Quand thérapie quantique et voie d’éveil font bon ménage

Thérapie quantique et 3 petits contes initiatiques
Lorsque j’ai découvert la thérapie quantique, tous mes repères ont basculé. J’étais habituée à l’analyse, la compréhension et l’analogie.
J’avais l’impression de voir clair dans les associations. En peu de temps, mon idée de la psychothérapie a basculé.
Je me suis alors aperçue que les notions abordées en thérapie quantique ressemblaient fort à tout ce que j’avais appris dans la tradition tantrique shivaïte.
Pour la première fois, vie spirituelle et travail sur soi marchaient main dans la main. Je voyais un pont entre les voies d’éveil et la thérapie.
Jusque là, je n’avais rencontré que des milieux thérapeutiques qui avaient une idée plutôt mentale de la vie spirituelle et de ce qu’elle implique.
De même lorsque je passais du temps auprès d’un maître, je voyais les blessures de l’égo se mettre en scène sans que personne n’en tienne compte. C’était bien sur ma propre division que je voyais à l’œuvre.
Je vous propose trois petits contes initiatiques pour vous éclairer là-dessus et je vous expliquerai comment j’ai arrêté de chercher l’éveil !
Un petit conte initiatique d’Osho: le miracle
Un jour, un voyageur interpela le maître zen Bankei qui travaillait dans son potager.
– Jardinier, où est le maître ?
– Faites le tour de la maison et entrez, répondit Bankei, vous le trouverez à l’intérieur.
Dans la maison, le voyageur vit le jardinier assis dans un fauteuil. Il s’écria :
– Es tu fou ? Quitte ce siège, c’est un sacrilège, n’éprouves-tu aucun respect pour le maître ?
Bankei s’installa par terre
– Tu ne trouveras aucun maître ici, dit-il parce que le maître c’est moi.
Le chercheur de vérité s’en alla. Il avait échoué. Il n’avait pas pu reconnaître un grand maître sous les traits d’un homme de modeste condition.
Un autre jour, tandis qu’il prêchait paisiblement pour les disciples, Bankei fut interrompu par un prêtre qui appartenait à une secte férue de miracles.
L’homme se vanta en affirmant que le fondateur de sa religion pouvait, en se tenant sur une rive de la rivière, écrire un nom sacré sur une feuille de papier tenue par un assistant sur l’autre rive.
– Et vous, de quels prodiges êtes-vous capable ? Demanda t-il ?
Bankei répondit:
– Un seul. Quand j’ai faim je mange, quand j’ai soif je bois, quand j’ai sommeil je dors.
Le mental aime se distinguer, il raisonne en termes de réussite, d’échec et de comparaisons. Il veut toujours plus. Il vous dicte votre conduite et commente le moindre de vos gestes.
Cette petite voix comme une radio branchée en permanence gère vos pensées et traduit vos expériences en « j’aime » et « j’aime pas ». Je vous laisse découvrir la bande-annonce du film « l’incroyable destin de Harold Crick sur ce thème.
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L’Incroyable destin de Harold Crick – Bande… par _Caprice_
Le mental n’aime pas être ordinaire:il veut qu’on le reconnaisse, qu’on l’aime même s’il doit faire des miracles pour cela.
Dans la voie tantrique Kaula, les miracles sont considérés comme « vulgaires ». Pourquoi s’exhiber par des tours de magie lorsque la vie elle-même est une expérience époustouflante de tous les instants?
C’est la raison pour laquelle les maîtres (ceux qui sont arrivés au stade de la matérialisation ) manifestent un abricot même en plein hiver afin de souhaiter la bienvenue à leurs visiteurs.
En thérapie quantique, il est question d’être là dans ce qui se passe en vous sans interprétation. Tout l’univers étant fait d’une même substance, tout ce qui existe est relié, êtres vivants y compris.
En physique quantique, l’univers entier est constitué de carbone, hydrogène, oxygène et azote. Les atomes sont simplement agencés différemment entre eux.
Même la magie devient explicable pour qui sait modeler l’univers. Défaire ce que vous avez créé afin de mettre à distance vos blessures redevient simple lorsque vous laissez de côté votre personnalité construite.
Comme c’était mon interrogation de ces dernières années, nous avons rencontré (par hasard!?) au Népal, un être arrivé au niveau de la matérialisation.
Il s’agit de Sanjay. Il est de la lignée des Sai Baba et il vient tout juste de fêter ses 25 ans.
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Il a été découvert petit lorsqu’il matérialisait des cahiers et des stylos pour ses copains de classe. Depuis, son aura et sa notoriété ne cessent de grandir.
Ce qu’il matérialise aujourd’hui, c’est de la cendre parfumée afin de ne pas réveiller les convoitises commerçantes et attirer les marchands du temple.
