étant estimé de quinze à vingt-cinq ans. » (JO du 22 septembre 2010)
Amicalement
Daniel
Bonjour Christine,
Il y a vraiment deux types d’informations qui circulent:
celles qui prônent les opérations et les médicaments
parce que, pour beaucoup, c’est une valeur sure sur
laquelle ils peuvent projeter positivement mais dont la
finalité pas toujours avouée est le business.
D’autres infos plus underground pour qui sait les
trouver sur le net et qui correspondent à un autre état
de conscience.
De tous temps, les véritables infos ont été transportées
sous le chapeau et même en périodes sombres de l’histoire,
la lumière a attendu sagement à l’abri que les consciences
s’éveillent pour remonter à la surface et être divulguées.
Bien loin d’Angélina Jolie, et pour témoigner concrètement, une de mes amies (40 ans) a été atteinte d’un cancer du sein.
J’ai assisté à son combat.
Quelle ne fut pas ma joie d’apprendre qu’elle vient d’en triompher.
Hannah, j’ignore tout du sujet sur le plan « technique » et Daniel a beaucoup travaillé pour découvrir les causes de son mal.
Dont il parle si bien.
Mais la fin heureuse de cette histoire méritait d’être évoquée ici.
Même si ce n’est pas le plus dur des cancers.
Et pour donner de l’espoir à celles qui traversent la même pénible chemin.
Bonjour Jean-Luc,
Merci de ton témoignage.
je ne pense pas qu’on puisse vraiment faire une échelle
de dureté à propos des cancers.
Puisque chaque cancer est la matérialisation d’un conflit,
chacun a son lot de souffrance émotionnelle en même temps
que physique.
Celui qui a un cancer des os souffre dans son corps même si
le conflit de dévalorisation qui l’habite ne le fait pas tant
souffrir que ça au niveau psychique.
Pour le cancer du sein, il est en apparence moins douloureux et
il fait peur être moins peur car les témoignages de rémission sont
nombreux.
Par contre, au niveau psychique, c’est un conflit du nid dont la
véritable racine est la relation à la mère dans les premiers mois.
Chaque femme qui en est atteinte a un jour ou l’autre peur d’en
mourir et si cela nécessite d’abandonner derrière elle ses enfants,
la douleur psychique en d’autant plus intense.
Bonjour Jean-Luc,
c’est toujours un plaisir de te lire, et un réel bonheur pour moi d’entendre
des témoignages de guérison ou des histoires qui se terminent bien.
Tu fais bien d’en parler, effectivement pour l’espoir que cela donne;
ces exemples de guérison redynamisent et réénergisent tout le monde
alors que les médias nous entraînent dans une spirale de peur et d’énergies basses.
Quand quelqu’un guérit, c’est tout le monde qui guérit.
Amicalement
Daniel
Bonjour Daniel, bonjour Hannah,
Tout d’abord un grand merci pour cet article qui explique très clairement les causes du cancer du sein et ce qu’est le conflit de nid (agglomération de cellules tumorales comme les brindilles d’un nid !!!). C’est très complémentaire avec ce que nous enseigne la médecine chinoise !
Eh oui cette médecine a beau avoir plus de 4000 ans d’existence, elle a aussi une vision très intéressante de cette « pathologie ». Pour la médecine chinoise, l’une des causes du cancer est une « folie » émotionnelle (entendez quelque chose qui nous a rendu dingue !!!) que l’on a ressenti soit suite à un choc, soit tout au long d’une situation qui a duré dans le temps et que l’on s’est empêché de vivre et d’exprimer. Nous ne l’avons donc pas évacué. Nous avons au contraire contenu tout cet excès d’émotions que nous avions envie d’exprimé et cela a complètement perturbé notre énergie interne et rendu folles nos cellules donnant ainsi naissance à des tumeurs cancéreuses.
Pour ce qui est du cancer du sein, la folie émotionnelle ressentie est en rapport avec les énergies yin et en particulier avec l’énergie maternante de la femme (et parfois de l’homme) ce qui revient à dire ce que vous avez si bien détaillé dans votre article.
Encore merci. Au plaisir de vous lire à nouveau.
Eric
Bonjour Eric,
Je ne sais pas si tu as déjà vu cet excellent film
« my life », c’est l’histoire d’un homme qui a un cancer
et qui se fait traiter en médecine chinoise par un
asiatique. A un moment donné de la thérapie manuelle,
il a clairement le choix d’aller vers la guérison ou pas.
