Projet sens et biologie totale: quelle influence ont vos ancêtres sur votre vie?

Projet sens et Matière de vie.

 

Le projet sens se poursuit de génération en génération. La souffrance d’une première génération, pousse la génération suivante à la recherche d’une solution.


Cet acte amène une autre souffrance qui amène d’autres solutions de la descendance et ainsi de suite.


C’est ce que nous nommons en biologie totale ou décodage biologique la cascade biologique. C’est une dynamique de survie qui se perpétue jusqu’à ce que quelqu’un dans la lignée casse la chaîne en sortant de la survie.


Voici dans une histoire, un exemple de cette cascade biologique.

Cet article a été écrit par Didier Thiellet du blog le voyage du lâcher prise, dans le cadre de son évènement inter-blogueur.

 

Du laid au beau et du beau au laid.

 

Anne avait installé le président dans la salle d’opération la plus agréable de sa clinique. Le lieu en possédait deux, chacune équipée des outils les plus performants.


Anne avait choisi la bleue, pour son calme et sa sérénité. Depuis au moins quatre ans, beaucoup de personnalités importantes consultaient la Doctoresse Anne Lambert. Mais c’était son premier chef d’état.

 

Ce chef-là, l’avait consultée, pour une légère malformation au maxillaire inférieure droit. Il le dérangeait dans ses discours.


Belle affaire pour les humoristes qui ne manquaient pas de plaisanter sur ce point. Élu depuis maintenant huit mois, il était déjà suffisamment occupé par sa charge pour éviter d’y ajouter des tracas et du stress inutiles.

 

Anne Lambert, chirurgienne esthétique plus que reconnue, avait poussé l’art de changer le pinceau du peintre en scalpel. Elle faisait des miracles.


On raconte même, qu’elle avait opéré Mickaël Jackson, mais parce qu’elle avait un physique ingrat, il avait exigé d’elle, que son nom reste dans l’ombre.

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De l’ombre pourtant, elle s’était extirpée. Son physique l’avait en première instance, condamnée à développer des capacités solidement compensatrices. Mais ce n’était pas tout, car ses deux parents lui avaient aussi donné matière à transformation.


Importance de la renommée dans l’arbre généalogique d’Anne.

 

Le père d’Anne, qui avait des moyens intellectuels évidents, avait préféré faire carrière dans l’administration bien qu’il ait réussi haut la main ses études juridiques.


Juste avant la naissance d’Anne, il avait eu la possibilité d’acquérir un poste très important.


Seulement, l’obligation de rentrer en rivalité avec d’autres candidats, le mariage et les enfants à venir lui avaient fait préférer un poste moins important, sans réelle évolution, mais sans risque d’échec.

 

Sa mère de son côté, commerciale brillantissime, n’avait jamais pu clouer le bec à son patron.


D’ailleurs, peu avant son mariage, à cause de la décision de son mari, elle avait choisi de propulser son chef aux éloges des supérieurs en déclarant qu’elle servirait mieux l’entreprise en secondant celui-ci.


L’esthétique plastique des parents d’Anne ne les avait pas aidés non plus à se porter en première ligne. Aussi avaient-ils servi valeureusement ceux qu’ils voulaient considérer comme plus importants qu’eux.

 

Sous des apparences plutôt timides et dévouées, ils n’allaient pourtant pas s’en remettre.


Pendant des années, ils s’étaient mutuellement renvoyés leur propre dévalorisation dans des disputes. Anne avait grandi dans cette ambiance caustique.


Ce qui est certain, c’est que leurs enfants étaient aimés et désirés. Lors de réunions familiales, les parents comme les enfants aimaient à se remémorer des histoires plus ou moins cocasses du passé.


Anne, avait surtout entendu une histoire. Vous savez, ces histoires que la famille se raconte et se re-raconte dans les soirées de réunions de fêtes. Une légende familiale en quelque sorte.


Projet sens, laideur, dévalorisation et besoin de reconnaissance


Celle qui était revenue à propos de l’existence d’Anne, venait d’une déclaration de sa mère qui, à la naissance de sa fille, s’était écriée : “Eh, bien dis-donc, avec une tête comme cela, tu ne seras jamais présidente de la République, toi !”

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Bien évidemment, Anne ne se souvenait pas de ce moment délicieux. Elle était plutôt sensible au fait que l’anecdote avait été régulièrement servie aux fêtes, entre l’entrée et le dessert, voire parfois, à l’apéritif en amuse-gueules.


Elle avait d’ailleurs, un jour demandé à sa mère : “mais qu’est-ce qui t’a donc bien poussé, à me dire cela ? Je venais de naître”.


Sa mère lui avait répondu qu’à l’époque, elle se sentait piteuse, condamnée à vivre une vie professionnelle en demi-teinte, résignée à se soumettre, déçue par elle-même et son mari, la totale.


Maintenant, Anne n’allait plus s’en plaindre puisque cela l’avait poussé à réussir… D’accord, elle avait élevé ses deux enfants, seule. OK, elle avait quitté leur père à la naissance de la deuxième.


D’accord, l’admiration que les gens lui témoignaient n’était certainement pas pour sa laideur naturelle.


D’accord, elle avait refusé tout partenariat, toute association, ce qui l’avait obligé à devenir incontournable dans sa profession. Bien sûr, toute cette ascension avait été pénible. Mais elle s’en était bien sorti, voilà tout.


Transmission du projet sens à la génération suivante

 

Et c’est bien ce qu’elle pense, là, aujourd’hui, assise dans la grande salle du théâtre nancéien où sa fille, Kim, concourt pour l’élection de Miss France.


Elle est « joliette » comme une pierre précieuse mais ne laisse personne lui marcher sur les pieds. Pour Anne, sa fille est une belle et franche réussite.


Il est vrai que Kim n’en fait qu’à sa tête, que personne ne peut la contredire, qu’elle se prend pour la neuvième merveille du monde et qu’elle affiche sa bisexualité.


Kim efface ainsi toute la dure vie de sa mère, à commencer par la déception de cette dernière causée par son fils, Lionel, qui préfère rentrer dans les ordres alors qu’une prometteuse carrière de comédien lui sourit.

 

Anne a enfin l’impression, grâce à sa fille, de devenir aujourd’hui, la première, la personne au devant de scène, admirée de tous par le feu ensoleillé de sa beauté.


Quelle revanche pour la doctoresse, qui a dû ravaler de nombreuses humiliations! Toutes ces impressions sont encore présentes.


Ce qui n’est pas présent dans la conscience d’Anne, c’est la matière inconsciente qui crée cette manifestation ainsi que tout le cheminement de sa vie.


Ses cellules, elles, s’en souviennent parfaitement. La mémoire cellulaire des générations passées est toujours active en elle.

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Projet sens, laideur et renommée chez les ascendants

 

Cela a commencé quand sa grand-mère maternelle a poussé son mari, le grand-père d’Anne, à se présenter comme futur maire.


Lui, ne le désirait pas tant que ça, mais voilà, il aimait servir, il aimait donner à ses concitoyens même si ceux-ci le rejetaient souvent.


Il aimait aussi sa femme et voulait être aimé d’elle. Il comprenait fort bien, puisqu’il était doté d’une laideur repoussante, qu’il puisse inspirer le dégoût.


Il entendait aussi qu’il avait moins d’aura que son concurrent. Il savait que l’aura avait son importance dans l’administration d’une ville.


Quant à sa femme, il en avait besoin. Il savait qu’elle en avait soupé de la misère, soupé de la laideur et désirait le respect.


Alors son mari, très doué pour la gestion des affaires de la ville, pouvait tout à fait acquérir le poste distinctif de maire. “Tu réussiras, Jean.” lui disait-elle. “Tu dois juste t’imposer, et montrer que tu es capable”.

 

Capable il l’était, mais pas pour s’imposer. C’est ce que Kim avait expliqué à sa mère, après ses propres recherches à la suite d’un couac avec son agence de mannequins.


Cette recherche lui avait donné la chance de réaliser combien elle rendait la vie impossible à son entourage, combien elle faisait payer à tout le monde la note sans en connaître exactement la raison profonde.

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Transformation, transmutation, sortie de la survie


Kim avait consulté un praticien en psychobiologie. Ce dernier lui avait expliqué son comportement grâce à la notion de cascade biologique.


Trois générations de frustration avait amené Kim, enfin belle plante de la lignée, à se donner la joie d’écraser les autres.