Lorsque vous le rencontrez, il arrive qu’il matérialise devant vos yeux un filet de cendres afin de subjuguer votre mental. C’est une peu comme une promesse de ce qu’un humain peut accomplir lorsqu’il s’affranchit des limitations de son égo.
Contrairement à l’idée romantique qu’il s’en fait, le mental ne sait que faire avec les vrais miracles. Ceux-ci le confrontent à ce qu’il ne peut ni comprendre ni appréhender.
C’est assez drôle de voir le mental se prendre un petit court-circuit dans ces cas là!
2ème conte initiatique : la méditation.
Un homme qui s’exerçait depuis quelques temps à la méditation vint voir Ikkyu.Il laissa son parapluie et ses chaussures trempées devant la porte et entra.
Quand il eut terminé de présenter ses respects au maître, celui-ci lui demanda s’il avait déposé son parapluie à gauche ou à droite de ses chaussures.
Vous vous attendez à ce qu’un maître vous interroge sur Dieu, la montée de la kundalini, l’ouverture des chakras etc.
Ikkyu s’enquit tout simplement d’un parapluie. Ne vous y trompez pas la question est pertinente. Le visiteur fut incapable de répondre.
Qui se soucie de retenir si un parapluie se trouve à gauche ou à droite d’une paire de chaussures ?
Pour Ikkyu, ce défaut d’attention était significatif ; il refusa d’accepter l’homme comme disciple.
– Retourne méditer 7 ans de plus, lui dit-il
– Sept ans pour une si petite faute ! S’exclama le candidat.
Aucune faute n’est grande ou petite, répondit Ikkyu. Tu ne vis pas de façon méditative, c’est tout.
Il n’existe pas de choses triviales ou spirituelles.
Tout est spirituel : les objets sont aussi sacrés que le reste de l’univers car de même nature, faits d’électrons de vide et de protons (entre autres).
Être présent lorsqu’on dépose ses chaussures ou pendant la méditation ne fait aucune différence.
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Thérapie quantique et voie d’éveil
En thérapie quantique, être présent signifie laisser la totalité être à chaque instant car se battre avec un ressenti ou un concept éloigne de l’unité.
Les activités mentales vous projettent dans un futur que vous voulez créer ou un passé que vous voulez éviter. Vous ne voulez pas ce qui vous arrive parce que cela vous rappelle des souvenirs désagréables.
Vous désirez vivre autre chose que votre présent car vous projetez des moments agréables dont la sensation vous est connue.
Entre désir et évitement, vous êtes peu conscient de vous-mêmes. Penser vous fragmente et vous sort de l’instant, seul moment où vous Êtes ici et maintenant.
Il n’y a pas que la pensée qui vous anime (dans le sens d’être agi), vos émotions prennent aussi les commandes. Vous ne savez pas toujours dans quel état vous êtes lorsque vous agissez.
Dans ce petit conte initiatique, l’apprenti disciple pouvait très bien être dans une peur non consciente de ne pas être accepté comme disciple ou dans un désir de l’être.
En Orient, les maîtres choisissaient leurs disciples, je ne sais pas si c’est toujours le cas. Les critères de sélection étaient parfois féroces.
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Chez les tantriques aghoris par exemple, ils les soumettaient à des « bizutages » qui dépassent l’entendement comme dormir sur un cadavre ou passer trois jours sans bouger sur un trottoir de Bombay.
Les raisons ne sont jamais sadiques car les maîtres cherchent chez leur futurs disciples la motivation, l’endurance et la capacité à braver les peurs. Seuls les candidats prêts à tout sacrifier pour leur quête sont retenus.
3ème conte initiatique : l’acceptation
Dans le village où vivait le maître zen Hakuin, une jeune fille se trouva enceinte.
Sommée de révéler le nom de son amant, elle accusa Hakuin. Lorsque l’enfant fut né, le père de la jeune fille le porta chez Hakuin qu’il insulta copieusement. Puis il dit :
– Tu t’occuperas du nourrisson puisque c’est le tien.
Hakuin répondit :
– Ah oui ?
Il prit le petit dans ses bras, l’enveloppa dans un pan de sa vieille tunique et l’emmena partout avec lui.
Il mendia du lait pour le bébé. Beaucoup de ses disciples le quittèrent, l’estimant déchu. Hakuin les vit partir sans formuler le moindre reproche.
Un jour, souffrant trop d’être séparé de son enfant, la jeune mère désigna le vrai géniteur. Son père se rendit immédiatement chez Hakuin. Il lui demanda pardon et lui raconta la vérité.
– Ah, oui ? Fit Hakuin
Et il rendit l’enfant.
Cet aspect de l’éveil est difficile à comprendre en occident. Vous êtes formatés pour apprendre à être maître de votre vie, de votre destinée. Il n’y a rien de mal à cela non plus.
La plupart des techniques de développement personnel s’attachent à rendre le pouvoir, la confiance et la capacité à choisir son chemin de vie. C’est une étape nécessaire dans la dualité.
