3 habitudes a stopper pour etre heureux…vous allez etre surpris !


pour être heureux171)Pour être heureux, arrêtez de chercher des solutions

 

J’ai pensé qu’un petit article léger (et court) allait vous redonner la pêche tout en vous faisant réfléchir. Être heureux à cette époque-ci de l’année, c’est peut-être partir en vacances.

 

Si ce n’est pas votre cas, je vous ai choisi une blague zen que vous lirez à la fin de l’article. En attendant j’aimerais vous parler de 3 habitudes (que vous prenez pour des qualités) mais qui vous empêchent d’être heureux.

 

Dans votre vie quotidienne, vous êtes devenus des experts en stratégies. Le web est inondé de trucs et astuces pour apprendre à régler des problèmes et trouver des solutions.

 

Souvenez-vous que, pour chaque problème il y a 20% de stratégies et 80% de psychologie, selon Anthony Robbins, cela vaut la peine de comprendre ce que cela signifie.

 

La psychologie c’est ce qui se passe à l’intérieur de vous. Cela ne veut pas nécessairement dire avoir un mental d’acier.

 

Si vous cherchez des solutions à l’extérieur pour être heureux, que ce soit

 

  • en demandant de l’aide
  • en vous formant
  • en arrêtant de procrastiner
  • en allant voir un expert,

 

mais, vous êtes toujours dans les 20% de stratégie. Cela signifie donc qu’il reste 80% du problème à solutionner et c’est souvent la raison pour laquelle la vie ne répond pas à vos demandes.

 

Lorsqu’un problème résiste vraiment, apprenez à imaginer qu’il n’y a pas de solution extérieure.(pour le moment). « Ce à quoi vous résistez persiste ».

 

Voici une petite illustration en histoire initiatique soufie de Nasrudin:

 

Nasrudin était assis à l’entrée du village lorsqu’un jeune homme s’approcha et lui dit :

– Je ne suis jamais venu ici. Comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

Nasrudin lui répondit par une question :
– Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?

– Egoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme.

Nasrudin lui répondit : Tu trouveras les mêmes gens ici

 

La stratégie du jeune homme ne va pas servir à grand chose. S’il ne connaît pas les raisons pour lesquelles il crée autour de lui des voisins égoïstes, et méchants, il va retrouver les mêmes partout où il ira.

 

Changer de ville et faire table rase du passé n’a jamais réglé un problème. Selon Ho’oponopono, s’il y a un problème, c’est vous qui avez un problème, ce ne sont jamais les autres puisque c’est toujours à vous que cela arrive.

 

Cela ne signifie pas que les autres n’ont pas un problème aussi mais vous n’avez pas à vous occuper de cela. Les tantriques, de leur côté, disent plutôt : « ce qui est ici est ailleurs, si ce n’est pas ici c’est nulle part ».

 

Dans le cas de ce jeune homme : les gens égoïstes sont ici aussi puisque il les avait déjà chez lui.

 

Selon Nasrudin, « si tu n’as pas trouvé des personnes ressources ouvertes chez toi, tu n’en trouveras nulle part ailleurs ».

 

Dit autrement : « si tu continues à faire ce que tu fais comme tu le fais, ne t ‘attends pas à ce que ta vie change ».

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Les solutions sont donc à l’intérieur et pas uniquement à l’extérieur. Pour être heureux, cherchez en vous ce qui crée le problème à l’extérieur.

 

Dans ce cas précis : que pourrait chercher en lui ce jeune homme s’il veut modifier la réalité extérieure et être heureux? Sans doute les raisons pour lesquelles il rencontre des personnes égoïstes et méchantes.

 

Rien que dans l’explication du jeune homme et le terme « méchants », on peut déjà déceler une partie de sa difficulté.

 

Être heureux n’a pas la même signification pour un enfant ou un adulte

 

Première raison possible : il est lui-même égoïste et méchant mais ne s’en rend pas compte. Par la loi d’attraction, il attire à lui des gens comme lui jusqu’à ce qu’il s’aperçoive que c’est lui le problème.

 

Deuxième raison plus probable : cet homme a été élevé par des parents un peu stricts. Rien ne dit qu’ils étaient égoïstes et méchants cependant, peut-être juste un peu distants et peu câlins.

 

Il est possible que ses parents aient trop travaillé pour subvenir à ses besoins, il a alors enregistré dans sa petite vision d’enfant que ses parents étaient égoïstes et ne pensaient qu’à eux puisqu’il ne les voyait jamais.

 

Un enfant n’est pas capable de comprendre ce que signifie gagner sa vie. La vie pour lui ce n’est pas le travail et l’argent c’est l’amour, le jeu et la relation.

 

Il a donc interprété les efforts de ses parents comme de l’égoïsme. Il ne l’a pas pensé ainsi, il a pensé « il n’y a personne pour moi ».

 

Il est possible aussi que ses parents aient été un peu stricts parce qu’ils voulaient qu’il ait une bonne éducation, qu’il travaille bien à l’école, qu’il ait un bon métier.

 

Ils ont privilégié le sérieux plutôt que le jeu parce que, selon eux, la vie est rude et qu’il faut la gagner.

 

Comme il ne voulaient pas jouer avec lui et qu’ils ne lui achetaient pas ce qu’il aurait voulu avoir, il a considéré qu’ils étaient méchants.