 

Kim avait expliqué à sa mère :


« Tu devais te battre pour réussir ta vie, maman.Tu as pris l’ordre de tes deux générations ascendantes. Ton arrière-grand-père, repoussant et bien que très capable, a vu son rival lui chiper la place.


Sa femme n’a pas accepté cet échec et elle ne lui a plus jamais adressé la parole après.


Ton grand-père a fait une dépression, sans plus d’envie ni de motivations. Mais il fallait survivre, les enfants restaient à élever.


Son rival lui a proposé une place de gratte papier à la mairie. Pour survivre, il a accepté. Tu devais, pour eux, grimper l’échelle de la renommée, maman.


De plus, ta mère a pris la honte sur elle, et pour éviter l’échec, a freiné sa vie jusqu’à s’attirer un mari qui refuse un destin fortuné.


Tu ne pouvais que te battre, maman. De plus avec ton physique ingrat, (Kim ne mâche pas ses mots, elle peut se le permettre), il te fallait trouver un moyen détourné pour t’imposer et casser la chaîne du rejet.


Et tu l’as fait, maman, tu l’as fait. Mais en avais-tu le choix ? C’était plus fort que tout. La loi de l’arbre dépasse de loin les petites volontés individuelles(celles de l’égo).


Alors ta nature t’a fait enfanter deux beaux enfants. Lionel est prêtre, c’est un bon moyen de choisir un chef miséricordieux qui offre un avancement assuré hors de la compétition comparative du jugement humain…


Moi, ma beauté récompense enfin trois générations de souffrance et me propulse à distribuer en résultat, une agressivité jamais exprimée.


Pourtant, j’ai compris que les autres sont comme ils sont, maman. Ils font ce qu’ils peuvent avec ce qu’ils ont.


Je ferai en sorte de ne plus me présenter avec tant d’orgueil et d’esprit de revanche, les temps à venir me diront si et comment je le peux.


C’est dans l’amour que je veux réussir en rendant grâce à mon arrière-grand-père ».

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Les effets bénéfiques lorsque la chaîne du projet sens est brisée

 

Anne pense aux explications de Kim. Non seulement elle se sent plus tranquille mais elle constate aussi la nouvelle légèreté de sa fille.


Toute cette chaîne logique, comme c’est fascinant ! Et aujourd’hui, alors, est-ce que la chair de sa chair va ce soir, couronner les efforts de toute une filiation ?


Dieu seul le sait. Kim lui a expliqué, le formatage que ce projet sens crée à partir des vécus émotionnels inconscients parentaux non résolus.


Toutes ces interprétations à travers lesquelles nous nous assignons des rôles et jouons notre destin en pensant être libre.

 

Une personnalité est complexe, mais sa matière peut être regardée, comprise acceptée et dépassée.


Si nous ne sommes pas notre projet sens, qui sommes-nous?


Qui sommes-nous derrière toutes ces informations? C’était encore une autre question. De son côté, Kim avait l’air d’être prête à affronter son destin.

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Était-elle prête à accueillir et explorer ses données trans-générationnelles pour suivre son chemin dans une meilleure connaissance de la matière qui semblait lui donner vie?


Ça, c’est une autre histoire. Si Kim choisit de rester dans un orgueil réactif, un détournement «solution» à la laideur parentale, il y aura des conséquences.


Il y aura une nouvelle leçon à apprendre qui poussera automatiquement un descendant à revisiter l’aspect « laideur » repoussante.


Et que se passera t-il si Kim entrevoie l’amour qui s’est tant cherché dans la souffrance, au gré du cheminement de quatre générations ?

 

Ainsi chante la voix de la conscience, à nous de discerner le vrai et le beau dans ses méandres.


Que faire de la conscience du projet sens?


Nous nous perdons souvent entre la projection de notre vie manifestée et l’alchimie de notre matière intrinsèque. Rentrons dans le miroir.

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Que nous en ayons conscience ou non, ce qui se passe se passe. Alors pourquoi ne pas en être conscient et créer à partir de ces données ?


Pourquoi en vouloir d’autres ou se plaindre de notre projet sens quand les données de base que nous avons formatent nos comportements ?


Comment un potier pourrait réaliser ses pots, s’il refusait la terre qu’il a dans les mains ?


Et si la vie nous attendait tranquillement derrière notre engagement inconscient à régler ces conflits dépassés, afin de dessiner avec effort les formes d’une vie ?


Et si ces conflits étaient en fait, source d’apprentissage, un chemin vers l’amour ?

 

C’est quand nous nous rendons compte de cette course aux abîmes que nous pouvons diriger en conscience, notre regard de la survie à la vie.

 

Cet article illustre le t’aime-sourire : “Qu’est-ce que votre existence a répondu à votre mère, quant à votre naissance, en vous regardant et en vous tenant maternellement dans ses bras, elle s’est écriée :


« Eh bien dis donc ! Avec une tête comme cela, tu ne seras jamais président(e) de la république, toi !”. C’est un des sept t’aime-sourires du premier mouvement de l’événement : “agir? Réagir? Mais qui ou qu’est-ce qui agit ou réagit? ».


Pour plus de renseignements sur le projet sens, lire les articles : le projet sens, ce colosse qui dirige nos vies – partie 1 / partie 2.


Et vous, croyez-vous à l’influence des ancêtres? Connaissez-vous le projet-sens?  Avez-vous une histoire à ce sujet? Laissez un commentaire!

 

 

 


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Hannah

91 commentaires

  1. Helene@reussir le 13 avril 2013 à 10 h 16 min

    Bonjour Hannah,

    J’ai toujours pensé que le poids de la vie de nos ancêtres avait un influence sur nos parcours de vie. Combien de fois me suis-je dit « comment briser certaines chaînes néfastes »? C’est une prise de conscience nécessaire à avoir pour réécrire notre histoire de façon différente et ne pas reproduire des schémas destructeurs quand ceux-ci sont malheureusement présents dans les histoires de vie.

    Ma mère aurait dit à ma naissance: »quelle « gueularde celle-là » ! » Et ça m’a poursuivie toute ma vie. Tout compte fait je suis fière d’être une gueularde, C’est un force qui m’a été donnée pour justement avoir le pouvoir de briser certaines chaines. Ce serait une erreur de ne pas s’en servir tout comme le potier avec sa terre. Mais encore faut-il en prendre conscience!

    C’est un sujet bien bien complexe abordé ici, mais oh combien riche d’enseignement.
    Les histoires de vie inter-générationnelles ne font que se rajouter à cette compléxité.

    Au plaisr,

    Hélène



    • Hannah le 13 avril 2013 à 12 h 23 min

      Bonjour Hélène,
      Difficile de réécrire l’histoire, par contre,
      nous pouvons en faire autre chose une fois qu’on a accepté
      le conditionnement incontournable et la façon dont nous le
      tenons.



    • Thiellet. le 13 avril 2013 à 19 h 29 min

      Bonjour Helene, bonjour Hannah. Pour moi il ne s’agit surtout pas de briser la chaîne. C’est bien plus subtil que cela qu’un bon/mauvais ou qu’un casser la chaîne peut importe ce qu’elle renferme elle est bonne, c’est plutôt la compréhension que nous en avons qui est mauvaise. Si tu restes dans ce système de pensée, tu restes dans la dualité et tu forges plutôt l’idée de contrôle, d’égo et de faux noyau (voir article sur psychologie quantique). Je vais rebondir sur certains de tes mots :
      « Combien de fois me suis-je dit « comment briser certaines chaînes néfastes »? »
      Elle n’est pas néfaste, c’est une dynamique de survie et la survie sert de pont à la conscience pour passer dans la vie, je veux dire qu’autour de ce qui nous arrive, nous exerçons notre conscience. Tu ne le vois peut-être pas, mais la vie est parfaite et elle joue exactement là où nous avons à comprendre. La chaîne ne se casse pas, elle se dépasse et s’utilise à bon escient. C’est la maîtrise qu’il faut viser, et le surfer n’évite pas les vagues qui le portent.
      « Ma mère aurait dit à ma naissance: »quelle « gueularde celle-là » ! » Et ça m’a poursuivie toute ma vie. Tout compte fait je suis fière d’être une gueularde » si cela t’a amené à cela, et que tu en es fière, alors pourquoi ne pas dire merci à ta mère puisque son action a mené à ce que tu forges cette compréhension. Maintenant, attention reste à voir ce que tu gardes dans ton inconscient et comment ton vécu émotionnel se retranscrit dans tes actes et tes situations de vie. De plus, si cela t’a poursuivi toute ta vie alors que ta mère n’était même plus là pour te le dire, alors comprends que quelque chose en toi utilisait cela pour construire sa personnalité.