Je ne dis pas ce qu’il choisit si tu veux le voir…je n’aime
pas savoir à l’avance si les héros meurent ou non à la fin 😉
Merci Hannah,
C’est une pluie d’informations tellement précieuses que tu nous envoies que celles-ci nous guident à chaque fois plus loin sur le chemin de l’éveil au sens sacré du terme
Tes guides sont puissants, et tu sais porter leurs messages au fond de nos consciences. Je comprends mieux ton secret de communication : tu parles simplement du même sujet sur plusieurs registres de compréhension. Comme thérapeute, tu es quasiment certaine de faire bouger un frein ou un blocage qui est pris par surprise à l’insu de l’égo,alors le soi peut se révéler. C’est un plaisir alors de se faire surprendre sans les réactions parfois violentes ou futées d’un Ego qui peut se sentir débusqué. Mais peut-être suis en train de « gamberger » dans ce cas n’hésite pas à me le dire.
Merci de tout coeur.
Dominique.
Bonjour Dominique,
Ton commentaire est tout à fait dans le ton de l’article
et du blog. Un thérapeute ne soigne pas un cancer mais s’il arrive à
pousser la personne qui en est atteinte à vouloir, en même temps
qu’il se soigne, débrancher le conflit psychique qui lui est associé,
alors, sa guérison est assurée. Tous les traitements qu’il choisira
font aboutir.
Quant à ma façon de travailler, tu as raison, j’utilise les couleurs parce
que le mental n’a pas de choix autre que de se faire surprendre par une
énergie qu’il ne contrôle pas!
Les thérapies quantiques que j’utilise servent à blouser le mental qui est
obligé de lâcher sans comprendre comment cela se fait.
Le mental est tellement habitué aux thérapies traditionnelles où l’on raconte
sa vie qu’il peut tourner en rond pendant des années.
J’utilise aussi une technique hollandaise qui permet instantanément de
retourner à l’endroit exact où un fil est accroché dans l’enfance sans avoir
besoin de raconter sa vie. On se retrouve petit dans l’état exact où cela
s’est passé, ce qui permet d’accepter la situation telle quelle et de ne plus la retenir
car finalement, ce dont nous souffrons vraiment, c’est d’avoir mentalisé nos traumas.
Bonjour Dominique,
le secret de communication d’Hannah, c’est aussi d’avoir un « nègre » qui lui écrive l’article 😉
Je plaisante bien sûr, nous avons souvent la même vision de la vie, de la maladie, et des thérapies.
Même si je ne connais pas la méthode Tipi, je devine dans ce qu’en rapporte Hannah,
qu’elle réussit à shunter le mental qui est le roi pour se défiler et déjouer tous les pièges qu’on lui tend.
Je connais cela en kinésiologie, qui inclut l’EFT comme je suppose l’inclut Tipi aussi.
Ces thérapies sont essentielles quand on veut éliminer les conflits psychologiques qui ont contribué au cancer.
Je ne dirai pas que le cancer vient uniquement d’un conflit, mais je pense que si l’on n’a pas démonté ce conflit, « déminé le terrain conflictuel » dis-je dans mon livre, on peut manger bio tant qu’on peut, prier Dieu et tous ses saints, s’abreuver de chimio…sans réussir à guérir.
Bonsoir Eric,
Merci pour ce commentaire enthousiaste, et merci pour cet éclairage
sur le cancer à la lumière de la médecine chinoise que je connais peu.
Je constate que l’interprétation qu’elle en fait est très similaire avec la mienne.
Je pense aussi que le cancer est le « lot » des personnes qui n’ont pas pu ou pas su
exprimer leurs souffrances et leurs émotions, et de ce fait n’ont pas été capables de
faire le deuil d’une situation ou d’une personne.
Au plaisir Eric!
Daniel
Bonjour Daniel et Hannah,
Je suis entièrement d’accord avec tout ce qui est dit dans l’article. J’ai une expérience du milieu médical en tant que patient et me souviens de certains médecins sûrs d’eux-mêmes comme de l’univers, préférer nier l’évidence parce qu’ils « savaient ». Les revues médicales, les journalistes ont la même attitude, asséner des prétendues vérités qui, au final, font des dégâts.
La décision très médiatisée d’Angelina Jolie m’avait vraiment choqué, d’autant plus qu’elle peut influencer négativement des auditrices..