 

Voici donc comment un jeune homme projette sur les humains en général, un regard complètement enfantin de ce qu’il a vu de ses parents.

 

Bien que ses conclusions ne soient qu’une interprétation d’enfant de 4 ans, c’est quand même la réalité à laquelle il croit aujourd’hui alors qu’il est devenu adulte.

 

C’est aussi la vie qu’il se crée aujourd’hui et qui conditionne son lieu de vie, sans doute son travail, ses relations et sa vie amoureuse.

 

Il est donc urgent de réactualiser votre vision si vous ne voulez pas que votre vie actuelle soit le pur résultat de vos élucubrations d’enfant.

 

Ainsi donc, avant de chercher des solutions à votre problème, regardez en vous si ce ne serait pas le problème d’un enfant de 4 ans.

 pour être heureux 18

Cherchez ensuite la façon de modifier ou nettoyer votre regard afin de matérialiser une vie où vous pouvez enfin être heureux.

 

2)Arrêtez de remplacer vos pensées négatives par des pensées positives pour être heureux.

 

Le concept est séduisant mais, pour les gros dossiers de votre vie, vous avez dû maintenant vous apercevoir que ça ne fonctionne pas.

 

Laissez moi vous raconter une autre petite histoire initiatique de Nasrudin :

 

Un jour, un homme trouve Nasrudin en pleine nuit, à quatre pattes, cherchant quelque chose dans le halo de lumière d’un lampadaire.
– As-tu égaré quelque chose ? Lui demande-t-il.
– Oui, j’ai perdu mes clés, répond  Nasrudin.
– Et où les as-tu laissées tomber ?
– Là-bas, dit  Nasrudin, en désignant un porche obscur.
– Mais alors pourquoi les cherches-tu ici, alors que tu les as perdues ailleurs ? C’est stupide !
– Pas tant que ça ! Répond Nasrudin, je préfère les chercher là où il y a de la lumière !

 

Tout le monde cherche la lumière. Elle est valorisée alors que l’ombre est diabolisée…jusque dans la religion si vous ne comprenez pas les écrits au deuxième ou au troisième degré.

 

Dans le milieu du reiki, en faisant mon master, je me suis aperçue qu’il en était de même. Tout le monde faisait du reiki pour amener la lumière, la santé et la guérison dans sa vie et dans celle des autres.

 

Personne ne parlait de l’ombre ! Pourtant, il y en avait en quantité dans leur vie et dans leur psychisme.

 

Alors, ils redoublaient d’ardeur pour amener encore plus de lumière. A aucun moment, ils ne considéraient que la lumière amène à voir plus d’ombre.

 

Si votre maison est sombre, vous ne verrez pas la poussière s’accumuler dans les coins. Si vous ajoutez une fenêtre supplémentaire, vous allez commencer à voir que votre maison est sale.

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La suite logique serait de nettoyer ce que vous venez de voir et de faire un grand ménage de printemps.

 

Si vous faites l’analogie avec une ombre personnelle, vous pouvez la nettoyer soit avec la méthode Ho’oponopono soit avec d’autres outils thérapeutiques de nettoyage sur vous.

 

Mais souvent, ce n’est pas ce que vous faites. L’ombre vous fait peur, alors vous installez une autre fenêtre, un autre puits de lumière.

 

Ce flux de lumière vous montre alors d’autres recoins négligés donc plus de poussière. Ce serait encore le moment d’utiliser vos outils de nettoyage pour venir à bout de ce qui vient d’émerger.

 

Mais souvent, ce n’est pas ce que vous faites, c’est l’escalade à la lumière, vous cherchez encore plus de lumière, encore plus de guérison comme si la poussière était une erreur.

 

L’ombre n’est pas une erreur, elle est générée par la lumière qui rencontre la matière. La poussière n’est pas une erreur, elle est la vie en mouvement qui dépose des particules en permanence.

 

La seule chose à faire c’est nettoyer, pas chercher la lumière !

 

C’est la raison pour laquelle, lorsque vous faites une grande avancée dans votre vie ou que vous avez une sublime révélation, vous faites 3 pas en avant ….suivis de 2 pas en arrière, le temps de nettoyer ce que vos trois pas en avant vous ont révélé sur vous-mêmes.

 

Vous ne voulez pas de ces deux pas en arrière, vous voudriez une courbe ascendant très newtonienne et sans faille. Au lieu de cela, vous avez une courbe en dents de scie mais les raisons de cette courbe ne vous enchantent pas.

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C’est pourtant cela le mouvement de la vie, les vagues montent et descendent, elles ne restent pas toujours en haut sinon la vie s’arrête.

 

Ainsi, si vous remplacez les pensées positives par des pensées négatives, vous omettez de nettoyer la poussière et vous perdez la valeur inégalée qui se trouve dans les pensées négatives.

 

Qu’est ce qu’une pensée négative ? Une pensée qui tourne en boucle dans votre psychisme à propos de quelque chose qui fait mal ou qui fait peur. Bref de la poussière quoi !

 

D’où vient cette pensée négative qui vous empêche d’être heureux?

 

Vous avez vu dans la première histoire initiatique que la pensée émise est sans doute la conclusion d’un enfant de 4 ans sur sa vie d’enfant.