      La structure de survie est complexe, mais elle est absolument merveilleuse à regarder, tu peux t’apercevoir de cela quand tu arrêtes de vouloir que ce que tu as dans tes cellules ne soit pas. Il y a tant à dire sur le sujet. Pénétrer le mystère est une aventure merveilleuse.

      Hannah « Difficile de réécrire l’histoire, par contre » Je pense que nous sommes d’accord tout les deux qu’il ne s’agit pas de réécrire l’histoire, mais bien de voir que la vie va dans et au-delà de notre histoire et que notre biologie a besoin du véhicule « histoire » pour appréhender la vie.

      Bien à vous



  2. Nicole le 13 avril 2013 à 12 h 31 min

    Bonjour Hannah et Didier,
    Le projet sens a été une découverte formidable dans ma vie car je ne comprenais pas comment je m’étais retrouvée palefrenière dans la ferme d’un château. Après avoir fait une formation de biologie nouvelle, j’ai été fouiné du côté des ancêtres et comme par hasard, mon grand père mort d’un accident de cheval qui s’est emballé à cause d’un camion américain juste à la fin de la guerre, avait une ferme attenante à un château..
    Ne trouvez vous pas curieux pour une fille qui n’avait pas appris à faire du cheval enfant(trop dangereux d’après mon père) et qui avait un diplôme de professeur d’art plastique de travailler 12ans dans des écuries? La conscience venue, l’accident causé par un cheval effrayé par un tracteur, j’ai repris une autre route afin de mettre mes compétences acquises en valeurs. Nicole



    • Hannah le 13 avril 2013 à 20 h 04 min

      Bonjour Nicole,
      Belle histoire que la tienne.
      Quand les mémoires que nous revisitons sont en total
      décalage avec notre réalité, on est à coup sur
      branché sur nos ancêtres, à moins que ce ne soient
      d’autres nous-mêmes?



  3. FAVRE Jeannine Gypsy le 13 avril 2013 à 12 h 41 min

    Hannah bonjour,

    Je me lance enfin à laisser un commentaire!!!!!!!! Il est temps car depuis fin 2012,je suis ton blog,j’ai suivi Booster gala,vous étiez très à l’aise,ça donne confiance.Continuez à nous informer ,j’attends avec impatience vos envois.
    Je me suis aussi inscrite auprès de Janette de MGK,pas évident,mais la persévérance ça paie,même à 75 ans ,avec ma curiosité j’arrive et découvre,comme vous le dites que transmettons nous de génération en génération,il n’est jamais trop tard,pour découvrir et transmuter avec AMOUR du COEUR.

    J’habite dans le 04,donc GAP est à 2 heures,peut-on vous consulter avec Alain .MERCI,MERCI.

    Je suis passionnée,par la nature,découverte des plantes ect…….Ce week end il y a Monsieur Patrice BOUCHARDON,avec conférence sur l’énergie des arbres,malheureusement,je ne peux venir (financièrement)

    Voilà pour une 1ère,je suis bien bavarde…….. Je vous dis très bonne journée à vous ,à bientôt.

    Jeannine (pseudo Gypsy).



    • Hannah le 13 avril 2013 à 20 h 00 min

      Bonjour Jeannine,
      Il n’y a pas d’âge pour faire le travail intérieur.
      Tout ce que nous dégageons dans notre vie allège
      la vie de nos enfants et des futures générations.
      Il n’y a pas de souci pour venir nous consulter
      Jeannine.



  4. Maxime le 13 avril 2013 à 14 h 51 min

    Bonjour Hannah,
    Oui, je crois à l’influence de nos ancêtres.
    Oui, je connais le projet sens après avoir assisté à un conférence de Claude Sabbah à Nantes.
    Je n’ai pas réellement d’histoire à raconter.
    Peut-être juste ce lien que j’ai fait hier soir sur le rôle du père dans la généalogie et un rôle inconscient que je serai en train de reproduire avec mes enfants.
    Est-ce qu’une séance Tipi avec toi permettrait de mettre en lumière ce rôle et le transformer ?

    Vis un merveilleux WE.
    Maxime



    • Hannah le 13 avril 2013 à 17 h 39 min

      Bonjour Maxime,
      Je ne suis pas certaine d’avoir compris…
      tu sens en toi une identification au rôle de père
      qui te viendrait de ta lignée ?
      Est ce que cela fait obstacle à ton rôle de père
      par rapport à tes enfants?
      On peut utiliser Tipi si il y a des émotions ou
      l’impression d’être pris dans une mémoire.



      • Maxime le 14 avril 2013 à 9 h 28 min

        Bonjour Hannah,
        Pour répondre à tes 2 questions :
        > Je crois que je suis en train de reproduire inconsciemment un rôle de père qui ne m’appartient pas en propre.
        Lis, STP les 2 derniers commentaires que m’a envoyé mon fils dans l’article sur l’abandon.
        Il me reproche de ne pas être le père qu’il attend, comme si il se sentait abandonné par son père, malgré tous mes efforts pour être présent et à son écoute.
        Cela fait aussi plusieurs années que ma fille cadette me fait ce genre de reproche.
        Ma fille aînée à choisi de couper le lien avec moi depuis plus de 10 ans maintenant et m’a fait également le même reproche.
        Je ne sais pas comment répondre à leur demande.
        Pour moi, il y aurait comme un jeu inconscient, énergétique qui est en train de se jouer.
        C’est en discutant avec Agnès et une amie vendredi soir que c’est monté à ma conscience.
        Pourquoi je n’ai pas ressenti d’émotion quand mon fils m’a annoncé que j’allais être grand père ?
        En même temps, il m’annonçais qu’il allait lui-même être père !
        je ne l’ai conscientisé qu’il y a 2 jours.
        Quand je vois dans un film une relation de cœur entre un père et son enfant, je me mets à pleurer, tellement l’émotion est intense !
        C’est à ne rien y comprendre.
        D’où ma question sur Tipi.
        Qu’en penses-tu ?

        Vis un merveilleux dimanche.
        Maxime



        • Hannah le 14 avril 2013 à 15 h 56 min

          Bonjour Maxime,
          Pour ce qui est de Tipi, il n’y a pas de souci, on est
          bien dans un contexte émotionnel. L’éloignement et le
          reproche que nous font les enfants génère toujours une
          profonde souffrance et une grande impuissance car on a
          souvent l’impression d’avoir fait le maximum et même plus…
          que veulent-ils donc que tu ne leur ait pas donné?
          Je confirme, on peut travailler dessus. Après ton article sur
          le pardon,Tu es sans doute prêt pour cela.
          Biz
          Hannah



          • Maxime le 16 avril 2013 à 21 h 32 min

            Bonjour Hannah,
            Super !
            Je reviens vers toi début mai pour un rendez-vous.
            La semaine prochaine, je fais ma 3ème semaine d’immersion d’anglais donc indisponible !

            Biz.
            Maxime



            • Hannah le 17 avril 2013 à 9 h 12 min

              Bonjour Maxime,
              Bon travail alors, l’anglais est aussi une passion
              pour moi.
              A bientôt
              hannah



              • Didier le 17 avril 2013 à 9 h 56 min

                Bonjour Maxime, Bonjour Hannah.

                Je me glisse dans la conversation pour glisser une autre piste. Maxime, si tipi n’éclaire pas tout ou ne fais pas tout lâcher. Alors il peut être bon, et je fais confiance à Hannah pour cela, d’aller voir l’injonction biologique « le père doit être coupé de son enfant ». Tu pourrais d’ailleurs, à un premier niveau, connecter cette penser, voir ce qu’elle enclenche comme ressenti (émotionnel et sensitif) et laisser simplement faire, sans essayer de comprendre.
                Bonne continuation



                • Hannah le 17 avril 2013 à 13 h 39 min

                  J’en profite pour glisser le titre d’un bon film récent dont c’est
                  le thème: « Quand je serai petit ».



                  • Didier le 18 avril 2013 à 21 h 02 min

                    Heuu ! Je serai grand ?



