Ne vous laissez pas bluffer par le stress pour vaincre la peur

Avant de vaincre la peur, apprivoisez-la
Le problème n’est pas la peur mais la façon dont vous vous laissez intimider par elle. Vaincre la peur est une autre paire de manches!
Si vous écoutez le message de Mister Ramesh : le problème est plutôt un manque …de curiosité.
Vous ne savez pas de quoi vous avez peur…vous avez déguerpi bien avant. Si vous ne connaissez pas votre ennemi, comment allez-vous le vaincre ?
Cet article participe à l’événement Vidéo Inspirante, à l’initiative de Cédric Vimeux du blog Virtuose Marketing.
http://www.youtube.com/watch?v=An18wQ3asMw
J’ai parlé dans un article précédent des peurs incontrôlables, de celles qui prennent totalement possession de votre corps et que vous ne pouvez pas contrôler.
Pour vaincre la peur, identifiez-là
Ne vous cassez pas les dents sur ce type de peurs phobiques, elles renvoient à des mémoires mortelles et peuvent être débranchées par des techniques efficaces telles que TIPI ou autres. Votre bonne volonté ne suffira jamais.
Je vous ai parlé aussi des peurs louches, de celles qui durent bien après que le danger soit passé, qu’on « re-décongèle » à souhait histoire de mâchouiller un petit stress en attendant le film du soir.
Je veux vous parler aujourd’hui des peurs qui jouent au poker avec vous et vous bluffent en se déguisant sous des habits menaçants.
Lorsque vous êtes aux prises avec une peur, vous n’avez qu’une idée en tête, sortir de là, mais votre corps lui a deux options biologiques : fuir ou rester paralysé sans pouvoir vous extraire de la situation.
Tant que vous avez peur, vous continuez à fabriquer des hormones de stress qui vous incitent soit à déguerpir, soit à faire le mort et, dans les deux cas, vous laissent supposer que vous allez pouvoir échapper à la situation.
Regardez autour de vous . Si vous n’êtes pas en danger immédiat, c’est que vous êtes aux prises avec un mécanisme de défense qui vous mène par le bout du stress.
Avant de vaincre la peur, regardez votre mécanisme de défense
La peur est une forme de protection : elle vous protège de quelque chose qui fait plus mal. Si elle joue au poker avec vous (et non contre vous) c’est qu’elle veut gagner pour vous épargner une plus grande souffrance.
En fait, tant que vous avez peur que quelque chose arrive, vous maintenez l’espoir que cette chose n’arrive pas. Cet espoir est bien sûr chargé d’angoisse.
En d’autres mot, ce dont vous avez peur n’est pas réel mais vous pensez continuellement à ce qui pourrait arriver en croyant que maintenir un état de stress empêche indéfiniment la catastrophe d’arriver.
Vaincre la peur de l’abandon
Imaginez que vous avez peur d’être abandonné par votre conjoint ou vos enfants.(Ça ne vous concerne pas bien sûr mais admettons…)
Vous craignez qu’ils ne s’occupent ni ne se soucient plus de vous, surtout au moment où vous aurez besoin d’aide, d’affection et de secours.
Vous espérez, bien entendu, que cela n’arrivera pas mais vous maintenez une tension dans le stress en vous plaignant d’un futur improbable.
Cependant, il est impossible d’avoir peur de quelque chose qui n’est pas connu. C’est la raison pour laquelle les bébés sont si fragiles et vulnérables.
Ils ne s’attendent pas à être maltraités donc ils n’ont pas peur. Si vous avez peur, c’est que vous faites tout pour éviter de revivre une sensation connue.
Il semble donc que la sensation d’abandon soit quelque chose de connu. Cela fait partie d’une véritable souffrance dont vos cellules se souviennent mais que vous ne voulez en aucun cas ressentir à nouveau.
Vous l’avez pourtant vécu bébé, livré à vous-même, dans une situation stressante doublée de solitude intense et sans affection.
En ayant peur aujourd’hui, vous occultez le fait que cela vous est probablement déjà arrivé à un âge où il n’y avait aucun espoir d’échapper à la situation. En tous cas, vos cellules se souviennent que le sentiment d’abandon était intolérable.
La peur est un atout dans la manche de votre mental
Vous comprenez le tour de magie de votre mental : il vous fait croire que tout cela va vous arriver dans le futur alors que vous souffrez de l’avoir vécu dans votre passé.
Votre peur d’aujourd’hui vous sert de défense : elle cherche à camoufler votre blessure ancienne.
Comme le dit Mister Ramesh, vous préférez vous priver de vivre pleinement plutôt que d’avoir la curiosité d’aller regarder derrière (ou dedans) ce que dit la peur.
Vous comprenez pourquoi il est inutile de vouloir se guérir de la peur. La peur n’est pas un problème, elle vient juste vous aider à oublier ce que vous avez vécu et à éviter que cela ne se reproduise.
Dans l’exemple ci-dessus, ce n’est pas la peur qui est enregistrée dans vos cellules, c’est l’abandon. Ce n’est pas dangereux, c’est souffrant !