 

Elle peut aussi avoir été transmise par votre système familial et ancrée en vous sous forme de croyance, par exemple, « il est difficile de joindre les deux bouts en fin de mois, le gouvernement ne veut pas qu’on s’enrichisse. »

 

Elle peut aussi avoir été pensée par votre mère lorsqu’elle était enceinte de vous. Par exemple, si c’est son premier enfant « Je ne sais pas comment faire, je ne vais pas y arriver, je ne vais pas savoir gérer ».

 

En tant que fœtus, vous n’avez pas de mental ni de capacité neuronale pour réfléchir. Tout ce que vous captez rentre dans votre ordinateur interne et vous le prenez pour argent comptant comme si c’est vous qui l’aviez pensé.

 

Il est donc passionnant d’écouter vos pensées négatives pour savoir ce qu’elles racontent. Elle vont vous dire ce qui est enfermé dans votre ordinateur et qui, par conséquent, crée votre vie à votre insu.

 

Vous comprenez pourquoi elles ont une valeur inestimable ! Grâce à elle, vous avez un mouchard pour aller enquêter à l’intérieur de vous afin de savoir ce qui crée cette pensée et surtout si elle vous appartient vraiment.

 

Vos pensées négatives sont donc la preuve que vous avez de la poussière à nettoyer. Elles sont aussi la preuve que vous avez construit des puits de lumière à l’intérieur.

 pour être heureux 11

Tout va bien donc, il n’y a qu’à nettoyer, pas besoin de s’affoler et de la bombarder de pensées positives ! N’oubliez pas, « ce à quoi vous résistez, persiste » !

 

3)Arrêtez d’être zen pour être heureux.

 

Être zen est une idée très séduisante. Vous imaginez sans doute qu’il est plus facile d’aimer quelqu’un de calme et stable plutôt qu’une personne agitée.

 

En fait, être zen est devenu une caractéristique de la personnalité plutôt qu’une qualité d’Être. Il y a souvent confusion entre ne pas se laisser déborder par les émotions et anesthésier ses ressentis.

 

Si quelque chose se soulève en vous et si vous êtes soudainement en proie à une émotion, votre premier travail n’est pas de vous calmer mais plutôt d’accepter qu’une émotion vous traverse.

 

Vous êtes tellement habitué à gérer le stress que votre premier réflexe est de respirer, de vous excuser parce que vous avez une émotion comme s’il fallait la cacher.

 

Cet entraînement commence dans l’enfance. Vos parents vous veulent joyeux et ont rarement les moyens de vous venir en aide si vous êtes en proie à un tourment émotionnel.

 

Parfois même, vous n’avez pas eu le droit d’être mal psychiquement, seules les maladies étaient tolérées. Aujourd’hui encore, vous continuez à minimiser l’impact des situations et des personnes dans votre vie quotidienne.

 

C’est le propre de la thérapie que de libérer le corps émotionnel et d’oser être vrai plutôt que zen ou bien élevé.

 

Même si, dans une relation, il est plus aisé de discuter entre adultes calmes, montrer à l’autre la nature de votre vécu peut ramener de l’authenticité dans la communication.

 

Être toujours zen évite les conflits mais ne vous permet pas d’être vous-mêmes. Comment allez-vous savoir ce qui vous agite si vous ne laissez pas un peu l’agitation monter en vous ?

 

Le travail n’est pas de niveler les émotions pour éviter qu’elles ne vous submergent mais de savoir quoi en faire lorsqu’elles se présentent.

 

La nature elle-même n’est pas qu’un éternel été sans nuages ni tempêtes. Prendre le risque d’être naturel et honnête avec vos humeurs vous permet d’identifier vos attachements ainsi que les mémoires inconscientes qui perdurent.

 

La gestion du stress est l’obstacle numéro un dans les thérapies quantiques ou la technique TIPI.

 

Au lieu de laisser votre corps exprimer spontanément tout ce qui le traverse, vous cherchez à le contrôler, le rassurer et le calmer alors qu’une émotion peut disparaître dès qu’on la laisse vivre en soi sans la combattre.

 

Arrêtez d’être doux et gentils, soyez vrais.

 

Le bouddhisme (zen ou pas) est malheureusement souvent utilisé comme rempart défensif contre les émotions.

 Pour être heureux1

Bombarder sa vie de méditations pour rester calme et zen face aux tempêtes relationnelles n’amène pas forcément vers l’éveil.

 

Cumuler les récitations de mantra peut se révéler plus de la comptabilité que de la spiritualité. (expériences vécue)

 

Je vous propose à ce sujet une petite blague pleine d’esprit pour vous assurer que les zens peuvent être d’excellent mathématiciens.

 

Un maître propose à son disciple un jeu : chacun posera une question à l’autre à tour de rôle. Si le disciple ne connaît pas la réponse, il donnera une pièce au maître, si c’est le maître qui ne peut pas répondre, il donnera 100 pièces à son disciple.

Le maître commence :

  • Combien de textes composent le Tipitaka ?

  • Je ne sais pas, répond le disciple, tenez, voilà une pièce.

  • Quelle est la différence entre un sûtra et un tantra ?

  • Je n’en ai aucune idée, dit le disciple, tenez, voilà une autre pièce.

  • Allez, à ton tour de me poser une question, enchaîne le maître :

  • Qu’est ce qui a huit pattes le matin et quatre le soir ? pose à son tour le disciple

Le maître réfléchit longtemps mais doit se reconnaître dans l’incapacité de répondre.