  5. Dorian le 13 avril 2013 à 15 h 13 min

    Bonjour Hannah,

    J’entends très bien ce que tu dis dans ton article mais personnellement, je n’ai pas envie de m’accrocher à la mémoire cellulaire. Si un jour je me sens bloqué pour une raison inexpliquée, je me tournerai peut-être vers cela mais aujourd’hui, je suis plus dans l’optique de voir grand et de réaliser grand même si en regardant derrière moi (dans ma lignée), personne n »a jamais suivi le chemin que je prends aujourd’hui. Je ne sais pas ce que comprend ma mémoire cellulaire mais en tout cas, cela ne m’a pas empêché de me transformer littéralement en quelques années et ça, c’est un vrai cadeau 🙂

    Bien amicalement,
    Dorian



    • Hannah le 13 avril 2013 à 17 h 32 min

      Bonjour Dorian,
      C’est effectivement une bonne piste lorsque notre vie ne
      nous offre aucune réponse ni aucune compréhension.
      La lignée des ancêtres est aussi potentiellement une
      ressource, pas juste un poids lourd à porter.
      La loi de l’arbre généalogique est une loi d’amour,
      lorsqu’il y a des blessures, nous en héritons comme
      on hérite d’un code génétique ou d’une maison en
      Bretagne. Accepter consciemment l’héritage est un
      chemin de cœur.



  6. Didier le 13 avril 2013 à 20 h 00 min

    Salut Dorian, Il paraîtrait que plusieurs chemin mènent à Rome. En tout cas, il ne s’agit absolument pas de s’accrocher, comme tu dis, à la mémoire cellulaire. Elle s’accroche à toi sans que tu t’en rendes compte. Cela ne te pose pas de problème, c’est très bien. Il ne s’agit pas non plus de se tourner vers son passé. C’est plutôt un jeu de la conscience dans l’instant. Oser regarder ce qui nous anime, non plus avec notre tête ou nos désirs, mais simplement ce qui se fait en nous. Si tu es dans le présent en appréciant ce qui en toi l’habite, alors tu remarqueras qu’il y a des éléments du passé, ou plutôt, biologiquement parlant, une compréhension du passé qui est active dans notre vie.
    Quand tu dis « je suis plus dans l’optique de voir grand » Tu es dans un jugement et dans une compréhension toute personnelle. Quand tu vois où tu en restes, présentement, et que tu lâches cette vision ou cette ordre et que tu reconnaît et honore ce qui est recherché dedans, alors je peux te dire que la aussi tu vois grand. Mais pas comme tu as choisi de voir, plutôt comme tu vois sans les lunettes du conditionnement.
    Ensuite, le projet sens, c’est tout, absolument tout ce qui nous arrive dans nos vies. Je ne sais pas si c’est réellement possible de le dépasser, de le transformer oui, mais nous gardons la matière qui est notre nature et nous amène à notre forme unique. J’ai mis à plat des dizaine de projet sens, j’ai travaillé 40 jours avec Athias, et vu l’impact incroyable qu’il a sur notre dimension biologique, beaucoup le confonde ou essaye de le contre balancer avec la mission. Encore une fois ce n’est pas si grave, c’est un système inhérent à notre incarnation. C’est une dimension qui a ses lois, il existe d’autres dimensions à travers la vie s’exprime : extérieur, pensée, émotion, de l’essence, du je, du non je, des archétypes, du vide et au-delà du vide.
    C’est à travers notre incarnation, que nous définissons notre image, elle dépend beaucoup du projet sens. Traverser cette image et voir au-delà, est une prise de conscience que certains nomment l’éveil.
    A mon avis, la transformation que tu vis peut montrer deux choses :
    Soit que tu t’es rendu compte que tu es pure liberté et que rien ne pouvait réellement t’arrêter à part ta façon de voir et de t’accrocher à….
    Soit que c’est ton projet sens qui oeuvre.
    Ensuite, il y a des projets sens plus viable que d’autres.

    Bien à toi. Didier.



  7. Christine Votre Efficacite Personnelle le 13 avril 2013 à 22 h 34 min

    Bonsoir Hannah, bonsoir Didier,

    J’ai eu l’occasion de découvrir par une amie pratiquant l’Astro-psycho-généalogie, l’influence que pouvait avoir toute l’histoire de nos ancêtres. Je comprends donc d’autant mieux à la lumière de tout ce qui peut être révélé maintenant, que nos cellules ont gardé toute cette mémoire.

    Je pense avoir fait un chemin qui me permet maintenant de vivre avec, sans souffrance et avec compassion.
    Bien amicalement
    Christine



    • Hannah le 14 avril 2013 à 6 h 06 min

      Bonjour Christine,
      C’est exactement le but, accepter le « prédicament » inévitable
      qui vient avec l’incarnation sans se battre avec. En faire un chemin
      de coeur.



    • Thiellet. le 17 avril 2013 à 10 h 02 min

      Bonsoir Christine.
      Si nos cellules gardent ces mémoires, c’est que nous utilisons ces mémoires afin d’avoir une vision du monde et de soi. Quand tu laisses, dans l’acte et non dans l’idée, ces mémoires circuler, tu peux avoir une expérience de l’immensité du vide. Comme nous croyons vivre grâce à l’image de nous que nous en tirons (sens, croyances, informations pour réagir, etc…) nous ne les lâchons pas. Mais en réalité, elles ne demanderaient qu’à partir. C’est notre mentalisation qui les retiennent car nous disons à notre cerveau « garde les dans l’ombre, j’en ai besoin pour savoir qui je suis »

      Incroyable et fascinant.



  8. Sco!@couple routine le 14 avril 2013 à 1 h 08 min

    Bonsoir Hannah,

    Moi, non plus, je ne veux pas m’accrocher à la mémoire cellulaire de qui que ce soit. J’ai assez à faire de ma propre vie. Je me doute bien que des mémoires sont transmises de générations en générations, et je les nettoie du mieux que je peux. C’est ce que Dr Hew Len dirait de faire.

    Quand bien même je saurais qui a fait quoi, ça changerait quoi de le savoir? Je veux de moins en moins savoir le pourquoi du comment de qui, de quoi?

    Nous ne sommes pas nos mémoires cellulaires de toute façon. Je nettoie ce qui se présente tout en me programmant pour atteindre ce que je suis venue faire dans ce monde. Il y a les mêmes trucs qui se présentent sans cesse, mais je les nettoie… Je ne peux rien faire de plus.

    Je veux laisser les morts là où ils sont. Ils ont fait ce qu’ils ont pu avec ce qu’ils ont reçu de leurs parents et de leurs aïeux.

    Amicalement,

    Sco!



    • Hannah le 14 avril 2013 à 6 h 04 min

      Bonjour Sco!
      Nous sommes d’accord, il n’est pas question de s’accrocher aux mémoires.
      Nous ne sommes pas nos mémoires. Parfois ce que nous prenons pour notre
      personnalité ou notre chemin de vie n’est un fait que le projet sens
      de nos parents pour nous. Le connaître permet justement de ne pas être
      notre personnalité ou notre chemin de vie. Plus on sait ce qu’on n’est pas,
      plus on a une chance d’Être. C’est l’idée de nous-mêmes qui est remise
      en question dans le travail sur le projet sens et nettoyer l’idée de
      nous-mêmes est tout à fait compatible avec Ho’oponopono. Ne plus être
      quelqu’un et ne plus se prendre pour quelqu’un est la direction même
      de toute voie spirituelle.



  9. marie-lune le 14 avril 2013 à 1 h 43 min

    bonjour,
    dans ma trentaine, et que mes enfants étaient jeunes , et que j’étais fatiguée j’allais me reposer, et après 3 bonnes respirations je me retrouvais sur une petite planète , à contempler l’immensité de l’univers. Un jour, 3 belles flammes viennent me chercher, elles avaient des bras ces flammes ! et on se retrouvent devant ce miroir, comme dans l’image, mes bras disparaissaient au fur et à mesure qu’ils entraient dans ce miroir… Et j’ai eu peur de mourir.. de ne plus pouvoir revenir.. mes enfants.. mon mari.. je les aiment !!! je ne veux pas les laisser…et je suis revenu immédiatement dans mon corps…. une expérience parmi tant d’autre. merci



    • Hannah le 14 avril 2013 à 6 h 09 min

      Bonjour Marie-Lune,
      Les expériences mystiques ont toujours une raison
      d’être dans notre vie.
      A la fois elles nous montrent le chemin et en même
      temps, elles nous montrent l’obstacle intérieur
      à travailler pour trouver la libération.