Du point de vue de la thérapie quantique, cela s’appelle vouloir être quelqu’un. Or, si nous sommes tous de même nature et si il n’y a qu’une seule et même substance qui sous-tend l’univers, vouloir être quelqu’un c’est renforcer la dualité.
Vous avez vu dans l’article projet sens que, pour vous incarner, vous puisez dans votre arbre généalogique .
Vos objectifs à court et moyen terme se résument souvent, sans que vous le sachiez à trouver une solution aux conflits non résolus de vos parents et ancêtres.
Ceci n’est pas à prendre comme une limitation mais bien comme une condition d’incarnation. Il n’y a pas à se battre avec.
C’est pourtant ce que vous faites lorsque vous décidez que votre environnement ne vous plait pas, que vos relations ne vous nourrissent pas et que votre corps vous empêche d’être libre et attirant.
La voie indienne rejoint la thérapie quantique : vous êtes heureux lorsque vous n’êtes plus quelqu’un et lorsque vous avez laissé tomber les attributs de votre faux-self qui fait tout mieux que vous.
Imaginez que vous soyez construit sur « je suis seul au monde », vous pouvez être certain que votre faux self sera sans cesse entouré d’amis. Il compense ce que vous cherchez à éviter de sentir.
Lorsque vous vous promenez dans les bois, votre faux self vous soufflera que vous êtes en communion avec la nature.
Je sais, ce n’est pas toujours ce qu’on aime entendre mais si vous lâchez les petits désirs de lien de votre égo, vous n’aurez de cesse de sentir votre connexion au tout sans avoir besoin d’être identifié à quelqu’un de connecté.
Entretenir une ligne directe avec Dieu, ses anges et ses guides est malheureusement trop souvent le résultat d’un faux self construit sur une peur du vide. Lorsqu’on le vit, pourquoi en parler?
Je ne vous en voudrai pas si votre mental se rebiffe un peu lorsqu’il entend cela. Même le mien n’aime pas toujours les réalités de la thérapie quantique !
Dans cette petite histoire, on comprend jusqu’où va l’acceptation. Ne se prenant pour personne, il ne se prend même pas pour quelqu’un qui vit une injustice.
N’étant personne, il n’a même pas besoin de défendre ses droits. N’étant pas identifié à sa personnalité, il n’est pas possible de lui manquer de respect!
Voyez que l’accord toltèque : « ne prenez pas les choses personnellement » peut aller beaucoup plus loin que ce que vous imaginez !
Cela vous rappellera sans doute un autre individu dont l’histoire remonte à plus de 2000 ans et qui ne s’est pas non plus pris pour quelqu’un.
Ainsi toutes les religions s’entendent sur ce point pour peu qu’on sache lire entre les lignes. Pouvoir dire oui à la vie sans condition, sans rien classifier en bien ou mal est un exercice de haut vol.
On aime tellement se prendre pour quelqu’un qui aime ceci et n’aime pas cela.
Lorsque vous pouvez rentrer dans une acceptation de cette envergure, alors les tensions, les problèmes, les désirs et les mécontentements disparaissent.
Le maître tantrique avec lequel je travaillais avait pour habitude de dire que nous sommes comme une petite plume au vent.
Je n’aimais pas du tout cette interprétation du chemin et cela me posait un véritable problème par rapport au libre arbitre.
D’ailleurs chaque fois qu’il abordait ce thème, il y avait de gros remous dans la salle. Les égos manifestaient leur mécontentement et leur droit à la différence.
Normal pour un égo. Incompréhensible pour la thérapie quantique où le but est de donner libre cours à tout ce qui se manifeste à l’intérieur de vous sans l’étiqueter ni le réglementer.
Difficile sans étiquette de savoir si ce qu’on vit est de la colère, du désir ou de l’énergie vitale ! C’est le mental qui aime donner des noms pour pouvoir ranger tout ça dans ses petites boites.
Le bonheur qui s’origine dans une cause ne dure pas. L’acceptation de ce qui est rend joyeux sans aucune raison.
Laisser la vie suivre son cours en nous sans interrompre son flux par une pensée, un jugement, un désir quand bien même l’expérience à vivre est une injustice ou un rejet.
C’est là qu’on s’aperçoit que la voie spirituelle, ce n’est pas qu’une récitation de mantras et un ensemble de pratiques. Ouvrir son cœur à ce qui est, plus facile à dire qu’à faire !
Si vous voulez lire mon expérience sur le chemin d’éveil, je vous propose un petit tour sur le blog de Didier. Suivez le lien: levoyagedulacherprise.com/le-jour-ou-jai-arrete-de-chercher-leveil/, je vous promets une histoire sans petites fleurs autour!
Ces 3 petits contes vous ont plu ou vous font réagir? Laissez un commentaire!