  • je ne sais pas, tiens, voilà cent pièces, quelle était la réponse ? Interroge le maître.

  • Je ne sais pas répond le disciple, tiens voilà une pièce !

 Pour être heureux2

Je vous laisse avec une dernière blague zen en images. J’ai essayé de la traduire en français mais si on remplace « attachement » par pièce jointe, c’est beaucoup moins drôle !

Et vous, aimez-vous les blagues zen? Faites en part dans un commentaire. Si vous en connaissez une n’hésitez pas!


Hannah

42 commentaires

  1. barat le 24 octobre 2014 à 6 h 24 min

    bonjour
    ah comme la vie est extra ordinaire 🙂 votre email est la réponse à mon tourment car j’ai toujours pensé lumiére, positif etc et quand mon être profond remonte pour me dire oh la tu as du nettoyage à faire et bien je camouflais dans la nourriture surtout ne rien sentir et là après pas mal de pratique hoponopono suivi d’un stage le we dernier c’est à nouveau cette ombre qui m’envahit mais là je réalise intuitivement que c’est différent comme si j’entrevoyais avec les yeux du coeur qu’il est temps pour moi d’accepter mes failles, de nettoyer ce qui doit l’être et voila votre email ce matin vient me confirmer ce que je pensais alors un grand merci à vous, à moi d’avoir entendu et je vais continuer à nettoyer avec les outils à ma disposition



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 21 h 20 min

      bonsoir,
      c’est une grande avancée de regarder avec les yeux du coeur
      et se sentir que, malgré la difficulté quelque chose s’ouvre en
      soi. C’est subtil mais profond.



  2. JACQUELINE le 24 octobre 2014 à 6 h 49 min

    Bonjour Hannah

    J’ai beaucoup aimé ton article qui casse un peu certaines idées, certains discours :

    remplacer les pensées négatives par les pensées positives
    essayer d’être zen …..

    c’est vrai qu’en faisant cela, on ne voit pas ce qui se passe à l’intérieur de nous, ce qui ne va pas, on ne nettoie pas.
    Mais se montrer vrai dans la vie : par exemple dire ce qu’on pense, ou se mettre en colère, dire non, nous montre comme quelqu’un de coléreux, de méchant.
    Mais peut être que ce sont les autres qui nous voient comme cela car ils se voient ?

    Il faut essayer d’être tempéré, calme, heureux malgré tout car notre esprit, notre conscience réagit à nos émotions, nos pensées ?

    éclaire moi un peu car je ne sais plus trop.
    belle journée
    Jacqueline



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 21 h 27 min

      Bonsoir Jacqueline,
      Ce qui est important c’est de ne pas se cantonner à des comportements
      appris ou sécuritaires.
      Pour certains, etre un gentil garçon est un comportement induit par
      les exigences parentales. Pour ces personnes, il est important d’apprendre a montrer les dents
      et prendre le risque de l’agressivité pour trouver des émotions certes dérangeantes mais qui
      le font sortir de son état de zombie.
      Pour d’autres qui se sont défendus avec beaucoup d’agressivité et de provocation depuis qu’ils
      sont petits, il est effectivement important qu’ils cherchent le calme intérieur et arrêtent de sur-
      réagir. Il n’y a pas de loi en fait, juste apprendre à sortir des conditionnements habituels.



  3. sylviane le 24 octobre 2014 à 9 h 11 min

    Bonjour Hannah

    Tu parles de l’Ombre et c’est précisément le sujet de mon article’ de cette semaine comme quoi les grands esprits se rencontrent !

    Tus les trucs que l’on donne pour être zen, pour trouver des solutions tout ça c’est très bien mais comme tu le dis si bien dans l’article tout part de nous et si nous avons des techniques « imparables » mais que nous sommes en révolte à l’intérieur ça ne va pas s’arranger à l’extérieur

    Par exemple depuis une semaine je me sens très agressive, irritable et irritée avec tout le monde alors immédiatement (enfin pour au bout de 7 jours) je me suis posée et ai réfléchi à ce qui me causais intérieurement autant d’agressivité : résultat rapide et imparable (là aussi) je suis sur le pont depuis des années pour aider Pierre Paul et Jacquette, je suis le pompier de service et j’en ai marre car je n’ai plus de temps pour moi.
    Bien STOP me suis-je dit et voyons comme je prends du temps pour moi, immédiatement après un grand calme m’a saisie et au revoir l’agressivité.

    l’extérieur n’est que le reflet de tout ce qui se passe à l’intérieur de nous

    Bonnes vacances

    Bonnes vacances



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 21 h 11 min

      Bonsoir Sylviane,
      Ce n’est pas la première fois que nous sommes en phase avec nos articles!
      Je trouve qu’en ce moment, ça passe ou ça casse, ce qui était supportable
      ne l’est plus et il n’y a plus moyen de prendre sur soi, la vérité eclate de tous
      les cotes alors je ne suis pas surprise de ton vent de rébellion.
      Alors la zenitude ( la vraie) est de retour?