  10. zenie le 14 avril 2013 à 7 h 13 min

    Bonjour Hannah, bonjour Didier, je n’ai jamais rien lu sur le projet sens mais il est clair que je n’ai plus besoin de chercher des explications pour essayer de comprendre le pourquoi des choses. J’ai passé beaucoup de temps à essayer de comprendre ceci ou cela car il fallait à tout prix trouver une raison quand je n’acceptais pas quelque chose.

    Maintenant je vis chaque chose comme un apprentissage personnel qui me façonne jour après jour vers quelque chose de plus grand et de plus beau.
    Je n’ai plus besoin de comprendre.
    Ca ressemble à une phrase du Docteur Hew Len de Ho’oponopono :  » je vous souhaite la paix au delà de la compréhension ».

    zenie



    • Hannah le 14 avril 2013 à 16 h 11 min

      Bonjour Zénie,
      Ho’oponopono est d’un grand secours pour avancer
      sur le chemin de l’Être.
      Le projet sens ne cherche pas tant à expliquer le
      pourquoi des choses, il veut surtout nous rappeler
      que nous croyons conduire notre vie vers des objectifs
      personnels alors que ces objectifs appartiennent
      aux situations non résolues de notre arbre généalogique.
      Vivre chaque instant et Être vivant permet d’intégrer
      notre héritage sans nous battre avec ni l’ignorer.



    • Didier le 18 avril 2013 à 21 h 16 min

      Bonjour Zénie.
      Je vais répondre à ton : Bonjour Hannah, bonjour Didier, je n’ai jamais rien lu sur le projet sens mais il est clair que je n’ai plus besoin de chercher des explications pour essayer de comprendre le pourquoi des choses. »
      L’article ne le montre peut-être pas complètement, mais le projet sens va au-delà de la compréhension. C’est la base de notre structure de survie, le constituant de l’égo. Expérimenter sa qualité vibratoire, c’est reconnaître dans quelle vibraton on se reconnaît ou bien à quel espace on se connecte. Pourquoi le faire, pour grandir son champs de connexion. Reconnaître peut aussi aider à mieux comprendre notre dynamique de survie que nous prenons souvent pour la vie.
      Bien à toi. Didier



  11. Janine CESAIRE le 14 avril 2013 à 10 h 31 min

    Bonjour Hannah

    J’ai toujours su intuitivement que le vécu de mes ancêtres influençait ma propre vie , mais le savoir ne m’aide pas beaucoup car j’ai très peu d’informations à leur sujet ; j’ai pensé à un moment faire des recherches généalogiques mais j’y ai renoncé pour faire autre chose

    Amicalement
    Janine



    • Hannah le 14 avril 2013 à 12 h 21 min

      Bonjour Janine,
      Il n’est pas toujours nécessaire de savoir en quoi
      nos ancêtres influencent notre vie mais de savoir
      que parfois, l’essentiel de notre personnalité, de
      notre objectif de vie et de notre psychologie n’est
      qu’une résolution des schémas non solutionnés de notre
      arbre.
      L’info importante dans l’article de Didier, c’est que
      ce que nous sommes vraiment est au-delà de ce que
      nous connaissons de nous-mêmes, au-delà de nos aspirations,
      au-delà de notre mission de vie, de nos rôles dans la
      famille et de nos objectifs.
      Souvent, on n’a aucune idée de qui on est en dehors de cela,
      on a tellement l’habitude de se définir en disant, je suis
      comme ceci,j’aime cela et mon objectif de vie c’est…
      Nisargadatta Maharaj a défini sa voie d’éveil par
      « Ni ceci, ni cela »



      • Thiellet. le 15 avril 2013 à 7 h 33 min

        Je m’incline devant tes mots Hannah.



    • Didier le 17 avril 2013 à 11 h 08 min

      Bonjour Janine

      Ce n’est pas tant, connaître ce qui c’est passé pour nos ancêtres qui est libérateur, mais bien plus se rendre compte de l’utilisation biologique que nous faisons sur les informations du projet sens. Le mot « sens » a beaucoup d’importance ici, puisque biologiquement parlant nous y trouvons un sens inconscient de vies. Marie-Lune, dans mon expérience l’immensité de l’univers se trouve juste au-delà de l’identification bilogique. La volonté ne peut pas aidé à voir cette immensité, juste croire que les mémoires n’ont pas d’impact.



  12. Sylvia le 14 avril 2013 à 12 h 11 min

    Bonjour Hannah, bonjour à toutes et tous.

    Le fait de partager votre expérience avec des inconnus est un immense cadeau et la preuve de votre haut niveau dans le monde de la psychologie.
    Je vais me plonger à fond dans la lecture de vos ebooks en espérant que ça me donne envie de faire surface.
    Un grand merci respectueux.



    • Hannah le 14 avril 2013 à 12 h 14 min

      Merci Sylvia,
      Vous trouverez aussi tout un tas d’informations dans
      les articles.



  13. Arnaud le 14 avril 2013 à 14 h 34 min

    Bonjour Didier , bonjour Hannah ,

    Un grand merci pour cet article qui me parle complètement , et cette fois Didier je n’ai pas eu besoin de le relire plusieurs fois pour integrer ton message que je trouve d’une conscience extraordinaire.Encore merci Didier de nous partager tes infos qui sont à mon sens d’une inspiration hors du mental.
    Cet article tombe pile poil pour m’expliquer ce que j’ai traversé il y a 2 jours et que j’ai travaillé ce week end avec Alain et Hannah en thérapie.
    merci
    Arnaud



    • Hannah le 14 avril 2013 à 16 h 07 min

      Ce n’est pas un message facile à comprendre.
      On interprète vite que les ancêtres sont un
      fardeau dont on ne veut pas entendre parler ,
      alors qu’en fait, il est plutôt question d’une
      nécessité de l’incarnation de s’identifier.
      Et avec quoi peut-on s’identifier? La première
      chose que l’on trouve sur notre chemin en
      arrivant sur terre: nos parents et toute la lignée.
      Après, on peut croire que nous avons un total libre
      arbitre,que nous faisons nos choix consciemment
      et que notre personnalité est le fruit de nos efforts.
      Moi j’ai mis plus de 10 ans avant d’intégrer ce que
      racontait mon maître tantrique à propos du libre arbitre
      que nous n’avons pas (pour le moment) et que nous
      étions une petite plume portée par les Alysés. Je ne
      voulais pas à me réduire à cela et je revendiquais mon
      pouvoir personnel à diriger ma vie. Aujourd’hui je
      comprends la subtilité entre être vivant et diriger
      ma vie. C’est Ho’oponopono qui m’a mis sur la piste.



    • Thiellet. le 18 avril 2013 à 21 h 22 min

      Bonsoir Arnaud. Content de te retrouver. Dis-moi, pas besoin de me relire ? Enfin quelqu’un qui me comprend, lol. Tu as lu derrière les mots, n’est-ce pas ? Bien. Tu as raison, c’est une inspiration hors du mental. Elle peut s’opérer quand, soit on descend dans le niveau cellulaire, soit dans le niveau vibratoire, soit dans ce mouvement de vie qui rythme notre alchimie. C’est regarder sa vie intérieure au microscope. Moi, j’adore.



      • Arnaud le 22 avril 2013 à 10 h 28 min

        Bonjour Didier ,
        Moi aussi content et honnoré d’échanger avec toi qui a un tel niveau de conscience.
        Tu souris quand tu dis « enfin quelqu’un qui me comprend » mais à mon avis c’est du lourd pour toi derriere ce sourire.Je pense que graviter dans des sphères aussi élevées n’est pas forcement evident dans le rapport aux autres.
        oui je pense lire derrière tes mots.
        Je suis comme toi Didier , j’adore et je suis passionné par regarder la vie intérieur.
        Cordialement
        Arnaud



        • Didier le 22 avril 2013 à 12 h 38 min

          Merci Arnaud pour ton retour.