Bonjour Hannah,
Ces 3 petits contes me laissent sans voix et m’ouvrent plusieurs voies……
J’avoue que j’ai beaucoup à comprendre, à ressentir…
J’aime les contes, ces contes me demandent du temps, beaucoup de temps.
Merci Hannah, de m’ouvrir un petit coni d’oeil. Enfin, je crois…..
Bonne journée
Bonjour Charlotte,
Les petites histoires zen sont percutantes.
on ne peut que se laisser imprégner car elles
ne s’adressent pas au mental.
Bonjour , j’ai adoré ces 3 histoires, elles m’inspirent beaucoup merci !!
Merci Fabienne, les bouddhistes utilisent beaucoup
les petites histoires initiatiques pour confronter le
mental de leurs disciples!
Bonjour, très bel article. L’acceptation et le lâcher prise, écouter la petite voix intérieur, ne pas laisser son ego prendre trop de place…. Apprentissage de toute une vie….
Bonjour Amelle,
Lâcher prise n’est pas toujours facile puisqu’on ne
sait pas quoi lâcher! On tient un nombre incroyable
de concepts que nous prenons pour des vérités.
lorsqu’on reconnait une identification, alors on peut
la lâcher.
Bonjour Hannah,
Oui j’aime beaucoup que tu illustres ce point de vue déroutant pour l’égo grâce à des contes. Les contes pénètrent au-delà de la compréhension, comme la voix d’un sage.
Belle journée
Cathy
Bonjour Cathy,
Merci de ton passage. Chaque fois que je lis
le nom de ton blog , je pense à une histoire que je
racontais à mes élèves de maternelle, celle de
poulette coquette!
Raaa, je ne la connais pas cette Poulette coquette? Tu me donnes la référence?
Bonsoir Cathy,
C’est un album du Père Castor mais tu peux la regarder
en vidéo sur ce lien:
http://www.dailymotion.com/video/x3huaa_pere-castor-paquerette-et-poulette_fun#.UaPQE-sro7A
J’adore les contes pour enfants, c’est sans doute pour cela que j’ai si longtemps enseigné en maternelle!
Bonjour Hannah,
J’ai bien apprécié ces 3 contes, se complétant, c’est une autre vision ouvrant de nouvelles perspectives.
J’aime garder l’esprit ouvert car on a tous des choses à s’apporter !
Bien amicalement,
Bonjour Ali.
Cela faisait longtemps qu’on ne s’était pas parlé
par blog interposé.
J’espère que tu vas bien et que tes objectifs se
matérialisent.
Bonjour Hannah,
c’est un article très profond, que j’ai dû relire trois fois pour bien comprendre où tu voulais nous amener…
Si j’ai tout capté, on se rejoint complètement, dans les traces d’E.Tolle, René Egli, W.Dyer…à savoir qu’il faut abandonner cette recherche incessante de valorisation de l’égo, ce désir de « vouloir être quelqu’un » comme tu dis, qui nous éloigne du « tout est un ».
Qu’il faut toujours agir et réfléchir en termes d’unité, que tous les évènements, les gens, les destins sont intimement liés dès notre naissance.
Et que finalement, la vie n’est que l’apprentissage de l’acceptation et de l’amour!
Bonjour Daniel,
Quel magnifique résumé tu nous fais là!
J’aime beaucoup Wayne Dyer. J’imagine
que tu as vu son film.
Je voulais vous amener à mesurer que le
quantique qui prend de plus en plus de place
dans les sciences et les thérapies rejoint totalement
les voies d’éveil millénaires…ce qui me paraît être
de très bon augure.
Salut Hannah,
J’ai adoré ces 3 petits contes, encore de belles leçons !
Bonjour Jonathan,
Je vois au titre de ton article que nous nageons
dans les mêmes eaux de l’instant présent!
Bonjour Hannah
Effectivement être tous les jours en accord avec ce qu’on professe ou ce en quoi on croit est souvent plus facile à dire qu’à faire.
Lâcher-prise alors que tous les coachs en Occident (ou la plupart) disent qu’il faut vouloir, qu’on doit se concentrer sur le but, que nous devons lutter pour obtenir ce que nous voulons, etc etc n’encourage pas trop cet état d’esprit.
Il est évident aussi que savoir ce qu’on veut et se fixer des objectifs pour les atteindre est nécessaire, alors quand s’arrêter et devenir obstiné et quand lâcher-prise ? Difficile équilibre qu’il faut parfois des années pour en arriver là.
Serait-ce une prérogative de l’âge de m’y voir arriver aujourd’hui sans difficulté ?
Bonsoir Sylviane,
Je crois qu’il y a un temps pour tout.
Suivre la voie de la quête, du but et du perfectionnement
permet d’avancer.
Par contre, comme le mental récupère tout, changer de tactique
régulièrement confuse l’égo et c’est pour le mieux.
Les voies d’éveil prônent plutôt des pratiques comme la méditation,
certains yogas ou les arts martiaux ainsi qu’un lâcher prise de
l’égo qui veut la réussite et les objectifs atteints.