Comprendre avant de vaincre la peur
Imaginons maintenant que vous soyez tombés et que vous vous soyez fracturé un membre quand vous étiez bébé.
Il se peut qu’adulte ou adolescent vous ayez développé une terreur des opérations, des fractures ou de la vue du sang.
Or, ce n’est pas de tomber et de vous fracturer un membre dont vous avez peur.
En vérité, vous avez associé la fracture avec l’absence de votre mère pour vous consoler quand vous étiez en grand stress.
Enfouis plus profondément que votre peur, se cachent la solitude et le manque de soutien au moment où vous en aviez le plus besoin.
Vous pourriez tout aussi bien devenir agoraphobe dans dix ans, ou développer une peur de l’avion, c’est à dire avoir peur d’être coincé et de ne pas recevoir de secours comme c’était le cas quand vous êtes tombés.
Prenons un autre exemple : la phobie sociale où vous êtes tenu de réussir socialement et bien vous comporter face à des inconnus qui vont porter un jugement sur vous.
Vous avez peur de manifester des symptômes de peur comme le tremblement, le rougissement, le fait de dégager une odeur, de vous comporter de manière humiliante ou inconvenante.
On ne peut avoir peur de ce qui n’est pas déjà arrivé.
En fait, même si vous ne vous en souvenez pas, vous avez été confronté à un parent (ou un éducateur) trop sévère qui n’acceptait aucune erreur de votre part.
Vous avez été humilié par des propos violents ou dégradants, le tout associé à un manque d’acceptation et d’amour.
C’est une forme d’abus où on demande à un enfant quelque chose qu’il n’est pas en capacité d’exécuter sans apprentissage.
A quoi ça sert de comprendre si j’ai quand même peur ?
Parce que vous n’êtes plus enfant mais vous êtes devenu un adulte autonome et puissant.
Pour le moment, vous vous sentez enfant, vous voyez le monde au travers de vos mécanismes de défense afin de vous protéger de douleurs plus intenses. Cela a un coût : vivre dans le stress et ne pas se confronter aux expériences vivantes.
Comprendre cela vous permet de les démanteler en admettant que la douleur est ancienne, qu’elle n’appartient pas au présent et qu’elle ne présente aucun danger aujourd’hui.
- Vous n’êtes plus aujourd’hui dépendants d’autres adultes qui ne satisfont pas vos besoins vitaux.
- Vous avez la notion du temps et donc la patience
- Vous pouvez relativiser et ne pas succomber au bluff de la peur
Avant de vaincre la peur, identifiez le problème imaginaire
L’agoraphobie est caractérisée par la crainte de se retrouver coincé dans des lieux publics ou de vastes espaces, par la peur de ne pas pouvoir s’échapper en cas de problème et où aucun secours ne serait disponible.
Imaginez que vous ayez peur des transports en commun car vous risquez de vous faire coincer et de ne pas pouvoir vous échapper.
Cette anticipation vient du passé, cela ressemble à l’expérience d’un enfant qui est trop petit pour trouver du secours ou impuissant à échapper à une situation.
N’oubliez pas qu’en tant qu’enfant, vous ne pouvez pas changer de famille ou trouver des parents plus attentifs ou plus aimants !
Vous pouvez décider de ne plus jamais prendre de transports en commun. Vous pouvez aussi décider comme Mister Ramesh de « rentrer dans la peur ».
Question N°1 à se poser : Que peut-il arriver ?
Réponse : Rester coincé
Question N°2 Imaginez que vous êtes coincé, intensifiez la sensation et posez-vous la question: et en mettant les choses au pire ?
Réponse : Être totalement impuissant et ne pas recevoir de secours dans la panique générale.
Question N°3.
Lorsque vous êtes dans la sensation : à quoi cette sensation vous fait-elle penser ?
Réponse : La sensation d’avoir les bras et jambes coincés, d’être ligoté.
A cette étape, il n’est pas rare de connecter une image ancienne ou une situation passée comme par exemple, celle d’être langé trop serré et d’être aux prises avec des remontées de l’estomac en étant seul à gérer le stress.
Alors seulement, il devient utile de se remettre dans une situation analogue consciemment et décider de vaincre la peur.
C’est l’heure de vaincre la peur
Le faire trop tôt sans connecter la source de la souffrance ne permet pas de se dégager et de vaincre la peur définitivement car l’évènement traumatisant reste actif.
Il n’existe pas de peur sans un événement traumatisant non conscient dont vos cellules se souviennent. La peur n’est que le détecteur de fumée (ou) souffrance, elle n’est pas l’endroit où il y a le feu!
Avec cette connaissance, vous pouvez retourner dans le métro, en repensant à la sensation désagréable de l’enfant ou le bébé que vous étiez et vous vous apercevrez qu’il n’y a aucun danger.
La situation n’était pénible que pour l’enfant. La peur est venue plus tard pour vous éviter de prendre le métro et de ressentir à nouveau cette douleur.