          En ce qui concerne la lourdeur, il reste aujourd’hui un désir de l’échange à ce niveau là. Maintenant, me croiras-tu ? C’est beaucoup plus léger depuis que j’ai compris et accepter que la deuxième naissance se passait seule. Ce qu’il reste, c’est une certaine forme de lourdeur sur mon passé, cela oui, c’est vrai. C’est aussi un ferment pour la suite. Alors c’est ok.
          Bien à toi
          Didier



          • Arnaud le 22 avril 2013 à 14 h 44 min

            A mon avis , si il te reste un désir de l’échange , je pense à un professeur de mathématique qui serait Bac + 15 et qui aurait une classe de sixième.Il devrait adapter son discours à ses élèves.J’imagine que ce serait une souffrance car il connait bien plus que 2 et 2 font 4 mais si il aime ses élèves alors il doit en passer par là.
            Je trouve que c’est de l’art d’expliquer les choses compliquées de manières simples.Celui qui fait ca est « grand ».
            Oui Didier je te crois bien volontier que la deuxième naissance se passe seule et que c’est plus leger car j’ai la faiblesse de penser que je touche ca du doigt.Ca M’a effrayé au début et maintenant je trouve cela jouissif.Pour la lourdeur de mon passé j’y travaille fermement avec Alain et Hannah donc ca roule.
            Salut Didier
            A pluche….
            Arnaud



            • Hannah le 22 avril 2013 à 20 h 59 min

              C’est l’énergie de la personne qui passe plus que ses explications
              mais tu as raison Arnaud, il y a des personnes qui ont l’enseignement
              dans la peau et qui transmettent de façon pédagogique et des scientifiques
              fous mais géniaux qui font des grandes découvertes mais qui ont plus
              de mal à passer.



              • Didier le 22 avril 2013 à 21 h 16 min

                Salut Arnaud, Salut Hannah

                Comme tout ce qui est vivant contribue à l’unité écologique. Inchallah et Alleluia.
                L’arbre pousse contre tous les hivers et tous les étés, jusqu’à offrir sa majestueuse présence et se faire couper le tronc par notre ami le bûcheron.

                Que fait alors le chêne ? Il crépite et danse dans le feu de la cheminée.

                Mange moi Arnaud, mange moi Hannah.



              • Arnaud le 22 avril 2013 à 21 h 42 min

                Ah oui Hannah je pense là au film de gurjeff!
                Il y a une scene ou ils lui expliquent que ils ne retiennent rien de l’excellent orateur mais par contre celui qui s’expriment très mal ( mais avec son coeur) et bien le message passe et tout le monde le retiens.



                • Hannah le 23 avril 2013 à 7 h 48 min

                  C’est exactement cela, ceux qui le peuvent sentent ce qui se passe,
                  peu importe la forme que prend l’orateur. Il me semble que certains
                  maîtres justement se réincarnent dans une grande laideur afin de pousser
                  leurs disciples à aimer au-delà de la beauté.



                  • Didier le 23 avril 2013 à 8 h 08 min

                    Je ne sais pas si on peut parler de maître. Perso, je préfère y voir la vie qui vient porter ses reflets et ses réponses en rapport à ce qui est exprimé, cela dans un équilibre. Il n’y a pas besoin d’être maître, pseudo réalisé ou non, pour être pris dans ce jeu d’équilibre. La vie vie dans l’expression que nous lui rendons possible. C’est d’ailleurs ce que je cherche à épouser dans le travail que je propose en séance. Cette réponse que la vie nous porte dans le dédale de nos incompréhension et de nos peurs.



                  • Arnaud le 23 avril 2013 à 8 h 15 min

                    oui quand j’étais dans l’ashram de sathya Sai baba un disciple avait demandé : »Baba pourquoi es tu si laid? »réponse :  » c’est pour que vous ne vous attachiez pas à la forme  »
                    Il faut oser poser la question hi hi !! Le disciple avait intégrer la dimension d’amour de Baba c’est sur!



  14. Arnaud le 14 avril 2013 à 16 h 51 min

    Oui Hannah je suis totalement d’accord.
    Avant d’entendre ce message je pense qu’il faut avoir exprimé toutes les colères légitimes de notre incarnation, versé toutes les larmes , senti cette infini tristesse de l’abandon , commencez à toucher du doigts le pardon à nos parents qui nous ont maltraité avec leur inconscience.
    Ca ne me choque pas que certains repoussent ce genre de message car moi le premier avant d’avoir fouillé dans les poubelles de mon passé , si on m’avait dit ce genre de vérité j’aurais eu envie de sauter à la gorge de la personne.Chaque chose en son temps pour chacun!

    Par rapport au libre arbitre , j’ai toujours senti de ne vraiment pas etre le responsable quand je posais,disais,des actes positifs ou des paroles positives notamment quand les gens me disaient wahhoooo Arnaud,t’es ci ou t’es ca avec admiration !!!
    Par contre quand c’était l’inverse j’avais tendance à me flageller !! ca ca n’allait pas!!! ca va dans les deux sens les mémoires.
    L’idée que ma personnalité n’a rien à voir avec moi , ma nature profonde , ma divinité , mon essence, ca ca me met dans un état indescriptible de paix et de joie.Et je sais que la vérité est là!!
    Je ne peux pas le prouver mais je le sais, je le sens ! De toutes facons quand on est là on ne veut rien et surtout pas prouver quoi que ce soit ! juste etre !!

    Pour ho’oponopono encore une fois j’ai pu vérifié son efficacité ce week end.
    J’étais arrivé avec le big problème que vous connaissez , donc hier matin avant d’arriver chez vous j’ai fais le protocole long d’ ho’oponopono .La magie a opéré comme vous avez pu le voir.Quel outil formidable!!!! En plus j’imagine que si dans un problème il y a plusieurs protagonistes et que tous pratiquent la technique alors là !!



    • Hannah le 14 avril 2013 à 17 h 58 min

      L’intention d’intégrer les mémoires et de passer
      dans le cœur met en œuvre toutes nos ressources
      conscientes et non conscientes vers sa réalisation.
      Ho’oponopono est une voie directe qui ne demande pas
      de connaître les mémoires. La conscience
      de tenir un projet sens aide aussi car nous avons un
      mental qui souvent a besoin de comprendre. Savoir ce qu’on
      tient aide aussi à lâcher.



  15. delphine le 14 avril 2013 à 17 h 51 min

    Bonjour Hannah 🙂

    Découvrir l’impact de l’arbre sur ma propre vie a été un outil d’acceptation.
    Mes parents sont partis de Belgique dans une fuite du poids familial, et pendant longtemps j’ai pensé que nous étions seuls.
    A travailler mes propres difficultés, je bloquais sur une incompréhension teintée d’injustice.( Avec un « brin » d’exigence).
    A force de fouiner j’ai fini par obtenir des informations qui ont fait  » tilt », et j’ai cessé de me battre.
    Suite au travail que nous faisons, j’ai compris que mon arbre me proposait de  » prendre les choses en mains ».
    A cet instant quelque chose s’est apaisé.
    Ma problématique n’a pas disparue comme par magie, mais je suis volontaire dans la démarche et non plus victime.
    Aujourd’hui, j’utilise les codes quantiques pour avancer, ils sont d’une efficacité redoutable.
    Merci du partage.

    Delphine



    • Hannah le 17 avril 2013 à 13 h 42 min

      Bonjour Delphine,
      les changements de pays sont à regarder de très près, il n’est
      pas rare d’y trouver des mémoires transgénérationnelles.



    • Hannah le 17 avril 2013 à 13 h 43 min

      D’ailleurs, les raisons pour lesquelles on choisit de s’établir
      dans tel ou tel pays un sens à découvrir.



    • Didier le 18 avril 2013 à 21 h 25 min

      Bonjour Delphine

      Pourrais-tu nous parler des codes quantiques s’il te plaît ?



      • Delphine le 21 avril 2013 à 21 h 38 min

        Hello Hannah,

        Je rame un peu, beaucoup sur l’arbre, quelque chose de moi, ne veut pas savoir, surtout coté père.
        Et je suis la seule dans ma famille à revendiquer mon identité, ça a été une bataille, que je n’ai pas comprise alors.

        Aujourd’hui encore, établir un passeport n’est pas évident.
        « Ni ici, ni là, hum, je suis d’ailleurs ! »

        Là aussi, j’ai lâché, je suis là où je dois être, pas d’erreur, c’est mon choix.



        • Hannah le 22 avril 2013 à 12 h 47 min

          A quoi cela te sert-il de ne pas vouloir savoir?



  16. Christian de Destresse Marketing le 15 avril 2013 à 14 h 03 min

    Salut Hannah,

    Comme d’hab, je suis monté dans l’avion en plein vol.