  4. Éric G. Delfosse le 24 octobre 2014 à 11 h 24 min

    Article plaisant et dérangeant tout à la fois… C’est pour ça que je l’aime…



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 21 h 12 min

      Bonsoir Éric
      Dérangeant c’est un compliment venant de ta part!;-)



  5. Magalie le 24 octobre 2014 à 12 h 23 min

    Bonjour Hannah,

    Je suis complètement en phase avec ton article.
    Ne pas chercher à être bien tout le temps et à tout prix.
    La réponse est l’acceptation de ce qui est, c’est un peu comme si c’était trop facile. Quoi mais alors il faut arrêter de chercher des solutions?
    Lorsque qu’une émotion, situation dite désagréable je repense à ce qu’on m’a dit une fois. Lorsque tu as envie de te gratter, que cela te démange, tente de ne pas le faire au bout d’un moment ça passera et tu n’auras plus envie de te gratter avec une émotion c’est la même chose.
    Je me posais néanmoins une question que penser de la dé-fusion avec les pensées soit grâce à la méditation qui permet juste d’observer les pensées ou de phrase style « tiens revoilà la martyre qui pense que… « ?

    Merci de nous inciter à être authentique!
    Magalie



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 21 h 18 min

      Bonsoir Magalie,
      Tu vois juste certaines émotions peuvent être mises à distance par le pas
      en arrière de la sophrologie, la meditation et la pleine conscience.
      Pour les émotions tenaces liées a des memoures trans-generationnelles
      ou karmiques, le détachement n’est pas possible. On devient alors un parent
      aimant pour cette partie qui souffre.
      L’émotionnel est une dimension qu’il convient de respecter. Chaque
      memoire se traite avec l’outil le plus approprié.



  6. Eva le 24 octobre 2014 à 13 h 13 min

    Bonjour Hannah,
    C’est la première fois que « je prends la parole » car j’aime écouter et apprendre.Et toi Hannah, tu m’apprends énormément avec des mots simples qui vient de ton coeur .La lumière ne peux pas exister sans l’ombre, Ma peur ne pe peut pas survivre après un discussion honnête entre elle et moi.Pour un certain temps elle est mon amie, je l’accueille ,elle fait partie de moi, si je comprends son message, elle tire sa révérence. ÊTRE appartient au moment présent, telle que je suis ici et maintenant,avec ma force et mes faiblesses. Je me regarde dans mon propre miroir et je me pose la question est ce que t’aime -tu telle que tu es maintenant?non…? Alors change ça et ça et ça…me répond mon petit voix. Pardonne ton passé et contruis dès aujourd’hui l’AMOUR pour demain.Le moment présent est PARFAIT pour cela.



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 20 h 28 min

      Merci Eva pour ce commentaire. Cette acceptation
      est vraiment l’essentiel du travail…après la conscience, l’Amour!



  7. Kathy le 24 octobre 2014 à 13 h 36 min

    Bonjour Hannah,

    L’ombre et la lumière se cotoient, comme disent les maîtres spirituels le travail est plutôt de l’ordre du dévoilement, du nettoyage, de la purification, de la transformation car la lumière nous le sommes déjà. La conscience absolue permet de voir les deux côtés, en acceptant ce qui veut s’exprimer, en étant un avec, la clarté apparaît dans l’obscurité. Je dirais que l’Etre est au-delà de la lumière et de l’ombre et les contient aussi toutes les deux.

    Je me souviens de Ramana Maharshi qui disait à ses élèves, « ne méditez pas, soyez ». ce qui revient à cette fameuse authenticité et unité avec ce qui est.

    Voici deux histoires zen qui illustre bien cet article :

    Comme la coutume le veut, un disciple arrive devant un grand maître zen avec une offrande. Le maître reçoit l’offrande et pour tout remerciement, il donne cinq coups de bâton au disciple. ce dernier meurtris et surpris demande :
    – Mais pourquoi me frappez vous ?
    Sans un mot, le maître lui donne cinq coups de bâtons supplémentaire et l’éjecte. Celui-ci repart penaud, en n’ayant rien compris. Il va voir son propre maître, lui explique la situation et lui demande pourquoi ce grand maître l’a frappé. Son maître, sans rien lui dire, lui donne alors cinq coups de bâton.

    Un maitre visite deux moines qui sont dans des cellules.Il frappe à la première porte. Le moine l’ouvre, lève une lampe devant lui et regarde le maître. Celui-ci est très content et sourit.
    Il frappe à la deuxième porte et le moine fait exactement les mêmes gestes que le premier. Il montre sa lampe au maître, qui… lui donne une gifle et repart furieux.

    Bonnes vacances 😉



  8. Kathy le 24 octobre 2014 à 13 h 42 min

    Bonjour Hannah,

    L’ombre et la lumière se cotoient, comme disent les maîtres spirituels le travail est plutôt de l’ordre du dévoilement, du nettoyage, de la purification, de la transformation car la lumière nous le sommes déjà. La conscience absolue permet de voir les deux côtés, en acceptant ce qui veut s’exprimer, en étant un avec, la clarté apparaît dans l’obscurité. Je dirais que l’Etre est au-delà de la lumière et de l’ombre et les contient aussi toutes les deux.

    Je me souviens de Ramana Maharshi qui disait à ses élèves, « ne méditez pas, soyez ». ce qui revient à cette fameuse authenticité et unité avec ce qui est.