Sachez qu’à tout moment, votre mental cherche à faire coïncider la mémoire de souffrances passées trop douloureuses avec des événements présents.
Avant de faire ce que vous n’osez pas faire, vous sentez l’appréhension :
dites-vous:
[important]Cela se passe maintenant mais ce n’est pas l’adulte d’aujourd’hui qui vit cette expérience. C’est plutôt une vieille souffrance enfermée dans mes cellules depuis très longtemps qui refait surface. Je me laisse la ressentir en toute sécurité sans chercher à la fuir.[/important]
Je ne suis pas à l’abri d’avoir à faire l’exercice de vaincre la peur
Je vous raconte en deux mots une fois où j’ai eu à faire l’exercice de vaincre la peur. Je passais la douane à l ‘aéroport de Katmandou.
Un douanier mafieux me demande de l’argent pour faire passer mes statuettes car je n’ai pas de certificat comme quoi ce ne sont pas des antiquités.
Sensations physiques…tremblement, voix chevrotante, palpitations. Je me suis dit, ok j’ai peur.
Question : Y a t-il un réel danger ?
Réponse : Non, c’est donc un exercice, on y va !
Question : Quel est le pire qui puisse m’arriver ?
Réponse : Que je ne puisse pas passer mes statuettes car il fait sa loi et je suis sans défense.
Question : Est ce dangereux de ne pas emmener mes statuettes?
Réponse : Non je n’ai pas peur de ça.
Ce qui me fait peur c’est que je suis sans défense face à un représentant de la loi manipulateur.
Question : Que peut il me faire ?
Réponse : Rien à part me prendre mes statuettes. Ce n’est pas un vrai danger.
Ce qui me fait peur…c’est qu’il n’y ait personne pour me défendre face à une injustice flagrante même si je demande de l’aide .
Ça c’était ma vieille souffrance!
Je décide alors de vaincre ma peur car c’est vraiment une décision à prendre : je ne vais pas payer la taxe, je vais m’opposer à lui.
Je demande à voir le chef des douanes, en prenant le risque qu’il soit de mèche avec lui.
Tout prend du temps mais le chef des douanes est de mon côté, il réprimande gentiment le douanier parce qu’il lui fait perdre son temps.
C’était un crash test non prévisible pour moi. D’ordinaire, vous avez le temps de voir venir le truc puisque vous anticipez la peur.
L’instant précis où on décide de vaincre la peur
Je vous propose en image ce moment précis où on prend la décision de vaincre sa peur.
Si vous êtes confrontés à une peur: ne tombez pas dans certains travers du développement personnel qui vous font croire que c’est un manque de confiance en soi.
La peur est une stratégie de votre mental/égo. Comme le dit Mister Ramesh, soyez curieux plutôt que de faire de la « gonflette » à l’estime de soi (je vais y arriver, je suis le plus fort, je vais y arriver).
Assurez-vous de recueillir les bienfaits de votre peur et de l’information inestimable qu’elle contient à propos de vos anciennes souffrances.
Alors seulement, vous pouvez partir en guerrier pour vaincre votre peur qui, de toutes façons, était illusoire !
Et, vous, vous faites-vous parfois bluffer par vos peurs? Racontez dans un commentaire!

Bonjour Hannah,
J’ai adoré la vidéo de Mr Ramesh.
La peur de la peur elle-même. Ce concept peut paraître étrange mais il est vrai. Une situation passée peut être enfouie dans notre inconscient, ce dernier nous disant de ne pas remettre les pieds dans ce genre de situation. Nous ne savons même plus pourquoi nous avons peur mais c’est le cas et donc cela devient une peur de la peur elle-même.
Il y a toujours plus d’avantages à passer à l’action qu’à fuir. D’un naturel timide, le jour où j’ai compris ça, il y a eu un vrai tournant dans ma vie. Après tout, qu’avons à perdre à nous jeter dans la gueule du loup si on a les armes pour se défendre (ou attaquer!) ?
Merci pour ce bel article.
Dorian
Merci Dorian,
J’espère que tu as apprécié aussi la seconde vidéo, toi qui parles
de la gueule du loup…
Sachant qu’on n’a jamais peur de ce qu’on croit, je suis d’accord
avec toi, autant passer à l’action!
Oui Hannah, la gueule du loup faisait référence à la seconde vidéo 😉
je me disais aussi…:-)
Bonsoir Hannah, pour moi la peur est un guide. Si dans une situation j’ai peur, je ne fais rien pour ne pas envenimer la chose.
Un de mes ex-compagnon se mettait en colère sans aucune raison apparente et la première fois que ça s’est passée, j’étais entrain de faire la vaisselle, il s’est mis en colère…je suis restée centrée sur ma vaisselle, je ne comprenais rien, je ne savais pas quoi faire…il est parti en claquant la porte.
Quand j’ai peur, je ne fais jamais rien. Une fois le danger écarté, là je cherche à comprendre et je cherche des solutions au cas où cela se reproduirait.