    J’adore Michaël Jackson qui a voulu rester dans l’ombre, ouarf…pas clair ça.
    Tu crois que pour Anne c’est un manque de peau?

    Et avoir une tête à ne pas devenir Président de la République…quand on voit leurs tronches de playboys c’est plutôt un compliment qu’une critique.

    Bon, bon, je m’en vais avant de me faire tirer dessus pour insertion de propos déplacés.

    @+
    Christian.



    • Hannah le 15 avril 2013 à 20 h 11 min

      Bonsoir Christian,
      Il va falloir tirer au clair cette histoire
      de Michaël Jackson avec Didier…



    • Marhthine le 18 avril 2013 à 20 h 47 min

      Coucou Christian 🙂 trop tard pour toi , je t’ai vu et je vais te tirer dessus ! 🙂 et je dirai que pour Anne , ce n’était justement pas un manque de peau mais bien une chance .Epouser le Père 🙂 là est peut-être la question ! Qu’est ce que la Vie , sinon le Père ? ! ?
      Allez , cette fois c’est moi qui pars avant de me faire tirer dessus 🙂 et sans oublier de cliquer sur : – je ne suis pas un robot – c’est bon comme désidentification ça 🙂 ! Bye .



  17. Bidet Jean Marie le 16 avril 2013 à 16 h 22 min

    C’est vrai que nous récupérons les mémoires de nos ancètres mais souvent aussi leurs tempéraments et de plusieurs générations ,ce n’est pas toujours facile à vivre ,surtout que quand on s’en rend compte ,nous avons déjà pris quelques années et notre caractère est plus facilement modifiable jeune



    • Hannah le 17 avril 2013 à 9 h 16 min

      Bonjour jean-Marie,
      Vous avez raison mais sur le point de la jeunesse, j’ai
      un doute.
      Je connais des personnes jeunes rigides à qui il est difficile
      d’enseigner des nouveautés qui ne rentrent pas dans leur
      système de croyance.
      Par contre mon plus vieil élève à plus de 80 ans et il est tout aussi
      capable de faire un travail sur lui-même que les autres. J’ai donc du
      modifier ma croyance qu’on ne peut pas faire un travail intérieur
      profond au-dela de 80 ans! Merci Edward pour cela 😉



      • Arnaud le 17 avril 2013 à 10 h 33 min

        Bonjour Hannah,
        Ca me rappelle mes premières séances de psychothérapie de groupe il y a une quinzaine d’années.Le thérapeute avait parmis ses clientes une femme de 83 ans qui nous avait révélé ( pour la première fois de sa vie) qu’elle avait été violée dans sa jeunesse.Cette femme se transformait de séance en séance c’était magnifique.
        Ce n’est que son corps qui avait 83 ans.Tout le reste n’a pas d’age.Le temps n’existe pas , c’est une création du mental.



        • Hannah le 17 avril 2013 à 13 h 36 min

          Bonjour Arnaud,
          il y a aussi une réalité biologique.
          je suis toujours étonnée de voir les Tibétain vieillir
          et porter des lunettes.
          j’avais une croyance que les Éveillés étaient au-delà
          des contingences physiologiques.
          C’est peut-être vrai d’ailleurs dans une autre dimension
          mais sur terre c’est une réalité et je n’ai pas encore
          croisé un être immortel mais peut-être qu’en mettant
          une intention d’en rencontrer un…



          • Arnaud le 17 avril 2013 à 16 h 06 min

            Un humain immortel!!!??
            Je ne sais pas si il en existe un!!
            Ce que je sais c’est que moi , à priori , ca ne m’interresse pas que mon corps soit immortel.
            Je veux juste réaliser ce qu’est ma vraie nature.Et je pense que mon corps va m’y aider avec toutes ses capacitées.
            Maintenant me suffiras t’il d’une vie d’humain ou plusieurs???A moi de faire le job !!!



  18. Jean-Luc (de Moralotop) le 17 avril 2013 à 7 h 41 min

    Croyez-vous à l’influence des ancêtres ?

    La question fait appel à une croyance.
    Donc à une perception, pas à une certitude.

    Ainsi, que les ancêtres aient ou non une influence, seul compte l’impact de cette influence sur notre vie.

    Il est favorable ?
    Tant mieux.

    Il ne l’est pas ?
    Acceptons le, comme un fait, comme un élément de notre histoire… mais prenons soin de nous détacher.

    Car on ne vit ni par procuration, ni avec les ancêtres ni avec les générations à venir.
    Chacun son tour !



    • Hannah le 17 avril 2013 à 8 h 59 min

      Bonjour jean-Luc,
      Oui c’est une croyance dans le sens où la science
      commence à peine à pouvoir le démontrer sous l’angle
      de l’encodage génétique. On savait que nos ancêtres
      nous transmettaient un capital génétique physiologique,
      un capital (ou des dettes) concrètes et matérielles,
      maintenant on sait qu’il y a un capital psychologique et
      émotionnel.
      En fait que cette influence soit favorable ou non n’est finalement
      pas la question.
      Connaître son projet sens permet de s’apercevoir à quel point ce
      que nous croyons vouloir faire et Être n’est pas nous.
      Cela ne veut pas dire ne pas avoir d’objectifs de réussite
      dans sa vie mais pour qui cherche sa vraie nature et
      la félicité de l’Eveil, cela aide à lâcher l’illusion
      d’être quelqu’un qui veut quelque chose.



    • Didier le 19 avril 2013 à 8 h 46 min

      Salut Jean-Luc. Nous voyons la transmission comme « une influence », je la vois comme une utilité que la vie utilise pour la vie. Nous sommes toujours dans la vision séparé du moi – toi. Et si nous regardions dans la vision vie – vie ? Quelle serait alors notre lecture ?
      Bien à toi Top du moral.



  19. Michèle le 17 avril 2013 à 13 h 30 min

    Merci du « travail » que vous faites. Merci de l’amour partagé et de votre générosité. Mettre toutes ces informations à disposition de tous est une mine de bien-être qui ne demande qu’à être exploitée. On sent qu’un monde nouveau est en train de prendre forme. Je veux y contribuer en mettant en pratique et en diffusant autour de moi tout ce qui peut renforcer la nouvelle direction prise. Restons connectés pour une plus grande efficacité.



    • Hannah le 17 avril 2013 à 13 h 33 min

      Merci Michèle, collaborer à ce nouveau monde est un plaisir
      et nous mettons beaucoup d’enthousiasme à transmettre les
      informations aidantes sur le chemin.



  20. Laure le 17 avril 2013 à 17 h 49 min

    Bonjour à tous sur le blog d’Hannah,
    J’ai moi aussi fait une formation en décodage biologique selon la biologie totale de Claude Sabbah et nos enseignants nous avaient conseillé de lire « L’empreinte de naissance » de Jean-Philippe Brébion, c’est un excellent bouquin, facile à lire et très explicite sur ce qui nous mène par la bout du nez dans notre vie !!!… Je le recommande à ceux qui sont, comme moi, passionnés de décodage biologique et de déprogrammation cellulaire ! Et pour ceux qui seraient aussi dingue que moi, il y a « L’empreinte de l’Âme » du même auteur, parce que, ce qui est fou, c’est que ça va encore plus loin que le projet sens, notre conditionnement ! A plus, sur le blog d’Hannah !



    • Hannah le 18 avril 2013 à 17 h 14 min

      Bonjour laure,
      Je sais que c’est un domaine qui te parle et qui t’amène
      vers une expertise.
      Trouver derrière notre quête de sens les schémas non
      résolus de notre famille remet la quête à sa juste place.
      Qu’avons-nous à quêter à part Être?



    • didier le 19 avril 2013 à 8 h 51 min

      Bonjour Laure,

      C’est la vie qui va beaucoup plus loin que notre intellect ne peut imaginer.
      Sabbah a continué les travaux d’Hamer qui a lui même continué les travaux de…
      Nous n’inventons rien c’est la vie, Dieu… peu importe le mot… qui guide la danse. Cela s’appelle de l’amour.
      Il se trouve… PARTOUT et par tout.