    Voici deux histoires zen qui illustre bien cet article :

    Comme la coutume le veut, un disciple arrive devant un grand maître zen avec une offrande. Le maître reçoit l’offrande et pour tout remerciement, il donne cinq coups de bâton au disciple. ce dernier meurtris et surpris demande :
    – Mais pourquoi me frappez vous ?
    Sans un mot, le maître lui donne cinq coups de bâtons supplémentaire et l’éjecte. Celui-ci repart penaud, en n’ayant rien compris. Il va voir son propre maître, lui explique la situation et lui demande pourquoi ce grand maître l’a frappé. Son maître, sans rien lui dire, lui donne alors cinq coups de bâton.

    Un maitre visite deux moines qui sont dans des cellules.Il frappe à la première porte. Le moine l’ouvre, lève une lampe devant lui et regarde le maître. Celui-ci est très content et sourit.
    Il frappe à la deuxième porte et le moine fait exactement les mêmes gestes que le premier. Il montre sa lampe au maître, qui… lui donne une gifle et repart furieux.

    Bonnes vacances 😉



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 20 h 24 min

      Bonsoir Kathy,
      Merci pour ces petites histoires. C est un peu comme les koans zen. Ce n’est jamais ce que dit le moine
      qui compte mais l’état dans lequel il le fait ainsi
      que sa qualité de présence.



  9. jocelyne le 24 octobre 2014 à 19 h 13 min

    Bonjour Hannah
    Rien n’est évident , mais si on refrène nos émotions tôt ou tard , on » explose » et ce n’est pas mieux . En expérimentant ce nettoyage à chaque pensée négative et en étant honnête avec l’Autre tout se fait en douceur…
    et c’est super confortable . Il est vrai que cela ne fait pas partie de notre éducation !!
    Merci Hannah pour tous tes articles pertinents
    Jocelyne



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 20 h 19 min

      Bonsoir Jocelyne
      Tout n’est pas toujours confortable dans les relations même avec la conscience mais ce qui est important c’est d’avoir la certitude que l’autre va nettoyer comme nous le faisons nous même. Cela génère
      beaucoup de confiance et un grand sentiment de securite



      • guigue jean-louis le 18 janvier 2016 à 11 h 39 min

        bonjour Hannah!je reviens vers toi pour l adresse de ce thérapeute à Venelles…pourrai tu m envoyer stp ses coordonnées téléphoniques?merci bcp
        Jean-Louis GUIGUE



        • Hannah le 21 janvier 2016 à 21 h 28 min

          Bonjour Jean Louis,
          J’ai tardé un peu parce que j’ai du mal à le retrouver.
          Je vais demander ses coordonnées à mon amie à Toulon et
          je te renvoie cela.
          Biz



  10. Michel @ Changer Gagner le 24 octobre 2014 à 20 h 36 min

    Bonjour !

    Et si, au lieu de méditer ou de se poser des questions sur soi on agissait ? L’action tue l’émotion, non ? De même, les compétences et divers apprentissages permettent de dépasser ses limitations.

    En bref, la connaissance et l’action permettent de sortir de l’ornière.

    Je dirais donc : la première habitude à prendre est de se former aux techniques de développement personnel, mais ne pas sombrer dans le nombrilisme.



    • Hannah le 24 octobre 2014 à 20 h 53 min

      Bonsoir Michel,
      si c’est l’action uniquement qui rend heureux
      il ne faut pas s’en priver. Une émotion n’est pas une ornière mais une manifestation naturelle et spontanée. L’émotion est exactement ce qui caractérise l’enfant , « tuer l’émotion » qui
      dérange et la faire taire par l’action est exactement le camp d’entraînement que nous avons subi, enfant.
      Il est tout à fait normal de ne pas vouloir s’occuper des émotions lorsqu’on est jeune. On est immortel et plein d’espoir de construction et de transformation.
      Lorsqu’on vieillit, on mesure que nombre de recettes ne fonctionnent pas dans le temps , alors on cherche son coeur plus que la réussite. chaque chose en son temps;-)



  11. agnes le 25 octobre 2014 à 8 h 16 min

    Bonjour, merci pour votre article. Il tombe a point car malgré mes diverses techniques pour atteindre une zenitude qui m apportent un super mental, mes emotions cherchent a sortir par mon corps par des symptomes divers et varies… je somatise quoi! Merci pour votre eclairage.



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 17 min

      Bonjour Agnés
      La somatisation est le début de la guérison.
      Ce n’est jamais une erreur mais le moyen
      d’avancer en sachant décoder ce que disent les symptômes.



  12. christine le 25 octobre 2014 à 13 h 52 min

    Quel bel article encore Hannah ! Je ne peux que soutenir ce qu’il raconte – c’est vrai qu’il faut accepter et affronter nos émotions plutôt que de les ignorer et les cacher au plus profond de soi. C’est une pratiquante assidue d’Ho’oponopono qui te le dit ! L’image de la courbe en dent de scie me parle particulièrement car malgré le nettoyage j’ai souvent des périodes de découragement où je me dis que je n’avance à rien, mais je recommence, je dirais presque malgré moi….
    Quand comptes-tu sortir ton livre sur ‘Ho’oponopono ? est-il toujours d’actualité ?
    Merci Hannah pour tes conseils toujours « éclairés » et « éclairants !!



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 19 min

      Bonjour Christine,
      Mon livre est écrit et j’attends la réponse de l’éditeur pour
      savoir si il est intéressé.
      Si la réponse est négative, je le présenterai à d’autres
      mais j’ai bon espoir qu’il sera édité bientôt!
      C’est de l’inédit, tu ne seras pas déçue!