Si j’avais été dans ta situation à la douane, j’aurai laissé les statuettes en me disant qu’en fait, c’était un signe comme quoi je n’en avais pas vraiment besoin.
Je profite de ce commentaire pour te demander la différence entre le Bouddha svelte que l’on voit partout et celui qui est représenté gros et chauve.
zenie
Bonsoir Zénie,
le Bouddha rondouillard dont tu parles est le « happy bouddha ». Ce n’est pas le maître enseignant du bouddhisme appelé Siddharta Gautama qui lui est plutôt maigre et symbolise la capacité qu’a chacun à s’éveiller dans cette vie.
Le happy bouddha est un personnage qui a vécu en Chine et qui correspond au panthéon tchan chinois (zen). La tradition veut que si on frotte le ventre du gros bouddha rieur on obtient la richesse.
Il y a même une appli Iphone où on peut frotter le ventre du bouddha pour avoir un adage inspirant. Il est associé au bouddha Maitreya, le prochain bouddha à venir lorsque le bouddhisme actuel aura disparu.
Pour ce qui est de la peur, nous sommes tous différents; ne rien faire est effectivement un réflexe conditionné qui protège, au même titre que la fuite.
Pour ma part, j’avais accepté de perdre les statuettes mais je voulais faire différemment de d’habitude.
La peur n’a pas duré, c’était une grande leçon.
Merci pour ses précisions sur les bouddhas.
En repensant à tes statuettes, je me suis rappelée un reportage sur un touriste qui comme toi voulait ramener des statuettes et à la douane, il s’est fait carrément arrêté.Ne comprenant pas la langue, il n’a pas pu s’expliquer et il s’est retrouver carrément en prison, accusé de contrebande…sa femme a du rentrer avec les gamins sans lui.
je ne sais pas dans quel pays cela se passait, ni comment ça s’est fini. Bref ça craint !
zenie
Tu as raison, avec la loi d’attraction, on est capable d’attirer à soi toutes
sortes d’aventures, en fonction de ce qu’on doit comprendre. Il vaut mieux que
ça n’arrive pas à l’étranger!
Je m’aperçois quand même qu’en parlant l’anglais, on vient à peu près à bout
de tous les problèmes.
Remplir les statuettes de trucs illicites n’est pas recommandé!
@Zenie,
plutôt que de ne rien faire (ce qui est un peu la politique de l’autruche et on sait que les autruche ne mènent pas le monde), surtout dans le cas de la colère de ton compagnon, pourquoi ne pas tout simplement faire remarquer sa colère ?
Quelque chose du genre : « Tu sembles très en colère contre moi. Tu veux me faire du mal ? »
Il ne répondra pas « oui », ou alors il faut partir vite à la police.
Le fait de dire non le fera baisser d’un ton.
Ce que je veux dire c’est qu’en lui faisant remarquer ce qu’il est en train de faire, il prendra conscience de ce qu’il fait et s’arrêtera.
Je transmets le message pour Zénie
Salut Michel, pour te situer le truc, j’ai en gros senti qu’il était plus lui même sur le coup et que de le regarder aurait peut être envenimé un peu plus la chose au point que je me suis dit que j’allais en prendre une…
Pour moi qui recherche la paix et la douceur, ça a été le début de la fin, je ne peux pas avoir une bombe à retardement à coté de moi.
zenie
Bonsoir Zénie,
On est dans les commentaires d’un article sur la peur, il est un peu
normal que tu témoignes d’une situation de peur, c’était ma demande
pour les commentaires.
Inhiber ses réactions est un réflexe de survie.
Il est normal que tu ne veuilles pas vivre à côté d’une bombe
à retardement. Il y a peut être une question qui pourrait t’ouvrir des
pistes.
A côté de quelle type de bombe as tu vécu enfant?
Bonjour Hannah, en cherchant bien, mon père était calme et je me souviens d’un jour où il s’est emporté contre mon frère et c’est ça qui m’a fait peur de voir que quelqu’un de normal puisse perdre le contrôle. Ca ne sait jamais reproduit mais moi je savais que ça pouvait se reproduire, d’où peut être le terme de bombe à retardement. C’est peut être pour ça que j’ai toujours était sage comme une image !
zenie
Bonsoir Zénie
Tu vois parfois notre disque dur a enregistré des dangers qui n’en sont pas vraiment
mais qui, pour nous deviennent des traumas.
C’est à la façon dont on réagit, par la violence, l’inhibition, la fuite qu’on
découvre qu’on a une mémoire accrochée.
Dans ton cas, ton père a aussi été agi par une mémoire. le problème c’est
que les parents croient sincèrement qu’ils sont dans cet état là à cause
de ce que font leurs enfants.
La vérité c’est qu’ils ont une mémoire de leur propre enfance qui vient de
surgir et qu’ils ne peuvent pas gérer.
L’histoire se perpétue de génération en génération.Il faut bien parfois
quelques petites techniques pour arrêter tout ça!
@Zenie,
on ne peut refaire la scène… donc, inutile de la refaire. C’est difficile de faire passer ça par écrit, mais la communication étant à 80% par du non verbal, il y a plusieurs façons de dire la même chose.