C’est le privilège de l’âge que d’avoir moins d’objectifs à
atteindre donc plus de présence et d’Être!
Bonjour Hannah,
Tu es la personne qui peut le mieux à ce jour nous faire rencontrer l’approche quantique . Tes explications sont une chose certes,mais tes vécus, tes hésitations tes rebellions maîtrisées tes expériences pas toujours heureuses,nous aident encore plus que tes explications parce que c’est ce qu’on vit si intimement au fond de nous qui résonne en nous qui donne du sens à ce prodigieux parcours initiatique. Merci pour ce don de toi qui nous est si précieux car tu n’es pas un maître intouchable mais une soeur qui peut comprendre sans juger.
Bien amicalement
Dominique V.
Bonjour Dominique,
Ton commentaire m’a beaucoup touché.
Je me reconnais dans ce côté « ainé » qui abat quelques
arbres à la machette afin d’éclairer le chemin en même
temps que je le parcours et que je trébuche.
Éclaireur est un métier passionnant qui me permet d’ailleurs
de croiser d’autres fantastiques éclaireurs en route!
C’est pour cela que j’ai accepté quelques articles invités éclairés!
Les contes initiatiques sont souvent plus éloquents et percutants que les longs discours…
Merci Hannah !
Bonjour Roseline,
oui j’en ai quelques uns dans ma musette pour sortir
du sérieux et du dogmatique!
Merci pour ces contes,
Ils marquent l’esprit et sont facile à transmettre!
Mais l’acceptation de ce qui est, est vraiment le départ d’une nouvelle vie…
Merci pour ces contes faciles à transmettre et qui marquent l’esprit!
L’acceptation de ce qui est est la première chose sur le chemin de la sagesse…
Bonjour Nicole,
J’adore ces petites histoires qui clarifient en quelques phrases
des notions pas faciles qui seraient rébarbatives dans un livre
théorique!
Pour moi, tout a été dit de nos difficultés à trouver l’attitude juste sur la voie de l’éveil.
Merci pour ces contes très explicites… Je vais être attentive pour me laisser guider.
Bonjour Michèle,
Se laisser guider sans se défendre est un véritable
art martial de l’esprit!
Merci Hannah, tes explications sont très claires 🙂 Pas évident de mettre des mots sur quelque chose qui n’a pas de langue.
Tu sais, toi aussi à ton niveau tu as manifesté ce garçon 😉 (« Comme c’était mon interrogation de ces dernières années, nous avons rencontré (par hasard!?) au Népal, un être arrivé au niveau de la matérialisation. »)
Nous manifestons continuellement. Bien entendu pas encore de façon matérielle comme ces maîtres…
L’acceptation, pour moi, c’est aussi d’accepter ce qui vient sans s’y attacher. Par ex, une émotion se présente: peu importe qu’il s’agisse de colère ou de tristesse… ce ne sont que des mots, on l’accepte sans la refouler mais on ne s’y accroche pas non plus.
Tu sais que pour moi tout est énergie et en effet, tout est composé de cette énergie. Ainsi, toi, moi, les plantes, etc. = pareil. Toutefois, je soutiens certaines pratiques dans le développement personnel qui pourrait donner l’impression que le but est de « vouloir être quelqu’un ». Or je le vois comme simplement le fait d’être. J’y ajoute parfois le mot « soi » car autrement peu de personnes comprennent. Mais le message = la liberté d’être (point).
Je pense aussi que l’on peut être tout en prenant conscience justement de ce que nous vivons en ce moment, et que c’est ok de l’accepter tout en choisissant de vivre autre chose. Cette intention est inspirée d’une façon ou d’une autre 😉
Tout ce que j’ai vécu m’a amenée où je suis à ce moment précis, et rien que ça est merveilleux. Ainsi je n’ai rien à regretter. Et cela peut motiver de nouveaux choix, qui se posent peut-être tout naturellement comme la plume qui vogue sur les courants d’air. Mais notre langage est inadéquat, je pense, et donc cela crée une confusion mentale, alors qu’en somme, c’est forcément très simple…
Bon weekend Hannah 😉
Merci Héloïse pour ton commentaire.
Je ne renie pas non plus le développement personnel car il m’a servi
de tremplin pour en arriver là, tout comme le « prédicament » du projet
sens sous-tend notre incarnation.
L’acceptation est vraiment le mot du jour. Vivre l’énergie des situations
plutôt que vouloir chercher à comprendre est aussi une des bases du
quantique.
Je crois que nous nous dirigeons tous vers cet espace quantique à notre
manière et à notre rythme.
En effet, et rien que de se diriger dans ce sens est en soi une forme de développement personnel (qui n’est en effet pas comparable avec le discours: confiance en soi, etc)
bises
Merci Héloïse, je vais aller voir le parapluie le plus cool
demain…je ne sais pas encore de quoi il s’agit. J’en connais
un gris qui change de couleur et se transforme en arc en ciel
quand il pleut. Je suis curieuse. A demain sur ton blog.