      • christine le 25 novembre 2014 à 16 h 19 min

        super contente !! vivement sa sortie je te souhaite tous mes vœux pour trouver un éditeur !
        Amitiés



  13. jean-luc hudry le 26 octobre 2014 à 5 h 31 min

    J’ai toujours fixé les limites de la pense positive.
    En disant, notamment, qu’elle est nécessaire mais pas suffisante.

    Ce qui se vérifie tous les jours.

    Le « penser solution » est de loin plus constructif, plus efficace, car, au quotidien, chacun est en permanence confronté, non à une demande, mais a un besoin de solutions.

    Celles-ci ne suggèrent pas obligatoirement l’existence de problèmes particuliers mais de simples questions à résoudre pour avancer.

    – Quelle sortie d ‘autoroute faut-il emprunter ?
    – Que répondre à ce client ?
    – Que dire à votre conjoint dans telle situation, etc ?

    Plus largement, cela aide de chercher des solutions ailleurs, car l’expérience (et l’expertise) des autres peut être un moyen de progresser soi-même.
    Quel que soit le sujet.
    Au moins à titre d’information.

    Que sont les diverses méthodes, y compris dans le « bien-être », enseignées par les uns et les autres ?
    Des solutions… venues d’ailleurs !

    Enfin, bien entendu, j’en suis l’ardent défenseur, les solutions se trouvent aussi au fond de chacun.
    Nettoyer peut-être utile… en apprenant à le faire… grâce, à,nouveau, à des solutions externes.

    C’est donc la combinaison des ressources (les solutions) et de leur origine (internes et externes) qui fait avancer sur le chemin de la vie.

    Il est également précieux de savoir accepter les choses, les gens et les situations, sans s’interroger continuellement sur le pourquoi du comment, cette attitude pouvant devenir un puissant frein.
    Générateur de nouvelles et infinies questions sans réponses.

    Bref, raisonner solution, en sachant puiser chacune d’elle au bon endroit, voilà un des secrets d’une vie heureuse ! 🙂



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 27 min

      Bonjour Jean-Luc,
      Au niveau concret, il est important de trouver des solutions
      tout en sachant que les obstacles sont la plupart du temps
      intérieurs.
      Être heureux n’a rien à voir avec le fait de trouver ou non
      des solutions, c’est un état d’être qui n’est pas dépendant des
      circonstances.
      Efficacité et joie ne font pas toujours bon ménage. C’est la raison
      pour laquelle j’enseigne autant la méditation que le coaching!



  14. Antoine le 26 octobre 2014 à 18 h 17 min

    Bonsoir Hannah
    intéressant ton article, surtout plus précis,
    j’ai déjà senti ce que tu décris, en pratiquant la méditation et la respiration, il m’arrive d’arriver de me dissocier de mon émotion, de la regarder et heureusement assez souvent la voir s’en aller (l’image du nuage n’est ce pas…) mais parfois elle est vraiment prenante au sens propre, reprenant conscience après quelques minutes d’avoir été pris, j’ai constaté comme je peux être regardé si cela m’arrive par ex dans un transport en commun, car cela peut arriver n’importe quand et n’importe où, en une seconde, il suffit parfois d’un mot, une nouvelle entendue, j’ai du parfois passé pour dément ; la réflexion de Magalie et ta réponse est venu préciser le comment, mais pas suffisamment, ce sont ces moments ou tu es complètement pris, comme possédé, qui sont dur à vivre, il est évident que je ne suis plus dans le présent, le savoir ne m’apaise pas, tu peux en sortir fatigué comme d’un combat, j’ai heureusement un bureau ou je suis seul, je pratique insuffisamment hooponopono, une bonne soupape ?
    reste la philosophie :  » pour faire un homme Dieu que c’est long  » : H Aufray et  » que suis je venu faire dans cette galère  » : Molière;
    joyeux futur Noël.



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 34 min

      Bonjour Antoine,
      Les émotions tenaces c’est un vrai sujet.
      Tipi aide mais j’utilise d’autres techniques
      lorsque le mental reste trop accroché.
      La réalité, c’est que le mental s’accroche à des
      faux problèmes de façon très tenace pour
      éviter qu’on aille mettre le nez dans des émotions
      plus perturbantes et reliées à des traumas pas toujours
      conscients.



  15. Danielle le 27 octobre 2014 à 9 h 44 min

    Pour une fois je participe aux commentaires car je voudrais te remercier.
    Voilà plusieurs mois que je ne suis plus en phase avec un courant de développement personnel que je partageais avec des amies car cela devenait à mon avis du lavage de cerveau par déni de réalité intérieure.
    J’ai pris donc la route pour accepter la réalité de ce qui est en moi, ombre comprise. Quelle détente intérieure…. mais je n’ai pas dit quel confort. Car très souvent je ne sais qu’en faire.
    Alors pour le moment, j’accueille en oeuvrant à ne pas juger, tout en me rappelant combien mon souhait est de clarifier et fluidifier tout cela.
    Merci donc pour tes articles qui ont souvent un effet miroir avec ce que je vis de mon coté, et par ce fait me permettent de me valider dans mon expérience.
    Plein de bonnes choses pour toi.
    Danielle

    PS : Regarde après ton graphique s’il n’y aurait pas une inversion de termes dans la phrase :

    Ainsi, si vous remplacez les pensées positives par des pensées négatives, vous omettez de nettoyer la poussière et vous perdez la valeur inégalée qui se trouve dans les pensées négatives.