Peut-être qu’une certaine manière aurait été acceptée.
Cependant, dans ces situations de violence il vaut mieux faire laisser passer l’orage.
Bonsoir Michel,
Tu as raison, on ne peut pas refaire le film.
Par contre la manière dont il se déroule (malgré nous)
nous donne des indications précieuses sur ce qui
est dans notre disque dur.
Salut Hannah,
Tu as bien décris les choses, le problème n’est pas tant la peur mais le fait qu’on y croit et qu’on s’identifie à elle. Ensuite on est paralysé et rien ne bouge. Ton exemple à la douane est intéressant car en ayant expérimenté la peur au delà du ressenti, cela aura moins de force la fois suivante.
On a beaucoup de peur à l’état latente qui se manifeste selon les circonstances, c’est bien pour en apprendre plus sur soi. Pour ma part, j’essaye de me rappeler que tout ça est une illusion et il ne tient qu’à moi de ne pas être collé dedans. C’est possible pour tout le monde à condition d’être vigilant et de prendre le temps d’observer ce qui se passe.
A+ et merci pour l’article 😉
Bonsoir Jonathan,
Tu as raison, tout le monde a des peurs latentes stockées dans
l’amygdale du cerveau et dont il est impossible de se souvenir.
Seules les cellules s’en souviennent et pas toujours au moment
opportun.
Pour mon histoire de douane, je me suis aperçue que, lorsque j’ai
vraiment débranché une peur, la situation ne se présente plus,
je n’attire plus à moi les douaniers mafieux!
C’est comme cela que je sais que mes cellules sont en paix.
Quand je suis confrontée à une nouvelle peur, mis à part
le fait que j’aimerais mieux être tranquille sur une plage
les doigts de pieds en éventail…je me réjouis d’avoir
une info supplémentaire sur des anciennes peurs stockées
en moi sans que j’en ai connaissance et j’accepte le travail
qu’elles me proposent.
Coucou Hannah ,
Ce matin j’ai eu le temps de regarder la première vidéo! Pas le temps d’aller plus loin.
Je voulais juste te remercier car démarrer une journée par un fou rire pareil c’est génial.
J’étais éclaté de rire ha ha ha !!! J’adore l’anglais de ces sacrés indien!!!
A plus tard
Biz
Arnaud
Quand on connait l’Inde, elle est irrésistible et pas si con…
Toutes mes peurs sont liées à l’enfance, et viennent toutes de la même chose, l’imprédictabilité d’une situation, de quelque chose que je ne contrôle pas et que je ne peux pas prévoir. Enfant je vivais dans la peur constante de ne pas savoir comment serait mon père, comment il réagirait, quand il rentrerait, etc… et lorsque que tout va bien, il y a toujours cet arrière pensée que cela ne va pas durer… Je connais mes peurs, je sais d’où elles viennent et donc pour les petites choses, souvent je les embrasse, mais pour des choses plus importantes, je me suis faite une raison… Un exemple tout simple, j’ai suivi l’année dernière une formation de base en thérapie pour les arts. Le travail de fin d’année devait se faire avec un ou des « patients ». Or tout le travail est basé sur le fait qu’il faut s’adapter chaque instant à la personne avec qui on travaille, et qu’il n’y a pas moyen de savoir à l’avance comment une session se passera. Même si en jeux de rôle je me débrouillais bien, j’ai finalement décidé que ce n’était pas pour moi, je n’ai pas réussi à surmonter cette peur de l’inconnu, parqu’elle n’impliquait pas que moi, mais aussi quelqu’un de vulnérable…
B.
Bonsoir Bernadette,
Pour l’exemple que tu donnes, je crois que tu n’as pas eu le choix.
Parfois ce sont nos cellules qui décident à notre place car
derrière la peur, il y a une véritable peur de mourir.
Nous ne sommes pas dans le cas de la vidéo de Mister Ramesh.
L’article précédent que j’ai écrit sur la peur traite de ce dont
tu parles.
Ce sont des peurs inhibantes contre lesquelles on ne peut rien
par la volonté.
Elles se traitent aussi avec d’autres techniques dont Tipi.
Si tu ne l’as pas fait je t’encourage à le lire.
https://www.new.forme-sante-ideale.com/tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir-pour-sortir-de-la-peur-et-langoisse/
Bonjour Hannah,
j’ai bien aimé ces 2 articles qui démontent la peur,
c’est épatant … ou bluffant !!
en plus les vidéos sont clairement démonstratives.
Oser affronter la peur conduit à la dissoudre dans le temps de l’action.
Les peurs évaporées ne peuvent plus revenir ?
Bonsoir Patrick,
Si tu fais un travail sur ce que ta peur te révèle,
c’est à dire une souffrance plus enfouie, alors
les peurs ne reviennent pas.
La cause initiale a besoin d’être débranchée
consciemment.
Tipi, à l’inverse peut débrancher une vraie
peur mais sans que tu aies conscience de la
scène initiale.