Merci Hannah!
Oh le tien a l’air très cool aussi 🙂
Celui-ci est 100% recyclable, design, anti-vent, compact, et personnalisable, et pas cher. C’est une innovation italienne, mais attention les commandes se clôturent vendredi.
Bises, bonne journée 😉
Bonjour Hannah,
«Ne pas se prendre pour quelqu’un»? Je suis habituée à entendre (ou à lire) : ne pas se prendre pour quelqu’un d’autre…
C’est en même temps contradictoire de ne pas vouloir être quelqu’un parce qu’on est rattaché au tout et de savoir en même temps qu’on est une partie de la divinité.
De ces temps-ci, les thérapies quantiques ont le vent dans les voiles et je vois de plus en plus d’articles et de vidéos où j’apprends des choses vraiment intéressantes, voire captivantes, comme dans ton article.
J’ai vu une méthode pas plus tard que cette semaine au sujet d’une technique de guérison par téléphone. Je t’en reparlerai dans un courriel privé.
Amicalement,
Sco! 😉
Bonsoir Sco!,
Je crois aussi que le quantique a le vent en poupe.
tout s’accélère et je ne vois pas pourquoi la guérison
aujourd’hui ne serait pas aussi accélérée.
ne pas se prendre pour quelqu’un n’est pas un exercice facile,
nous sommes bluffés tous les jours en nous regardant dans la
glace, il semble qu’il y ait quelqu’un. Le but du quantique
c’est vraiment de nous ramener dans l’unité, à l’état de goutte
dans l’océan.
la sensation est jouissive mais le mental a peur de la dissolution!
Bonjour Hannah, une journée sans son mental doit être une drôle d’expérience ! un peu comme un petit oiseau?
zenie
Bonjour Zénie,
C’est une bonne image…le petit oiseau.
J’ai plutôt déchanté à la fin de la journée.
j’avais eu une autre expérience plus jeune
alors que je travaillais sur les techniques
indiennes…je ne savais plus conduire ma voiture
en sortant du stage!
Je suppose que ces expériences m’ont mis très tôt
sur le chemin pour trouver l’Être et relativiser
le mental.
Je n’étais pas fière non plus ce soir-là en rentrant dans ma voiture!
Bonjour Hannah
Merci pour ces merveilleux messages ; grâce à toi , on accède vraiment à une autre dimension !
Et c’est vrai que les contes facilitent la compréhension des concepts que tu développes
Amitiés
Janine
Bonjour Janine,
Je disais à Cathy que j’aimais les contes pour enfants
mais en fait, j’aime tous les contes et particulièrement
les contes soufis.
Bonjour Hannah,
Je me sens un peu démunie par cette idée d’oublier que nous sommes quelqu’un pour se centrer sur le tout dont nous ne sommes qu’une particule. Autant je suis passionnée par toutes les approches nouvelles, quantiques et autres de l’univers et de l’individu, autant je reste un peu sceptique sur la course à la philosophie orientale. Notre creuset culturel est si différent…
Mais, j’imagine que ce petit frein fait partie de mon chemin, en douceur.
A bientôt !
Bonjour Bernadette,
J’ai précisé que c’était une voie d’éveil donc tu as
raison il faut y aller en douceur. Tu sais déjà lorsque
nous avons les yeux fermés en méditation , nous avons du mal
à nous prendre pour quelqu’un.
Sentir au travers de son corps que nous sommes reliés au tout
n’est pas qu’une expérience mystique, c’est quelque chose que
l’on sent régulièrement en thérapie quantique.
Des américains ont commencé à faire une réunification entre
votre vision occidentale et les voies orientales. De même,
certains maîtres indiens comme swami Prajnanapad que j’avais présenté
dans un article ont commencé à introduire une forme de psychologie
dans leurs pratiques pour aider les disciples.
Je trouve émouvant, quelque part, que ces mélanges universels. Et je crois que la planète sera enfin grande quand les hommes auront compris que la seule voie, c’est de prendre le meilleur en chacun…
Je dis les hommes, mais c’est souvent des femmes que viennent ces initiatives, même si la plupart des maîtres sont des hommes. Encore une preuve que c’est le meilleur qui se retient !
Bonsoir Bernadette,
Chez les Tantriques c’est l’inverse, les maîtres sont
des femmes.Et des sacrées femmes dans tous les sens du terme!
A titre d’exemple, l’histoire de Lalla:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/vous-pas-aimer-confiance-en-soi/
Et celle de Machik Labdrön
http://levoyagedulacherprise.com/le-jour-ou-jai-arrete-de-chercher-leveil/
Bonjour Hannah,
J’avoue que j’ai beaucoup de mal à ne pas me prendre pour quelqu’un. Tant que j’ai une conscience, ça me paraît impossible. Même dans le livre « la preuve du paradis », le Dr Alexander qui vit une expérience de mort imminente, la vit en conscience. Il « ressent » l’amour qui lui est donné. Comment pourrait-il ne plus être lui ?