Quant au « merci mon cancer », je le comprends très bien. J’ai entendu lors d’une émission « leurs secrets du bonheur », une femme considérer son cancer comme un cadeau. Elle l’expliquait très bien.
Bonjour Jean,
C’est vrai que tu as connu ce milieu de près.
le manque de conscience élargie est regrettable
dans le milieu médical car l’esprit ne fait pas
partie des études de médecine.
Tu sais que l’ordre des médecins continue à faire
la chasse aux sorcières dans les milieux du décodage
biologique et de l biologie totale.
Sans compter le docteur Hamer quia passé une partie
de sa vie derrière les barreaux parce qu’il avait trouvé
comment diagnostiquer sans erreur les phases de guérison
du cancer et la façon de débrancher le conflit qu’il l’avait
créé.
Heureusement internet existe et toutes ces informations circulent
librement pour qui les attire à lui par la loi d’attraction!
Bonjour Jean,
J’ai tous les jours des témoignages de personnes démoralisées par le pessimisme des médecins, déçues de ne pas avoir la moindre écoute, agacées par leurs certitudes et leur suffisance…
On peut ajouter à la liste d’Hannah, Beljansky poussé au suicide par le conseil de l’ordre ou Bruno Göring « interdit de guérir en Allemagne » qui s’est laissé mourir très jeune.
Mais il subsiste des rares médecins ouverts au dialogue, et qui ont quelques notions élémentaires de psychologie.
Alors je continue à y croire, et à propager mon message (mais est-ce le mien je ne pense pas?), comme la femme que tu as vu à la télé, que j’avais vu en direct, ou Klairet S., qui a écrit « plus heureuse qu’avant mon cancer » et d’autres.
Peut-être que la solution peut venir de personnes comme nous, car le conseil de l’ordre ne peut pas nous attaquer pour exercice ilégal de la médecine et personne ne nous empêchera de parler et de témoigner.
Bon, j’ai quand même été viré d’un forum de santé très couru parce que j’ai eu le malheur de parler de décodage biologique, et mes commentaires supprimés d’un autre forum parce que le modérateur (un médecin) estimait qu’il n’y avait aucun lien entre des facteurs psychologiques et la déclaration d’un cancer de l’intestin. On croit rêver!
Mais sur mon blog, je suis libre!
Au plaisir
Daniel
Coucou Hannah,
J’avais lu et puis oublié de commenter! Sorry!
Merci Daniel pour ce très bon article. Je ne trouve pas très approprié cette propagande médiatique.
Tu parles d’Angelina Jolie, mais c’était aussi le cas dans une série télé très populaire chez les plus jeunes: 90210 (le nouveau Beverly Hills)
Je trouve que ce type d’attitude part d’un sentiment de peur. Et parler de prévention quand tes chiffres montrent bien que le risque est minime…
On essaie de faire peur aux jeunes femmes et de les encourager en plus à prendre des hormones, c’est triste!
Continuons donc de propager nos messages, à notre façon, et y trouvera un intérêt qui le souhaite 🙂
Bon weekend
Bonjour Heloise,
Alors quelles décisions prennent Suzanne et Silver pour leurs seins?
T’as vu, je me renseigne suite à ton commentaire (ne serait-ce que pour ton prénom!)…
Et j’avoue ne pas du tout connaître 90210.
Oui, il ne faudrait pas minimiser non plus la toxicité et les effets secondaires des hormones, qu’on ne sait pas encore bien évaluer (ou que l’on sait mais que l’on tait!).
Un ami vient justement de me dire qu’il a été plus malade que jamais avec l’hormonothérapie après son cancer de la prostate, et qu’il a décidé de l’arrêter.
Au plaisir
Daniel
Merci Daniel.
Je ne sais pas ce qu’il arrive dans cette série 😉 Tant mieux d’ailleurs que tu ne la connaisses pas, il n’y a rien de bon là-dedans; beaucoup de « memes » et croyances limitatives comme souvent.
Mais je me souviens de cette histoire.
Bien entendu, on ne peut pas se substituer au médecin, mais en ce qui me concerne, je fais mes choix.
Et si ça veut dire refuser un traitement, j’en ai le droit.
Quant aux hormones, si on peut les éviter, tant mieux.
Je pense que dans certains cas, il y a du bon, mais qu’en général la vision est loin d’être holistique et que trop de facteurs sont laissés à l’écart. Comme ce que la personne mange, son état émotionnel, etc.
Bonne fin de semaine,
Héloïse