    Il me semble que tu voulais dire, si vous remplacez les pensées négatives par des pensées positives, vous omettez…..

    Si ce n’est pas le cas, pardon de mon incompréhension. 🙂



    • Hannah le 27 octobre 2014 à 10 h 15 min

      Bonjour Danielle et merci pour ton partage. Le développement personnel est une jolie pirte de démarrage pour se poser les bonnes questions mais il a ses limites et reste la plupart du temps dans une grande dualité, le positif le négatif, l’efficacité, la stagnation. Il lui manque un peu de souplesse et d’acceptation. Pour la phrase a l’envers tu as raison je ne sais si au Nepal je vais trouver un ordi pour modifier cela.
      D’un autre côté l’inverse est aussi vrai: dans nos identifications a la souffrance, il nous arrive d’interpréter negativement les circonstances afin de les faire coller à nos croyances!



  16. Brice DOS SANTOS le 27 octobre 2014 à 20 h 57 min

    Hannah,

    Merci pour ce mail
    Je ne l’ai certes pas lu de bout en bout
    Certains passages ont retenu mon attention
    L’ombre doit être illuminé par nous même.
    Il nous revient de corriger nos erreurs,
    d’améliorer nos qualités, de repousser nos limites pour découvrir
    toute la beauté de la vie et surtout, combien
    immense et infini est notre potentiel
    C’est ce que je retiens.
    Il faut donc transformer sa peur en énergie pour
    passer à l’action.

    Merci infiniment!
    Bien à vous



    • Hannah le 29 novembre 2014 à 8 h 13 min

      Bonjour Brice,
      J’avais zappé ta réponse…
      je ne sais pas si on améliore ses qualités.
      Il est surtout sage d’aller regarder ce qui se cache
      derrière ce que nous croyons être des défauts!



  17. PureNrgy le 28 octobre 2014 à 18 h 44 min

    Comme on dit en thérapie brève: le problème, c’est la solution 😉
    On se rejoint dans nos billets cette fois-ci : ) arrêtez en effet de chercher, d’être dans la stratégie, le faire pour être heureux ne mène nulle part.

    Et c’est vrai qu’avant de se remplir l’esprit de pensées positives, il vaut mieux commencer à libérer les négatives. Vider le verre avant de le remplir 🙂

    HAHAHA tu m’as bien fait rire Hannah avec cette blague 🙂



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 44 min

      bonjour Héloïse,
      Être heureux est bien un état d’être donc les stratégies ne sont pas
      d’un grand secours.
      Je rentre du Népal et je vais me faire un plaisir d’aller lire ton billet.



  18. Marion le 1 novembre 2014 à 15 h 26 min

    On a toujours tendance à se focaliser sur le passé et le futur, ce qui nous empêche de vivre heureux. A mon avis,on devrait voir et vivre le présent à fond. C’ est le présent qu’ on a



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 45 min

      C’est sur que c’est la chose à faire maintenant
      entre la théorie et la pratique, il peut y avoir un
      monde.
      Parfois même, dans nos désirs, nous ne mesurons pas
      à quel point nous cherchons à échapper au présent!



  19. Helene le 1 novembre 2014 à 19 h 19 min

    Bonsoir Hannah,

    Article apportant une réflexion constructive pour notre avancée.
    L’essence que j’en tire rejoint mes pensées profondes en terme de solution pour se comprendre.

    Pensées positives et « injonctions » de toutes sortes ou autres « petites recettes » ne sont que des pansements sur nos blessures profondes. J’en ai bien pris conscience.

    Court cet article ? Je n’en ai pas eu l’impression, sans doute que tu as touché un point sensible…. et toc !

    Un seul mot : MERCI Hannah,

    Hélène



    • Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 48 min

      Bonjour Hélène,
      Merci pour ton commentaire.
      Je reconnais que, même mes articles courts sont très longs!
      Tout le monde n’est pas conscient d’avoir des blessures,
      c’est souvent la thérapie et les épreuves de la vie qui les révèlent.



  20. Danièle de Forme et bien-être le 2 novembre 2014 à 14 h 30 min

    Bonjour Hannah,
    Je suis en train de lire de Frédéric Lenoir « Du bonheur, un voyage imaginaire ».
    Je ne sais pas si tu l’as lu, il développe la définition du bonheur qui ne semble pas la même pour tous.
    toutefois ceux qui réussissent le mieux à trouver le bonheur, ce sont ceux qui se détachent des besoins que l’on se crée pour revenir à aimer ce que l’on possède autour de nous, sans que cela nous appartienne vraiment mais que l’on peut partager.
    Un beau livre qui fait réfléchir.
    Merci pour tes bons conseils.
    Belle et douce journée.
    Danièle



  21. Hannah le 17 novembre 2014 à 15 h 50 min

    Bonjour Danièle,
    Je ne connais pas ce livre mais je vois qu’il tourne
    autour des mêmes idées: aimer ce qui est et ce qu’on
    a plutôt que de toujours vouloir s’améliorer, s’enrichir …
    Le partage est aussi une forme d’amour.