Bonsoir Jean,
Dans le monde quantique, ne pas se prendre pour quelqu’un
c’est enlever toutes les étiquettes connues du mental et
se vivre comme étant de même nature que toute chose.
C’est une expérience que l’on peut vivre en étant guidé
comme sur mon article invité de Didier mais on peut
aussi le faire en pratique quotidienne et apprendre à
se percevoir autrement que par le mental.
https://www.new.forme-sante-ideale.com/la-psychologie-quantique-une-approche-pour-realiser-notre-etat-unite/
Bonsoir Hannah,
Merci pour ce magnifique article de la conscience.
Vaste programme que ceci . J’adore que la vérité soit celle ci. Tout ca est plus facile à dire qu’a faire comme tu dis mais tendre vers ca me plait.
En te lisant j’ai pensé à la méditation du vide de Didier lors d’un précédent article que tu lui avais invité à écrire sur ton blog.
J’adore savoir que je ne suis personne , je suis tellement plus que ca.C’est magnifique.
J’adore savoir que toi , moi , tout le monde , la nature , le ciel sommes la meme chose , la meme essence.Quand je suis dans cet état de conscience je ressens un tel bien etre.
J’adore sentir que la mort n’existe pas et que c’est seulement tout qui se transforme.
J’adore savoir que le bien et le mal n’existe pas non plus et que c’est seulement un concept mental.
J’adore qu’il n’y ai pas besoin de vouloir etre quelqu’un pour vivre et qu’il y a juste à etre.
J’adore……….. etre vivant !
belle soirée…
Arnaud
Bonsoir Arnaud,
Oui cette simplicité est très rassurante.
Après cela, savoir ce qu’on tient comme identification
et lâcher ce qu’on tient, c’est une nouvelle histoire
thérapeutique qui commence!
Bonjour Hannah,
A cette petite voix.
Que de ravage fait-elle….
Il est très compliqué de ne pas l’entendre et encore plus de ne pas l’écouter.
La relaxation m’aide à me détacher de cette voix pour me concentrer sur l’univers pour être en harmonie avec lui.
Il y a des jours où c’est plus compliqué que d’autres, ces jours là il ne faut pas abandonner au contraire il faut persévérer.
Merci pour tes bons conseils.
Danièle
Bonsoir Danièle,
Dans le film dont je parle, le personnage du roman qui entend
la voix de l’auteur dans sa tête trouve des stratagèmes un peu
compliqués pour se sortir de la tête la petite voix… comme par
exemple aller demander des comptes à celle qui écrit ses
dialogues.
La relaxation offre de meilleurs résultats!
Bonjour Hannah,
Je n’avais jamais entendu parlé de ce jeune homme qui matérialise des cendres mais je trouve ça génial ! Je suis convaincue qu’un jour ou l’autre, nous saurons tous faire de telles choses !
Ma mère connaissait un homme qui arrivait à faire exploser des verres rien qu’en les regardant ! C’est bien la preuve que nous pouvons faire des choses que nous n’imaginons même pas.
Je crois aussi que nous sommes bien plus que ce que nous croyons être même si nous faisons partie d’un tout.
Belle fin de semaine ; )
Bonsoir Nathalie,
Maintenant, tu sais où il habite!
Bien sut il y avait l’autre Sai Baba, celui qui
est mort récemment et qui habitait à Putaparti
en Inde.
Bien sur qu’il est là pour nous rappeler notre essence
multidimensionnelle et les pouvoirs illimités de notre
cerveau que nous n’avons pas encore découverts en nous.
Bonjour Nathalie ,
A mon sens c’est justement parce que nous faisons partie d’un tout que nous sommes bien plus que ce que nous croyons etre.
Cordialement
Arnaud
Bonjour Hannah,
En essayant d’être toujours dans le présent, avec la conscience que nous faisons partie d’un tout est vraiment pour moi très apaisant.
Ces 3 contes me parlent vraiment, merci pour cet article.
Bien amicalement,
Christine
Bonsoir Christine,
Si nous pouvions passer notre vie dans la sagesse zen!
Bonsoir Hannah,
J’ai particulièrement apprécié ton article et à plus d’un titre.
C’est exactement le problème des thérapies en psy… quelque chose, elles ne saisissent pas la fameuse vraie nature du soi. On demeure dans le mental, c’est bien pour cela qu’elles ne libèrent au mieux qu’un peu.
Elles entretiennent le mental dans sa peur d’être menacé, dominé, dans son besoin de se rassurer.
Au contraire les découvertes de la physique quantique, récupérées par les thérapies quantiques fort à la mode c’est vrai, rejoignent le » je suis cela » oriental. Et le lien est fait entre deux mondes.