      Bien à toi Laure



  21. Jean le 18 avril 2013 à 9 h 43 min

    Bonjour Hannah et Didier,
    Non, je ne connais pas le projet-sens, mais je vois à peu près ce que ça peut représenter et vais aller lire ce qu’il en est sur ton blog Didier.
    Quoiqu’il en soit, les ancêtres ont forcément une influence sur nos vies. Ne serait-ce que par les histoires, les secrets de famille, etc, dont on parle régulièrement depuis sa jeunesse autour de nous, et qui ont évidemment une influence, ne serait-ce que sur notre inconscient.
    Sujet vraiment passionnant qui donne de puissantes grilles de lecture.



    • Hannah le 18 avril 2013 à 17 h 11 min

      Bonjour Jean,
      C’est un outil puissant qui remet les pendules à l’heure
      à propos des conditionnements qui ne sont pas vus comme des
      obstacles ou des freins à notre libre arbitre mais comme
      des voies royales si on accepte de ne pas de battre avec.



  22. Marhthine le 18 avril 2013 à 17 h 18 min

    aïe mes aieux !!! 🙂 on est sans doute pas si libres qu’on l’imagine , vu comment l’histoire se répète et comme on s’en fait un destin tant qu’on n’est pas sortis des identifications . Alors , Alleluia ,:) si il existe un chemin de conscientisation , un chemin désaliénant , un chemin de légitimité de croissance en soi où « JE » ne se cristallise plus que dans le « VIVANT  » .
    Marche devant Hannah , je te suis 🙂



    • Arnaud le 19 avril 2013 à 7 h 13 min

      A la queue leuleu ,A la queue leuleu , tout l’monde s’éclatent à la queue leuleu ,tout l’monde s’éclatent à la queue leuleu….
      Ah bein ca c’est bein vvrrraii Marhthine !! J’en suis aussi …:)
      Bisou
      Arnaud



    • Hannah le 19 avril 2013 à 12 h 11 min

      Bonjour Marhthine,
      C’est assez difficile à accepter cette limitation apparente;
      On aimerait se croire libre et faire ce qu’on veut. En fait on
      fait ce qu’on veut mais celui qui fait ce qu’il veut n’est pas nous!



      • Didier le 19 avril 2013 à 12 h 31 min

        Hannah

        Je dirais plutôt que celui qui fait est exactement celui qui nous sommes mais que nous croyons pas être, et celui que nous croyons être l’agissant est en fait celui que nous cherchons à créer sans jamais l’atteindre.

        Au prochain article, je distribue des aspros.



        • Hannah le 19 avril 2013 à 18 h 16 min

          In english please 🙂



    • Didier le 19 avril 2013 à 12 h 13 min

      Nous nous suivons alors.



  23. Didier le 18 avril 2013 à 21 h 29 min

    Bonjour Marhthine.
    L’histoire ne se répète pas réellement, notre biologie la prend a son compte pour nous amener à créer à partir de cette matière. Si nous restons dans l’évitement parentale, nous restons dans la souffrance. Si nous utilisons cette matière en conscience, c’est alors l’amour qui opère.
    Didier



    • Marhthine le 22 avril 2013 à 0 h 11 min

      Ok Didier , si l’amour Ô Père , ça me va 🙂 . J’ai même une amie dont la boisson favorite est le Père y est 🙂



      • Hannah le 22 avril 2013 à 12 h 37 min

        je crois que je la connais aussi! 🙂



      • Didier le 23 avril 2013 à 8 h 03 min

        Et oui Marhthine. On s’y père ou on s’y retrouve. Et il y a plusieurs niveau de lectures la-dedans.



  24. Bernadette GILBERT le 19 avril 2013 à 0 h 03 min

    Bonjour Hannah,
    Quelle histoire ! Et quelques autres intéressantes dans les commentaires.
    J’en ai une, légère, mais significative : j’ai toujours souffert d’un mal étrange et dérangeant bien que sans aucune gravité : les pieds en ébullition. Impossible de garder des chaussettes ou des chaussons à l’intérieur, pénible la nuit de garder les pieds sous la couette. Seul avantage : en hiver… Même fiévreuse, j’avais toujours les pieds brûlants.
    Puis, un jour, j’apprends par mon frère que mon père (décédé quand j’étais jeune adolescente) avait été prisonnier de guerre, pendant 5 ans, en Poméranie. Je t’avoue que je ne savais même où c’est. C’est au nord de la Pologne, dans un endroit où les hivers sont très rudes. Et mon père qui parlait très peu de cette période, avait justement raconté qu’il avait beaucoup souffert du froid et en particulier aux pieds parce qu’il marchait pieds nus dans des sabots et dans la neige… A l’instant même où j’ai fait le lien, mes pieds ont arrêté de brûler. Et j’ai fait connaissance avec les pieds froids en hiver.
    Des histoires du style, j’en ai des dizaines, parfois moins légères. Ah, la géniale-logie !
    A bientôt !



    • Hannah le 19 avril 2013 à 12 h 18 min

      Bonjour Bernadette,
      Elle est magnifique ton histoire Bernadette.
      Elle explique parfaitement un aspect du projet sens.
      Tu as réglé avec tes pieds brûlants une blessure
      non résolue de ton père.
      On garde en nous le problème et la solution, l’inconcient
      garde les pieds froids et développe les pieds brûlants sur cette
      connaissance-là.
      C’est aussi une histoire d’amour que de connecter les
      souffrances de nos parents et voir en quoi cela a forgé
      leur caractère et parfois leur difficulté à être des bons
      parents.
      Souvent on garde en nous des aspects de nos parents
      (on se comporte pareil, on a les mêmes maladies)
      afin de garder un lien avec eux et ne pas les oublier,
      et surtout ne pas oublier le lien que l’on a avec eux.



  25. Jean-Yves le 29 avril 2013 à 14 h 15 min

    Bonjour Hannah et Didier,

    eh ! moi aussi cette fois j’ai tout compris 🙂

    Cette histoire illustre parfaitement le propos sur la cascade biologique que je ne connaissais pas vraiment mais qui me parle énormément !

    J’apprécie beaucoup la fin de l’article
    <>

    Belle inspiration à l’amour et au lâcher-prise !

    Amicalement,
    Jean-Yves



    • Hannah le 1 mai 2013 à 8 h 40 min

      Bonjour jean-Yves
      les petites histoires sont souvent plus parlantes
      et plus enseignantes que les longs discours théoriques!



  26. Françoise le 2 mai 2013 à 21 h 02 min

    Bonjour Hannah,

    C’est passionnant cette histoire de projet-sens, c’est un sujet encore si peu abordé et pourtant porteur de tellement de compréhensions! J’en avais entendu parler dans un séminaire avec Claude Sabbah. J’avais repensé à ma grand-mère paternelle qui m’a raconté mille fois à quel point elle avait été déçue de ne pouvoir être infirmière car ses parents ne pouvaient concevoir qu’une jeune fille de « bonne famille » travaille à l’extérieur. Et comme par hasard, me voilà infirmière! J’ai pris conscience que j’avais en quelque sorte comblé sa frustration. Aujourd’hui je n’ai plus besoin de réparer et je suis prête à quitter un métier qui ne me convient pas vraiment, et à vivre ma vraie vie… avec peut-être d’autres projets-sens à dévoiler…
    Merci encore pour ces articles de haut niveau.
    Françoise



    • Hannah le 5 mai 2013 à 16 h 23 min

      Bonjour Françoise,
      Merci pour ton témoignage qui illustre parfaitement
      le projet sens.
      Quel est donc ce prochain métier que tu t’apprêtes à faire?



      • Françoise Bayle le 8 mai 2013 à 12 h 40 min

        Et bien pour tout dire je ne sais pas vraiment. J’ai fait une formation de naturopathe et je suis passionnée par tout ce qui est soins naturels. Mais je suis aussi attirée par le MLM. Et je viens de voir dans les commentaires de ton dernier article que tu parles d’une « wrap partie ». C’est justement le produit que je m’apprête à tester! Et peut-être à diffuser. Mais il paraît qu’il n’y a pas de hasard…



        • Hannah le 8 mai 2013 à 18 h 55 min

          Bonjour Françoise,
          Je suis effectivement agréablement surprise
          par le produit. Je n’aimerais pas vendre quelque
          chose en lequel je ne crois pas. Je connais
          trop de gens qui font des efforts depuis bon
          nombre d’années pour maintenir leur poids.
          Pour une fois qu’un produit un peu magique
          et naturel vient donner un coup de pouce à tout
          cet univers de frustration.
          Cela m’amuse aussi, c’est ludique et convivial.