Ce sont deux méthodes complémentaires et très efficaces.
Enfin, ce sont celles que je pratique!
Es tu content de ton travail avec Tipi?
Oui Hannah, Tipi m’a fait du bien,
mais du coup, je ne retrouve que peu de peurs concrètes, alors je n’avance plus guère.
J’ai comme l’impression qu’il doit y avoir des paliers à franchir pour aborder ensuite l’étape suivante avec la technique la plus appropriée.
J’ai confiance en mon travail et en l’avenir, alors tout est possible.
Bonsoir Patrick
Tu sais les peurs se sachent bien:
on les retrouve dans la procrastination, les inhibitions,
les désirs de prévoir et de contrôler à l’avance,
les peurs que l’on a pour les autres, pour ses
enfants…les désirs de s’échapper d’une situation, les
peurs de ne pas y arriver… il y a toujours un tipi
à faire. J’ai listé toutes les peurs dans mon autre
article:
https://www.new.forme-sante-ideale.com/tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir-pour-sortir-de-la-peur-et-langoisse/
J’arrive même à faire Tipi sur les peurs que j’ai en rêve.
Tipi peut se faire aussi sur n’uimporte quelle émotion récalcitrante
comme la colère par exemple.
Ne t’inquiète pas, tu en trouveras!
Bonjour Hannah,
Moi aussi j’ai adoré Mr Ramesh d’autant que ça m’a rappelé l’Inde que j’adore.
Oui on a peur d’avoir peur mais avant de découvrir cela il faut souvent cheminer au bord du précipice et parfois y tomber et se faire une belle dépression nerveuse.
Une fois au fond du trou ou tu y restes ou tu remontes et c’est là que tout se joue. Quand j’ai commencé à comprendre que je rejouais toujours la même pièce depuis des lustres ce qui me stressait de plus en plus j’ai entamé une analyse qui m’a vraiment aidée mais découvrir que je manquais d’auto-estime a été un rude choc et découvrir que derrière tout ce manque d’amour de moi il y avait des peurs a terminé le travail de désir de reconstruction.
Derrière toutes nos attitudes négatives il y a des peurs, toujours des peurs et honnêtement je pense qu’il y a un moment « J », quelque chose qui déclenche le désir d’aller voir ce qui se passe derrière ces peurs.
Je prépare d’ailleurs un article qui parlera de ça « êtes-vous un saule-pleureur » ?
Merci pour l’excellence de tes articles
Merci Sylviane pour ton commentaire.
Finalement la peur est au cœur des
cellules de pas mal de monde.
Il y a ceux qui le savent et qui y
travaillent comme toi, moi et les
autres et ceux qui n’imaginent même
pas ce qui se passe dans leur monde intérieur.
Dis-moi, je suppose que tu prépares ou
que tu as déjà terminé un article pour
l’évènement de Yvon?
Wahhooo!!
Hannah je viens de visionner la deuxième vidéo!
J ‘ai ressenti un frisson comme rarement !!! C’était vraiment intense !!!
Magnifique!!!
Merci
Je l’aime bien aussi mais surtout elle était pile poil dans mon propos!
Coucou Hannah,
On a regardé et lu, avec Cassandre et Ambre, on passe à l’action!
Mille merçis.
BIZ.
Belle vidéo à regarder avec des enfants!
Elles ont aimé?
M.Ramesh les faits beaucoup rire, et il me demande la deuxième video en boucle : » Remets nous la peur! ».
Comment fait on pour avoir sa photo à la place du monstre rose?
Biz Sabrina
Bonsoir Sabrina,
Tu vas sur le site http://www.gravatar.com
Ils vont te demander de t’enregistrer avec une adresse mail et une photo.
Une fois que tu es inscrite, ta photo apparaît dans les commentaires!
Bonjour Hannah,
Comme d’habitude, ton article est super riche et super complet !
Je suis épaté…
La vidéo de Mr Ramesh est géniale et me fait penser à deux de mes métaphores préférées sur la peur :
La première est que la peur est comme une ombre sur le mur quand on a le projecteur dans le dos.
Plus on recule et plus l’ombre grandit. Et plus on avance et plus elle réduit pour qu’on finisse par voir qu’elle n’a pas de consistance.
La deuxième est que la peur est comme un dragon en papier du nouvel an chinois.
Il fait des flammes, il fait du bruit, il est effrayant !
Mais si on s’approche assez prés, on peut le déchirer à mains nues et voir en dessous les torches, les tambours et les petits bonhommes qui le soutiennent.
Prends soin de toi et à bientôt
Luc Mister-no-stress
Merci Luc pour ton commentaire.
Après mon article sur les peurs dont on ne peut pas se dégager
par la volonté et le courage, j’avais envie de parler aussi
de ces peurs que l’on peut surmonter par la compréhension et le courage.
J’ai toujours un petit frisson au moment de la traversée du loup!
Les 2 vidéos m’ont laissé un sentiment mitigé.
La première est ridicule. Son avantage est quelle marque.