J’aime bien quand tu dis que la personnalité est construite.
Les orientaux l’ont démontré, les physiciens aussi, mais le mot déjà dit tout puisque « persona » en grec cela
signifie « masque »…
Merci pour cet excellent condensé de ce qui essentiel à saisir. On se croit tout de suite moins important !
A une autre fois.
Marie.
Merci Marie pour ton passionnant commentaire.
Le grand maître en la matière, bien avant la
physique quantique étant Nisargadatta Maharaj
avec son inclassifiable « Ni ceci ni cela ».
Exactement, lire Nisargadatta c’est radical et rend des tas d’autres textes inutiles.
A une autre fois.
Tu veux dire, un must si on ne devait emmener qu’un livre sur une île déserte!
Bonjour Hannah,
Super tes 3 petits contes qui résonnent profondément en moi et me plaisent … Merci !
Je suis bien d’accord que si il n’y a qu’une seule et même substance qui sous-tend l’univers, vouloir être quelqu’un c’est renforcer la dualité.
Je pense aux disciples de ce grand Maître Zen du XIIIs. qu’était Dogen lorsque, ce dernier rentrant d’un voyage de plusieurs années en Chine, ils lui demandèrent ce qu’il avait appris. La réponse déconcertante en apparence fut
« J’ai appris que les yeux sont horizontaux et le nez vertical… »
Beaucoup de travail pour retrouver la simplicité … Tes articles fournissent de bonnes aides pour apprendre à vivre ici et maintenant !
A bientôt
Philippe
Bonjour Philippe,
Je ne connaissais pas l’histoire de Dogen mais je vois
qu’il s’inscrit parfaitement dans la lignée des petits
contes zen.
Je t’en propose un petit dernier:
« Qui excelle au tir ne touche pas le centre de la cible »
qu’en penses-tu?
Je pense que « quand on excelle au tir », il n’y a plus ni « cible », ni « non cible » … voilà, quel est ton avis ?
Bien à toi
Philippe
J’avais une interprétation un peu différente
mais toutes les réponses sont bonnes.
Pour moi exceller au tir, c’est chercher
la perfection, la performance, le savoir-faire.
En général c’est l’égo qui recherche ces qualités.
Le centre de la cible c’est l’Être. Les maîtres
tirent les yeux fermés car ils deviennent le tout.
Ils sont donc l’archer, la flèche, la cible et il
n’y a plus aucune distance entre eux et la cible
un peu comme l’aigle et sa proie, il ne peut pas
la rater puisqu’il est aussi la proie et qu’il
n’y a plus de distance entre son oeil et sa proie.
Intéressant ton point de vue Hannah …
De mon côté je pense que pour exceller en quelque chose, on ne recherche plus.
Oui les maîtres tirent les yeux fermés parce-qu’ils sont tout à la fois, ils sont dans la grande Unité « non dualiste », dans laquelle il n’y a plus ni « cible » ni « non cible » … par conséquent ils n’y a rien qu’ils pourraient manquer …
A bientôt
Philippe
Bonjour Philippe,
Oui, nous sommes d’accord, c’est surtout en présence à soi-même
qu’il vaut mieux exceller même si l’habileté au tir y est pour
quelque chose.
Merci Hannah, pour ces trois contes zen percutants. C’est très agréable de lire ton blog, bien illustré et dont le style souvent humoristique amène de la légèreté sur des sujets profonds.
C’est pour ma part très difficile de mettre mon mental en veille, parfois je me sens comme le protagoniste du film que tu as mentionné…C’est dans ces moments là que la méditation m’apporte énormément.
Je suis d’accord avec toi, il est rassurant de constater qu’il existe un lien avec le quantique qui devient à la mode et les voies d’éveils millénaires. L’humanité reviendrait-elle sur le bon chemin?
Bonjour Mylène,
Je crois que tu parles du mental de chacun…il adore
jacasser et dire ce qu’il pense de tout à chaque
instant.
C’est une cure de désintoxication du mental que propose
la thérapie quantique. Je me demande si cette dépendance là
n’est pas la plus difficile à sevrer!
La lecture de ces 3 petits contes fut très intéressante. Il y a encore de belles leçons !
Tout un art consistant également à faire comprendre que la guérison dépend d’eux et pas de vous, que c’est le corps qui se guérit lui-même animé par l’esprit fortifié, et d’ainsi de remettre l’être au centre de sa guérison pour le rendre responsable, et se responsabiliser soi-même face à l’éducation de l’autre par la même occasion. Soit renverser les croyances établies face à la médecine conventionnelle qui maintient l’être humain dans son statut de victime, d’assisté.
Bonjour Katheryn,
Oui, tout le monde n’est pas prêt à accepter cela.
C’est aussi la raison pour laquelle il est bon
que plusieurs types de médecine coexistent dépendamment
du niveau de conscience de chacun.