La seconde est une sorte de pub, pub pour la confiance en soi à l’américaine.
Je ne pense pas que jeter le rapport sur le board des grands chefs soit bénéfique en soi.
C’est bien de ne plus avoir peur, mais parfois c’est nécessaire (et je ne parle pas seulement des situations de danger).
Par exemple : vous avez peur de faire un hors sujet à un examen, typiquement un exam de philo.
Vous restez donc dans les clous…
Si vous n’avez plus peur et tentez de sortir des sentiers battus (par exemple, si le sujet est « qu’est-ce que e temps qui passe » et si vous rendez comme seule copie le vieux bureau tout gravé par des générations d’élèves), si vous êtes INCOMPETENT, ne plus avoir peur est dangereux !
Ne plus avoir peur et oser, oui, mais il faut toujours savoir quoi faire.
En gros et en clair (enfin, j’espère) : on peut oser quand on est pas incompétent.
Autre exemple :
ne plus avoir peur de dépenser de l’argent et n’acheter que des choses inutiles, voire dangereuses (alcool, drogue, voitures de sport).
Désolé de jouer les rabats joie 🙂
J’avais peur d’être trop positif !
Bonjour Michel,
C’est bien de créer du dialogue aussi en étant pas d’accord sinon le consensus,
c’est pas drôle.
J’ai passé beaucoup de temps en Inde et au Népal alors cet accent dans la vidéo me
fait rire!
J’y trouve quand même quelque chose de profond, c’est pour cela que je développe
dans mon article, c’est que la peur a un message au deuxième degré, pas juste
celui de « il faut faire attention ».
Pour la seconde, bravo, c’est vraiment une pub!
Je l’ai déjà vue présentée sur d’autres blogs mais toujours avec le discours,
« il faut oser ». Le mien est différent. Oser oui mais après avoir enregistré
que ma peur est défensive, et si elle est défensive, qu’est ce qu’elle défend?
C’est ce point thérapeutique qui m’intéresse car les thérapies traditionnelles
s’attachent à apprendre à vivre les émotions, du genre j’ai de la colère
refoulée donc je vais apprendre à taper sur un coussin.
Selon mes recherches, les émotions peuvent être des créations pures du mental
juste pour nous détourner de vrais enjeux douloureux, des leurres en quelque
sorte.
J’avais développé dans mon premier article en quoi la peur était utile, donc
dans celui-ci j’avais envie de défendre un point de vue différent: en quoi
elle n’est pas si utile que ça!
Merci Michel de ne pas être trop positif, j’ai des petites réticences avec
la pensée positive quand elle sert de camouflage!
Bonjour Michel ,
Je lis et relis tes deux commentaires et je n’arrive pas à me déterminer sur l’objectif que tu as mis dans leur écriture !?
Du coup j’en suis arrivé à la conclusion suivante :
Michel, jolis commentaires emplis de colère. Serais-tu activé par le sujet de la peur?
Cordialement 😉
Arnaud
Dites-moi, …
Mon sujet sur l’amour a suscité beaucoup moins de passions!
Bonjour Hannah,
L’air du type de la première vidéo était vraiment épeurant! Eh! belle trouvaille! Mes compatriotes humoristes québécois.
Je l’ai tout de suite reconnu avant de voir le générique (le timbre de voix, les gestes). Mr. Ramesh est nul autre qu’André Sauvé, un humoriste québécois aussi de mon coin de pays. Il est super dans ce personnage.
Bref! Revenons à la peur. Oui, j’ai des peurs.
Amicalement,
Sco! 😀
P.S. Bravo à André Sauvé pour cette vidéo que j’ai écoutée plus d’une fois.
Bonsoir Sco!
Je ne savais pas qu’il était québécois, il imite l’accent indien
à merveille.
J’aime beaucoup la façon dont il parle de la peur au second degré
c’est plus profond que ça en a l’air.
Il n’y a que deux ou trois enregistrements de lui sur utube, si tu en
connais d’autres de Mister Ramesh, je suis preneuse.
Bonsoir Hannah,
j’ai adoré la deuxième vidéo. J’ai sentit l’émotion monter en moi avec une envie de pleurer car j’ai de nombreuses fois expérimenté cela : pour la danse, pour les examens, pour mes amoureux, pour parler de mes passions…etc Le fait de reculer d’abord puis finalement d’y aller c’est exceptionnel à l’arrivée. Ceci m’a fait, évidemment penser à la marche sur le feu et la sweat lodge, alors quelles types de peurs libèrent ces méthodes ? Je t’embrasse.
Bonsoir Laure,
Je crois que nous pouvons venir à bout de pas mal de peurs
rien qu’avec notre volonté. pour marcher sur le feu, nous
n’avons pas de mémoire cellulaire qui bloque, nous ne l’avons
simplement pas fait avant en tous cas dans cette vie.
Le problème avec les peurs c’est lorsqu’elles sont enfermées
dans le disque dur depuis un âge où nous ne pouvons pas filtrer.
C’est là qu’il y a besoin de méthodes car nos mémoires cellulaires
sont inconscientes.
Tipi en est une mais il y en a d’autres et toutes les thérapies
quantiques du moment vont dans ce sens.
Biz
bonjour hannah,
L’agoraphobie me parle … Comme beaucoup d’autres peurs qui m’accompagnent.
Les regarder comme des informations est une piste que je vais explorer, et non plus essayer de les faire disparaitre à tous prix.
Si j’ai bien suivit, tant que je n’aurais pas saisi le message, elles réapparaitront sous une autre forme.
Donc prochain exercice, ne plus laisser mon mental jouer avec mes peurs.
Bise
delphine
Bonjour Delphine,
Oui il y a les peurs totalement engrammées dans la mémoire cellulaire,
de celles qui font des maladies, des phobies et rendent la vie
impossible, celles-ci peuvent être traitées avec Tipi ou tout
autre technique quantique qui s’attaque vraiment aux mémoires
cellulaires.
Les autres ne sont que des leurres, il n’y a aucun danger à les
outrepasser en prenant l’info au passage de ce qu’elles protégeaient.
Firefox fait des siennes et refuse de m’afficher la moindre vidéo !
Mais, bon, pas grave, j’y survivrai…
Tu sais ce qui m’étonne ? C’est qu’en vieillissant, j’en arrive à avoir peur aujourd’hui de ce dont je n’avais jamais peur auparavant, et vice versa…
Bah, à ça aussi, je survivrai…
Belle nuit étoilée !
Du moment que c’est vice versa.. on n peut pas mettre ça sur le dos de notre vieillerie!
Bonjour Hannah
Tes articles sont super!!!!
Nous avons expérimenté nos peurs sur une ballade en montagne,le but était d’aller au sommet,sachant qu’il y avait des devers,et un dénivelé de 900m.Le vertige pour l’un et des problèmes de santé pour l’autre.
Nous y sommes arrivés c’était du bonheur,et du plaisir….
Cette ascension ,de la brèche,jusqu’au Pic correspondait bien à la seconde vidéo,pourtant je n’avais pas pris encore connaissance de ton article.
Merci Hannah
Bonjour Béatrice,
Surmonter sa peur, c’est formidable.
Pour les vertiges, tu sais que Tipi
peut en venir à bout définitivement?
Bonjour Hannah
Je ne connais pas Tipi,…Comment se pratique Tipi?
Bonjour Hannah,
Merci pour ton article et ces 2 très belles vidéos.
« On ne peut pas sortir d’une pièce (ou de la peur) si on n’y est pas entré ». C’est tellement vrai, merci Mr Ramesh !
La 2ème vidéo m’a tout de suite fait penser à ce très joli conte que voici :
Le sage et le chien
« Je sentais la nécessité d’entreprendre un cheminement personnel, raconte un sage, mais, comment m’y prendre ? C’est un chien qui m’a mis sur le chemin. Je le vois un jour figé devant une flaque d’eau, qui reflète son image. En m’approchant de lui, je comprends mieux la situation : il croit voir un autre chien en face de lui, qui le menace, il reste en arrêt. Finalement, il ose affronter sa peur. Il se jette alors sur la flaque d’eau… L’ennemi qu’il y voyait disparait instantanément.
Me croirez-vous, maintenant, si je vous dis que c’est un chien qui m’a mis sur la voie ? »
Une autre façon de le dire, mais le message est le même : OSEZ ! 😉
Samuel
Merci Samuel pour ce conte inspirant.
Je ne sais pas qui a écrit cela mais c’est
profond!
Je suis sur que c’est Samuel qui l’a inventé ce conte, c’est son style.
C’est comme ça qu’il fait dans sa vie !… il Ose !
Je vois que vous vous connaissez!
C’est un joli compliment.
Excellent article Hannah,
Très complet et clair. Cela m’a fait pensé à une métaphore de Arnaud Desjardin :
Les peurs se sont des cordes que l’on imagine en serpent.
Imaginons qu’il y a une corde au milieu de la rue dans laquelle nous nous engageons. Vous pouvez vous dire il y a un serpent au milieu de la rue, il va me piquer et je vais mourrir, et rebrousser chemin et manquer le RDV qui aurait changé votre vie. Ou bien vous pouvez vous avancez voir quel est ce truc au milieu de la rue, c’est une corde, je file à mon super RDV et ma vie change.
La peur c’est des cordes que l’on voit en serpent. C’est le fruit de l’imagination, ça n’exite pas !
Mais je suis d’accord avec toi Hannah, cette imagination prend racine dans de vieux traumatismes.
Bravo Samuel aussi pour ton histoire de chien, drôle et parlante !
A bientôt Hannah et encore bravo pour cet article haut de gamme !
Patricia
Bonjour Patricia,
Merci pour tes compliments.
Je suis souvent touchée par ce que Arnaud Desjardins
racontait. il a toujours été assez humble pour enseigner
en montrant les stratégies de son propre égo.
Prendre une corde pour un serpent est un bon exemple!